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Viktor Orbán l’a réaffirmé lundi devant les députés hongrois : la Hongrie n’a pas l’intention de quitter l’Union européenne, mais de la transformer : «Nous ne voulons pas la quitter, mais nous voulons remédier et améliorer ce que nous avons et ce qui est important pour nous».
Le gouvernement hongrois entend aussi soutenir le projet embryonnaire de création d’une armée européenne, a-t-il affirmé. Dans sa conception, celle-ci serait ne serait pas un outil de puissance extérieure – M. Orbán partageant les positions isolationnistes de Donald Trump – mais serait dédiée à la protection des frontières de l’Europe contre l’immigration illégale.
Une longue partie de son discours a en effet été consacrée au thème de l’immigration et à promouvoir le référendum du 2 octobre s’opposant au plan de répartition de réfugiés défendu par la Commission européenne et plus généralement à la politique migratoire «naïve et dangereuse» de l’Union européenne conduisant, selon lui, à un «désastre civilisationnel».
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Une nouvelle fois, Viktor Orbán a plaidé pour le concept d’Europe des nations : «les fondations de l’Union européenne sont ses États membres et non les institutions de Bruxelles, c’est donc au niveau des États membres que l’Europe doit être renforcée. Donc, la proposition hongroise à Bratislava sera de revenir à l’idée d’une Europe des nations».
Source : Kormany.hu.