Les éléments de la brigade de police judiciaire relevant de la première Sûreté urbaine de Sig ont réussi à neutraliser une bande de malfaiteurs composée de trois individus, dont un mineur, âgés entre 17 et 20 ans, impliqués dans l’agression d’un citoyen dans la ville de Sig suivie de dégradation de biens d’autrui, et ce, suite à une plainte déposée par la victime auprès de la brigade de police judiciaire après avoir subi des violences de la part des suspects qui ont en outre procédé à la dégradation des fenêtres de son domicile familial par jet de pierres.
Une enquête a été ouverte dans l’affaire, à travers laquelle les recherches ont été intensifiées aboutissant à l’arrestation des suspects. Une procédure judiciaire a été instruite à leur encontre, en vertu de laquelle ils ont été présentés devant le parquet du tribunal de Sig qui a placé deux d’entre eux en détention alors que le mineur a été placé au niveau de l’établissement de réhabilitation.
Dans le cadre de leurs efforts en matière de lutte contre le commerce illicite de boissons alcoolisées, les éléments de la brigade de police judiciaire relevant de la Sûreté de daïra de Sig sont parvenus à saisir une quantité de 336 unités de boissons alcoolisées destinées à être revendues de façon illicite, et ce après exploitation de renseignements au sujet de l’activité frauduleuse d’un quinquagénaire utilisant son domicile familial comme local pour se livrer à ce trafic.
Le domicile en question a été perquisitionné, ce qui a permis de mettre la main sur 336 unités, transportées au siège de la Sûreté de daïra. Le suspect demeure en état de fuite dans l’attente de son arrestation et sa présentation devant la justice.
December 12, 2016 (KHARTOUM) - Trial of a college student charged with murder for allegedly killing a police officer during protests at Khartoum University (UofK) in April is scheduled to resume on Wednesday in Khartoum.
Asim Omer Khalifa, who faces charges under article 130 “premeditated murder” of the Criminal Code, is a member of the student chapter of the opposition Sudanese Congress Party (SCoP).
The court of appeals has returned the case file to the Khartoum North criminal court after considering an application for examination by the General Prosecutor's Office against the court's decision to deny appearance of one of the prosecutors before the court and removal of his name from the prosecutors list.
It is noteworthy that the Judge at Khartoum North criminal court last September has prevented some members of the prosecution and defence teams from appearing before the court after they had engaged in sharp verbal altercation inside the courtroom.
In a statement extended to Sudan Tribune on Monday, SCoP said the accused student didn't enjoy the rights stipulated by the Criminal Code throughout the period of his arrest.
“He [the accused] has neither been notified of the charges against him nor has he received a copy of them to exercise his right to appeal. Also, the prosecution repeatedly denied requests from his defense team to meet him, and these are rights guaranteed by the laws and Sudan's 2005 interim constitution,” read the statement.
It added the trial would resume after the accused has spent eight months behind bars, pointing the delayed justice is injustice even if the court acquits the accused.
“We have followed with complete satisfaction the Khartoum North court proceedings which showed clear desire for a fair and speedy trial, however, we are concerned about the delay at the court of appeals and we are confident that no matter how long it takes, the dawn of truth will shine at the end of the long tunnel of injustice” added the statement.
In April, massive demonstrations erupted at the (UofK) following press statements made by some officials about government intentions to transfer the university from its current location and to lease out its premises for investment purposes.
Dozens of students were arrested and others wounded in the protests when the police intervened with tear gas and rubber bullets.
(ST)
Un accident mortel s’est produit à Yennaro, ce dimanche après-midi à 15 heures sur la RN90 reliant la wilaya de Mostaganem à celle de Relizane, quelques minutes avant le passage du cortège de monsieur le wali qui était de retour de la commune de Souaflia où il avait présidé la cérémonie de la fête du mawlid ennabaoui echarif.
Ce drame a eu lieu sur les hauteurs du chemin de Yenarou à quelques 20 kilomètres de Mostaganem centre, quand un véhicule de marque ‘’FAW noire’’, a perdu le contrôle, en percutant un arbre : bilan trois morts et un blessé grave, selon le communiqué de la protection civile, rendu public, hier.
Une enquête a été ouverte par les services compétents pour déterminer les circonstances exactes de cet accident qui aurait été provoqué par l’excès de vitesse et le dépassement dangereux.
December 12, 2016 (KHARTOUM) - Sudanese President Omer al-Bashir on Monday said the civil disobedience wouldn't topple his government stressing he won't hand over the country to those who hide behind the “computer keyboards”.
Groups of activists have launched a wide electronic campaign to mobilize the Sudanese to engage in a civil disobedience action on December 19 th to protest recent government decision to lift fuel, electricity and drug subsidy.
Sudanese opposition forces and armed groups expressed support for the general strike and called upon their affiliates to play an active role to ensure its success.
In his address before a crowd in Sudan's eastern city of Kassala on Monday, al-Bashir said the government wouldn't be overthrown by the “WhatsApp”, pointing he wouldn't hand over the country to the activists who oppose the government via the social media.
“You hear about those who seek to defeat you through the keyboard and the WhatsApp..I won't hand over the country to them, and I say to them: If you want to topple the regime, meet us on the streets, however, we are certain that you won't take to the streets because you are aware of what had occurred in the past,” he said.
In September 2013, over 200 people were killed according to rights groups in the spontaneous popular protests after the announcement of the first austerity plan.
The Sudanese president urged his supporters not to listen to the calls of those who he called the “mercenaries” who want to “sell the country for a few dollars”.
He further pointed to the crowed with his cane saying “Inqaz (salvation) regime is not the government or Omer al-Bashir, it is you”.
“Some said the president has fled the country..I won't flee because I represent the pride and dignity of the Sudanese people.. Sudan is precious,” he added.
It is noteworthy that al-Bashir's speech in Kassala was the first of its kind since the government announced the second austerity plan in November.
The government decision stirred up large protests across Sudan last month. Also, large segments of the Sudanese had engaged in a three-day civil disobedience action from 27 to 29 November.
In an interview with the UAE-based Al Khaleej newspaper on 29 November, al-Bashir said the general strike was a “one million percent failure”, pointing that all residents were keen to go to their workplaces.
(ST)
Les causes probables de cet échec.
Les causes sont multiples et variées, mais visibles. N’importe quel algérien nous dira les tares du système éducatif algérien : c’est des classes surpeuplées, des moyens didactiques limités, des enseignants sans formation pédagogique adéquate, des grèves á répétition et des moyens financiers largement en deçà des besoins des élèves. L’Algérie manque cruellement de stratégies quant à son investissement humain dans l’éducation. Donc il est nul besoin d’être étonné de ce piètre résultat. Les pays asiatiques ont longtemps compris le placement des priorités, et le centre de la carte du monde ne sera plus l’Europe comme il est le cas actuellement mais bien le continent asiatique. Prenons l’exemple du Vietnam, une ancienne colonie française, qui a eu son indépendance bien après l’Algérie et n’a réalisé sa réunification qu’en 1976 après une guerre terriblement meurtrière contre les américains, son système éducatif est classé 8ieme sur 72 pays, dépassant largement la France et les Etats-Unis classés respectivement 26ieme et 25ieme. Les pays asiatiques ont su prioriser les besoins: l’investissement dans le citoyen est pour eux la priorité des priorités. A l’opposé, l’Algérie a investit ou plutôt gaspillé son argent dans le bêton et construction des édifices administratifs non productifs (wilayas, dairas, mairies, agences routières…etc.). La crise est là, elle est douloureuse. L’incompétence aussi ; elle fait des ravages. Qui prendra la relève pour y remédier. Rien ! La matière grise a été sciemment négligée et nous en payons les conséquences.Y a-t-il des remèdes á notre système malade ?
La métastase a tellement fait des dégâts dans tous les parties du corps de l’éducation, qu’il serait difficile á n’importe quel expert de dresser un protocole thérapeutique efficace. Allons-nous donc croiser les bras et regarder notre génération mourir á petit feu ? Bien sûr que non diront les conscients, les optimistes, les éducateurs crédibles, les parents et les élèves eux-mêmes. D’autres nations, en particulier la Chine, la Corée, le Vietnam, le Cambodge, La Malaisie, qui hier, fermaient la liste se trouvent actuellement leaders en matière d’éducation. Il n y a pas une recette miracle mais cela n’empêche pas de faire des suggestions. Tout d’abord il faut : -que nos experts aillent faire un tour chez ces pays et voir ce qui marche chez eux et ce qui ne marche pas chez nous afin de faire des ajustements nécessaires ; -que le budget de l’éducation soit revu à la hausse en le plaçant à la première priorité des investissements de l’Etat ; crise ou pas, il y a urgence ; – que les curriculums ou les programmes soient revus et adaptés aux exigences scientifiques modernes en introduisant des équipements didactiques adéquats; -que la formation des enseignants en pédagogique soit le top des priorités pour assurer un enseignement de qualité ; -que l’approche pédagogique soit plus axée sur la réflexion, le raisonnement, et la résolution des problèmes que sur l’absorbation des connaissances que les étudiants doivent vomir lors des examens ; -que les classes soient allégées pour réduire le surpeuplement. Le nombre de 25 élèves par classe serait l’idéal pour transmettre le savoir dans des conditions convenables à la fois pour l’élève et pour l’enseignant; -que les salaires des enseignants soient revus à la hausse pour booster la motivation des enseignants et réduire l’absentéisme. Un pays qui paye bien ses enseignants génère une éducation de qualité. Un enseignant á Singapour, en Allemagne, au Canada, en Suisse en Finlande est payé autant qu’un ingénieur en aéronautique même dans les périodes de vaches maigres. En contrepartie, la direction de l’éducation sera plus exigeante en termes de rendement ; -que le système scolaire soit plus équitable. Les élèves en difficultés scolaires (troubles d’apprentissage, troubles de développement, l’hyperactivité, autisme, défiance á l’autorité, troubles de langage…etc) ont besoin d’être pris en charge en développant des programmes spéciaux et individualisés selon le type de difficulté en y associant des psychopédagogues bien formés et des éducateurs de la petite enfance spécialisés; – que le curriculum au niveau secondaire soit organisé suivant le model anglo-saxon ; c’est-à-dire en modules comme á l’université et non en programmes comme le cas actuellement. Ainsi l’étudiant aura le choix des cours selon ses points forts et ses intérêts professionnels dans le cursus postsecondaire. La transition secondaire-université sera plus facile et moins problématique pour l’étudiant de première année universitaire. -que le mode d’examen du baccalauréat soit reformé en le replaçant par des examens finaux dont les résultats seront cumulés avec ceux des examens de contrôle continu. Il est aberrant d’évaluer un élève sur ce qu’il produit en 5 jours en négligeant tout l’effort qui l’aurait produit durant toute l’année. Cela serait plus juste et réduirait en conséquence le niveau de stress, de l’anxiété, et la dépression qui a causé pas mal de suicides après l’annonce des résultats de baccalauréat. Enfin voila quelques suggestions tirées de ma modeste expérience professionnelle dans le domaine car les raisons d’un échec sont nombreuses et les méthodes de redressement aussi. Mais il y a une chose qu’il faut savoir : un peuple sans éducation est un peuple condamné á vivre dans le sous-développement. Le peuple algérien ne mérite pas ça.Huit (08) personnes sont mortes et quatre autres ont été blessées, dans 6 accidents de la route, durant deux jours, à travers le territoire national, selon un bilan de la Protection civile rendu public dimanche.
Le bilan le plus lourd a été enregistré au niveau de la wilaya de Blida, avec 4 personnes décédées et une autre blessée, suite à trois accidents de la circulation, a précisé la même source.
Le premier accident a eu lieu sur la RN n°01, dans la commune de Chiffa (daïra de Mouzaïa), suite à une collision entre un véhicule léger et un camion faisant deux morts et le 2ème accident a lieu sur la RN n°01, dans la commune et daïra de Boufarik, suite à un dérapage d’une motocyclette, percutant une camionnette, qui a causé le décès d’une (01) personne et une autre blessée.
Le 3ème accident a eu lieu sur la RN n°08 au lieudit Tabarent, dans la commune et daïra de Larbaâ, causant la mort d’une personne, heurtée par un véhicule léger.
By Tesfa-Alem Tekle
December 12, 2016 (ADDIS ABABA) – A diplomat from the opposition faction of the South Sudan Peoples Liberation Movement (SPLM-IO) on Monday called on the regional bloc IGAD member states and the world not to turn a blind eye on the atrocities allegedly committed by President Salva Kiir led regime in Juba.
In an email exchange with Sudan Tribune, Miyong Kuon SPLM-IO representative to UN in New York alleged that government sponsored wide ranging atrocities are being carried out in Equatoria state and else where in the country.
However he said the international community has given little attention and urged to the international body to launch probe into it.
The two rival SPLM factions signed peace deal in 2015 however commitment to implement it has become a major challenge leading for continued fighting and suffering of the people.
“The ARCISS has been hijacked and abrogated by the regime,” Kuon said adding “We have nothing left there to implement unless an inclusive approach is taken and the 4,000 force allowed in Juba is deployed”.
The Opposition official further urged the international community to condemn the forceful removal of Norwegian Refugee Council (NRC) humanitarian chief out of the country.
The NRC he said had been instrumental in providing humanitarian aid and in saving the lives in South Sudan since 2004.
“Removing its chief out of the country is another tool used by the regime to increase the suffering of the people affected by war,” Kuon added.
Meanwhile the office of SPLM IO Deputy Representative to the United Republic of Tanzania commended Ethiopian Prime minister, Hailemarian Desalegn for calling on his counter-parts to have the IGAD head of states meeting to address issues of peace and stability in the region with South Sudan and Somalia on top of the Agenda.
In a statement extended to Sudan Tribune the Tanzania mission office welcomed the decision of the IGAD head of states to revive the August peace agreement.
“It is the only way to ending the suffering of our people and bring about peace, stability and prosperity to our country and people,” it said.
It said any peace implementation that excluded opposition leader, Riek Machar won't bring durable peace and stability in South Sudan.
SPLM/A IO Deputy Representative to the United Republic of Tanzania, Peter O. Kleto said there is a tendency by a small clique in Juba to remain in power at all cost at the expense of the suffering of masses.
The group further opposed a remark made by government official who said the transitional government is more harmonious after the Departure of Riek Machar from Juba.
“This statement is unfounded and false concocted to mislead South Sudanese and the world,” Kleto said.
Instead the opposition official added that the security and economic conditions has become worse after Machar was chase away from Juba.
He urged the leaders of IGAD, AU and the wider international community to put pressure on President Kiir to accept a “genuine peace”.
(ST)
Le prix des droits de l’Homme de la Commission nationale consultative pour la promotion et la protection des droits de l’Homme (CNCPPDH) a été décerné cette année au diplomate algérien Lakhdar Brahimi.
Cette distinction intervient dans le cadre de la célébration du 68ème anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’Homme qui coïncide avec l’année africaine des droits de l’Homme qui dure tout au long de l’année 2016.
Sur ce sujet, Lakhdar Brahimi a affirmé que la situation des droits de l’Homme en Algérie était « en amélioration constante », mais « insuffisante », ajoutant qu’aucun pays dans le monde ne peut prétendre la perfection en matière des droits de l’Homme.
« Je ne pense pas qu’il y ait en Algérie quelqu’un pour prétendre que la situation des droits de l’Homme est exemplaire, mais force est de constater qu’elle est en amélioration constante et il faut poursuivre les efforts pour parvenir à cet objectif », a déclaré M. Brahimi en marge de sa distinction par la Commission nationale consultative pour la promotion et la protection des droits de l’Homme (CNCPPDH) qui lui a remis le Prix des droits de l’Homme dans sa troisième édition.
« Ce qui a été réalisé en Algérie depuis l’indépendance est une fierté pour tous les Algériens, mais l’Etat tout aussi que le citoyen doivent œuvrer à la promotion de ce volet « , a ajouté M. Brahimi. Reprenant une citation du président cubain Raoul Kastro affirmant que la garantie des droits de l’Homme nécessite pas moins de 62 critères, il a indiqué qu' »aucun pays dans le monde ne réunit toutes ces conditions ».
Evoquant l’action de la Cour pénale internationale (CPI), dont il a déploré le rôle réduit, M. Brahimi a réitéré sa foi en la justice internationale et rappelé son enthousiasme lors de la création de cette instance en 1992, ajoutant qu’aujourd’hui, il doute fortement en sa viabilité. Ce constat, il l’explique par le retrait de grands pays comme la Chine, l’Inde, les Etats unis et la Russie.
December 12, 2016 (JUBA) – Head of South Sudan football association, Chubar Goc, reversed earlier announcement to quit over accusation of fraud, insisting he will not handover office on arrival to Juba on Monday.
South Sudan Football Association suspended Chubar over a week ago when an auditing company found transfer of $400,000 from SSFA's account to a private bank account in 2015. Chubar, according to the Kenyan auditing firm (KPMG) “borrowed” $12,000 from SSFA without the knowledge of the association's board members. The football body in Juba called for independent investigation after lifting his immunity.
In a post on social media site, Facebook, Chubar, said on December 2 that he will return to Juba and hand over office to his deputy and acting chairman of SSFA, Andrea Abdalla.
But speaking to reporters on arrival to Juba on Monday, Chubar refused to give handover the office.
“There is no any handover of anything. I'm till now the president of the [South Sudan Football] federation,” he said when asked by reporters in Juba.
Chubar declined to take more questions from reporters.
World football governing body, FIFA, reportedly suspended financial support to SSFA over financial mismanagement.
Football is popular in South Sudan and the national team made headline in 2015 for wining some games in the qualification for the African tournament 2017. The South Sudanese team, however, recorded more defeats and was knocked out of the qualifiers.
(ST)
La Cour d’Alger examinera, le 15 janvier prochain, l’appel relatif à l’affaire du baron de la drogue, dit « Oussama Escobar », poursuivi pour « évasion de la prison d’El Harrach et d’autres affaires liées au trafic de drogue », a-t-on appris dimanche auprès de la Cour d’Alger.
Le tribunal de Première Instance d’El-Harrach avait prononcé en octobre dernier des peines allant de l’acquittement à 5 ans de prison ferme, à l’encontre du baron de la drogue évadé et de 18 autres inculpés dont son avocate. Les accusés sont poursuivis notamment pour les chefs d’inculpation de « constitution d’association de malfaiteurs, complicité et assistance à un détenu dans son évasion et corruption ».
Le principal accusé, H. Oussama, âgé de 27 ans, avait été condamné à 5 ans de prison ferme assortie d’une amende de 100.000 dinars pour association de malfaiteurs et évasion de prison. Le tribunal avait condamné également son avocate » Zahira accusée de complicité d’évasion à 5 ans de prison ferme. Lors de son procès, le baron de la drogue avait donné tous les détails sur l’opération de son évasion, avec la complicité de son ami Ferhat, de son avocate et de gardiens de la prison.
L’Agence de régulation des hydrocarbures (Alnaft) a été chargée par le ministère de l’Energie d’appliquer la décision de réduction de la production pétrolière du pays dans le cadre de la mise en oeuvre de l’accord d’Alger de limitation de la production Opep, apprend-on auprès de ce ministère.
« Par instruction du 11 décembre 2016, le ministre de l’Energie a instruit l’Agence de régulation des hydrocarbures (Alnaft) de faire procéder par les contractants de gisements d’hydrocarbures liquides à une réduction totale de leur production d’hydrocarbures liquides de 50.000 barils par jour à répartir équitablement entre tous les contractants, et ce, à compter du 1er janvier 2017 pour une première période de 6 mois. Cette période pourrait être reconductible », indique lundi le ministère de l’Energie.
Pour rappel, l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) avait décidé, le 30 novembre dernier à Vienne, de réduire sa production de pétrole d’environ 1,2 million de barils par jour (mbj) à 32,5 mbj à partir du 1er janvier 2017, en approbation de la proposition algérienne pour mettre en oeuvre l’accord d’Alger.
Samedi dernier à Vienne, onze pays producteurs non-membres de l’Opep se sont également engagés, lors d’une réunion avec les membres de cette organisation, à réduire leur production d’environ 558.000 barils/jour à compter du 1er janvier 2017.
L’Opep et les onze producteurs non membres ont ainsi conclu un accord, le premier du genre depuis une quinzaine d’années, pour agir ensemble en réduisant leur production d’un total avoisinant 1,8 mbj à partir de janvier 2017.
Les onze pays hors-Opep qui se sont engagés à cette décision sont l’Azerbaïdjan, Brunei, Bahreïn, Guinée équatoriale, Kazakhstan, Malaisie, Mexique, Oman, Russie, Soudan et Sud Soudan.
Un Comité ministériel de suivi de l’accord du 30 novembre se dotera bientôt d’un mode de fonctionnement et de mécanismes pour suivre la mise en oeuvre de l’accord.
Composé de représentants de l’Algérie, du Koweït et du Venezuela et de deux représentants de pays non-Opep (Russie et Oman), ce Comité se réunira dans les jours à venir pour finaliser les modalités de son fonctionnement.
Les services de la Protection civile de la wilaya d’Alger ont enregistré dans la nuit de dimanche 18h à lundi 8h, six incendies dans différentes communes d’Alger causés par les produits pyrotechniques utilisés à l’occasion du Mawlid Ennabaoui, a indiqué le chargé d’information auprès de ces services, le lieutenant Khaled Benkhalfallah.
Le lieutenant Khaled Benkhalfallah a précisé à l’APS que « ces incendies causés par les produits pyrotechniques ont éclaté au niveau de certains balcons et cours de maisons dans différentes communes de la capitale (Birtouta, Belfort (El Harrach), Bab El Oued) et dans un hangar de fabrication de poteries aux Eucalyptus », a-t-il indiqué précisant « que ces derniers n’ont fait aucune victime ».
Dans la commune de Staoueli, un enfant de 11 ans blessé par ces produits dangereux a été évacué par les services de la Protection civile à l’hôpital de Beni Messous.
Concernant les accidents de la route, les mêmes services ont enregistré dimanche soir (22h 8mn) un accident de la circulation au niveau de l’autoroute Alger est-Dar El Beida, « qui a coûté la vie à un passant (Bouasla Hocine Benbachir) ».