You are here

Diplomacy & Crisis News

Le Sahara occidental et ses ressources

Le Monde Diplomatique - Tue, 08/03/2016 - 15:05
/ Énergie, Géopolitique, Pétrole, Sahara occidental - Afrique / , , , - Afrique

Unheilvoller Nachbar

Crisisgroup - Mon, 07/03/2016 - 18:18
Emomali Rahmon, Staatspräsident Tadschikistans, spricht gern von demokratischen Werten. Doch seine Präsidentschaft ist geprägt von wirtschaftlicher Stagnation, Korrup­tion und Misswirtschaft. Die einzige Oppositionspartei von Bedeutung, die Partei der Islamischen Wiedergeburt (PIW), wurde zu einer terroristischen Organisation erklärt und verboten. 2015 haben manipulierte Wahlen und Dutzende Festnahmen politische Gegner verstummen lassen; einer der Oppositionsführer wurde im März im türkischen Exil ermordet. Aktivisten haben Angst vor Verfolgung und die Arbeit von Nichtregierungsorganisationen ist gefährdet.

Intervention ist keine Lösung

Crisisgroup - Mon, 07/03/2016 - 18:02
Die aktuelle Debatte über eine internationale Militärintervention in Libyen gegen den so genannten Islamischen Staat beruht sowohl auf dem Bedürfnis des Westens, nach den Anschlägen von Paris am 13. November den IS sichtbar zu bekämpfen, als auch auf der Enttäuschung über das von den Vereinten Nationen vermittelte Friedensabkommen für Libyen vom 17. Dezember 2015.

Presidential Elections in Niger: Tense Climate, Uncertain Future

Crisisgroup - Mon, 07/03/2016 - 17:04
On 21 February, Nigeriens will go to the polls to elect their next leader. The choice will be between incumbent President Mahamadou Issoufou and fourteen other candidates. The previous election in 2011 was seen as the final step toward a peaceful democratic transition after the military coup d’état in 2010. Issoufou’s victory in 2011 was made possible by a second round alliance with other key players in the Nigerien political scene, and had brought about a new wave of optimism among the population, and temporarily restored the country’s image abroad.

Haro sur Schengen

Le Monde Diplomatique - Mon, 07/03/2016 - 15:35
L'Union européenne a annoncé le 15 décembre dernier la création d'un nouveau corps de police chargé de surveiller les frontières extérieures du continent. Un pas de plus dans une fuite en avant sécuritaire qui ne résoudra pas la crise des migrants. / Afrique, Europe, Proche-Orient, Commerce (...) / , , , , , , , , , , , , , , , , , - 2016/01

Le droit d'asile remis en question

Le Monde Diplomatique - Mon, 07/03/2016 - 15:35
/ Europe, Droit, Migrations, Répression, Droit d'asile, Frontières - Migrations et réfugiés / , , , , , - Migrations et réfugiés

Zimbabwe Deep in Limbo

Crisisgroup - Mon, 07/03/2016 - 12:28
There is no end in sight to the hardships faced by the majority of Zimbabweans. Political uncertainty and economic insecurity have worsened as the country struggles to develop the necessary foundation to underwrite a broad-based and sustainable recovery.

FU2016: Foreign Policy’s ‘House of Cards’ Preview

Foreign Policy - Fri, 04/03/2016 - 23:15
We binge-watched Washington’s favorite political thriller -- and its plotlines from Russia to the campaign trail -- so you don’t have to (though you probably will).

Longform’s Picks of the Week

Foreign Policy - Fri, 04/03/2016 - 23:09
The best stories from around the world.

Is a Trans Beauty Contest a Sign of Progress for LGBT Rights in Israel?

Foreign Policy - Fri, 04/03/2016 - 23:04
Tel Aviv will host Israel's first transgender beauty pageant.

The Death Blow to Turkey’s Media

Foreign Policy - Fri, 04/03/2016 - 22:59
As of today, Turkey's largest-circulation newspaper — long a government critic — is no more.

From a Former President to One of Brazil’s Richest Men, Meet The Top Players in the Petrobras Scandal

Foreign Policy - Fri, 04/03/2016 - 22:35
Former Brazilian President Lula da Silva was briefly questioned by police Friday. Here's how he may factor into the Petrobras scandal.

Did Trump Just Reverse Himself On Making the Military Obey Illegal Orders?

Foreign Policy - Fri, 04/03/2016 - 21:56
Can we trust Trump's latest reversal?

Trump Flip-Flops on Promise to Torture Suspects, Kill Families of Terrorists

Foreign Policy - Fri, 04/03/2016 - 21:42
Donald Trump has changed course on his widely-condemned promise to bring back torture and kill families of terrorists.

Do Americans Really Want a Wall?

Foreign Policy - Fri, 04/03/2016 - 20:33
Trump has tapped a powerful vein of nationalist isolationism. A President Hillary Clinton would have a hard time persuading Americans that global leadership still matters.

Defending the Honor of the U.S. Military From Donald Trump

Foreign Policy - Fri, 04/03/2016 - 20:12
To protect the Constitution under a Trump presidency, the U.S. military must refuse any orders to torture.

Now You, Too, Can ‘Breathe’ With Your Very Own Ted Cruz Yoga Mat

Foreign Policy - Fri, 04/03/2016 - 19:56
Ted Cruz is cashing in on Marco Rubio's yoga joke by selling yoga mats.

Brexit : les risques du référendum

Politique étrangère (IFRI) - Fri, 04/03/2016 - 10:00

Suite au sondage réalisé sur ce blog, nous avons le plaisir de vous offrir l’article du numéro de printemps 2016 de Politique étrangère que vous avez choisi : « Brexit : les risques du référendum », par Vivien Pertusot.

À l’évocation de la relation entre l’Union européenne et le Royaume-Uni, le titre de l’ouvrage de Stephen George Awkward partner (« partenaire embarrassant ») vient à l’esprit. Cette relation est le fruit d’une incompréhension entretenue, désormais bien ancrée et jamais réellement combattue au Royaume-Uni. Pourtant, elle recouvre une complexité que l’on ne peut occulter. Les Britanniques restent moteurs sur certains dossiers européens, dont le marché intérieur et le développement. Ils sont un utile mouton noir derrière lequel se cacher. Par ailleurs, la marginalisation croissante du pays n’est pas imputable à Londres seul. Ses partenaires européens se sont progressivement désintéressés du Royaume-Uni et se sont accordés sur une série de mécanismes intégrationnistes dont il ne fait pas partie.

C’est dans ce contexte peu lisible de l’étranger que va se tenir le référendum. Le Premier ministre britannique David Cameron a promis de le tenir avant la fin de l’année 2017. À l’heure où ces lignes sont écrites, les contours d’un accord se dessinent dans les négociations menées entre les 27 états membres et Londres ainsi donc que la tenue prochaine du vote.

Le débat britannique sur le Brexit et le référendum à venir incitent à s’interroger sur quatre risques. Le premier est la possibilité bien réelle d’une une sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne. Le deuxième est lié au fait que le résultat du référendum ne marquera pas la fin du débat outre-Manche sur l’UE, et pourrait même engendrer un climat politique chaotique. Le troisième renvoie à la cohésion de plus en plus fragile du Royaume-Uni. Enfin, le quatrième risque touche à l’attitude du reste de l’Union qui, trop pressée d’en finir avec cet épisode, pourrait ne pas justement mesurer les conséquences du maintien, ou la sortie, du Royaume-Uni.

Le Brexit est possible

La réélection de David Cameron, et surtout la majorité absolue obtenue par le parti conservateur aux Communes, ont rendu inévitable la tenue d’un référendum sur l’appartenance du Royaume-Uni à l’Union européenne.
La question posée est désormais connue : « Le Royaume-Uni doit-il rester membre de l’Union européenne ou quitter l’Union européenne ? »

Le risque d’un Brexit ne doit pas être balayé, tant l’euroscepticisme est omniprésent au Royaume-Uni. Cinq facteurs sont communément admis pour expliquer ce phénomène : la géographie, l’histoire, la politique, l’économie et les médias. L’insularité du Royaume-Uni et sa forte tradition maritime sont des éléments identitaires très forts. Deuxièmement, le Royaume-Uni – ou plutôt l’Angleterre – a historiquement cherché à maintenir
un équilibre des puissances en Europe afin de prévenir l’émergence d’une puissance hégémonique continentale. En outre, l’issue de la Seconde Guerre mondiale joue un rôle central dans l’histoire contemporaine britannique.
Contrairement aux pays continentaux, le Royaume-Uni n’a pas éprouvé l’urgence de construire une Europe kantienne : son armée avait su repousser la Wehrmacht. Surtout, l’intégration au projet européen en 1973 constituait plus le constat d’une rétraction du statut international du pays qu’un moyen de le restaurer. Troisièmement, le Royaume-Uni est un ardent défenseur de son système démocratique parlementaire. Toute entrave à cette souveraineté est vue avec méfiance. Quatrièmement, le Royaume-Uni est une nation fondamentalement tournée vers le commerce international. Avant de rejoindre la Communauté économique européenne (CEE), le Royaume-Uni commerçait moins avec l’Europe qu’avec le reste du monde. Enfin, il est difficile de savoir si la presse nourrit l’euroscepticisme, ou si elle s’adapte à un euroscepticisme persistant des Britanniques, mais il est indéniable que la couverture négative de nombreux quotidiens influe sur le débat.

Lire la suite en intégralité sur Cairn.info.

S’abonner à Politique étrangère.

PE 1/2016 en librairie !

Politique étrangère (IFRI) - Wed, 02/03/2016 - 13:13

Le nouveau numéro de Politique étrangère (1/2016) vient de paraître ! Il consacre un dossier aux migrations en Afrique, sous un regard qui se veut à la fois novateur et différent, ainsi que de nombreux articles liés à l’actualité comme le retour de la question allemande, les rivalités entre l’État islamique et Al-Qaïda, le Brexit ou encore l’évaluation du poids de l’armée russe.

Les déplacements des Africains concernent massivement…l’Afrique seule. Se préoccuper des migrations internationales, c’est donc porter le regard bien au-delà des conjonctures européennes. Ce numéro de Politique étrangère s’y attache, tentant de décrire (dans son dossier Migrations en Afrique : un regard neuf) les déterminants multiples des mouvements migratoires, les tentatives des États du continent noir pour gérer le problème majeur des déplacés internes, les difficultés d’intégration des migrants du travail dans les sociétés d’accueil, ou les faux-semblants des accords euro-africains de réadmission…

Dans une Europe confrontée à ses « polycrises », y a-t-il un retour de la question allemande ? – thème de notre rubrique Contrechamps – ? Sans doute oui. Non que l’Allemagne le souhaite, mais du fait de son poids propre, parfois de l’incertitude de ses choix, et surtout du doute fondamental, existentiel, des Européens sur eux-mêmes, sur les conditions de leur entente. Un doute qui valorise, dans les faits, les positions allemandes.

Le Moyen-Orient s’enfonce dans la tragédie, et cette livraison de Politique étrangère propose de multiples réflexions : sur les rivalités inter-djihadistes, les risques de contagion vers des pays encore vaguement stables, sur les rapports de force militaires sur le terrain, ou sur les logiques internes qui gouvernent l’acteur turc – joueur décisif dans toutes les hypothèses.

Avec, sous-jacente, une question qu’on avait en Occident chassée depuis vingt ans, et que l’actualité nous ré-impose : que vaut vraiment l’armée russe ?…

* * *

Découvrez le sommaire complet ici.

Téléchargez le dossier de presse ici.

Lisez gratuitement l’article d’Isabelle Facon, « Que vaut l’armée russe ? », ici.

Achetez le numéro 1-2016 de Politique étrangère ici.

Abonnez-vous à Politique étrangère pour les 4 numéros de l’année 2016  ici ou à cette adresse : revues@armand-colin.com.

 

Examining the current state of Nigeria

Crisisgroup - Wed, 02/03/2016 - 12:26
E.J. Hogendoorn, Deputy Africa Program Director, joins a panel discussion as part of the "Examining the current state of Nigeria" event that took place on 29 February 2016 at the Brooking Institution, Washington D.C.

Pages