La pénurie de devises étrangères dans les pays d'Afrique subsaharienne, qui résulte de la baisse des cours du pétrole et des matières premières, est en train de s'adoucir. Mais il faudra du temps aux fonds souverains, aux banques et aux entreprises pour retrouver leur santé financière, d'après une étude publiée lundi 22 mai par l'agence de notation Moody's.
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La banque islamique de développement (BID) a signé des accords avec la Tunisie, le Mali et la Gambie, via sa filiale, la société islamique internationale de financement du commerce (SIFC), afin de financer le développement du secteur des matières premières stratégiques.
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Dans son étude annuelle sur les perspectives économiques de l'Afrique, rédigée par la Banque africaine de développement (BAD), le Programme des nations unies pour le développement (Pnud) et l'Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) soulignent l'importance pour les États africains d'entamer une révolution industrielle.
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Concernant "la santé, l'éducation et le niveau de vie", un tiers des pays africains ont atteint des niveaux de développement "moyens ou élevés", selon un rapport publié lundi par la BAD, en partenariat avec l'OCDE et le Pnud.
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Se basant comme à son habitude sur des données purement scientifiques, l’association Sirius prévoit le premier jour du ramadhan 1438 le samedi 27 mai.
Selon un communiqué diffusé hier par l’association présidée par le Pr Jamel Moumouni, enseignant au département de physique à l’université Mentouri de Constantine ets vice-président de l’Union arabe d’astronomie et des sciences de l’espace, toutes les conditions météorologiques prévues pour la veille, soit le jour du doute, seront favorable pour permettre de voir le croissant du mois de ramadhan.
Toutefois, le physicien tient à préciser que seul le Comité des croissants lunaires du ministère des Affaires religieuses est habilité à émettre la fatwa sur la date effective du début du ramadhan.
Selon les explications du président de l’association, la nuit du 29 du mois de chaâbane ou « Nuit du doute « étant pour l’Algérie le vendredi 26 mai 2017, il sera possible pour l’Algérie et le monde arabe de voir le croissant du mois de ramadhan 1438 ce jour-là.
En effet la conjonction lunaire (l’instant où la lune sera le plus proche de la ligne terre-soleil), ayant lieu le jeudi 25 mai à 20h44 d’Algérie et donc l’âge du croissant lors du coucher du soleil le vendredi soir sera suffisant pour qu’il soit visible assez facilement pour des observateurs expérimentés pour la partie nord de l’Algérie et facilement pour la partie sud. Si le croissant est effectivement observé, le premier jour du ramadhan devrait être le samedi 27 mai pour l’Algérie.
Le seul cas de figure qui nécessiterait, prévoit-il, de compléter le mois de chaâbane à trente jours et donc de débuter le mois de ramadhan le dimanche 28 mai serait que les conditions météo et atmosphériques soient mauvaises pour toute l’Algérie, ce qui en cette période de l’année et pour un vaste territoire comme notre pays est fortement improbable. Les pays du Golfe en général feront face, quant à eux, poursuit le communiqué de l’association, à un potentiel dilemme.
En effet, la Nuit du doute étant pour eux le jeudi 25 mai alors que la Lune naîtra après le coucher du soleil ce jour-là, il sera strictement impossible de voir en toute logique un croissant qui ne sera pas encore né. Cependant l’expérience des années précédentes nous fait redouter la possibilité qu’il soit « vu » malgré tout.
Cependant, s’ils n’entérinent pas un croissant invisible chez eux le jeudi 25 mai, ces pays devraient compléter le mois de chaâbane et annoncer le premier du Ramadhan le samedi 27 mai 2017. Notons que cette situation où le jour du 29 de chaâbane diverge, est dû au fait, comme on peut s’en assurer facilement dasn des éphémérides, qu’ils ont débuté le mois du Chaabane un jour avant, ce qui était astronomiquement possible.
La conjonction lune – soleil ayant lieu la veille de la Nuit du doute, l’âge du croissant lunaire pour l’Algérie et les pays dont le vendredi 26 mai correspond au 29 du mois de Chaâbane sera suffisant pour être vu sans problème à l’œil nu. Aussi nous dirigeons-nous vers un début du Ramadhan le samedi 27 mai 2017 pour l’Algérie.
Pour les pays arabes qui, en général (à part le Maroc et Oman), suivent l’Arabie Saoudite, nous espérons que la raison prévaudra et qu’il ne soit pas déclaré vu un croissant invisible le jeudi soir, ce qui leur permettra de débuter le mois de jeûne probablement avec nous. Pour les autres pays d’Afrique, la visibilité du croissant est entre bonne et très bonne le vendredi toujours.
Pour les pays musulmans d’Asie, la visibilité est possible le vendredi à divers degrés de difficulté, et ils devraient donc tous annoncer le mois le samedi 27 mai 2017. Sauf à entériner un croissant invisible le jeudi pour certains pays, le monde musulman devrait pouvoir converger vers un début de Ramadhan le samedi 27 mai, conclut le communiqué.
La formation du nouveau gouvernement est en train de se faire par ceux qui sont censés le faire, a indiqué le ministre.
Animant hier un point de presse en marge d’une conférence que son département a ganisée à l’Ecole supérieure de journalisme autour du thème «le droit à l’image: problèmes d’aujourd’hui et défis de demain», le ministre de la Communication Hamid Grine a réaffirmé l’information d’agréer incessamment de nouvelles chaînes de télévision privées.
«J’ai dit qu’elles seront agrées après les élections législatives, mais je n’ai pas donné de date précise.», a répondu Grine sur une question portant sur la date exacte à laquelle seront donnés ces fameux agréments. Répondant par ailleurs sur une autre question relative aux nouvelles dispositions prévues dans le nouveau cahier des charges devant régir le secteur de l’audiovisuel, Hamid Grine s’est contenté de dire «qu’effectivement il y aura un nouveau cahier des charges global et un autre spécifique pour chaque chaîne de télévision.
Les dispositions de ces cahiers des charges seront divulgués au moment opportun», a-t-il indiqué, précisant que la réponse à cette question est du ressort du président de l’Arav. Pour ce qui est de la formation du nouveau gouvernement qui est en train de se discuter et l’éventualité de son maintien ou non au poste dans le futur gouvernement, Hamid Grine a indiqué «que la formation du gouvernement se fait par ceux qui sont censés le faire. Quant à mon maintien ou départ je ne le sais pas. Il y a une chose dont je suis sûr par contre; si je ne serai pas reconduit, je tiendrai à dire merci au président de la République».
Concernant la question à savoir s’il avait exhorté ou non les directeurs des chaînes de télévision privées quant à la nécessité de ne pas diffuser des programmes incitant à la violence et autres programmes contraires à la culture des Algériens durant le mois de Ramadhan, le ministre de la Communication a fait savoir «qu’une réunion aura lieu prochainement pour débattre de ce sujet.
Les directeurs des chaînes de télévision y seront invités». Le ministre de la Communication s’est dit toutefois confiant en les directeurs de ces chaînes. «Nous les avons interpellés avant la campagne électorale des législatives pour éviter tout dépassement et ils ont respecté nos instructions», a-t-il fait remarquer. Le respect de la déontologie et de l’éthique, pour le ministre de la Communication, est désormais une vérité palpable en Algérie. «Cette vérité nous la vérifions chaque jour. Nous sommes très loin de l’époque où les journaux ouvrent avec des insultes et des accusations gratuites contre des responsables», s’est-il félicité. Le cycle de conférences que le ministère de la Communication a initié depuis 2014 en faveur des journalistes a beaucoup contribué à cette évolution de la part des professionnels des médias. «Pourtant nous n’avions pas la prétention. Nous sommes allés pour informer les journalistes et nous avons fini par les former; tant mieux pour nous tous», a dit Grine.
S’exprimant en dernier sur la fusion des six journaux publics (El Moudjahid, Echaâb, El Massa, Horizons, El-Djoumhouria et Ennasr), dans un même groupe, le ministre de la Communication a rappelé que ces quotidiens ne seront pas transformés en hebdomadaires et il n’y aura pas de licenciement de journalistes ou d’employés. «L’objectif de cette démarche, est de dynamiser les trois secteurs (presse, impression, publicité et communication) et mutualiser les efforts pour créer une synergie de groupe», a-t-il affirmé, en rappelant que cette organisation a été validée par le CPE. Présentant pour sa part la conférence d’hier, Philippe Bertil Cottier, professeur de droit à l’université de Lausanne en Suisse a indiqué que n’importe où dans le monde, en matière de droit à l’image, il n’y avait pas encore une véritable cohérence et homogénéité de la protection déontologique et juridique du droit à l’image.
«C’est quelque chose qui est en chantier, basée sur des principes assez vagues, qu’on essaie de développer en fonction des spécificités de chaque pays.» En Algérie par exemple, le cadre juridique parlant du droit à l’image stipulait qu’il fallait protéger la vie privée des personnes, mais sans pour autant en préciser les modalités pratiques», a souligné le conférencier. Le concept de la vie privée est un concept à géométrie variable, a précisé Phillipe Bértil Cottier. La vie privée dans le cas d’une personne célèbre et d’un personnage public est très difficile à déterminer. «Le consentement de ces personnes pour les prendre en images peut s’avérer problématique», a-t-il ajouté, recommandant quelques méthodes pratiques pour les journalistes de s’en sortir, telles que par exemple d’occulter les visages de personnes et de prendre des photos des lieux publics de travers…etc.
La Constitution de 2016 a ancré politiquement une démocratie flexible et octroyé une identité spéciale à l’économie nationale.
Les réformes que l’Algérie a introduites ces dernières années étaient aujourd’hui impératives et nécessaires, a indiqué hier le ministre de l’Industrie et des Mines Abdessalem Bouchouareb, à partir de Jordanie.
Le ministre qui se trouve dans ce pays pour participer à une séance de dialogue sur les réformes de la région Mena tenue en marge du Forum économique mondial en mer Morte en Jordanie, a déclaré que cette batterie de nouvelles réformes a été rendue possible grâce à la nouvelle Constitution.
«La nouvelle Constitution de 2016 a ancré politiquement une démocratie flexible en Algérie et octroyé une identité spéciale à l’économie nationale à travers de nouvelles lois ayant accompagné davantage et d’une manière efficace la croissance économique actuelle, notamment la loi sur les investissements à laquelle on avait introduit 22 articles en vue de faciliter les investissements étrangers et locaux», a ajouté Bouchouareb. «Cette loi est aujourd’hui reconnue par la Banque mondiale et le FMI, vu ses avantages et motivations qui tiennent compte de la mutation profonde et effrénée dans le monde, à laquelle notre économie doit s’adapter si nous voulons avoir la place qui nous revient parmi les nations», a soutenu le ministre. Outre la contrainte de réformer les bases de l’économie nationale pour faire d’elle une économie forte, les dernières réformes qu’a introduites l’Algérie ont été initiées aussi «pour pouvoir prétendre à la compétitivité internationale devenue rude, a expliqué l’hôte de la Jordanie. Très optimiste comme d’habitude, le ministre de l’Industrie et des Mines a affirmé qu’il n’ y a désormais aucune raison pour que les réformes introduites ne réussissent pas.
«La stabilité et la sécurité qui sont deux facteurs essentiels pour la réussite des réformes de toutes natures existent en Algérie», a souligné le ministre. S’attardant sur les atouts de la sécurité et de la stabilité dont jouit l’Algérie en ce moment, Abdessalem Bouchouerab a fait part de tout le cheminement par lequel est passée l’Algérie pour atteindre ce stade devenu aujourd’hui un exemple à suivre pour les pays du monde entier. Ainsi, le ministre a parlé de la politique de Réconciliation nationale prônée par le président Bouteflika depuis 1999. Sur le plan économique, l’Algérie a pu tenir durant toutes ces années, indique le ministre, grâce «au pacte social conclu entre le gouvernement, le patronat et les syndicats.
«Ledit pacte a gagné aussi l’adhésion des citoyens algériens qui étaient totalement convaincus de l’importance d’aller de l’avant en faveur de la réalisation des réformes», a enchaîné Bouchouareb.Et d’expliquer en outre «que la stabilité et la sécurité nous ont permis d’engager des réformes et des mutations de deuxième génération sur le plan politique, à travers l’amendement de la Constitution, qui a consacré la démocratie et le pluralisme équitable et a permis, pour la première fois, d’ériger l’économie nationale en économie libre à caractère social».
Le ministre a ajouté que «les réformes et l’amendement de la Constitution ont permis également de promulguer plusieurs lois, considérées comme une base juridique permettant de promouvoir l’économie, à même de changer toutes les lois financières» précisant que ces réformes «ont amélioré le climat d’investissement et offert des opportunités aux entreprises pour qu’elles assurent leur continuité et garantissent une compétitivité internationale à leurs produits».
Par ailleurs, Abdessalem Bouchouareb a saisi cette occasion pour mettre en exergue les réalisations de l’Algérie vis-à-vis des jeunes afin qu’ils puissent contribuer au processus de développement dans divers domaines, soulignant le rôle de la loi relative aux petites et moyennes entreprises (PME), dans le soutien aux micro-entreprises en faveur de la création de richesses. S’agissant de l’énergie et de la transition énergétique en Algérie, le ministre a évoqué le programme élaboré par l’Algérie, portant production de 22 000 mégawatts d’énergies nouvelles et renouvelables, dans le cadre de la diversification de l’usage de l’énergie et de la préparation de son passage à l’après-pétrole et gaz. Abdessalem Bouchaouareb a mis surtout en avant l’importance des réformes opérées sans cesse sur l’économie nationale, ainsi que l’importance d’avoir une vision commune dans la prise de décision qui permet la diversification et la promotion de l’économie nationale.
Cinq praticiens, faisant partie d’une équipe médicale française, ont entamé hier, dimanche 21 mai, des consultations médicales dans la wilaya de Khenchela, rapporte l’agence officielle.
Inscrite dans le cadre d’une convention de coopération entre les deux pays, cette action vise l’échange des expériences dans le domaine de la santé et la formation du personnel médical et paramédical, a indiqué le chargé de communication de la wilaya, Mohamed Taybi.
La visite de la délégation médicale française s’inscrit dans le cadre des opérations de jumelage entre des staffs médicaux algériens et français.
Arrivés samedi à Khenchela, les membres de la délégation se sont dirigés vers l’hôpital de la commune de Kais et celui des 120 lits du chef-lieu de wilaya en vue de lancer une session de formation au profit du personnel de ces deux structures de santé portant sur la gestion des services médicaux, s’agissant des bureaux d’accueil et la gestion du dossier du malade.
Les consultations réservées aux malades de la wilaya par le staff médical français concernent l’orthopédie, la rhumatologie et l’oncologie pédiatrique, a-t-on indiqué de même source.
Le RND est devenu désormais un parti-Etat, et de ce fait, le secrétaire général du RND veut bien approfondir l’ancrage de sa structure politique pour qu’elle puisse détrôner la mainmise du FLN.
Le Rassemblement national démocratique (RND) a instruit ses nouveaux députés à soutenir le candidat du parti du Front de Libération nationale (FLN) à l’élection à la présidence de l’Assemblée populaire nationale (APN), a indiqué hier un communiqué du parti. Le secrétaire général du RND, Ahmed Ouyahia, a réuni hier les nouveaux députés du parti au cours d’une rencontre qui a été «l’occasion de les informer de la désignation de leur chef de groupe parlementaire, en la personne de Belabès Belabès, député de Djelfa et membre du bureau national et de les doter des premières instructions pour l’accomplissement de leur mission parlementaire, à travers notamment, le soutien du candidat du parti du FLN à l’élection à la présidence de l’APN, l’appui au gouvernement dans la mise en oeuvre du programme de Son Excellence M.Abdelaziz Bouteflika, président de la République», précise le communiqué du parti.
Cette rencontre a été également une occasion d’instruire les nouveaux députés de «développer la concertation avec les groupes parlementaires des autres partis qui participeront au gouvernement et de maintenir un contact permanent avec la population dans leurs circonscriptions électorales tout en contribuant au règlement de ses préoccupations auprès des autorités locales et nationales». Cette réunion s’inscrit dans la logique post-électorale des législatives du 4 mai dernier. Il vient de faire le deuxième pas dans la démarche entreprise pour permettre au RND de se hisser au rang de deuxième parti dans le pays, à savoir de désigner le chef de groupe parlementaire qui n’est autre que le militant du RND, Belabes Belabes, député de Djelfa et membre du bureau national. La rencontre s’est attelée à instruire les députés fraîchement élus sous la bannière du RND pour qu’ils puissent accomplir leur charge dans la sérénité et le respect des directives de la direction nationale.
L’ex-chef du gouvernement rappelle aussi à ses députés qu’ils doivent apporter leur appui total au gouvernement prochain, et de ce fait apporter un soutien fort au programme du président de la République Abdelaziz Bouteflika. C’est une réunion politique par excellence, elle s’est attardée sur la nécessité de développer la concertation avec les groupe parlementaires des autres partis qui vont participer au prochain gouvernement. Avec ses directives, Ouyahia montre la voie aux députés quant aux autres joutes électorales, à savoir les locales de novembre de l’année en cours et l’élection présidentielle de 2019. Le RND est devenu désormais un parti-Etat, et de ce fait, le secrétaire général du RND veut bien approfondir l’ancrage de sa structure politique pour qu’elle puisse détrôner la mainmise du FLN au sein des institutions politiques de l’Etat. Dans ce sens, Ouyahia joue sur la rigueur au sein du RND pour maintenir cette cadence en termes d’acquis qu’il vient d’engranger, et du coup, préparer le RND à des rôles plus importants dans la gestion des affaires politiques du pays.
Une rencontre entre les opérateurs algériens et tunisiens a été organisée, hier, afin d’examiner les opportunités de partenariat dans différents domaines économiques.
Initiée par les chambres de commerce et d’industrie de Boumerdès et celle du gouvernorat de Sousse, englobant Kairouan et Mahdia, ladite rencontre, programmée pour deux jours, s’inscrit dans le cadre de la volonté des deux États, algériens et tunisiens, de renforcer et de promouvoir leur relation de coopération. Le représentant principal de la chambre de commerce tunisienne notera, dans cette optique, « que le nombre d’investisseurs algériens en Tunisie, jusqu’en 2016, est de l’ordre de 56.
Ces derniers, spécialisés dans des secteurs hors hydrocarbures, comme le textile et les industries mécaniques, auront permis, jusque là, de créer pas moins de 2 900 postes d’emploi, dont 890 au niveau du gouvernorat susmentionné. Ce pôle économique du centre de la Tunisie, consolidé par trois universités, 31 centres de formation professionnelle et d’autres instituts, est réputé pour ses multiples activités touristiques, agricoles et industrielles. «Nous sommes là pour profiter de l’expérience tunisienne, notamment en matière d’investissement touristique», reconnaîtront des opérateurs algériens.
Et beaucoup d’entre eux sont tentés de coopérer avec leurs homologues tunisiens, selon le principe gagnant-gagnant, tant en Tunisie qu’en Algérie. «Vivement intéressé par notre activité, consistant en la création de postes de transformation électriques 10 kW et 30 kW en béton armé, un opérateur tunisien est prêt à engager un marché pour nous deux, avec la compagnie d’électricité de son pays (STAG)», expliquera le directeur technique d’une entité industrielle algérienne privée, en l’occurrence M. Hahemzizou Mohamed.
Accosté juste avant de prendre la direction de la salle d’embarquement, Ghislain Guessan, puisque c’est de lui qu’il s’agit, nous a parlé de la rencontre de ce mercredi qui les opposera à Caps United au Sports International Stadium de Harare. Entretien.
Entrons dans le vif du sujet, comment comptez-vous aborder ce match contre Caps United ?
Le plus normalement du monde. Ce ne sera pas notre premier dans cette compétition ni le dernier d’ailleurs. Nous allons faire en sorte de bien le négocier. Même si notre mission s’annonce compliquée, nous avons des atouts à faire valoir. Rien n’est impossible, à nous donc de faire ce qu’il faut pour la gérer de la meilleure des manières possibles. Les joueurs de l’équipe adverse voudront certainement saisir cette occasion pour nous battre et se racheter après la défaite qu’ils ont concédée en Égypte face au Zamalek. De notre côté, nous avons une grosse envie de confirmer le résultat décroché à domicile lors de la première journée.
Votre équipe peut-elle gagner au Zimbabwe ?
Bien sûr ! Je n’ai aucun doute là-dessus. Il suffit juste que nous croyions en nos chances et que nous soyons solidaires une fois sur le terrain. Nous avons déjà montré par le passé que ce groupe a un grand potentiel et que les joueurs peuvent briller lorsqu’ils sont mis dans de bonnes conditions.
Êtes-vous prêt à tenir votre rôle ?
Je pense que la question ne se pose même pas. J’ai toujours répondu présent jusque-là. Et puis, tant que je suis du voyage avec mes coéquipiers, cela veut dire que je le suis. Je vais continuer à fournir des efforts en attendant que je sois récompensé. Je me sens bien et si le coach fait appel à moi, je ferai en sorte de briller et d’être à la hauteur de la confiance placée en moi.
Avez-vous une idée sur cette équipe de Caps United ?
Bien sûr, et il faut savoir aussi que nous aurons le temps qu’il faut pour superviser notre adversaire avant d’aborder cette partie, ce qui ne pourra que nous être utile et bénéfique.
Entretien réalisé par Mohamed Z.
Les derniers résultats des matches joués le week-end dernier, à savoir les victoires de la JSK du CSC et surtout du DRBT à Batna, n’ont pas été favorables à l’USMH qui se voit désormais rattrapée par les équipes sous la menace d’une relégation. Pourtant il y a une semaine seulement, c’est-à-dire juste après le nul arraché à l’ESS à Sétif, les Jaune et Noir se voyaient leur survie parmi l’élite très grande. Mais les choses ont beaucoup changé depuis samedi dernier. Curieux de connaître les chances de maintien de leur équipe, la plupart d’entre eux passent leur temps à faire des calculs qui s’avèrent toujours favorables à l’USMH. Si les fans harrachis croient fermement à cette éventualité, ce n’est pas le cas pour beaucoup d’observateurs, qui connaissent parfaitement ce qui se passe dans notre football, qui savent pertinemment que lors des derniers matches les pratiques extra sportives font leur apparition. En effet, pour ceux qui connaissent les engrenages savent que le titre ou le maintien ne se jouent pas uniquement sur le terrain. Le jeu de coulisses, les combines et la corruption sont monnaie courante dans les championnats un peu partout dans le monde. Ce genre de pratiques sont souvent des atouts déterminants qui permettent à un club de devancer d’autres prétendants. Si l’on tient compte de ces facteurs extrasportifs qui souvent influent sur les résultats des matchs, on doit dire que rien n’est encore sûr pour l’USMH. C’est pourquoi les fans restent inquiets avant ce match contre le CSC ou toutes suppositions sont à prévoir.
Contre le CSC, le match à ne pas rater
A J-4 du match contre les Constantinois, les Harrachis doivent impérativement mettre de côté la dernière rencontre face à l’ESS et penser à celui du CSC qui est plus important. Depuis hier, l’équipe a entamé sa préparation pour cette affiche. Le duo Bechouche-Benomar devra mettre tout son savoir-faire pour apaiser un peu la tension et garder l’espoir de voir l’équipe réussir un bon résultat. Reste à savoir maintenant si ce travail portera ses fruits ce week-end face au CSC. De toutes les façons, les Jaune et Noir n’ont d’autre choix que d’arracher un résultat positif à Lavigerie où un faux pas aura sûrement des retombées négatives sur le groupe. Il est vrai que le staff technique banlieusard ne va pas négliger les autres aspects, à l’image du travail technico-tactique. Hier à l’occasion de la reprise des entrainements, les deux techniciens qui assurent l’intérim ont mis en garde les joueurs. La prochaine rencontre de championnat prévue ce vendredi contre le CSC à El Harrach est décisive pour l’avenir du club car le moindre faux pas peut coûter cher à l’USMH.
Pas de changement en perspective
Le staff technique semble avoir une idée précise sur son onze type qui affrontera le CSC ce vendredi. Récemment, Benomar nous a fait savoir que des joueurs ont su saisir leur chance et s’imposer alors que d’autres n’ont rien démontré et risquent même de ne pas figurer sur sa liste. L’ancien milieu de terrain n’a pas voulu divulguer la liste de son onze face au CSC afin de conserver la sérénité du groupe qui devra encore travailler durant les deux jours à venir mais, tout porte à croire qu’il fera confiance aux mêmes éléments qui ont réussi à arracher 5 points lors des trois dernier matches.
Bechouche : On doit faire attention, la moindre déconcentration peut nous coûter très cher »
Conscient de l’importance d’un résultat positif, Bechouche nous dira : «J’estime que cette rencontre sera autant sinon plus difficile que toutes les autres, surtout lorsqu’on sait que notre adversaire du jour n’a pas encore assuré son maintien Ligue 1 Mobilis. Cela rend notre tâche plus dure. Malgré la difficulté, je pense qu’on a les moyens nécessaires de passer cet obstacle. Avec un peu plus de concentration, nos joueurs ont les moyens de passer cet obstacle, il nous faut faire preuve de perspicacité, de lucidité mais surtout de détermination. Les joueurs devront être très combatifs et auront à gagner des duels dans tous les espaces du jeu. Cela demandera une grande débauche d’énergie mais aussi de l’intelligence. Ça sera le prix à payer si on veut remporter cette rencontre.» Quant à la stratégie que l’équipe devra adopter lors de ce match, le procédé est on ne peut plus simple : «Sur le terrain, les joueurs doivent jouer avec les tripes et mordre dans le ballon, tout en restant concentrés et assidus durant 90 minutes. La moindre déconcentration peut nous coûter très cher, il faut reconnaître que nous avons affaire à un adversaire difficile à jouer et il ne s’agit pas de passer à côté. Pour cela, les joueurs auront à prendre des initiatives personnelles quand l’opportunité se présentera.»
Les joueurs conscients de l’importance d’une victoire
En perspective du match décisif pour l’avenir du club contre le CSC prévu ce vendredi, Younes, le milieu de terrain, et ses coéquipiers sont déterminés à sortir le grand jeu afin d’arracher un succès dès ce week-end. Pour le meneur de jeu harrachi, la victoire est obligatoire et le meilleur cadeau à offrir aux supporters qui attendent un enchainement de résultats positifs après le nul arraché à Sétif.
Quelques absences à la séance de reprise
La reprise des entrainements qui a eu lieu hier matin a été caractérisée par l’absence de quelques joueurs. Une grande majorité d’entre eux sont arrivés très en retard et ont justifié leur absence par un encombrement de la circulation routière dans toute la wilaya d’Alger
C’est quelques minutes avant le décollage de l’avion de Tassili Airlines que nous avons pu passer un instant avec le premier responsable du staff technique. Ce dernier a accepté de nous parler du prochain match de son équipe en nous déclarant à ce sujet : «Je suis entraîneur et c’est très grave si je n’ai pas une idée sur notre prochain adversaire. J’ai essayé d’avoir le maximum d’informations. À présent, je peux vous assurer que j’ai une idée précise sur cette équipe zimbabwéenne. Une formation qui a des points forts mais aussi des faiblesses que nous essayerons d’exploiter pour réaliser la meilleure performance possible. Nous savons que notre mission ne sera pas facile mais nous comptons faire ce qu’il faut pour procurer de la joie à nos supporters et les rendre encore une fois fiers de nous.» Pour rappel, la rencontre se jouera mercredi et le retour au pays se fera en début de soirée.
«Le fait d’avoir un effectif au complet me soulage»
L’ancien sélectionneur du Burkina Faso s’est montré par la suite heureux de pouvoir compter sur un effectif presque au complet. «Mis à part Benkhemassa, tous les autres joueurs sont prêts à tenir leur rôle. Ça me soulage surtout que nous avons besoin des services d’un élément comme Beldjilali.» Il est nécessaire de rappeler que l’ancien joueur de l’Étoile sportive du Sahel a été l’un des artisans de la victoire décrochée lors de la première journée de cette phase de poules mais des douleurs au niveau de la cuisse l’ont obligé à déclarer forfait pour la réception du MCO, un match joué et gagné mardi passé sur le score de deux buts à un qu’il a dû suivre à partir de chez lui.
«Nous défendrons nos chances à fond»
Pour conclure, le technicien belge a parlé des chances de son équipe à Harare. «Nous allons débuter cette partie à chances égales. Nous avons un bon coup à jouer, mais aussi un nom à défendre. Il va falloir que nous soyons costauds pour espérer décrocher un bon résultat. Nous allons défendre nos chances à fond ensuite le destin aura son mot à dire.» Le président Haddad a lui aussi exigé une victoire à Koudri et ses camarades mais ce n’est qu’après la fin de la partie qu’on saura si leur message est passé ou si les Rouge et Noir doivent faire plus d’efforts afin qu’ils soient à la hauteur de la confiance placée en eux.
Mohamed Z.
Mauvaise nouvelle pour les Belouizdadis : Tarek Cheurfaoui pourrait probablement manquer le derby face au MCA. Et ce en raison de douleurs au niveau du métatarse du pied gauche suite à sa blessure lors de l’ultime séance de la semaine dernière. Le capitaine du Chabab, qui s’est présenté à la séance d’hier matin, s’est contenté de discuter avec les membres du staff technique et médical. Son retour à l’entrainement devrait s’effectuer aujourd’hui ou demain mais sa participation ce week-end reste tout de même très incertaine. Pour le remplacer, le staff technique devrait compter sur Khoudi ou Aich.
« J’espère être prêt pour le derby »
Approché hier matin au 20-Août, le capitaine du Chabab de Belouizdad s’est exprimé sur sa blessure affichant au passage son envie de prendre part au prochain derby face au Mouloudia. « Je souffre de douleurs au niveau du métatarse. Je n’arrive même pas à porter des chaussures. Mais je ne perds pas espoir de prendre part au derby face au MCA. D’ailleurs, je devrai reprendre les entrainements progressivement et on verra d’ici la fin de semaine si les choses évoluent dans le bon sens pour moi », a-t-il déclaré.
Au micro de SFR Sport+, après le succès vain obtenu contre Everton, le technicien français a admis que cette 5e place est extrêmement rageante :
« Nous sommes trop courts d’un point. Malheureusement, on n’est pas dans les quatre premiers pour la première fois depuis vingt ans, a-t-il confié. C’est une grosse déception pour tout le club. D’un autre côté, sur les dix dernières années, c’est peut-être l’un des meilleurs totaux qu’on ait fait ».
Wenger l’a mauvaise, mais il n’est pas abattu pour autant. Il garde confiance en son groupe et en sa capacité à retrouver les sommets rapidement : « On a connu un gros coup de mou après l’élimination en Ligue des champions. Mais après le groupe s’est bien ressaisi. Aujourd’hui, on a encore gagné à dix après avoir perdu Laurent Koscielny. Le groupe est costaud, il faut le garder ensemble. Je pense qu’il sera assez fort pour gagner le Championnat ». Des propos relayés par Goal.
Leicester City a été tenu en échec aujourd’hui par Bourenmouth au King Power Stadium lors de la 38e journée de la Premier League. Les deux joueurs algériens de Leicester, Riyad Mahrez et Islam Slimani, ont été titularisés par le coach, Shakespeare. Mieux encore, les deux joueurs ont pris part à l’intégralité de ce match qui s’est soldé sur le score de parité de un but partout. L’ancien joueur du CRB a été l’auteur de la passe décisive du but inscrit par son coéquipier, Vardy.
Danny Simpson : «Si Mahrez reste, Leicester pourra viser l’Europe la saison prochaine»
Evoquant l’avenir de Leicester City et sa capacité à viser une place qualificative pour une compétition européenne la saison prochaine, le joueur des Foxes Danny Simpson a expliqué que cela est lié à l’avenir des cadres de l’équipe tels que Mahrez : «On réalisera d’autres exploits la saison prochaine si Mahrez reste avec nous. On parle toujours entre nous sur la possibilité de rééditer l’exploit de se qualifier pour une compétition européenne la saison prochaine.»
Faouzi Ghoulam continue de livrer de belles prestations avec le Napoli en fin de saison. Avant-hier soir, les Napolitains ont écrasé la Fiorentina sur le score net et sans appel de quatre buts à un. Le défenseur arrière gauche de l’EN a disputé l’intégralité de cette rencontre et a livré une belle prestation en contribuant à ce succès. Le Napoli, et à une journée de la fin du championnat, reste en course pour décrocher la seconde place du classement, synonyme de qualification directe pour la LDC.
De Laurentiis insiste pour le garder
Dans un autre registre, la presse italienne continue d’évoquer l’avenir de Faouzi Ghoulam. Alors qu’il sera en fin de contrat avec son team en juin 2018, le joueur en question n’a pour l’instant toujours pas encore prolongé son bail avec le Napoli. D’après la presse italienne, le président, Aurelio De Laurentiis, veut à tout prix conserver Ghoulam et semble prêt à tout pour répondre favorablement à ses exigences.