Le film « Vote Off », un documentaire sur l’élection présidentielle d’avril 2014, a été interdit de projection aux 14e rencontres cinématographiques de Béjaïa, a affirmé mardi 6 septembre Abdenour Hochiche, président de Project’heurts, l’association organisatrice de l’événement.
Initialement programmé pour jeudi 8 septembre à 17 heures, le film du réalisateur Fayçal Hammoum, produit par Thala Films, n’a pas obtenu le visa culturel nécessaire pour sa projection, contrairement à tous les autres films programmés.
« Nous avons reçu jeudi la liste des films qu’on a soumis au ministère pour obtenir les visas. Tous les films ont été autorisés, sauf « Vote Off » », a expliqué M. Hochiche.
« Nous avons demandé des explications mais nous n’avons toujours pas reçu de réponse », a-t-il ajouté.
Le ministère de la Culture n’a pas répondu aux sollicitations du HuffPost Algérie pour un commentaire sur cette interdiction.
« Contrainte par la loi n° 11-03 du 17 février 2011 relative à la cinématographie, décret 13-276. L’association Project’heurts se voit dans l’obligation d’annuler la projection du film », a regretté l’association organisatrice dans un communiqué.
Tout en exprimant son incompréhension, Abdenour Hochiche a annoncé que la projection a été remplacée par un débat sur la loi sur le cinéma et sur la liberté de création en Algérie, en présence du réalisateur et du producteur de « Vote Off ».
Ouverte le 3 septembre dernier, la 14e édition des rencontres cinématographiques de Béjaïa se poursuivront jusqu’au 9 septembre avec de nombreux documentaires, courts et longs métrages au programme.
24 DESTINATIONS A DECOUVRIR GRACE AUX PROMOTIONS D’EMIRATES
Dubaï, le 25 Août – La compagnie aérienne Emirates, classée « meilleure compagnie aérienne au monde » au classement SkyTrax 2016, lance de nouvelles promotions destinées aux voyageurs algériens vers l’Asie et l’Océanie. Des destinations surprenantes seront au menu de cette nouvelle promotion telles que la Malaisie, l’Australie, le Japon, l’Indonésie, les Maldives ou encore le Sri Lanka. Une nouvelle qui ravira sans doute les vacanciers d’automne, les aventuriers passionnés par la culture asiatique et les amoureux des plages paradisiaques de l’Asie et du Pacifique.
L’offre est destinée aux voyageurs des classes Affaires et Economique. Les billets pourront être achetés dans la limite des places disponibles entre le 25 août et le 15 septembre, pour des voyages jusqu’au 30 juin 2017. Les grandes villes asiatiques telles que Kuala Lumpur, Tokyo, Taipei, Séoul, Singapour et Bangkok seront accessibles à des prix entre 79.000 et 93.000 DA en classe Economique, et entre 209.000 et 240.000 DA en classe Affaires. Les iles et les plages paradisiaques des Seychelles, Maldives, Sri Lanka, ou Bali seront accessibles pour moins de 100.000 DA en classe Economique, et moins de 240.000 en classe Affaires. Enfin, vous pourrez voyager vers les villes de Sydney, Melbourne et Brisbane en Australie de 152.000 DA.
Maya Zouggar, directrice générale d’Emirates en Algérie, a déclaré : « Nous avons eu une saison estivale très satisfaisante chez Emirates, et nous avons souhaité inspirer nos voyageurs d’automne en proposant de nouvelles destinations lors de cette promotion. A travers cette offre nous voulons promouvoir 24 destinations touristiques d’Emirates telles que la Malaisie, les Philippines, le Sri Lanka ou l’Australie qui sont accessibles via Dubaï. Nous avons ciblé les grands centres urbains ainsi que les Iles du Pacifique et de l’Océan Indien qui sont des destinations phares pour des vacances entre amis ou des voyages de noces. Des réductions conséquentes allant jusqu’à 60.000 DA en classe Economique, et 190.000 DA en classe Affaires seront accordées à nos voyageurs dans le cadre de cette promotion. »
Grace à cette promotion, les voyageurs algériens pourront profiter à des prix attractifs du service unique à bord d’Emirates : cuisine gastronomique, un personnel de bord multilingue et aux petits soins, le Wi-Fi à bord, ainsi que le système ICE primé « meilleur système de divertissement à bord » lors du classement SkyTrax 2016 grâce à ses 2500 chaines cinéma, émissions TV, musique, dessins animés et jeux vidéo. Les passagers de la classe Affaires pourront se détendre sur des sièges-lits, alors que les voyageurs vers Sydney, Melbourne, Brisbane, Bangkok, Singapour, l’Ile Maurice, Taipei et Seoul pourront profiter du Lounge à bord de l’A380 Emirates.
Emirates opère la liaison aérienne entre Dubai et Alger 5 fois par semaine. Le vol EK757 décolle de Dubai chaque dimanche, mardi, jeudi, vendredi et samedi à 8:45, et arrive à Alger à 13:10. Le vol retour EK758 décolle d’Alger à 16:05 pour arriver à Dubai à 1:25 le lendemain. Les informations sur les réservations sont disponibles au niveau des agences de voyages agréees par Emirates, ainsi que sur le site www.emirates.com/dz ou au 021 988 988.
A noter que les passagers pourront profiter de la nouvelle franchise bagages d’Emirates, soit 2 pièces de 23 kgs pour les passagers de la classe Economique, et 2 pièces de 32 kgs pour les classes Affaires et Première.
Tout en vouant aux gémonies la direction actuelle, les contestataires exhortent à l’unanimité le chef de l’ Etat à intervenir pour remettre le FLN sur les rails.
Alors que Amar Saâdani peaufine sa réplique, les contestataires du parti continuent d’inonder les rédactions avec des communiqués. Pour autant, le vieux parti tient bon. Après Bordj Bou Arréridj, Mila, Laghouat, la coordination du Mouvement de redressement et de l’authenticité de la wilaya de Béjaïa dénonce à travers sa déclaration, «la dégradation de la situation générale du parti caractérisée par l’exclusion et la mise à l’écart des militants authentiques, de l’absence totale de fonctionnement des structures locales, de développement d’un discours archaïque par les membres du BP». Ces derniers lancent un appel «au président du parti, Abdelaziz Bouteflika d’user de son autorité suprême pour intervenir en urgence pour sauver le FLN des mains des affairistes et magouilleurs». Ils notent que «certains membres du BP ont été en première ligne pour tirer à boulets rouges, en 2004, sur le président candidat». La question qui se pose d’elle-même est la suivante: ces appels et déclarations trouveront-ils des échos favorables auprès du destinataire?
Dans ce sens, le quotidien El-Khabar a révélé récemment que 130 députés, soit la majorité sur 221 membres de l’APN que compte le FLN, réclament le renouvellement des instances de l’APN, avant l’entame de la nouvelle législature.
Les frondeurs remettent en cause la mainmise sur ces instances par l’entourage de Saâdani. En prévision des élections législatives d’avril 2017, les manoeuvres de ce genre se suivent et se ressemblent. Néanmoins, l’issue de cette offensive dépendra en fin de course de la bonne volonté des décideurs, et ce, quels que soient le niveau de la mobilisation et le degré de la protestation.
Tout en vouant aux gémonies la direction actuelle, les contestataires exhortent à l’unanimité le chef de l’Etat à intervenir pour remettre le FLN sur les rails. Or, même si la protesta s’amplifie pour dénoncer la violation de «la ligne directrice du FLN», à moins de ressusciter le projet de réforme qui ambitionnait de donner à cet appareil et béquille du pouvoir, son autonomie, on voit mal en quoi sera changée sa ligne actuelle.
L’appel des 14 moudjahidate et moudajhidine à soustraire le FLN des griffes des partisans de Saâdani, a, en quelque sorte, dopé la protestation, mais il n’a soulevé qu’une contestation marginale parmi les mouhafedhs, les membres du comité central et ceux du bureau politique, lesquels dans leur ensemble n’ont cessé de faire allégeance à Saâdani. En tout cas, rien n’est moins sûr si le patron du FLN ne serait pas tombé en disgrâce, laquelle décision est à la fois imprévisible et insondable. Des mécontentements sont également suscités par les menaces de représailles.
Le FLN a d’ores et déjà menacé d’exclure les militants et les cadres réfractaires des listes de candidatures aux législatives locales prochaines à travers son opération d’évaluation des élus qu’il compte lancer, autrement dit de purge contre ses élus ayant affiché la moindre sympathie en faveur du camp adverse. Par ailleurs, tout en appelant à resserrer les rangs, les détracteurs de Saâdani s’indignent contre des attaques, invectives et insultes proférées par des membres du bureau politique contre de valeureux moudjahidine et moudjahidate. Mais, cela a été balayé d’un revers de la main par la direction actuelle. Le malaise, la crise, la contestation, la protesta dans les mouhafadhas…tout ce remue-ménage fait partie de la pratique politique au sein du FLN, il n’a jamais perturbé ni menacé son fonctionnement.
Il y a quelques jours, l’Armée nationale populaire relevant du secteur opérationnel du commandement de la 5e Région militaire, déclenchait une vaste opération de ratissage à Constantine.
Celle-ci, confient des sources très bien informées, a été élargie pour répondre aux exigences du terrain devant être ratissé de fond en comble. L’intervention de l’ANP s’étend de Djebel El Ouahch, précisément du lieudit Laârima vers Kehf Lakhel, pour concerner toute la zone Nord-Est en allant vers Aâgueb à El Haria, El Khroub, qui donne accès aux massifs de Hbaba et Béni Oulbene à Skikda. Cette opération, ajoutent encore nos sources, a été déclenchée sur la base de renseignements vérifiés et recoupés, faisant état de la mobilisation d’un groupe terroriste qui agit sous la coupe du bras droit de Boudraâ alias Abou Mossaâb, arrêté en juillet 2015. Ses groupes de soutien seront démantelés l’un après l’autre comme rapporté dans les différents communiqués du ministère de la Défense nationale. Au moins 32 éléments seront neutralisés.
Il s’agit de katibet El Ghoraba, qui a un nouvel émir, qui a fait allégeance à Daesh dans un enregistrement vidéo en novembre 2015. Son nouvel émir répond au nom de Laouira, alias Abou Hamam, âgé d’une quarantaine d’années. Originaire de Constantine, issu du quartier populaire Faubourg, il a rejoint les maquis en 2008. Le nouvel émir est en train de reconstituer son groupe dont le nombre n’a pas été déterminé, mais aussi de redynamiser des cellules dormantes de soutien. Néanmoins, selon les mêmes sources, cette katiba, prétendue une branche de Daesh, peine à attirer des sympathisants. Elle manque de soutien financier, de logistique et d’assistance. Les récentes bombes découvertes à El Khroub ont été nouvellement fabriquées, annonçant, cependant, d’éventuelles menaces d’attentats. Fort heureusement, les forces de sécurité n’ont pas manqué de vigilance dans leurs investigations pour freiner l’émergence de cette phalange. Son ancien émir est connu pour ses nombreux crimes et a à son actif plusieurs actes subversifs. Sa neutralisation à Azzaba wilaya de Skikda, a permis d’ailleurs l’arrestation de plusieurs autres terroristes mais surtout d’éviter un carnage à Constantine, dans la mesure où ce groupe criminel projetait lors de la manifestation «Constantine, capitale de la culture arabe» de commettre plusieurs attentats, prenant pour cible d’importants édifices, tels que la grande salle de spectacle Ahmed-Bey, le trans-Rhummel et l’hôtel Marriott.
L’ANP est désormais sur la trace de ce nouveau chef terroriste. Les résultats enregistrés jusqu’à présent font état de la découverte de plusieurs bombes de fabrication artisanale et plusieurs caches, lesquelles ont été détruites. L’ANP poursuit ses investigations sur le terrain comptant prendre vivante la composante de katibat El Ghoraba. Rappellons que l’ANP avait décapité le groupe terroriste Djund El Khilafa, la première branche de Daesh en Algérie, au mois de décembre 2014, lors de cette opération survenue après l’assassinat d’un ressortissant français, l’ANP armée d’une expérience incontestable coupera définitivement les tentacules de la bête immonde en neutralisant Abdel Malek El Gouri, l’émir de Djund El Khilafa en infiltrant le cercle de ce terroriste. Suite à un travail minutieux et une parfaite exploitation des renseignements, l’unité spéciale qui menait l’opération a mis fin à la progression du monstre à Boumerdès. L’ANP usera aussi de son génie pour éradiquer katibat El Ghoraba.
En burkini ou sans burkini, les émigrées se sont baignées, loin de la stigmatisation.
Les émigrés retournent dans les pays d’accueil. Les vacances au bled prennent fin. Cette année, nos compatriotes témoignent de beaucoup de changements survenus dans notre pays à tous points de vue. De la longue liste des améliorations constatées en matière de sécurité, les émigrées se sont baignées sur les plages en burkini, maillots de bains et tenues deux-pièces. Loin des menaces de verbalisation qui les pourchassent sur les plages de France, les émigrées ont témoigné de la liberté et de l’acceptation des différences de l’Autre qui règne dans leur patelin d’origine.
Nous les avons rencontrées sur tout le littoral des wilayas de Tizi Ouzou. Elles étaient sur toutes les plages d’Azeffoun et de Tigzirt. «Ce qui est bien ici, c’est que tout le monde se baigne avec la tenue qu’il désire. Franchement, je suis surpris de voir des familles avec des filles avec voile et sans voile se baigner dans la joie la plus totale», affirme Samir, un jeune émigré. Bien que le manque d’organisation des plages soit visible, nos compatriotes constatent la sécurité sur les plages. «Vraiment, je ne m’attendais pas à ça. Vous savez là-bas, sur les plages on sent les regards qui nous harcèlent. On a peur de se baigner avec la tenue qui nous convient», témoigne Saïda, jeune émigrée originaire de Béjaïa rencontrée à Tigzirt.
La sécurité est revenue en Algérie
En effet, les personnes interrogées marquaient cette différence. Ils témoignaient tous que les estivants ne s’intéressaient guère à la tenue de l’Autre. Des femmes se baignent en toute quiétude avec des maillots de bain et d’autres portants des tenues adaptées à leurs convictions religieuses. «Ici, loin des plages françaises, j’ai pu me débarrasser des idées reçues. Je reviens pour la première fois dans mon pays et je reste ébahi. Depuis mon enfance, on n’arrêtait pas de me décrire l’Algérie comme un pays agressif. Mais là, dans cette plage je découvre que ce n’était que des mensonges. Les gens ne font même pas attention à ta tenue. En plus, ils sont tellement gentils que je n’en reviens pas», témoigne étonné, un autre jeune émigré qui vient pour la première fois. Toutefois, certains émigrés mettent le bémol sur divers points comme l’hygiène sur les plages, l’accueil dans les hôtels et la circulation automobile dans les villes côtières.
«Il est vraiment beau notre pays mais il faudra penser à ‘spécialiser » les gens. Rien ne se fait au hasard. Je tiens aussi à témoigner que dans certaines plages d’Algérie, car j’en ai visité, certaines catégories font leur loi en interdisant aux femmes de se baigner avec des maillots de bain. Je crois que c’est l’envers du décor de la police française qui interdit le burkini. C’est une utilisation politicienne des convictions religieuses des gens», explique un autre émigré qui a visité tout le littoral algérien.
Un autre fait important n’a pas échappé à nos compatriotes, la sécurité qui y prévaut. Contrairement aux années précédentes qui ont vu notre pays plonger dans un abysse de malheurs, cette année, tous témoignent du retour de la sécurité. «Moi, j’ai fait tout le littoral d’Est à l’Ouest. Etant venu plusieurs fois, par le passé, je vous assure que ça a vraiment changé. Les gens circulent sans peur ni crainte. De jour comme de nuit, on se sent en sécurité.» témoigne un jeune émigré habitué à venir ici durant son enfance. Un autre a tenu à appuyer son constat sur le rétablissement de la sécurité en Algérie et il est bien placé pour le faire. «Croyez-moi, que je suis bien placé pour vous décrire la différence. J’ai passé mon Service national au milieu des années 1990 et je peux vous dire que l’Algérie vient de sortir d’une terrible et effroyable guerre contre le mal du terrorisme. Quand je reviens ici ces dernières années, c’est «tout mon coeur qui devient joyeux». J’ai connu cette peur quand je venais chez moi passer des congés quand j’étais soldat appelé. Les gens ne sortaient plus à partir de 17h. Dire qu’aujourd’hui, de jour comme de nuit la circulation automobile est intense», raconte un autre émigré qui avait choisi de passer son Service national en Algérie, alors que le terrorisme battait son plein.
Les dernières tendances de la mode.
Ces dernières années, la tendance semble s’inverser en matière d’achats et diverses emplettes. Nos compatriotes préfèrent faire leurs achats dans le bled. «C’est vrai que l’habillement n’est pas du tout cher en France, mais les dernières modes sont très coûteuses. C’est pourquoi, je préfère acheter ici tout ce qui est de dernière mode. Et croyez-moi, c’est nettement moins cher», affirme Farida, émigrée de troisième génération. Il est vrai en effet que les commerçants témoignent que leurs ventes doublent dans certains rayons. «Oui, en effet, je préfère acheter ici mes Jeans et tout ce que je me mets. Ils sont moins chers et de meilleure qualité. J’achète même certains produits cosmétiques. C’est nettement moins cher. Croyez-moi que si j’étais riche, je viendrais chaque fois que j’aurais besoin de me coiffer chez le coiffeur. D’ailleurs avant de partir je profite pour passer chez la coiffeuse», témoigne une autre jeune fille. D’autres émigrés plus âgés, n’hésitent plus à aller chez le médecin pour profiter des honoraires plus bas qu’en France. «Dès que j’arrive, je fais la tournée des médecins, surtout les dentistes. Croyez-moi que même mes brus m’ont suivi et ramènent désormais leurs enfants pour les soins dentaires. Il faut toujours surveiller la qualité des médecins, mais le rapport des honoraires est largement meilleur ici», reconnaît un autre sexagénaire.
PARIS exprimera cette position en septembre, lors d’une réunion des ministres chargés du commerce extérieur à Bratislava, a indiqué le secrétaire d’Etat français au Commerce extérieur Matthias Fekl.
Le glas a-t-il sonné pour le TTIP? La France a annoncé hier vouloir l’arrêt des négociations sur ce projet de traité de libre échange entre l’UE et les Etats-Unis, les jugeant trop favorables aux Américains, afin qu’elles puissent repartir ensuite sur de «bonnes bases».
«Il n’y a plus de soutien politique de la France» aux discussions sur ce traité entre l’UE et les Etats-Unis, et «la France demande l’arrêt de ces négociations», a déclaré le secrétaire d’Etat au Commerce extérieur Matthias Fekl, sur la radio RMC. Le dirigeant a justifié cette demande par le fait que les négociations sur le TTIP, ou Tafta, qui sont menées, côté européen, par la Commission européenne au nom des 27 Etats membres, souffraient d’un déséquilibre en faveur des positions américaines. «Les Américains ne donnent rien ou alors des miettes (…), ce n’est pas comme ça qu’entre alliés on doit négocier», a-t-il indiqué, ajoutant que «les relations ne sont pas à la hauteur entre l’Europe et les USA, il faut reprendre plus tard sur de bonnes bases». «Il faut un coup d’arrêt clair et définitif à ces négociations pour repartir sur de bonnes bases», a encore argumenté M. Fekl. M. Fekl n’a pas précisé à quelles conditions ces négociations pourraient repartir, ni à quelle date. Mais alors que le président américain Barack Obama espère officiellement les conclure avant la fin de son mandat, tout laisse entendre que la question sera réglée par son successeur à la Maison-Blanche, début 2017.
Les deux principaux candidats à la présidence, la démocrate Hillary Clinton et le républicain Donald Trump, ont déjà tous deux sévèrement critiqué le TTIP. Négocié dans le plus grand secret depuis mi-2013 par le gouvernement américain et la Commission européenne, l’accord TTIP (Transatlantic Trade Investment Partnership, également connu sous un autre acronyme anglais, Tafta), vise à supprimer les barrières commerciales et réglementaires de part et d’autre de l’Atlantique pour créer une vaste zone de libre-échange censée doper l’activité économique. Mais il a du plomb dans l’aile depuis plusieurs mois, notamment en raison de vives critiques d’ONG altermondialistes ou environnementales, qui craignent qu’il ne conduise à une déréglementation généralisée au profit des grandes entreprises. Et le traité est de plus en plus contesté au sein même des gouvernements européens.
«A ce stade, la France dit non dans l’étape que nous connaissons des négociations commerciales internationales», avait ainsi affirmé en mai le président François Hollande. Dimanche, le ministre social-démocrate allemand Sigmar Gabriel a estimé que les discussions avec les Etats-Unis avaient de facto échoué car les Européens ne devaient pas céder aux exigences de Washington. La contestation en Allemagne est vive concernant l’accord en cours de négociation, y compris au sein de la coalition gouvernementale. Si les sociaux-démocrates, comme M.Gabriel, sont de plus en plus nombreux à ne plus y croire, la chancelière conservatrice Angela Merkel continue cependant de défendre ce projet. «La Commission européenne fait des progrès constants dans les négociations en cours sur le TTIP», avait également défendu lundi le porte-parole de la Commission européenne, Margaritis Schinas. En écho à ces propos, le représentant spécial américain au commerce extérieur Michael Froman a déclaré au magazine allemand Der Spiegel que «les négociations font des progrès constants», même si «rien n’est conclu tant qu’il n’y a d’accord sur tous les points».
Le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, Mohamed El Ghazi, a déclaré, à partir de Tipasa, que les travailleurs concernés par les retraites anticipée et proportionnelle ont jusqu’à la fin de l’année pour déposer leurs dossiers.
Le ministre a souligné que ses services «travaillent en collaboration avec les partenaires sociaux en vue de la mise au point d’une liste des métiers et des professions pénibles, puis la promulgation d’un décret exécutif fixant cette liste, avant sa présentation devant le Parlement pour examen et approbation». Interrogé sur la retraite anticipée, le ministre du travail a indiqué que l’actuelle loi est toujours en vigueur, jusqu’à l’entrée en application de l’avant-projet fixant l’âge minimum de départ à la retraite à 60 ans pour les hommes, et à 55 ans pour les femmes, en janvier 2017, suite à son approbation par le Conseil des ministres, en juillet dernier, sous la présidence du président de la République Abdelaziz Bouteflika. Une commission a été mise sur pied pour élaborer ce projet de loi, par souci d’équité entre les métiers et les professions, et de préservation des capacités de la Caisse nationale des retraites (CNR).
L’avant-projet de loi en question stipule que «le bénéfice de la pension de retraite ne peut être accordé avant l’âge de 60 ans pour les hommes et 55 ans pour les femmes, avec une durée de travail effective de pas moins de 15 ans». Un autre alinéa prévoit la possibilité, pour certains, de travailler cinq ans supplémentaires, avec l’accord de l’employeur, avec ouverture du droit à une retraite avant 60 ans, pour les emplois dits pénibles (qui seront fixés par la loi). Parallèlement, une possibilité est offerte pour les employés occupant des emplois nécessitant de hautes qualifications, de travailler au-delà de 60 ans. Près d’un tiers des retraités partent avant l’âge légal de la retraite (60 ans). Le système actuel le leur permet. Sauf qu’à la cadence actuelle, il représente une menace réelle.
Le nombre de salariés à quitter le monde du travail est en constante augmentation au même titre que ceux qui décident de mettre fin à leur carrière professionnelle. Ils sont près de trois millions. «2880.180 dossiers de pensions et d’allocations de retraites, sont gérés par la CNR, dont 2016.817 retraites normales (âge de 60 ans), 594.247 retraites proportionnelles, 261.717 retraites sans conditions d’âge, 507 retraites anticipées et 6892 retraites servies à l’étranger», indiquent les statistiques de la Caisse nationale des retraites qui souligne que le montant mensuel qui leur est versé s’élève à plus de 85 milliards de dinars. Une hausse de près de 18% par rapport à la moyenne mensuelle de l’an dernier. «La dépense mensuelle de la CNR est passée de 73 milliards de dinars en janvier 2015 à près de 85,7 milliards de dinars en mai 2016, en matière de pensions et allocations de retraites», a précisé le document de la CNR repris par une dépêche de l’APS datée d’hier. Ils sont 410.000 à avoir grossi les rangs des retraités entre le début de l’année 2014 et le mois de juin 2016.
«La caisse a enregistré 130.000 nouveaux dossiers en 2014, 180.000 autres en 2015, alors que pour le premier semestre (janvier-juin) 2016 seulement, elle a enregistré 100.000 nouveaux dossiers», font observer les rédacteurs du rapport de la caisse, selon les responsables de cet organisme qui prévoit 200.000 nouveaux dossiers d’ici la fin du mois de décembre 2016.
les administrations en charge du volet animation que sont la direction de la culture et celle de la jeunesse et des sports ont chômé.
L’été 2016 à Bouira aura été le plus morose en matière d’animation. Tout au long du mois de Ramadhan et jusqu’à cette rentrée sociale, les administrations en charge du volet animation que sont la direction de la culture et celle de la jeunesse et des sports ont chômé. Dans plusieurs éditions, notre journal a relayé la détresse des citoyens qui n’ont pas les moyens d’aller ailleurs. En vain, puisque ni la direction de la culture ni celle de la jeunesse et des sports n’ont daigné bouger le petit doigt.
Cette inertie touchera même les projets de réalisation des structures Ainsi, le théâtre de verdure de la ville de Bouira continue à être un chantier à l’abandon. Au mois de décembre dernier, aussi bien les responsables de l’entreprise réalisatrice que le directeur de la culture avaient affirmé que ce projet sera ´´fin prêt´´ pour mars dernier.
Nous sommes quasiment au mois de septembre et ce chantier n’a pas avancé d’un iota. Récemment et à l’occasion d’une sortie sur site le SG de la wilaya, M.Ahmed Menguelati a affirmé que le contrat liant l’entreprise réalisatrice (groupe Condor/Batigec) à la wilaya, ´´allait être résilié´´, tout en motivant sa décision par ´´l’énorme retard´´ accumulé par ladite entreprise. Et pour cause, l’ordre de service (ODS) de ce chantier a été signé en mars 2010 pour une durée de réalisation du projet qui ne devait pas excéder les 30 mois.
Nous sommes au 1er semestre 2016 et ce projet, lequel a déjà englouti plus de 500 millions de dinars, est toujours à l’arrêt.
Le même constat est à faire pour le théâtre régional baptisé Amar Laskri en hommage à cette icône du cinéma algérien post-indépendance.
La structure est fermée depuis maintenant une dizaine d’années. Si pour le secteur de la culture, l’administration centrale reste de marbre, ce n’est point le cas pour celui de la santé. Le non-lancement du projet de l’hôpital mère et enfant a amené le département de Boudiaf à annuler le projet. Une autre grande perte pour Bouira dont les nouveau-nés sont souvent transférés sur le service néo-natal de Tizi Ouzou.
Cette structure devait avoir une capacité d’accueil de 80 lits pour le service de pédiatrie, 42 pour la chirurgie infantile et 80 autres pour la gynécologie obstétrique. Pis encore, et selon les mêmes sources, d’autres projets de santé publique, à l’instar du futur hôpital psychiatrique de Bouira, ainsi que l’école des paramédicaux du chef-lieu de wilaya risquent de passer à la trappe, faute d’enveloppe budgétaire conséquente.
En voyant ces projets s’effriter et partir, le cas du CHU est dans les mémoires, la wilaya de Bouira perd de son aura, elle qui est stratégiquement la mieux lotie au plan national. En lieu et place d’un grandiose palais de justice, d’un siège de wilaya gigantesque, la population aurait aimé cet hôpital et un CHU devenu plus que nécessaire.
Le président français François Hollande a mis en garde hier contre «les risques d’embrasement général» en Syrie avec les «interventions multiples, contradictoires» de la Turquie et de la Russie, lors d’un discours devant la Conférence des ambassadeurs à l’Elysée. «Ces interventions multiples, contradictoires portent des risques d’embrasement général», a déclaré le chef de l’Etat français, évoquant notamment l’intervention militaire d’Ankara contre les Kurdes.
«L’urgence absolue, c’est l’arrêt des combats», a-t-il ajouté.
«La France appelle ici, immédiatement, à la trêve immédiate», insisté François Hollande, rappelant que «la Syrie vit depuis cinq ans une tragédie épouvantable», notamment à Alep où une «catastrophe humanitaire à grande échelle est en cours».
«Depuis près d’un an, la Russie apporte son concours au régime de Bachar al-Assad qui utilise ce soutien pour bombarder des rebelles mais aussi des populations civiles, ce qui fait le jeu des extrémistes de tous bords», a-t-il fait valoir. Et «aujourd’hui, c’est la Turquie qui fait le choix de déployer son armée sur le territoire syrien pour se défendre contre Daesh (Etat islamique), ce qui peut parfaitement se comprendre après les attaques que ce pays a subies et pour contrôler sa frontière ce qui là aussi peut être admis», a-t-il relevé.
La Turquie cependant mène «des actions contre les Kurdes qui eux-mêmes affrontent l’Etat islamique avec le soutien de la coalition», a déploré le président français.
Evoquant un rapport de l’ONU pointant l’utilisation par le régime de Damas d’armes chimiques au-delà de 2013, François Hollande a estimé que «ces crimes ne peuvent pas rester impunis». Paris «travaille à l’adoption d’une résolution du Conseil de sécurité», a-t-il rappelé, «pour condamner ces actes abominables et prévoir des sanctions contre leurs auteurs». «Personne, aucun membre permanent du Conseil de sécurité, n’a intérêt à ce que l’emploi d’armes chimiques se banalise», a-t-il ajouté dans une allusion aux veto constants de la Chine et de la Russie à toute condamnation du régime de Damas. «J’appelle donc chacun à prendre ses responsabilités», a-t-il lancé.
ALGER- Le Parlement ouvrira sa session ordinaire pour l’année 2016-2017 dimanche à partir de 10:00, a indiqué mardi un communiqué du Conseil de la nation.
L’ouverture de cette session intervient en application des dispositions de l’article 135 de la Constitution.
EL-AYOUN occupée- L’Association sahraouie des victimes des violations graves de droits de l’homme commises par l’Etat marocain (ASVDH) a lancé dimanche un appel aux organisations internationales pour participer au procès des étudiants sahraouis qui seraient jugés par un tribunal marocain à Marrakech, jeudi prochain.
L’ONG sahraouie a souligné dans un communiqué publié mardi que « la présence des organisations internationales et des militants des droits de l’homme est nécessaire pour surveiller le déroulement de ce procès. »
L’ASVDH a également attiré l’attention de la communauté internationale de la situation des 18 étudiants sahraouis en détention à la prison de Oudaya à Marrakech.
L’Association sahraouie a noté que « leur arrestation par les autorités marocaines s’inscrit dans le cadre des actes de vengeance contre les jeunes et les militants sahraouis des droits de l’homme qui mènent des activités politiques réclamant le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination et l’indépendance. »
MILA- Une personne a été blessée et des dégâts matériels ont été enregistrés dans un incendie d’une unité de stockage de produits parapharmaceutique dans la wilaya de Mila, a-t-on appris mardi auprès des services de la protection civile.
Un jeune âgé de 21 ans a été atteint de brûlures qualifiées de ‘‘légères’’ dans cet incendie ont précisé les mêmes services ajoutant que 200 m2 de cette unité, située à la zone d’activité de Mila, à proximité de la route nationale RN79, ont été les proies des flammes.
Des machines de remplissage et de poinçonnage utilisées dans le conditionnement de flacons d’alcool chirurgical ont été détériorées à côté d’une centaine de flacons d’alcool chirurgical totalisant 300 litres a été ravagée par le feu, a-on encore souligné.
Une enquête a été diligentée par les services compétents pour déterminer les causes et les circonstances de cet incident, a-t-on noté.
MILA- Près de dix (10) kg de kif traité ont été saisis à Mila, au cours de l’arrestation de deux (2) individus, a-t-on appris mardi auprès de la sûreté de wilaya.
Agissant sur la base de renseignements, la brigade de recherche et d’investigation (BRI) est parvenue à l’identification et l’arrestation de deux personnes en possession d’une quantité importante de drogue, a-t-on précisé dans un communiqué de la cellule de communication et des relations générales de la sûreté de wilaya.
L’arrestation de ces individus a permis également la saisie de cinq (05) téléphones mobiles et d’un véhicule touristique utilisé dans la commercialisation de la drogue, a-t-on encore précisé de même source.
Les personnes arrêtées seront présentées devant les instances judiciaires compétentes, a-t-on souligné de même source.
L’ancien Premier ministre portugais Antonio Guterres maintenait lundi son avance dans la course pour succéder en janvier prochain à Ban Ki-moon comme secrétaire général de l’ONU, selon des diplomates.
A l’issue d’un troisième tour de scrutin indicatif au Conseil de sécurité, onze des 15 pays membres ont «encouragé» M. Guterres, trois l’ont «découragé» – c’est-à-dire ont émis un vote défavorable, soit un de plus qu’au scrutin précédent -, et un était «sans opinion».
C’est la troisième fois que M. Guterres, ancien Haut commissaire de l’ONU pour les réfugiés âgé de 67 ans, devance les nombreux candidats en lice, ce qui accroit ses chances de sélection.
Il devance assez nettement le chef de la diplomatie slovaque Miroslav Lajcak, qui a créé la surprise en remontant des profondeurs du classement, avec 9 voix pour, cinq contre et une sans opinion.
La patronne bulgare de l’Unesco Irina Bokova et l’ex-ministre serbe des Affaires étrangères Vuk Jeremic sont troisièmes ex-aequo (7/5/3).
Des diplomates notent que la dynamique en faveur de M. Guterres constatée lors des deux précédents scrutins s’est confirmée.
Guterres «reste largement en tête de liste», a déclaré à l’AFP un diplomate du Conseil, qui souligne que «les résultats tendent à se stabiliser».
Susana Malcorra, ministre des Affaires étrangères argentine, est cinquième avec un léger recul (7/7/1), suivie de Srgjan Kerim, ex-chef de la diplomatie de Macédoine (6/7/2), et de l’ex-Première ministre néo-zélandaise Helen Clark (6/8/1).
L’ancien président slovène Danilo Turk recule encore, à la huitième place. En queue de peloton, on trouve l’ancienne ministre des Affaires étrangères de Moldavie Natalia Gherman et la Costaricaine Christiana Figueres, ancienne négociatrice de l’ONU pour le climat.
Le nom du successeur de Ban Ki-moon devrait être connu en octobre après d’autres tours de scrutin, toujours à bulletins secrets. L’Assemblée générale entérinera ensuite ce choix et il ou elle prendra ses fonctions en janvier.
– Europe de l’Est ? –
Une tradition non écrite voudrait que le poste revienne à l’Europe de l’Est, seule région à ne pas encore avoir eu de secrétaire général. L’idée qu’une femme puisse diriger l’ONU, après huit hommes depuis la création de l’organisation, fait aussi son chemin. Mais l’importance de ces deux critères a fluctué au fil des scrutins.
Les candidats étaient douze au départ et sont désormais dix: cinq hommes et cinq femmes, dont six viennent d’Europe de l’Est.
L’ex-ministre des Affaires étrangères croate Vesna Pusic et Igor Luksic, ancien Premier ministre du Montenegro, ont jeté l’éponge.
Des diplomates s’attendent à ce que les candidats les plus mal placés en tirent les conséquences.
«S’ils sont loin du compte, je les encouragerais à suivre l’exemple» de Mme Pusic et de M. Luksic et à se retirer, a déclaré à la presse l’ambassadeur britannique Matthew Rycroft.
Le vote se déroule à bulletins secrets et les résultats ne sont pas annoncés officiellement mais communiqués à chaque candidat. Les ambassadeurs cochent les cases avec le même type de stylo pour éviter toute identification et les bulletins sont détruits après chaque vote. Mais ce luxe de précautions n’empêche pas les fuites.
Au final, la nomination se joue entre les cinq grandes puissances membres du Conseil (Etats-Unis, Royaume-uni, France, Chine, Russie) qui ont un droit de veto et peuvent bloquer un candidat.
Le prochain secrétaire général devra rassembler sur son nom au moins neuf votes positifs et n’être barré par aucun des cinq Grands.
L’actuel secrétaire général Ban Ki-moon quitte son poste à la fin de l’année, après deux mandats de cinq ans.
Ils attendent depuis tant d’années un secours qui viendrait les délivrer d’un sous-développement qui sévit depuis des lustres et en fait d’eux les derniers damnés de la terre, ils ont assez de survivre à travers ce « Guantánamo » à ciel ouvert en attendant l’aube de l’indépendance qui tarde à se pointer en ce lieu de l’oubli total ….Une seule route traverse ce douar, qui est sillonné de long en large, par un tracteur avec une citerne qui alimente les citoyens en eau potable à tour de rôle et sur commande, et un « bus du hasard » qui n’assure que rarement le transport public et les rattache au monde en les emmenant vers le chef-lieu de commune, Ouled Boughalem, où ils s’approvisionnent en denrées et autres ravitaillements alimentaires.
Fatigués, ces damnés de la terre ne sollicitent pas grand-chose de ces élus qui les ont berné avec tant d’histoires dont ils se sont lassés d’entendre d’une campagne électorale à l’autre, ni de ces autres promesses des candidats à la députation , venus en campagne, leur jurer qu’ils feront du douar si marginalisé, un paradis sur terre, ils souhaitent juste boire suffisamment une bonne eau sans l’attendre et sans le payer si cher, et surtout du travail pour leurs enfants, dont certains désespérés, partent sur ces radeaux de la mort au large de la plage d’El Bahara et ne sont point revenus pour apaiser l’inquiétude des parents qui demeurent, à ce jour sur des feux ardents, en se morfondant de douleurs et de pleurs …
La présidence française a officialisé mardi le départ du gouvernement du ministre de l’Economie Emmanuel Macron, dont la défection à huit mois de la présidentielle de 2017 alimente les spéculations sur une éventuelle candidature à l’Elysée.
M.Macron a démissionné « pour se consacrer entièrement à son mouvement politique », a indiqué un communiqué de la présidence. François Hollande a nommé pour lui succéder l’actuel ministre des Finances Michel Sapin, un fidèle du chef de l’Etat.
La sélection algérienne de football accueillera le 9 octobre prochain son homologue camerounaise au stade Mustapha-Tchaker de Blida dans le cadre de la première journée de la phase de poules des qualifications à la Coupe du monde de 2018 en Russie, a indiqué hier la Fédération nationale de la discipline (FAF) sur son site internet.
Les Verts seront regroupés à partir du 3 octobre pour préparer cette affiche du groupe B composé également du Nigeria et de la Zambie. Les protégés du nouvel entraîneur national, le Serbe Milovan Rajevac, auront, lors du mois suivant, à se déplacer au Nigeria pour affronter la sélection locale en match comptant pour la deuxième journée.
À cet effet, la FAF a déjà envoyé des précurseurs au Nigeria pour préparer le séjour des Verts sur place, a-t-on précisé de même source.
EL-AYOUN occupée (capitale du Sahara occidental occupé)- Les autorités d’occupation marocaines ont harcelé à l’aéroport de Casablanca les membres de la délégation sahraouie après leur participation à l’Université d’été des cadres de la RASD tenue à Boumerdes en Algérie, rapporte l’agence de presse sahraouie (SPS) mardi.
La délégation qui est composée de militants des droits de l’homme et ex-prisonniers politiques sahraouis a été victime de plusieurs types d’harcèlement et d’intimidation, selon la même source.
Les autorités marocaines ont également isolé les militants sahraouis des autres passagers et ont commencé à inspecter leurs bagages et leurs affaires personnelles d’une manière provocatrice et discriminatoire agressant la plupart d’entre eux, à l’exemple de Mahfuda Lefkir, dont ses biens ont été confisqués par la police marocaine.
Ce traitement par les autorités marocaines est devenue une politique systématique et délibérée contre tous les militants sahraouis des droits de l’homme qui se déplacent dans les territoires occupés où voyagent à l’étranger.
La 7eme édition de l’université d’été des cadres du Front Polisario et de la République arabe sahraouie démocratique, organisée du 7 au 22 août à Boumerdes, a vu la participation de près de 400 cadres sahraouis outre les représentants de la société civile algérienne, les personnalités étrangères militant dans la protection du droit des peuples à l’autodétermination.
ALGER – Deux éléments de soutien aux groupes terroristes ont été arrêtés lundi par l’Armée nationale populaire (ANP) à Constantine et quatre caches pour terroristes, neuf bombes de confection artisanale, une quantité de munitions et des moyens de détonation ont été détruits à El-Khroub, Tizi Ouzou et Chlef, indique le ministère de la Défense nationale dans un communiqué.
« Dans le cadre de la lutte antiterroriste, un détachement de l’ANP a arrêté, le 29 août 2016, deux (2) éléments de soutien aux groupes terroristes à Constantine (5ème région militaire), tandis que d’autres détachements ont détruit quatre (4) caches pour terroristes, neuf (9) bombes de confection artisanale, une quantité de munitions et des moyens de détonation à El-Khroub (5ème région militaire), Tizi Ouzou et Chlef (1ère région militaire) », note le MDN.
« D’autre part et dans le cadre de la lutte contre la criminalité organisée, un détachement de l’ANP a appréhendé deux (2) narcotrafiquants à Oran (2ème région militaire) et saisi une quantité de 36 kilogrammes de kif traité, dissimulée à bord d’un (1) véhicule utilitaire, tandis que des éléments des Gardes-frontières ont saisi, à Tlemcen (2ème région militaire), une autre quantité de 22,5 kilogrammes ».
A Tébéssa (5ème région militaire), des éléments de la Gendarmerie nationale « ont arrêté un contrebandier et saisi 3000 unités de tabac à bord d’un (1) véhicule touristique ».
A Timiaouine (6ème région militaire), un détachement de l’ANP « a saisi un (1) camion près des frontières chargé de 3200 litres de carburant destinés à la contrebande ».
A Ouargla (4ème RM), Adrar (3ème RM) et Tlemcen (2ème RM), un détachement de l’ANP, des éléments de la Gendarmerie nationale et des Gardes-frontières « ont arrêté vingt (20) immigrants clandestins dont quatorze (14) de nationalité marocaine ».
Par ailleurs, des éléments des Garde-côtes d’Annaba (5ème RM) « ont déjoué une tentative d’émigration clandestine de sept (7) personnes à bord d’une embarcation de construction artisanale, à 11 milles au Nord-est de Ras El-Hamra ».
Cette rencontre, organisée par l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), portera sur les questions techniques de négociation et d’identification des domaines de collaboration entre la FAO et les pays de l’UMA en relation avec l’agriculture et le changement climatique.
Un atelier de préparation des pays de l’Union du Maghreb arabe (UMA) à la 22e Conférence des parties (COP22) s’est ouvert lundi à Rabat (Maroc), sous le thème « De l’Accord de Paris à l’action: la finance du climat au service du développement agricole durable ».
L’UMA a précisé dans un communiqué que cet atelier a pour objectif de renforcer les capacités de ses Etats membres dans le domaine de la mise en œuvre des engagements du secteur agricole dans les contributions prévues déterminées au niveau national.
Cette rencontre, organisée par l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), portera sur les questions techniques de négociation et d’identification des domaines de collaboration entre la FAO et les pays de l’UMA en relation avec l’agriculture et le changement climatique, ajoute ce communiqué.
Cet atelier, auquel participent les représentants des pays maghrébins impliqués dans le processus de négociation dans le secteur agricole, des experts de la FAO et des représentants du Fonds vert pour le climat (FVC), ainsi que des points focaux du Fonds pour l’environnement mondial (FEM), se veut une opportunité pour examiner le paysage de la finance climatique pour les pays de la région.
Il entend aussi lancer une réflexion sur les priorités de collaboration dans le domaine du changement climatique et de l’agriculture dans la perspective de l’agenda 2030 pour le développement durable, précise l’UMA.
Les contributions déterminées au niveau national constitueront une feuille de route importante pour les investissements futurs et les priorités des pays, estime la même source. A signaler que la COP22 est prévue du 7 au 18 novembre à Marrakech au Maroc.