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Diplomacy & Defense Think Tank News

Irlande, Le gouvernement présente son plan de préparation au Brexit

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 14/09/2020 - 02:00
Le gouvernement irlandais a présenté le 9 septembre un plan de préparation au Brexit à destination des entreprises. Ce document s'organise autour de deux scénarios : un accord commercial entre le Royaume-Uni et l'Union;européenne et un no deal avec des relations commerciales basées sur les règles de l'OMC. Le gouvernement irlandais prévient que les deux scénarios auront de "profondes implications politiques, économiques et juridiques" car le Royaume-Uni est le premier partenaire commercial de l'Irlande.

Royaume-Uni, Le gouvernement envisage de violer l'accord de retrait conclu avec l'Union

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 14/09/2020 - 02:00
Le gouvernement britannique a publié le 9 septembre un projet de loi relatif à l'organisation de son marché intérieur après le Brexit. Certaines dispositions vont à l'encontre de l'accord de retrait négocié avec l'Union européenne, en prévoyant notamment des dérogations aux obligations convenues en matière d'aides d'État, et la modification de règles relatives à la circulation des marchandises, si le Royaume-Uni et l'Union européenne ne parviennent pas à conclure un accord commercial. La Commission a estimé que cette loi serait contraire au droit international et a appelé le gouvernement britannique à retirer son projet.

Royaume-Uni, Accord commercial avec le Japon

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 14/09/2020 - 02:00
Le 11 septembre, le Royaume-Uni et le Japon ont conclu un accord de libre-échange qui prévoit la levée de 99% des droits de douane sur les exportations britanniques vers le Japon. Il s'agit du premier accord commercial négocié par le Royaume-Uni depuis le Brexit.

Conseil de l'Europe, Appel à aider les migrants dans les camps grecs

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 14/09/2020 - 02:00
Le 9 septembre, la Commissaire aux droits de l'homme du Conseil de l'Europe, Dunja Mijatović, a appelé les autorités grecques à fournir d'urgence de l'aide aux personnes dans le besoin suite à l'incendie du camp de migrants de Moria. Elle a condamné les conditions humaines dans lesquelles vivent les demandeurs d'asile et migrants dans les camps des îles de la mer Egée. Elle a appelé les autres membres du Conseil de l'Europe à apporter de l'aide à la Grèce.

Conseil de l'Europe, Inquiétude face à la situation en Biélorussie

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 14/09/2020 - 02:00
La Secrétaire générale du Conseil de l'Europe, Marija Pejcinovic Buric, a fait part, le 8 septembre, de sa préoccupation face aux récentes violations des droits de l'Homme en Biélorussie. Elle dénonce les arrestations injustifiées des manifestants opposés au gouvernement et les intimidations subies par le Conseil de coordination sur place. Elle propose l'assistance du Conseil de l'Europe afin d'ouvrir un dialogue loyal entre les dirigeants biélorusses et la société civile.

ONU, Appel à une enquête "approfondie" et "indépendante" sur l'affaire Navalny

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 14/09/2020 - 02:00
La Haute-commissaire aux droits de l'Homme de l'ONU, Michelle Bachelet, a demandé le 8 septembre à la Russie de mener une enquête approfondie indépendante, impartiale et transparente sur l'affaire d'empoisonnement d'Alexeï Navalny. Elle a fait part de ses inquiétudes quant aux nombreuses tentatives d'assassinat ciblant des citoyens ou ex-citoyens russes ces dernières années.

Eurostat, Baisse du PIB et de l'emploi au deuxième trimestre

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 14/09/2020 - 02:00
Au cours du deuxième trimestre, le PIB a baissé de 11,4% dans l'Union et de 11,8% dans la zone euro eselon les chiffres publiés par Eurostat le 8 septembre. Le nombre de personnes ayant un emploi a baissé de e 2,7% dans l'Union et de 2.9% dans la zone euro au cours de cette même période.

Etudes/Rapports, Premier rapport de prospective stratégique de la Commission

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 14/09/2020 - 02:00
La Commission a présenté le 9 septembre son premier rapport de prospective stratégique, axé sur la notion de résilience après la crise de la COVID-19. Le rapport aborde principalement les questions socio-économiques, numériques, écologiques et géopolitiques.

Etudes/Rapports, La fraude à la TVA a coûté 140 milliards € à l'économie en 2018

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 14/09/2020 - 02:00
Le manque à gagner des économies de l'Union en raison de la fraude à la TVA, de l'évasion fiscale, et des insuffisances des administrations fiscales et statistiques nationales, est de 140 milliards € en 2018, selon un rapport publié par la Commission le 10 septembre. La Roumanie et la Grèce ont perdu plus de 30% de leur TVA alors que la Suède n'a perdu que 0,7%. Le rapport anticipe un manque à gagner de 164 milliards € pour l'année 2020. La Commission conclut que ce chiffre, supérieur au budget annuel européen, démontre l'impératif d'une réforme globale des règles de l'Union en matière de TVA et d'un renforcement de la coopération fiscale entre Etats membres.

Etudes/Rapports, Rapport sur l'éducation

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 14/09/2020 - 02:00
Dans un rapport consacré à l'éducation publié le 8 septembre, l'OCDE évalue les effets potentiels de la pandémie sur les systèmes éducatifs. Le rapport souligne que le renforcement de l'éducation doit rester une priorité des États a un moment où "les pouvoirs publics risquent néanmoins de devoir prendre des décisions difficiles quant à l'affectation des fonds publics à mesure que la croissance économique ralentira." Enfin, le rapport prévoit une baisse de la mobilité des étudiants internationaux et un risque sur la valeur ajoutée des établissements d'enseignement supérieurs.

Culture, Festival de San Sebastian

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 14/09/2020 - 02:00
Du 18 au 26 septembre se tient la 68ème édition du Festival international de cinéma de San Sebastian, présidé par le réalisateur italien Luca Guadagnino. Plus de 250 projections sont au programme.

Culture, Festival de science de Glasgow

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 14/09/2020 - 02:00
Jusqu'au 9 novembre se tient "La science sur son canapé", une version en ligne du Festival de science de Glasgow qui a normalement lieu en juin. Le thème des événements et animations est la réponse scientifique à la pandémie mondiale.

Culture, Festival du Reeperbahn à Hambourg

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 14/09/2020 - 02:00
Du 16 au 19 septembre, le Festival du Reeperbahn se tient à Hambourg sur la grande avenue du même nom, avec au programme plus de 200 concerts pour tous les goûts. En raison de la situation sanitaire, une partie des concerts seront en ligne.

Culture, Festival Automne de Varsovie

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 14/09/2020 - 02:00
Le Festival Automne de Varsovie, principal événement de musique contemporaine en Pologne, se déroule du 17 au 27 septembre. La relation entre musique et langage sera au cœur de la programmation, avec notamment le nouvel opéra de François Sarhan et une performance verbale-musicale d'Agata Zubel.

Culture, De Chirico à l'Orangerie

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 14/09/2020 - 02:00
L'exposition "Giorgio de Chirico. La peinture métaphysique", présentée du 16 septembre au 14 décembre au musée de l'Orangerie, retrace le travail de l'artiste italien et ses influences artistiques et philosophiques.

Culture, Palmarès de la Mostra de Venise

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 14/09/2020 - 02:00
Le Lion d'or de la Mostra de Venise a été décerné le 12 septembre au film Nomadland de la réalisatrice américaine Chloé Zhao. La Britannique Vanessa Kirby pour son rôle dans Pieces of a Woman, et l'Italien Pierfrancesco Favino pour son rôle dans Padrenostro, ont été distingués meilleure actrice et meilleur acteur.

Nord Stream 2: Leverage Against Russia?

SWP - Mon, 14/09/2020 - 00:00

Following the poisoning of the Russian opposition politician Alexei Navalny with a nerve agent from the Novichok group, the possibility of using Nord Stream 2 to put pressure on Russia has been widely discussed. Specifically there are calls to abandon the project, to impose a moratorium, or to block gas deliveries through the pipelines if the Kremlin refuses to assist investigations.

The Nord Stream 2 Baltic gas pipeline is highly symbolic, embodying the willingness of Germany and other European partners to cooperate with Russia. Five European energy companies hold stakes in the project, which is led by Gazprom. It began in 2015 – one year after Moscow’s annexation of Crimea – and has been the target of unrelenting criticism ever since, initially concentrating on Moscow’s declared goal of bypassing Ukraine. The German government recognises the project’s economic benefits for consumers and the gas market, and has backed it within the existing legal framework under the paradigm of keeping politics out of business. In order to cushion Ukraine’s losses, Berlin also backed a Russian-Ukrainian agreement guaranteeing Kyiv gas transit revenues for another five years. To keep its options for completing the pipeline open, Berlin blocked attempts by Brussels to assert control. That is now both a burden and an opportunity.

Pressure from Washington

Recent developments have been largely driven by Washington, which has successively stepped up pressure to abandon the project. The American Protecting Europe’s Energy Security Act has succeeded in stopping pipelaying since the end of 2019, and Congress has taken steps to make it impossible to resume the work. The US Administration has also altered the guidance of the Countering America’s Adversaries Through Sanctions Act, threatening to penalise any entity or individual involved in construction since 15 July 2020. If construction is to resume, Berlin will have to act more proactively to counter the impact of Washington’s sanctions. On the one hand, it will be difficult to politically justify actively supporting construction of Nord Stream 2, while on the other hand Berlin must continue to reject and criticise such secondary sanctions as a matter of principle.

Stopping Nord Stream 2 would be seismic. But what happens when the dust has settled? The government will have to make difficult choices.The following four aspects need to be considered:

Firstly, the immediate effect on the energy supply would be marginal. The project is neither – as so often asserted – a danger to European energy security, nor is it essential. Existing pipelines through Ukraine retain an annual capacity estimated at 100–120 billion cubic metres, with the Yamal-Europe pipeline through Poland and Belarus adding 33 billion cubic metres and Nord Stream 1 another 55 billion. There are also pipelines to Turkey and Finland. Together these would easily cope with the peak volume of more than 190 billion cubic metres, which Gazprom supplied to Europe in 2017/2018. That means, conversely, that stopping Nord Stream 2 would not in the slightest reduce the volume of gas purchased from Gazprom. But this direct, efficient modern pipeline would reduce the risks of transit disruption and technical failure. Without it, Nord Stream 1 and its connecting pipelines become crucial.

Secondly, indirect effects on economy and energy supply are hard to estimate. Sunk costs in the Baltic would hurt Gazprom, but would also be costly for European companies. Aside from the commercial repercussions, it should be remembered that Nord Stream 2 would improve the resilience of the European gas supply and that an expanded gas supply would benefit industry and consumers. The gas reserves on the Siberian Yamal Peninsula have already been developed, while the global LNG market can quickly tighten again. The Energiewende” (green energy transition) will naturally reduce demand for natural gas, but the speed with which that occurs will also depend on an expansion of the power grid and a rapid, consistent transformation in heating and industry. Here there is still much work to be done.

Normative dilemmas

Thirdly, abandoning an economic infrastructure project for political reasons would represent a paradigm shift for Berlin. Major infrastructure projects undeniably have (geo)political implications, and other states do link business and politics in pursuit of national interests, too. That new geo-economic reality represents a challenge for Germany’s strategic sovereignty, also in the energy sphere. But that is precisely the point: other states act in pursuit of their interests. For all the political fireworks, the project is a strategic asset for German commerce and industry. Germany and its EU partners would only be harming themselves if they stopped construction just to send a normative message to the Kremlin. Putin would probably interpret this as Germany simply caving to US pressure, further weakening the political signal

Fourthly, the normative justification raises questions: Is the situation really qualitatively new? Would earlier events not actually have offered more solid grounds? Here we are confronted with an almost insoluble dilemma of the fossil-based energy system: We purchase oil and gas from authoritarian regimes every day. In that regard, the Energiewende has a geopolitical dividend. But make no mistake: even a successful energy transition will rely on energy imports from these countries, and on the ability to reliably realise major infrastructure projects. The days of the special strategic energy partnership with Russia are over, but a functioning modus vivendi for trade and exchange with this big and resource-abundant neighbour remains essential. From that perspective a moratorium would gain time for all involved. But the conditions for resumption would have to be clearly communicated, agreed with EU partners and implementable for Russia.

This text was also published on fairobserver.com.

Les Rencontres Économiques d’Aix-en-Provence 2020

Fondapol / Général - Sat, 12/09/2020 - 15:44

Le 3 septembre dernier, le gouvernement présentait son plan de relance de 100 milliards, destiné à « retrouver dès 2022 notre niveau de richesse d’avant la crise ».  Le Cercle des économistes a souhaité réunir les 12 et 13 septembre, à Aix en-Provence, chefs d’entreprises (Olivier Garnier, directeur de la Banque de France, Jean-Dominique Senard, patron du […]

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«L’extravagance des maires écologistes qui veulent rééduquer les Français»

Fondapol / Général - Fri, 11/09/2020 - 16:45

FIGAROVOX/TRIBUNE – Le bêtisier des maires Europe Écologie-Les Verts (EELV) s’enrichit chaque jour. Il est vain, de la part d’Emmanuel Macron, de prétendre les séduire, argumente le journaliste et essayiste. «Le Tour de France continue à véhiculer une image machiste du sport. (…) Il n’est pas écoresponsable. Combien de véhicules à moteur thermique circulent pour […]

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Wir brauchen Demokratieschutz, um Autokratisierung zu stoppen

Am 15. September feiert die Welt eines der großen menschlichen Erfolgsmodelle: die Demokratie. Als die Vereinten Nationen vor dreizehn Jahren dieses Datum zum Internationalen Tag der Demokratie erklärten, wurden sie von einer globalen Demokratisierungswelle getragen. Mittlerweile ist die Demokratie von Innen und Außen unter Druck geraten und zum ersten Mal seit fast 20 Jahren gibt es mehr Autokratien als Demokratien auf der Welt. Internationaler Demokratieschutz ist nun das Gebot der Stunde.

Für zwei Dekaden schien der Trend zu mehr und stärkeren Demokratien eindeutig und unumkehrbar. Inzwischen gerät diese Herrschaftsform zunehmend unter Druck und wir beobachten einen globalen Autokratisierungstrend. Die globale Finanzkrise von 2008 und „Migrationskrisen“ in Europa haben in vielen Ländern zur Entstehung populistischer und nationalistischer Bewegungen beigetragen, die sich auch gegen demokratische Grundwerte wie politische Gleichheit oder Minderheitenschutz richten. In Ländern wie den USA, Indien, Brasilien oder Polen werden etablierte demokratische Institutionen und Prozesse hart attackiert: so wird die Unabhängigkeit von Wahlkommissionen geschwächt oder Gesetze benutzt, um die Pressefreiheit einzuschränken, religiöse Gruppen zu diskriminieren oder politische Opposition zu verfolgen. Und auch die SARS-CoV2-Pandemie hat ihren Beitrag geleistet: Einige Staaten nutzen die Ausnahmesituation, um ihre Machtbefugnisse auszuweiten und zivilgesellschaftliches Engagement einzuschränken.

Neu ist auch wie Autokratisierung verläuft, sprich existierende demokratische Institutionen und Mechanismen abgebaut werden. Im Gegensatz zum klassischen Umsturz durch einen Putsch sind aktuelle Prozesse weniger geprägt von plötzlichen Zusammenbrüchen demokratischer Institutionen, sondern von ihrer schrittweisen Erosion. Das führt in den betroffenen Ländern zu einem langsamen Abrutschen in hybride Herrschaftsformen.  Hier werden Wahlen zwar regelmäßig abgehalten, aber Bürger- und Freiheitsrechte sowie Rechtsstaatlichkeit nicht respektiert und geschützt.

Wie kann und sollte die internationale Gemeinschaft auf diese Entwicklung reagieren?

In den 1990ern bekam die internationale Förderung von Demokratie Auftrieb. Zuletzt hat sie jedoch auf vielen politischen Agenden an Bedeutung verloren – auch aufgrund einer Versicherheitlichung internationaler Politik, wie im Kontext der Terrorbekämpfung. Die derzeitige globale Lage der Demokratie zeigt allerdings, dass Demokratieförderung weiterhin wichtig bleibt und es darüber hinaus notwendig ist, demokratische Errungenschaften zu schützen.

Eine zentrale Erkenntnis in der Demokratieförderung ist, dass der alleinige Fokus auf Wahlen nicht ausreicht. Autokratisierung findet vor allem zwischen Wahlen statt, indem politische Teilhabe, aber insbesondere auch Bürger- und Freiheitsrechte sowie Rechtsstaatlichkeit sukzessive eingeschränkt werden. Ohne diese grundlegenden Freiheiten verliert jedoch auch der Urnengang an Bedeutung. Besonders Besorgnis erregend ist, dass die Erosion dieser Institutionen und Freiheiten die Wehrhaftigkeit der Demokratie einschränken. Wenn die Gewaltenteilung untergraben und die sogenannten Checks and Balances zwischen demokratischen Institutionen außer Kraft gesetzt werden, verliert die Demokratie ihre Wehrhaftigkeit. Zum einen kann sich die Demokratie nicht selbst verteidigen, da zum Beispiel die parlamentarische Kontrolle eingeschränkt und die Unabhängigkeit der Justiz ausgehöhlt wird. Zum anderen kann auch die Bevölkerung die Demokratie nicht verteidigen, da demokratische Mittel wie Klagen gegen verfassungsfeindliche Maßnahmen, Demonstrationen oder öffentliche Kritik dann nicht mehr möglich sind oder Repressalien nach sich ziehen. Auch hier haben die Lock-down Maßnahmen während der Pandemie autokratischen Bestrebungen in die Hände gespielt. Daher ist die internationale Gemeinschaft gefragt, sich möglichst frühzeitig im Demokratieschutz zu engagieren und die grundlegenden Pfeiler von Demokratie vor subtiler Zersetzung zu bewahren. Wie Demokratie effektiv geschützt werden kann ist jedoch keine einfache Frage. Wissenschaftler*innen und Entscheidungsträger*innen werden sie gemeinsam beantworten müssen.

Weltweit sehen wir, dass Bürger*innen nicht tatenlos zusehen, sondern aktiv und oft unter Einsatz ihrer Freiheit oder sogar ihres Lebens auf die Straße gehen oder sich anderweitig für Demokratie engagieren: Sie wird eingefordert. Von Ecuador bis Hong Kong, von Belarus bis zum Sudan oder Mali streiten Menschen für ihre Bürger-, Freiheits- und Menschenrechte, für Rechtsstaatlichkeit und Demokratie. Dies zeigt, dass Demokratie als Idee widerstandsfähig und universell ist. Um diesen Menschen die Hand zu reichen bedarf es in der internationalen Gemeinschaft eines Verständnisses, Demokratie nicht nur zu fördern, sondern sie auch aktiv zu schützen.

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