Plus de 5000 agents d’hygiène et 350 camions seront mobilisés à Alger, à l’occasion de la fête de l’Aid el Adha, a indiqué le directeur général de l’entreprise Extranet, Mechab Rachid.
Plus de 5000 agents d’hygiène et 350 camions seront mobilisés à Alger à l’occasion de l’Aïd el Adha pour veiller à la propreté de l’environnement, en assurant la collecte des ordures ménagères et des résidus du sacrifice, a déclaré mardi à l’APS le directeur général d’extranet.
Un programme spécial a été mis en place pour la collecte des résidus de l’opération du sacrifice avant et après l’Aïd, les agents d’hygiène devant sillonner les quartiers et ruelles de 31 communes, dont l’entreprise assure la gestion et la collecte des ordures.
Dans le cadre de ce programme élaboré en coordination avec les communes concernées pour éviter la propagation de maladie, le nombre de rotations pour la collecte d’ordures devrait doubler.
Une vaste opération de nettoiement des mosquées et des marchés de proximité sera lancée au titre de ce programme.
Pour M. Mechab, la nature des déchets durant la période de l’Aïd est différente à ceux collectés durant l’année d’où la nécessité d’une action efficace et intense pour un environnement propre et salubre pour les citoyens.
Dans le but de mener à bien l’opération de collecte des déchets, le même responsable a appelé les citoyens à respecter les horaires de dépôt des déchets à l’entrée ou sortie des quartiers et cités soulignant que l’opération de nettoiement des espaces urbains et suburbains de la capitale devrait débuté quatre jours avant l’Aïd.
D’autre part, des équipes devront assurer des rotations de nuit dans différents quartiers à partir de 21:00h jusqu’à 7:00h du lendemain.
Juste après le prière de l’Aïd, les agents d’hygiène reprendront leur tâche pour le ramassage des peaux de mouton et autres résidus.
Par ailleurs, des sacs en plastique seront distribués gratuitement dans les quartiers afin de faciliter la collecte des déchets dont le volume augmente à 60% au premier jour de l’Aïd, a fait savoir M. Mechab.
De larges campagnes de nettoiement seront également menées dans les places publiques ainsi que les chemins menant aux cimetières pour accueillir l’Aïd El-Adha dans la propreté.
Extranet qui est une société de nettoiement en charge de la collecte de déchets au niveau des zones urbaines relevant des 31 communes que compte la wilaya d’Alger, a procédé à la maintenance de ses structures et équipements afin de mener à bien le programme spécial Aïd El-Adha.
Huit mois après, seuls 25 pays représentant 2% des émissions mondiales ont ratifié le texte issu de la COP21. De quoi inquiéter son ancien président Laurent Fabius, qui s’en émeut publiquement. La Chine et les Etats-Unis peuvent-ils changer la donne à la veille du prochain G20 ?
Devant l’urgence de la situation, Laurent Fabius redonne de la voix sur la COP21. Fort de son aura d’ancien président d’une conférence couronnée du succès de l’Accord de Paris, le Président du Conseil constitutionnel, qui a dû abandonner son siège à Ségolène Royal lors de sa nomination, lance un cri d’alarme. Dans une interview accordée au Monde, il alerte sur l’urgence climatique qui s’emballe et la nécessité de ratifier au plus vite l’Accord adopté en décembre dernier. La litanie des signes de cet emballement et de ses conséquences dramatiques s’allonge chaque jour un peu plus : records de chaleur battus pour la troisième année consécutive, réapparition de l’Antrax en Russie suite à la fonte du permafrost, inondations en Louisiane, sécheresse et incendies en Californie, coupures d’électricité sur la côte Est américaine suite aux températures caniculaires, etc.
Entretenir un climat de confiance à Marrakech
Mais, près de 9 mois après qu’il a, d’un coup de marteau, mis un terme à treize jours et nuits de négociations, Laurent Fabius ne peut que constater la lenteur avec laquelle les pays s’acquittent de leur ratification. Certes, le 22 avril dernier à New York, en présence de François Hollande et Ségolène Royal, plus de 130 pays (sur les 195 parties qui composent la Conférence des Parties – COP) avaient fait le déplacement à l’ONU pour le signer. Depuis, le compteur a atteint 180 Etats signataires. Mais ce ne sont que des préambules à la ratification elle-même. Pour que l’Accord de Paris puisse entrer en vigueur, il faut que 55 pays au moins, responsables de 55% des émissions mondiales de gaz à effet de serre, l’aient ratifié. Certes, cet accord devant prendre le relais de celui de Kyoto en 2020, en théorie rien ne presse. Mais les acteurs de la COP21 et la présidence marocaine de la COP22, tout comme les Nations unies ou encore la communauté scientifique au chevet du climat, misent sur une ratification nettement plus rapide. Idéalement, la France et le Maroc souhaiteraient que l’affaire (le quorum des 55 pays/55% des émissions mondiales) soit entendue avant la COP22 qui se tient à Marrakech du 11 au 18 novembre. Cela serait nettement plus en ligne avec la volonté du Maroc de faire de cette conférence celle de l’action et avec la nécessité maintes fois réaffirmée d’entretenir le climat de confiance et de solidarité qui semblait s’être dégagé de la COP21, notamment entre pays du Nord et pays du Sud.
L’Europe enlisée dans un processus complexe
Si Laurent Fabius reprend sa casquette de Monsieur climat, c’est qu’aujourd’hui, le compte n’y est pas. Loin s’en faut. 24 pays, représentant à peine plus de 3% des émissions mondiales ont à ce jour ratifié l’Accord. C’est le cas de la France. Mais si François Hollande s’est plié à l’exercice le 15 juin, ce geste n’a d’autre poids que symbolique. En effet, l’Accord doit avoir préalablement été ratifié par l’Europe (9% des émissions mondiales), c’est-à-dire que les 28 aient déposé conjointement leurs instruments de ratification auprès des Nations unies. Mais les pays gros consommateurs de charbon (Pologne en tête, mais aussi Tchéquie ou Slovaquie) ne sont pas pressés. Aussi, bien que Ségolène Royal, en tant que présidente en exercice de la COP, n’ait pas ménagé sa peine pour convaincre ses homologues européens, l’Union pourrait bien faire figure de mauvais élève à la veille de la COP22. La difficulté de parvenir à un accord sur la répartition de l’effort devant permettre à l’Union européenne d’atteindre son objectif de réduction de ses émissions de 40% (par rapport à 1990) à l’horizon 2030, qui se déroule en parallèle, ne facilite pas les choses.
Parmi les grands pays, le Brésil devrait ratifier l’accord de façon imminente mais l’Inde, la Russie ou le Japon, qui viennent juste derrière la Chine, les Etats-Unis et l’Europe en matière de poids dans les émissions mondiales, n’ont pas encore annoncé leurs intentions.
La menace républicaine aux Etats-Unis
Les choses pourraient bouger à l’occasion du G20 qui se tient les 4 et 5 septembre à Hangzhou (Chine). Les investisseurs regroupés au sein du IIGCC (Institutional Investors Group on Climate Change), qui gère 13 000 milliards de dollars d’actifs, ont en effet adressé à tous ses membres une demande de ratification de l’Accord de Paris dans les meilleurs délais. De leur côté, des assureurs pesant 1200 milliards de dollars les pressent de présenter leurs feuilles de route pour cesser d’ici à 2020 leurs subventions aux énergies fossiles, principales responsables du changement climatique.
Il se murmure que les Etats-Unis et la Chine, responsables à eux deux de 42% des émissions mondiales, ajouteront leurs voix à ces requêtes pour faire pression sur leurs partenaires. Bien que la Maison blanche se soit refusée à toute confirmation, les rumeurs affirmant que les deux pays pourraient même s’exprimer conjointement sur leur ratification à la veille du G20 se font de plus en plus insistantes. C’est d’ailleurs ce qu’ils avaient déjà fait en amont de la cérémonie à l’ONU le 22 avril.
A quelques semaines de la fin de son mandat, Barak Obama, que le texte issu de la COP21 exempte a priori de l’accord du Congrès, entend laisser sa marque dans la protection de l’environnement. Quoi qu’il en soit, le plus grand doute plane sur l’avenir de l’Accord de Paris dans le cas d’une victoire républicaine. En effet, Donald Trump reniant le rôle des activités humaines dans le changement climatique, il a d’ores et déjà annoncé son projet de faire annuler l’Accord de Paris
Des organisations proches de Bachar el-Assad ont reçu des millions de dollars d’aides humanitaires, selon le Guardian. L’ONU se défend en affirmant «travailler avec toutes les parties du conflit».
Selon une enquête menée par le journal britannique The Guardian, l’Organisation des Nations Unies (ONU) a octroyé des contrats humanitaires à plusieurs organisations et personnes proches du président syrien. Des aides reçues malgré les sanctions prises par l’Union européenne et les États-Unis à l’encontre de ces bénéficiaires. Le quotidien indique avoir passé au crible des centaines de contrats passés par l’ONU depuis 2011 et le début du conflit qui a fait plus de 290.000 morts. La globalité des aides humanitaires reçues dépassent les 20 millons de dollars.
Ainsi le gouvernement d’Assad a reçu 13 millions de dollars pour le développement de l’agriculture bien que l’UE ait interdit le commerce avec les ministères concernés par ces aides. La raison de ces interdictions est le manque de confiance dans le régime syrien et à la façon dont l’argent pourrait être dépensé.
Les organisations de la femme et du cousin de Bachar el-Assad bénéficiaires
Deux agences de l’ONU sont également partenaires, à hauteur de 8,5 millions de dollars, du Syria Trust charity, une organisation présidée par l’épouse du président Assad, Asma. L’Unicef a versé pour sa part 268.000 dollars à Al-Bustan Association, une organisation caritative contrôlée par Rami Makhlouf, ami et cousin d’Assad. Il est considéré comme l’homme le plus riche de Syrie et se trouve être le symbole de la détestation du pouvoir par les opposants du régime. Il est sur la liste des «sanctionnés» de l’UE car il est fortement soupçonné de corruption, notamment par la diplomatie américaine. 700.000 dollars d’aides de l’ONU ont aussi été distribués à sa société de réseau de téléphonie mobile Syriatel.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a de son côté dépensé plus de 5 millions de dollars pour soutenir la banque de sang nationale syrienne, contrôlée par le ministère de la Défense syrien. À ce propos, le porte-parole de l’OMS à Genève a affirmé que l’agence ne «travaille pas directement avec le ministère de la Défense».
«L’OMS a distribué des poches de sang à la banque de sang syrienne, par l’intermédiaire du ministère de la Santé et du ministère de l’Éducation supérieure», a-t-il déclaré.
L’ONU assume et se défend
Un responsable onusien a bien souligné que la situation a créé un certain embarras au sein de plusieurs agences internes préoccupées par l’emprise du régime syrien sur le fonctionnement de l’aide humanitaire. Mais l’organisation serre les coudes et assume son action en Syrie. À Genève, des porte-paroles de l’ONU ont indiqué mardi «travailler avec toutes les parties du conflit», parce que l’organisation internationale agit ainsi «dans toutes les crises». Selon Jens Laerke, porte-parole de l’Agence de l’ONU pour les affaires humanitaires (OCHA), si l’on n’accepte pas le fait que le gouvernement syrien décide avec quelles ONG l’ONU peut travailler, «les agences de l’ONU ne pourraient pas sauver autant de vies, comme elles le font actuellement en acheminant des aides» cruciales pour la population du pays.
Interrogés par le Guardian, d’autres responsables de l’ONU soulignent que le choix des partenaires pour répondre aux besoins humanitaires urgents de la population est nécessairement «limité» dans cette zone. La raison principale invoquée est la complexité et la particularité du conflit syrien.
«Quand il s’agit de choisir entre fournir des biens ou des services via des entreprises qui pourraient être affiliées au gouvernement ou laisser des civils sans l’aide vitale dont ils ont besoin, le choix est clair: notre devoir est d’aider les civils».
Un policier a été poignardé et « blessé sérieusement », mardi 30 août, dans un commissariat du centre de Toulouse, par un individu, qui a très vite été interpellé, selon une source policière. Le policier, adjoint de sécurité, « a été blessé sérieusement mais son pronostic vital ne semble pas engagé », d’après cette même source.
Le policier a été poignardé dans la zone d’accueil du commissariat de la rue du Rempart St-Etienne, en plein centre historique de Toulouse. Un cordon de sécurité a rapidement été mis en place autour du commissariat et la rue bloquée.
« Un acte délibéré »
« Le policier est un homme, adjoint de sécurité, Il a été hospitalisé mais ses jours ne sont pas en danger. Il a eu des points de suture, l’impact n’a pas été très important », a dit Didier Martinez, secrétaire général régional du syndicat SGP-Police.
Selon le responsable syndical, « un individu s’est présenté à l’accueil pour un dépôt de plainte. Il a très vite tenté de s’emparer de l’arme de l’adjoint de sécurité, qui a été frappé au cou par un couteau, mais la carotide ne serait pas atteinte ». « C’est un geste délibéré et peut-être prémédité parce que il est sorti, avant son acte, du commissariat puis re-rentré. Il a été très vite maîtrisé après l’attaque. Il n’a pas parlé au moment de l’agression, ses premières déclarations après son interpellation sont très confuses », a-t-il ajouté.
Le ministre de l’intérieur Bernard Cazeneuve a apporté son « entier soutien » au policier blessé et à son entourage, soulignant aussi que « son pronostic vital n’est pas engagé ». « La police judiciaire de Toulouse a été saisie des faits et une cellule de soutien psychologique mise en place », précise le ministre.
LA MECQUE (Arabie Saoudite)- Les hadjis algériens victimes de l’incident de la chute d’une grue à la grande Mosquée de La Mecque, survenu durant la saison Hadj 2015, ont été invités par l’Etat à effectuer le pèlerinage de 2016, a indiqué mardi le chef du centre de la mission Hadj et Omra à la Mecque, Messaoud Bouledjouidja.
Les visas ont été attribués à titre gracieux par les autorités saoudiennes aux hadjis victimes de cet incident et qui ont émis le voeu de se rendre aux Lieux Saints de l’islam pour accomplir le pèlerinage, a précisé le même responsable, ajoutant que l’Etat algérien, à travers l’Office national du Hadj et de la Omra (OHNO), se chargera de la prise en charge de leur hébergement et leur restauration.
Pour rappel, 17 hadjis algériens avaient été blessés lors de cet incident.
Les cours du pétrole ont terminé en baisse mardi sur le marché new-yorkais Nymex, pénalisés par la vigueur du dollar et l’anticipation d’une hausse des stocks de brut aux Etats-Unis.
Le contrat octobre sur le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) a perdu 63 cents, soit 1,34%, à 46,35 dollars le baril.
Au moment de la clôture du Nymex, le Brent cédait 89 cents (1,81%) à 48,37 dollars.
Le dollar se raffermit depuis que Janet Yellen, la présidente de la Réserve fédérale, a déclaré vendredi que les arguments en faveur d’une hausse des taux se renforçaient aux Etats-Unis. L’annonce mardi d’une nette amélioration de la confiance du consommateur américain a contribué à soutenir l’hypothèse d’un prochain tour de vis monétaire aux Etats-Unis.
Les analystes s’attendent par ailleurs à une augmentation de 1,3 million de barils des stocks de brut la semaine dernière aux Etats-Unis, ce qui serait la deuxième hausse hebdomadaire de rang. Les chiffres seront annoncés mercredi.
SETIF – L’Ecole nationale des sports olympiques, dans la région d’El Bez, à l’Ouest de Sétif connaît un engouement croissant des clubs sportifs dans les différentes disciplines, en stage de préparation en prévision du lancement de la saison sportive et des différentes compétitions.
Le directeur de cet établissement, Cherif Amine Meziane a indiqué à l’APS qu’en juillet dernier, neuf (9) clubs sportifs de football de la Ligue 1 Mobilis, totalisant 266 athlètes, ont effectué des stages de préparation, à l’instar du Club sportif constantinois (CSC) et de l’Entente sportive de Sétif (ESS) entre le 28 juin et le 4 juillet, du Chabab Aurès de Batna (CAB) du 6 au 14 juillet et également du Nasr athlétique d’Hussein-Dey (NAHD) du 13 au 21 juillet.
Rencontré sur les lieux, Bennacer Bencheikha, le porte-parole du Mouloudia Club d’Oran (MCO) a affirmé que son équipe a opté pour l’Ecole des sports olympiques d’El Bez, pour la préparation de la prochaine saison 2016-2017, soulignant que la structure offrait aux sportifs de haut niveau des lieux adaptés à une bonne préparation pour entretenir la forme et obtenir les meilleures performances.
De son côté le manager du Rapid Club de Relizane, Ali Houari a tenu à préciser que son équipe a déjà effectué un stage préparatoire à l’Ecole d’El Bez, et les commodités offertes et la qualité des services a incité la direction du club à programmer un deuxième stage au sein de la même structure qui a débuté le 28 juillet et devra s’étaler jusqu’au 11 août courant.
Houari a estimé que l’Ecole des sports olympiques d’El Bez constituait « un véritable acquis et rivalisait avec les autres complexes sportifs des pays arabes et même européens ».
L’Ecole des sports olympiques d’El Bez a « atténué » le problème de la disponibilité des matchs amicaux auquel faisaient face plusieurs clubs en stage à l’étranger, affirme-t-on détaillant que les quatre (4) stades de l’Ecole ont abrité des matchs amicaux opposant le MCO aux CA Batna, JSM Béjaïa, MC El Eulma et CA Bordj Bou Arréridj.
L’Ecole des sports olympiques d’El Bez a abrité également entre juin et juillet derniers le stage de préparation de certains athlètes de l’équipe nationale d’athlétisme qui participent actuellement aux jeux Olympiques 2016 de Rio.
Aussi, les équipes nationales de plusieurs disciplines ont séjourné dernièrement à l’Ecole d’El Bez dans le cadre de leur programme de préparation en prévision de diverses compétitions inscrites à leur calendrier.
Un bijou
Le rôle essentiel de l’Ecole des sports olympiques d’El Bez demeure « la prise en charge des jeunes talents, tout au long de la saison sportive », tient à préciser Amine Meziane qui ajoute que la lutte, la boxe, le karaté, l’athlétisme et le tennis de table sont autant de disciplines sportives que l’Ecole œuvre à entretenir, en attendant, a-t-il précisé, l’introduction de la natation et de l’escrime, prévues pour la prochaine saison sportive.
Véritable bijou, l’Ecole des sports olympiques d’El Bez dispose d’une aile d’hébergement de 54 chambres, de salles de réunion, d’un centre de loisirs scientifiques, d’une aile pédagogique de dix (10) classes, d’un restaurant, de vestiaires et de sept (7) parkings pouvant contenir 55 véhicules.
L’Ecole olympique d’El Bez contient également une piscine olympique de 50 mètres, un autre bassin pour les échauffements de 25 mètres, un stade d’athlétisme en gazon naturel d’une capacité de 1.200 places, quatre (4) stades de football dont deux (2) en gazon naturel, une salle omnisports de 500 places, une salle pour les sports de combat, deux (2) salles de boxe et d’autres pour le bodybuilding et l’aérobic, quatre (4) courts de tennis, un boulodrome ainsi qu’une unité de soins et de récupération.
Le choix de plusieurs formations sportives d’opter pour Sétif afin d’effectuer leurs stages de préparation est également dicté par la disponibilité au niveau des complexes touristiques de la ville de divers espaces et équipements permettant le déroulement des stages dans les meilleures conditions, à l’image de l’hôtel Al Hidhab qui vient de se doter d’un terrain en gazon artificiel et d’équipements de récupération de dernière génération. Une décision, affirme le gestionnaire de cet hôtel Abdelhamid Madani, qui œuvre à encourager les équipes sportives à privilégier la destination de la capitale des Hauts plateaux.
BEJAIA – Une ligne régulière de transport de conteneurs par rail a été inaugurée, jeudi, entre le port de Béjaïa et sa zone logistique extra-portuaire de Tixter, à Bordj-Bou-arredj, à l’occasion du convoyage d’un premier train, chargé de 15 boites de 40 pieds.
Le train, doté de 15 wagons a chargé du fret, qui a atteint les limites de 21 jours d’entreposage au port et devra revenir quotidiennement transborder les conteneurs en souffrance sur les quais et les terminaux qui leurs sont dédiés, en attendant la mise en branle de l’opération visant les chargements, déchargés directement du bateau et acheminés sur Tixeter, a-t-on expliqué sur place.
D’ici la fin de l’année, il est prévu le chargement vers la zone logistique de quelque 14.758 conteneurs, équivalent 40 pieds, puis l’augmentation progressive de la cadence pour atteindre en 2020, 62.764 boites de même volume, a-t-on ajouté.
Par-delà le plan de charge et son impact financier sur les activités de la SNTF (société nationale des transports ferroviaires), et les avantages attendus par l’entreprise de Béjaïa, notamment en termes de gestion des espaces, de temps de transit du fret, et de qualité de prestation pour les clients, ce mode de transport, est apprécié par ses effets sur le transport routier (décongestion) et sur l’environnement.
« Chaque train mis en circulation est synonyme de 40 camions semi-remorques retirés de la circulation », a souligne le wali de Béjaïa, qui en mesure l’impact, en termes de réduction d’accidents de la route et de ses effets dépolluants sur la nature.
Le directeur général de la SNTF, n’a pas manqué, à l’occasion de souligner la disponibilité de son entreprise à encourager le transport par rail sous toute ses formes, notamment pour le fret, pour lequel, dira-t-il, d’autres projets identiques verront incessamment le jour, notamment à Skikda et Annaba.
Pour les autorités du port de Béjaïa, qui y trouvent une opportunité salvatrice pour faire face à la congestion du port, l’objectif premier consiste à donner vie aux diverses activités à l’intérieur de la zone logistique en assurant des livraisons rapides et des enlèvements réguliers, des services liés aux conteneurs (entretien, lavage, etc.) et en garantissant toutes les opérations d’organisation (groupage/dégroupage) et de dédouanement sur la plate-forme.
ORAN – Le trafic du tramway d’Oran a repris normalement sur l’ensemble de la ligne reliant la station Sidi Maarouf à celle d’Es-Senia, a annoncé dimanche le chargé de la communication par intérim de la Setram, société gérant ce mode de transport urbain.
« Depuis samedi, le trafic a repris normalement sur l’ensemble de la ligne 1 du tramway d’Oran. Toutes stations entre Sidi Maarouf et Es-Senia sont desservies », a confirmé à l’APS Zenasni Houari.
Le trafic a été fortement perturbé suite au déraillement d’une rame vide et hors exploitation le 1er août dernier, causant d’importants dégâts entre les stations Emir Abdelkader et la Place du 1er novembre, au centre-ville d’Oran.
La société algérienne Cital, chargée, entre autres, de la maintenance du tramway d’Oran, avait mobilisé, dès la survenance de l’accident, tous ses techniciens pour la remise en état du tronçon affecté par déraillement.
La rame qui a déraillé, a percuté trois poteaux de maintien de la ligne d’alimentation électrique ainsi que la devanture de quatre commerces, rappelle-t-on.
RIO DE JANEIRO – Les cinq athlètes algériens engagés lors de la première journée des épreuves individuelles des jeux Olympiques 2016, disputée samedi à Rio de Janeiro n’ont pas brillé avec des abandons en cyclisme et du repêchage en Aviron.
En aviron, le rameur Sid Ali Boudina a pris la quatrième place sur les cinq engagés de sa série en Skiff individuel, et devra passer dimanche par les repêchages pour espérer décrocher une place en quart de finale.
La cinquième série est revenue au Tchèque Ondrej Synek avec un temps de 7:21.90 et composte directement son billet pour les quarts de finale.
Boudina disputera les repêchages dimanche dans la série numéro 1 aux côtés du Kazakh Wiadislav Jakowlew, du Péruvien Renzo Leon et du Libyen Al Hussein Ghabour.
Les épreuves des quarts de finale sont prévues pour mardi. Les trois premiers de chaque série se qualifieront aux 1/4 de finale. Les rameurs non qualifiés participent à un tour de repêchage qui leur donne une deuxième chance de se qualifier pour les quarts.
Sa coéquipière Amina Rouba, pour sa seconde participation aux olympiades n’a pas fait mieux et sera obligée de passer par le repêchage dans l’espoir de gagner sa place en quart de finale de la compétition. L’athlète algérienne a terminé à la quatrième place de la cinquième série avec un temps de 8 :55.43. Cette série a été remportée par l’Autrichienne Magdalena Lobnig (8:26.83), devant la Tchèque Topinkova Knapkova (8:28.90) et la Nigériane Chierika Ukogo (8:35.34).
Les trois premières de chaque série se qualifient aux 1/4 de finale, prévus mardi, alors que les rameuses non qualifiées participent à un tour de repêchage, dimanche, qui leur donne une deuxième chance de se qualifier pour les quarts.
En cyclisme, les deux coureurs algériens n’ont pas réussi à terminer la course pour diverses raisons. Youcef Reguigui qui ambitionnait de terminer dans les quarante premiers de la course n’a pas réussi à gagner son pari en abandonnant la course. C’est la seconde fois de suite qu’un coureur cycliste algérien abandonne après Azzedine Laagab lors des Jeux de Londres 2012.
Le jeune Mansouri Aberrahmane qui participait lui aussi pour la première fois de sa carrière aux Jeux Olympiques a connu le même sort que Reguigui. Le podium s’est joué à une poignée de secondes. Greg Van Avermaet, vainqueur d’étape et maillot jaune pendant le Tour de France, et s’imposé au sprint à moins d’une seconde du Danois Jakob Fuglsang. Dans ses roues, le Polonais Rafal Majka lui décroche la médaille de bronze devant le Français Julian Alaphilippe.
RIO DE JANEIRO – Les cyclistes algériens Youcef Reguigui Abderrahmane Mansouri, ont terminé hors des délais du temps réglementaire de la course sur route des jeux Olympiques de Rio, remportée samedi par le Belge Greg Van Avermaet.
Le Belge qui offre la première médaille d’or à son pays, a bouclé les 237.5 km de course avec un temps de 6:10.05, devant le Danois Jakob Fuglsang et le Polonais Rafal Majka, ses deux compagnons d’échappée.
Avec plus de 30 minutes de retard sur le vainqueur, Reguigui et Mansouri qui sont également engagés dans la course contre la montre, prévue mercredi, n’ont pas franchi la ligne d’arrivée, terminant hors des délais du temps réglementaire autorisés par les règlements de la course sur route des JO-2016.
RIO DE JANEIRO – L’Algérien Mohamed-Abdeldjalil Bourguieg a été éliminé des épreuves de gymnastique artistique des jeux Olympiques-2016 de Rio de Janeiro, en terminant à la 48e et avant-dernière place des qualifications qui ont pris fin dans la nuit de samedi à dimanche.
Bourguieg a totalisé 78.499 points, devançant seulement Kevin Crovetto (Monaco) qui a récolté 76.056 unités, alors que l’Allemand Andreas Toba a abandonné le concours.
Au classement des qualifications, c’est l’Ukrainien Oleg Verniaiev qui a pris la première place avec 91.964 points, devant le Japonais Kohei Uchimura (90.498 pts) et le Russe David Belyavskiy (89.799 pts).
RIO DE JANEIRO – Le champion olympique du 1500 m à Londres Taoufik Makhloufi, arrivé samedi à Rio de Janeiro pour prendre part aux Jeux Olympiques 2016, s’est déclaré déterminé à batailler dur pour offrir à l’Algérie une nouvelle médaille.
« Je suis ici à Rio de Janeiro pour un seul objectif : me battre pour une médaille olympique à l’instar de tous les athlètes présents sur place. J’ai travaillé dur et j’ai consenti beaucoup de sacrifices tout au long de la saison pour être en forme le jour de la compétition, mais à ce niveau, rien n’est acquis d’avance », a déclaré Makhloufi dans un entretien accordé à l’envoyé spécial de l’APS, dans la zone internationale du village Olympique à Rio de Janeiro.
Pour le natif de Souk Ahras, la compétition s’annonce très dure pour tout le monde et très relevée avec la présence des meilleurs athlètes mondiaux à Rio de Janeiro. « Tous les athlètes sont au Brésil pour la consécration olympique. Personnellement, je me suis préparé en conséquence, j’espère que la réussite sera au rendez-vous », a-t-il ajouté.
Makhloufi est conscient d’autre part que la pression est énorme et que les Jeux de Rio n’ont rien à voir avec ceux de Londres 2012 où il avait surpris tous les observateurs ainsi que ses adversaires en remportant le 1500 m.
« Les conditions ont changé complètement par rapport aux jeux de Londres. Quatre ans sont passés. J’ai beaucoup appris et j’ai gagné énormément en expérience. Je suis un battant et je vais faire le maximum à Rio avec l’aide d’Allah », a souligné Makhloufi.
Et à quelques jours du début des épreuves d’athlétisme, Makhloufi n’a pas encore tranché la distance sur laquelle il va s’aligner à Rio. Il est pour le moment inscrit par la Fédération algérienne d’athlétisme sur le 800m et le 1500 m. Une décision devrait être prise mardi ou mercredi, selon lui.
« Je n’ai pas encore décidé sur quelle épreuve je vais m’aligner. J’attends l’arrivée de mon entraîneur français à Rio de Janeiro pour prendre une décision. Il devrait arriver mardi ou mercredi. Une décision sera prise dans les prochains jours », a expliqué Makhloufi, qui a plus participé aux courses du 800 m et du mile cette saison qu’à celles du 1500m.
« Je suis prêt pour les deux épreuves. Mon classement mondial et mes chronos me permettent de m’aligner sur les deux courses. Le denier mot me revient en consultation avec mon entraîneur. Je vais discuter avec lui mardi ou mercredi avant de trancher. La fédération n’a rien à voir dans cette affaire, son seul rôle est de me retirer de l’une des deux courses », a-t-il précisé.
A pied d’£uvre à Rio de Janeiro depuis samedi en compagnie de son kinésithérapeute marocain, le champion algérien a effectué sa première séance d’entraînement le même jour en début de soirée.
« La préparation en elle-même est terminée, je vais me contenter de petites séances axées sur la récupération avant d’entamer la compétition », a-t-il dit. Interrogé sur la préparation effectuée en France en vue du rendez-vous brésilien, Makhloufi a estimé qu’elle s’était déroulée dans de bonnes conditions sous la conduite de son entraîneur Philippe Dupont.
« J’ai effectué deux stages de trois semaines chacun à Font-Romeu en France, entrecoupés d’une dizaine de jours au niveau de la mer avec une compétition au programme. Tout s’est bien passé. J’ai couru cette année le 800 m, le mile et une seule fois le 1500 m à Monaco. Je suis prêt pour la compétition. J’espère être en forme le jour J », a souhaité Makhloufi.
A une question sur sa relation avec son nouvel entraîneur Philippe Dupont, l’athlète algérien n’a pas caché sa satisfaction du travail effectué avec le technicien français depuis qu’il est sous sa conduite.
« J’ai réussi avec lui de bons résultats. C’est plus qu’une relation d’un athlète avec son entraîneur. Il y a quelque chose de plus fort dans notre relation », a assuré Makhloufi.
À 7 kilomètres de l’autoroute Est-Ouest et à 9 kilomètres de la RN5, à mi-chemin entre Bordj Bou-Arréridj et Sétif, est situé l’un des projets les plus importants de la wilaya de Bordj, mais aussi de toute la région des Hauts-Plateaux.
La zone logistique extra-portuaire de la commune de Tixter, à 25 kilomètres à l’ouest de Bordj Bou-Arréridj, a été mise en exploitation, jeudi en présence des autorités locales civiles et militaires. Lors de la cérémonie, le directeur régional des Douanes, Mohamed Dahmane, a précisé que le port sec, le premier du genre dans la région des Hauts-Plateaux, constitue une zone logistique extra-portuaire. Dans une première phase, a-t-il ajouté, cette zone logistique extra-portuaire, qui vient de recevoir un premier convoi composé de 15 containers de marchandises, réceptionnera des convois de marchandises provenant du port de Béjaïa uniquement à travers la voie ferrée dans les meilleurs délais, soulignant que cette structure concrétisée est inscrite dans le cadre du plan stratégique 2016-2019 visant le rapprochement de l’administration des opérateurs économiques et la facilitation des procédures douanières. “Nous encourageons particulièrement le transport par voie ferrée, le moyen le plus sûr qui permettra de désengorger les routes, saturées par endroits, et par conséquent, réduire le nombre de poids lourds.
Donc, il y aura moins d’accidents et moins de pollution”, ajoute notre interlocuteur. En effet, à 7 kilomètres de l’autoroute Est-Ouest et à 9 kilomètres de la RN5, à mi-chemin entre Bordj Bou-Arréridj et Sétif, est situé l’un des projets les plus importants de la wilaya de Bordj, mais aussi de toute la région des Hauts-Plateaux. Un fleuron économique susceptible de générer de la richesse et absorber un maximum de demandeurs d’emploi, selon les responsables du projet. S’étendant sur une superficie de 20 hectares, le projet du port sec de Tixter, révélé depuis une dizaine d’années, est relancé, sur insistance du Premier ministre, lors de sa visite dans la wilaya en janvier 2014, qui ordonné l’extension de l’infrastructure pour permettre la décongestion des enceintes portuaires.
Cette infrastructure, extensible à 55 hectares, comprend trois lots et un branchement particulier à la voie ferrée jouxtant le site. Le premier impact économique sur l’environnement immédiat est, justement, la réhabilitation de la gare ferroviaire, fermée depuis une vingtaine d’années, avec à la clé de nombreux postes d’emploi, selon le directeur régional des Douanes. Le projet de branchement du port sec à la voie ferrée est confié à l’entreprise Infrarails, avec des ramifications de 4,5 km, en sus d’un dédoublement de la voie reliant Tixter à Aïn Taghrout sur 8 km. Selon nos informations, l’Algérie a passé une commande de 30 locomotives au fabricant américain General Motors, dont une partie est destinée au renforcement et à la modernisation de la ligne Béjaïa-Beni Mansour-Bordj-Tixter.
Le site du port sec émerge selon des normes internationales, avec un terminal à containers qui s’étale sur 9,4 ha de béton (le plus grand terminal en Algérie, y compris les ports classiques), 12 poteaux de 45 mètres de haut pour assurer l’éclairage 24h/24 et accueillir des marchandises à toute heure, d’un quartier administratif de 3 blocs : 2 portuaires et 1 des douanes, le tout est relié à un réseau d’évacuation des eaux pluviales de 6,5 km. Le port sec de Tixter servira de dépôt de containers pleins et vides, pour le chargement et le déchargement des wagons et l’entreposage des marchandises homogènes. Le terminal A, avec ses 3 voies de service, pourra accueillir tout type de containers, y compris les frigorifiques. A noter que le site de Tixter avait été prospecté et choisi par Béjaïa Mediterranean Terminal (BMT), un bureau d’études chargé des opérations maritimes.
Un grand nombre des 14 millions de visiteurs prévus pour la saison estivale et qui viennent des quatre coins du pays et de l’étranger n’auront pas l’occasion de visiter deux sites historiques prisés par les Oranais. D’abord la Grande poste, connue par son hold-up up de 1950 perpétré par l’OS (l’organisation secrète), et qui est fermée au public suite à des travaux de réhabilitation. Même scénario pour la place du Maghreb, ex-place de la Bastille, en pleins travaux de réaménagement après la démolition des quatre kiosques qui ornaient la place, halte incontournable pour les lecteurs de journaux. “L’APC défigure le paysage de la place en installant certainement des bancs au profit des SDF”, peste un Oranais, enfant du quartier, alors que pour les élus locaux, nouvelle époque, nouveau look et désengorgement. Reste la réhabilitation de la rue des Aurès (marché de la Bastille) qui tarde à venir.
Des cérémonies d’installation de nouveaux cadres au sein de différents services médicaux du CHU Benzerdjeb ont eu lieu en fin de semaine dernière.
Il s’agit, en l’occurrence, du service de chirurgie orthopédique de la clinique Fellaoucen, qui a vu la nomination du professeur Belaïd Mohamed en remplacement du professeur Khaznadar Mahmoud, qui a été mis à la retraite. L’administration du centre hospitalo-universitaire de Benzerdjeb, a également tenu une cérémonie d’installation, au bloc ‘’B’’ du service de pédiatrie, du professeur Zoubir Safia en remplacement du professeur Challabi Abla, qui y a officié pendant plus de 25 ans. Le fait est qu’il s’agit bien de mise à la retraite et non de permutation entre responsables.
Ce mouvement, initié par le ministère de la Santé en vertu du décret ministérielle de 2014, vise à remercier tous les responsables et cadres du secteur ayant atteint l’âge de 70 ans. Ce mouvement est plutôt inexorable puisqu’il concerne 18 cadre de la santé, tous du même rang professionnel, ayant pour la plupart occupé des postes sensibles depuis près d’une trentaine d’années dans différents établissements de santé de la région. Les nouvelles installations interviendront au fur et à mesure de l’achèvement de la phase d’étude des candidatures par l’administration et le conseil scientifique de wilaya. La décision ministérielle a été appliquée en présence du DG, des cadres du conseil scientifique et du syndicat national des professeurs hospitalo-universitaires et chercheurs de la wilaya d’Oran, ainsi que des représentants de la direction des activités médicales et paramédicales et le directeur des ressources humaine, a annoncé le chargé de communication du CHUO.
Pour la prochaine année universitaire 2016/2017, l’université Ferhat-Abbas spécialisée en sciences et technologie prévoit l’accueil d’environ 10 000 nouveaux bacheliers et 2500 nouveaux étudiants en première année master, a-t-on appris du premier responsable de l’établissement. Ce dernier a ajouté que “l’effectif des étudiants inscrits au sein de notre université pour l’année prochaine approchera les 37 000 dont 35 000 au niveau de la graduation et le reste en post-graduation et en 3e cycle”. Par ailleurs, l’université Ferhat-Abbas a délivré cette année pas moins de 6717 diplômes, soit 4793 diplômes en licence, 1346 en master et 524 en sciences médicales, selon notre source. Quant à la formation doctorale à l’université pour la rentrée universitaire de 2016, notre interlocuteur a souligné que les 24 offres de formation, toutes filières confondues, qui ont été proposées par l’établissement ont été toutes acceptées qui permettront la formation de 110 doctorants.
La décision de Google de retirer la Palestine de ses cartes et de la remplacer par Israël a été tout de suite dénoncée par le Forum des Journalistes Palestiniens.
Selon leur déclaration, la décision de Google faite le 25 Juillet est « une partie de la stratégie d’Israël pour établir son nom en tant qu’Etat légitime pour les générations à venir et rayer définitivement de la carte la Palestine ».
« Le remplacement vise également à falsifier l’histoire, la géographie, ainsi que le droit du peuple à avoir sa patrie, et aussi une tentative échouée de manipuler la mémoire des Palestiniens et des Arabes ainsi que du monde ».
D’après le forum, ce remplacement est « contraire à toutes les normes et conventions internationales », ce qui souligne que Google doit refuser ses actions.
La direction de distribution de l’électricité et du gaz de Gué-de-Constantine demande, dans un communiqué transmis à notre rédaction, aux clients qui n’ont pas encore payé leurs factures de consommation d’électricité et/ou du gaz de le faire avant la rentrée sociale 2016-2017. En cas de non-paiement, lit-on dans le communiqué, la direction se réserve le droit de procéder à des coupures.
Cela fait bientôt une année, les patients mis sous un traitement spécifique du diabète insipide ne le trouvent plus dans les pharmacies. Aucune information probante n’est fournie sur l’indisponibilité du Minirin, spray nasal à 10 milligrammes. Les pharmaciens d’officine sont incapables de dire si ce produit est suspendu d’importation ou juste en rupture de stock.
De l’avis des malades, le générique qui leur est proposé en substitution n’est pas aussi efficace.