Legkésőbb október 30-áig elbírálja a belügyminiszter a szociális tüzelőanyag-pályázatot, amelynek kiírása hétfőn jelent meg a kormányzati portálon.
A Gazdaságfejlesztési és Innovációs Operatív Program (GINOP) keretében 2015. augusztus 28-ától érhető el az „Újgenerációs NGA és felhordó hálózatok fejlesztése” című pályázat, amelynek segítségével hazánk minden háztartása számára elérhetővé válik a legalább 30 Mbit/s sávszélességű internet-hozzáférés– jelentette be Rákossy Balázs európai uniós források felhasználásért felelős államtitkár.
« Nous avons la montre, ils ont le temps », pouvait-on penser au moment de l’annonce du retrait d’Afghanistan de l’Otan et des taliban. En réalité, ce proverbe n’était pas tout à fait exact… En effet, le mouvement taleb vient d’admettre qu’il a caché la mort du mollah Omar, son chef suprême, pendant deux ans afin de […]
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Radikális jobboldali tüntetők megrohamozták az ukrán parlament épületét hétfőn, azt követően, hogy a törvényhozás első olvasatban elfogadta az ukrán alkotmány decentralizációs módosítását, amely nagyobb önrendelkezést biztosít a helyi közösségeknek. Az eddigi információk szerint a tüntetők valamilyen robbanószerkezetet dobtak a rendőrsorfalba, legalább tíz rendőrt sebesítve meg a helyi hatóságok közlése szerint. A rendőrök láb-, kéz-, szem- és fejsérüléseket szenvedtek, egyiküknek a detonáció térdből letépte az egyik lábát.
Tribune de Laurence Daziano parue le 24 juillet 2015 dans Le Point.fr. Pour l'auteure, la France a un rôle central à jouer dans la redéfinition de la relation de l'Europe avec la Russie. Une relation à rétablir absolument.
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La frontière, cette ligne invisible née au XVIe siècle dans son acception moderne d’une ligne étroitement définie, a connu son apogée au XXe siècle, à la suite du premier conflit mondial : frontière politique, bien sûr, celle qui marque la limite de l’autorité de l’Etat et de l’effet des lois, frontière militaire avec la construction de murs (ligne Maginot, ligne Siegfried), frontière administrative avec la généralisation des contrôles d’identité ou encore frontière idéologique matérialisée par une barrière comme le Rideau de fer. Dans les pays autoritaires, communistes surtout, on a même inventé les frontières intérieures avec la nécessité d’obtenir une autorisation pour se déplacer.
La frontière, c’est bien plus qu’une ligne juridique, c’est le fantasme d’un espace homogène qui protège de l’autre, définit par rapport à l’autre : il y a le dedans et le dehors, le national et l’étranger, la sécurité et la menace… La suppression de ces fronts et frontières a longtemps été un rêve, celui où les êtres humains pourraient circuler librement d’un espace à l’autre, une revendication libertaire dans un monde qui ne cessait d’accentuer les contrôles sur les hommes et les femmes alors qu’il libéralisait les mouvements des marchandises et des capitaux.
La chute du communisme soviétique, en 1989, et la libération des peuples d’Europe de l’Est ont laissé croire que ce moment était enfin arrivé : c’était la fin de l’histoire. Dans la foulée, l’Union européenne, née d’un rêve de paix, a réalisé le premier espace sans frontière de l’histoire moderne en supprimant en 1995, avec la convention de Schengen, le contrôle à ses frontières intérieures. Mais, l’exemple européen n’a pas été suivi.
Bien au contraire : les frontières et les murs se sont multipliés. Non seulement les murs existant, comme celui qui sépare les deux Corées ou Chypre du Nord et Chypre du Sud, ne sont pas tombés, mais ils se sont multipliés à travers la planète, soit pour des raisons militaires, soit, et c’est la majorité des cas, pour stopper les mouvements de personnes. Mur entre Israël et les Territoires occupés, mur entre les Etats-Unis et le Mexique, mur entre la Corée du Nord et la Chine, mur entre l’Inde et le Bangladesh, mur entre le Botswana et le Zimbabwe, etc. Pis, l’Union s’est mise à son tour à construire des murs à ses frontières extérieures : entre l’Espagne et le Maroc, entre la Bulgarie et la Turquie, entre la Grèce et la Turquie, entre la Hongrie et la Serbie.
La frontière s’est même sophistiquée : elle est physique, mais aussi dématérialisée. Caméras de surveillance, systèmes informatiques perfectionnés (SIS, Système d’information Schengen, ou PNR, Passenger Name Recorder), surveillance satellitaire et aérienne, etc. Mieux : elle n’est plus limitée à une simple ligne. Dans l’espace Schengen, les contrôles peuvent avoir lieu sur une bande de 20 kilomètres de part et d’autre des frontières extérieures, mais aussi intérieures, dans le pays d’origine via les visas, dans les aéroports. La frontière est désormais partout. Le XXIe siècle a déjà dépassé le XXe siècle.
Et pourtant, on entend de bonnes âmes réclamer le rétablissement des frontières intérieures de l’Union afin d’enrayer l’afflux de migrants ou le terrorisme (au choix). Cette mystique de la frontière, qui se renouvelle sans cesse, ne devrait pas, en bonne logique, s’arrêter aux frontières nationales : pourquoi ne pas rétablir les barrières d’octroi (placées à l’entrée des villes) ou les livrets de déplacement intérieur afin de contrôler les allées et venues de chacun, puisque le terrorisme est surtout le fait de nationaux…
Une exagération ? Même pas. Cette logique de surveillance générale est déjà à l’œuvre, puisqu’il faut bien traquer les présumés terroristes et les clandestins : la loi française sur la sécurité intérieure et les contrôles systématiques d’identité sont là pour le montrer. L’idéologie de la frontière étanche aboutit à l’extension de son domaine naturel à l’ensemble du territoire : tous suspects !
Une frontière, c’est le renoncement à de nombreuses libertés : liberté de se déplacer et de travailler, droit au respect de sa vie privée, obligation des autorités de justifier un refus d’entrée, etc. Dès lors que la frontière est partout, l’arbitraire administratif est partout. La sécurité a un prix, la liberté. Et qu’importe que cela ne fonctionne pas : aucune frontière n’a jamais rien empêché. L’armée allemande qui tirait pourtant à vue n’est jamais parvenue à contrôler la frontière avec l’Espagne, pas plus que le mur entre les Etats-Unis et le Mexique n’empêche l’afflux de Latino-Américains. La Méditerranée, une belle frontière naturelle pourtant, ne dissuade pas les migrants de risquer la mort pour fuir conflits et misère. Les murs qui ont échoué, de la Grande Muraille de Chine au Rideau de fer en passant par le mur d’Hadrien, auraient pourtant dû nous apprendre quelque chose sur le sort des empires qui s’isolent.
N.B.: éditorial paru dans Libération du 27 août
ELIAMEP Briefing Note 36/2015 explores whether Somalia could be stabilised in the future. It is written by Research Associate of Middle Eastern Research Programme of ELIAMEP Mr Eleftherios Mastrotheodoros.
Let me start by thanking Prime Minister Cerar for his invitation, hospitality and for welcoming me in Bled. This place is one of the most beautiful in Europe and the world. Unfortunately, the reality is not as nice as this place.
My visit to Slovenia, and later to Croatia, is the first one after the summer break. But the challenges facing Europe take no holidays. First of all, we talked at length about the ongoing migration crisis. This is the most important issue for Europe today. The summer has confirmed that migration will remain a key issue for Europe in the years to come.
The European Union cannot and should not be blamed for the migration crisis, but we need to do more at European level to solve it. We have to alleviate the unbearable human suffering and tragedies that have become almost daily news stories in Europe now. In short, the European Union has to help provide solutions to the major problems facing European citizens and countries today.
And this is exactly what we are trying to do. In April I called an emergency summit on the migration crisis in the Mediterranean. In June, the European Council agreed a new policy for relocation, resettlement and return that is now being implemented. In October the European Council is meeting again. In November, I will chair the Malta Conference where European and African leaders will meet and try to find practical solutions to this shared problem. Likewise will there be a high-level conference on migration along the Western Balkans route. And only yesterday, the Luxembourg Presidency of the Council called an emergency meeting of Justice and Home Affairs ministers to assess the situation on the ground, discuss next steps - to strengthen the European response. This will include Frontex, the EU border agency, the European Asylum Support Office and more work on our return policy, international cooperation as well as investigation and measures to prevent trafficking of migrants. Today this may be the most urgent challenge. As we have witnessed both in Austria and in the Mediterranean, human trafficking and smuggling of migrants are not only a dirty business, it is in fact mass murder. And smugglers today are potential mass murderers. We must do everything we can to stop it.
So a lot of work is ongoing. But the truth is that this is a very complex problem and requires a complex set of actions. There are no quick-fixes. Had there been, they would have been used long time ago. The reasons for the unprecedented levels of migration are war, conflict, failing states and poverty. I have no doubt that in the short term, we need to concentrate our efforts on containing the inflow of migrants - obviously in a humane way respecting all legal obligations.
Today, the Prime Minister and I had a good exchange on what the European Union is already doing - in terms of assistance and migration - and how we can target our efforts even more. This is as much a problem in the South as in the Western Balkans.
Finally, we also discussed the situation in the Western Balkans. Slovenia's experience and knowledge of the region is of great value. The Prime Minister and I shared ideas how the European Union can and should help create more stability and prosperity. And we agree that enlargement should remain a strong priority for the EU. Thank you.
Donald TUSK, President of the European Council, visits Slovenia on 30 and 31 August 2015.