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Agrégateur de flux

Hungarikum, amiből nem iszunk eleget

Melano, a közép-európaiak magazinja - dim, 26/04/2015 - 00:00

A szódavíz valódi Hungarikum, alig több mint 10 éve pedig a „garantáltan hagyományos és különleges élelmiszer" névjegyet is viseli. Pár évtizedre háttérbe szorult a fogyasztása - különösen a palackozott ásványvizek megjelenésével - és csak az idősebb generáció konyhájában akadt elvétve egy-egy szódásszifon. Most viszont úgy tűnik, a technológia fejlődésének és a retró hullámnak köszönhetően ismét divatba jön a szódafogyasztás.

Kapcsolódó hírek:  Újra népszerű az otthon készített szóda

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Catégories: Kelet-Közép-Európa

Le Costa neoRomantica embarque les membres du Costa Club

MeretMarine.com - sam, 25/04/2015 - 20:58

Gènes, le 23 avril 2015 – Le Costa neoRomantica a quitté le port de Savone vendredi 24 avril pour un incroyable périple réservé aux membres du CostaClub, qui regroupe les hôtes les plus fidèles des croisières Costa. Pendant 12 jours, ceux-ci auront le plaisir de parcourir les eaux méditerranéennes et de découvrir d’illustres sites grecs et italiens, dans le plus pur style « dolce vita ». À bord, ils auront tout loisir de savourer le meilleur de l’Italie, tant sur le plan culinaire que musical, avec en prime de nombreuses surprises et plusieurs évènements exclusifs.

Catégories: Défense

Première rénovation pour l’Europa 2

MeretMarine.com - sam, 25/04/2015 - 20:57

Livré en avril 2013 par STX France, le navire amiral de la compagnie de luxe allemande Hapag-Lloyd Cruises vient de réaliser son premier grand arrêt technique. L’Europa 2 est passé en cale sèche du 11 au 24 avril au chantier Blohm + Voss de Hambourg. 700 lignes de travaux étaient programmées, dont le carénage de la coque et les traditionnelles visites techniques, mais aussi différentes améliorations et rénovations, y compris dans les locaux publics.

Catégories: Défense

Le Cap San Lorenzo s’échoue brièvement au large de Zeebrugge

MeretMarine.com - sam, 25/04/2015 - 20:56

Le porte-conteneurs Cap San Lorenzo, de l’armement allemand Hamburg Süd, s’est échoué sur un banc de sable, au large de Zeebrugge, le 23 avril. Le navire est resté coincé quelques heures avant d’être remis à flot à la faveur de la marée et grâce à l’intervention de cinq remorqueurs belges. Après inspection de la coque en zone de mouillage d'Ostende, le Cap San Lorenzo a repris sa route et est arrivé au Havre le 24 avril.

Mis en service en 2013, ce navire de 333 mètres de long pour 48 mètres de large présente une capacité de 9814 EVP. 

 

Catégories: Défense

Au café du commerce de Politico.eu

Coulisses de Bruxelles - sam, 25/04/2015 - 18:00

J’ai bien accueilli l’arrivée de Politico en Europe. Mais, hier matin, j’ai été plus que surpris par la lecture de son courriel matinal quotidien, intitulé «playbook», censé donner le menu de la journée. Ryan Heath, son auteur, y tacle sévèrement le quotidien francophone belge Le Soir en le qualifiant au détour d’une phrase de «world’s biggest socialist student newspaper». Soit, dans cette langue tribale qu’est le français dans le Bruxelles européen et forcément anglophone, «la plus grande gazette étudiante socialiste du monde». Trois jours après son lancement, Politico.eu se paye son premier dérapage incontrôlé. L’accueil sympathique qui lui a été réservé par ses confrères européens lui est-il monté à la tête ?

On peut évidemment critiquer Le Soir comme n’importe quel journal. Il est même plutôt sain que les médias le fassent, le métier étant trop souvent corporatiste. Je ne me prive pas de me livrer à ce type d’exercice (sur mon blog, où j’épingle notamment une presse anglophone censée être supérieure à son équivalent continental, ou dans mes livres), ce qui me vaut la chaude amitié de certains de mes confrères. Le problème est que Ryan Heath ne fait pas là œuvre journalistique, mais se livre à une attaque condescendante, gratuite, et méprisante.

Pourquoi relègue-t-il au rang de «gazette étudiante» ce journal centenaire ? Son mode de traitement de l’actualité ? Ses journalistes ? Sa mise en page ? Ses choix éditoriaux ? Il ne le dit pas. Socialiste ? C’est sans doute vrai, mais cela mérite une démonstration, une enquête, des faits, bref du journalisme et pas faire du café du commerce. Serait-on en droit d’affirmer sans autre forme de procès que Politico est «un journal d’entreprise financé par les grandes sociétés US pour défendre leurs intérêts à Bruxelles» ?

Ryan Heath se croit encore à la «cafète» de la Commission

Arrivé sur le marché européen depuis mardi, Politico n’a encore rien prouvé, rien montré, rien démontré et ne compte aucune signature ayant fait ses preuves en couvrant l’Union. L’arrogance est un rien prématurée : on verra au fil du temps si Politico fait non pas mieux, mais arrive au moins à faire aussi bien que bien de ses confrères. Au passage, quel courage de s’attaquer à un petit média belge qui ne risque pas de nuire à Politico ! Ils sont tellement drôles ces Belges ! Et si inoffensifs ! L’absence de panache à son sommet décidément.

Le comble est atteint quand on sait que le «playbook» est officiellement sponsorisé par General Electric (oui, l’entreprise US qui s’est heurtée à la Commission lorsqu’elle a voulu fusionner avec Honeywell en 2001) et que son auteur, l’Australien Ryan Heath, n’est autre que l’ancien porte-parole de la vice-présidente de la Commission, Neelie Kroes – entre 2011 et 2014 – et qu’avant cela il a été le «spechwriter» de l’inénarrable José Manuel Durao Barroso. Pis: il a ensuite travaillé comme lobbyiste pour... GE (une autre journaliste de Politico qui suit l’énergie a aussi travaillé pour Gazprom via GPlus, une grosse société de lobbying). Ryan Heath, qui mélange donc allègrement les genres entre lobbying, service public et journalisme, serait inspiré, avant de faire des bons mots sur le dos des «petits Belges», de démontrer qu’il n’est plus l’un des porte-voix grassement payés de l’exécutif européen et qu’il a acquis les bases d’un métier qu’il n’a jamais pratiqué.

Ce faux pas, qui rejaillit sur Politico.eu qui a laissé passer ce «bon mot» inutile et blessant pour mes confrères du Soir, donne plutôt l’impression que Ryan Heath se croit encore à la «cafète» de la Commission, là où les porte-parole se défoulent sur cette presse qu’ils méprisent et qui les emmerde. Allez Ryan, encore quelques années pour devenir journaliste et on en reparle de tes talents.

Catégories: Union européenne

Joint statement on the earthquake in Asia

EEAS News - sam, 25/04/2015 - 17:28
Catégories: European Union

Impériumváltás 70 éve - Königsberg

GasparusMagnus Blog - sam, 25/04/2015 - 16:48

Hetven éve vált a német Königsberg a legnyugatabbi orosz megye székhelyévé.

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Catégories: Oroszország és FÁK

Egy igazi európai hunyt el

Lengyelnet - sam, 25/04/2015 - 12:12
A nagy tekintélyű professzort a diplomácia nagymesterének tekintették, és nem csupán Lengyelországban tisztelték.
Catégories: Kelet-Közép-Európa

Informal Meeting of Ministers for Economic and Financial Affairs (ECOFIN)

Council lTV - sam, 25/04/2015 - 11:04
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The Informal meeting of the ECOFIN Council takes place on 24-25 April 2015, in Riga. The agenda includes a discussion on the economic situation in the EU, financial stability issues, and the growth potential of the European Union.

Download this video here.

Catégories: European Union

2015.04.25

Netarzenál - sam, 25/04/2015 - 07:57

Az április 14. és 17. között Rio de Janeiro-ban megrendezett Laad 2015-ös kiállításon, már külföldi megrendelők számára is eladásra kínálta az RPG-30-as páncéltörő rakétáját az orosz Bazalt. A 1135 milliméter hosszú, 10,3 kilogramm súlyú fegyver egy 105 milliméteres PG-30-as tandem kumulatív robbanófejjel szerelt rakétát indít a páncélozott célok ellen, de csak az aktív páncélok ellen csaliként szolgáló 42 milliméter átmérőjű rakéta után. A tervezők szerint a csalirakétát 0,2-0,4 másodperccel követő PG-30-t éppen ez az időintervallum juttatja nyerő helyzetbe, mivel az aktív páncélok reakcióideje ennél nagyobb. Ennek köszönhetően a több mint 600 milliméter vastag hengerelt acélpáncél átégetésére képes, 200 méteres hatótávolságú PG-30-as sikerrel semmisítheti meg a legújabb védelmi rendszerekkel felszerelt páncélosokat is.

Moszkvában egy másik tervet is fontolgatnak, amivel sok borsot törhetnek a nyugatiak orra alá. A hírek szerint a 8 szolgálatban álló Project 949A Antey, vagy OSCAR II-es robotrepülőgép-hordozó nukleáris meghajtású egységek új fegyverzetet kapnának. A 24 P-700 Granit, vagy SS-N-19 Shipwreck hajók elleni 7 tonnás indulótömegű, 10 méter hosszú, 750 kilogrammos hagyományos, vagy 500 kilotonnás nukleáris fejjel szerelt fegyverrel 625 kilométeres távolságon belül jelentettek veszélyt a szerencsétlenül járt KURSZK tengeralattjáró testvérhajói az ellenséges felszíni egységekre.

A régi csapásmérő robotrepülőgépek helyét a tengeralattjáró testének oldalán lévő indítókban a P-800 Oniks és a 3M-54 Klub veheti át. A modernebb fegyverek nagyobb szállítható menyiséget is jelentenek, így egy-egy OSCAR II-es akár 72 darabot is szállíthat belőlük. További előny, a nagyobb hatótávolság, ami 1500-1800 kilométer is lehet egyes változatok esetében és ezek a fegyverek a szárazföldi célpontok elleni bevethetőséget is megteremtenék az orosz tengeralattjárók további egységeinek fedélzetén.

Még az idén átadhatják a modernizált elektronikával legyártott első Pancir Sz-2-es légvédelmi komplexumot az orosz haderő részére. a júniusban megérkező első Sz-2-es még ebben az évben szolgálatba is állhat.

Nagy-Britanniában befejeződtek a CT40-es toronnyal felszerelt Warrior gyalogsági harcjárművel folytatott lövészetek. Az eredeti 30 milliméteres L21A1 Raden gépágyú lőszerénél háromszor nagyobb pusztításra képes 40 milliméteres gépágyú mellett a célfelderítést és a célzást is jelentősen megkönnyítik az elektrooptikai rendszerek. A brit tervek szerint 380 Warrior gyalogsági harcjármű fog korszerűsödni az elkövetkező években.

Indiában április 20-án a Mazagon Dockyard Limited hajógyárában vízre került az első Projekt 15B romboló. A 7300 tonnás VISHAKHAPATNAM a Projekt 15A rombolók (KOLKATA, KOCHI és CHENNAI) továbbfejlesztett, javított változata lesz, további három testvérhajójával együtt. A 2018-ban hadrendbe álló VISHAKHAPATNAM új szonárt, radart és 163 méter hosszú és 17,4 méter széles hajótestet kap, de a felépítményén is változtattak a Projekt 15A-hoz képest, javítva a lopakodó képességét.

Az új rombolók 65%-a már hazai gyártásban készül, de a több mint 30 csomós sebességet biztosító négy DT-59 gázturbina Ukrajnából, míg a hajócsavarok Oroszországból érkeznek. Rádiólokátorokból az IAI-Elta EL/M-2248 és a EL/M-2238-as kerül felszerelésre a Thales LW-08-as gyártmánya mellé. Fegyverzetét Barak-8-as légvédelmi rakéták és BrahMos csapásmérő robotrepülőgépek alkotják. A licencben gyártott 76 milliméteres Oto Melara Super Rapid Gun hajóágyú mellett négy orosz AK-630 gépágyú is felszerelésre kerül. További lehetőség az Oto Melara 127 milliméteres hajóágyúk 64-es kaliberhosszal készült Mk45-ös változatának alkalmazása is, de erről még folynak a tárgyalások az olasz gyártóval.

Április 22-én első alkalommal vételezett üzemanyagot repülés közben emberi beavatkozás nélkül egy pilóta nélküli repülőgép. A Northrop Grumman X-47B a marylandi partok mellett repülve a tenger felett csatlakozott rá az Omega K-707-es tankerére. Az 18010 kilogrammnyi üzemanyag felvételét április 15-én több sikeres, de még üzemanyag átadás nélküli kapcsolódás előzte meg.

Továbbra is napirenden van újabb Boeing F/A-18E/F Super Hornet vadászbombázók beszerzése az amerikai haditengerészet számára. Az F-35C szolgálatba állásáig a régebbi Hornet-ek nem biztos, hogy kihúzzák bárhogy is próbálnak velük spórolni a flotta illetékesei. Napjainkra az új variáns lett a domináns a repülőgép-hordozók fedélzetén, mivel a négy századból kettő-kettő repüli a régi és az új változatot. De míg a Super Hornet századok gépállománya 12- 12 gépes, addig a régebbi típusból csak 10-10 alkot egy-egy századot, de százalékos arányban mégis kicsit több, 54%-ot tesznek ki a régebbi Hornet-ek (A, B, C, D) a flotta repülőgép-állományából. A (rep)idő múlásával azonban nem lehet örökké sikeres harcot folytatni, így két-három század átfegyverzésére elegendő Super Hornet megrendelésén gondolkodnak, az eddig 563 példány mellé.

Tovább bővülhet a Bell-Boeing MV-22B Osprey fegyvertára. A közelmúltban ugyanis a konvertiplán hátsó rámpáról indították az AeroVironment Switchblade mini UAV-ját. A 2011 óta Afganisztánban is használt 610 milliméter hosszú, 2,7 kilogrammos gép elektromos motorjával 10 percig képes a levegőben tartózkodni és színes kamerájának képét közvetíteni. A földről egy csőből indítható Switchblade becsapódás által képes a pusztításra is, igaz a fedélzetén lévő robbanószer nagyjából egy 40 milliméteres gránáténak megfelelő rombolásra képes. Az indítás csak az indítási és eltávolodási folyamat ellenőrzésére szolgált.

A csökkenő tengeralattjáró-flotta mennyiségi növelését szeretné elérni az amerikai haditengerészet. Most az építésben érdekelteket kérdezték meg, képesek lennének-e az évi két VIRGINIA-osztályú egység elkészülési ütemét évenkénti háromra emelni. Az 1980-as években volt olyan időszak Amerikában, amikor egy év alatt három vadász és egy rakétahordozó tengeralattjáró került megépítésre. A gyártók válasza várhatólag májusban fog megérkezni.

Elkészült egy tanulmány az USAF-nál, melyben az áll, hogy a Lockheed Martin U-2 felderítő repülőgép kulcsfontosságú felderítő eszközeinek hordozására képes lehet a Northrop Grumman RQ-4 Global Hawk pilóta nélküli légi jármű. Az integráció megvalósíthatóságát a szűkös költségvetési keret akadályozhatja. Az átépítéshez szükséges összeg minél pontosabb becslését jelenleg végzik a szakértők.

 

NETARZENÁL GALÉRIA

Főpróbán.

Vickers Valiant BK.1.

Bell OH-58D Kiowa Warrior.

Berijev Be-12 Csajka.

General Dynamics F-111F Aardvark.

Saab AJSH37 Viggen.

McDonnell Douglas F-4EJ Kai Phantom II.

Eurocopter EC665 Tiger ARH.

Lockheed F-104G Starfighter.

Szuhoj Szu-34.

Aerospatiale SA-321 Super Frelon.

Eurofighter EF-2000 Typhoon T.3.

Mil Mi-24D.

Alenia Aermacchi M-346 Lavi.


Catégories: Biztonságpolitika

To Choose the Next UN Secretary-General, First Create a Procedure

European Peace Institute / News - ven, 24/04/2015 - 22:03

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A coalition of independent individuals and nongovernmental organizations backed by former UN officials is calling for an established process to select the UN secretary-general that would make the procedure open, transparent, and merit-based.

Speaking at IPI on April 24th on “UN Reform: Selecting the Next Secretary-General,” representatives from global organizations, including the 1 for 7 billion campaign and The Elders, criticized the current procedure—such as it is—as outdated, secretive, and lacking any measure of fairness and democracy. The panelists noted how the citizens of the UN’s 193 member states have come to realize the importance this post represents and are now calling for a more active role in its selection.

“People do care, they really get this issue,” said Natalie Samarasinghe, the executive director of the UN Association of the UK. Ms. Samarasinghe, who was representing the 1 for 7 billion campaign, added: “[People] know what a fair selection process looks like, and they are absolutely shocked when they hear about how the UN currently proceeds. No job description, no timetable, no public scrutiny of candidates.”

Panelists noted that the UN Charter grants the General Assembly the authority to appoint the secretary-general “upon the recommendation of the Security Council.” However, they said, over the years the process that has emerged is one in which the Council—and at times only a select number of its five permanent members—decides who that person will be and sends the name to be rubber-stamped by the General Assembly.

“Members of the General Assembly must re-claim the responsibility the charter gives them,” said Edward Mortimer, senior adviser to The Elders on UN reform and formerly chief speechwriter and director of communications to then secretary-general Kofi Annan. “The Elders have called on the Assembly to insist that the Security Council recommend more than one candidate per appointment after a timely, equitable, and transparent search for the best qualified candidate, irrespective of gender or regional origin.”

Recommendations for improving the selection procedure abound. At their core, the proposals call for: appointing a secretary-general for a single, non-renewable term of seven years; providing a shortlist of more than one candidate—including both men and women; identifying a clear timetable with deadlines, including the opportunity for both member states and civil society to hear from the candidates; and focusing on skills and experience rather than geographic origin.

And it is on this last matter that some of the panelists disagreed, pointing to a larger debate currently taking place at the General Assembly.

In response to Mr. Mortimer’s proposal to abandon the geographic rotation system—currently, custom has it that secretaries-general rotate according to their regional origin—IPI Vice President Hardeep Puri said it is important not to understate the role played by regional groupings at the UN.

“In a system which is based on a very thin veil of consensus and broad acceptability, there have to be some rules which govern geographic rotation,” said Mr. Puri, who is also the secretary-general of the newly launched Independent Commission on Multilateralism. “I believe that this regional group [arrangement] is far more important than it appears from the outside.”

This point drew agreement from some members of the audience, including the permanent representatives of Croatia and Slovakia to the UN. According to the current planning, the next secretary-general is expected to be from an Eastern European country.

Vladimir Drobnjak, Croatia’s permanent representative, said the secretary-general’s selection procedure is something that the General Assembly has been working on for some time now. There have been resolutions calling for more transparency, he said, as well as debates proposing a more effective hearing process. But on regional groups, he said, matters are a little different.

“We can debate how they are composed,” he said. “But the whole UN system is based on regional rotation. The Security Council is composed based on regional groups and rotating members, and chairmanship of the main committees is based entirely on regional groups. So,” he continued, “regional groups are not just an auxiliary measure in the system. They are the heart of the system.”

The panelists also discussed the issue of gender balance in the process, now an increasingly topical issue. Jean Krasno, lecturer at Yale University and the City College of New York as well as the chair of the Campaign to Elect a Woman Secretary-General, said that today, 70 years after the UN’s foundation, there can no longer be an excuse for not considering a woman for the post. The UN, she said, has always called for equal rights between men and women, and “it’s time we honor those words.”

“A woman could do everything that a man can do in the office,” she said. “However, a woman can bring the knowledge of being a woman, the sense of discrimination, of vulnerability, and identification with women’s experiences all over the world.” Men can do this, she added, “but not with the same depth of knowledge.”

The event took place on the eve of the April 27th General Assembly debate on the topic, and was moderated by Mr. Puri.

Watch event:

L'UE, une affaire Politico-médiatique

Coulisses de Bruxelles - ven, 24/04/2015 - 17:17

Marin Hock

La doctrine militaire « Shock and awe », « choc et effroi », appliquée à la presse : on ne commence pas petit, comme au Vietnam, on écrase d’emblée l’adversaire sous la puissance de feu, modèle Irak 2003. « Politico aurait pu commencer son édition européenne à 12 et voir venir. Mais leur stratégie, c’est la force massive : on démarre à 50, pas à 12 », explique Pierre Briançon, le futur correspondant du site d’information politique à Paris, et ancien de Libération (1980-1998), de Reuters et de DowJones. « 35 personnes à Bruxelles et des bureaux à Londres, Paris, Berlin, Francfort, Varsovie et à terme Rome et Madrid », détaille le patron de Politico.eu, Matthew Kaminski, ex du Wall Street Journal. Dès aujourd’hui, alors que l’équipe est encore en cours de recrutement, le site d’information, disponible uniquement en anglais, sera lancéeet, jeudi, le premier numéro du journal hebdomadaire gratuit distribué à Bruxelles, Paris ou encore Berlin. « Un lancement extrêmement rapide pour un projet aussi ambitieux, ça va être chaotique, mais excitant », se réjouit Briançon : « c’est comme Libé qui redémarre tous les deux ans », ironise-t-il.

Arrogance tranquille

Ce débarquement américain sans précédent dans la capitale de l’Union fait frétiller d’aise les institutions communautaires qui y voient là une forme de reconnaissance : enfin, un média américain investit Bruxelles : « nous sommes fascinés par le pouvoir. Or, ici il y a du pouvoir et l’Union devient de plus en plus importante non seulement pour nous, les Américains, mais aussi pour l’Asie », affirme Matthew Kaminski, 45 ans, dans un excellent français (cet Américain d’origine polonaise a déjà été en poste à Bruxelles et est marié à une Française). « Ici, il y a un exécutif, un Parlement qui, sans son mode de fonctionnement, rappelle le Congrès américain, des agences de gouvernements, des lobbies, etc. ». Mais, tout en complimentant l’Europe sur sa puissance, il ne peut s’empêcher de la remettre à sa place : « les États-Unis font de l’innovation, Bruxelles écrit les règles du jeu ».

Une tranquille arrogance américaine – de Airbus au CERN en passant par les satellites ou l’industrie du numérique même si les plates-formes sont effectivement américaines, on pourrait lui démontrer le contraire —, qui n’a cependant rien à voir avec l’euroscepticisme britannique. Car Kaminski veut justement éviter que Politico.eu se comporte comme un média anglo-saxon de plus : « L’Europe est un objet journalistique pour nous, ni plus, ni moins », assure-t-il au moment où John Harris, l’un des fondateurs du site américain de passage à Bruxelles, passe la tête dans son bureau. « Les Américains sont pragmatiques, pas idéologiques », confirme Briançon : « l’Europe a émergé comme sujet d’information depuis le début du XXIe siècle. Les gens croyaient la connaître et ils ont découvert que ça n’était pas le cas ». Il faut donc les informer, mais sans a priori idéologique : « Lionel Barber, le patron du Financial Times, reconnaît lui-même qu’on ne peut plus couvrir le continent avec l’esprit de la City », assure Briançon.

La rédaction est donc logiquement très américaine et assez peu britannique et de nombreux Européens (parfaitement anglophones) ont été engagés. Mais aucune star du journalisme européen n’a accepté de ce joindre à cette aventure, contrairement à ce qui s’est passé aux États-Unis. Ainsi, l’Américain Peter Spiegel, patron du bureau du Financial Times à Bruxelles, a décliné l’offre qui lui a été faite de diriger Politico.eu. Pour palier ce manque de signatures, Politico en a fait venir des États-Unis, comme Matthew Kaminski, éditorialiste du WSJ, mais aussi sa correspondante à la Maison-Blanche, Carrie Budoff-Brown, à qui Barack Obama a adressé publiquement un mot plein d’humour lorsqu’il a appris son départ : « c’est vrai que la Belgique manque d’une version de Politico », a-t-il lancé hilare, sous-entendu pour comprendre ce pays… « Mais bon, vous allez voir, ils ont des gaufres délicieuses là-bas ». Politico n’a pas hésité à tweeter qu’il mettait en place « la plus grande rédaction impartiale » de Bruxelles, faisant grincer de nombreuses dents dans la salle de presse de la Commission. Il est vrai que le site ne pense pas que du bien des journalistes européens : « ce n’est pas qu’il n’y a pas ici de très bons journalistes, mais ce n’est pas la majorité », balance le journaliste Craig Winneker…

Politico estime que la couverture médiatique de l’Union est trop souvent technique et partant ennuyeuse. « Nous voulons humaniser cette ville. Il y a ici des gens intelligents, idiots, ambitieux, ridicules, il y a des drames humains qui se jouent. Bruxelles n’est pas un univers bureaucratique, mais politique, l’Europe est un cadre dramatique alors que les États-Unis ont un système politique stable depuis 240 ans. C’est ça qu’il faut raconter, même si ça ne sera pas facile, car c’est un cadre très fermé », explique Kaminski. Politico ne veut pas doublonner les agences de presse, mais raconter ce qui se passe derrière les portes closes et mettre en contexte. Bien sûr, l’Union ne se fait pas qu’à Bruxelles, qui reste « un nexus », comme le dit Kaminski, mais aussi dans les capitales de l’Union d’où l’ouverture de nombreux bureaux de correspondants pour raconter l’exercice du pouvoir au jour le jour. « Bruxelles, c’est une usine à scoops », renchérit le patron du site spécialisé dans les politiques publiques Contexte, Jean-Christophe Boulanger. « Nous voulons rendre Bruxelles si excitante qu’Hollywood aura envie d’y tourner des films », un « House of cards » européen, a résumé en décembre dernier Christoph Keese, le vice-président d’Axel Springer qui cofinance à hauteur de 50% Politico.eu : « ce sont les Allemands qui sont à l’origine du projet », reconnaît d’ailleurs Kaminski.

« Springer, l’éditeur du quotidien populaire Bild Zeitung, veut participer à la création d’un nouveau modèle économique pour la presse, car ils croient en l’avenir du journalisme, tout comme nous », poursuit-il : « Politico, ça n’est pas un modèle de nouveau journalisme, mais de nouveau business ». On ne connaît pas le budget, mais il est au moins de 10 millions de dollars et le financement est assuré pour plusieurs années afin de donner le temps à Politico.eu de s’installer dans le paysage médiatique. Pour autant « sa création n’est pas basée sur une étude de marché, mais sur une intuition », affirme Pierre Briançon.

Intuition et ambition

L’intuition et l’ambition sont la marque de fabrique de Politico. « Je pense que nous montrerons que nous sommes meilleurs que le New York Times ou le Washington Post », déclarait l’actuel PDG, Jim VandeHei, fin 2006, quelques mois avant le lancement du site américain. À l’époque, les propos de ce jeune reporter trentenaire avaient suscité sarcasmes et moqueries dans la capitale américaine. Sept ans plus tard, Politico a pourtant réussi un pari majeur : s’imposer comme une référence du journalisme politique, prisée par le Tout-Washington. Une réussite que les fondateurs de Politico comptent bien répéter à Bruxelles.

Outre-Atlantique, les lecteurs de Politico sont « les dizaines de milliers de gens qui travaillent dans les sphères du pouvoir à Washington, y compris les lobbyistes, entreprises, fédérations professionnelles, tous les groupes qui ont des intérêts à défendre au Congrès et à la Maison-Blanche, explique Ivan Couronne, correspondant de l’AFP au Congrès américain. Chaque mois, Politico.com attire entre 7 et 8 millions de visiteurs uniques, selon la firme spécialisée comScore. Loin, certes, des 48 millions du Washington Post et 59 millions du New York Times. Sauf que Politico présente deux différences majeures avec ses illustres concurrents : c’est un « pure player », autrement dit un site qui, lors de sa création, n’était adossé à aucune édition papier. Et il se consacre à un seul sujet : la politique.

« Nous avons prouvé que la domination du New York Times, du Washington Post ou du Wall Street Journal pouvait être remise en question par des nouveaux venus, se félicite John Harris, le rédacteur en chef de Politico qui est chargé de guider le nouveau-né européen. « En sept ans, le Washington Post a été remplacé par Politico », n’hésite pas à affirmer Matthew Kaminski.Financé par le millionnaire Robert Allbritton, héritier d’un empire médiatique, dirigé depuis ses débuts par Jim VandeHei et John Harris – tous deux venus du Washington Post –, Politico a toujours eu le même objectif : combiner la rapidité du web avec la légitimité des journaux traditionnels. À ses débuts en 2007, à un moment où la presse licencie plus qu’elle n’embauche, Politico recrute une trentaine de journalistes. La moitié sont des jeunes reporters en quête d’expérience, l’autre des plumes reconnues au carnet d’adresses fourni, à l’image de Mike Allen, correspondant à la Maison-Blanche pour le magazine Time. Leur mission : alimenter le site internet et un journal distribué gratuitement à Washington trois fois par semaine.

Conçu comme une startup, Politico mise immédiatement sur les réseaux sociaux. Et pour gagner en visibilité, l’entreprise signe des partenariats avec plusieurs chaînes de télévision, dont CBS. La « marque » Politico est lancée, le succès immédiat. À tel point que le média s’affirme comme un acteur majeur de la campagne présidentielle de 2008. « Nous étions un petit nouveau et pourtant, personne n’aurait pu couvrir cette campagne sans nous lire, estime John Harris. Nous étions le média de référence. Nous avons coorganisé deux débats présidentiels », dont un entre Hillary Clinton et Barack Obama.

D’autres versions linguistiques?

« Ils étaient différents, ils étaient bons et ils étaient rapides, résume Trudy Lieberman, journaliste au Columbia Journalism Review, magazine spécialisé dans les médias. Leur succès a forcé leurs concurrents à s’adapter ». « Politico a commencé comme un bateau pirate comme Libé en 1981 », compare Matthew Kaminski. Rapidement, les médias traditionnels réagissent à la montée en puissance de Politico. Ils développent leurs équipes Internet, recrutent des bloggeurs, écrivent plus vite et mettent à jour plus souvent. Ils s’activent aussi sur Twitter. « Progressivement, Politico s’est fait rattraper, analyse Edward Wasserman, directeur de l’école de journalisme de l’Université de Berkeley (Californie). Leur traitement de l’information, qui semblait si unique à l’époque, ne l’est plus tant que ça aujourd’hui ». Politico vient d’ailleurs de connaître une année compliquée, marquée par de nombreux départs. L’une de ses journalistes-vedettes, Maggie Haberman, a ainsi été débauchée par le New York Times. Un coup dur pour la campagne présidentielle de 2016, car Haberman est très bien introduite au sein du camp Clinton. « C’est toujours décevant de voir quelqu’un partir, reconnaît John Harris. Mais je trouve ça gratifiant que nos concurrents recrutent des gens en raison du succès qu’ils ont eu à Politico. Je prends ça comme un compliment ».

Politico compte aujourd’hui plus de 175 journalistes, sur un effectif total de 360 personnes. En 2011, l’entreprise a lancé Politico Pro, une version payante destinée aux professionnels. Pour 8000 dollars en moyenne, les abonnés ont accès à des informations très pointues dans des secteurs aussi variés que l’agriculture, la cyber-sécurité, la défense, la santé ou l’énergie. Une quinzaine de « lettres » professionnelles en tout. Ce service assure la majeure partie des revenus de Politico, qui affirme être rentable, même si ses résultats financiers ne sont pas publics. Le reste du chiffre d’affaires provient essentiellement des publicités de sa version imprimée, diffusée à 35 000 exemplaires dans la région de Washington.

Des recettes que Politico va appliquer à Bruxelles : dans un premier temps, il publiera trois « lettres d’information » payantes (énergie, technologie, santé) et organiser des conférences pour faire rentrer de l’argent. Pour s’assurer une base de données conséquente, il a racheté « European Voice », un hebdomadaire créé en 1995 par The Economist et tombé, en 2012, entre les mains de Shéhérazade Semsar-de Boisséson, fondatrice de Development Institute International. Cela lui assure un fichier de 20.000 abonnés comprenant l’anglais et intéressés par l’information européenne, mais le journal disparait. « On ne vise pas seulement la bulle bruxelloise, mais tous les initiés qui s’intéressent à l’Europe », précise Craig Winneker. « Notre concurrent direct, ce sera le Financial Times », estime Pierre Briançon.

Kaminski n’exclue que d’autres versions linguistiques de Politico.eu voient le jour à terme : « l’anglais est la lingua franca de Bruxelles, mais si ça marche, on ira sur d’autres marchés linguistiques, comme le marché français ». Une perspective qui n’inquiète pas Contexte : « nous avons la même cible, les professionnels des politiques publiques et les passionnés, mais l’arrivée d’un concurrent est toujours une bonne chose, notamment parce que cela valide notre modèle original », se réjouit Jean-Christophe Boulanger. Mais les journaux classiques auront sans doute du souci à se faire…

N.B.: version longue de l’article que j’ai coécrit avec Frédéric Autran, notre correspondant à New York, et qui est paru le 20 avril.

Catégories: Union européenne

Izraeli fegyvereket találtak a terrorsejtnél

Hídfő.ru / Biztonságpolitika - ven, 24/04/2015 - 16:05
Izraeli fegyvereket találtak az Irakban működő terrorszervezet, az ISIS állásainak biztosításakor. A nyugati országok és Izrael fegyverrel, kiképzéssel támogatják a terrorszervezetet.
Catégories: Biztonságpolitika

Kivérzésre játszik az euróövezet Görögországgal

Eurológus - ven, 24/04/2015 - 15:31
Lassan kifogy a pénzből az athéni kormány, lejárt a határidő, és még mindig messze a megegyezés a kisegítésükről.

Drones : une arme précise qui exige un renseignement encore plus précis...

Blog Secret Défense - ven, 24/04/2015 - 15:11
Retour, en vidéo, sur la bavure américaine, le film Good Kill et les Reapers français au Sahel... qui ne peuvent pas décoller sans les Américains
Catégories: Défense

Száz éve kezdődött az örmény népirtás

Posztinfo.hu / Kaukázus - ven, 24/04/2015 - 14:48

Száz éve kezdődött az örmény népirtás.
A történészek becslései szerint az Oszmán birodalom 1,5 millió örményt mészárolhatott le 1915-1917 között. Noha az örménységet számos támadás érte korábban is, az áldozatok száma is jelentős volt, egyértelmű politikai döntés 1915. április 24-én született, Mehmet Talat Bey utasítására megkezdték az örmény közösség deportálását, kivégzését.
Törökország tagadja a népirtás tényét, szerintük a számok elnagyoltak, az áldozatok pedig polgárháborúban vesztették életüket.
A nyugati világ több állama, köztük legutóbb Németország is népirtásként kezeli az eseményeket, Magyarország azonban nem.

Catégories: Oroszország és FÁK

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