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Diplomacy & Defense Think Tank News

Nicht ohne mein Smartphone!

Hanns-Seidel-Stiftung - jeu, 20/10/2016 - 15:29

Die Geschichte des Smartphones begann zwar schon in den 90er Jahren, aber als wesentlicher Meilenstein für seinen Siegeszug muss das Jahr 2007 angesehen werden. Steve Jobs stellte am 9. Januar 2007 das erste Smartphone der iPhone-Reihe von Apple vor. Aus dem Mobiltelefon mit zusätzlichen Funktionen wurde unser digitaler Begleiter für alle Lebensbereiche. Das Smartphone ist heute Telefon, Radio, TV, Buch, Stadtplan, Büro, Lexikon, Kamera, Kaufhaus, Spielekonsole und vieles andere mehr.

Gibraltar, “año cero”: Brexit, cosoberanía y nuevas oportunidades de España

Real Instituto Elcano - jeu, 20/10/2016 - 13:43
ARI 75/2016 - 20/10/2016
Alejandro del Valle Gálvez
El resultado del referendo Brexit sobre la salida del Reino Unido de la UE sugiere considerar la situación de Gibraltar y los cambios en las perspectivas de España sobre la solución a la controversia.

CETA / TTIP : même combat ?

IRIS - jeu, 20/10/2016 - 11:28

En quoi consiste le CETA, ce traité de libre-échange signé entre l’Union européenne et le Canada ? Est-il « progressiste », comme le dit Justin Trudeau, et vertueux pour l’Union européenne ? Pourquoi les Wallons s’opposent-ils au Traité ?

Le CETA fait partie des traités de libre-échange à la mode ces dernières années. Il est proche du TTIP, négocié avec les Etats-Unis. Ces traités ne sont pas nouveaux mais leurs négociations ont été relancées à la suite de la crise de 2008 alors que les pays occidentaux commencent à prendre conscience que le monde a changé. En effet, l’une des conséquences de la crise de 2008, a été de mettre en évidence la montée en puissance d’un certain nombre de pays émergents qui, dans les premiers temps de la crise, continuent à croître voire même développent de nouvelles relations Sud/Sud. La volonté de concrétiser des traités de libre-échange peut alors être interpréter à cette époque comme une démarche défensive : se rapprocher pour se renforcer mutuellement face à d’autres partenaires plus offensifs et disposant d’avantages qui sont devenus inaccessibles (salaires faibles, normes moins contraignantes, etc.).

En cela, en effet, les deux traités CETA et TTIP relèvent de combats similaires et c’est aussi pour ces raisons que les négociateurs des deux côtés de l’Atlantique ont du mal à comprendre les réticences qui entourent les négociations qu’ils mènent. Ils pensent œuvrer pour protéger mais n’ont pas compris que dans la période d’après-crise, le concept même d’un libéralisme porteur de paix et de prospérité ne convainc plus, qu’il est plutôt devenu synonyme dans la perception qu’en a le grand public de spéculation et argent mal gagné pour les uns, et chômage et inégalités pour les autres.

Les points principaux du traité sont-ils similaires à ceux du TTIP, actuellement en négociation entre l’Union européenne et les Etats-Unis ? Pourquoi le TTIP suscite-t-il tant d’oppositions alors que le CETA a tranquillement été négocié ?

La philosophie générale de ces traités est ainsi de faciliter un rapprochement et d’éliminer définitivement toutes les barrières commerciales, tarifaires et non-tarifaires, qui limitent encore nos échanges, afin de compenser les désavantages dont nous souffrons dans nos relations avec les autres régions, notamment la Chine. En effet, les entreprises du Nord partagent certaines contraintes sociales et environnementales auxquelles la Chine et les pays du Sud ne sont pas confrontés. Ces normes pénalisent les entreprises.

Evidemment, les sujets à négocier sont très spécifiques puisque l’essentiel de nos échanges sont déjà peu règlementés après 70 ans de négociations commerciales au sein du GATT puis de l’OMC. Ils portent sur l’ouverture des marchés publics, les normes ou des secteurs spécifiques jusque-là protégés (agriculture et défense par exemple). Ces sujets, s’ils étaient jusque-là restés hors des négociations multilatérales, c’est aussi parce que ce sont des sujets qui fâchent ! Il était donc évident que la tâche pour lever les derniers obstacles au commerce ne serait pas simple.

La grande différence entre les deux négociations TTIP et CETA est probablement que dans le cas du CETA, les parties prenantes sont parvenues à un traité, donc ont réussi à négocier. Cela peut probablement s’expliquer au moins pour partie par la nature des parties prenantes. Le Canada n’est pas les Etats-Unis. Les négociations sur le CETA ont nourri beaucoup moins de soupçons d’asymétrie que les négociations avec le TTIP. L’on reprochait notamment aux Américains de vouloir imposer leurs lois et contraindre les Européens à ouvrir leur marché quand, eux, tiendraient le leur fermé, etc. Les négociations entre le Canada et l’Europe paraissent, en revanche, plus symétriques. De plus, les négociateurs ont probablement profité du remous et de la mobilisation des ONG et de la société civile suscités par le TTIP pour finaliser et signer le traité de libre-échange avec le Canada dans la discrétion et la quasi-indifférence, alors que les négociations sur le TTIP stagnent.

Des traités et des zones de libre-échange fleurissent partout sur la planète (CETA, TPP, ALENA). Est-ce un moyen pour progressivement aboutir sur un monde sans barrières commerciales, tel que le souhaite l’OMC ? Le risque n’est-il pas, au contraire, d’exclure durablement certains pays des échanges commerciaux ?

Le libre-échange n’a jamais soulevé une unanimité. Il modifie les rapports de force et même s’il crée des opportunités pour certains, il détruit et pénalise d’autres. Déjà en 1805, le grand économiste anglais, pourtant libéral qu’est David Ricardo s’était opposé à l’ouverture des marchés du blé au Royaume-Uni au prétexte que cela allait ruiner les paysans anglais (et par là même les aristocrates alors propriétaires terriens !). Il élaborera par la suite sa théorie des avantages comparatifs (1815) où il expliquera qu’in fine, les gains du libre-échange sont plus importants que les pertes. Les faits sont là toutefois, il y a des perdants et ces perdants sont rarement pris en compte et accompagnés, l’idée étant qu’eux aussi sauront saisir les opportunités et/ou profiteront du bénéfice global d’une manière ou d’une autre !

En 1947, le GATT formalisait le fait que les négociations sur le libre commerce devaient être multilatérales pour être équitable et la nouveauté, de ces accords est de sortir de ce cadre et d’être négociés en dehors de l’OMC. Ils résultent du constat d’un certain échec des négociations multilatérales. Mais les difficultés de l’OMC sont aussi un signe de remise en cause vis-à-vis du libre-échange et de mondialisation. Cette défiance vis-à-vis de la mondialisation a vu le jour en 1999, par le biais de la société civile et des ONG qui organisèrent, en marge de la conférence de Seattle, le premier mouvement de protestation contre l’OMC. Les manifestants revendiquaient une réflexion nouvelle sur le libre-échange et la mondialisation. Il aurait fallu accepter cette idée pour anticiper les difficultés que rencontrent le TTIP ou le CETA. Nous sommes, aujourd’hui, dans un contexte de remise en cause profonde du système économique international. Les détracteurs du libre-échange revendiquent un libre-échange au service de l’amélioration du quotidien des êtres humains et des conditions sociales et environnementales. Les traités de libre-échange négociés en petit comité peinent à répondre à ces exigences parce qu’ils manquent d’originalité et ne se sont pas adaptés au contexte. Le plus inquiétant est que cela commence à peser sur les échanges mondiaux qui ont pourtant incontestablement été sources de progrès économique et social partout dans le monde. On constate en effet, depuis deux ou trois ans, un ralentissement de leur croissance. L’on ne peut affirmer, aujourd’hui, que le commerce mondial ne soit plus à la mode, mais que la manière dont il a été conçu, au sortir de la fin de la Seconde Guerre mondiale et plus particulièrement, au début des années 1990, est remis en cause. Il faut alors le repenser. Pourquoi ni le TTIP, ni le CETA n’ont mis au cœur de leurs négociations des dimensions pourtant essentielles comme le changement climatique, le modèle social, les questions agricoles ou énergétiques, etc. ? Ces dossiers échoppent sur des points de vue trop différents entre les pays du Nord et du Sud. Ils auraient pu avancer dans le cadre de comités plus restreints comme les négociations de ces traités !

Sondage : ce que les Français savent, et ne savent pas, des primaires

Fondapol / Général - jeu, 20/10/2016 - 11:01

Le Figaro, le 20 octobre 2016 POLITIQUE Sondage : ce que les Français savent, et ne savent pas, des primaires Une étude de la Fondapol révèle les motivations des électeurs aux primaires de la droite et de la gauche Par François-Xavier BOURMAUD   PRESIDENTIELLE La droite découvre les délices de la primaire, la gauche peine […]

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« Mon message, c’est L’OPTIMISME raisonnable »

Fondapol / Général - jeu, 20/10/2016 - 10:57

Le Parisien, le 20 octobre 2016 ENTRETIEN RÉALISÉ PAR : JANNICK ALIMI, ERWAN BENEZET, LOUISE COLCOMBET, VALÉRIE VHACOT, AYMERIC RENDU ET HENRI VERNET AVEC DOMINIQUE REYNIÉ ET ERWAN LE NOAN DE LA FONDATION POUR L’INNOVATION POLITIQUE   « Mon message, c’est L’OPTIMISME raisonnable »   PRÉSIDENTIELLE : Nathalie Kosciusko-Morizet est la troisième invitée de notre série sur la […]

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Demandez le programme ! Nathalie Kosciusko-Morizet

Fondapol / Général - jeu, 20/10/2016 - 10:49

La Fondation pour l’Innovation politique organise en partenariat avec le Parisien une série d’entretiens avec les candidats à la primaire de la droite et du centre. Découvrez sur notre site, les extraits clés de notre entretien avec Nathalie Kosciusko-Morizet ainsi que les photos prises tout au long de cet échange. Retrouvez le programme de Nathalie […]

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Una España deportiva, más diversa y sin toreros: análisis de los recientes anuncios de promoción turística

Real Instituto Elcano - jeu, 20/10/2016 - 08:12
ARI 76/2016 - 21/10/2016
Pablo Francescutti
Los anuncios muestran, más que la superación del modelo de “sol y playa”, su enriquecimiento con una oferta de escenarios naturales y urbanos y el reclamo de un estilo de vida definido por el deporte, la gastronomía y la sociabilidad.

Das neue Weißbuch – Impulsgeber sicherheitspolitischer Verständigung?

SWP - jeu, 20/10/2016 - 00:00

Sicherheitspolitische Weißbücher erfüllen mehrere Funktionen: Sie informieren den Bundestag und die deutsche Öffentlichkeit, orientieren andere Länder, vor allem Deutschlands wichtigste Partner, über sicherheitspolitische Prioritäten der Bundesregierung und dienen der Kommunikation innerhalb der Bundeswehr. Das Weißbuch 2016, erstes seiner Art seit 2006, steht in dieser Tradition. Die Verfasser suchen Stand und Weg deutscher Sicherheitspolitik neu zu beschreiben, nach Ereignissen und Entwicklungen wie der globalen Finanzkrise, Euro-Turbulenzen, der Aussetzung der Wehrpflicht in Deutschland, den Umbrüchen im Nahen und Mittleren Osten sowie der russischen Annexion der Krim. Öffentlichkeit und Bündnispartner in Nato und EU erfahren recht präzise, was die Bundesregierung sicherheitspolitisch beabsichtigt. Die Konturen der Bundeswehr selbst und ihrer Zukunft bleiben hingegen blass. Der sogenannte Weißbuch-Prozess war auf die Erwartung gegründet, in umfassenden öffentlichen und offenen Diskussionen alle Dimensionen der Verteidigungspolitik zur Sprache bringen zu können. Bei der Fortführung dieses Prozesses kommt es nun darauf an, sicherheitspolitische Erfolge zu bilanzieren, Defizite zu erkennen, Handlungsabsichten zu konkretisieren sowie Vorschläge zu notwendigen Folgearbeiten zu machen.

Heimat bilden in Thüringen

Konrad Adenauer Stiftung - jeu, 20/10/2016 - 00:00
Bereits zu Beginn des Jahres 2015 rief das Bildungsforum Erfurt der Konrad-Adenauer-Stiftung das Projekt „Heimat bilden in Thüringen“ ins Leben. Durch Veranstaltungen sollte den Bürgerinnen und Bürgern in thüringischen Städten und Gemeinden eine Plattform geboten werden, die ein Augenmerk auf eine positive Willkommenskultur und gute Integrationsstrukturen legt sowie einen Austausch von Informationen und Meinungen ermöglicht. Nachdem das Projekt ursprünglich unter dem Namen „Zuwanderung – Gewinn für Kultur und wirtschaftliche Dynamik“ geplant war, galt es mit der Zunahme der Flüchtlinge ab dem Sommer 2015 verstärkt auch auf die aktuellen Notwendigkeiten und die Sorgen und Nöte der Menschen einzugehen. Die vorliegende Publikation fasst die Ergebnisse des Projektes zusammen. Sie sollen zu einer Versachlichung der Diskussionen beitragen, Vorurteile abbauen und Impulse für eine gemeinsame Gestaltung der Zukunft vermitteln.

From Global Promise to National Action: States and Civil Societies Advancing Women, Peace, and Security

European Peace Institute / News - mer, 19/10/2016 - 21:15

On Wednesday, October 19th, IPI together with One Earth Future, and Inclusive Security, cohosted a policy forum on participatory policymaking and the women, peace, and security agenda. Speakers at the event shared their insights on national pathways to more inclusive peace and security, drawing on new research in the Democratic Republic of the Congo, the Philippines, Serbia, and Sierra Leone.


Click here to view the event video on Ustream>>

The number of countries creating national strategies to advance women’s participation in peace and security processes has more than tripled since 2010, from 18 to 63. National Action Plans for implementing Security Council Resolution 1325 on women, peace, and security were conceived to address the gap between prescriptive international frameworks and domestic realities. Nationally designed and owned, they reflect each country’s particular security needs and priorities for peace. How are these plans developed in practice, and what impact do they have?

This event explored new research from four conflict and post-conflict countries: the Democratic Republic of the Congo, the Philippines, Serbia, and Sierra Leone. Panelists from government and civil society examined challenges and opportunities for national action on this front—from new security threats to “localization” of policies and roles for international actors.

The event also took stock of the effects of collaboration between government and civil society when developing and implementing these kinds of participatory peacebuilding policies. It offered lessons and insights for those looking to create and strengthen national plans for women, peace, and security in varied contexts around the world.

Speakers:
Julienne Lusenge, Director, Fund for Congolese Women
Maria Cleofe Gettie Sandoval, former Undersecretary, Office of the Presidential Adviser on the Peace Process, Philippines
Miki Jacevic, Vice Chair, Inclusive Security
Alexandra Amling, Researcher on Women, Peace, and Security, OEF Research

Moderator:
Marie O’Reilly, Director of Research, Inclusive Security

Opening Remarks:
Andrea Ó Súilleabháin, Senior Policy Analyst, International Peace Institute

Social Peace in Countries in Transition

European Peace Institute / News - mer, 19/10/2016 - 19:06
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An expert panel of leaders from the government, financial sector, and civil society came together at IPI’s Middle East Office (IPI-MENA) for a discussion of “Social Peace in Countries in Transition.” The participants agreed that solving the global pension issues will be a prerequisite to acheving peace for these countries, and beyond.

Lundeg Purevsuren, former Foreign Minister and Senior Adviser to the President of Mongolia and Samer Khanachet, Chairman of TAKAUD Savings & Pensions, announced their partnership with IPI on a new project to be based in Manama. The program will be a regional and global effort to tackle the challenges facing pension schemes in the economies of countries in transition.

The project was lauded by Naser Al Belooshi, advisor to the Minister for Political and Economic Affairs, who emphasized the need to take action in a concrete and result-oriented approach.

A number of factors are exacerbating the pensions crisis: people are living and working longer, and family sizes are smaller than in the past. “This sets a platform for generational tensions over limited public resources, in turn putting social peace in jeopardy in the long-term,”,Edward Whitehouse, manager of the World Bank Pension Reform Primer, said. “Pensions are part of a relationship between generations.”

It is IPI’s mission to manage risk and build resilience, so it is only appropriate that our think tank should host a discussion on how to achieve social peace, participants said. Mr. Lundeg, called for the international community to secure social peace by thinking “today about tomorrow.”

In response to a question from the Indonesian Ambassador, Chilman Arisman, on Mongolia’s transition process and its impact on inter-state relations in Asia. Mr. Lundeg highlighted the need for countries like his to adhere to democracy, neighborliness, and social peace.

Daw Nwe Nwe Win, representing Myanmar’s Ministry of Finance, urged TAKAUD, IPI and other international bodies to assist her country in its transitional challenges.

Nejib Friji, Director of IPI-MENA, highlighted the necessity “to cement a trilateral partnership between the government, the private sector, and trade unions” to achieve social peace while tackling the pension challenges. In that vein, Dr. Khanachet called for “wise and proper rules, regulations and laws” to adapt to the dynamic economic context. These regulations should be regularly revisited, he said.

Mr. Friji  referenced the final report of the Independent Commision on Multilateralism, which offers actionable items which can be adopted to remold the the multilateral system  to better address the challenges of the global era. “Pension solutions should be among the multilateral system’s new endeavors,” he said.

This discussion was held on the sidelines of TAKAUD’s “Middle East & North Africa Pensions Conference”  on  October 18th, under the patronage of the Central Bank of Bahrain.

The event was held as part of IPI’s Global Leaders’ Series.

Nejib Friji, moderated the conversation.

Related Coverage:
Strong pension schemes key for a stable nation” (DT News, October 20, 2016)
IPI MENA Hosts Panel on ‘Social Peace in Countries in Transition‘” (IPI MENA Press release, October 19, 2016)

In Arabic:
Al Bilad Newspaper, October 20, 2016
Al Wasat Newspaper, October 20, 2016

Applying HIPPO & UNSG Recommendations to Libya

European Peace Institute / News - mer, 19/10/2016 - 18:36

Representatives from member states, the UN Secretariat, and other experts from civil society organizations and think tanks discussed how to apply the recommendations of the 2015 High Level Independent Panel on peace operations (HIPPO) Review in Libya at an IPI Seminar, held on October 19, 2016. This discussion was held under the Chatham House rule of non-attribution.

This event was part of a series of workshops co-organized by the International Peace Institute, Security Council Report and the Stimson Center, to examine how the recommendations related to mandating, planning, and analysis in the 2015 HIPPO report and the follow-up report of the Secretary-General can be applied to country-specific contexts.

This closed-door workshop, which follows one held on Mali in April (meeting note available here), provided an opportunity to assess the evolving situation in Libya, discuss whether the UN Support Mission in Libya (UNSMIL) is adequately equipped to deliver its mandate given current challenges, and discuss how the Security Council can continue to support the political process in Libya and the good offices role played by the mission ahead of the renewal of UNSMIL’s mandate in December of this year.

In calling for the sequencing and prioritization of mandates to ensure their achievability, both the HIPPO and the Secretary-General’s reports highlighted the importance of setting clear political objectives for missions. Participants discussed the current challenges to the political process in Libya as well as how UNSMIL, and other tools at the Council’s disposal, can be better tailored to support the efforts to reach a political settlement. Participants aimed to arrive at recommendations of how a new mandate for UNSMIL could reflect the prioritization of new objectives.

UN Assistant Secretary-General for Political Affairs, Tayé-Brook Zerihoun, delivered opening remarks. Ian Martin, Executive Director of Security Council Report, and Youssef Mahmoud, IPI Senior Adviser, moderated the workshop.

A meeting note will follow.

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