L’établissement producteur du RHB n’a pas de directeur technique depuis près de 2 ans. Son responsable vient d’introduire un dossier auprès du conseil de l’Ordre pour une régularisation. Que font les services de la DSP de Constantine ?
L’ambassadeur russe en Turquie, Andreï Karlov, a été assassiné lundi 19 décembre à Ankara, la capitale turque. Les circonstances sont encore floues, mais on sait que le diplomate visitait une exposition d’arts.
Mais alors même que les premières informations commençaient à peine à circuler, de nombreux internautes ont très rapidement évoqué l’assassinat de François-Ferdinand d’Autriche, à Sarajevo, au début du XXe siècle.
Sur Twitter, des centaines de personnes évoquent ainsi, parfois de manière cynique et décalée, la mort de l’héritier du trône austro-hongrois, le 28 juin 1914, qui fut l’élément déclencheur de la Première Guerre mondiale.
Le meurtre de l'ambassadeur russe à Ankara me fait penser à l'assassinat de François-Ferdinand d'Autriche en 1914. Je suis le seul?
— Bruno Renoul (@brenoul) 19 décembre 2016
Comme disait Papy : "Une bonne guerre … C'est ce qui nous faut ! Une bonne guerre !"
— Vincent (@wave_back) 19 décembre 2016
C'est l'Archiduc François-Ferdinand de 2016 ? https://t.co/QAKddTkweJ
— Vincent (@wave_back) 19 décembre 2016
Une telle comparaison peut sembler pertinente sur le moment : un assassinat d’un haut représentant d’un Etat dans une zone qui symbolise les tensions des grandes puissances mondiales. Au XXe siècle, la poudrière des Balkans, aujourd’hui, la crise syrienne. Pour autant, le contexte géopolitique actuel n’a pas grand chose à voir avec celui de 1914.
Un contexte très différent
En 1914, « ce n’est pas cette action qui entraîne l’escalade du conflit, mais un contexte propice à celui-ci », rappelait dans un blog du HuffPost Jean-Baptiste Kastel, expert sur les Balkans occidentaux. Car si l’on présente l’attentat de l’archiduc comme l’étincelle, elle fut surtout le prétexte permettant à l’empire austro-hongrois d’attaquer la Serbie, accusée d’avoir fourni l’arme du crime, comme le rappelle cette vidéo de FranceTV éducation. C’est ensuite le jeu des alliances qui a précipité le monde dans la Première Guerre mondiale.
Aujourd’hui, la situation est très différente. Certes, les relations entre la Russie et la Turquie ont souvent été compliquées. Mais même l’année dernière, alors que la Turquie avait abattu un avion russe, la situation ne s’est jamais ne serait-ce que rapprochée d’une guerre ouverte. Surtout, alors qu’Ankara et Moscou s’opposent de longue date sur la gestion de la crise syrienne, les relations entre Erdogan et Poutine se sont améliorées depuis le mois août.
« Provocation » destinée à saboter la « normalisation » des relations
Un changement de stratégie de la Turquie qui a eu lieu juste après le putsch raté et la purge qui a suivi, critiquée par les alliés historiques occidentaux d’Ankara. L’évacuation chaotique d’Alep a justement été négociée par les deux pays, la Russie représentant le régime syrien, la Turquie, l’opposition.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a d’ailleurs estimé que l’assassinat de l’ambassadeur était une « provocation » destinée à saboter la « normalisation » des relations entre Ankara et Moscou. Le président russe a aussi qualifié l’assassinat de « provocation » destinée à nuire aux liens qui se réchauffaient entre Moscou et Ankara et aux efforts pour résoudre le conflit en Syrie. « Le crime qui a été commis est sans aucun doute une provocation destinée à perturber la normalisation des relations russo-turques et le processus de paix en Syrie », a-t-il déclaré à la télévision russe.
Il ne faut pas non plus oublier que les Etats-Unis, principaux opposants historiques à la Russie sur le dossier syrien, vont être gouvernés d’ici quelques mois par Donald Trump, qui ne cache pas vouloir réchauffer les relations avec Vladimir Poutine.
De nouvelles mesures vont être prises par l’Etat concernant le réinvestissement des bénéfices de la part des entreprises qu’il a aidé, rapporte le site d’information TSA.
» Un arrêté interministériel, daté du 26 novembre dernier dont TSA détient une copie, vient préciser les modalités d’application de la mesure concernant le « réinvestissement de 30% de la part des bénéfices correspondant aux exonérations ou réduction d’impôts accordés dans le cadre des dispositifs de soutien à l’investissement ».
Comprendre : les entreprises ayant bénéficié d’un soutien à l’investissement de la part de l’État, sous forme d’exonération d’impôts, devront réinvestir une part de 30% de la partie des bénéfices générés par ces dispositifs . »
L’article détaille les modalités qui seront appliquées aux entreprises prochainement. » Les entreprises concernées sont tenues de réinvestir 30% de leur bénéfices « dans un délai de 4 ans à compter de la date de clôture de l’exercice dont les résultats ont été soumis au régime préférentiel », stipule l’article 2 du document. Les réductions et exonérations concernées par cette mesure sont celles appliquées à l’Impôt sur le bénéfice des sociétés (IBS) et à la Taxe sur l’activité professionnelle (TAP), indique l’arrêté. »
L’application de cette mesure concernera les bénéfices réalisés par l’entreprise à compter du 1 janvier 2016, et les bénéfices de 2015 qui n’ont pas fait l’objet de réinvestissement.
Les conditions et les modalités d’apposition de la mention « halal » pour les denrées alimentaires concernées ont été fixées par un arrêté interministériel publié au Journal officiel no 70.
L’Institut algérien de normalisation (IANOR) a été chargé de la détermination des caractéristiques de la mention « halal », de son identification ainsi que des conditions de son octroi, indique l’arrêté signé par les ministres, respectivement, du Commerce, de l’Industrie, de l’Agriculture, des Affaires religieuses et de la Santé.
Le texte stipule que l’apposition de la mention « halal » doit être justifiée par un certificat de conformité « halal » délivré par IANOR.
Quant à la liste des denrées alimentaires concernées par l’obligation de l’apposition de la mention « halal », elle est fixée par le Comité national de suivi de la certification et du marquage « halal » des denrées alimentaires concernées, qui sera créé auprès du ministère du Commerce.
Cette liste sera diffusée sur les sites web officiels des cinq ministères signataires de cet arrêté ainsi que d’autres organismes et établissements publics.
Le certificat de conformité « halal » des denrées alimentaires importées doit être délivré par des organismes habilités dans leurs pays d’origine et reconnu par le Comité de suivi de la certification et du marquage « halal ».
Le Comité est chargé, notamment, d’examiner et de donner un avis sur les procédures de certification « halal » ainsi que la réglementation applicable en matière des denrées alimentaires « halal », les demandes de reconnaissance des certificats « halal » délivrés par des organismes certificateurs étrangers, les demandes de reconnaissance mutuelle avec les organismes certificateurs « halal » étrangers.
Le Comité, présidé par le ministre du Commerce ou son représentant, est composé de représentants des cinq ministères signataire de l’arrêté ainsi que ceux des organismes et établissements publics (Haut conseil islamique, Centre algérien du contrôle de la qualité et de l’emballage, Institut Pasteur d’Algérie…).
L’entrée en vigueur des dispositions de cet arrêté est fixée à six (6) mois à compter de la date de sa publication au JO.
12 Jahre hat Mike Shiva (52) mit seinen Wahrsagerkarten bei Shiva.tv die Zukunft vorausgesagt. Nun macht er damit Schluss.
Das Kopftuch ist sein Markenzeichen, die Wahrsagerkarten sind sein Instrument – so berät Mike Shiva (52) die Fernsehanrufer in Sachen Liebe, Geld und Job. 12 Jahre hat der Basler – den Namen Mike Shiva liess er gar im Pass eintragen – auf privaten TV-Kanälen getröstet und Aussicht auf ein besseres Leben vorausgesagt. Damit ist nun Schluss. Der bekannteste Wahrsager der Schweiz hört auf bei Shiva.tv. Vorausgesehen habe er es schon länger in den Karten. «Was mir das Universum sagte, setze ich nun in die Realität um», sagt er.
«Ich wollte den Menschen helfen»Vor zwei Jahren verkaufte er sein Shiva.tv an die Zuger Firma Emaco AG. «Weil mir die Administration über den Kopf gewachsen war. Ich wollte den Menschen helfen und mich nicht mit der AHV auseinandersetzen.» Die neuen Firmeninhaber, die seine Vorgesetzten wurden, seien aber nicht wie er selbst spirituell geleitet, sondern nur an den Zahlen interessiert.
Die Telefonberater konnte er nicht mehr aussuchenDurch den damaligen Verkauf sei er immer mehr vom «Helfer, dem die Leute vertrauen», zum «reinen Büezer» geworden. «Ich musste mich rechtfertigen, weshalb ich Ferien will und konnte die rund dreissig Telefonberater nicht mehr selbst aussuchen. Viele von ihnen hätte ich nie eingestellt», sagt Shiva. «Die unüberbrückbaren Differenzen zu den Inhabern haben mich zu dem Schluss bewogen», ergänzt er.
Letzten Samstag hat Mike Shiva die Kündigung abgeschickt, bald wird er sich am TV von seiner Fangemeinde verabschieden. «Ich fühle mich frei wie ein Vogel und möchte nun wieder das machen, was ich vor meiner Fernseh-Karriere tat – als Mike Shiva mit meinem Wohnwagen zu den Leuten fahren und ihnen spirituelle Hilfe anbieten.»
Le chef de l'État Patrice Talon sera ce jeudi 22 décembre 2016 au Parlement pour prononcer son discours sur l'état de la Nation. Les citoyens espèrent que le président de la République va combler leurs attentes sur plusieurs dossiers.
Après plus de mois de gestion de gouvernance, le président de la République Patrice Talon est convié ce jeudi à l'Assemblée nationale pour le discours constitutionnel sur l'état de la Nation. Comme on peut s'y attendre, les citoyens espèrent que le président Talon va combler leurs attentes par rapport à leurs préoccupations. Le nouveau président ne manquera pas de faire le bilan des huit mois de sa gestion à la tête du pays.
Les réformes entreprises par l'homme de la Rupture seront certainement au centre des préoccupations. Mais là où les populations attendent le chef de l'Etat, c'est surtout au niveau du volet social. En moins d'un an de gestion, le nouveau gouvernement a supprimé plus d'emplois qu'il n'en a créés.
L'espoir, c'est peut être la mise en œuvre des actions contenus dans son programme d'actions du gouvernement (PAG 2016-2021). L'Exécutif a promis 500 000 emplois !
Le chef de l'Etat reviendra de long en large sur les grandes lignes du PAG.
Les populations attendent d'être rassurées par rapport à la relance économique et à l'apaisement de la tension sociale. Elles espèrent aussi que le Président va réaffirmer sa volonté de lutter contre la corruption et l'impunité et la transparence dans l'attribution des marchés publics.
Patrice Talon ne manquera pas de rappeler qu'il va réaliser un ‘'miracle'' à la tête du pays et qu'il sera ‘'applaudi'' à la fin de son mandat.
Après les promesses du candidat, les populations espèrent que celles du président élu soient réalisées pour le bonheur du peuple.
Le ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales a appelé les candidats au baccalauréat (session 2017), à introduire la demande d’obtention de la carte d’identité nationale biométrique sur le site du ministère du 18 décembre au 21 janvier 2017, indique lundi un communiqué du ministère.
« Dans le cadre des démarches du Gouvernement visant à activer les services électroniques à distance, le ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales appelle l’ensemble des élèves devant se présenter à l’examen du baccalauréat (session 2017) à introduire la demande d’obtention de la carte identité nationale biométrique sur le site du ministère (www.interieur.gov.dz) », précise le communiqué.
« Dans une première étape obligatoire, le candidat introduit le numéro de compte avec lequel il s’est inscrit sur le site de l’Office national des examens et concours (ONEC) pour passer ensuite à l’étape d’inscription », poursuit le ministère.
Le ministère de l’Intérieur explique l’étape d’inscription pour chaque candidat.
Pour les élèves ayant déposé une demande et n’ayant pas reçu encore la carte d’identité biométrique, ils peuvent introduire le numéro d’inscription affiché sur le bordereau de dépôt de la demande dans le but d’accélérer la fabrication de la carte nationale biométrique.
Pour ceux ayant un passeport biométrique, « les élèves introduisent le numéro de leur passeport, le numéro d’identification national et la commune de résidence où ils pourront retirer leur carte biométrique ».
Pour les élèves n’ayant aucun document biométrique, le candidat présente une demande de la carte d’identité nationale biométrique à travers le site du ministère sus cité après réception d’un sms ou convocation. Le candidat se rend alors à sa commune de résidence pour finaliser les mesures d’entrée des informations biométriques.
« Dès fabrication de la carte d’identité biométrique, le candidat recevra un sms lui indiquant la date et le lieu de retrait », conclut le communiqué.
Berlin – Die deutsche Bundeskanzlerin Angela Merkel geht nach der Todesfahrt eines Lkw auf einem Berliner Weihnachtsmarkt von einem Anschlag aus. «Wir müssen nach jetzigem Stand von einem terroristischen Anschlag ausgehen», sagte Merkel am Dienstag in Berlin.
«Ich weiss, dass es für uns alle besonders schwer zu ertragen wäre, wenn sich bestätigen würde, dass ein Mensch diese Tat begangen hat, der in Deutschland um Schutz und Asyl gebeten hat», fügte sie hinzu.
Sie denke in diesen Stunden zuallererst an die Toten und Verletzten. Ein ganzes Land sei in Trauer vereint. «Ich denke an die Rettungskräfte, Polizisten, Feuerwehrleute, Ärzte und Sanitäter.» Merkel dankte ihnen «von Herzen für ihren schweren Einsatz». Sie denke auch an die Ermittler.
Merkel betonte: «Wir wollen nicht damit leben, dass uns die Angst vor dem Bösen lähmt.» Auf Weihnachtsmärkte werde man nicht verzichten. «Auch, wenn es in diesen Stunden schwer fällt: Wir werden die Kraft finden für das Leben, wie wir es in Deutschland leben wollen - frei, miteinander und offen.»
Zu Angaben aus Sicherheitskreisen, wonach es sich bei dem mutmasslichen Attentäter um einen 23 Jahre alten Flüchtling aus Pakistan handelt, sagte Merkel: «Ich weiss, dass es für uns alle besonders schwer zu ertragen wäre, wenn sich bestätigen würde, dass ein Mensch diese Tat begangen hat, der in Deutschland um Schutz und Asyl gebeten hat. Dies wäre besonders widerwärtig.»
Die Kanzlerin versicherte, dass der Anschlag in jedem Detail aufgeklärt werde. Die Tat werde bestraft werden «so hart es unsere Gesetze verlangen».
Der Vorsitzende der deutschen Innenministerkonferenz, Klaus Bouillon, sprach nach dem mutmasslichen Anschlag in Berlin von einem «Kriegszustand».
Bouillon kündigte zudem verschärfte Sicherheitsmassnahmen an. Es stehe zu befürchten, dass es Nachahmer gebe. «Wir werden, wo wir es für erforderlich halten, auch mit schwerem Gerät antreten», sagte Bouillon dem Saarländischen Rundfunk. «Das heisst Langwaffen, Kurzwaffen, Maschinenpistolen», auch wenn dies martialisch klinge.
Auf Weihnachtsmärkten werde die Polizei deutlich Präsenz zeigen und noch am Dienstag mit den Veranstaltern Kontakt aufnehmen, sagte der CDU-Politiker. Die deutschen Innenminister von Bund und Ländern sprachen sich aber gegen eine Absage ähnlicher Veranstaltungen in Deutschland aus. Dies teilte das deutsche Innenministerium am Dienstag nach einer Telefonkonferenz der Ressortchefs mit.
Am Montagabend war ein Lastwagen auf einen Weihnachtsmarkt in Berlin gerast. Zwölf Menschen kamen ums Leben. Rund 50 wurden verletzt. Ein Verdächtiger wurde festgenommen.
Der mutmassliche Fahrer des Lastwagens, der auf der Flucht vom Tatort festgenommen und verhört worden ist, kommt nach Informationen des RBB-Inforadios aus Pakistan. Der Sender berief sich auf Sicherheitskreise. Laut Informationen aus Sicherheitskreisen gelangte der Verdächtige als Flüchtling über die Balkanroute nach Deutschland.
Der Lastwagen, mit dem die Tat verübt worden ist, gehörte einer Speditionsfirma in Polen. Der Besitzer dieses Unternehmens, Ariel Zurawski, bestätigte am Dienstag den Tod des Fahrers des Camions. Er habe seinen Cousin auf einem Polizeifoto identifiziert, sagte er im polnischen Fernsehen.
In den Stunden vor der Tat war der Pole nicht mehr zu erreichen gewesen. «Er war ein guter Fahrer», sagte Zurawski. GPS-Daten hätten gezeigt, dass jemand am Montag gegen 15.45 Uhr den Lastwagen bewegt habe. «Es sah aus, als wenn jemand geübt hätte, den Wagen zu fahren.»
Der polnische Fahrer hatte nach bisherigen Erkenntnissen den Lastwagen gesteuert, bevor er nach in die Hände des Mannes fiel, der mit dem Camion das Attentat in Berlin verübte. Nach Angaben des Innenministeriums des Bundeslandes Brandenburg wurde der Pole vermutlich erschossen. Er sei ein Opfer und nicht Täter, hiess es.
Der Lastwagen sollte in der deutschen Hauptstadt Stahlkonstruktionen abliefern und war seit Montagmittag in Berlin abgestellt. Gegen 20 Uhr raste er in den Weihnachtsmarkt. Ob es sich um eine Entführung handelte, ist noch unklar. Deutsche Sicherheitskreise wollten sich zu dieser Frage bisher nicht äussern.
La Société de gestion de la bourse des valeurs (SGBV) et le Centre international de presse (CIP) ont signé lundi à Alger une convention de partenariat pour la formation des journalistes dans les domaines financier et boursier.
Le document a été paraphé par le directeur général de la SGBV, Yazid Belmihoub, et le directeur général du CIP, Tahar Beddiar, en présence du ministre des Finances, Hadji Babaammi, et du ministre de la Communication, Hamid Grine.
Avec cette convention, la SGBV organisera plusieurs sessions de formation au profit des journalistes (presse écrite, audiovisuelle, radiophonique et électronique) afin de « doter le paysage médiatique de compétences journalistiques en communication financière et boursière », ont expliqué les signataires de cette convention.
Ce qui permettra aux journalistes de traiter et de transmettre l’information financière de manière « fiable, complète et pertinente » et de les initier également à la réglementation, aux techniques et au fonctionnement du marché financier algérien.
A travers cette formation, les journalistes seront aussi associés aux efforts de promotion et de vulgarisation de la culture financière à l’égard du public.
Lors du point de presse animé conjointement avec M. Grine, le ministre des Finances a relevé l’importance de ce genre de formation dans le sens où elle contribue à renforcer les compétences des journalistes dans le traitement des informations financières et boursières.
Ce qui permet aux journalistes, a-t-il ajouté, d’éviter de commettre des erreurs techniques sur le plan informationnel, susceptibles de générer un impact préjudiciable aux entreprises, aux banques ou autres organismes.
An investigation is taking place on the safety of the third reactor of the Olkiluoto Nuclear Power Plant in Eurajoki, Western Finland.
That follows the unraveling of the Areva SA scandal extending across Europe and perhaps beyond. An international investigation uncovered that certain parts manufactured by the maker of nuclear reactors have less steel than the company has claimed. Test results of components were then forged to cover up the fraud.
The Prosecutor's Office in Paris has opened ...
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En fait, cette vision binaire est largement influencée par le PiS lui-même. Ses adversaires politiques sont systématiquement délégitimés, considérés comme anti-patriotes, hystériques, déconnectés du peuple, alors que le PiS représenterait la Pologne, comprendrait les besoins et les aspirations du peuple. Cette perception binaire du champ politique est donc fortement attisée par le parti au pouvoir. Cela dit, il est vrai qu’en un an, les fronts se radicalisent, laissant apparaître, d’une part, une Pologne conservatrice sur le plan des mœurs, nationaliste, isolationniste, protectionniste ; de l’autre, une Pologne libérale (plus économiquement que socialement), européenne, urbaine. Même si l’opposition est traversée par des clivages très importants, le PiS a réussi, en particulier ce week-end, à l’agréger contre l’action gouvernementale. Certains politologues parlent de la fin de l’époque postcommuniste, qui était marquée par un certain consensus au sein de l’élite politique et garantissait la pluralité des partis, et le début d’un système régime/opposition.
Quelles sont les racines historiques de cette profonde division ? De qui/quoi le PiS est-il l’héritier ?Le PiS profite d’un glissement à droite de la société polonaise, particulièrement visible à partir des déboires du parti social-démocrate au pouvoir et des élections de 2005 : depuis lors, on assiste à une guerre des droites entre la droite européenne et libérale PO et la droite eurosceptique et conservatrice PiS. La gauche, minée par les divisions, est même absente aujourd’hui du Sejm (la chambre basse du parlement, ndlr). Les cadres du PiS proviennent principalement de franges conservatrices du syndicat Solidarność, de dissidents PO, et des nombreux micro-partis de centre-droit qui animent la vie politique des années 1990. Historiquement, le PiS est soutenu par les bas revenus, les milieux ruraux, les catholiques pratiquants et les personnes âgées. Géographiquement, ses principaux bastions se situent à l’est de la Vistule. Avec les élections de 2015, on voit le parti avancer vers la Pologne occidentale et la jeunesse le soutient davantage.
«Les cadres du PiS considèrent que la transition polonaise de 1989 a été une manœuvre du pouvoir communiste et que ceux de l’opposition qui y ont participé ont été manipulés ou ont manipulé les négociations : Adam Michnik et Lech Wałęsa sont ainsi perçus comme des traîtres.»
Le PiS mobilise-t-il l’Histoire pour justifier ses actes ?Les travaux des historiens sont régulièrement décrédibilisés, et des pans entiers de l’histoire ne sont pas ressortis dans le débat politique. Paradoxalement, la politique historique bat son plein. La mobilisation du passé est à la fois constante et intense. Le PiS cultive de manière générale un récit national très homogène, gommant les contradictions et les nuances, où la Pologne est grande dans la tragédie, et toujours victime d’attaques extérieures. Plus particulièrement, il y a depuis le passage au pouvoir en 2005-2007 et actuellement, une chasse aux collaborateurs du régime communiste qui saperaient de l’intérieur les fondements de l’État polonais. En 2006, la loi de la lustration, largement invalidée par le Tribunal constitutionnel, devait éliminer de la fonction publique tous les anciens employés de l’État communiste. Aujourd’hui, le PiS s’en prend aux rentes des anciens fonctionnaires de la sécurité. Les cadres du PiS considèrent que la transition polonaise de 1989 a été une manœuvre du pouvoir communiste et que ceux de l’opposition qui y ont participé ont été manipulés ou ont manipulé les négociations : Adam Michnik et Lech Wałęsa sont ainsi perçus comme des traîtres. En fait, ce retour en arrière permet de discréditer l’ensemble de la classe politique qui serait corrompue dans une république elle-même issue d’une manipulation. De manière plus personnelle, il y a peut-être de la frustration de la part de certaines personnalités comme Jarosław Kaczyński qui étaient marginalisées pendant ce processus de transition.
Comment voyez-vous évoluer le mouvement de contestation et comment sortir de l’impasse ?À vrai dire, je suis assez pessimiste. Premièrement, il ne me semble pas que ceux qui ont voté pour le PiS soient déçus. Et ceux qui le contestent sont les mêmes qu’il y a un an ; ils sont peut-être plus nombreux en attirant des citoyens – et surtout des citoyennes ! – n’ayant pas voté. Mais il n’y a pas d’affaiblissement du socle de soutien du PiS : au contraire, les manifestations d’opposition peuvent renforcer ces électeurs, qui adhérent au discours du parti répétant que les opposants ne savent pas perdre. Il y a donc le risque d’une escalade, d’une radicalisation des deux camps. Deuxièmement, l’espace public tend à se restreindre à cause des lois sur la nomination des dirigeants du service public, sur la restriction d’espaces politiques et juridiques aux journalistes. De plus, dans les campagnes, les journaux d’opposition généralistes sont très peu accessibles en kiosques.
Le débat est donc davantage inspiré des slogans politiques et perd en rationalité. Cela dit, je suis impressionné par le mouvement de contestation, notamment des femmes : il y a des mécanismes de transmission des pratiques de mobilisation, depuis les années 1970-1980, très intéressants. Le critère économique jouera, je pense, un rôle important : les réformes (retraites, aide aux familles avec enfants) sont très chères, les menaces contre les chaînes de distribution internationales risquent de détériorer la situation économique. Est-ce que ces difficultés affaibliront le pouvoir ? Est-ce que la radicalisation du pouvoir provoquera un renforcement et un élargissement de l’opposition ? Est-ce que les 50 % d’électeurs absents aux élections se mobiliseront ? Derrière ces questions se cachent les pistes hypothétiques de changements.
«Qu’est-ce que le peuple ? Environ 19 % du corps électoral a voté pour le PiS. 50 % se sont abstenus ; et le reste n’a pas voté pour le PiS. Il me semble difficile de savoir ce que le peuple souhaite sur la base des élections…»
Comment expliquer qu’une partie importante de la population semble aujourd’hui se retourner contre l’Union européenne et la démocratie libérale qui – dit-on – auraient permis le « miracle polonais » ?Ce phénomène complexe se situe à plusieurs niveaux. Premièrement, le rejet de l’UE, voire de la démocratie libérale, est présent dans tout le monde occidental ; les démocraties libérales ont d’ailleurs toujours dû composer avec ces critiques, qui atteignent aujourd’hui un degré de radicalité et de violence préoccupant. Deuxièmement, l’entrée dans l’UE était liée à de grands espoirs ; les réalisations furent importantes, mais des franges de la population n’ont pas profité de ces améliorations. C’est particulièrement le cas de la jeunesse : le chômage des jeunes reste élevé (plus de 20 %), les emplois pour les diplômés sont peu rémunérés, sans compter ceux qui quittent le pays. Troisièmement, après 8 ans à la tête du pays, il y a eu une usure du pouvoir pour le PO, ce qui a engendré du mécontentement, mais également la création de nouveaux partis, l’émergence de nouvelles figures, parfois un peu baroques, rassemblant des électeurs déçus du conservatisme social du PO. En 2015, le PiS qui a appris de ses précédents échecs était particulièrement bien préparé pour les rendez-vous électoraux. Cela dit, par rapport à d’autres partis eurosceptiques, le PiS ne peut pas revendiquer un « polxit », qui serait désastreux pour le pays.
Le PiS bénéficie du soutien de la majorité de la population, majorité relative, mais majorité tout de même. Cela ne signifie-t-il pas que le peuple polonais est demandeur d’une démocratie plus dirigée, plus autoritaire ?Qu’est-ce que le peuple ? Environ 19 % du corps électoral a voté pour le PiS. 50 % se sont abstenus ; et le reste n’a pas voté pour le PiS. Il me semble difficile de savoir ce que le peuple souhaite sur la base des élections… Mais il y a, en tous les cas, par rapport à d’autres pans de la population polonaise, une forte mobilisation de personnes souhaitant effectivement une démocratie plus autoritaire, dépourvue de la compétition politique entre les partis, et agréée par la hiérarchie catholique.
En quoi ce qui se passe actuellement en Pologne concerne-t-il toute l’Europe ? Varsovie est-elle selon vous à un avant-poste de l’opposition de plus en plus frontale entre le libéralisme et un retour de forces conservatrices ? Cela peut-il préfigurer de situations à venir ailleurs…en Europe…de l’Ouest ?Même s’il y a des spécificités, le cas polonais n’est pas isolé. Les situations polonaise et hongroise ont par exemple beaucoup de similitudes. Habitant en Suisse, je vois également quelques traits communs entre le PiS et l’UDC : souverainisme, isolationnisme, critique d’une prétendue classe politique. Avec la Pologne, on a un exemple concret de la gestion du pouvoir par un parti populiste de droite, conservateur à tendance autoritaire. Le climat politique est continuellement sous tension et la compétition politique disparaît au profit d’une forte polarisation, des anathèmes réciproques et des actions de délégitimation de l’adversaire. Mais la Pologne, malgré une forte désillusion dans l’actuelle opposition, montre également une forte capacité de mobilisations, d’inventivité et d’endurance dans les actions citoyennes.
Racially motivated attacks against Muslims and Africans in Poland are on the rise.
As reported by Deutsche Welle (DW), Germany’s international broadcaster, three students from Turkey and Bulgaria were cursed at by young men on a tram earlier this month in Bydgoszcz, a city of nearly a half-million people in northern Poland. They were told to get out of country because Poland is for Poles.
Also, foreign exchange students in Torun, a student city also in Poland’s north, have come under increasing threat. A young Turk was recently cursed at and badly beaten. Two other students were forced to their knees in a bar and forced to “apologise” for being Muslim and not Christian.
“I am shocked by the lynch atmosphere of this incident,” said Ewa Walusiak-Bednarek, a spokeswoman for the University in Torun. “We have had exchange students for 10 years and this has never happened. Now it’s happened twice this year.”
The university has a tradition of pairing exchange students with their Polish peers, who are known as guardian angels, to “help students from abroad get used to everyday life and understand the country better,” Walusiak-Bednarek said.
“The number of Polish guardian angels has increased from 30 to 110 since these attacks. Nearly all of our 130 foreign exchange students are able to have their own.”
According to DW, Anna Tatar, who keeps track of racist attacks around Poland in her “brown book” for the foundation, which is called “Never Again.” She recorded 400 cases in 2009-2010 and 600 two years later. The count rose to 850 in 2013, according to Police statistics, and it doubled by 2015.
“We have observed a further rise since summer 2015, higher than the official numbers suggest,” she told DW. The racially charged atmosphere stems from the refugee debate during the parliamentary election campaign in fall 2015, she said. Poland has not taken in any refugees, but the numbers entering Europe overall has incensed many Poles, causing it to become a major campaign issue.
“The media have painted the refugees with one, broad brush,” Tatar said.
According to Polish government officials have been noticeably quiet following racially motivated attacks. At times, it plays down the racial motivations that may be behind them. A right-wing demonstration in Bialystok last April called to “hang Jews”. The public prosecutor concluded the incident was repugnant, but not racist.
The post Racism on the rise in Poland appeared first on New Europe.
ZÜRICH - ZH - Der Schütze, der am Montagabend in einem Islamischen Zentrum in Zürich drei Männer teilweise schwer verletzt hat, ist tot. Die Polizei stellte die Fahndung ein, nachdem ein in der der Nähe des Tatorts gefundener Toter mit der Tat in Verbindung gebracht werden konnte.
Der Täter hatte gegen 17.30 Uhr den Gebetsraum des Islamzentrums in der Eisgasse im Zürcher Kreis 4 betreten und wahllos auf die Betenden geschossen. Dabei wurden drei Männer im Alter von 30, 35 und 56 Jahren teilweise schwer verletzt. Nach der Tat floh der Schütze und die Polizei leitete eine Grossfahndung ein.
Einige Stunden später wurde nur wenige hundert Meter vom Tatort entfernt an der Sihl in der Nähe der Gessnerallee ein Toter gefunden. Zunächst war unklar, ob er in Zusammenhang mit der Schiesserei im Islamischen Zentrum steht. Am Dienstagmorgen stand fest: Die Fahnder gehen davon aus, dass die tote Person der Täter ist, wie die Kantonspolizei mitteilte.
Zu den Hintergründen der Tat gab die Polizei noch nichts bekannt. Es gebe jedoch keine Hinweise auf Verbindung des Täters zum IS, twitterte die Kantonspolizei. Am Nachmittag findet eine Medienkonferenz statt, auf der Staatsanwaltschaft und Kantonspolizei über den bisherigen Kenntnisstand orientieren wollen.
Laut Augenzeugen befinden sich im Schnitt zehn Menschen im Gebäude des somalisch-islamischen Zentrums, das vor allem von Personen aus dem Maghreb, Somalia und Eritrea besucht wird.
Kunden diverser Regionen der Schweiz können derzeit nicht oder nur eingeschränkt über UPC Mobile kommunizieren.
Kein oder nur eingeschränkter Empfang: BLICK-Leser melden Störungen des Handy Netzes von UPC Mobile in diversen Regionen der Deutschschweiz. Auf der Plattform Allestörungen.ch sind die Regionen um Zürich, Bern, Luzern, Basel, im Aargau und Thurgau genannt. Hier können UPC-Kunden zurzeit nicht mit dem Handy telefonieren oder angerufen werden.
Eine offizielle Mitteilung des Telekom-Anbieters steht noch aus. Auf Twitter bestätigte das Unternehmen jedoch die Störungswelle.
Weiter schreibt das Unternehmen auf seinem Twitter-Account, dass nur Sprachanrufe von der Störung betroffen sind. Über Probleme bei anderen UPC-Dienstleistungen ist nichts bekannt.
+++ Update folgt +++ (uro)
“Cette malformation congénitale a une incidence en Afrique du Nord de 1,55 pour 1000 alors que l’Algérie se trouve en tête de cette partie du continent avec 1,64 pour 1000, soit avec un taux légèrement supérieur à celui des pays voisins”.
Les défis de l’approche pluridisciplinaire de l’enfant porteur d’un spina-bifida, constituent l’axe central de la première rencontre internationale dédiée à cette maladie congénitale, organisée, le week-end dernier, à l’auditorium du campus d’Aboudaou par l’Association des parents et malades atteints de spina-bifida de la wilaya de Béjaïa en collaboration avec la faculté de médecine de l’université Abderrahmane-Mira.
Placée sous le thème générique “le spina-bifida et l’approche institutionnelle”, cette manifestation scientifique, première du genre dans la région, a vu la participation de nombreux professionnels de la santé, dont des médecins spécialistes venus de différentes régions du pays, mais aussi du Maroc et de Tunisie. Pas moins d’une quinzaine de communications et une table ronde sur les moyens préventifs et l’approche thérapeutique de cette pathologie ont été au menu de cette journée scientifique.
Les débats engagés lors de cette rencontre ont fait ressortir qu’au Maroc et en Tunisie, on pratique une intervention sur le spina-bifida tous les deux mois, alors qu’en Algérie, on opère deux à trois cas de spina-bifida en une semaine. “Cet écart s’explique par l’absence d’un dispositif de prévention en Algérie”, a souligné le professeur Tliba, doyen de la faculté de médecine et chef de service de neurochirurgie au CHU Khellil-Amrane de Béjaïa.
Intervenant sur “les dysgraphies spinales” et la présentation du projet de recherche sur le spina-bifida, ce spécialiste en neurochirurgie affirmera que “cette pathologie constitue un véritable problème de santé publique en Algérie”, avant d’ajouter que “celle-ci est une maladie assez précoce qui se manifeste sous forme d’une ouverture prématurée de la colonne vertébrale.”
Selon l’orateur, bien que cette pathologie ait été découverte récemment, il n’en demeure pas moins qu’elle existait déjà au temps des Pharaons. Pour le Pr Tliba, le meilleur traitement reste préventif, notamment par un supplément systématique en acide folique avant et pendant la grossesse. Pour sa part, le professeur Sahraoui K., du CHU de Blida, s’étalera sur la prise en charge des malades atteints de spina-bifida, rappelant, au passage, que “cette malformation congénitale a une incidence en Afrique du Nord de 1,55 pour 1000 alors que l’Algérie se trouve en tête de cette partie du continent avec 1,64 pour 1000, soit avec un taux légèrement supérieur à celui des pays voisins.” Le conférencier abordera ensuite les différents principes de traitement de cette maladie, citant notamment les interventions chirurgicales pratiquées déjà sur des malades atteints de spina-bifida, tels que les lambeaux musclo-cutanés, les lambeaux perforants pour la greffe etc.
Par ailleurs, le professeur Abdelmalek Danoune, directeur général du CHU de Béjaïa, expliquera que “si les interventions chirurgicales durent entre trente minutes et deux heures pour les cas de spina-bifida, l’approche multidisciplinaire peut durer des années.”
NATO and Russia still “have profound disagreements on the crisis” in Ukraine, Secretary-General Jens Stoltenberg said.
Stoltenberg made the comments after the NATO-Russia Council, their main forum for dialogue, held more than three hours of talks in Brussels on December 19.
Western diplomats said the fact that the NATO-Russia Council, where the Russian ambassador to the North Atlantic alliance sits with members states’ envoys, had met at all was significant after an increase in Russian military deployments.
“Without talking, we cannot solve our differences,” NATO Secretary-General Jens Stoltenberg said after the meeting in Brussels.
Russia has alarmed NATO by equipping its Baltic fleet with nuclear-capable missiles and stepping up Cold War-style aerial incursions to probe Western air defenses. In October, it demonstratively sent its sole aircraft carrier close to Europe’s shores on its way to Syria.
Russian Ambassador Alexander Grushko gave a detailed briefing on Russian military exercises involving around 120,000 personnel in recent months, NATO diplomats said.
There was also discussion in Brussels of the tactics being used by Russian pilots, which NATO says are unsafe. These include flying barrel rolls over Western aircraft, not sharing flight plans, and flying without the transponders that allow jets to be identified by ground radar.
But Stoltenberg said there continued to be “profound disagreements” on one of the central issues in east-west relations: Ukraine.
He said NATO members would not recognize Russia’s annexation of Crimea from Ukraine in 2014, and that the alliance remained deeply concerned about eastern Ukraine, partly controlled since 2014 by rebels whom NATO accuses Moscow of financing.
Despite an internationally-monitored ceasefire, diplomats have cited increasing reports of shelling and civilian casualties.
NATO for its part has responded to increased Russian military activity by planning to deploy troops to the Baltic states and Poland next year. Although it says its plans are defensive, Russia has been irked and sought explanations.
Separately, Ukrainian Europe Minister Ivanna Klympush-Tsintsadze, who met EU officials in Brussels, told Reuters six Ukrainian soldiers had been reported killed on Monday and another 26 wounded in shelling by Russian-backed rebels.
The EU extended economic sanctions against Russia on Monday due to a lack of progress in implementing the Minsk ceasefire deal, under which a cessation of fighting was due to be followed by Kiev agreeing to hold local elections in the region.
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Mutterfreuden bei Tennisstar Victoria Asarenka (27). Am Montag bringt die Weissrussin ihr erstes Kind, einen gesunden Buben, zur Welt.
Die Tennis-Szene hat Nachwuchs bekommen. Die zweifache Australian-Open-Siegerin Viktoria Asarenka (27, Weissrussland) gebärt am Montag einen Jungen.
Auf Twitter schreibt die aktuelle WTA-Nummer 13: «Heute hatte ich meinen härtesten Kampf und meinen schönsten Sieg.» Wie der Sprössling heisst, verrät sie nicht. Vater ist ihr Partner Bill McKeague.
Asarenka hatte nach ihrem Aus an den French Open in der 1. Runde im Mai ihre Saison wegen der Schwangerschaft beendet. Wann sie 2017 nach der Babypause zurückkehrt, lässt sie offen. (rib)