La volonté des pouvoirs publics de promouvoir les exportations hors hydrocarbures se concrétise à travers une nouvelle décision pour booster le commerce extérieur. Le fonds spécial de promotion des exportations (Fspe) qui jusque-là était destiné uniquement à apporter un soutien financier aux exportateurs dans leur action de promotion et pour l’acheminement de leurs produits sur les marchés extérieurs, s’étend désormais aux opérateurs nationaux participant aux manifestations économiques organisées également en Algérie. Un arrêté interministériel publié au Journal officiel n° 57 stipule que 80% des frais engagés pour l’organisation et la participation aux manifestations économiques spécifiques organisées au niveau national consacrées à la promotion des produits algériens destinés à l’exportation sont remboursés. Le texte fixe aussi la nomenclature des recettes et des dépenses du compte d’affectation spéciale du Fspe. Soulignons que le FSPE a été institué par la loi de Finances de 1996. Ses contributions sont accordées aux opérateurs économiques au titre de la prise en charge d’une partie des coûts de transport, transit et manutention des marchandises destinées à l’exportation, de participation aux foires, expositions et salons spécialisés à l’étranger et au titre d’études des marchés extérieurs, pour l’amélioration de la qualité des produits et services destinés à l’exportation, de l’information des exportateurs. Les sources de financement du Fspe sont la Taxe intérieure de consommation (TIC), dont 5% des recettes y sont affectées, et les contributions des organismes publics et privés ainsi que les dons et legs. Ce fonds a été institué par la loi de Finances pour 1996. Il est destiné à apporter un soutien financier aux exportateurs dans leurs actions de promotion et de placement de leurs produits sur les marchés extérieurs.
L’aide de l’État par le biais du Fspe est octroyée à toute entreprise résidente productrice de biens ou services et à tout commerçant régulièrement inscrit au registre de commerce œuvrant dans le domaine de l’exportation. Le montant de l’aide accordée est fixé par le ministre du Commerce selon des pourcentages déterminés à l’avance, en fonction des ressources disponibles. Cinq rubriques d’aides sont prévues. Il s’agit des charges liées à l’étude des marchés extérieurs, la prise en charge partielle des frais de participation aux foires et expositions à l’étranger, une partie des coûts de prospection des marchés extérieurs; le coût de transport international et de manutention dans les ports algériens des marchandises destinées à l’exportation et, enfin, le financement des coûts liés à l’adaptation des produits aux marchés extérieurs.
L’USM Alger, leader du championnat national de Ligue 1 Mobilis, a concédé jeudi sa deuxième défaite de la saison, battue en déplacement par le CA Batna (2-1), en ouverture de la 9e journée.
C’est incontestablement l’une des sensations de cette 9e manche. Le CA Batna a accroché à son tableau de chasse le leader du championnat, en s’imposant sur le score de 2 buts à 1. En véritable patron dans son antre du stade Seffouhi, le promu a pris l’avantage dès la 20e minute, grâce à un but contre son camp de Meftah.
Visiblement dans un jour sans, l’infortuné capitaine des Rouge et Noir a encore fait parler de lui en seconde période. Spécialiste des tirs au but, Meftah a raté un pénalty à la 54e loupant ainsi une belle occasion de se racheter de sa bourde, commise en première période.
Sentant la baraka avec eux, les coéquipiers de Babouche ont intensifié leurs offensives pour arriver à faire le break, à la 62e minute, par l’intermédiaire de leur maitre à jouer, Hadj Aissa.
Dans les dernières minutes, le scénario du match nul concédé face au MCO (2-2) a failli se reproduire. L’USM Alger est parvenue à réduire l’écart, à la 90e, par Benyahia. Toutefois, les gars des Aurès ont retenu la leçon en parvenant à préserver leur maigre avance jusqu’au coup de sifflet final.
Battue pour la seconde fois de la saison, l’USMA est toujours leaders (19 pts), mais risque de perdre son fauteuil en cas de succès, samedi, de son dauphin, le MC Oran. Pour sa part, le CAB enregistre sa 3e victoire de la saison et grimpe, provisoirement, de la 11e à la 9e place (11 pts).
MCA – JSS (0-0), les Sudistes ratent le coche
Dans l’autre rencontre de cet après midi, jouée au stade Omar Hamadi (Alger), entre le MC Alger et la JS Saoura, le doyen a été tenu en échec (0-0). Au vue de la physionomie globale de la partie, ainsi que des faits marquants, le moins que l’on puisse dire est que le MCA s’en sort à bon compte.
En effet, les visiteurs se sont procurés les occasions les plus franches pour scorer, sans parvenir, toutefois, à les concrétisées. A l’image de celle ratée lamentablement par Djallit, à l’heure de jeu (60’). Devant son ancienne équipe, l’ex-mouloudéen s’est présenté seul face au gardien Chaâl, mais il a trouvé le moyen de mettre le ballon hors du cadre.
Et si ce n’est pas le cadre qui se dérobe, c’est le portier des Verts et Rouge qui se distingue en annihilant un bon paquet d’occasions de la JSS, comme celle de Hammia en fin de rencontre.
Très fébrile à domicile, le MCA a confirmé cette donne en dépit du retour des ses supporters dans les travers du stade Bologhine, après les deux derniers matchs disputés à huis clos, respectivement face au CA Batna et au MC Oran.
4e au classement avant le coup d’envoi de la rencontre, le MCA fait une mauvaise opération et loupe l’occasion de monter sur le podium (4e – 14 pts). Coté JSS, les Bécharouas glanent un bon point et remonte à la 5e position (12 pts).
A note enfin que les matchs de l’USMA et du MCA ont été programmés aujourd’hui afin de permettre aux deux formations de la capitale de préparer le finale de la Supercoupe d’Algérie prévue le mardi 1er Novembre prochain au stade Mustapha Tchaker de Blida.
La suite de cette 9e manche aura lieu ce week-end et sera marquée par de belles confrontations à suivre, à l’exemple de JS Kabylie – MC Oran ou encore RC Relizane – CR Belouizdad.
Résultats du jour :
CA Batna 2 – 1 USM Alger
MC Alger 0 – 0 JS Saoura
Reste à jouer :
Vendredi :
15h30 :
RC Relizane – CR Belouizdad
16h00 :
O Médéa – CS Constantine
Samedi :
16h00 :
USM Bel Abbès – DRB Tadjenanet
17h00 :
JS Kabylie – MC Oran
Trois ans après sa dernière version, le MacBook Pro est de retour. Ce jeudi 27 octobre, Apple a dévoilé un nouveau modèle, plus fin et plus léger et qui se voit doté d’une fine « Touch Bar », tactile, similaire aux écrans Retina.
Celui-ci permet notamment à l’utilisateur de contrôler son MacBook Pro en accédant facilement aux onglets et favoris dans Safari, aux emoji dans Messages ou de retoucher des images et faire défiler des vidéos dans Photos.
Cette barre dispose également, sur la droite, d’un capteur d’empreinte digitale, comme sur l’iPhone. Le trackpad devient également plus imposant.
A l’intérieur de la bête, évidemment, une grosse mise à jour a également eu lieu, avec de nouveaux composants plus puissants. Côté connectique, le porte USB passe au Type-C, réversible et plus petit.
En ce qui concerne le prix, le modèle 13 pouces commence à 1 899 $ CAD. Mais à ce prix, pas de « Touch Bar » et un plus petit processeur. Il faudra compter 2 299 $ CAD euros pour disposer de la grosse nouveauté d’Apple. La version 15 pouces commence elle à 2 999 $ CAD.
Le modèle le plus basique est disponible dès aujourd’hui. Ceux disposant de la « Touch Bar » ne seront mis en vente que d’ici quelques semaines.
L’Algérie a été choisie en qualité d’invité d’honneur de la 49e Foire internationale du livre du Caire (Egypte) prévue en 2018, a indiqué jeudi à Alger le ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi.
L’invitation de l’Algérie fait suite à la demande de la Commission égyptienne publique du livre, relevant du ministère égyptien de la Culture, a dit M. Mihoubi qui s’exprimait lors d’une rencontre sur les relations culturelles algéro-egyptiennes, organisée en marge du 21e Salon international du livre d’Alger (Sila) qui acceuille l’Egypte en invité d’honneur.
La rencontre a été, par ailleurs, une occasion pour rendre hommage au romancier égyptien Mohamed Selmaoui pour ses différentes créations dans le roman, la nouvelle et le théâtre, qui ont eu un « impact sur le lectorat arabe », estime M.Mihoubi.
La cérémonie s’est déroulée en présence de l’ambassadeur d’Egypte en Algérie, Mohamed Abu Aich, de l’ancien ministre égyptien des Antiquités, Mamdouh Dammati et du président de la Haute commission du livre, Haitem Hadj Ali.
Evoquant les relations culturelles algéro-egyptiennes, le ministre de la Culture a considéré que celles-ci étaient « profondes et remontent à plus 20 siècles », rappelant que son département « £uvre à renforcer le partenariat entre les deux pays dans l’édition, le cinéma et le théâtre, notamment ».
A ce propos, Mihoubi a salué les maisons d’éditions égyptiennes qui éditent des auteurs algériens.
Ouvert jeudi au public, le 21e Sila se poursuit jusqu’au 5 novembre au Palais des expositions des Pins Maritimes avec, au programme, des conférences sur la littérature algérienne et universelle, en plus des rencontres sur l’histoire de l’Algérie, les langues amazighe et arabe, et la lecture en milieu scolaire.
Près d’un millier d’éditeurs, 290 algériens et 671 étrangers, prennent part à l’édition 2016 placée sous le thème « Le livre, totale connexion ». APS
ALGER – La campagne de collecte de sang lancée dans les rangs de la police a permis la collecte de près de 12.000 poches de sang durant le premier semestre 2016, a affirmé mardi le directeur de la santé, de l’action sociale et des sports à la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN).
« Près de 12.000 poches de sang ont été collectées au niveau national dans les rangs de la police, durant le premier semestre 2016 », a précisé le contrôleur de police, Bouahmed Boubakeur dans une déclaration à la presse, en marge du lancement de la campagne nationale de don de sang, le 25 octobre.
Les deux précédentes étapes de l’opération de collecte de sang organisées en mars et en juillet, à l’occasion des journées maghrébine et mondiale de don de sang ont été marquées par une forte affluence des éléments de la Police nationale, a souligné le responsable, ajoutant que les poches de sang collectées au niveau des services et unités de police seraient distribuées aux différentes structures hospitalières du pays.
Dans le cadre de la même initiative, « plus de 14.000 poches de sang on été collectées en 2015 et plus de 7.000 poches en 2014 », a-t-il rappelé.
L’Agence nationale du sang (ANS) avait auparavant souligné que « les campagnes de collecte de sang se multiplient avec la fidélisation progressive des différentes institutions, entreprises et mouvement associatif, sensibilisés à cette noble cause ». Cette solidarité a permis d’enregistrer au premier semestre 2016, une hausse de 02% soit 283 377 dons collectés avec 70% de donneurs bénévoles dont 26% régulier et 35% de la collecte effectuée en collecte mobile.
L’Agence avait indiqué qu’ »en 2015, 539.891 dons de sang ont été collectés à travers le territoire national dont 2/3 recueillis au niveau des structures de transfusion sanguine fixes et 1/3 en collecte mobile. 69% des dons sont issus de donneurs bénévoles dont 24% réguliers et 45% occasionnels. Cependant, 31% des dons proviennent encore de donneurs familiaux et/ou de compensation ».
Chaque année l’Algérie célèbre « le 25 octobre la Journée nationale des donneurs de sang ». A ce titre, et à l’occasion du 40e anniversaire de la création de la Fédération algérienne des donneurs de sang (FADS), le slogan retenu pour honorer tous les donneurs de sang est « Gloire à nos donneurs de sang ».
Certains médias arabes et occidentaux « ont aussitôt accusé la Russie de cette tragédie (…). C’est un mensonge », a dénoncé Maria Zakharova, porte-parole de la diplomatie russe, lors d’une conférence de presse. Le pays n’a « rien à voir » avec cette attaque, a-t-elle assuré.
Les dénégations russes n’ont pas convaincu Jean-Marc Ayrault, ministre des affaires étrangères de la France. « Qui est responsable ? En tout cas, ce n’est pas l’opposition [au régime syrien], car pour bombarder il faut des avions. Ce sont soit les Syriens, le régime de Bachar Al-Assad, soit les Russes », a déclaré M. Ayrault lors d’une conférence de presse à Paris.
« Il faut les détromper »Ban Ki-moon, secrétaire général de l’Organisation des Nations unies (ONU), a exigé jeudi une « enquête immédiate et impartiale ». « Si elle est délibérée, cette attaque peut s’apparenter à un crime de guerre », a-t-il dit.
« Si de tels actes horribles continuent d’être commis, c’est en grande partie parce que leurs auteurs, qu’ils se trouvent dans les allées du pouvoir ou participent à une insurrection, ne craignent pas la justice. Il faut les détromper. »Depuis le 30 septembre 2015, l’aviation russe soutient le président syrien Bachar Al-Assad dans la guerre qui l’oppose à des formations rebelles. Bien que Moscou affirme ne frapper que des « cibles terroristes », la Russie a été accusée à plusieurs reprises de viser les rebelles modérés et de commettre des « crimes de guerre ».
« Ici, il n’y a que des civils, il n’y a pas de siège militaire de groupes rebelles », a assuré à l’Agence France-Presse un habitant, témoin de la tragédie et qui a participé aux opérations de sauvetage.
La province d’Idlib est un bastion de Jaich Al-Fatah (« Armée de la conquête »), une coalition regroupant des rebelles islamistes et des djihadistes du Front Fateh Al-Cham (anciennement Front Al-Nosra, jusqu’à sa rupture officielle avec Al-Qaida, en juillet).
Les dénommés : F. Tahar et de B. Zin Al-Abidine étaient en possession de deux pistolets-mitrailleurs de type Kalachnikov et de munitions.
Vraisemblablement choqué par les propos tenus par Abdelaziz Belkhadem lors de entretien accordé au site arabophone de la chaîne américaine CNN, notamment ceux concernant la situation au sein du FLN et les solutions proposées, le nouveau secrétaire général du FLN riposte.
Pour Djamel Ould Abbès, l’idée de l’ instance transitoire suggérée par Belkhadem est de toute évidence « exclue ». « Ceux qui demandent une instance transitoire veulent se positionner. Il n’y a pas de postes vacants (au sein du parti) ! Il y a un Comité central élu que je ne vais pas sacrifier, je ne suis pas venu avec cette mission ! », réplique le nouveau secrétaire général du FLN dans une déclaration.
Djamel Ould Abbès a tenu également à rappeler,dans le cas où Abdelaziz Belkhadem faisait allusion à l’âge, que ce dernier avait, lui aussi, 74 ans.
Le projet portant suppression de la retraite anticipée va peser de tout son poids sur la réunion de l’état-major de l’UGTA qui se tiendra aujourd’hui à l’hôtel Le Méridien d’Oran.
Outre ce dossier brûlant de la retraite qui a suscité le mécontentement de la base syndicale de l’organisation, l’état major de l’UGTA, qui regroupe les membres de la commission exécutive, les secrétaires généraux des unions de wilaya et des fédérations, va débattre de la rentrée sociale et du cumul des mandats au sein de l’organisation.
Mais c’est surtout le projet de la retraite qui divise les structures de l’UGTA qui est le plus attendu par les cadres syndicaux lors de cette réunion, notamment les secrétaires généraux des fédérations qui subissent depuis plusieurs mois une forte pression de leurs adhérents leur demandant de ne pas cautionner la “suppression de la retraite anticipée”.
À cela s’ajoute la réaction des travailleurs de la zone industrielle de Rouiba et leurs représentants qui exigent carrément le “retrait du projet” tout en invitant la Centrale syndicale à élargir le débat et la concertation afin d’éviter toute précipitation qui risque de causer des dégâts non seulement aux acquis des travailleurs et aux entreprises économiques mais également à l’organisation ellemême.
Les syndicalistes, qui continuent de jouir de plus de crédibilité auprès de la base, sont sur la même longueur d’onde que les secrétaires généraux des fédérations qui, lors de la réunion tenue en juin à Alger, ont souhaité la révision graduelle de la retraite.
Pour rappel, lors de ce conclave, les SG des fédérations ont émis un avis favorable seulement pour la révision de la retraite proportionnelle tout en rejetant la décision de l’annulation de la retraite sans conditions d’âge. Abdelmadjid Sidi-Saïd, qui ne s’attendait guère à une réaction de la base syndicale, va-t-il revoir sa copie lors de cette réunion, d’autant plus que les syndicats autonomes qui continuent à faire pression sur le gouvernement sont décidés à ne pas reculer sur le dossier. “L’UGTA risque de laisser des plumes si elle reste en marge de ce dossier et de cette contestation, et si l’UGTA, qui a toujours défendu les valeurs de la république s’affaiblit, ce n’est pas bon pour le pays”, nous a affirmé un cadre syndical.
Un risque que certains cadres syndicaux ne veulent pas prendre dans le contexte actuel, d’où les divisions qui continuent à apparaître au sein même de la Centrale syndicale sur ce dossier qui, selon Amar Takjout, a été mal réfléchi. “On n’a pas voulu nous écouter, on n’a a pas eu une bonne vision, il n’y a pas eu de discernements, notamment pour ce qui concerne les départs précipités de milliers de cadres formés durant des années et dont on a besoin aujourd’hui, pour démarrer, les usines refaites à coup de milliards de dollars. Le constat est amer”, nous a-t-il expliqué il y a quelques jours.
A l’instar d’autres partis politiques le front des forces socialistes (FFS) à répondu au président de la République, Abdelaziz Bouteflika.
Ce dernier a invité la classe politique à se prononcer sur la proposition de nomination d’Abdelwahab Derbal à la tête de la Haute commission de surveillance des élections (HCSE).
D’emblée le FFS estime qu’il y’a absence « des pré-requis politiques et institutionnels qui feraient de la mise en place de la commission de surveillance des élections, et donc des conditions dans lesquelles ladite commission devra effectuer ses missions, un apport effectif à l’amélioration de l’exercice électoral dans notre pays ».
Par conséquent le plus vieux parti de l’opposition « n’estime pas utile d’apporter un jugement sur la personne quand c’est sur la démarche ayant présidé à la création de la structure que portent ses réserves ».
Dans la déclaration rendue publique hier et signée de la main du premier secrétaire, Abdelmalek Bouchaffa, « le FFS estime que commenter une nomination à la tête d’une structure est un usage qui n’a de sens que si on cautionne les conditions de mise en place de la structure en question qui émane d’une Constitution non-consensuelle ». Une réponse qui ne souffre d’aucune équivoque.
Le FFS manifeste clairement son incrédulité. Ce parti, en d’autres termes, rejette la démarche même du pouvoir s’agissant de la HCSE puisque il la considère comme l’émanation d’une «Constitution non consensuelle ». Le FFS évoque ainsi la Constitution révisée adoptée le 7 février dernier par le Parlement réuni en session extraordinaire.
Ce parti, à l’instar d’ailleurs de la majorité des partis de l’opposition, n’ pas voulu participé aux consultations engagées par le pouvoir autour de cette loi fondamentale. Cela dit, par cette réponse négative le FFS rejoint le camp des partis politiques qui ont eu déjà à adopter la même position.
Presque aucun parti de l’opposition ne s’est exprimé sur le choix de la personne d’Abdelwahab Derbal. Ce n’est pas la personne de cet ancien ministre et ex-ambassadeur qui est à l’origine de cette attitude, mais l’opposition rejette en bloc la démarche du pouvoir relative à cette HCSE.
Les partis de l’opposition, qui ont bataillé pour l’installation d’une commission indépendante de surveillance des élections, estiment, en effet, que la HCSE est loin de répandre favorablement à leurs doléances.
Par ailleurs le FFS, dont la réponse à l’invite du président Bouteflika, était attendue et ne constitue pas une surprise , a saisi cette opportunité pour mettre de nouveau en exergue ses propositions de sortie de crise.
Il a ainsi, après avoir rejette ce qu’il considère comme « formalisme dans le dialogue », remis sur la table sa proposition relative au consensus national. « Le FFS n’a cessé de faire des propositions de sortie de crise pacifique, organisée et contractuelle dans laquelle le dialogue et la concertation ne seraient pas de pure forme et ouvriraient la voix à la reconstruction du consensus national qui manque cruellement à notre pays » indique le premier secrétaire du parti.
Ce parti réitère par conséquent de manière claire « sa proposition de sortie de crise par la reconstruction d’un consensus national qui mettrait fin au formalisme actuel lequel vide l’exercice institutionnel de tout prolongement positif sur le terrain de la gouvernance ».
Le Salon international du livre d’Alger (Sila) a officiellement ouvert ses portes hier mercredi. L’édition de cette année connait un nombre d’ouvrages censurés plus important que celui de l’année dernière.
Le salon accueille, dans sa 21ème édition, un total de 960 maisons d’édition représentant 50 pays, “une participation record”, selon les organisateurs. Plus de 290 éditeurs algériens et 670 étrangers animeront, ainsi, ce salon jusqu’au 5 novembre prochain.
Le directeur du Sila, Mahmoud Mesaoudi, a annoncé que 133 titres sur les 33 000 exposés ont été interdits, les organisateurs jugeant le contenu de ces livres “préjudiciable à l’islam ou aux autres religions ainsi qu’aux constantes nationales”.
Certains livres sont interdits pour apologie de la violence et du terrorisme et glorification du colonialisme.
Ils seraient quelque 200 marins-pêcheurs activant à bord de navires de pêche rattachés au port de Béni-Saf qui sont entrés en grève dans leur seconde semaine, apprend-on sur place. Leur principale revendication, voir s’ouvrir la pêche dans les zones moins de 6 miles.
Leur peine, l’arrêté du 28 Joumada Ethania 1425 correspondant au 15 août 2004 fixant les caractéristiques techniques des navires de pêche intervenant dans les zones de pêche. Notamment dans son article 1 qui indique que les navires de pêche intervenant dans la zone située à l’intérieur des six (6) miles marins au sens de l’alinéa 1er de l’article 32 du décret exécutif n° 03-481 du 19 Chaoual 1424 correspondant au 13 décembre 2003, susvisé, doivent avoir les caractéristiques techniques suivantes réunies, une jauge brute n’excédant pas 90 tonneaux, une longueur hors tout inférieure à 24 mètres et une puissance du moteur inférieure à 370 kilowatts.
Selon les déclarations des uns et des autres, les marins-pêcheurs ne contestent pas le texte mais souhaitent trouver une oreille attentive à leurs préoccupations, eux qui, diront-ils, sont las de retourner souvent bredouilles au port, et de faire face aux charges (fuel, impôts, remboursements des crédits, entretien des bateaux ) de plus en plus lourdes.
Contactés, les responsables du secteur ont déclaré avoir tenu plusieurs réunions avec tous les concernés, ajoutant que les efforts se poursuivent pour trouver une «porte de secours» préférablement sociale. Selon une toute dernière information, deux inspecteurs du ministère seraient sur le point de faire le déplacement à Aïn-Temouchent pour discuter du sujet.
Après plusieurs reports, la Fédération algérienne de basket-ball (FABB) a enfin procédé à la répartition des 16 équipes de la super division A sur deux groupes de 8 équipes chacun, selon le classement de la précédente saison, avec l’adoption d’un nouveau système de compétition.
Un réaménagement de la formule du championnat dicté «par le manque flagrant des moyens financiers pour les clubs des SD A et SD B en raison des nombreux déplacements (…) Le but des modifications de la formule va également dans l’intérêt de l’équipe nationale pour lui permettre de se préparer dans de meilleures conditions pour sa participation prochaine aux échéances internationales et donner aux athlètes un temps de récupération», a justifié la FABB.
Autres nouveautés pour la nouvelle saison, la Fédération a décidé de revoir également le mode d’organisation des tournois des play-off et play-down. Ainsi, pour le play-off, tournoi pour le titre, après la première phase du championnat où les 16 équipes des deux groupes jouent en aller-retour, les quatre premiers de chaque groupe, soit huit équipes, formeront une seule poule pour la course au titre et se rencontreront en aller simple sous forme de tournoi sur des terrains neutres, désignés par la FABB.
A l’issue de cette 2e phase, un classement sera effectué et les équipes classées de la 1re à la 4e place disputeront un dernier tournoi en aller simple sur terrains neutres désignés par la Fédération. L’équipe, classée première, sera déclarée championne d’Algérie et prendra part avec la 2e au classement, aux éliminatoires de la Zone 1 du Championnat d’Afrique des clubs champions alors que les formations classées 3e et 4e représenteront l’Algérie au Championnat d’Afrique du nord.
Par ailleurs, la FABB a dégagé les équipes, dames et messieurs, devant prendre part aux compétitions régionales et continentales. Les équipes du GS Pétroliers et de l’OC Alger seniors dames participeront au tournoi arabe 3×3 qui aura lieu aux Emirats-Arabes-Unis, alors que le GS Pétroliers seniors messieurs représentera l’Algérie au Championnat arabe des clubs champions à Sousse, en Tunisie.
Le GSP messieurs et CRB Dar El-Beïda participeront par ailleurs aux éliminatoires du Championnat d’Afrique des clubs qui aura lieu à Hoceima au Maroc. La FABB, qui confirme l’annulation des éliminatoires du Championnat d’Afrique dames, ce sera le GSP dames qui représentera l’Algérie à la phase finale du Championnat d’Afrique des clubs féminins qui aura lieu en décembre à Maputo, au Mozambique.
Ahmed Ammour
Composition des groupes
Groupe A : GS Pétroliers, IRBB Bou-Arréridj, NA Hussein-Dey, OMS Miliana, WA Boufarik, PS El-Eulma, COBB Oran et CSC Djasr Kasentina (Gué de Constantine).
Groupe B : CRB Dar El-Beïda, US Sétif, NB Staouéli, O Batna, USM Blida, AS Skikda, RC Constantine et le CSMBB Ouargla.
GS Pétroliers
Une Nigériane en renfort bientôt
La direction du GS Pétroliers songe à renforcer les rangs de l’effectif senior dames par une basketteuse nigériane qui évolue au championnat espagnol, a indiqué le club algérois sur les réseaux sociaux. Un renfort en prévision de la participation du GSP à la phase finale du Championnat d’Afrique des clubs féminin qui aura lieu en décembre à Maputo, au Mozambique.
La ville de Collo a vécu hier une journée particulièrement mouvementée à l’annonce du rapt d’un enfant de 7 ans. Un intense mouvement de policiers traversant la ville à vive allure, sirènes hurlantes, a suscité l’inquiétude au sein de la population qui a réalisé très vite ce qui se passait.
Les policiers étaient lancés sur les traces des ravisseurs de l’enfant qui a été cueilli à la sortie de l’école et ce sont ses camarades qui ont donné l’alerte puis par son oncle maternel qui ira déposer plainte au commissariat de police.
Les auteurs ont mis les voiles à bord de deux véhicules qui seront finalement interceptés 50 kilomètres plus loin, à Sidi Mezghich, avec à leur bord 4 individus. L’enfant est sauf et libéré.
Selon les premiers témoignages, l’auteur de l’enlèvement est le propre oncle paternel de l’enfant, originaire de Annaba, qui voulait se faire justice lui-même en exécutant une décision de justice en sa faveur, lui accordant le droit à l’adoption, après la perte du père de l’enfant dans un accident de la circulation. Une enquête est en cours.
Que s’est-il réellement dit lors de la visite des chefs d’état-major d’Arabie saoudite, Abderrahmane Ben Salah al-Baniane, et du Qatar, Ghanem Ben Chahin al-Ghanem, lors de leur entrevue avec le général de Corps d’armée, Ahmed Gaïd-Salah, vice-ministre de la Défense et chef d’état-major de l’ANP ?
Selon le portail de nouvelles en ligne couvrant les événements au Moyen-Orient, East Eye Moyen (MEE), Ryad et Doha ont saisi leur homologue algérien pour une participation à une force d’interposition au Yémen.
La source d’information du média anglais serait un diplomate algérien dont le nom n’a pas été cité, qui a précisé qu’Alger a réservé sa réponse pour le moment, le temps d’étudier cette proposition mais tout tend pour l’instant à ce qu’elle la refuse. «La tendance lourde est au refus», a déclaré la source.
L’information parue sur le site de MEE ce mardi a été formellement démentie par Ahmed Assiri, porte-parole de la coalition arabe au Yémen et conseiller du ministre saoudien de la Défense. Pourtant difficile de savoir exactement la teneur des discussions entre les délégations militaires tant ces questions sont frappées du sceau du secret-défense.
Le communiqué du ministère de la Défense nationale consacrant cette visite rapporte que les deux parties ont passé en revue «l’état de la coopération militaire bilatérale et les voies de sa diversification» ainsi que l’échange d’analyses et points de vue sur les questions d’actualité «importantes» sans pour autant donner plus de détails.
Il ne fait aucun doute que le dossier yéménite fait partie de cette actualité brûlante mais on ne peut que spéculer sur la nature des échanges. Ce qui est certain c’est que l’Algérie a déjà signifié en mars 2015 son refus de rejoindre la coalition arabe au Yémen qui se bat contre les Houthis. «L’Algérie n’autorisera aucune participation de ses troupes armées à des opérations militaires en dehors de ses frontières», avait déclaré à l’époque notre ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, qui a précisé toutefois qu’elle «pourrait apporter un soutien en logistique au-delà de ses frontières sans pour autant impliquer ses troupes armées».
Une porte ouverte à une éventuelle participation de ses troupes du génie militaire à une force d’interposition issue de plusieurs pays «neutres» qui pourrait avoir la confiance des Houthis et de ses alliés et de la coalition arabe.
Depuis mars 2015 à la tête d’une coalition de neuf pays arabes qui bombarde les positions rebelles des Houthis, l’Arabie saoudite essuie depuis quelques mois les critiques de la communauté internationale. Selon un rapport des Nations Unies publié en août, les frappes de la coalition sont suspectées d’être à l’origine de la moitié des civils tués au Yémen.
Le 9 octobre, plus de 140 personnes ont été tuées par un raid aérien mené par la coalition qui a ciblé une cérémonie funéraire à Sanaa. La guerre actuelle au Yémen oppose des forces pro-gouvernementales, appuyées par la coalition arabe, aux rebelles houthis et leurs alliés, les forces restées fidèles à l’ex-président Ali Abdallah Saleh. Le conflit a fait en 19 mois 6.900 morts, 35.000 blessés et trois millions de déplacés.
Les éléments de la sûreté de Misserghine sont parvenus à neutraliser une bande de malfaiteurs composée de trois individus spécialisée dans les cambriolages d’appartements.
En effet, c’est sur la base de renseignements que les enquêteurs ont réussi à identifier trois malfaiteurs lesquels ont été arrêtés, en flagrant délit de vol. Les auteurs étaient âgés de 21 à 25 ans et ont été trouvés en possession d’armes blanches. Ils seront présentés, au tribunal à l’issue des investigations.
Ce qui était prévu d’être une assemblée générale ordinaire pour l’adoption des comptes sociaux de la Chambre nationale des commissaires aux comptes a tourné court. En effet, l’AGO des commissaires aux comptes a été annulée à cause du problème de représentativité. Le quorum n’étant pas été atteint.
Sur 1 905 membres que compte la Chambre, 217 commissaires seulement ont répondu présent à l’AGO qui s’est tenue hier à Alger. Soit une participation de 13% des adhérents de la Chambre.Ce n’est pas possible de continuer de cette façon », a-t-il martelé. Mais le syndicat des Commissaires aux comptes a fait déjà un diagnostic de cette démission et commencé déjà à réfléchir sur des solutions-remèdes pour remettre de l’ordre dans le fonctionnement de la Chambre. « On est devenu une grande association. Mais nous fonctionnons comme si on était toujours une petite association », nous a expliqué le secrétaire général, Mourad Elbesseghi.
Ajoutant que les 1 905 adhérents de la Chambre sont répartis à travers l’ensemble du territoire national. « Il est difficile de les rassembler », a-t-il reconnu. « Nous pensons aller vers un autre mode d’organisation de manière à toucher tous les membres quel que soit le lieu de leur implantation. L’option de Chambres régionales se dessine.
On estime qu’elles peuvent être une solution pour la représentativité des adhérents », a-t-il indiqué, précisant que le cotisant peut mandater au niveau national son représentant désigné au niveau local.
Unique indicateur de solvabilité de l’Algérie, les réserves de change du pays ont baissé à 121,9 milliards de dollars à fin septembre. C’est ce qu’a indiqué hier le gouverneur de la Banque d’Algérie, Mohamed Loukal.
La valeur des placements de l’Algérie en bons du trésor dans les banques souveraines était de 144,1 milliards de dollars à fin 2015, a relevé Mohamed Loukal, lors de son audition par la commission des finances et du budget de l’APN dans le cadre de l’examen du projet de la loi de finances 2017 par cette commission.La fonte des réserves officielles de change de l’Algérie s’est accélérée depuis juin 2014, date durant laquelle les marchés pétroliers ont été entraînés dans une dangereuse déprime qui s’est traduite par une baisse de 60% des prix du brut. En effet, les réserves officielles de change se sont contractées de 193,269 milliards de dollars à fin juin 2014 à 178,938 milliards de dollars à fin décembre 2014 et à 144,13 milliards de dollars à fin décembre 2015.
Ainsi, depuis juin 2014, l’Algérie a perdu 71,369 milliards de dollars sur ses réserves de change. Les déficits records de ces dernières années ont été à l’origine directe de cette dangereuse contraction des réserves de change officielles de l’Algérie. Le pays devrait clôturer l’actuel exercice avec un déficit de 12,9% du Produit intérieur brut (PIB), contre 16,2% du PIB en 2015, selon les calculs du Fonds monétaire international (FMI).
Cette institution a prévu un déficit budgétaire de 9,3% du PIB pour 2017. Le déficit sera ramené progressivement jusqu’à -3,9% du PIB en 2021, selon des projections du Fonds incluses dans son rapport « moniteur des finances publiques » qui examine la conduite des politiques budgétaires dans le monde.
Cela dit, une hausse du déficit global (balance des paiements et déficit commercial) entraîne mathématiquement une baisse des réserves de change stockés dans les banques souveraines américaines et européennes. Dans les détails, la valeur des importations qui continue à culminer à des niveaux dangereux a eu pour effet de ronger l’épargne en devises.
D’ailleurs, les mesures de restriction à l’importation mises en application par l’Exécutif depuis le début de l’année dernière avaient pour objectif de préserver les réserves de change, dont la valeur a enclenché une descente dangereuse depuis juin 2014.
Pour l’Exécutif qui n’exclut plus l’éventualité d’un recours aux financements extérieurs, maintenir les réserves de change à des niveaux appréciables est un enjeu de taille, tant cette épargne constitue l’unique gage de solvabilité du pays. Au mois de juillet dernier, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a affirmé depuis Oum El Bouaghi que les réserves de change en Algérie vont s’établir autour de « 116 milliards de dollars en 2016 et ne baisseront pas en dessous des 100 milliards de dollars quelles qu’en soient les circonstances ».
C’est la limite que se fixe donc le gouvernement qui, face à une fonte plus rapide que prévu des réserves de change, doit s’investir pleinement dans la réduction des déficits, le seul moyen qui permettra de préserver les réserves de change aux niveaux souhaités.
C’est l’objectif que se fixe le gouvernement sur les trois prochaines années, à travers la codification macroéconomique du budget sur les années 2017-2019. Cela passerait par la réduction des dépenses globales et la baisse des importations qui, au demeurant, continuent à se maintenir à des seuils pour le moins insoutenables.
Pour rappel, les réserves de change sont des prêts accordés par l’Algérie sous force de placements bancaires à des taux très bas (au maximum 2%) aux grandes économies du monde (Etats-Unis, Europe, Grande Bretagne et Japon).
Ces réserves de change sont gérées par la Banque d’Algérie qui est censée remettre au Trésor les bénéfices qu’elle tire d’une part de leur placement sur les marchés internationaux et d’autre part de la fluctuation du dinar.
Cinq individus ont été arrêtés sur la base d’informations dans le quartier d’Ed Derb, par les éléments de la police judiciaire de la 7ème sûreté urbaine, pour détention de drogue dure. Les enquêteurs sont parvenus à récupérer 25 capsules de cocaïne et une somme de 18 millions de centimes provenant sans doute, de la vente de la drogue. Un autre individu est en fuite et demeure, activement, recherché. La semaine dernière, les mêmes services ont arrêté douze subsahariens dont trois filles pour détention de marijuana. Les mis en cause étaient également, impliqués dans une affaire de création de lieux de débauche.
La FAF a finalement confirmé la nomination de Georges Leekens comme sélectionneur national. Sur son site officiel elle vient de publier un compte rendu du bureau fédéral qui s’est tenu ce matin.
Ainsi le communiqué précise, « La commission ad hoc, après avoir consulté plusieurs techniciens, a arrêté une short-list de cinq entraîneurs. Le choix a été porté sur M. Georges Leekens pour diriger la sélection nationale. Ce choix a été approuvé à l’unanimité par les membres du bureau fédéral. »
Le communiqué donne également des détails concernant le déplacement au Nigeria, « Concernant la rencontre Nigeria – Algérie de la 2e journée des éliminatoires de la Coupe du monde-2018, toutes les dispositions prises pour mettre l’équipe nationale dans les meilleures conditions.
L’hôtel choisi dispose de tous les moyens logistiques pour assurer un bon séjour et une bonne préparation du match qui aura lieu le 12 novembre 2016 à 17h 00 heure locale dans la ville d’Uyo. La délégation algérienne se déplacera d’Alger à Uyo à bord d’un vol spécial d’Air Algérie le 10 novembre 2016 et rentrera juste après le match. »
Concernant la CAN-2017 prévu du 14 janvier au 5 février au Gabon la FAF précise « La délégation algérienne qui avait déjà effectué des visites dans les quatre villes qui abriteront le tournoi final a, dès la fin du tirage au sort, réservé le camp de base de l’équipe nationale à Franceville. L’hôtel où l’équipe nationale prendra ses quartiers et qui se trouve dans la région de Moanda est mitoyen du terrain d’entraînement.
Le stage de préparation de la Coupe d’Afrique des nations aura lieu au Centre technique national de Sidi Moussa et le départ pour Franceville se fera quelques jours avant le premier match de l’Algérie face au Zimbabwe prévu le 15 janvier 2017. »
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