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Measuring sustainable development progress in Peru using multivariate latent Markov models

Development is a complex phenomenon that involves economic, social, and environmental transformations. In recent decades, sustainable development (SD) has gained prominence as a policy objective, emphasizing balanced progress in economic growth, social inclusion, and environmental protection. However, measuring SD progress remains challenging, given the need to consider such multiple dimensions, which often show trade-offs; this is especially true in developing countries such as Peru, where rapid socioeconomic changes coexist with environmental degradation. Traditional metrics, such as GDP or composite indicators such as the Human Development Index, often fail to capture the multidimensional and dynamic nature of SD, especially in terms of the environmental side. This paper employs a multivariate latent Markov model (LMM) to assess Peru's progress toward SD from 2004 to 2017, incorporating economic, social, and environmental indicators. LMMs are advantageous, as they account for unobserved heterogeneity and state transitions between sustainability levels over time, offering a nuanced understanding of SD dynamics. Our findings reveal that while Peru experienced economic and social improvements during the study period, the inclusion of environmental factors in the SD measure curbs overall progress, highlighting potential trade-offs between poverty reduction and environmental quality. The results underscore the importance of integrating environmental considerations into SD strategies, particularly in the context of rapid economic growth. This study contributes methodologically by applying a dynamic and data-driven approach to measuring SD and provides valuable information on the interaction among its dimensions.

Présidentielle au Bénin : Romuald Wadagni, dauphin de Patrice Talon

France24 / Afrique - Mon, 01/09/2025 - 12:32
À neuf mois de la fin du mandat du chef de l’État béninois, l’héritier politique de Patrice Talon est désormais connu. Romuald Wadagni a été officiellement désigné dans la nuit de samedi à dimanche par des responsables des deux partis de la mouvance présidentielle, ainsi que par des personnalités influentes, selon des cadres de la coalition au pouvoir. Ministre de l’Économie et des Finances depuis l’arrivée au pouvoir de Patrice Talon en 2016, Romuald Wadagni est ainsi propulsé au premier plan de la scène politique.
Categories: Afrique

Kenya : nouveau charnier lié à une secte

France24 / Afrique - Mon, 01/09/2025 - 12:28
Le Kenya est sous le choc après l’exhumation de 32 corps dans le village de Kwa Binzaro. Ces dépouilles seraient liées à la secte chrétienne extrémiste déjà mise en cause dans la mort de plus de 400 personnes dans la forêt de Shakahola il y a deux ans. Cette découverte relance les critiques contre les autorités, accusées de ne pas avoir tenu leur promesse de sévir contre les mouvements sectaires.
Categories: Afrique

Germany resumes resettlement of Afghans over legal pressure

Euractiv.com - Mon, 01/09/2025 - 12:12
The ten families, en route to Germany on Monday, only received visas after they went to court
Categories: European Union

The Question of Israel’s Right to Exist Is a Red Herring

Foreign Policy - Mon, 01/09/2025 - 12:00
Critics should be talking instead about regime change.

L'Afrique Réelle n°189 - Septembre 2025

L'Afrique réelle (Blog de Bernard Lugan) - Mon, 01/09/2025 - 11:31
Sommaire

Actualité
- Le désastre sahélien
- La crise du pétrole africain
Histoire : La guerre du Rif
- Le front espagnol
- La France et la guerre du Rif
GénétiqueLes Carthaginois étaient des Berbères


Editorial de Bernard Lugan
Afrique du Sud et Algérie, les dernières buttes témoin de l’idéologie anti-impérialiste des années 1960
Buttes témoin de la période des luttes tiers-mondistes, l’Afrique du Sud et l’Algérie, deux pays sans passé national et créés par la colonisation, ont leurs références historiques et leurs définitions diplomatiques bloquées sur les années 1960. L’anti-impérialisme était alors le moteur central de nombreux mouvements politiques, culturels et intellectuels à travers le monde. Dans le contexte de la décolonisation et de la Guerre froide, le bloc de l’Est utilisait l’anti-impérialisme comme argument idéologique. L’URSS et la Chine se présentaient alors comme alliées des luttes du tiers-monde (Vietnam, Algérie, Cuba, Afrique du Sud). 
Depuis, le monde a changé, l’Union soviétique est redevenue la Sainte Russie et les Gardes rouges chinois se sont transformés en capitaines d’industrie…Le train de l’histoire est donc passé, mais l’Algérie et l’Afrique du Sud sont restées sur le quai de la gare… en compagnie de quelques pays dont l’horizon diplomatique est également bloqué sur une horloge arrêtée au siècle dernier, à la décennie 1960.
Dans l’affaire du Sahara occidental, l’alignement de l’Afrique du Sud sur les positions algériennes est parfaitement compréhensible. Il s’inscrit en effet dans la permanence de liens politiques et idéologiques noués à l’époque de la lutte contre l’apartheid, lorsque des militants de l’ANC s’entraînaient militairement à Tindouf aux côtés des membres du Polisario.
Dans sa politique anti-française, la vie politique algérienne semble quant à elle être obstinément bloquée sur le rétroviseur de la guerre d’indépendance des années 1954-1962.
Dans les deux pays, l’histoire n’est pas tant la connaissance du passé, qu’une thérapie nationale à travers l’addition de mythes et d’affirmations péremptoires de nature idéologique destinés à valoriser, ou même à inventer un passé glorieux.
Ecrire l’histoire de l’Algérie et celle de l’Afrique du Sud contraint à un choix. Soit suivre la trame de l’histoire officielle écrite par les plumitifs du FLN ou de l’ANC, ou bien s’en affranchir, mais en acceptant alors par avance les attaques et les procès d’intention. En Algérie comme en Afrique du Sud, l’historien est d’abord un vengeur de l’histoire dont la fonction est de s’affranchir d’un traumatisme existentiel. Et il le fait en s’accrochant à un passé reconstruit et même fantasmagorique, toujours inscrit dans le contexte des définitions idéologiques des années 1960. D’où l’impossibilité de réviser une histoire devenue dogme, toute critique étant vue comme du néo-colonialisme ou comme du racisme.
Categories: Afrique

Das Pflichtjahr für Babyboomer ist eine Chance für alle

Viele Ältere haben Angst vor einem verpflichtenden sozialen Jahr. Dabei wäre es für niemanden so sinnvoll wie für sie selbst. Und das ist keine Strafe., Mein Vorschlag eines Pflichtjahres für Rentnerinnen und Rentner, insbesondere für die Babyboomer-Generation, hat heftige Kritik ausgelöst. Viele empören sich angesichts der Idee, ältere Menschen nach Eintritt in den Ruhestand noch einmal verpflichtend in den Dienst der Gesellschaft zu stellen – etwa ...

Gaza is ‘primary focus’ of the EU Commission, say four top officials

Euractiv.com - Mon, 01/09/2025 - 10:58
Teresa Ribera, Marta Kos, Hadja Lahbib and Michael McGrath tell civil servants that the EU's values are "non-negotiable"
Categories: European Union

Trump’s push to control Fed poses ‘very serious danger’, says Lagarde

Euractiv.com - Mon, 01/09/2025 - 10:56
The European Central Bank chief also expressed "concern" about the impact of France's political turmoil on the eurozone economy
Categories: European Union

Ce que nous savons jusqu'à présent sur le tremblement de terre meurtrier en Afghanistan

BBC Afrique - Mon, 01/09/2025 - 10:49
Le relief montagneux de la zone sinistrée constituera un obstacle majeur pour les opérations de sauvetage.
Categories: Afrique

What is at stake in Malawi's elections?

BBC Africa - Mon, 01/09/2025 - 10:48
Two political rivals go head-to-head once again in the hotly contested 16 September poll.
Categories: Africa

Wasserstoff: Bedeutung für Länder mit niedrigem und mittlerem Einkommen

Bonn, 1. September 2025. Deutschland und die Europäische Union verfolgen ehrgeizige Strategien zur Dekarbonisierung ihrer Gesellschaften, mit Wasserstoff als Energieträger und Rohstoff für industrielle Prozesse. Im Einklang mit den Klimazielen muss der verwendete Wasserstoff in kohlenstoffarmen Verfahren hergestellt werden. Idealerweise ist dies grüner Wasserstoff, der durch Elektrolyse unter ausschließlicher Verwendung erneuerbarer Energien gewonnen wird. In dem lange vorherrschenden optimistischen Diskurs wäre die globale Versorgung mit Energieträgern künftig nicht mehr an die vorhandenen Öl-, Gas- oder Kohlevorkommen gebunden. Vielmehr könnte Wasserstoff überall dort hergestellt werden, wo ein gutes Potenzial für Wind-, Solar- oder Geothermie besteht. Dies würde neue Möglichkeiten für Länder mit niedrigem und mittlerem Einkommen eröffnen. Die in den Strategien festgelegten Ziele sind sehr ehrgeizig. In der Wasserstoffstrategie von 2023 rechnet Deutschland für 2030 mit einer Elektrolyseurkapazität von 10 GW. Da dies nicht ausreichen würde, um die erforderlichen Mengen an H2 zu produzieren, könnten Importe 50 % bis 70 % des gesamten Wasserstoffbedarfs decken.

Fünf Jahre nach Veröffentlichung der Wasserstoffstrategien ist die Euphorie der Enttäuschung gewichen. In Deutschland waren bis zum ersten Quartal 2025 nur 170 MW Elektrolysekapazität installiert worden, und das Ziel von 10 GW bis 2030 gilt als nicht mehr erreichbar. Aus internationaler Sicht ist die Lage nicht besser. Laut der Internationalen Energieagentur haben derzeit nur etwa 7 % aller weltweiten Wasserstoffprojekte eine endgültige Investitionsentscheidung durchlaufen und werden daher wahrscheinlich umgesetzt.

In den letzten Monaten gab es zahlreiche Berichte über gestrichene H2-Projekte. Dies betrifft alle Elemente der Lieferkette: Im Juli 2025 stoppte das spanische Energieunternehmen REPSOL ein 200-MW-Projekt in einer Raffinerie in Puertollano, eines der größten geplanten H2-Projekte in Europa. Monate zuvor hatten Equinor (Norwegen) und RWE (Deutschland) ihre gemeinsamen Pläne für eine Wasserstoffpipeline durch die Nordsee annulliert. Diese Pipeline hätte eine zuverlässige Versorgung von Industriekunden in Deutschland und Europa mit Wasserstoff ermöglicht. Kürzlich lehnte der zweitgrößte Stahlproduzent der Welt, ArcelorMittal, ein Angebot der deutschen Regierung ab, mehr als eine Milliarde Euro an Subventionen für die Dekarbonisierung von zwei Stahlwerken zu beziehen. Das Unternehmen sieht die langfristige Versorgung mit Wasserstoff als unsicher an und befürchtet, dass grüne Technologien ihm einen Wettbewerbsnachteil gegenüber internationalen Konkurrenten verschaffen könnten.

Es gibt viele Gründe für die strukturelle Krise beim Ausbau der Wasserstoffwirtschaft. Besorgniserregend ist, dass die beteiligten Unternehmen nicht nur weiche Faktoren (wie unklare Vorschriften) anführen, die bei entsprechenden politischen Willen schnell überwunden werden könnten. Vielmehr argumentieren sie mit den wirtschaftlichen Grundlagen der H2-Wertschöpfungsketten: Wasserstoff ist nach wie vor deutlich teurer als fossile Brennstoffe wie Erdgas. Potenzielle Kunden sind nicht bereit oder in der Lage, für Wasserstoff deutlich höhere Preise zu zahlen als für weniger klimafreundliche Alternativen. Darüber hinaus sind mehrere Elemente der Wasserstoffversorgungsketten technologisch noch nicht ausgereift, wie beispielsweise das Cracken von Ammoniak, um den Transport von H2 in Form eines besser geeigneten Derivats zu ermöglichen.

Trotz all dieser Schwierigkeiten gehen wir davon aus, dass H2 eine Zukunft hat und sich ein Wasserstoffmarkt entwickeln wird, sobald die Umsetzungslücke überwunden werden kann. Die meisten Länder fühlen sich an ihre Klimaschutzverpflichtungen gebunden, und einige Sektoren können ohne Wasserstoff als Energieträger oder Rohstoff kaum dekarbonisiert werden. Darüber hinaus wird die angewandte technische Forschung fortgesetzt, mit dem Potenzial, den Wasserstoffausbau wieder auf die Tagesordnung zu setzen.

Wie sollten Länder mit niedrigem und mittlerem Einkommen und die internationale Zusammenarbeit auf den aktuellen „Wasserstoff-Limbo“ reagieren? Eine abwartende Haltung würde unnötig Zeit kosten. Sinnvoll ist, die Umsetzung von H2-Projekten fortzusetzen und sich dabei auf H2-basierte Lösungen für Herausforderungen der nachhaltigen Entwicklung zu konzentrieren. Zwei Beispiele: 1) Wasserstoff kann zur Dekarbonisierung der Düngemittelindustrie beitragen. Eine dezentrale Düngemittelproduktion auf Basis von emissionsarmem Wasserstoff kann die Ernährungssicherheit in Afrika unterstützen, Treibhausgasemissionen reduzieren und zur Weiterentwicklung der Wasserstofftechnologien beitragen. 2) Als Alternative zur Elektrolyse kann Wasserstoff aus Abwasser gewonnen werden, z. B. durch Fermentation. Dadurch können Umweltbelastungen (z. B. die Eutrophierung von Gewässern) und Gesundheitsrisiken im Zusammenhang mit städtischen Abwässern verringert werden.

Werden verschiedene Entwicklungsziele gleichzeitig verfolgt, verlieren die Kostenunterschiede zwischen Wasserstoff und konventionellen Technologien an Bedeutung. Die skizzierten alternativen Technologien sollten in Forschungspartnerschaften mit dem Globalen Süden entwickelt werden; als wichtiger Bestandteil einer multilateralen Wasserstoffstrategie zur Bewältigung globaler Herausforderungen.

Wasserstoff: Bedeutung für Länder mit niedrigem und mittlerem Einkommen

Bonn, 1. September 2025. Deutschland und die Europäische Union verfolgen ehrgeizige Strategien zur Dekarbonisierung ihrer Gesellschaften, mit Wasserstoff als Energieträger und Rohstoff für industrielle Prozesse. Im Einklang mit den Klimazielen muss der verwendete Wasserstoff in kohlenstoffarmen Verfahren hergestellt werden. Idealerweise ist dies grüner Wasserstoff, der durch Elektrolyse unter ausschließlicher Verwendung erneuerbarer Energien gewonnen wird. In dem lange vorherrschenden optimistischen Diskurs wäre die globale Versorgung mit Energieträgern künftig nicht mehr an die vorhandenen Öl-, Gas- oder Kohlevorkommen gebunden. Vielmehr könnte Wasserstoff überall dort hergestellt werden, wo ein gutes Potenzial für Wind-, Solar- oder Geothermie besteht. Dies würde neue Möglichkeiten für Länder mit niedrigem und mittlerem Einkommen eröffnen. Die in den Strategien festgelegten Ziele sind sehr ehrgeizig. In der Wasserstoffstrategie von 2023 rechnet Deutschland für 2030 mit einer Elektrolyseurkapazität von 10 GW. Da dies nicht ausreichen würde, um die erforderlichen Mengen an H2 zu produzieren, könnten Importe 50 % bis 70 % des gesamten Wasserstoffbedarfs decken.

Fünf Jahre nach Veröffentlichung der Wasserstoffstrategien ist die Euphorie der Enttäuschung gewichen. In Deutschland waren bis zum ersten Quartal 2025 nur 170 MW Elektrolysekapazität installiert worden, und das Ziel von 10 GW bis 2030 gilt als nicht mehr erreichbar. Aus internationaler Sicht ist die Lage nicht besser. Laut der Internationalen Energieagentur haben derzeit nur etwa 7 % aller weltweiten Wasserstoffprojekte eine endgültige Investitionsentscheidung durchlaufen und werden daher wahrscheinlich umgesetzt.

In den letzten Monaten gab es zahlreiche Berichte über gestrichene H2-Projekte. Dies betrifft alle Elemente der Lieferkette: Im Juli 2025 stoppte das spanische Energieunternehmen REPSOL ein 200-MW-Projekt in einer Raffinerie in Puertollano, eines der größten geplanten H2-Projekte in Europa. Monate zuvor hatten Equinor (Norwegen) und RWE (Deutschland) ihre gemeinsamen Pläne für eine Wasserstoffpipeline durch die Nordsee annulliert. Diese Pipeline hätte eine zuverlässige Versorgung von Industriekunden in Deutschland und Europa mit Wasserstoff ermöglicht. Kürzlich lehnte der zweitgrößte Stahlproduzent der Welt, ArcelorMittal, ein Angebot der deutschen Regierung ab, mehr als eine Milliarde Euro an Subventionen für die Dekarbonisierung von zwei Stahlwerken zu beziehen. Das Unternehmen sieht die langfristige Versorgung mit Wasserstoff als unsicher an und befürchtet, dass grüne Technologien ihm einen Wettbewerbsnachteil gegenüber internationalen Konkurrenten verschaffen könnten.

Es gibt viele Gründe für die strukturelle Krise beim Ausbau der Wasserstoffwirtschaft. Besorgniserregend ist, dass die beteiligten Unternehmen nicht nur weiche Faktoren (wie unklare Vorschriften) anführen, die bei entsprechenden politischen Willen schnell überwunden werden könnten. Vielmehr argumentieren sie mit den wirtschaftlichen Grundlagen der H2-Wertschöpfungsketten: Wasserstoff ist nach wie vor deutlich teurer als fossile Brennstoffe wie Erdgas. Potenzielle Kunden sind nicht bereit oder in der Lage, für Wasserstoff deutlich höhere Preise zu zahlen als für weniger klimafreundliche Alternativen. Darüber hinaus sind mehrere Elemente der Wasserstoffversorgungsketten technologisch noch nicht ausgereift, wie beispielsweise das Cracken von Ammoniak, um den Transport von H2 in Form eines besser geeigneten Derivats zu ermöglichen.

Trotz all dieser Schwierigkeiten gehen wir davon aus, dass H2 eine Zukunft hat und sich ein Wasserstoffmarkt entwickeln wird, sobald die Umsetzungslücke überwunden werden kann. Die meisten Länder fühlen sich an ihre Klimaschutzverpflichtungen gebunden, und einige Sektoren können ohne Wasserstoff als Energieträger oder Rohstoff kaum dekarbonisiert werden. Darüber hinaus wird die angewandte technische Forschung fortgesetzt, mit dem Potenzial, den Wasserstoffausbau wieder auf die Tagesordnung zu setzen.

Wie sollten Länder mit niedrigem und mittlerem Einkommen und die internationale Zusammenarbeit auf den aktuellen „Wasserstoff-Limbo“ reagieren? Eine abwartende Haltung würde unnötig Zeit kosten. Sinnvoll ist, die Umsetzung von H2-Projekten fortzusetzen und sich dabei auf H2-basierte Lösungen für Herausforderungen der nachhaltigen Entwicklung zu konzentrieren. Zwei Beispiele: 1) Wasserstoff kann zur Dekarbonisierung der Düngemittelindustrie beitragen. Eine dezentrale Düngemittelproduktion auf Basis von emissionsarmem Wasserstoff kann die Ernährungssicherheit in Afrika unterstützen, Treibhausgasemissionen reduzieren und zur Weiterentwicklung der Wasserstofftechnologien beitragen. 2) Als Alternative zur Elektrolyse kann Wasserstoff aus Abwasser gewonnen werden, z. B. durch Fermentation. Dadurch können Umweltbelastungen (z. B. die Eutrophierung von Gewässern) und Gesundheitsrisiken im Zusammenhang mit städtischen Abwässern verringert werden.

Werden verschiedene Entwicklungsziele gleichzeitig verfolgt, verlieren die Kostenunterschiede zwischen Wasserstoff und konventionellen Technologien an Bedeutung. Die skizzierten alternativen Technologien sollten in Forschungspartnerschaften mit dem Globalen Süden entwickelt werden; als wichtiger Bestandteil einer multilateralen Wasserstoffstrategie zur Bewältigung globaler Herausforderungen.

Wasserstoff: Bedeutung für Länder mit niedrigem und mittlerem Einkommen

Bonn, 1. September 2025. Deutschland und die Europäische Union verfolgen ehrgeizige Strategien zur Dekarbonisierung ihrer Gesellschaften, mit Wasserstoff als Energieträger und Rohstoff für industrielle Prozesse. Im Einklang mit den Klimazielen muss der verwendete Wasserstoff in kohlenstoffarmen Verfahren hergestellt werden. Idealerweise ist dies grüner Wasserstoff, der durch Elektrolyse unter ausschließlicher Verwendung erneuerbarer Energien gewonnen wird. In dem lange vorherrschenden optimistischen Diskurs wäre die globale Versorgung mit Energieträgern künftig nicht mehr an die vorhandenen Öl-, Gas- oder Kohlevorkommen gebunden. Vielmehr könnte Wasserstoff überall dort hergestellt werden, wo ein gutes Potenzial für Wind-, Solar- oder Geothermie besteht. Dies würde neue Möglichkeiten für Länder mit niedrigem und mittlerem Einkommen eröffnen. Die in den Strategien festgelegten Ziele sind sehr ehrgeizig. In der Wasserstoffstrategie von 2023 rechnet Deutschland für 2030 mit einer Elektrolyseurkapazität von 10 GW. Da dies nicht ausreichen würde, um die erforderlichen Mengen an H2 zu produzieren, könnten Importe 50 % bis 70 % des gesamten Wasserstoffbedarfs decken.

Fünf Jahre nach Veröffentlichung der Wasserstoffstrategien ist die Euphorie der Enttäuschung gewichen. In Deutschland waren bis zum ersten Quartal 2025 nur 170 MW Elektrolysekapazität installiert worden, und das Ziel von 10 GW bis 2030 gilt als nicht mehr erreichbar. Aus internationaler Sicht ist die Lage nicht besser. Laut der Internationalen Energieagentur haben derzeit nur etwa 7 % aller weltweiten Wasserstoffprojekte eine endgültige Investitionsentscheidung durchlaufen und werden daher wahrscheinlich umgesetzt.

In den letzten Monaten gab es zahlreiche Berichte über gestrichene H2-Projekte. Dies betrifft alle Elemente der Lieferkette: Im Juli 2025 stoppte das spanische Energieunternehmen REPSOL ein 200-MW-Projekt in einer Raffinerie in Puertollano, eines der größten geplanten H2-Projekte in Europa. Monate zuvor hatten Equinor (Norwegen) und RWE (Deutschland) ihre gemeinsamen Pläne für eine Wasserstoffpipeline durch die Nordsee annulliert. Diese Pipeline hätte eine zuverlässige Versorgung von Industriekunden in Deutschland und Europa mit Wasserstoff ermöglicht. Kürzlich lehnte der zweitgrößte Stahlproduzent der Welt, ArcelorMittal, ein Angebot der deutschen Regierung ab, mehr als eine Milliarde Euro an Subventionen für die Dekarbonisierung von zwei Stahlwerken zu beziehen. Das Unternehmen sieht die langfristige Versorgung mit Wasserstoff als unsicher an und befürchtet, dass grüne Technologien ihm einen Wettbewerbsnachteil gegenüber internationalen Konkurrenten verschaffen könnten.

Es gibt viele Gründe für die strukturelle Krise beim Ausbau der Wasserstoffwirtschaft. Besorgniserregend ist, dass die beteiligten Unternehmen nicht nur weiche Faktoren (wie unklare Vorschriften) anführen, die bei entsprechenden politischen Willen schnell überwunden werden könnten. Vielmehr argumentieren sie mit den wirtschaftlichen Grundlagen der H2-Wertschöpfungsketten: Wasserstoff ist nach wie vor deutlich teurer als fossile Brennstoffe wie Erdgas. Potenzielle Kunden sind nicht bereit oder in der Lage, für Wasserstoff deutlich höhere Preise zu zahlen als für weniger klimafreundliche Alternativen. Darüber hinaus sind mehrere Elemente der Wasserstoffversorgungsketten technologisch noch nicht ausgereift, wie beispielsweise das Cracken von Ammoniak, um den Transport von H2 in Form eines besser geeigneten Derivats zu ermöglichen.

Trotz all dieser Schwierigkeiten gehen wir davon aus, dass H2 eine Zukunft hat und sich ein Wasserstoffmarkt entwickeln wird, sobald die Umsetzungslücke überwunden werden kann. Die meisten Länder fühlen sich an ihre Klimaschutzverpflichtungen gebunden, und einige Sektoren können ohne Wasserstoff als Energieträger oder Rohstoff kaum dekarbonisiert werden. Darüber hinaus wird die angewandte technische Forschung fortgesetzt, mit dem Potenzial, den Wasserstoffausbau wieder auf die Tagesordnung zu setzen.

Wie sollten Länder mit niedrigem und mittlerem Einkommen und die internationale Zusammenarbeit auf den aktuellen „Wasserstoff-Limbo“ reagieren? Eine abwartende Haltung würde unnötig Zeit kosten. Sinnvoll ist, die Umsetzung von H2-Projekten fortzusetzen und sich dabei auf H2-basierte Lösungen für Herausforderungen der nachhaltigen Entwicklung zu konzentrieren. Zwei Beispiele: 1) Wasserstoff kann zur Dekarbonisierung der Düngemittelindustrie beitragen. Eine dezentrale Düngemittelproduktion auf Basis von emissionsarmem Wasserstoff kann die Ernährungssicherheit in Afrika unterstützen, Treibhausgasemissionen reduzieren und zur Weiterentwicklung der Wasserstofftechnologien beitragen. 2) Als Alternative zur Elektrolyse kann Wasserstoff aus Abwasser gewonnen werden, z. B. durch Fermentation. Dadurch können Umweltbelastungen (z. B. die Eutrophierung von Gewässern) und Gesundheitsrisiken im Zusammenhang mit städtischen Abwässern verringert werden.

Werden verschiedene Entwicklungsziele gleichzeitig verfolgt, verlieren die Kostenunterschiede zwischen Wasserstoff und konventionellen Technologien an Bedeutung. Die skizzierten alternativen Technologien sollten in Forschungspartnerschaften mit dem Globalen Süden entwickelt werden; als wichtiger Bestandteil einer multilateralen Wasserstoffstrategie zur Bewältigung globaler Herausforderungen.

Deutschland und die Unterstützung des Wiederaufbaus der Ukraine

Die Unterstützung des Wiederaufbaus in der Ukraine hat sich seit dem Frühjahr 2022 als wichtiges Element der deutschen Ukraine-Politik herausgebildet. Aufseiten der Bundesregierung hat die Unterstützung des Wiederaufbaus – auch als wesentlicher Teil der zivilen Kriegsunterstützung für das Land – eine hohe Priorität, insbesondere für das in vielen Aspekten federführend tätige BMZ. Gleichzeitig geht das deutsche Engagement für den Wiederaufbau in der Ukraine weit über die Unterstützung durch die Bundesregierung hinaus. Von zivilgesellschaftlichen Organisationen hin zu Städten und Gemeinden gibt es eine große Solidarität mit der ukrainischen Gesellschaft und ihrem unbändigen Willen, das Land gegen die russische Aggression zu verteidigen und schnellstmöglich wieder aufzubauen. Vom weiteren Verlauf des Krieges wird abhängen, wie sich der Wiederaufbau und damit auch seine Unterstützung von Partnern wie Deutschland zukünftig gestalten wird. Unabhängig von den nächsten Kriegsmonaten ist jedoch bereits jetzt klar, dass der Wiederaufbau der Ukraine langfristige internationale Unterstützung über mehrere Jahre erfordern wird. Der Beitrag zeichnet die bisherigen Debatten und Weichenstellungen zum Wiederaufbau der Ukraine systematisch nach und untersucht, wie Deutschland und die Europäische Union den Wiederaufbau bisher unterstützt haben. In einer Bewertung dieses Engagements wird auch ein Blick auf die Herausforderungen und möglichen Grenzen des deutschen und internationalen Engagements geworfen.

Deutschland und die Unterstützung des Wiederaufbaus der Ukraine

Die Unterstützung des Wiederaufbaus in der Ukraine hat sich seit dem Frühjahr 2022 als wichtiges Element der deutschen Ukraine-Politik herausgebildet. Aufseiten der Bundesregierung hat die Unterstützung des Wiederaufbaus – auch als wesentlicher Teil der zivilen Kriegsunterstützung für das Land – eine hohe Priorität, insbesondere für das in vielen Aspekten federführend tätige BMZ. Gleichzeitig geht das deutsche Engagement für den Wiederaufbau in der Ukraine weit über die Unterstützung durch die Bundesregierung hinaus. Von zivilgesellschaftlichen Organisationen hin zu Städten und Gemeinden gibt es eine große Solidarität mit der ukrainischen Gesellschaft und ihrem unbändigen Willen, das Land gegen die russische Aggression zu verteidigen und schnellstmöglich wieder aufzubauen. Vom weiteren Verlauf des Krieges wird abhängen, wie sich der Wiederaufbau und damit auch seine Unterstützung von Partnern wie Deutschland zukünftig gestalten wird. Unabhängig von den nächsten Kriegsmonaten ist jedoch bereits jetzt klar, dass der Wiederaufbau der Ukraine langfristige internationale Unterstützung über mehrere Jahre erfordern wird. Der Beitrag zeichnet die bisherigen Debatten und Weichenstellungen zum Wiederaufbau der Ukraine systematisch nach und untersucht, wie Deutschland und die Europäische Union den Wiederaufbau bisher unterstützt haben. In einer Bewertung dieses Engagements wird auch ein Blick auf die Herausforderungen und möglichen Grenzen des deutschen und internationalen Engagements geworfen.

Deutschland und die Unterstützung des Wiederaufbaus der Ukraine

Die Unterstützung des Wiederaufbaus in der Ukraine hat sich seit dem Frühjahr 2022 als wichtiges Element der deutschen Ukraine-Politik herausgebildet. Aufseiten der Bundesregierung hat die Unterstützung des Wiederaufbaus – auch als wesentlicher Teil der zivilen Kriegsunterstützung für das Land – eine hohe Priorität, insbesondere für das in vielen Aspekten federführend tätige BMZ. Gleichzeitig geht das deutsche Engagement für den Wiederaufbau in der Ukraine weit über die Unterstützung durch die Bundesregierung hinaus. Von zivilgesellschaftlichen Organisationen hin zu Städten und Gemeinden gibt es eine große Solidarität mit der ukrainischen Gesellschaft und ihrem unbändigen Willen, das Land gegen die russische Aggression zu verteidigen und schnellstmöglich wieder aufzubauen. Vom weiteren Verlauf des Krieges wird abhängen, wie sich der Wiederaufbau und damit auch seine Unterstützung von Partnern wie Deutschland zukünftig gestalten wird. Unabhängig von den nächsten Kriegsmonaten ist jedoch bereits jetzt klar, dass der Wiederaufbau der Ukraine langfristige internationale Unterstützung über mehrere Jahre erfordern wird. Der Beitrag zeichnet die bisherigen Debatten und Weichenstellungen zum Wiederaufbau der Ukraine systematisch nach und untersucht, wie Deutschland und die Europäische Union den Wiederaufbau bisher unterstützt haben. In einer Bewertung dieses Engagements wird auch ein Blick auf die Herausforderungen und möglichen Grenzen des deutschen und internationalen Engagements geworfen.

Rentrée des classes en Serbie : licenciements et rassemblements

Courrier des Balkans / Serbie - Mon, 01/09/2025 - 09:25

Professeurs sanctionnés, contrats non renouvelés : dans de nombreuses écoles, des dizaines d'enseignants se retrouvent sans emploi après avoir pris part aux grèves aux côtés des étudiants. Ce 1er septembre, jour de rentrée, des rassemblements sont prévus dans toute la Serbie.

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Categories: Balkans Occidentaux

Dr. Volker Frobarth Appointed Head of OSCE Programme Office in Bishkek

OSCE - Mon, 01/09/2025 - 08:28
596881 Volker Frobarth, Head of the OSCE Programme Office in Bishkek, Bishkek, 1 September 2025.

Bishkek, 1 September 2025 — The OSCE Programme Office in Bishkek is pleased to announce the appointment of Dr. Volker Frobarth of Germany as the new Head of the OSCE Programme Office in Bishkek.

Dr. Frobarth brings more than two decades of experience in international cooperation, diplomacy, and security affairs, with a strong focus on the post-Soviet region. From 2021 to 2025, he served as Head of the OSCE Programme Office in Astana, Kazakhstan. He also represented the OSCE Chairpersonship in the Latvian-Russian Joint Commission on Military Pensioners and has served with OSCE field operations in Tajikistan, Georgia, Latvia, and Ukraine.

His regional expertise is further rooted in his work with the German Agency for International Cooperation (GIZ), where he held executive positions in Kyrgyzstan, Kazakhstan, and other neighbouring countries between 2009 and 2021.

Dr. Frobarth has also held senior posts within the Ministry of Economy of the German State of Hessen, including Director for Foreign Trade with the CIS and Baltic States, and Head of the Economy, Infrastructure, and European Affairs Division at the Hessen State Representation in Berlin.

He holds a PhD and Master’s degree in Political Science, Eastern European History, Public Law, and Law of the Eastern European States from the University of Kiel, Germany. He is fluent in German, English, and Russian.

Dr. Frobarth’s deep understanding of Central Asia and extensive diplomatic experience will support the OSCE’s work to promote security, good governance, environmental protection, and human rights in Kyrgyzstan.

The OSCE looks forward to continuing its strong partnership with national authorities, civil society, and international partners under Dr. Frobarth’s leadership.

Categories: Central Europe

How Eurozone central banks strategically invoke monetary theories and data to further their policy preferences

Ideas on Europe Blog - Mon, 01/09/2025 - 08:09

By Jérôme Deyris (Centre for European Studies at Sciences Po, France), Bart Stellinga (Netherlands Scientific Council for Government Policy) and Matthias Thiemann (Centre for European Studies at Sciences Po, France)

In November 2017, Dutch central bank governor Klaas Knot expressed worries that ‘inflation expectations are bearing an awful lot of weight in monetary policy these days, considering the range and depth of unanswered questions about them’. Yet, five years later, he stressed that ‘the ECB needs to be clear that its primary mandate is to safeguard medium-term inflation and that it will not hesitate to act to prevent a de-anchoring of [inflation] expectations’. What made this central banker first express doubt and then reaffirm the relevance of a concept – inflation expectations – considered a cornerstone of monetary policymaking?

In our recent JCMS article we argue that this shift is not an example of neutral policy learning, but instead a strategic move in the battle over shaping the ECB’s monetary policy. We show how national central bank governors opportunistically invoke or challenge monetary theories, concepts, metrics, and data to support or undermine a particular course of action. In this vein, we demonstrate how governors from the Dutch Central Bank (DNB) and the German Central Bank (the Bundesbank), so-called “hawks” who generally prefer restrictive monetary policies, systematically differ in their rhetorical strategies from governors from the Banca d’Italia and Banco de España, so-called “doves” who favour accommodative policies.

Crucially, these actors shift rhetorical strategies once economic circumstances change and particular concepts or data metrics become more or less relevant to make the case for their policy preferences. Depending on the “inflation season” (so whether inflation is below or above target) governors may strategically adopt or abandon data and policy principles. Such migrations are symmetric: when economic circumstances change, hawkish central bankers embrace ideas that had been defended by the opposing, dovish camp, while dovish governors “migrate” in the opposite direction. Our analysis thus shows that central bankers’ policy preferences strongly affect their engagement with monetary theories and metrics, challenging the common portrayal (also by themselves) of central bankers as neutral, science-based policymakers.

Strategic migrations of hawks and doves

To make our case, the article is based on a quantitative and qualitative analysis of all public speeches by governors of the “big five” Eurozone countries: Germany, France, Italy, Spain, and the Netherlands. These central banks carry substantial weight in internal ECB discussions and provide a balanced sample of doves (Italy, Spain) and hawks (Germany and the Netherlands), with France occupying an intermediate position. We focus on two periods in particular: the 2014-2017 period, during which inflation fell below the ECB’s 2% target, with threats of deflation, and the 2021-2023 period, in which inflation surged.

During the low-inflation period (2014-2017), the “hawkish” Dutch and German governors adopted a rhetorical strategy to challenge the ECB’s unconventional accommodative monetary policies, such as quantitative easing and negative interest rates. They argued that low inflation was mainly caused by decreasing energy prices, suggesting this would boost the economy without the need for an external intervention. They used long-term inflation expectations data, which are inherently more stable, to argue that there was no risk of de-anchoring inflation expectations, thus casting doubt on the need for further action. When these metrics started to decrease, they expressed doubts about the indicators themselves, pointing to their limitations in capturing “true” inflation expectations. Finally, the hawks argued that accommodative policies could have undesirable side effects for financial stability that should be factored into monetary policy decisions.

Meanwhile, “dovish” governors from Italy and Spain defended the opposite position to support these accommodative policies. They stressed weak demand rather than energy prices as the main driver of low inflation. They primarily used short-term indicators to warn about the danger of de-anchoring inflation expectations, triggering the above cited statement by Knot (DNB) that the link between inflation expectations and actual inflation is not that clear. Finally, the doves argued that the ECB’s price stability mandate should override all other considerations, with any negative side effects of the ECB’s expansionary course to be addressed by other policies. In the words of Italian governor Visco: ‘the primary objective of monetary policy is to maintain price stability and […] should any threat to financial stability materialize, macro-prudential measures should be used instead’.

When inflation rose substantially after 2021, these rhetorical strategies reversed completely. Desiring bold, restrictive actions, the same hawks who had dismissed inflation expectations as being unreliable now suddenly cited them as a crucial justification for tighter policy (see Figure 1). The doves who had previously championed bold action for price stability now emphasised supply-side factors exclusively, using the hawks’ earlier argument that energy price fluctuations would automatically correct undesirable price dynamics. They warned of the financial instability risks from aggressive monetary tightening, arguing that the uncertain consequences of monetary policy action called for restraint, when earlier they had asked to ignore them. In return, Bundesbank governor Nagel echoed the doves’ argument from the 2014-2017 period that “the monetary policy stance is not the instrument of choice for addressing financial stability issues. The primary objective of the ECB’s monetary policy is to maintain price stability. And this target has definitely not yet been achieved”.

Figure 1 Shifting concerns about inflation expectations

This figure is based on a manual coding of all paragraphs in governors’ speeches that mention “inflation expectations”

Three rhetorical strategies

Our work highlights that central bankers, not unlike politicians, use rhetorical strategies to further their policy preferences. We identify three types of tactics. The first is “selective blindness”: systematically highlighting data that supports their stance while ignoring contradictory evidence. For example, in 2014-2017 doves cherry-picked short-term inflation expectations to push for bold, expansionary policies, but in 2021-2023 pointed to long-term measures to call for restraint.

The second strategy involves “strategic scepticism”: expressing doubts about theories and metrics when these could support undesirable policy actions. For example, when market-based inflation expectations indicators suggested that expansionary action was needed, the Dutch and German governors questioned their reliability due to measurement problems, or even called the concept into question. When such indicators supported hawkish stances during 2021-2023, these methodological concerns disappeared.

The third tactic is “weaponised uncertainty”: framing economic uncertainty to justify either caution or bold action. In 2014-2017, hawks argued that uncertainty warranted caution, while doves claimed that decisive action would reduce market uncertainty. Again, these framings reversed during the high-inflation period.

Conclusions

Overall, these findings advance our understanding of the politics of European central banking and beyond. Our paper challenges the Eurosystem’s portrayal as a cohesive epistemic community and with it the notion that European monetary policy can be “scientifically” depoliticised. It shows that national preferences remain important drivers of technocrats’ behaviour, even when they are expected to make decisions “as Europeans”. And we show that economic concepts can be flexible instruments rather than rigid guidelines constraining technocrats’ actions.

We end on a potentially more positive note, as there may also be an upside to central bankers’ strategic exchanges. By presenting arguments on inflation dynamics in a pointed manner and counterbalancing each other’s blind spots, their public interventions help the internal debate move toward a balanced compromise. This may be preferred over a “groupthink” dynamic in which all birds flock to one viewpoint at first and then migrate to another later.

Jérôme Deyris is a postdoctoral researcher at the Centre for European Studies at Sciences Po, France. His PhD, completed in 2023 at Université Paris Nanterre, explored the drivers and consequences of green central banking. He is now involved in a larger project to study the political economy of independent central banks.

https://www.sciencespo.fr/centre-etudes-europeennes/en/directory/deyris-jerome/

Bart Stellinga is a senior research fellow at the Netherlands Scientific Council for Government Policy (WRR). He obtained his doctorate at the University of Amsterdam in 2018. In his academic work he focuses on how policymakers aim to limit financial instability through financial regulation and monetary policy.

https://english.wrr.nl/about-us/office/bart-stellinga

Matthias Thiemann is Professor of European Public Policy at the Centre for European Studies at Sciences Po, France. In his research he focuses on two areas: the regulation of financial markets and the role of public development banks in the European Union. Most recently, he published “Taming the Cycles of Finance” at Cambridge University Press.

https://www.sciencespo.fr/centre-etudes-europeennes/en/directory/thiemann-matthias/

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Categories: European Union

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