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Lausitzer Rundschau: Gräben zuschütten Zur Situation im Cottbuser Handball

Presseportal.de - Thu, 13/07/2017 - 20:28
Lausitzer Rundschau: Cottbus (ots) - Geht es um eine zweite Chance für den LHC, wie sie Schulleiter Wolfgang Neubert trotz kontrovers und teils feindselig geführter Debatten bei der Informationsveranstaltung erkannt haben will? Nein. Es geht um die Bewahrung von Cottbus ...

Sergei Lavrov: "Russia does not support Assad"

News.Az - Thu, 13/07/2017 - 20:23
Russian Foreign Minister Sergei Lavrov said that Moscow does not support Syrian President Bashar Assad, but is committed to the UN Security Council resolution, APA reports quoting RIA Novosti.
Categories: Russia & CIS

Azerbaijan considers purchasing more weapons from Russia

News.Az - Thu, 13/07/2017 - 20:20
Azerbaijan is considering purchasing more weapons from Russia, Azerbaijan's Defense Minister Zakir Hasanov said in an interview with RIA Novosti, APA reported.
Categories: Russia & CIS

Fermer l’opération Sophia, pas efficace. Les Lords ne lésinent pas sur la critique

Bruxelles2 - Thu, 13/07/2017 - 20:15
(B2) Deux ans après la mise en place de l'opération Sophia, menée par l'Union européenne en Méditerranée, la chambre des Lords britannique estime qu'elle n'a pas produit les effets attendus. Dans un rapport "EUNAVFOR Med Sophia. A failed mission" publié, mercredi (12 juillet), les Lords britanniques appellent à ne pas renouveler le mandat de la mission […]
Categories: Défense

Airbnb und Concur erweitern Partnerschaft und bieten Airbnb-Angebote in Concur Travel an

Presseportal.de - Thu, 13/07/2017 - 20:15
Concur Technologies, Inc.: Bellevue, Washington (ots/PRNewswire) - Engere Zusammenarbeit, um mehr Inhalte für Unternehmen mit Geschäftsreisenden anzubieten Concur®, ein SAP-Unternehmen und weltweiter Anbieter von Reise-, Ausgaben- und Rechnungsmanagementlösungen, verkündete ...

France, Germany agree to develop joint fighter jet

News.Az - Thu, 13/07/2017 - 20:01
France and Germany agreed Thursday to begin work on a joint fighter jet, a major advance in their relations designed to underline their united front in the face of fracturing Western relations, Daily Sabah reports.
Categories: Russia & CIS

Attentat de Nice : Paris Match pas retiré des ventes, mais les photos interdites de nouvelle publication

France24 / France - Thu, 13/07/2017 - 19:27
La justice a décidé jeudi de ne pas ordonner le retrait de Paris Match à la suite de la publication d'images de l'attentat de Nice issues de la vidéosurveillance de la ville. Toute nouvelle publication de ces photos est néanmoins interdite.
Categories: France

Academician Nargiz Pashayeva meets US envoy Robert Cekuta

News.Az - Thu, 13/07/2017 - 19:24
US Ambassador to Azerbaijan Robert Cekuta has visited Baku branch of Lomonosov Moscow State University to meet its Head, Academician Nargiz Pashayeva.
Categories: Russia & CIS

Delegation of Azerbaijan`s Ombudsman Office visits Germany

News.Az - Thu, 13/07/2017 - 19:11
A delegation of Azerbaijan`s Ombudsman Office led by head of the Administration Aydin Safikhanli is visiting Germany under a EU-funded twinning project.
Categories: Russia & CIS

Joint statement by Presidents Donald Tusk and Jean-Claude Juncker on the passing away of Liu Xiaobo

European Council - Thu, 13/07/2017 - 19:10

It is with deep sadness that we have learned of the death of Liu Xiaobo, the 2010 Nobel Peace Prize laureate and one of the most prominent human rights defenders in China. We send our most sincere condolences and respect to his wife, Ms Liu Xia, his family and friends.

Liu Xiaobo was one of the authors of Charter 08, calling for peaceful democratic reform and rule of law in China. His personal intervention during the Tiananmen Square protests of 1989 saved hundreds, if not thousands, of lives.

We consistently expressed our opposition to his conviction and asked for his release. Most recently, we urged the Chinese authorities to respect his wish to receive medical care in Germany. Unfortunately these calls were not heeded.

At this time, we appeal to the Chinese authorities to allow his wife, Ms Liu Xia and his family to bury Liu Xiaobo at a place and in a manner of their choosing, and to allow them to grieve in peace. We call on the authorities to remove all restrictions on the movement and communications of his family members and allow Ms Liu Xia and her brother Mr Liu Hui to leave China, if they wish to do so.

We reiterate the European Union's call for all prisoners of conscience in China to be released.

Categories: European Union

Côte d'Ivoire: un joueur pro décède lors d'un match d'entraînement

Slateafrique - Thu, 13/07/2017 - 19:02

L'attaquant ivoirien Eugène Koffi Kouamé, qui évoluait la saison dernière en Turquie, est décédé subitement lundi d'une crise cardiaque à Abidjan lors d'un match d'entraînement avec des amis, a-t-on appris jeudi de source officielle.

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Categories: Afrique

"Biens mal acquis": le neveu et l'ex-belle-soeur de Sassou Nguesso mis en examen

Slateafrique - Thu, 13/07/2017 - 19:02

La justice accélère le pas contre le clan du président congolais Denis Sassou Nguesso: son neveu et son ex-belle-soeur ont été à leur tour mis en examen dans l'enquête sur le patrimoine fastueux de dirigeants africains en France, a

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Categories: Afrique

La condamnation de l’ex président Lula, va-t-elle bouleverser le jeu politique brésilien ?

IRIS - Thu, 13/07/2017 - 18:52

Alors qu’il était favori pour les prochaines élections présidentielles, l’ancien président brésilien a été condamné à neuf ans et demi de prison pour corruption et blanchiment d’argent. L’analyse de Jean-Jacques Kourliandsky, chercheur à l’IRIS.

La condamnation de l’ancien président Lula représente-elle un coup de tonnerre au Brésil ?

Le mot est un peu fort car l’affaire a tout de même démarré il y a déjà trois ans, la décision du juge était donc attendue. Cela étant, la condamnation, elle, ne l’était certainement pas dans la mesure où si elle était confirmée en appel, elle interdirait à l’ancien président, favori des sondages, de se représenter aux élections présidentielles de l’année prochaine, comme il en avait l’intention.

D’autre part, pour la première fois un ancien président du Brésil, si la condamnation est confirmée en appel, serait condamné pour corruption. La décision du juge a créé de la jubilation chez les adversaires de Lula, tandis que ses amis ont exprimé leur sentiment de profonde injustice, pour une condamnation considérée comme politique à leurs yeux.

La condamnation de Lula peut-elle aggraver les tensions politiques et sociales dans le pays ?

Tout à fait, dans la mesure où l’interdiction éventuelle pour Lula de se représenter aux élections présidentielles – si la condamnation était confirmée en appel – bouleverserait le jeu politique l’année prochaine.

En effet, Lula était en tête dans les sondages avec plus de 30% des intentions de vote. En face de lui, pratiquement personne n’était un véritable outsider. Aecio Neves, ex candidat des élections précédentes contre Dilma Rousseff est actuellement en difficultés devant la justice. Il a toutefois bénéficié d’un traitement de faveur de la part du tribunal fédéral qui a suspendu les poursuites dont il faisait l’objet. Quant au président intérimaire actuel, Michel Temer, il est sous le coup d’une demande destitution pour corruption ; la demande s’apprête à être soumise au vote du Parlement dans les prochaines semaines.

L’ex président Lula apparaissait donc comme le candidat le mieux placé pour les prochaines élections. Sa mise à l’écart bouleverse la donne et, de fait, donne des cartes à ses opposants qui ont dès lors la possibilité – notamment dans la mesure où la quasi-totalité des médias est opposé au PT – d’essayer de fabriquer un candidat qui pourrait bénéficier de l’effacement de Lula par la justice.

Que révèle cette condamnation sur l’état de la corruption au Brésil ? Et face à cette situation, observe-t-on l’émergence d’alternatives politiques ?

La corruption au Brésil est systémique. En effet, le système brésilien fabrique de la corruption qui touche les partis politiques, les présidents, les membres du gouvernement, ainsi que le Parlement. Cette corruption a lieu presque par ‘nécessité’ compte-tenu du fait que la désignation et les prises de grandes décisions sont effectuées par le président après accord du Parlement. Or, le système électoral brésilien ne permet pas au président de bénéficier d’une majorité. Il est donc obligé – et cela de façon permanente – de négocier avec beaucoup de petits groupes pour prendre ses décisions afin de gouverner. Dès lors, cela facilite des marchandages de toutes sortes et ouvre ainsi la porte à un système structurellement générateur de corruption.

Notons qu’il est très facile de montrer du doigt tel ou tel responsable politique mais pour être crédible, il faudrait les désigner tous. Or, le paradoxe est que pour l’instant, la justice brésilienne paraît être sélective dans la lutte contre la corruption en ne s’attaquant presque uniquement qu’au Parti des travailleurs.

Face à une telle situation, une réforme de la vie politique est nécessaire. Le problème est que l’on ne peut pas attendre une telle initiative de la part des partis qui ont exercé le pouvoir, ni des majorités actuelles au Parlement, dans la mesure où ces acteurs bénéficient du système actuel.

Aux dernières élections municipales, les options alternatives au PT, à l’opposition et au parti de Michel Temer (le PMDB), qui ont pu tirer leur épingle du jeu, sont notamment des candidats évangélistes. Par exemple, à Rio de Janeiro, le maire élu a été un évêque de l’Église universelle du royaume de Dieu. Par ailleurs, dans les sondages pour les prochaines élections présidentielles, le candidat arrivant derrière Lula est un ancien militaire de la dictature, qui ne cache pas sa sympathie ultra-conservatrice et militariste. Aujourd’hui, les options politiques alternatives apparaissent donc dissonantes et ne sont pour l’instant pas crédibles, qu’il s’agisse des évangélistes ou de l’extrême droite militariste.

 

Azerbaijani president approves amendments to law on education

News.Az - Thu, 13/07/2017 - 18:49
President of Azerbaijan Ilham Aliyev has approved the amendments to the law on education, APA reported.
Categories: Russia & CIS

Együttműködési megállapodást írt alá a NETK és a BSZK

Biztonságpolitika.hu - Thu, 13/07/2017 - 18:45

Együttműködési megállapodást írt alá a Nemzeti Közszolgálati Egyetem Nemzetközi és Európai Tanulmányok Kara (NETK) és a Biztonságpolitikai Szakkollégium (BSZK).

Az együttműködési megállapodás az NKE és a BSZK közötti komoly múltra visszatekintő kooperációra épül, és a felek reményei szerint megkönnyíti az oktatási és kutatási kapcsolatok további mélyítését.

A NETK és a BSZK közösen dolgoz ki szabadon választható kurzusokat a biztonság- és védelempolitika, illetve a hadtudományok egyes témaköreiben, szorosabbra vonja az együttműködést a tudományos diákkori munkában, és törekszik közös kutatási projektek létrehozására.

A NETK az eddigi oktatói-hallgatói kapcsolatokon túlmenően a jövőben aktív szerepet vállal a BSZK munkatervének véleményezésében és a BSZK Elnökségének munkájában is.

A cikk eredetileg a Nemzeti Közszolgálati Egyetem Nemzetközi és Európai Tanulmányok Kar aloldalán jelent meg

Categories: Biztonságpolitika

Euro imbalances: « Merkron » Might Differ from « Merkozy »

IRIS - Thu, 13/07/2017 - 18:37

This Thursday, Emmanuel Macron received Angela Merkel; they notably talked about economic issues. The point of view of Rémi Bourgeot, associate research fellow at IRIS.

Macron has called on Berlin to “move forward and help to fix a dysfunctional euro zone.” Is Germany really benefitting from the currency union’s flaws, as Macron suggested?

There is some novelty in Macron’s statement. He had not stressed the issue of the euro zone’s real imbalances, and Germany’s huge trade surplus in particular, since he was economy minister. At that time, he talked about the existential risks facing the euro zone. Since he was elected, and especially at the latest EU summit in June, he only raised issues that were of concern to Germany too, in order to reach a consensus.

Germany is benefiting from the euro zone, as it has been able to increase its trade surplus endlessly, and suppress domestic unemployment without facing any kind of exchange rate adjustment within the euro zone, by definition.

What Macron means is that Germany has not accepted major concessions in terms of solidarity and transfers in return for this commercial advantage. Since the euro crisis, many commentators have argued that more systematic transfers, sometimes even debt pooling, should be put in place, as well as a genuine banking union, to make for these imbalances before they translate into an economic or financial crisis again.

Macron seems to take a more incisive tone, in a context less formal than large EU meetings. He might be wary that embracing the European status quo, with only limited institutional advances, would eventually undermine his presidency. In brief, he might be seeking to escape his predecessors’ fate. If there is such a thing as “Merkron”, the French president will not want this partnership to resemble what many called “Merkozy”.

What economic roadmap could the EU follow under a Franco-German impulse?

On the institutional front, the main step consists in increasing financial transfers to make for the loss of competitiveness that Germany’s partners are facing as a result of the euro. Macron has ditched the idea of pooling national debts, a major taboo in Germany. Instead, he promotes the notion of a joint budget for the euro zone and completing the banking union, with a common deposit insurance mechanism in particular. Ahead of the Franco-German cabinet meeting, he also advocated concrete and more accessible steps like the creation of joint investment funds, especially in favour of IT and nanotechnologies.

Macroeconomic coordination is another major issue. Germany’s budgetary and labour policies do not take account of the euro zone’s economic equation, its trade imbalances in particular, which leads many to blame the country for having a mercantilist approach to trade. Macron therefore begins to address that issue, as Donald Trump does, with a very different style of course.

The European Union suffers from the absence of any true coordination in terms of macro-economic policies. The only type of coordination since the crisis has resulted in a race to the bottom in terms of labours costs, which weighs on aggregate demand. Despite the ECB’s tremendous support, with huge liquidity injections and the euro’s depreciation, today’s situation is akin to the logic of the gold standard.

Is Berlin ready to embark on a new economic vision?

Germany’s economic taboos reveal difficulties of a political nature, when it comes to its European commitment. Berlin’s official speech adheres to a profoundly pro-European – even federalist – approach; but in reality, debt pooling or the risk sharing associated with a genuine banking union are unconceivable. Germany’s concessions on these issues are likely to be of a symbolic nature. For instance, Angela Merkel has signalled that she might be willing to accept the idea of a joint euro zone budget, even if this means infuriating the more Eurosceptic members within her own camp. This budget would however have to be of a very limited order, with little macro-economic impact. Germany sticks to a national approach of economic policy, which is not conducive to a rebalancing of the euro zone.

There will be no advances before the federal election, of course. Afterwards, if Merkel wins by a comfortable margin or builds a solid coalition, she might consider that she has a sufficient mandate to impose institutional concessions in favour of Europe. Taboos will remain omnipresent however, and the Chancellor’s room for manoeuvre limited, as a result of the internal balance within her party. This might lead Macron and other European leaders to focus more on macroeconomic coordination, which actually plays the most important part in preventing devastating crises.

Zone euro : Macron pourrait dévier du « Merkozy »

IRIS - Thu, 13/07/2017 - 18:28

Emmanuel Macron a reçu Angela Merkel ce jeudi dans le cadre du 19e conseil des ministres franco-allemand. L’analyse de Rémi Bourgeot, chercheur associé à l’IRIS, sur les déclarations d’ordre économiques.

Macron a appelé à Berlin à « bouger » pour corriger « les dysfonctionnements » de la zone euro. Quels sont-ils et l’économie allemande en bénéficie-t-elle vraiment comme le suggère Macron ?

Tout d’abord, il faut noter qu’il est relativement nouveau que Macron aborde ce sujet puisqu’au dernier sommet en juin, il avait fait attention à n’aborder que des thèmes consensuels entre la France et l’Allemagne. Aujourd’hui, le président français reprend un thème qu’il avait déjà évoqué en tant que ministre de l’Économie : celui des déséquilibres existant au sein de la zone euro et notamment du gigantesque excédent commercial allemand (avec un excédent primaire de l’ordre de 9% du PIB). L’Allemagne profite des dysfonctionnements de la zone euro dans le sens où elle a pu, par la disparition des variations de taux de change et par l’abaissement de ses coûts salariaux, étendre presque sans limite son excédent commercial et supprimer progressivement le chômage.

Ce qu’Emmanuel Macron veut dire, c’est que l’Allemagne n’a pas accepté les contreparties de cette situation. En effet depuis la crise de l’euro, on a dit qu’il fallait compenser les déséquilibres par des transferts budgétaires et par une union bancaire pour couvrir les risques financiers. Le président français estime donc que l’Allemagne profite du cadre de la zone euro sans contribuer de façon suffisante à la solidarité financière. De la sorte, Macron semble prendre un ton plus incisif, dans un contexte moins formel que celui des sommets européens. Peut-être qu’inquiète-t-il que le respect du statu quo européen, avec des avancées institutionnelles seulement limitées, puissent compromettre son mandat. En bref, il semble vouloir échapper au sort de ses prédécesseurs et souhaite probablement que le « Merkron » ne ressemble pas à ce que l’on appelait « Merkozy ».

Quelle serait la feuille de route économique à suivre pour l’UE, sous impulsion franco-allemande ?

D’une part, se pose la question institutionnelle consistant à accroître les transferts, notamment en cas de crise pour compenser la perte de compétitivité des voisins de l’Allemagne. Il s’agit du plus grand chantier de Macron. Il a d’ailleurs abandonné l’idée d’une fédéralisation des dettes puisque c’est un sujet tabou en Allemagne. Le président français essaye plutôt d’avancer sur l’idée d’un budget commun à l’échelle de la zone euro et de compléter la structure de l’union bancaire – qui reste très partielle aujourd’hui -, notamment avec un mécanisme d’assurance des dépôts bancaires.

D’autre part, se pose la question de la coordination économique. Aujourd’hui, l’Allemagne mène une politique budgétaire et une politique salariale qui ne prennent pas en compte l’ensemble de la zone euro ; raison pour laquelle elle est accusée d’avoir une approche unilatérale, voire mercantiliste. Macron commence donc à aborder ce sujet, ce que fait par ailleurs Donald Trump dans un style très différent…

Aujourd’hui, dans l’Union européenne, une coordination partielle n’existe que par le bas, via l’abaissement des coûts salariaux et la libéralisation du marché du travail – ce que s’apprête à faire la France. Cependant, il n’existe aucune coordination macro-économique. Et malgré le support extraordinaire de la Banque centrale européenne, avec des injections de liquidités massives et la dépréciation de l’euro, la situation actuelle fait penser à la logique de l’étalon or.

Berlin est-elle prête à changer sa vision économique ?

En Allemagne, il existe des tabous économiques forts, qui cachent des difficultés politiques quant à l’engagement européen. Dans le pays, le discours officiel est certes toujours pro-européen mais, concrètement, des tabous empêchent des avancées comme la fédéralisation des dettes ou une union bancaire. Les avancées allemandes sur ces sujets ne sont que symboliques. Par exemple, Angela Merkel a envoyé des signaux selon lesquels elle pourrait être prête à passer en force face aux eurosceptiques de son parti sur l’idée d’un budget commun à la zone euro. Cependant, il s’agirait d’un budget limité qui n’aurait pas d’impact macro-économique majeur. L’Allemagne reste sur une approche nationale de la politique économique qui n’est pas propice à un rééquilibrage de la zone euro.

Avant les élections, il est clair qu’il n’y aura aucune avancée. Par la suite, si Merkel est réélue assez largement, elle aura un mandat pour imposer des concessions. Ceci étant, les tabous restent très forts et la marge de manœuvre de la chancelière resterait limitée par une opposition forte au sein même de son parti. Cela peut inciter Macron et les autres dirigeants européens à se concentrer davantage sur la coordination macro-économique, qui représente l’aspect le plus important pour éviter les crises les plus dévastatrices.

Budget : Les gendarmes vont être aussi mis à la diète

Zone militaire - Thu, 13/07/2017 - 18:27

S’il est beaucoup question des 850 millions que Gérard Darmanin, le ministre de l’Action et des Comptes publics, entend faire économiser aux Armées, les gendarmes, qui sont aussi des militaires, ne seront pas épargnés par le coup de rabot, la place Beauvau devant se passer de 526 millions d’euros d’ici la fin de cette année, […]

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Categories: Défense

Opinion - Addressing shrinking civil society space in developing countries - PE 603.109v02-00 - Committee on Foreign Affairs

OPINION on addressing shrinking civil society space in developing countries
Committee on Foreign Affairs
Francisco Assis

Source : © European Union, 2017 - EP
Categories: Europäische Union

Opinion - Addressing shrinking civil society space in developing countries - PE 603.109v02-00 - Committee on Foreign Affairs

OPINION on addressing shrinking civil society space in developing countries
Committee on Foreign Affairs
Francisco Assis

Source : © European Union, 2017 - EP
Categories: European Union

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