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Afrique

Niger : les États-Unis acceptent de retirer leurs troupes

France24 / Afrique - Sat, 20/04/2024 - 08:04
Les États-Unis ont donné leur accord vendredi pour retirer leur contingent militaire du Niger, sur demande du régime de Niamey qui a pris le pouvoir à la suite du coup d'État de juillet. Cette décision intervient dans un contexte marqué par l'influence croissante de la Russie dans la région. 
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Du sucre en plus dans les produits Nestlé pour bébé dans les pays pauvres ? Une ONG suisse accuse

France24 / Afrique - Fri, 19/04/2024 - 22:49
Ce sont des révélations d'un nouveau scandale qui pourraient ternir encore un peu plus l’image de Nestlé. La plus grande entreprise agroalimentaire du monde a dissimulé du sucre ajouté dans ces produits destinés aux bébés, mais uniquement dans les pays pauvres et à faible revenus, notamment en Afrique… C’est ce que révèle l’ONG suisse public Eye dans une enquête.
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Comment la puissance de feu de l’Iran se compare-t-elle à celle d’Israël ?

BBC Afrique - Fri, 19/04/2024 - 19:03
Alors qu'Israël décide de la réponse à apporter à l'attaque iranienne de samedi, nous évaluons l'armement des deux pays. L'Iran possède plus de chars, de navires de guerre et de soldats. Mais les milliards de dollars supplémentaires dépensés par Israël pour sa défense, par rapport à l'Iran, lui ont permis de se doter d'un matériel bien plus sophistiqué, fourni en grande partie par les États-Unis.
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Quels sont les 5 pays africains classés premiers et derniers dans le récent Word Happiness Report et pourquoi ?

BBC Afrique - Fri, 19/04/2024 - 14:34
Le World Happiness Report est publié annuellement depuis 2012. Il donne des indications sur le bien-être à travers le monde.
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Le méga-pasteur qui propage des théories du complot anti-vaccinales

BBC Afrique - Fri, 19/04/2024 - 12:20
Le pasteur Chris Oyakhilome cible les nouveaux vaccins contre le paludisme alors que les pays africains commencent à les distribuer.
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Constitution togolaise : l’opposition qualifie les changements de « coup de force» présidentiel

BBC Afrique - Thu, 18/04/2024 - 15:01
L’opposition togolaise estime que le projet de nouvelle constitution est destiné à prolonger le règne du président Faure Gnassingbé.
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L’Afrique accueillera-t-elle un jour les Jeux Olympiques alors que l’Égypte prépare sa candidature pour 2036 ?

BBC Afrique - Wed, 17/04/2024 - 20:45
Les Jeux olympiques de 2024 à Paris démarrent dans 100 jours, mais l’organisation du plus grand événement sportif du monde est un privilège que l’Afrique n’a jamais eu l’occasion de s’offrir.
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Les soldats russes en Ukraine - 50 000 morts confirmés

BBC Afrique - Wed, 17/04/2024 - 16:11
Au cours des 12 mois suivants, le nombre de morts a augmenté de près de 25 % par rapport à la première année.
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Le conflit oublié et la pire crise alimentaire au monde

BBC Afrique - Wed, 17/04/2024 - 11:16
Alors que tous les regards sont tournés vers Gaza, une crise distincte se prépare au Soudan à l'approche du premier anniversaire du déclenchement de la guerre civile.
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Comment la crise entre Israël et l’Iran pourrait-elle affecter l’Afrique ?

BBC Afrique - Wed, 17/04/2024 - 09:28
Suite à la riposte de la République islamique de l’Iran, plusieurs pays africains appellent à la retenue après l'attaque de l'Iran contre Israël. Quel impact cette crise pourrait-elle avoir sur la vie de leurs concitoyens ?
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La chaleur record du mois de mars suscite la crainte d'un "territoire inconnu".

BBC Afrique - Tue, 16/04/2024 - 19:26
La vague de chaleur mensuelle s’est poursuivi en mars et les scientifiques peinent à expliquer l'ampleur du réchauffement récent.
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Ce qu'il faut savoir de l'affaire Stormy Daniels - Donald Trump

BBC Afrique - Tue, 16/04/2024 - 14:15
Donald Trump a comparu lundi devant un tribunal de New York pour un procès sans précédent dans l'histoire des États-Unis : il est le premier ancien président du pays à faire l'objet d'une procédure pénale.
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La revanche de la Russie, la renommée et l'or de "Wagner" : que font les Ukrainiens au Soudan

BBC Afrique - Mon, 15/04/2024 - 09:30
Publiquement, les représentants des services de renseignement ukrainiens ne disent pas si le GUR mène réellement des opérations au Soudan.
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Le combat d’une femme pour faire avancer la course spatiale en Afrique

BBC Afrique - Sun, 14/04/2024 - 17:42
La scientifique camerounaise Marie Makuate a été à l'avant-garde de l'utilisation des informations recueillies par les satellites pour aider à sauver la vie des personnes sur Terre en cas d'urgence, mais elle estime que le coût des données devrait inciter davantage de pays africains à lancer leur propre matériel spatial.
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Le pays qui aspire à la démocratie se rend aux urnes

BBC Afrique - Sun, 14/04/2024 - 10:03
L'élection présidentielle tant attendue au Tchad est prévue pour le 6 mai. Nombreux sont ceux qui doutent qu'elle apporte un changement.
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Voici pourquoi l'interdiction du gouverneur d'Abidjan suscite des réactions

BBC Afrique - Fri, 12/04/2024 - 19:51
La décision du ministre gouverneur du district autonome d’Abidjan, Ibrahim Cissé Bacongo, vise à mettre fin à ce qu’il appelle un « désordre urbain »
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Monsieur le président Macron, en avril 1994, c’était aux 2539 soldats de l’ONU commandés par général canadien Roméo Dallaire de s’opposer au génocide…Non aux forces françaises qui avaient quitté le Rwanda depuis le mois d’octobre 1993…

L'Afrique réelle (Blog de Bernard Lugan) - Sun, 07/04/2024 - 22:16

La seule question qui se pose est en effet celle de la responsabilité de l’ONU. Pourquoi le général Roméo Dallaire qui avait tous les moyens de le faire, ne fit-il rien de sérieux pour empêcher le génocide ?
Devant le TPIR (Tribunal pénal international pour le Rwanda), loin du héros médiatique, « capitaine courageux » face à l’indicible génocidaire, c’est tout au contraire le portrait d’un homme désemparé qui est ressorti des longues audiences. Ses fautes de commandement, ses atermoiements, ses hésitations, son absence de décision sur le terrain ainsi que ses initiatives politiques aberrantes, et parfois même incohérentes, prises en violation de la chaîne de commandement de l’ONU, font que nous sommes désormais devant l’alternative suivante :
- Soit le général Dallaire commandant des Forces de la Mission d’assistance des Nations Unies au Rwanda fut dépassé par les évènements.
- Soit, comme l’a écrit son supérieur, M. Booh-Booh[1], il avait reçu pour ordre de faire gagner le général Kagamé et le FPR[2].
 
En application des accords de paix d’Arusha, l’ONU devait en effet garantir la Transition démocratique. La Résolution 872 (1993) du Conseil de Sécurité du 5 octobre 1993 porta ainsi création de la Mission des Nations Unies pour l’assistance au Rwanda (MINUAR).
Le chef de cette mission était M. Jacques Roger Booh-Booh, nommé Représentant spécial du Secrétaire général de l’ONU au Rwanda. Il avait sous ses ordres le général canadien Roméo Dallaire qui était le chef militaire de la mission. Or, ce dernier était un officier qui n’avait aucune expérience du commandement opérationnel. De plus, il ne connaissait rien de l’Afrique.
 
Après l’attentat du 6 avril 1994, le général Dallaire ne fit rien pour s’opposer à la reprise des hostilités par les forces du général Kagame.
Alors qu’il se devait de sécuriser au moyen de ses 2539 hommes et de ses blindés, l’axe menant du centre-ville de Kigali à l’aéroport, au lieu de montrer sa force, il la replia tout au contraire dès la nuit du 6 au 7 avril, en commençant par abandonner cet axe vital pourtant sous sa garde et que le FPR coupa…
Plus largement, dès la reprise des hostilités, le général Dallaire aurait dû imposer un couvre-feu et déclarer qu’il ferait tirer sur quiconque le violerait. Le général Kagamé aurait alors hésité à lancer son offensive. Avec la compagnie para-commando belge, il disposait d’une excellente unité qui pouvait sans problèmes majeurs remplir une telle mission. Il lui aurait également fallu, avec ses blindés, occuper en ville les points stratégiques dont la tenue aurait freiné l’extension des massacres et des débordements, ce qu’il n’a pas davantage fait.
 
Le 7 avril, quand le FPR eut unilatéralement rouvert les hostilités, le général Dallaire ne condamna pas cette violation gravissime des accords d’Arusha. Encore plus insolite, au lieu d’agir sur la partie qui avait déclenché la reprise de la guerre, il somma au contraire les forces gouvernementales de rester dans le cadre des Accords d’Arusha, leur interdisant de fait de simplement se défendre.
 
Les manquements du général Dallaire qui présida au plus grand échec militaire de l’ONU depuis sa création sont à ce point nombreux qu’il est licite de demander si une telle incompétence est concevable chez un officier général, ou si l’explication de tels errements ne se trouve pas dans l’hypothèse de M. Booh-Booh, à savoir la « connivence » avec le général Kagamé.
 
Ce général canadien aurait-il donc été nommé à la tête de la MINUAR afin de permettre la réalisation du plan américain visant à évincer la France du Rwanda puis du Zaïre, et pouvoir faire main basse sur les richesses du Kivu ? 
 
Page 123 de son livre qui a pour sous-titre éloquent « Révélations sur les dérives d’un général de l’ONU au Rwanda », J.R. Booh-Booh qui était donc le supérieur hiérarchique de Roméo Dallaire écrit ainsi sans détours que :
 
« Dallaire n’était pas neutre : il était plutôt de connivence avec le FPR. Voilà la clé qui permet de comprendre cette situation ».
 
Tant que François Mitterrand eut la capacité de gouverner, ce plan anglo-saxon fut mis en échec. Mais, après les élections législatives de 1993, et la « cohabitation » qui s’en suivit, le suivisme atlantiste des dirigeants français fit que tout fut bouleversé.
Ces évènements provoquèrent même une totale redistribution des cartes en Afrique centrale au profit du Rwanda, principal allié de Washington qui reçut un blanc-seing pour mettre l’est de la RDC (l’ex-Zaïre), à savoir le Kivu, en coupe réglée.
 
Monsieur le président Macron étiez-vous informé de cela, avant de faire porter la responsabilité des évènements sur votre propre pays et sur son armée… ?
[1] Booh-Booh, P-R., (2005) Le patron de Dallaire parle. Révélations sur les dérives d’un général de l’ONU au Rwanda. Paris.
[2] Pour tous les détails concernant l’attitude et les responsabilités du général Dallaire, on se reportera au chapitre VIII de mon livre « Rwanda, un génocide en questions »
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L'Afrique Réelle N°172 - Avril 2024

L'Afrique réelle (Blog de Bernard Lugan) - Tue, 02/04/2024 - 00:18
Sommaire

Actualité :
- Algérie : quel avenir pour les exportations de gaz naturel ?
- Le Rwanda et la RDC

Dossier :
Génocide du Rwanda 30 ans plus tard

- Les faits, rien que les faits…
- Assassinat du président Habyarimana : l’enquête interdite
- Un non-lieu qui pose bien des questions…
- Ces Tutsi qui accusent le FPR d’avoir assassiné le président Habyarimana


Editorial de Bernard Lugan :
Génocide du Rwanda : 30 ans plus tard
Il y a trente ans le 6 avril 1994, était assassiné le président hutu Juvénal Habyarimana, attentat qui, selon le TPIR (Tribunal pénal international du Rwanda) fut le déclencheur du « génocide du Rwanda » ou « génocide des Tutsi du Rwanda ».
Depuis, les médias répètent l’histoire officielle écrite par le régime de Kigali, à savoir que ce génocide fut « programmé »  et « planifié » par les « extrémistes » hutu. 
Or, ce postulat a volé en éclats devant le TPIR. Ce tribunal créé par le Conseil de sécurité de l’ONU et qui siégea à Arusha, en Tanzanie, de 1995 à 2016, a en effet, et dans tous ses jugements concernant les « principaux responsables du génocide », que ce soit en première instance ou en appel, clairement établi qu’il n’y avait pas eu « entente » pour le commettre. 
Si ce génocide n’était pas programmé, c’est donc qu’il fut provoqué... Aujourd'hui nous savons que ce qui le déclencha ce fut l’assassinat du président Habyarimana. 
Or, spécialement créé pour juger les responsables du génocide, le TPIR fut interdit par les Etats-Unis et par la Grande-Bretagne de rechercher les auteurs de l’acte terroriste qui en fut la cause !!! Ce faisant, Washington et Londres protégèrent donc de facto ceux qui assassinèrent le président Habyarimana. 
Quant à la justice française, la seule ayant véritablement enquêté sur cet attentat, après 21 ans d’enquête, paralysée par d’incessantes interventions et manœuvres politico-médiatiques, elle a finalement renoncé à en identifier les auteurs. Certains prétendent que cela aurait pu être sur ordre du pouvoir politique français...
De fait, la France courtise  le régime de Kigali qui n’a pourtant jamais cessé de la vilipender et qui a effacé le français au profit de l’anglais. 
Cela n’a pas empêché le président Macron de faire nommer à la tête de l’Organisation de la Francophonie, une des plus proches du président Kagamé… 
A telle enseigne que, de reniement en reniement et de lâcheté en lâcheté, en Afrique, la France est quasiment considérée comme l’alliée du Rwanda… Ce qui n’est pas pour rien dans le mépris dont elle est aujourd’hui l’objet sur le continent…
Pour un bilan de la question on se reportera à mon livre : Rwanda : un génocide en questions et à mes expertises devant le TPIR (Tribunal pénal international pour le Rwanda).
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Culpabilisation et ethno-masochisme suite : jeudi 28 mars 2024, dans la totale ignorance du dossier, les députés ont voté la condamnation du « massacre » du 17 octobre 1961.

L'Afrique réelle (Blog de Bernard Lugan) - Thu, 28/03/2024 - 14:06
Un véritable scandale s’est produit jeudi 28 mars à l’Assemblée où, par 67  voix contre  11,  seuls 78 députés sur 577 étaient présents, les  510 autres étant probablement dans d’« agréables ailleurs » - mais où étaient donc les 88 députés RN et les 57 députés LR ?-, fut approuvée une proposition de résolution qui «condamne la répression sanglante et meurtrière des Algériens commise sous l'autorité du préfet de police Maurice Papon le 17 octobre 1961»  au cours de laquelle le Figaro ose écrire qu’entre une trentaine et plus de 200 manifestants « pacifiques » seraient morts, selon les «  historiens ».

Le texte porté par l'écologiste Sabrina Sebaihi et la députée Renaissance Julie Delpech «souhaite» en outre «l'inscription d'une journée de commémoration de ce massacre» à «l'agenda des journées nationales et cérémonies officielles».

Or il s’agit là d’un scandale mémoriel car les députés ont allégrement violé la vérité historique. En effet:

1) Le seul mort « algérien » durant cette manifestation, fut un Français nommé Guy Chevallier, tué vers 21h devant le cinéma REX, crâne fracassé. Par qui ?

2) Les députés ne savent même pas que sous le gouvernement Jospin, une commission d’enquête officielle a fait litière de ces accusations.

3) L’histoire de cette manifestation et de sa « répression » est parfaitement connue, sauf semble t-il des députés, et je renvoie au chapitre  IX  « Le 17 octobre 1961 à Paris : un massacre imaginaire ? » de mon livre Algérie l’histoire à l’endroit.

Retour aux faits, rien qu’aux faits.

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Riz et légumes secs – Algérie : les marges plafonnées (Journal officiel)

Algérie 360 - Fri, 15/03/2024 - 01:56

Le décret exécutif qui concerne le plafonnement des marges bénéficiaires appliquées au riz et aux légumes secs vient d’être publié. Celui-ci figure dans le 17e […]

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