Le commissaire général de Police nationale congolaise (PNC), le commissaire Benjamin Alongaboni, a appelé les policiers à se tenir prêts pour toute réquisition afin de soutenir l’armée dans la guerre qu’elle mène dans la partie Est du pays.
Il a lancé cet appel au cours d’une parade organisée mercredi 15 janvier au Stade des Martyrs, et qui a rassemblé toutes les unités de la PNC.
La société civile locale qui a rapporté les faits mercredi 15 janvier, explique qu’il s’agit des personnes qui avaient fui leur village depuis décembre 2024, à la suite des tensions communautaires entre Zande et Logo, qui ne s’accordaient pas sur les limites entre les territoires de Dungu et Faradje.
Les crises sécuritaires et socioéconomiques que la RDC connait depuis plusieurs années auraient déjà été résolues si les dirigeants politiques congolais avaient intériorisé les idées défendues par Patrice-Emery Lumumba et Laurent-Désiré Kabila. C’est ce qu’a déclaré mercredi 15 janvier Thomas Luhaka Losendjola, un passionné de l’histoire de la RDC et chercheur en histoire.
Ce jeudi 16 janvier 2025, vingt-quatre ans sont passés depuis que Laurent-Désiré Kabila, alors Président de la République démocratique du Congo (RDC), a été assassiné dans son bureau, à Kinshasa par un de ses gardes du corps : Rashidi Mizele Kasereka. L’auteur des coups de feu qui a tué l’ancien Chef de l’Etat sera abattu à son tour dans sa fuite par Eddy Kapend, l’aide de camp du Président Laurent-Désiré Kabila, aujourd’hui commandant de la vingt-deuxième région militaire.
Au cours du conseil des ministres extraordinaire de ce mercredi 15 janvier, le Président Félix Tshisekedi a chargé le Gouvernement de lui présenter une feuille de route dans quinze jours visant à mettre progressivement fin à l’état de siège au Nord-Kivu et en Ituri
Le mois de janvier est le début du deuxième trimestre de l'année académique. Nous nous sommes rendus dans deux écoles de la capitale afin de savoir comment les élèves se préparent pour affronter les examens du baccalauréat. En outre, des encadreurs ont donné quelques conseils qui vont permettre aux élèves de réussir avec brio à l'examen.
Les enseignants ont tendance à dire aux élèves que les examens se préparent dès le premier jour de la rentrée scolaire. Alimata Dakissaga est élève en classe de terminale A4 au collège Notre-Dame de Kologh-Naaba. Elle n'a qu'un vœu pour 2025, celui de décrocher le bac avec la mention bien. Pour atteindre cet objectif, elle s'applique à la tâche.
« Je travaille beaucoup. J'apprends mes leçons, je me concentre en classe et je fais des exercices », affirme-t-elle. Elle confie qu'elle s'applique davantage en cours de philosophie pour se donner plus de chances de réussir son année scolaire. Alimata fait savoir qu'elle a planifié son travail à travers un emploi du temps qu'elle a établi avec l'aide de son frère. Après les cours (généralement à 18h), elle reste à l'école avec quelques camarades pour étudier jusqu'à 21h.
Alimata Dakissaga a commencé à établir un programme drastique dès le début de l'année académiqueLa bête noire de Alimata, ce sont les mathématiques. Consciente de cette lacune, tous les jeudis soirs, elle s'exerce pour rehausser son niveau dans cette matière. Ses amis, qui ont un meilleur niveau qu'elle, jouent le rôle « d'encadrants » de mathématiques. L'élève en classe de terminale dit même étudier pendant les heures creuses, plutôt que de s'adonner à des causeries qui ne vont rien lui apporter. Alimata Dakissaga se dit inquiète, elle a des problèmes de concentration en classe.
« J'ai du mal à me concentrer pendant plus de deux heures pour suivre un cours. Mais, je fais de mon mieux pour retenir ce que le professeur dit », déclare-t-elle.
A ses camarades qui n'ont pas encore pris conscience que le baccalauréat se prépare dès le premier trimestre, elle préconise qu'ils « se réveillent et se remettent en question. Ils doivent beaucoup travailler et prier. Il faut qu'on arrive à faire 100 % », conseille Alimata.
Fossi Tania Ki est également en classe de terminale A, au collège Notre Dame de Kologh-Naaba. Contrairement à Alimata qui sollicite souvent l'aide de ses camarades de classe, Tania a un professeur de maison. Il l'encadre en mathématiques et en allemand parce qu'elle rencontre des difficultés dans ces matières. Elle affirme avoir un bon niveau en français. Tania Fossi Ki a un emploi du temps précis.
Fossi Tania Ki appelle ses camarades qui attendent le troisième trimestre avant d'étudier à se ressaisir« Les cours s'arrêtent à 18h. Une fois de retour à la maison, je vais prendre ma douche et ensuite manger. Le lundi soir, je révise ce qu'on a dispensé au cours de la journée. Le mardi, je fais des exercices de français. Le mercredi, je révise l'anglais. Le jeudi, comme on n'a pas cours le soir, j'ai cours avec mon professeur de maison. Le vendredi, je fais des exercices de mathématiques. Mon encadreur revient le vendredi. Le samedi, on a un cours de soutien à l'école jusqu'à 20h », détaille-t-elle.
A ses camarades de classe qui ne sont pas encore conscients que l'examen se prépare dès le premier jour de la rentrée, Fossi Tania Ki ne mâche pas ses mots. « Chacun doit savoir ce qu'il veut. Quand tu es en classe d'examen, il faut donner le meilleur de toi-même », a-t-elle martelé.
Wendkouni Gloire à Dieu Tapsoba est élève en classe de terminale A au lycée Bambata. Il rêve de décrocher son examen avec une bonne mention.
« J'ai une bonne capacité d'intégration avec mes camarades. J'ai une bonne mémoire pour retenir les leçons que j'apprends, ce qui me permet de mieux me concentrer. J'ai également de bons rapports avec mes professeurs. Lorsque je ne comprends pas un cours, je m'approche de l'enseignant qui m'explique en profondeur. Les jours où nous n'avons pas cours, nous faisons des travaux de groupe. Je lis souvent aussi », fait-il savoir. Wendkouni Gloire à Dieu Tapsoba formule le souhait que les écoles permettent aux élèves d'utiliser les ordinateurs et les téléphones en classe pour faire des recherches sur leurs cours et exercices. Car, cela va mieux les aider à comprendre.
La participation des responsables d'écoles et enseignants pour la réussite des élèves
L'éducateur principal du collège Notre Dame de Kologh-Naaba, Brice Edson Kambiré croise les doigts. Il espère que les élèves vont empocher leurs diplômes après les examens. Pour y parvenir, « nous essayons de trouver des enseignants disponibles pour les élèves. En effet, le service de la vie scolaire est à la disposition de tous les élèves pour les accompagner dans leurs études. L'école a également mis en place un service de communication qui informe les parents sur l'évolution de leurs enfants. Cela se fait chaque semaine. Dès que nous recevons les copies des devoirs, les parents sont informés », fait-il savoir. Brice Kambiré ajoute que dans les classes d'examens, des cours de soutien sont organisés dans les différentes matières.
Brice Edson Kambiré confie que le personnel enseignant de l'école encourage les élèves dans la quête du précieux sésameDjakaridja Ouattara est le proviseur du lycée Bambata.
« Dès le deuxième trimestre, on fait des travaux de groupe au niveau des classes d'examens avec la collaboration des professeurs principaux. Nous avons rassemblé les élèves par groupe. À midi, au lieu de partir à la maison, il y a la cantine qui est mise à la disposition des élèves. La priorité est accordée aux élèves qui sont en classe d'examen », indique-t-il. Djakaridja Ouattara termine en disant que « les professeurs doivent être à l'écoute des élèves parce que ce sont des enfants. Ils doivent être patients et tolérants envers eux pour mieux les accompagner ».
Eviter le surmenage et étudier au fur et à mesure
Boukary Ouédraogo est professeur d'anglais au lycée Bambata. Il donne quelques conseils aux élèves qui sont en classes d'examens. « Il faut être ponctuel et présent aux cours. Il faut suivre le cours une fois en classe et faire les devoirs de maison car cela permet aux enseignants de savoir si le cours a été assimilé ou pas pour pouvoir répondre aux besoins des élèves. Les élèves doivent savoir gérer le temps. C'est très important, il faut commencer à étudier dès maintenant.
Car, ce n'est pas à la dernière minute qu'il faut se mettre au travail. Il faut faire un bon planning et étudier toutes les matières lentement et surement pour éviter le surmenage », a-t-il recommandé. Et de renchérir : « les élèves n'ont pas à être stressés. Ils doivent gérer leurs stress et surtout se faire confiance. Si vous êtes déjà en classe de terminale, cela signifie que vous avez un bagage intellectuel pour réussir. Il faut se concentrer. Ils doivent plutôt être courageux pour affronter l'examen. Il faut vous dire que vous pouvez réussir et vous allez réussir », lâche monsieur Boukary Ouédraogo.
Boukary Ouédraogo a conseillé aux élèves d'être disciplinésBrice Edson Kambiré suggère aux élèves en classe d'examen de travailler, d'étudier au jour le jour, de réviser leurs cours lorsqu'ils rentrent. « Ils doivent noter les parties du cours qu'ils ne comprennent pas et s'approcher du professeur de la matière pour plus d'explication », a-t-il conseillé.
Pour Djakaridja Ouattara, « quand on veut réussir, il faut se donner les moyens, car, la réussite n'est pas le fruit du hasard comme le dit un proverbe allemand. Pour réussir, il faut être ponctuel, assidu et surtout, il faut respecter les professeurs. Il faut faire beaucoup d'exercices parce qu'en classe, le professeur ne peut pas trop s'attarder sur certaines choses. Il a un programme à terminer. Il appartient à l'élève de faire le maximum d'exercices jusqu'à ce que le professeur passe à un autre chapitre, car c'est en forgeant qu'on devient forgeron » a-t-il conclu.
Rachidatou Démé (stagiaire)
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La cérémonie d'hommage à Dr Pierre Claver Hien a drainé du monde très tôt ce mercredi 15 janvier 2025 dans les locaux du Centre national de recherche scientifique et technologique (CNRST) à Ouagadougou. L'enseignant-chercheur en histoire décédé le 12 janvier 2025 a été honoré par ses collègues.
Né le 27 janvier 1965 à Dissin, dans le Sud-ouest du Burkina, l'homme a tiré sa révérence le 12 janvier 2025 dans sa 60e année. Ce mercredi 15 janvier 2025, sa dépouille été amenée au CNRST, pour une cérémonie d'hommage et d'au-revoir.
Ils ont été nombreux à se succéder au pupitre installé à côté de sa dépouille pour parler des qualités de l'homme, qui a fait ses preuves à l'INSS, à l'université Joseph Ki-Zerbo et au sein des institutions où il a apporté son expertise.
Tous ont évoqué son tempérament calme, son amabilité, sa bienveillance, et son attitude qui inspirait toujours la confiance autour de lui. Pour étailler les dires des uns et des autres, le président de la cérémonie, le délégué général du CNRST, Dr Emmanuel Nanéma, parlant de l'homme, a fait savoir qu'il n'a jamais eu de problème avec quelqu'un à sa connaissance. « C'était un homme bien, toujours de bonne humeur et d'une bonté extraordinaire », a-t-il laissé entendre devant la famille biologique et professionnelle du défunt.
Mais au-delà de ses qualités humaines, Pierre Claver Hien est aussi un « grand » travailleur qui aimait le travail bien fait, selon les témoignages.
Il ressort des différents témoignages que c'était un enseignant valeureux et talentueux qui aimait profondément sa discipline, l'histoire. Ses cours sur l'histoire politique du Burkina drainaient du monde dans les salles à l'université Joseph Ki-Zerbo. La rigueur transparaissait dans tous ses travaux de recherche, disent ses collègues.
Le monde de la recherche et des institutions où il a apporté sa contribution, mobilisé à cet effetAu-delà des salles de cours, Pierre Claver Hien a apporté son expertise dans l'administration publique comme privée. En effet, il a été le conseiller technique du ministère en charge de l'enseignement supérieur auprès du Pr Alkassoum Maïga. Selon le Pr Maïga leur dernière rencontre date du 23 décembre 2024. C'était à l'université Joseph Ki-Zerbo où tous les deux faisaient partie du jury de la soutenance de thèse sur la construction de la démocratie au Burkina Faso (1960-2014) de Fadougo Coulibaly, un étudiant qu'encadrait le défunt. « Mais malgré ta maladie, tu as conduit toi-même, parce que tu tenais à être là. C'était d'ailleurs la dernière fois que nous nous verrons avant ton décès », a-t-il témoigné, tout en précisant qu'il a tenu à dire cela pour montrer à quel point son ami était un « grand travailleur », qui repose désormais auprès de l'Éternel.
L'ancien ministre en charge de l'enseignement supérieur, le Pr Alkassoum Maïga, dit au-revoir à son conseillerIl ressort également de ces nombreux témoignages que l'historien avait le sens de la précision et de la réplique dans les débats. Et il a su bâtir des générations d'historiens qui assureront la relève. Pour son ami et collègue Dr Maxime Kaboré, il est parti au moment où le monde de la recherche et le pays avaient le plus besoin de lui. « Tu étais un historien passionné qui a consacré toute sa vie à la recherche et a contribué à faire évoluer les choses au niveau de l'histoire politique, des questions de frontières et autres », a-t-il dit à celui à qui il rend un dernier hommage.
Le monde de la recherche s'est dit fier du riche parcours du regretté, et surtout de l'héritage qu'il laisse au monde de la recherche et au pays tout entier. Pour terminer, ils ont été tous unanimes qu'un chercheur ne meurt jamais, parce qu'à chaque fois qu'un de ses travaux est cité ou utilisé, c'est de lui qu'on parle.
Après cet hommage, le cortège funèbre a pris le chemin de son village natal, Dissin (Sud-ouest), où il sera inhumé le vendredi 17 janvier 2025.
Lire aussi : Terrorisme : « Il ne faut pas que les pays côtiers oublient que le Burkina constitue un bouclier pour eux » (Dr Pierre-Claver Hien sur la création de l'Alliance des Etats du Sahel)
Yvette Zongo
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Le directeur général de la Société nationale d'aménagement de terrains urbains (SONATUR) était ce mercredi 15 janvier 2025, sur le site des travaux d'aménagement et de bitumage de voiries sur le site de Silmiougou, dans la commune de Ouagadougou. Les travaux sur ce site ont débuté en octobre 2024 pour un délai de huit mois. Le taux d'exécution des travaux est estimé à 30%, à l'issue de la visite.
Les travaux d'aménagement et de bitumage de voieries sur le site de la SONATUR à Silmiougou, d'une superficie de près de 250ha, dans la commune de Ouagadougou, ont débuté en octobre 2024. Trois mois après, le directeur général et son équipe étaient sur le site pour non seulement encourager les entreprises mais aussi les exhorter à accélérer les travaux afin d'être dans les délais. Parfait Kondia de Global ingénierie et expertise (GiE), entreprise en charge du contrôle des travaux de bitumage de la voierie de 4,5km, a déclaré que son entreprise doit réaliser trois voies. « Une voie d'emprise de 50m, 40m et 30m. Sur la voie d'emprise de 50m, nous devons réaliser 2x2 voies séparées par un terre-plein central avec des caniveaux qui bordent les voies pour drainer les eaux de pluie », a-t-il fait savoir.
M. Kondia a indiqué que les travaux sont à la phase de réalisation du terrassement, du bétonnage, etc.Sur la voie de 40m, a-t-il poursuivi, il est question de deux voies, des accotements et des caniveaux. Sur celle de 30m, c'est aussi deux voies et des caniveaux qui bordent les chaussées. A cela s'ajoutent la signalisation horizontale (marquage au sol) et la signalisation verticale (panneaux de signalisation). « Ici nous avons une couche de fondation de 20cm qui repose sur une couche de remblai qui a servi à mettre en forme la voie. Au-dessus de la fondation, nous avons 15cm de couche de base en gravelure latéritique puis le revêtement en bicouche », a-t-il expliqué. A l'étape actuelle, M. Kondia a indiqué qu'ils sont à la phase de réalisation du terrassement, du bétonnage, des voies pour les caniveaux et les daleaux de traversées.
Les travaux d'aménagement de voiries sont en cours1 500 sur 2 000 parcelles déjà vendues
L'entreprise en charge du contrôle des travaux de bitumage est épargnée des difficultés que les entreprises rencontrent d'habitude dans ces types de travaux, c'est-à-dire, la saison des pluies et le problème des concessionnaires (SONABEL, ONEA, les fibres optiques). « Comme ici nous sommes sur un site vierge, nous n'avons pas ces problèmes. Il y a seulement que nous avons rencontré d'anciennes tombes qui ont ralenti un peu les travaux. Mais grâce aux efforts de la SONATUR, nous avons procédé aux travaux d'exhumation. A ce jour, nous avons terminé avec ça », a-t-il rassuré.
Pour le directeur technique de la SONATUR, Richard Zanré, la société n'a pas déterminé les types de logements qui sortiront de terre sur ce site. Cependant, a-t-il insisté, les clients de la SONATUR doivent respecter le cahier. « Le minimum pour les maisons d'habitation, c'est un rez-de-chaussée, R+1. Pour les parcelles commerciales, le minimum c'est R+3. Sur près de 2 000 parcelles d'habitations et commerciales, 1 500 ont déjà été mises en vente, le reste sera pour une autre phase », a argumenté le directeur technique de la SONATUR.
Le directeur technique de la SONATUR a souligné que le site regorge de près de 2 000 parcelles35% de délai consommé
Le directeur général de la SONATUR, Boureima Ouattara, a affirmé que la visite de ce jour vise à saluer les efforts des entreprises dans l'exécution des travaux et à leur demander de renforcer leur présence sur le terrain pour respecter les délais. Parce que, a-t-il informé, une grande partie des parcelles ont déjà été commercialisées. Les clients de la SONATUR n'attendent que la fin de la viabilisation pour entamer les travaux de construction. Il a terminé sa visite non sans exprimer sa satisfaction partielle quant au niveau d'avancement des travaux et la qualité des ouvrages constatés sur place.
Le directeur général de la SONATUR a salué les efforts des entreprisesPour rappel, les travaux sur le site de Silmiougou sont repartis en trois lots. Il y a, dans un premier temps, les travaux de bitumage de 4,5 km de voieries en enduit superficiel, bicouche. Le deuxième lot concerne la réalisation des voies en terre sur 14,5 km et des linéaires de caniveaux. Le troisième lot brasse les travaux d'aménagement de voieries en terre et des ouvrages d'assainissement. Les entreprises ECR-BTP, le groupement GERBATP/GTB et le groupement EKS/STE sont chargées de l'exécution des travaux.
Obissa Juste Mien
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A son audience publique de ce mercredi 15 janvier, la Cour constitutionnelle a statué sur le contentieux des résultats provisoires des élections législatives nationales organisées en décembre dernier à Yakoma (Nord-Ubangi) et Masimanimba (Kwilu). Elle a également reçu l'avis du ministère public.
Le Bureau d’études et d’appui au développement (BEAD) dénonce la mauvaise utilisation des produits phytosanitaires dans le maraichage dans la région de Boga par les agriculteurs dans le Sud d’Irumu. Cette organisation qui regroupe des techniciens agronomes, l’a fait savoir mardi 14 janvier à la clôture de l’évaluation de la campagne agricole 2024 dans les foyers paysans dans cette région.