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Die Chronologie eines Anschlags: So verlief die Todesfahrt von Berlin

Blick.ch - mar, 20/12/2016 - 11:14

Am Nachmittag verliert der Chef eines polnischen Chauffeurs den Kontakt zu seinem LKW-Fahrer – gegen 20 Uhr rast der Sattelschlepper durch eine Gasse im Weihnachtsmarkt. So geschah der Terror-Anschlag.

Um 16.00 Uhr hat Ariel Zurawski, der Besitzer der polnischen Speditionsfirma Uslugi Transportowe ARIEL Zurawski, zum letzten Mal Kontakt mit seinem Cousin, der den Scania-Sattelschlepper von Italien nach Berlin gefahren hat.

Der Fahrer erzählt dem Chef, dass er den mit Stahlträgern beladenen LWK in der Nähe der zu beliefernden Firma geparkt habe. Der Plan: Am Dienstagmorgen soll er entladen werden.

In den nächsten Stunden wird der Motor mehrmals gezündet: Laut den GPS-Daten, die der Speditionschef schon ausgewertet und veröffentlicht hat, hat jemand den Laster um 15.44 Uhr und dann um 16.52 Uhr sowie um 17.37 Uhr gestartet. Das Fahrzeug fährt zu diesem Zeitpunkt aber nicht los.

Erst um 19.34 Uhr bricht der Scania-Sattelschlepper zur Todesfahrt auf. Der Lastwagen nähert sich dem Weihnachtsmarkt auf dem Breitscheid-Platz vor der Gedächtniskirche, er fährt über die Herdenbergstrasse oder Kantstrasse aus westlicher Richtung (siehe Karte).

Wenig später biegt er ab und fährt durch eine Gasse des Weihnachtsmarkts. Er rast zwischen 50 und 80 Meter zwischen den Ständen hindurch – gemäss Polizei mit «erheblicher Geschwindigkeit» – und kommt auf der Budapester Strasse zum Stehen. Um 20.07 Uhr wird die Feuerwehr alarmiert.

Der Weihnachtsmarkt befindet sich bei der Gedächtniskirche auf dem Breitscheidplatz in Berlin-Charlottenburg. Es ist einer der grössten und beliebtesten der Stadt und wird auch von vielen Touristen besucht.

Der Täter, mutmasslich ein vor einem Jahr nach Deutschland geflüchteter Pakistani (23), flüchtet. Die Polizei nimmt später bei der Siegessäule im Tiergarten einen Verdächtigen fest. Um 21.40 Uhr meldet die Polizei die Verhaftung und den Tod des polnischen Beifahrers. (rey)

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Ils partent travailler en Algérie, à Dubaï et en Angleterre – Emploi en France : des Franco-Algériens fuient la discrimination

Algérie 360 - mar, 20/12/2016 - 11:14

Un rapport commandé par le ministère du Travail vient de révéler qu’une entreprise française sur trois refuse d’employer des diplômés maghrébins. Les cadres déjà en poste sont victimes, quant à eux, du plafond de verre.

Il y avait foule au Salon du recrutement organisé le 10 décembre dernier, par le cabinet International Talent Network, dans les locaux de l’École supérieure du commerce (ESCP Paris). Un peu moins d’un millier de candidats ont fait le déplacement. La plupart sont de jeunes franco-algériens, en quête de nouvelles perspectives professionnelles, sur l’autre rive de la Méditerranée. Dans le lot, on comptait de nombreux parisiens et des provinciaux, qui se sont informés de la tenue du salon, par le biais de relais associatifs, comme l’Ecaf (Étudiants et cadres algériens de France).
Selon l’organisatrice, Amina Kara, l’affluence a été exceptionnellement importante cette année en comparaison avec les trois éditions précédentes. “Les profils sont différents. Beaucoup sont des primo-demandeurs d’emploi alors que d’autres sont des cadres confirmés. On aurait pu comprendre que les détenteurs de CDI (un sésame en Hexagone) ne soient pas intéressés par une carrière en Algérie. Mais ce n’est pas vrai”, révèle la directrice d’International Talent Network. Elle cite le cas d’une jeune fille, employée depuis deux ans dans une grande société de consulting parisienne. Avec ses diplômes pour bagage, elle envisage de tenter la traversée et une nouvelle aventure professionnelle, à Alger, la ville natale de ses parents. “Au-delà de la sécurité de l’emploi, elle veut surtout évoluer dans son métier et contourner les obstacles qui freinent actuellement la réalisation de ses ambitions”, explique Amina Kara.
Elle-même avoue avoir été victime du plafond de verre lorsqu’elle était employée chez Airbus, en France. Sa carrière dans la communication a pris son envol uniquement lorsqu’elle a été mutée en Allemagne.
Outre-Rhin, ses supérieurs n’ont pas fait peser ses origines maghrébines dans la balance avant de lui confier le poste de communication manager, dans une grande filiale d’ingénierie qui compte 600 salariés. Amir, diplômé en finances à Paris, a vu toutes les portes s’ouvrir aussi, lorsqu’il a traversé la Manche en 2013, direction la City de Londres. Son nom n’a pas fait entrave à son recrutement dans une société de courtage. Les qualifications contenues dans son CV, ont amplement suffi à faire valider sa candidature. Quand il peut, le jeune homme revient dans la banlieue parisienne voir ses parents. Mais un retour définitif en France ne le tente pas du tout. “J’ai l’impression que la situation empire. Le racisme est plus apparent”, dit-il.
Son constat vient d’ailleurs d’être confirmé par les résultats d’une enquête commandée par le ministère du Travail sur “les discriminations à l’embauche selon les origines”. Des tests effectués sur une quarantaine de grandes entreprises il y a quelques mois, ont révélé qu’un tiers rejette, lors des opérations de recrutement, les profils maghrébins, en se basant uniquement sur leurs noms. Hélas, ce n’est pas la première fois que ce genre de conclusion est avancé. En mars dernier, l’Institut national des études démographiques (Ined) affirmait que le chômage touchait plus particulièrement les descendants d’immigrés maghrébins.
Cette situation est illustrée par le cas particulier, d’une jeune ingénieure d’origine algérienne, qui a défrayé la chronique, il y a quelque temps, en décidant d’attaquer aux prudhommes (juridiction spécialisée dans les contentieux professionnels), l’électricien Edef pour avoir refusé de la recruter, alors que ses compétences correspondaient parfaitement au poste proposé. Dans une émission de la chaîne Arte, Bouchra Azouz, présidente de l’association Ateliers du féminisme populaire, vient de révéler que son frère aîné, docteur en physique, n’a pas trouvé d’emploi en France alors qu’un laboratoire américain a donné son nom à un procédé qu’il a lui-même élaboré. Pour lutter contre la ségrégation des maghrébins à l’embauche, le gouvernement français a, par le passé, suggéré des solutions, comme le CV anonyme. Mais ses démarches sont restées infructueuses. Le climat d’islamophobie qui s’est emparé du pays, à la suite des différents attentats djihadistes, compromet davantage l’arrivée des enfants d’immigrés sur le marché de l’emploi.
Ceux qui ont finalement trouvé du travail ne sont pas toujours plus heureux. “Il y a beaucoup de mal être”, insiste Amina Kara, en donnant l’exemple de ce directeur de communication digitale franco-algérien qui souhaite tout quitter pour aller travailler en Algérie.
Dans le pays de leurs parents ou de leurs grands-parents, les candidats à l’exode professionnel espèrent tout bonnement se fondre dans la masse et ne plus devoir subir, quelquefois au quotidien, des regards de plus en plus pesants. “Il y a certes beaucoup moins de loisirs en Algérie. Mais ceux qui y sont n’ont pas à se plaindre. Encore très jeunes, des cadres expatriés peuvent prétendre à des salaires qu’ils n’auraient jamais eus à leur âge, en France. Ils ont en outre la chance de voir leur carrière évoluer très rapidement”, explique la patronne d’International Talent Network. Pour les mêmes motifs ou presque, d’autres Franco-Algériens ont choisi de s’exiler dans les pays du Golfe, plus précisément à Dubai, le nouvel eldorado des expatriés du monde entier.
Vus comme des enfants d’immigrés en France, les jeunes Franco-Algériens ambitionnent d’être, une fois sur place, les ambassadeurs de la French Touch. Raya, une jeune diplômée en langue anglaise qui a choisi de porter le voile, pense sérieusement à franchir le pas, en dépit de l’hésitation de ses parents. “Là-bas au moins, j’aurai la possibilité d’afficher ma croyance sans avoir peur d’être traitée d’extrémiste”, confie la jeune fille. Comme d’autres candidats, elle aspire aussi à gagner beaucoup d’argent. Mais est-ce toujours le cas ? Selon Amina Kara, Dubai est un prisme de paillettes qui attire les jeunes Maghrébins et les déçoit. “Les conditions d’employabilité sont très difficiles. Il arrive que les passeports soient retirés à leurs propriétaires. Par ailleurs quand bien même les salaires seraient mirobolants, la vie est si chère qu’il est quasiment impossible de faire des économies”, fait-elle savoir.

S. L.-K.

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BLICK zur Trainerentlassung in Lugano: Das ist stillos, Herr Renzetti

Blick.ch - mar, 20/12/2016 - 11:12

Mitten in den Weihnachtsferien gibt Renzetti seinem Trainer telefonisch den Schuh. Weniger Stil geht nicht. Ein Kommentar von Michael Wegmann, stellvertretender BLICK-Fussball-Chef.

Nicht er sei es, der den Trainer entlasse, pflegt der Walliser Trainerfresser Christian Constantin zu sagen, «der Totomat tut es.» Am Montag wird im Tessin Lugano-Coach Andrea Manzo entlassen. Ist der Italiener nach zuletzt 10 sieglosen Spielen in Serie ein Opfer des Totomats?

Nein! Lugano überwintert mit 18 Punkten auf Platz 8. Auf demselben Platz und nur mit einen Punkt weniger als unter Trainer-Guru Zdeněk Zeman vor einem Jahr.

Manzo musste zudem im Vergleich zu seinem Vorgänger unter erschwerten Bedingungen arbeiten. Die besten Skorer der letzten Saison standen ihm gar nicht zur Verfügung. Culina (10 Tore) ist verletzt. Bottani (9) ist bei Wil. Und seit Ende Oktober fehlt mit Sabbatini auch noch der Chef im Mittelfeld. Und er musste krasse Fehlentscheide verdauen. Wie Anfang November beim 2:3 gegen St. Gallen, als Schiri Klossner einen Penalty für die Tessiner übersieht, auf der Gegenseite einen erfindet.

Hat sich also das Schicksal gegen Manzo verschworen? Nein, hat es nicht. Es war Angelo Renzetti. Der Lugano-Präsident neigt dazu, seine Angestellten öffentlich und teils auch stillos zu kritisieren. «Tosetti ist stark – vom Gürtel abwärts!», sagte er letzte Saison über einen seiner Spieler.

Über Trainer Manzo sagte Renzetti letzten Samstag: «Es fehlt ihm an Persönlichkeit, Autorität und Erfahrung auf dieser Ebene.» Da fragt man sich, warum er Nachwuchstrainer Manzo im Sommer überhaupt verpflichtet hat.

Vor den letzten beiden Spielen vor der Winterpause setzte er dem Trainer ein Ultimatum: Verliert sie Manzo, fliegt er! Die Spieler stehen geschlossen hinter dem Trainer, kämpfen für ihn. Auch bei den Fans ist der aufgeschlossene Italiener beliebt. Manzos Endspiele enden unentschieden.

Geflogen ist Manzo nun trotzdem! Nicht etwa nach dem letzten Spiel, sondern erst acht Tage später, fünf Tage vor Heiligabend. Mitten in den Weihnachtsferien gibt Renzetti seinem Trainer telefonisch den Schuh. Weniger Stil geht nicht.

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Le Tassili N’ahaggar toujours inaccessible aux touristes étrangers: Les tour-opérateurs face au blocus

Algérie 360 - mar, 20/12/2016 - 11:11

La région de Tamanrasset place beaucoup d’espoirs dans les nouvelles mesures annoncées pour relancer le tourisme saharien, alors que l’économie locale est toujours paralysée, après six ans de crise.

Évoquer la situation du tourisme à Tamanrasset aboutit inévitablement à une impasse et permet d’ouvrir une parenthèse sur de sérieux problèmes ayant complètement paralysé ce secteur névralgique dans le Sud. Un secteur qui s’embourbe davantage dans d’innombrables difficultés sans, semble-t-il, inquiéter les décideurs, toujours préoccupés par “la comptabilité du pétrodollar”, ou ce que considèrent les tour-opérateurs de la région comme “commun malheur”.
Pays mono-exportateur, l’Algérie tire des hydrocarbures 98% de ses revenus en devises. Mais la chute vertigineuse du dollar s’est négativement répercutée sur l’économie nationale. La relance du tourisme saharien s’impose ainsi comme palliatif à l’aune de la baisse des revenus du pétrole. Dans les discours officiels, on affirme vouloir mettre le paquet sur cet autre secteur stratégique. Lors d’une réunion avec les tour-opérateurs en novembre dernier à Tamanrasset, le ministre de l’Aménagement du territoire, du Tourisme et de l’Artisanat a ainsi annoncé une batterie de mesures. La révision des lois régissant les agences de tourisme et de voyages, l’installation d’une commission mixte pour étudier la possibilité d’alléger les procédures d’octroi des visas aux touristes étrangers et l’ouverture des circuits touristiques fermés dans l’Ahaggar ont été, entre autres, les engagements pris par le représentant du gouvernement pour relancer le tourisme saharien. “Je ne suis pas venu pour faire de fausses promesses, mais pour faire une évaluation exhaustive et objective de ce secteur en coordination avec ses véritables acteurs. Nous œuvrons pour l’amendement de la réglementation liée à la gestion des agences de voyages à l’effet de mettre un terme à la bureaucratie dont souffrent nos opérateurs”, a-t-il déclaré.
Un grain d’espoir pour les acteurs du tourisme qui se disent “sinistrés”. Rappelons que depuis 2010, année de l’interdiction du Tassili du Hoggar aux touristes étrangers en raison de la crise sécuritaire prévalant à la frontière algéro-malienne, le tourisme saharien a connu une succession de crises au moment où les responsables du secteur distillent des chiffres en trompe-l’œil pour dissimuler l’échec des dispositifs mis en place pour sauver un secteur à l’agonie.
Les tour-opérateurs de la capitale de l’Ahaggar, Tamanrasset, disent leur ras-le-bol du mutisme des autorités compétentes, incapables de répondre à la crise que subit le secteur depuis six longues années et rappellent désespérément que bon nombre de responsables d’agences touristiques ont, après avoir fait banqueroute, mis la clé sous le paillasson.
Lourdeurs bureaucratiques Selon les chiffres en notre possession, 14 agences, affectées par la crise, ont changé d’activité. Le nombre qui était de 86 agences de voyages a été réduit à 72, indique-t-on à la direction locale du tourisme et de l’artisanat. “Il est vrai que la dégradation de la situation sécuritaire à nos frontières, depuis le début de la crise malienne, a sérieusement compromis le secteur à Tamanrasset, toutefois l’arrêt de l’activité touristique est dû en partie aux traditions bureaucratiques imposées par l’administration, notamment en ce qui concerne les demandes de visa et l’interdiction inexpliquée des sites aux touristes étrangers”, maugrée un représentant de l’association des agences de voyages de Tamanrasset.
“Malgré les assurances des services de sécurité et les engagements du ministère de tutelle quant à l’ouverture des sites fermés, le touriste se trouve empêtré toujours dans des formalités inextricables. Il faut savoir que la demande de visa passe impérativement par la direction du tourisme, puis par le conseil de sécurité de la wilaya, avant qu’elle n’atterrisse sur le bureau du ministère de tutelle qui prendra attache avec le ministère des Affaires étrangères qui, de son côté, informera les représentations diplomatiques. C’est trop ! Nombre de touristes étrangers ont renoncé à leur voyage vers l’Algérie optant pour d’autres destinations beaucoup moins attractives à cause de ces mesures désobligeantes”, se désole-t-il.

Six ans de marasme et de disette
Hormis les quelques agences qui ont pu maintenir un semblant d’activité en accueillant sporadiquement des touristes nationaux, 60 autres agences risquent de renouer avec l’hydre du chômage.
Des restaurateurs aux guides, en passant par les chauffeurs et les chameliers ou les commerçants, toutes les activités liées au tourisme sont touchées et cela affecte l’ensemble de l’économie locale. Nasreddine Mohamed Ben Abdellah, artisan, raconte avec amertume les difficultés rencontrées avec la baisse du flux touristique.
“Destination inévitable des touristes, la coopérative de l’artisanat Assaghane d’Assoro Lam3almine (quartier situé à quelques encablures de la ville de Tamanrasset), est presque déserte aujourd’hui. Une sérieuse menace sur les petits métiers, notamment le travail du cuir qui tend à disparaître. L’avenir de l’artisanat à Tamanrasset est incertain, notamment avec les mesures d’austérités prises par le pouvoir en place et le blocage du fond destiné aux artisans. Le tourisme international est notre seul espoir”,  nous dit Nasreddine. Et de renchérir : “Le Sahara ne se prête pas à un tourisme de masse et ses adeptes savent pertinemment comment s’y adapter et se mettre en symbiose avec lui. Il est donc préjudiciable de ne pouvoir plus jouir des richesses du patrimoine de notre pays aux dépens de l’éphémère rente pétrolière.”

Faites-nous confiance !
Asphyxiés, les tour-opérateurs interpellent les autorités. “Il faut nous faire confiance. Sans la confiance on n’avancera pas. Nous avons l’expérience et nous savons que quand on travaille dans un cadre organisé, il n’y aura jamais de problèmes”, estime le responsable de l’agence Akar Akar, Zounga Mohamed, en précisant que l’économie locale est particulièrement basée sur les recettes générées par le tourisme.
“En 2008, on recevait entre 1500 à 2000 touristes par semaine. Tout le monde travaillait avec cette clientèle. Depuis la crise, 60% des jeunes sont au chômage”, se lamente-t-il.  Les 72  agences actives dans la wilaya de Tamanrasset assurent chacune un salaire mensuel à plus de 50 employés.  Le secteur, moteur principal de l’économie locale, contribuait par le passé à hauteur de 70% des revenus de cette collectivité. Les professionnels recommandent des mesures à même de hisser le tourisme à un niveau qui soit à la hauteur des potentialités de la région. La capitale de la légendaire reine des Touareg,Tin Hinan, tente, tant bien que mal, de maintenir une dynamique touristique en abritant des manifestations culturelles annuelles, dont le Festival international des arts de l’Ahaggar ou encore les Ziara (fêtes religieuses) de Tazrouk et d’Adagh Mouly.
En attendant des mesures incitatives pour faire revenir les touristes étrangers et réanimer derechef ces régions sahariennes qui regorgent de sites exceptionnels comme l’Assekrem, le Tifedest ou le Tassili n’Ahaggar classé au patrimoine mondial de l’Unesco.

Catégories: Afrique

Green bonds: taking off the rose-coloured glasses

In light of the recent global climate agreement, the Paris Agreement, which came into force in November 2016, there is an urgent need to mobilise additional funds for environmentally sustainable investments and to direct financial flows from “brown”, that is, environmentally damaging, to “green” investment. Public officials, investors and the media have hailed green bonds as a key instrument for achieving both. But what are green bonds, and how realistic are assessments of their potential to contribute to financing sustainable development, notably by financing sustainable investments that would not be financed otherwise? Green bonds are debt instruments to finance environmentally sustainable investments. Although the green bond market began to grow only slowly after the onset of the global financial crisis in 2008, the market has seen explosive growth since 2014, with issuances in 2015 reaching USD 42 billion. Since the 2014 ”take-off”, the expectations with respect to the potential of green bonds have further increased. A number of factors make green bonds appealing for investors. Compared to other green instruments, green bonds are in many cases relatively simple, familiar fixed-income instruments. Moreover, many investors increasing­ly weigh the risks related to carbon-intensive investments when designing investment portfolios. Green bonds are also attractive for groups of investors who wish to make an environmental impact. Finally, in particular the green bonds issued by international financial institutions or large corporations usually have enough scale to be attractive to institutional investors. There are, however, also a number of challenges in relation to green bonds. These include: first, deficiencies of the governance framework of the green bond market; second, the significant costs associated with labelling a bond “green”; and third, the weakly developed pipeline for green projects in which the proceeds from the bonds could be invested. In the context of developing and emerging countries, green bonds face additional limitations. In particular, weakly developed capital markets and low credit ratings for potential green bond issuers pose obstacles to the issuance of green bonds. Moreover, green bonds have rarely been issued to mobilise additional climate finance. An important way to address these challenges and to realise the potential of green bonds to finance sustainable development is the design of an appropriate governance framework. Only then can the green bond market mature with integrity. An improved governance framework should be based upon a clear and ambitious definition of green bonds and include regular reporting, monitoring and evaluation of the compliance with standards, going beyond industry self-regulation. It will also be important to take measures to enhance the inclusiveness of governance and to share information among various stakeholders. Governments and multilateral development banks (MDBs) may play an important role in deepening bond markets by reducing the costs of issuance, which is an important precondition for the ability of green bonds to mobilise additional financing. Each of these measures will help to increase confidence in the green bond market. Without such confidence, it will be difficult for green bonds to meet the expectation to mobilise additional funds for environmentally sustainable investments and to direct financial flows from brown to green investments.

Ouverture des 1res rencotres cinématographiques de Hassi Messaoud: Les stars arabes investissent le Sud algérien

Algérie 360 - mar, 20/12/2016 - 11:08

Lors de l’inauguration de cette édition qui se tient jusqu’au 22 décembre à la salle du 5-Juillet de la base GTP, plusieurs artistes algériens et arabes ont été honorés. Au bonheur du public et des réalisateurs, Ahmed Rachedi a exposé le fameux oscar obtenu en 1969 pour le film Z.

La ville de Hassi Messaoud a brillé, dimanche, sous les feux des projecteurs lors de la soirée d’ouverture des premières rencontres cinématographiques dédiées aux films arabes présélectionnés aux oscars 2017. Les organisateurs, un groupe d’hommes d’affaires de la région en collaboration avec l’association Lumières, ont tout mis en œuvre pour la réussite de cet évènement culturel, premier du genre dans la wilaya d’Ouargla.

Pour cette édition, l’évènement a été préparé en grande pompe à la salle du 5-Juillet (base GTP), entre exposition d’affiches de films et photos de grandes célébrités algériennes et arabes. Dans une ambiance folklorique (musique, baroud et chameaux), les stars du petit et grand écran algérien étaient présentes, à l’instar de la comédienne Chafia Boudraa. Les célébrités arabes aussi étaient au rendez-vous, à l’exemple de l’actrice syrienne Susanne Nedjemeddine, Tarek Abdelaziz, Lotfi Abdeli et Khaled Abu Naga. Après le rituel des photos sur le “red carpet”, la soirée pouvait commencer, avec au programme plusieurs hommages et la projection du court métrage tunisien Ghasra de Jamil Najjar.
Dans son allocution, le coordinateur de l’évènement, le comédien Hassen Benzerari s’est dit “être très fier de voir le secteur privé investir dans le cinéma. Ces rencontres représentent une nouvelle étape dans l’univers culturel algérien”, tout en ajoutant : “Je souhaite aussi que les opérateurs économiques investissent dans la production cinématographique. J’espère que cette initiative sera un exemple dans tout le territoire national.” Pour sa part, le ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi, estime que cette entreprise de la part de ces hommes d’affaires est “un grand pas dans le secteur culturel. On constate à travers cette manifestation organisée à 100% par des hommes d’affaires, que l’idée d’investir dans la culture commence à germer dans l’esprit des citoyens”, a-t-il indiqué. Et de signaler qu’“à travers cette démarche, nous réalisons que les gens ont été sensibilisés au fait que l’État ne peut pas tout gérer et investir, à lui seul, dans le secteur culturel.”

Au sujet de cet apport financier, il a déclaré que “cette initiative à Hassi Messaoud est un message fort. Il démontre que nous pouvons réaliser des manifestations de qualité. La région était connue seulement pour la production de pétrole, mais aujourd’hui elle véhicule une autre image, celle d’un mouvement culturel”. À propos de la thématique, le ministre a indiqué “ces rencontres sont une opportunité pour mettre en exergue la progression du cinéma arabe, à travers la présentation de films qui se sont imposés par leur qualité et ont été présélectionnés aux oscars”.
Suite au discours officiel, place au show pour rendre hommage à ces réalisateurs présélectionnés à l’évènement cinématographique le plus important dans le monde ; les organisateurs ont honoré le seul “oscarisé” arabe, qui n’est autre que l’Algérien Ahmed Rachedi. À rappeler que le réalisateur a obtenu en 1969, pour le film Z, l’oscar du “meilleur film en langue étrangère”. D’ailleurs, au grand bonheur de l’assistance, Ahmed Rachedi a ramené la statuette qui a émerveillé et a fait rêver plus d’un dans la salle. Cette édition a également honoré le comédien Abdelkrim Kaârar, qui a joué dans l’œuvre Patrouille à l’Est de Amar Laskri.

Outre les artistes algériens, les stars arabes ont été également honorées, à l’instar de l’Égyptien Khaled Abu Naga et la Syrienne Susanne Nedjemeddine. Cette première soirée a été clôturée avec la projection du film Ghasra du Tunisien Jamil Najjar. À noter que cette édition, qui se déroule jusqu’au 22 décembre, verra la projection de dix films, la tenue d’ateliers de formation et des conférences.

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Im Selbsttest: Hier gibts Festtagsmode zur Miete

Blick.ch - mar, 20/12/2016 - 11:08

ZÜRICH - Kleihd, die erste Mode-Leihboutique der Schweiz, geht unserem ausschweifenden Konsumwahn an den Kragen.

Wir geben im Monat rund 150 Franken für Kleidung aus – und stopfen unsere Schränke jährlich mit 15 Kilo Kleider voll. Und trotzdem: Kommt es ­darauf an, finden wir nichts Passendes zum Anziehen. Etwa an Festtagen.

Statt in letzter Minute und genervt neue Kleider anzuschaffen, wage ich einen ­Versuch: Ich will mein dies­jähriges Silvester-Outfit im Zürcher Start-up-Laden Kleihd finden. Hier gilt: Ausleihen statt kaufen. Die vor einem Jahr ­eröffnete Boutique will damit unser Portemonnaie und die Umwelt schonen.

Der Selbsttest beginnt

Also los. Telefonische Kontaktaufnahme mit Paula Fricke (34), sie ­ist Stylistin und eine der drei ­Geschäftsführerinnen des Ladens. Sie fragt meine modischen Präferenzen und Kleidergrössen ab.

Das Kleihd-Sortiment umfasst tausend Einzelstücke, darunter wird sich wohl etwas Passendes für mich finden. Wie ich später erfahre: Die grosse Auswahl ist nur durch Mithilfe der Kundschaft möglich. Denn bei Kleihd kann man einen Teil ­seines Kleiderschranks auslagern. Die zur Verfügung gestellten Stücke stehen dadurch anderen zur Ver­fügung, zur Miete – ähnlich wie in ­einer ­Bibliothek.

Paula Fricke erklärt die Idee ­dahinter: «Oft ist die Herstellung unserer Kleidung nicht nachhaltig, ­ja sogar unmenschlich.» Wenn man ihr also eine selten getragene, aber intakte Hose spendet, wird die ­Ressourcen-Nutzung optimiert – da diese vermietet und somit wieder genutzt wird. Zudem tätigen der Mieter oder die Mieterin keinen Neukauf. Die drei ­Initiantinnen erhoffen sich, dass die Leute so ihre Kaufentscheide bewusster ­fällen – und die Textilindustrie weniger Kleider produziert.

Anprobe mit Überraschungsmoment

Ein paar Tage nach dem ­Telefonat dann der erste Schritt zum neuen Style: Ich treffe Paula an der Idastrasse in Zürich. An einem Kleiderständer warten verschiedene Anzüge, Gilets und gewagte Hemden auf mich. Ein weisses Hemd steckt in meiner Tasche. Kleihd versteht sich als Ergänzung zur privaten Garderobe, nicht als Ersatz. Somit gilt: Basics selber mitbringen.

Inmitten der Auswahl: ein fliederfarbenes Hemd. Die Stylistin bemerkt mein Stirnrunzeln, lässt sich aber nicht beirren: «Probier es einfach mal an.» Na dann, ab in den Ankleideraum. Ich ziehe mir das Hemd über und trete darin vor den Spiegel. «Siehst du, jetzt hast du ein Kleihd-Erlebnis!», freut sich Paula, als sie mein erstauntes ­Lächeln im Spiegelbild entdeckt.

Solche Überraschungsmomente bleiben meist Frauen vorbehalten. Denn die durchschnittliche Kundschaft ist weiblich – und zwischen 20 und 40 Jahre alt. «Für Männer ist der lockere Umgang mit Mode wohl noch Neuland», sagt die Gastgeberin. «Unsere Kundinnen hingegen kommen oft mit Freundinnen zu uns. Wir beraten uns gegenseitig, und überall liegen Kleider herum.» Eine waschechte Mädelsparty!

Kleider: Unsere Geschichtenerzähler

Das frisch gebügelte Hemd soll im Bewerbungsgespräch unsere Seriosität unterstreichen, und die schlabbrige Trainerhose am Sonntag signalisiert, dass wir den Tag auf dem Sofa verbringen möchten – unsere Kleidung erzählt immer, wenn auch oft subtil, Geschichten. Bei Kleihd werden die spannendsten in der Kartei erfasst. «Wir hatten eine Kundin», erzählt Fricke, «die stellte uns eine Robe zur Verfügung, die sie eigens für den Besuch von Romy Schneiders Grab gekauft hatte.» So werden aus leblosen Hüllen lebhafte Geschichtenerzähler.

Doch das fliederfarbene Hemd bleibt stumm. Vielleicht ein anderes Mal. An der Silvesterparty will ich etwas tragen, das sich stärker von der Alltagsmode abhebt. Dazu reicht mir Paula ein gestreiftes ­Gilet und einen Gehrock und kombiniert beides zu meinem mitgebrachten Hemd. Ich schlüpfe ins Outfit – und voilà: Passt!

Fazit

Das bringt mich zu einem zweiten Vorteil dieses Mietsystems: Hätte ich den eher extravaganten Look kaufen müssen, wäre er erst gar nie in Frage gekommen. Er ist zu weit weg von meiner modischen Normalität. Anders bei Kleihd: Für 55 Franken werde ich meine neu gewonnene Eleganz geniessen. Und bringe die Kleider im neuen Jahr wieder zurück.
Ich bin gespannt, welche Erlebnisse der Gehrock zurück in den Laden trägt!

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Film: Star-Wars-Film hilft Disney zum Umsatzsprung

Blick.ch - mar, 20/12/2016 - 11:05

Los Angeles – Der Star-Wars-Film «Rogue One» hat Disney den letzten grossen Schub gebracht: Erstmals überhaupt machte ein Filmstudio in diesem Jahr einen Umsatz über sieben Milliarden Dollar.

Dies teilte das Unternehmen am Montag mit. «Rogue One» spielte allein am ersten Wochenende weltweit 290 Millionen Dollar ein.

In Nordamerika beliefen sich die Einnahmen von Disney im gesamten Jahr auf 2,7 Milliarden Dollar, im Rest der Welt auf 4,3 Milliarden Dollar. Damit übertraf das Filmstudio den Konkurrenten Universal, der im vergangenen Jahr vor allem auch dank des Kassenschlagers «Jurassic World» 6,9 Milliarden Dollar eingenommen hatte.

Dieses Jahr war das erste, in dem die fünf Studios der Unternehmensgruppe - Disney, Walt Disney Animation, Pixar, Marvel und Lucasfilm - alle einen Film herausbrachten. Vor «Rogue One» brachten «Findet Dorie», «Captain America: Civil War» und «Zoomania» bereits jeweils mehr als eine Milliarde Dollar Umsatz; das «Dschungelbuch» spielte 967 Millionen Dollar ein.

Die siebte Episode von «Star Wars», im vergangenen Dezember gestartet, spülte Disney 2016 demnach 737 Millionen Dollar in die Kassen. Zusammen mit den Einnahmen aus dem vergangenen Jahr brachte der Film 2,1 Milliarden Dollar.

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Maserati Ghibli S Q4 im Test: Schicker Typ

Blick.ch - mar, 20/12/2016 - 11:03

Neues Multimedia-System und diverse Assistenzsysteme werten Maseratis Ghibli auf. Ganz überzeugen kann die elegante Limousine dennoch nicht.

Auch der überarbeitete Maserati Ghibli gefällt mit absolut attraktivem Design. Muskulös und elegant zugleich, so wie es eben nur Italiener zeichnen können. Mit 1,95 Metern wirkt der Fünfplätzer dabei nicht nur optisch recht breit, sondern ist es auch – besonders in Parkhäusern.

Praktisch

Edel dafür sein Cockpit. Kein Revolution, aber zumindest eine Evolution: das neue Multimedia-System mit 8,4-Zoll-Touchscreen und verbesserter Bedienung. Zudem profitiert er nun auch von praktischen Helfern wie adaptivem Tempomat, Querverkehrwarner oder Spurhalteassistent.

Durstig

Sogar ein Stopp-Start-System gibts für den 3.0-Liter-V6-Benziner. Nur zügelt dies den Durst des schön am Gas hängenden, 410 PS starken Motors nicht wesentlich. 12,3 l/100 km im Test ist recht viel, genau wie das Gewicht der Limousine von fast 1,9 Tonnen.

Souverän

Dennoch gefällt der Ghibli mit souveränem Fahrverhalten und – dank heckbetontem – 4x4 toller Traktion. Seine 8-Gang-Automatik mag dabei während der Fahrt oder im manuellen Modus über Lenkradwippen perfekt funktionieren, doch beim Parken lehrt sie uns Fluchen auf Italienisch. Grund: die Schaltkulisse. Mangels Widerstand vor dem Rückwerksgang gehts meist direkt in «Park». Und genau solche Details trüben leider das ansonsten stimmige Gesamtbild des eleganten Italieners – peccato!

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clôture du séminaire de haut niveau sur la paix et la sécurité: Lamamra évoque le dossier libyen

Algérie 360 - mar, 20/12/2016 - 11:00

Pour le MAE, les récentes visites à Alger de dignitaires libyens et celle, prochaine, du président du Conseil libyen, Fayez el-Sarradj, sont autant de signes évocateurs d’une relance de la réconciliation nationale entre toutes les parties en Libye.

“L’Algérie s’investit résolument dans un dialogue nationale libyen qui devrait pouvoir consolider l’acquis de l’accord politique signé le 17 décembre 2015 et qui devrait ouvrir de nouvelles perspectives, notamment en termes de réconciliation nationale.” C’est par ces propos tenus au terme du 4e séminaire de haut niveau sur la paix et la sécurité, clôturé hier à Oran, que Ramtane Lamamra s’est exprimé sur le dossier libyen.

Pour le ministre des Affaires étrangères, les récentes visites à Alger de dignitaires libyens et celle, prochaine, du président du conseil libyen, Fayez el-Sarradj, sont autant de signes évocateurs d’une relance de la réconciliation nationale entre toutes les parties en Libye comme souhaité depuis longtemps par l’Algérie.

Lamamra rappellera l’action constante de l’Algérie, dans la durée, pour favoriser le dialogue entre Libyens pour des solutions pacifiques pérennes. Le chef de la diplomatie algérienne ajoutera souhaiter qu’“il y ait le même agenda de la communauté internationale non intrusif, qu’il ne soit pas une ingérence dans les affaires intérieures de la Libye”.

Des propos appuyés par Smaïl Chergui, le commissaire à la paix et à la sécurité à l’UA, qui se chargera du point de presse concluant l’évènement. Ainsi, il évoquera les prochaines étapes attendues sur la crise libyenne comme la prochaine visite du comité des chefs d’État africains à Tripoli et à Tobrouk et une réunion de réconciliation dont la date reste à déterminer.

“Il est important d’amener nos frères libyens à se réunir pour faire taire les armes et promouvoir la paix et la sécurité.” En termes de recommandations, le diplomate de l’UA insistera sur la nécessité de renforcer les capacités et la coordination des pays africains dans le groupe A3 siégeant au Conseil de sécurité à New York.

Il a été fait remarquer justement un manque de coordination qui a pénalisé forcément la voix des Africains au sein de l’instance onusienne. Abordant la situation sécuritaire et les risques terroristes qui planent sur le continent africain, notamment depuis les nouvelles donnes militaires, que ce soit en Afrique ou en Syrie, M. Chergui estimera que “la possibilité d’un retour des terroristes en Europe et en Afrique est une hypothèse à laquelle nous devons nous préparer et nous voulons que nos voisins aient la même lecture des impératifs pour la paix et la sécurité”.

Tout ce qui sera lié au terrorisme et à la radicalisation des jeunes a fortement interpellé les participants à ce séminaire, et c’est encore Smaïl Chergui qui l’exprimera. “La réponse au terrorisme ne peut être que sécuritaire, elle doit être également liée à la bonne gouvernance, de démocratie économique, il faut promouvoir les projets économiques, donner de l’espoir aux jeunes et combattre davantage le radicalisme.

C’est un travail qui doit intégrer les leaders religieux, tous les notables, les femmes et toute la société.” Pour autant, l’UA s’attelle à consolider les autres outils de lutte contre le terrorisme comme la force Afripol ou encore la nouvelle base logistique à Douala au Cameroun.

D. LOUKIL

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Attentat de Berlin : assaut de la police dans un centre pour réfugiés où le suspect aurait vécu à Tempelhof

Algérie 360 - mar, 20/12/2016 - 10:57

Selon les informations rapportées par les médias allemands, le suspect serait un réfugié de 23 ans.

INTERNATIONAL – La piste terroriste est confirmée. Au lendemain du drame du marché de Noël de la Breitscheidplatz à Berlin, qui a fait au moins 12 morts, les autorités ont affirmé que le carnage était bien un attentat, alors que la police avait indiqué plus tôt ce mardi 20 décembre qu’elle enquêtait sur un « probable attentat ».

Si les autorités n’ont pas donné d’informations dans l’immédiat sur l’identité et le profil du chauffeur du poids lourd, qui a été interpellé dans la foulée, il s’agirait selon les services de sécurité cités par l’agence DPA d’un Pakistanais ou d’un Afghan arrivé en Allemagne comme demandeur d’asile en février 2016.

Selon Die Welt, cet homme de 23 ans s’appelle Naved B. et pourrait avoir vécu dans un hangar de l’ancien aéroport de Tempelhof, reconverti en centre d’accueil pour réfugiés.

D’après l’agence Dpa, le suspect n’était pas connu comme islamiste ni dans le radar des services de renseignement. Il était cependant connu de la police pour des délits mineurs.

Die Welt affirme aussi sur son site, tout comme Focus, que les forces spéciales sont intervenues dans la nuit dans ce centre.

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Syrien: Armee drängt Rebellen zum Abzug aus Aleppo

Blick.ch - mar, 20/12/2016 - 10:56

Beirut – Syriens Armee hat den Einmarsch in die letzte Rebellen-Enklave in Aleppo angekündigt. Über einen Rundfunksender der mit ihr verbündeten Hisbollah-Miliz erklärte die Armee, sie werde am Dienstag in das Gebiet einrücken. Die Rebellen sollten ihren Abzug beschleunigen.

Ein Vertreter der Aufständischen sagte der Nachrichtenagentur Reuters, bislang sei nur etwa die Hälfte aller Zivilisten, die Ost-Aleppo verlassen wollten, aus der Stadt gebracht worden. Die Rebellen würden erst dann gehen, wenn die Zivilisten in Sicherheit seien.

Nach Angaben des Internationalen Komitees vom Roten Kreuz (IKRK) verliessen bereits etwa 25'000 Menschen die letzten Rebellengebiete der nordsyrischen Stadt Aleppo. Alleine seit der Wiederaufnahme der Transporte am Sonntagabend seien 15'000 Menschen in das Umland Aleppos in Sicherheit gebracht worden, sagte IKRK-Sprecherin Ingy Sedky am Dienstag der Nachrichtenagentur dpa.

Die Evakuierung Ost-Aleppos, wo noch Tausende bei winterlichen Temperaturen auf die Busse der Regierung warten, gehe auch am Dienstag weiter.

Die Evakuierungsroute verläuft fünf Kilometer durch die Stadt in den von Rebellen gehaltenen Bezirk Al-Raschidin, direkt hinter der Stadtgrenze im Südwesten. Im Gegenzug werden auch Zivilisten aus den von den Rebellen seit Jahren belagerten Dörfern Al-Fua und Kefraja freigelassen.

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Sûreté de Aïn-Témouchent Saisie de 52 quintaux de kif et 1 300 psychotropes en 2016

Algérie 360 - mar, 20/12/2016 - 10:56

Les services de sécurité de la wilaya de Aïn-Témouchent ont organisé, hier, au niveau de l’unité principale, des journées portes ouvertes en vue d’informer le citoyen et le rapprocher un peu plus du corps de la police, et ce, à l’occasion de la journée arabe de la police.
la cellule de communication a concocté un riche programme pour marquer l’évènement en commençant par une exposition de photos et des statistiques afin de faire connaître les différents services de ce corps. La soirée a été consacrée à honorer certains agents du même corps. Dans le même registre, et dans un bilan dressé par la police, la brigade de recherche et d’investigation a traité 46 affaires depuis le début de l’année en cours comprenant, entre autres, le trafic de voitures, la commercialisation des stupéfiants et trouble à l’ordre public, 79 personnes sont impliquées dans ces affaires ; 28 d’entre elles ont bénéficié de la liberté provisoire, 8 ont fait l’objet d’une citation directe et 3 du contrôle judiciaire alors que deux personnes sont en fuite. ces affaires concernent un trafic international de voitures, vente et commercialisation de boissons alcoolisées sans autorisation par les services concernés. Dans un bilan des services de la lutte contre la drogue, il ressort que les éléments de la lutte contre les stupéfiants ont saisi une quantité de 52 quintaux et 88 grammes de kif traité et 1 334 comprimés psychotropes dans lesquels sont impliqués 193 individus18 ; d’entre eux sont en fuite alors que 93 autres ont fait l’objet de détention provisoire. Concernant la brigade de l’urbanisme et la protection de l’environnement, 49 affaires ont été traitées dont la plus importante concerne la gêne de circulation et étalement de la marchandise sur la voie publique.

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Tlemcen: saisie de près de deux quintaux de kif traité (MDN)

Algérie 360 - mar, 20/12/2016 - 10:55

Près de deux quintaux de kif traité ont été saisis dimanche par des Gardes-frontières à Tlemcen, indique lundi un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN).

« Dans le cadre de la lutte contre la criminalité organisée, des Gardes-frontières ont saisi à Tlemcen/2ème RM, le 18 décembre 2016, une quantité de kif traité s’élevant à 195 kilogrammes, tandis que des éléments de la Gendarmerie nationale ont intercepté, à El Oued/4ème RM, un contrebandier à bord d’un camion chargé de 52 quintaux de tabac », précise la même source.

A In Guezzam/6ème RM, un détachement combiné de l’Armée nationale populaire (ANP) et des éléments des Douanes ont arrêté sept (07) immigrants clandestins et saisi dix 10 tracteurs et 355,3 tonnes de denrées alimentaires », ajoute le communiqué du MDN.

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Polarforschung: Antarktis-Expedition startet in Kapstadt

Blick.ch - mar, 20/12/2016 - 10:55

Kapstadt – Am Dienstag heisst es «Leinen los» für die grosse Antarktis-Expedition mit rund 60 Forschenden aus 30 Ländern. Drei Monate wird das Forschungsschiff «Akademik Tryoshnikov» unterwegs sein und dabei den Südpol umrunden.

Die Expedition umfasst 22 Forschungsprojekte, vier davon unter Schweizer Federführung. In leitender Funktion dabei sind die ETHs Zürich und Lausanne, Uni Genf und das Paul Scherrer Institut (PSI). «Wir haben die Projekte nach ihrem wissenschaftlichen Potenzial ausgewählt», erklärte David Walton, «Chief Scientist» der Antarctic Circumnavigation Exedition (ACE) an einem Medienanlass in Kapstadt am Dienstag.

Das Schiff sei wohl nie für so viele Wissenschaftler auf einmal gedacht gewesen, aber letztlich habe man alle untergebracht, so Walton weiter. «Es ist eine interessante Mischung von Projekten. Manche scheinen nicht zusammenhängen. Am Ende werden wir aber ein umfassenderes Bild dieses Erdteils haben.» Der südliche Ozean mache zehn Prozent der Weltmeere aus und sei als CO2-Senke für das globale Klima von zentraler Bedeutung.

«Jeder Wissenschaftler an Bord hat sicher ein Dutzend Fragen im Gepäck», sagte Julia Schmale vom PSI, die eines der Projekte an Bord leitet. «Wenn wir Erfolg haben, werden wir sicher mit noch mehr Fragen zurückkommen.»

Die ACE ist das erste Projekt, das das erst kürzlich gegründete Schweizer Polarinstitut koordiniert. «Die Temperaturen in den Alpen steigen. Wir sehen uns in den alpinen Regionen ähnlichen Herausforderungen gegenüber wie in den Polarregionen», sagte Krystyna Marty Lang, stellvertretende Staatssekretärin des Eidgenössischen Departement für auswärtige Angelegenheiten. Damit erkläre sich das Interesse der Schweiz an diesen entlegenen Regionen mit ihrer extremen Umwelt.

Das Forschungsengagement der Schweiz in den Polarregionen hat lange Tradition und soll mit dem Polarinstitut, das mehrere Schweizer Forschungsinstitute verknüpft, global sichtbarer werden. Ermöglicht wurden das Schweizer Polarinstitut und die ACE dank einer grosszügigen Spende des Unternehmers und Abenteurers Frederik Paulsen, auf den auch die Idee der Antarktis-Umrundung zurückgeht.

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«Berufschauffeur hatte wohl Starkbier»: Mit 2,6 Promille und Fahne über die Grenze

Blick.ch - mar, 20/12/2016 - 10:53

BASEL - Die Schweizer Zöllner verweigerten gestern einem Littauer die Einreise, weil er satte 2,6 Promille intus hatte. Er habe «nur ein Bier» getrunken, erklärte der Chauffeur.

Der Schweizer Zoll hat gestern an der Zollstelle Basel/Weil Autobahn zwei massiv alkoholisierten LKW-Fahrern aus Osteuropa die Einreise in die Schweiz verweigert. Sie wurden der deutschen Polizei übergeben und müssen mit einer empfindlichen Busse rechnen, wie der Zollkreis I in einer Mitteilung schreibt.

Der erste Chauffeur, ein Litauer, fiel den Zöllner bei der Einfahrtskontrolle wegen seiner starken Alkohol-Fahne auf. Auf die Frage, ob er Alkohol konsumiert habe, antwortete er mit «ja, ein Bier». Die Aussage verleitete die Zollkreisdirektion zu einer spöttischen Aussage in der Medienmitteilung: «Dabei muss es sich wohl um Starkbier gehandelt haben, denn die anschliessende Alkoholkontrolle ergab einen Wert von 2,6 Promille.»

Nur einige Stunden später wurde bei einem rumänischen Chauffeur ein Alkoholwert von 1,6 Promille festgestellt. Beide alkoholisierten Fahrer wurden der deutschen Polizei übergeben. Nebst einer empfindlichen Busse müssen sie mit dem Entzug des Fahrausweises rechnen. (pma)

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"Football Leaks" : ouverture d’une enquête préliminaire en France

France24 / France - mar, 20/12/2016 - 10:52
Le parquet national financier a annoncé, mardi, avoir ouvert une enquête préliminaire à la suite de la révélation dans la presse des "Football Leaks". L'enquête a notamment épinglé l'international français Paul Pogba, qui évolue au Manchester United.
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La facture d’importation de lait en baisse de plus de 25%

Algérie 360 - mar, 20/12/2016 - 10:52

La facture d’importation de lait a reculé à 798,6 millions de dollars (usd) sur les dix premiers mois de 2016, contre 1,07 milliard usd à la même période de 2015, soit une baisse de 25,45%, a appris l’APS auprès des Douanes.

De janvier à octobre, les quantités importées de ce produit (lait en poudre, crèmes de lait et matières grasses laitières utilisées comme intrants) ont également reculé pour s’établir à 324.206 tonnes contre 364.531 tonnes, soit une réduction de près de 11,06% entre les deux périodes de comparaison, indique le Centre national de l’informatique et des statistiques des douanes (CNIS).

Cette réduction de la facture d’importation s’explique non seulement par le recul des quantités importées mais aussi par la chute des prix à l’importation par l’Algérie de cette denrée alimentaire.

Durant les huit premiers mois 2016, le prix moyen à l’importation par l’Algérie des poudres de lait s’est établi 2.302 usd/t contre 2.921 usd/t sur la même période de 2015, en baisse de plus de 21%.

Même tendance baissière pour les matières grasses de lait dont le prix moyen à l’importation s’est réduit à 3.786 usd/t contre 4.011 usd/t (-5,6%).

En 2015, la facture d’importation du lait en poudre, crèmes de lait et matières grasses laitières, avait déjà reculé à 1,04 milliard de dollars (372.252 tonnes) contre 1,91 milliard usd en 2014 (395.898 tonnes).

Afin de réduire les importations de ce produit subventionné et de promouvoir la filière lait, des mesures avaient été décidées par le gouvernement en faveur des éleveurs et des opérateurs de ce secteur en augmentant la subvention du lait cru et en encourageant l’investissement, avec l’objectif de baisser les importations de la poudre de lait de 50% à l’horizon 2019.

Le gouvernement a ainsi décidé que le prix de référence du litre de lait cru de vache soit fixé à 50 DA (contre 46 DA auparavant), se répartissant entre 36 DA le prix de cession du lait cru aux laiteries et 14 DA de subvention de l’Etat, contre, respectivement, 34 DA et 12 DA auparavant.

En réponse à la préoccupation des éleveurs relative à l’accès à l’aliment de bétail et à la régulation du marché de ce produit, il a été décidé d’approvisionner directement les éleveurs en matière de son (résidu de mouture de blé).

D’autres mesures de facilitation à moyen terme ont été prises par le gouvernement afin d’asseoir une stratégie de relance de la filière lait.

Il s’agit notamment de l’accès des professionnels de la filière lait au foncier agricole pour leur permettre d’investir en amont de cette filière et concourir au développement des grandes cultures (céréales et fourrages).

Les pouvoirs publics ambitionnent, dans ce cadre, de promouvoir la création de fermes modernes intégrées pour l’élevage bovin laitier et la production de céréales et de fourrages dans le cadre de contrats-programmes.

Il s’agit aussi d’encourager l’utilisation du crédit de campagne « R’fig » pour investir dans la production des fourrages, tandis que les coopératives des éleveurs seront incitées à recourir à l’exploitation des périmètres irrigués, notamment dans les Hauts-Plateaux et le Sud.

Catégories: Afrique

Austria’s far right in Russia

The European Political Newspaper - mar, 20/12/2016 - 10:47
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Austria’s far-right Freedom Party (FPO) has offered to act as a go-between for US President-elect Donald Trump and Russian President Vladimir Putin after signing a cooperation agreement with Putin’s party.

As reported by the Reuters news agency, FPO leader Heinz-Christian Strache and the party’s recently defeated presidential candidate Norbert Hofer attended the signing ceremony in Moscow, as did officials of Putin’s United Russia party including Pyotr Tolstoy, a deputy chairman of the lower house of parliament.

The FPO has long taken a pro-Russia stance, calling for an end to European Union sanctions against Moscow imposed over the annexation of Crimea and the conflict in eastern Ukraine. It has also denied allegations that it receives funding from Moscow.

On a recent visit to the United States, FPO officials met people close to President-elect Donald Trump, including his pick for national security adviser Michael Flynn, the FPO said in a statement announcing the Russian deal.

“It is particularly important to Strache that the US and Russia stand shoulder to shoulder,” according to an FPO statement, saying that could improve the situations in Syria and Crimea and lead to a lifting of sanctions on Russia.

“The FPO acts as a neutral and reliable intermediary and partner in promoting peace!” it said.

In a separate report, The Local noted that Strache signed a five-year agreement with senior United Russia officials during his trip to Russia.

“The aim is to work together on various levels, from youth party wings via regional branches to international issues,” the eurosceptic FPO said in a statement.

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Catégories: European Union

Flugzeugunglück: MH370 wohl im falschen Seegebiet gesucht

Blick.ch - mar, 20/12/2016 - 10:47

Sydney – Die bereits für beendet erklärte Suche nach der seit März 2014 verschollenen Malaysia-Airlines-Maschine könnte fortgesetzt werden. Nach einem Bericht liegt die Boeing höchstwahrscheinlich nicht in dem seit zwei Jahren durchsuchten Gebiet im Indischen Ozean.

Die Auswertung von Satellitendaten lasse vielmehr darauf schliessen, dass das Flugzeug weiter nördlich abgestürzt ist, heisst es im am Dienstag veröffentlichten Bericht der australischen Verkehrssicherheitsbehörde. Die Wrackteile werden in einem abgelegenen Seegebiet mehr als 2000 Kilometer westlich von Perth an der australischen Westküste gesucht.

Die Maschine mit der Flugnummer MH370 war am 8. März 2014 aus bis heute ungeklärter Ursache auf dem Weg von Kuala Lumpur nach Peking vom Kurs abgewichen und verschwunden. An Bord waren 239 Menschen.

Nach Satellitenauswertungen nehmen Experten an, dass die Maschine stundenlang Richtung Süden flog. Keine Bodenkontrolle hatte je Kontakt mit den Piloten. Die Boeing dürfte abgestürzt sein, als der Treibstoff ausging.

Australiens Verkehrsminister Darren Chester hatte erst vor einer Woche erklärt, dass die Suche nach dem Wrack Anfang 2017 voraussichtlich beendet sei. «Es war eine heroische Anstrengung, aber wir müssen uns darauf einstellen, dass wir MH370 in den kommenden Wochen nicht finden, auch, wenn wir die Hoffnung nicht aufgeben», hatte Chester zuvor der Zeitung «The West Australian» gesagt.

Das letzte an der Suche beteiligte chinesische Schiff, die «Song Hai Jiu 101», hat seinen Dienst schon beendet. China war involviert, weil zwei Drittel der Menschen an Bord aus dem Land stammen.

Die neuesten Daten könnten die an der Suche beteiligten Länder - Australien, Malaysia und China - zu einer Fortsetzung der Suche bewegen.

Das Wrack liege mit höchster Wahrscheinlichkeit in einem etwa 25'000 Quadratkilometer grossen Gebiet, hiess es in dem Bericht, der die Ergebnisse eines Treffens australischer und internationaler Experten aus dem November zusammenfasst. Die Gutachter prüften sämtliche Daten, anhand derer das Suchgebiet eingegrenzt worden war.

Das zuletzt durchkämmte Gebiet war riesig: 120'000 Quadratkilometer, fast dreimal so gross wie die Schweiz. Es liegt in einer der unwirtlichsten Meeresregionen der Welt, mit häufigen Stürmen. Nach dem Wrack suchten Schiffe mit Spezialausrüstung und ferngesteuerten Unterwasser-Vehikeln.

Im Januar soll die Überprüfung der noch fehlenden restlichen 10'000 Quadratkilometer abgeschlossen sein. Der Zeitplan hängt allerdings vom Wetter ab.

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