Quarante-trois personnes vivant avec handicap résidant à Mbandaka (Equateur) ont bénéficié, samedi 25 février, des vélos tricycles.
Cette donation est l’œuvre d’un groupe de jeunes médecins congolais, en partenariat avec la Fondation médicale « John pour les orphelins ».
Le député provincial Prince Kihangi plaide pour une prorogation du délai de 30 jours pour l’enrôlement des électeurs dans le territoire de Walikale (Nord-Kivu).
Depuis le 16 février dernier, jour du lancement officiel de l’opération d’identification et enrôlement des électeurs, au Nord-Kivu, l’enrôlement n’a pas encore commencé dans certaines zones de Walikale, explique-t-il.
Le torchon brûle, depuis le dimanche 26 février à Mbandaka, au sein du secrétariat exécutif du Parti de l’Unité Nationale (PUNA) dans l’Equateur.
Trois mois seulement après la mise sur pied, par le directoire national, d’un nouveau Président exécutif provincial, celui-ci a été désavoué.
Le ministre de l'économie, des finances et de la prospective, Aboubacar Nacanabo, a officiellement lancé ce 27 février 2023, l'Initiative masse critique des professionnels des projets et programmes de développement (IMCP). L'IMCP qui bénéficie de l'accompagnement de la Banque mondiale, vise à combler l'insuffisance des spécialistes intervenant dans la mise en œuvre des projets, dans les domaines de la gestion foncière, l'audit interne, la passation de marchés, la sauvegarde environnementale et le suivi-évaluation.
La mise en œuvre des projets et programmes de développement contribue à l'amélioration des conditions de vie des populations. Cependant, on note qu'il existe peu ou pas de spécialistes dans certains domaines pour assurer une mise en œuvre efficiente de ces projets. C'est fort de ce constat que le gouvernement burkinabè, appuyé par la Banque mondiale, a pensé et matérialisé l'Initiative masse critique des professionnels des projets et programmes, lancée ce jour.
Selon le ministre de l'économie, Aboubacar Nacanabo, ce sont au total 225 professionnels, soit 45 dans chacune des fonctions clés de gestion des projets, qui seront formés dans le cadre de l'IMCP. La formation qui dure un an, comprendra trois mois de cours théoriques et neuf mois de stage pratique dans une unité de gestion de projet. Peuvent prétendre aux différentes formations, les fonctionnaires de catégorie A1 ainsi que les jeunes diplômés titulaires d'une maitrise ou d'un master. Ce qui va permettre donc, pense Aboubacar Nacanabo, de non seulement accroître la capacité de l'administration publique en renforçant les compétences de ses ressources humaines, mais aussi d'augmenter l'employabilité des jeunes diplômés.
La formation des spécialistes sera assurée par les universités Thomas Sankara et Joseph Ki-Zerbo, ainsi que l'Ecole nationale des régies financières (ENAREF). Le Pr Pam Zahonogo, représentant des trois structures de formation, a rassuré le ministre de l'économie, que la formation qui sera dispensée sera de qualité, avec l'élaboration et la mise en œuvre de modules adaptés. Il a aussi laissé entendre, que la sélection des auditeurs se fera dans la plus grande transparence, par la mise en place de comités de sélection.
Pour la représentante résidente de la Banque mondiale au Burkina, Maïmouna Mbow Fam, l'IMCP vient en réponse à une problématique récurrente lors des évaluations de son institution et qui constitue une cause de contreperformance : la faible existence de ressources humaines en qualité et en quantité suffisantes, pour une mise en œuvre réussie des projets et programmes de développement. C'est pourquoi, la Banque mondiale a choisi d'accompagner le gouvernement burkinabè dans sa mise en œuvre. « C'est une belle initiative que la Banque mondiale accompagne et compte vivement sur le leadership du gouvernement pour attirer d'autres partenaires afin d'aller à l'échelle. Pour sa part, la Banque mondiale réaffirme sa volonté de poursuivre son accompagnement pour les promotions à venir en prenant également en compte les besoins des collectivités territoriales », a-t-elle ajouté.
Au cours de la cérémonie de lancement de l'IMCP, le ministre de l'économie a procédé à la signature d'accords de partenariats avec les institutions qui vont assurer la formation des professionnels. La première cohorte, formée à l'université Thomas Sankara en passation de marchés et forte de 14 personnes, s'est aussi vu remettre des certificats de fin de formation.
Armelle Ouédraogo/Yaméogo
Lefaso.net
L’opération d’enrôlement des électeurs, pour les Congolais résidant au Canada, a débuté ce lundi 27 février dans la ville d’Ottawa, province d’Ontario.
Lancée par le rapporteur-adjoint de la CENI, Paul Muhindo, cette opération se déroule dans l’enceinte de l'ambassade de la RDC, se trouvant dans cette ville canadienne.
Plusieurs activités minières sont paralysées, depuis quelques mois, au Nord-Kivu après que le M23 a pris le contrôle de plusieurs agglomérations des territoires de Rutshuru, Nyiragongo et Masisi.
La dernière remonte à dimanche 26 février lorsque la cité de Rubaya, à plus de 60 KM à l’Ouest de Goma, est passée sous leur occupation.
Des combats entre les FARDC et les rebelles du M23/RDF sont signalés, ce lundi 27 février matin, à 6 KM de la cité de Sake, dans le groupement Kamurhonza, territoire de Masisi (Nord-Kivu).
Selon la société civile, des détonations des armes lourdes et des bombardements sont entendus accroient la psychose dans la région de Sake, à 27 km de Goma.
Deux rebelles ADF ont été tués, des armes, munitions et matériel militaires récupérés, lors des opérations conjointes armées congolaise et ougandaise, menées entre les 20 et 26 février dans la région de Tokomeka dans le territoire d’Irumu (Ituri).
Selon le porte-parole de ces deux forces mutualisées, lieutenant-colonel Mak Hazukay, l’objectif de ces opérations était de déloger ces assaillants de cette contrée où ils voulaient se réorganiser en vue de planifier des attaques contre la population civile.
Le porte-parole du gouvernement provincial du Sud-Kivu, Jérémie Basimane, a exprimé, lundi 27 février, son opposition à l’élection du nouveau gouverneur.
Il pense que ce scrutin devra attendre que la Cour constitutionnelle se prononce sur la requête du gouverneur Théo Ngwabidje, introduite le 24 février auprès de cette instance contre la mention de censure votée contre lui.
Le recyclage de matériau plastique est une source de survie pour des femmes dans la ville de Dédougou. Mahamadou Sanogo excelle dans cette activité. Il emploie une trentaine de personnes, dont des femmes déplacées internes, dans son unité de broyage. Lefaso.net est allé à la rencontre des acteurs le mercredi 22 février 2023.
L'atelier de broyage de matériaux plastiques usagés de Mahamadou Sanogo est à quelques jets de pierre de l'unique château de l'Office national de l'eau et de l'assainissement (ONEA) à Dédougou. Située au secteur n°2 en plein cœur de la ville, à proximité d'un terrain crevassé, englouti de hautes herbes séchées, c'est une entreprise à ciel ouvert. Un hangar de quelques dizaines de tôles, une maisonnette et des tas de matériau en plastique de toutes sortes d'objet, c'est tout ce qu'on retrouve sur les lieux. A cela s'ajoutent la broyeuse et l'équipe de travailleurs constituée essentiellement de femmes. Parmi elles, des déplacées internes.
De ce lieu, non extraordinaire à première vue, vingt-cinq personnes tirent, tous les jours, leur pitance quotidienne. « L'idée de mettre sur pied une entreprise comme celle-ci vient du fait que je veux donner la possibilité à d'autres personnes de gagner ne serait-ce que modestement leur vie », indique le propriétaire des lieux, Mahamadou Sanogo.
Depuis 2020, l'entrepreneur Sanogo fait tourner sa machine à broyer pour le bonheur de quelques dizaines de personnes, dans un espace sans clôture jonché, par endroits, de morceaux de bouteilles. Par prudence, il faut se protéger avec des chaussures de sécurité pour être à l'abri d'éventuelles blessures à la bouteille cassée. Mais hélas ! Ceux qui y travaillent ne portent que de simples nu-pieds. « Nous sommes conscients que nous devons porter des chaussures de sécurité et des gants. Mais, nous n'avons pas encore suffisamment de moyens pour nous acheter ces matériels de protection », s'est excusé le manipulateur de la broyeuse, Abdoulaye Zoungrana, tout couvert de poussière.
« Ce travail m'a sauvé »
Malgré les potentiels risques liés à la sécurité au travail, les employés semblent voir plus les avantages pécuniaires liés au métier ; leur permettant de pouvoir empocher à la fin de chaque journée de travail, la somme de 1 000 f CFA. « Il y a longtemps que nous travaillons sur ce site, mais rien de grave ne s'est encore produit. Nous souhaitons qu'il en soit ainsi pour toujours », espère Zoénabou Rakistaba.
D'après elle, le gain journalier par personne est passé de 750 f CFA à 850 f CFA pour atteindre 1 000 f CFA aujourd'hui. Cet argent, obtenu à la sueur de son front, permet à dame Rakistaba de participer à la gestion et au bien-être de sa famille, selon ses dires. « Ce travail me permet de scolariser mes enfants. Je l'utilise pour certaines dépenses familiales », poursuit-elle avec fierté.
A la différence de Zoénabou Rakistaba, habitante d'un quartier périphérique de la ville de Dédougou, sa coéquipière Kilé Kanko est une déplacée interne venue de la commune rurale de Sanaba dans la province des Banwa. « Ce travail m'a sauvé », affirme-t-elle spontanément. Kilé Kanko, devenue veuve, doit faire face aux charges familiales. Grâce à ce job, elle tire son épingle du jeu tant bien que mal, depuis son arrivée forcée à Dédougou après les attaques terroristes qui ont visé son village. « Ce travail me permet de nourrir mes enfants et d'honorer le loyer à la fin de chaque mois », tranche celle qui ne tarit pas d'éloges pour le propriétaire de l'atelier. Comme ces deux employées, les femmes sont nombreuses, notamment les mères déplacées, à vanter l'utilité de l'atelier de broyage mis sur pied par Mahamadou Sanogo.
C'est pourquoi la trentaine de femmes dont des femmes déplacées internes restent engagées sur le site de broyage. Leur âge avancé n'a pas eu raison de leur détermination dans l'exécution des différentes tâches au sein de l'entreprise. Au sein de la boîte, le travail se fait à la chaîne. Munies de machettes, les unes s'affairent à réduire en morceaux des bidons de 20 litres et autres sortes de plastiques. D'autres se chargent de les transporter jusqu'à la machine à broyer. Une troisième équipe de femmes intervient après le broyage. Elles passent au tamis le produit broyé. Un quatrième groupe termine le cycle avec la mise en sac de la matière broyée. Le tout rythmé par les grondements assourdissants du moulin à broyer piloté par Abdoulaye Zoungrana.
Sur ce site, les jours passent et se ressemblent. Ces femmes issues de milieu défavorisé commencent le service à 8h pour ne finir qu'à 16h avec une pause de deux heures entre 12h et 14h.
Effets de l'insécurité dans la région
Mais, la dynamique de départ ne fait que s'estomper, depuis un certain temps à cause de la situation sécuritaire dans région de la Boucle du Mouhoun.
Selon le chef de l'atelier, son usine s'approvisionne en matières premières dans des localités comme Tougan, Gassan, Nouna et Djibasso. Maintenant que presque toutes ces localités sont soit inaccessibles soit vidées de leurs populations, l'entreprise prend le coup en pleine face. « La matière dont nous avons besoin pour travailler ne vient plus ou encore n'est pas à portée de main. C'est avec le peu que nous gagnons à l'intérieur de la ville de Dédougou que nous fonctionnons », se désole Mahamadou Sanogo. La donne sécuritaire a fait opérer des réaménagements au sein de l'atelier. « L'année passée, nous avons beaucoup travaillé. Il y avait plus de femmes qu'aujourd'hui. Mais, comme il y a moins de travail cette année, j'ai divisé l'équipe actuelle en deux groupes. Même avec cela, nous ne pouvons pas démarrer la machine tous les jours par manque de matière à broyer », regrette-t-il. Il n'est pas le seul à ressentir l'impact de l'insécurité sur la marche de l'entreprise. « On aurait voulu travailler tous les jours, mais la situation sécuritaire fait qu'il n'y a pas de matière en permanence. Ça ne nous arrange pas », a déploré Mariam Yirya, la tête entièrement ceinte d'un foulard qui ne laisse voir que son visage.
A cet obstacle de terrain, se greffent le manque de ressources financières pour clôturer l'atelier et une tracasserie administrative dont Monsieur Sanogo dit être victime. « Les services environnementaux nous causent beaucoup de soucis avec les questions de papiers », a déclaré cet entrepreneur de trente-quatre ans. Il explique avoir fait une déclaration qui l'autorise à ouvrir son atelier, mais ce document ne l'exempte pas de contrôles onéreux au cours du transport de sa marchandise vers Ouagadougou et souvent en direction d'autres pays comme le Ghana. En ce qui concerne l'obtention de l'attestation qui pourrait le libérer définitivement de cette situation qu'il traîne comme une bosse d'ordre administratif, Mahamadou Sanogo décrit le processus très protocolaire, coûteux et aux rebondissements non maîtrisables.
Yacouba SAMA
L'agence Milania Events était face à la presse le vendredi 24 février 2023, pour présenter les grandes articulations de la première édition de Woman day. « Entrepreneuriat féminin et défi sécuritaire : quelle stratégie pour une meilleure contribution des femmes au développement du Centre-ouest ? », est le thème retenu par le comité d'organisation pour cette édition prévu le 8 mars 2023, journée internationale de la femme.
Valoriser la femme dans son entièreté, contribuer à son épanouissement au regard des multiples conditions difficiles qu'elle vit…, l'agence Milania Évents l'a bien compris à travers son projet Woman day. Selon la promotrice Sonia Zongo, Woman day est une journée de la jeune femme modèle du Centre-ouest qui se tiendra le 8 mars 2023 à Koudougou. A l'entendre, l'objectif est de promouvoir le leadership et l'entrepreneuriat féminin dans la région du Centre-ouest. Plusieurs activités sont programmées pour magnifier la femme du Centre-ouest lors du 8 mars, journée internationale de la femme.
Selon le comité d'organisation, la conférence publique prévue se tenir le 8 mars à 10h, est l'activité phare de cette journée. Cette conférence se tiendra sous le thème : « Entrepreneuriat féminin et défi sécuritaire : quelle stratégie pour une meilleure contribution des femmes au développement du Centre-ouest ? », avec des partages d'expériences de femmes modèles.
D'autres activités sont retenues telles que le dépistage gratuit du cancer du sein et du col de l'utérus suivi d'une sensibilisation, une formation en saponification au profit de jeunes femmes vulnérables et déplacées internes. De même, un concours de slam et d'art culinaire est prévu et ne sera ouvert qu'aux jeunes femmes de la région du Centre-ouest. Pour clore en beauté cette journée, une soirée gala se tiendra. Cette soirée gala sera rythmée par la révélation de la jeune femme modèle de l'année 2022, des récompenses, des témoignages, des prestations d'artistes et un défilé de mode.
Selon le comité d'organisation, ces activités permettront, de façon spécifique, de promouvoir l'auto-emploi, le savoir-faire artistique des femmes et des jeunes filles, de valoriser le leadership féminin et d'améliorer les conditions de vie socio-économiques des femmes et jeunes filles dans le Centre-ouest. Ces activités permettront aussi de sensibiliser les femmes et les jeunes filles à mener une vie plus saine et à faire évoluer leurs habitudes sanitaires. C'est aussi une journée dédiée à la promotion des produits et mets locaux.
« Il existe des femmes battantes, modèles, inspirantes méconnues. A travers le Woman day, nous voulons mettre en lumière toutes ces étoiles cachées. Nous voulons revaloriser toutes ces héroïnes dans l'ombre », a estimée Sonia Zongo, tout en soulignant qu'elles sont des exemples à suivre pour cette génération en perte de valeurs. La promotrice n'a pas manqué de souligner que cette activité concerne autant la femme urbaine que la femme rurale. À cet effet elle a ajouté que plusieurs actions ont été menées afin de mobiliser le maximum de femmes. Pour Madi Tapsoba, membre du comité d'organisation, c'est le début d'un mécanisme qui permettra de mobilier les femmes rurales.
Cependant, sur un budget prévisionnel total de 10 570 000 de francs CFA, le comité d'organisation affirme n'avoir couvert que 25% du budget. « Nous ne savons pas s'il sera bouclé, mais une chose est sûre, nôtre volonté de tenir cette première édition de Woman day cette année est définitivement bouclée », a-t-il affirmé.
Notons par ailleurs que Milania Events est une agence d'hôtes et d'hôtesses (49 garçons et 272 filles) en majorité composée d'un personnel juvénile très engagé, avec pour mission d'offrir un accueil événementiel chaleureux en matière de professionnalisme. L'agence est représentée dans quatre villes (Ouagadougou, Bobo, Koudougou, Dédougou) du Burkina et a son siège basé à Koudougou. Milania Évents évolue également dans le domaine de la décoration événementielle et dans l'événementiel tout en restant focus sur le volet social, éducatif et humanitaire.
Prince Omar
Koudougou
Lefaso.net
Le chef de secteur des Beia, territoire de Pangi (Maniema) a remis, le week-end dernier, un lot de matériaux au poste de santé de Fataki pour la construction d'un autre compartiment des patients et une salle d'accouchement bien aménagé.
Ce lot remis entre les mains de l'infirmier titulaire de cette structure sanitaire et du chef du village Fataki 1 est constitué entre autres, de 150 tôles, 160 madriers, 200 chevrons et de 39 Kg de clous.
Le Président Félix Tshisekedi a noté, ce lundi 27 février à la 52è session du Conseil des droits de l’homme à Genèse (Suisse), les avancées que son pays a faites sur la situation des droits de l’homme. Il a affirmé avoir pris plusieurs mesures pour promouvoir des droits de l’homme et des libertés fondamentales.
Parmi les actions réalisées ces quatre dernières années en RDC, Félix Tshisekedi cite notamment :
Le député national Rashidi Buka a appelé, dimanche 26 février, le gouvernement provincial du Maniema à juguler l’insécurité qui s’est installée dans la ville de Kindu.
Selon cet élu, malgré le couvre-feu instauré par le conseil provincial de sécurité de 21 heures à 5 heures, il ne se passe pas une nuit sans qu'on enregistre des incursions des bandits armés dans des maisons.
Ces derniers torturent, volent et violent, affirme le député Rashidi Buka :
DOSSIER D'APPEL D'OFFRES N° BFVK-001-DAO-SNV-2023-PGLRF POUR LA REALISATION DE DEUX (02) MAGASINS DE STOCKAGE D'UNE CAPACITE DE 100 TONNES AVEC AIRE DE SECHAGE DE 50m²DANS LA COMMUNE DE GOMPOSOM ET TENSOBENTENGA.
SNV est une organisation partenaire du développement global investie d'une mission, qui est ancrée dans les contextes et les sociétés où nous travaillons. En nous inspirant des principes transformationnels et des objectifs fixés par les ODD, nous nous engageons à développer des systèmes agroalimentaires résilients qui garantissent la sécurité alimentaire et une nutrition appropriée ;
à accroître la fiabilité et la disponibilité des systèmes d'approvisionnement en eau et d'assainissement pour atteindre une quantité et une qualité acceptables ;
et à améliorer l'accès aux énergies durables et d'un coût abordable pour tou∙te∙s. Actifs au Burkina Faso depuis 1970, nos projets couvrent l'ensemble du pays. Nous avons des bureaux à Ouagadougou, Bobo-Dioulasso, Koudougou, Ouahigouya, Fada N'Gourma et Dédougou avec des équipes résilientes et pluridisciplinaires composées à plus de 90% de personnel national.
Dans le cadre de la mise en œuvre de son projet de gouvernance locale des ressources forestières (PGLRF) ou WEOOG-PAANI en langues locales, exécuté par le Consortium Tree Aid (Lead), SNV et UNCD, SNV apporte son expertise dans la valorisation des produits forestiers non ligneux à travers les chaines de valeur inclusives. L'objectif du projet est d'améliorer les conditions de vie des populations riveraines des massifs forestiers à travers les investissements dans les forêts et la valorisation des produits forestiers non ligneux et ce, dans l'optique de la réalisation des Objectifs de Développement Durable (ODD).
SNV, agissant en qualité de Maitre d'Ouvrage lance le présent appel d'offres pour les travaux de construction de deux magasins de stockage de 100T chacun avec une aire de séchage de 50m²dans les communes de Tansobentenga et de Gomponsom dans les régions du centre est et du Nord.
La participation à la concurrence est ouverte à toutes les personnes physiques ou morales ou groupements desdites personnes pour autant qu'elles ne soient pas sous le coup d'interdiction ou de suspension et en règle vis-à-vis de l'administration de leur pays d'établissement ou de base fixe. Ils doivent être agréés au minimum dans la catégorie B3 du ministère de l'Habitat et de l'Urbanisme
Les travaux sont repartis en deux (02) lots distincts et indivisibles comme suit :
Le délai d'exécution est de Deux (02) mois hors jours d'intempérie pour chacun des lots.
Les soumissionnaires éligibles, intéressées sont invitées à télécharger le DAO et Annexes à travers le lien suivant : https://urlz.fr/kUJ1 ou à le retirer au secrétariat de SNV, sise à Ouaga 2000, Sect. 54, Av. SARE Elie, Porte 437 01 BP 625 Ouagadougou 01- Burkina Faso, Tel : 25409263 ou écrire : syonli@snv.org et bguiro@snv.org.
1. Les offres techniques et financières doivent être rédigées en français et présentées en un (01) original et deux (02) copies dans une enveloppe avec mention « REPONSE A L'APPEL D'OFFRE POUR LA REALISATION DE MAGASIN DE STOCKAGE ET DE CONSERVATIONS (PRECISER LE LOT ET L'INTTUTILE DU LOT) », conformément aux instructions aux soumissionnaires, et devront parvenir au secrétariat de SNV, au plus tard le 16 mars 2023 à 12HOO. En cas d'envoi par la poste ou autre mode de courrier, la SNV ne peut être responsable de la non-réception de l'offre du soumissionnaire ;
2. Les offres doivent être rédigées en français et présentées en un (01) original et deux (02) copies, conformément aux instructions aux soumissionnaires, et devront parvenir ou être remises au secrétariat de la SNV, au plus tard le jeudi 16 mars 2023 à 15h00.
En cas d'envoi par la poste ou autre mode de courrier, la SNV ne peut être responsable de la non-réception de l'offre du soumissionnaire.
3. Les soumissionnaires resteront engagés par leurs offres pour un délai de 120 jours, à compter de la date de remise des offres.
4. SNV se réserve le droit de ne donner aucune suite à tout ou partie du présent Appel d'offres.
Réunis au sein du Collectif des médecins du secteur public non primés, des médecins œuvrant à Bandundu-ville (Kwilu), ont organisé, samedi 25 février, une marche pour réclamer le paiement régulier de leurs primes de risque.
Au lendemain de sa défaite devant le Suédois Badou Jack, le boxeur congolais Junior Ilunga Makabu a appelé ses fans à ne pas se décourager.
Le pugiliste congolais a lancé cet appel dans une vidéo sur son compte twitter.
Le président du Parti des démocrates humanistes (PDH), Prosper Kasongo a insisté, dimanche 26 février, sur la nécessité de promouvoir le leadership des jeunes et des femmes en RDC. Il l’a affirmé lors de la sortie officielle de sa formation politique, membre de l’Union sacrée, à Kinshasa.