Vous êtes ici

Diplomacy & Defense Think Tank News

Im Westen nichts Neues? Lateinamerikas internationale Beziehungen nach dem Ende des Rohstoffbooms

SWP - jeu, 13/10/2016 - 17:10
Der Wandel der nationalen Machtverhältnisse der vergangenen Jahre hat auch die Außenbeziehungen der...

Der russische Blick auf den US-Präsidentschaftswahlkampf

SWP - jeu, 13/10/2016 - 16:51

Hillary Clinton und Donald Trump stehen sich in einem beispiellos polarisierten Präsidentschaftswahlkampf gegenüber. Nach wie vor sind die USA ein Hauptreferenzpunkt im russischen Identitätsdiskurs und mit äußerst negativen Konnotationen besetzt. Die in Russland geführte Debatte über den amerikanischen Präsidentschaftswahlkampf gibt wichtige Einblicke in die russische Selbst- und Weltbeschreibung. Sie wird instrumentalisiert, um den anti-westlichen Konsens in der russischen Gesellschaft zu festigen. Über die Zukunft der russisch-amerikanischen Beziehungen sagt sie dagegen wenig aus.

Religion und Nation, Kirche und Staat im Südkaukasus

SWP - jeu, 13/10/2016 - 16:32

Europäische Politik gegenüber dem Südkaukasus muss sich nicht nur mit der politischen und wirtschaftlichen Entwicklung Georgiens, Armeniens und Aserbaidschans sowie ungelösten Territorialkonflikten befassen. Darüber hinaus sollte sie ihre Aufmerksamkeit darauf richten, wie sich das Verhältnis zwischen Religion und Politik, Kirche und Staat in den drei Ländern gestaltet und wie auswärtige Akteure darauf einwirken.

In Armenien und Georgien, den beiden Staaten mit den ältesten christlichen Landeskirchen, gingen »nationale« und »religiöse Wiedergeburt« in nachsowjetischer Zeit eine enge Verbindung ein. Wissenschaftler und Vertreter der Zivilgesellschaft in Georgien warnen vor einem »religiösen Nationalismus«. Die Gefahr bestehe, dass ethnische und konfessionelle Minderheiten ausgegrenzt werden und die von der Bevölkerungsmehrheit unterstützte klare Westorientierung des Landes konterkariert wird. In puncto Einwirkung von außen wird in den letzten zwei Jahren besonders über Russlands Einfluss diskutiert. Mit Hilfe von »soft power« versuchen russische Akteure eine Art orthodoxen Traditionalismus zu fördern, der sich gegen »westliche Dekadenz« wendet. Hier gilt es Stereotypen entgegenzutreten, die zu einer angeblich prinzipiell religionsfeindlichen Haltung Europas und des Westens verbreitet werden.

Aserbaidschan wiederum präsentiert sich als ein im Säkularismus verwurzeltes muslimisches Land mit multikultureller Tradition, das sich erfolgreich gegen von außen beeinflussten »religiösen Extremismus« zur Wehr setzt. Mit dem Hinweis, islamistische Kräfte mit Kontakt zu ausländischen Netzwerken müssten bekämpft werden, rechtfertigt Aserbaidschans Machtelite aber auch ihre autoritäre Herrschaft und stempelt jegliche Form von Opposition, ob säkular oder religiös, als Extremismus ab.

La santé : Un enjeu mondial, stratégique et diplomatique

IRIS - jeu, 13/10/2016 - 11:29

Dominique Kerouedan est médecin spécialiste des politiques internationales de santé, fondatrice de la spécialisation en santé mondiale de l’Ecole des affaires internationales de Paris (PSIA/Sciences Po). Elle répond à nos questions à propos de l’ouvrage “Santé mondiale : enjeu stratégique, jeux diplomatiques” (Presses de Sciences Po) qu’elle a co-dirigé avec Joseph Brunet-Jailly :
– En quoi la santé mondiale est-elle un enjeu géopolitique et stratégique ? Pourquoi l’accès à la santé doit-il être la priorité de la communauté internationale ?
– En quoi les violences extrêmes ont un impact plus conséquent sur la santé que n’importe quelle épidémie ?
– Vous évoquez dans l’ouvrage l’intervention discriminante des bailleurs dans la santé.Comment interpréter cette discrimination ?
– Vous évoquez la concentration de l’organisation de l’aide en santé à New-York et Genève.Pourquoi est-il nécessaire de réarticuler les différents niveaux de décision en matière de santé?

« Dr. Saoud et Mr. Djihad » – 3 questions à Pierre Conesa

IRIS - jeu, 13/10/2016 - 11:09

Pierre Conesa, agrégé d’Histoire, est enseignant à Sciences Po. Il répond à mes questions à l’occasion de son ouvrage : « Dr. Saoud et Mr. Djihad : la diplomatie religieuse de l’Arabie Saoudite », paru aux éditions Robert Laffont et préfacé par Hubert Védrine.

Pourquoi décrivez-vous l’Arabie Saoudite comme une entreprise idéologique qui tient du soft power américain dans la structure, mais serait soviétique dans la méthode ?

J’ai été frappé, en étudiant la diplomatie religieuse de l’Arabie saoudite, de la mise en place d’un système d’influence (un soft power) très efficace, illustré notamment par la propagation réussie du salafisme. La comparaison avec les grands systèmes de soft power connus s’est imposée rapidement : la politique publique de diffusion du wahhabisme est affichée dès la constitution du régime (certaines ambassades incluent un conseiller aux affaires religieuses en contradiction avec la convention de Vienne) ; elle est appuyée par de multiples et richissimes fondations privées, d’ONG à vocation humanitaire ou éducatives… C’est un système « multicouches » qui associe privé et public comme dans le système américain. D’un autre côté, il y a un bras armé très tôt mis en place, la Ligue Islamique mondiale (LIM), qui agit en interaction complète avec les ambassades. La politique de formation de cadres religieux dans l‘université islamique de Médine, qui n’est pas sans rappeler la célèbre Université Lumumba de Moscou, a porté ses résultats dans nombre de pays notamment d’Afrique francophone.  Enfin, la diffusion d’une idéologie totalitaire inoxydable : le salafisme. Le résultat est impressionnant : entre 25 et 30 000 diplômés en une trentaine d’années, dont bon nombre ont pris la tête de structures représentatives des musulmans dans différents pays ; et un budget de 8 milliards de dollars !

Le plus grands succès de ce soft power est probablement d’avoir su rester discret, « au-dessous des radars », au point qu’il n’existe aucune étude sur l’action de la LIM y compris au Quai d’Orsay.

Comment expliquer que la diplomatie occidentale considère l’Arabie Saoudite comme un pays « modéré » ?

Il y a plusieurs explications historiques, qui aujourd’hui devraient être totalement réexaminées :

D’abord, l’Arabie saoudite a combattu le Nassérisme à une époque où les chancelleries occidentales regardaient le nationalisme arabe comme un allié objectif de l’URSS. La diplomatie religieuse de Riyad s’est d’abord structurée en opposition à celle de Nasser, puisque le Royaume accueille les Frères Musulmans persécutés par le Rais. En face du panarabisme, la monarchie promeut le panislamisme ; pour contrer la Ligue arabe, elle crée la Ligue Islamique mondiale ; et pour rivaliser avec l’Université Al Azhar, elle crée celle de Médine qui, grâce à son offre de bourses, attire tous les étudiants du Tiers monde.

Ensuite, lors de l’invasion soviétique en Afghanistan, le royaume devient le relais de la diplomatie américaine pour soutenir les moudjahidines. Le postulat stratégique occidental de la guerre froide est simple : « les ennemis de nos ennemis sont nos amis ». En fait, dès cette date, Riyad mène déjà sa propre action consistant pour l’essentiel à implanter des madrasas wahhabites au Pakistan, dont il sortira les talibans (étudiants en religion).

Le royaume semble aussi faire barrage à l’islam révolutionnaire de Khomeiny, et son argent paiera en partie les armes fournies à Saddam Hussein dans sa guerre contre l’Iran.

Enfin, les industries énergétiques, aéronautiques, militaires, de luxe et BTP sont là pour rappeler aux gouvernants occidentaux l’eldorado qu’est l’Arabie, aspect qui surpasse les questions de droit de l’homme. On remarquera que notre premier ministre souhaite rencontrer des dissidents quand il va en Chine, mais jamais quand il se rend à Riyad. Est-ce parce qu’ils sont tous décapités ? Ou qu’ils vivent à l’étranger ? Ou peut-être parce que les dissidents vivant dans le pays sont encore plus radicaux que le régime et ne souhaiteraient pas du tout rencontrer le chef d’un gouvernement « mécréant » ?

Riyad n’a-t-elle pas créé un monstre qui s’attaque à elle ?

Oui, Riyad est aujourd’hui cernée par les problèmes que sa diplomatie religieuse a suscités :

La rupture avec les Frères musulmans date de la guerre du Golfe, au cours de laquelle les dirigeants de la confrérie soutiennent S. Hussein et rejettent l’arrivée des armées occidentales. Or, les révolutions arabes ont fait sortir des urnes presque partout des équipes fréristes. Riyad préfère aujourd’hui le maréchal Sissi au président égyptien élu Morsi.

La réintégration de l’Iran, depuis la signature de l’accord sur le nucléaire signé à Vienne en juillet 2015, affaiblit la relation de l’Arabie avec Washington. Or l’action anti-chiite est une constante de sa diplomatie religieuse sur la planète entière.

Enfin, et surtout, parce que les radicaux issus du système éducatif saoudien en arrivent à contester la légitimité des Saoud. Déjà, Ben Laden avait critiqué l’appel aux Occidentaux en 1991 et la rupture s’était traduite par une vague d’attentats dans le Royaume. Mais Daech est aujourd’hui une menace bien plus grave. L’Etat islamique a réussi à marginaliser Al-Qaida, à se présenter comme le défenseur des sunnites opprimés par les pouvoirs chiites de Bagdad et de Damas et à symboliser l’Oumma et le seul véritable régime islamique. La proclamation du Califat, commandeur des Croyants, « horizon mythologique » de nombre de musulmans, vient rappeler que les Saoud n’ont aucune légitimité religieuse à diriger l’Oumma et à gérer les lieux saints. Riyad, qui redoute les effets de la guerre contre Daech, s’est donc lancée dans une compétition anti-chiite avec ce dernier, en abandonnant sa lutte contre lui et en attaquant le Yémen. Une fois de plus, ce sont les « mécréants » qui viennent sauver la dynastie puisqu’aujourd’hui seules les forces occidentales (dix pays de l’OTAN et l’Australie) bombardent Daech.

Brexit : Quel divorce pour le Royaume-Uni ?

IRIS - jeu, 13/10/2016 - 10:09

Selon Theresa May, la procédure de divorce entre le Royaume-Uni et l’Union européenne sera lancée avant fin mars 2017. Vers quel Brexit nous dirigeons-nous ?

Lors de la conférence des conservateurs britanniques, Theresa May a annoncé l’activation de l’article 50 du Traité de Lisbonne, désormais prévue avant fin mars. On peut espérer de cette annonce qu’elle déplace la discussion de la forme et du calendrier vers le débat de fond et d’idées. Pour l’instant, le gouvernement britannique ne semble pas prêt à entrer dans le vif du sujet, à esquisser les conditions du divorce ou les modalités précises de la relation entre Londres et le continent. Il fait face en effet à une contradiction majeure : l’accès au marché unique ou le contrôle de l’immigration. Le gouvernement britannique se retrouve dans la position pour le moins paradoxale de faire l’apologie du libre-échange d’une part, et de la sortie du marché unique de l’autre.

L’équation sera difficile. Encore faut-il que les conservateurs la reconnaissent et s’attèlent à sa résolution. Si l’on se tient aux propos de Theresa May la semaine passée, ils ont pour l’heure choisi le déni. A leur tête, une Première ministre qui estime pouvoir négocier un Brexit sans être confrontée à cette alternative, comme elle l’a formulé lors de la conférence des conservateurs.

Mais l’Union européenne ne l’entend pas de cette façon et ses poids lourds politiques l’ont fait savoir. Angela Merkel estime que les deux libertés sont indissociables. François Hollande, pour sa part, affirme que le Royaume-Uni, « ne bénéficiera pas d’un accès au marché unique si les principes de libre circulation ne sont pas respectés ». Jean-Claude Junker, précise que la Commission n’entamera aucune négociation tant que l’activation de l’article 50 ne lui aura pas été notifiée. Quant à Donald Tusk, il fait preuve de fermeté en déclarant que les 27 Etats membres seront en mesure de faire valoir leurs intérêts. Ces réactions sont logiques : ces principes sont inscrits dans les traités, et les Etats membres ne peuvent négocier un accord à la carte sans remettre en cause les principes qui sous-tendent le fonctionnement de l’Union.

Dans les deux camps, on peut s’attendre à une inflation dans la fermeté des déclarations au cours des prochains mois, chaque partie mettant en avant ses lignes rouges. Mais je pense que sur ce point précis au moins le Royaume-Uni sous-estime la détermination des dirigeants européens à défendre quatre libertés fondamentales de l’UE. Les dirigeants britanniques devront, un jour ou l’autre, admettre qu’ils ne pourront tenir les promesses faites durant la campagne en faveur du Brexit.

Ce divorce avec l’Union européenne pourrait-il créer des ruptures au sein du Royaume-Uni, entre notamment les supporters et les opposants au Brexit au sein du gouvernement, du parlement et au sein même du Parti conservateur ?

Je poserais la question inverse : les Britanniques seront-ils en mesure du surmonter les divisons qui minent le pays pour aboutir à une position consolidée, condition sine qua non à la négociation de la procédure de divorce ? Avant d’aborder les questions de fond avec l’Union européenne, il faut tout d’abord que Theresa May se mette d’accord avec elle-même : il ne faut pas oublier qu’elle avait fait campagne (du bout des lèvres certes) contre un Brexit qu’elle doit aujourd’hui mener. Pour ce faire, elle tente aujourd’hui de transformer en consensus national un référendum qui a fracturé le pays, et où 48% des Britanniques se sont prononcés contre le Brexit.

De même, les conservateurs ont cherché à présenter un front uni la semaine passée, alors que les divisions latentes ressurgiront au cours des prochains mois entre les eurosceptiques traditionnels et les défenseurs des intérêts économiques et financiers de la City, favorables au maintien dans le marché unique. Le cabinet britannique doit également se mettre d’accord avec lui-même, puisqu’il est écartelé entre les trois mousquetaires du Brexit (Boris Johson, David Davies, Liam Fox), et le Chancelier de l’Echiquier, qui cherchera à préserver les intérêts de la City. Reste encore Westminster, où le Parlement est divisé sur la question, et les autres instances législatives du pays, comme le Parlement d’Ecosse, vent debout contre une décision qu’ils estiment imposée par Londres. Enfin, la société civile britannique reste meurtrie et profondément divisée sur la question. Ainsi, malgré la volonté des conservateurs de faire du Brexit un consensus national, de profondes divisions et incompréhensions demeurent dans un Royaume-Uni coupé en deux.

Ce divorce pourrait-il en engendrer un autre avec l’Ecosse et l’Irlande du Nord ?

Aujourd’hui, il est impossible de se prononcer sur la question sans savoir de quoi le futur sera fait. Les réactions de l’Ecosse et de l’Irlande du Nord dépendront de la situation du Royaume-Uni au printemps 2017, puis des conditions de sortie qui seront négociées d’ici 2019. A mon sens, tout ne sera pas réglé d’ici là. L’Ecosse et l’Irlande du Nord ne peuvent se positionner tant que l’on ne connait rien des modalités des relations futures entre l’UE et le Royaume-Uni.

Comment l’Union européenne gère-t-elle la question ?

L’UE n’a pas non plus établi de modalités précises quant au Brexit. A bon droit, dans la mesure où elle ne peut entamer de négociations tant que l’article 50 n’a pas été activé, car des discussions informelles entre des représentants britanniques et de différents pays européens ne seraient pas en mesure de prendre en compte l’intérêt des citoyens européens.

Alors que la perspective d’un lancement de la procédure de divorce approche, une équipe de négociation se met progressivement en place autour de Michel Barnier. Le négociateur en chef de la Commission européenne se rendra dans les capitales des Etats membres dans l’optique de sonder les 27.

En attendant, les deux parties adopteront sans doute des postures fermes sur la scène publique. Cela fait partie de la tactique politique qui permet à la diplomatie d’un Etat d’obtenir une plus grande marge de manœuvre dans les négociations.

Religion und Nation, Kirche und Staat im Südkaukasus

SWP - jeu, 13/10/2016 - 00:00

Europäische Politik gegenüber dem Südkaukasus muss sich nicht nur mit der politischen und wirtschaftlichen Entwicklung Georgiens, Armeniens und Aserbaidschans sowie ungelösten Territorialkonflikten befassen. Darüber hinaus sollte sie ihre Aufmerksamkeit darauf richten, wie sich das Verhältnis zwischen Religion und Politik, Kirche und Staat in den drei Ländern gestaltet und wie auswärtige Akteure darauf einwirken.

In Armenien und Georgien, den beiden Staaten mit den ältesten christlichen Landeskirchen, gingen »nationale« und »religiöse Wiedergeburt« in nachsowjetischer Zeit eine enge Verbindung ein. Wissenschaftler/innen und Vertreter/innen der Zivilgesellschaft in Georgien warnen vor einem »religiösen Nationalismus«. Die Gefahr bestehe, dass ethnische und konfessionelle Minderheiten ausgegrenzt werden und die von der Bevölkerungsmehrheit unterstützte klare Westorientierung des Landes konterkariert wird. In puncto Einwirkung von außen wird in den letzten zwei Jahren besonders über Russlands Einfluss diskutiert. Mit Hilfe von »soft power« versuchen russische Akteure eine Art orthodoxen Traditionalismus zu fördern, der sich gegen »westliche Dekadenz« wendet. Hier gilt es Stereotypen entgegenzutreten, die zu einer angeblich prinzipiell religionsfeindlichen Haltung Europas und des Westens verbreitet werden.

Aserbaidschan wiederum präsentiert sich als ein im Säkularismus verwurzeltes muslimisches Land mit multikultureller Tradition, das sich erfolgreich gegen von außen beeinflussten »religiösen Extremismus« zur Wehr setzt. Mit dem Hinweis, islamistische Kräfte mit Kontakt zu ausländischen Netzwerken müssten bekämpft werden, rechtfertigt Aserbaidschans Machtelite aber auch ihre autoritäre Herrschaft und stempelt jegliche Form von Opposition, ob säkular oder religiös, als Extremismus ab.

Der russische Blick auf den US-Präsidentschaftswahlkampf

SWP - jeu, 13/10/2016 - 00:00

Hillary Clinton und Donald Trump stehen sich in einem beispiellos polarisierten Präsidentschaftswahlkampf gegenüber. Nach wie vor sind die USA ein Hauptreferenzpunkt im russischen Identitätsdiskurs und mit äußerst negativen Konnotationen besetzt. Die in Russland geführte Debatte über den amerikanischen Präsidentschaftswahlkampf gibt wichtige Einblicke in die russische Selbst- und Weltbeschreibung. Sie wird instrumentalisiert, um den anti-westlichen Konsens in der russischen Gesellschaft zu festigen. Über die Zukunft der russisch-amerikanischen Beziehungen sagt sie dagegen wenig aus.

Preis Soziale Marktwirtschaft verliehen: Mut zu Innovation, Nachhaltigkeit - und Traditionsbruch

Konrad Adenauer Stiftung - jeu, 13/10/2016 - 00:00
Für ihren Mut und ihre Weitsicht zeichnete die Konrad-Adenauer-Stiftung in der Frankfurter Paulskirche die Familienunternehmerin Brigitte Vöster-Alber aus.

Demandez le programme !

Fondapol / Général - mer, 12/10/2016 - 22:00

          Dans une perspective civique et pédagogique, Le Parisien-Aujourd’hui en France et la Fondation pour l’innovation politique ont décidé de s’associer en menant conjointement une série d’entretiens – intitulée « Demandez le programme ! » – avec les candidats à la Primaire de la Droite et du Centre. Ce partenariat a débuté avec Alain […]

Cet article Demandez le programme ! est apparu en premier sur Fondapol.

Recapturing the Spirit of Reykjavik Summit

European Peace Institute / News - mer, 12/10/2016 - 19:40
Photos

jQuery(document).ready(function(){jQuery("#isloaderfor-zsxdwi").fadeOut(2000, function () { jQuery(".pagwrap-zsxdwi").fadeIn(1000);});});

On October 11-12th, IPI held an event in Reykjavik to discuss the legacy of the historic meeting between the President of the United States Ronald Reagan and the General Secretary of the Communist Party of the Soviet Union Mikhail Gorbachev of exactly thirty years earlier, and to see if and how the “spirit of Reykjavik” could inspire leaders of today to return to negotiations on arms control, reduce tensions between Russia and the West, and reignite the hope of nuclear weapons-free world.

The meeting took place in Höfdi House in the Icelandic capital where Mr. Gorbachev and Mr. Reagan had met for two days of intense negotiations in October 1986. American and Russian negotiators, who witnessed the event, stressed how “Reykjavik changed everything,” and how it marked the beginning of the end of the Cold War. They recalled the statement that the two leaders had agreed to, namely that “nuclear war cannot be won and must never be fought; our countries will not seek military superiority.”

Video messages were sent from George Shultz, who was US Secretary of State at the time, as well as Mikhail Gorbachev. In an impassioned statement, Mr. Gorbachev expressed concern and alarm at the current world situation. He warned that, “unless international affairs are put back on a normal track and international relations are demilitarized, the goal we jointly set at Reykjavik will become more distant rather than closer.” (Watch their full statements here.)

In opening remarks, the major of Reykjavik, Dagur Eggertson, and Iceland Foreign Minister Lilja Alfredsdottir recalled the impact of the meeting on their city and country, and the inspiration that it still holds today. Terje Rød-Larsen, President of IPI, praised the work that Iceland did at that time—with only ten days to prepare—to “make the impossible possible.” He also observed that the choice of location was instrumental for setting a mood that fostered openness and trust.

During a full day of discussions, participants—including current and former diplomats, politicians, arms control experts, academics, and representatives of civil society – recalled the negotiations that went on thirty years ago, and what lessons could be learned for today. Among the points raised was the importance of leadership, treating one’s adversary with decency and respect, and the need for trust. The need for dialogue, even—or especially—in difficult times was emphasized. Concerning the specifics of mediation, several participants underlined the importance of a suitable negotiating environment (like Höfdi House), as well as the combination of both high- and expert-level discussions.

In addition to looking at the past, the event focused on security and cooperation today, particularly relations between Russia and the West. Suggestions were made on how to de-escalate tensions, de-militarize relations, and return to diplomacy. There was also a focused discussion on conventional and nuclear arms control. Several participants warned that the unpredictable and unstructured relationship between nuclear powers created the most dangerous situation since the Cuban Missile Crisis. They suggested that although the time may not be ripe for high-level negotiations, preparations should be made so that ideas can be put forward when there is sufficient political will.

Over lunch, the participants were given a presentation on Iceland’s geo-strategic position between NATO and Russia by President Gudni Th. Johannesson.

Looking ahead, speakers warned of the increased complexity of nuclear issues because of a growing number of states that possess nuclear weapons, as well as malign non-state actors trying to acquire them. The danger of cyber threats to nuclear security was also raised. Participants underlined the need for greater education on arms control, as well as more active engagement of youth in initiatives designed to build trust and confidence.

While the situation today was characterized as unstable, bright spots were highlighted including cooperation among the great powers in the Iran nuclear talks. Participants were encouraged by former Icelandic President Olafur Ragnar Grimsson to never give up, and to keep alive the “spirit of Reykjavik” and the dream of a nuclear weapon-free world. “The Reykjavik summit of 1986 shows that we can change the world,” said Mr. Grimsson.

Related Coverage:
Time to return to the Spirit of Reykjavik (1986)” Remarks by Ambassador Sergey Batsanov, October 13, 2016
The Legacy of the Reykjavik Summit – The Road Ahead” (InDepthNews, October 13, 2016)
Gorbachev calls for peace: Is there a path forward?” (Christian Science Monitor, October 12, 2016)
Acting Under Secretary Tom Countryman Travels to Reykjavik, Iceland” Media Note (US Department of State, October 11, 2016)

In Russian:
Pozner Online, October 17, 2016
Gazeta, October 11, 2016
TASS Russian News Agency, October 10, 2016
Interfax, October 10, 2016
Lenta, October 10, 2016

Kein CETA ist auch keine Lösung

SWP - mer, 12/10/2016 - 16:40

Der Abschluss der europäisch-amerikanischen Verhandlungen über das Transatlantic Trade and Investment Partnership (TTIP) ist mittlerweile zumindest in zeitliche Ferne gerückt. Damit hat das Comprehensive Economic and Trade Agreement (CETA) mit Kanada, bislang meist nur im Zusammenhang mit dem EU-USA-Abkommen wahrgenommen, auch für sich allein an Bedeutung gewonnen. CETA hat vielfältige Kritik ausgelöst, bei der organisierten Zivilgesellschaft vor allem in Deutschland ebenso wie bei europäischen Regierungen wie jenen Österreichs, Belgiens, Rumäniens und Bulgariens. Nun scheint eine politische Einigung näher; auch dank Überzeugungsarbeit der kanadischen Handelsministerin. Noch immer aber kann das fertig verhandelte Abkommen in verschiedenen Stadien gestoppt werden – sowohl im Ministerrat der EU als auch durch fehlende Ratifizierung seitens Europa-Parlament oder nationaler Parlamente. Doch welche der kritisierten Bestimmungen sind in CETA überhaupt noch enthalten, und wie können sie realistischerweise geändert werden? Abgesehen von diesen Fragen ist es an der Zeit, jene Streitpunkte zu benennen, die gar nichts mit dem Abkommen zu tun haben und die von der EU allein gelöst werden könnten.

Les Voix de l'économie : qu'est-ce qu'un impôt juste ?

Institut Montaigne - mer, 12/10/2016 - 15:11
Date: Lundi 14 Novembre 2016

Ölmek ve Öldürmek Niye?

SWP - mer, 12/10/2016 - 14:44

Pages