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ColBleus - Marine nationale (FR)

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Updated: 23 hours 14 min ago

Mission Marianne - Loin et longtemps

Mon, 07/05/2021 - 17:33
Categories: Défense

DE TOULON À CHERBOURG - Le voyage de la Perle

Tue, 03/16/2021 - 15:17
Categories: Défense

Épave du TANIO - Fin de l’histoire ?

Tue, 11/17/2020 - 16:02
Categories: Défense

Fusiliers marins et commandos marine, en action 365 jours par an.

Thu, 01/02/2020 - 10:18

© Marine nationale

Pas de trêve de Noël pour la Force maritime des fusiliers marins et commandos. Les deux composantes que sont les forces spécialisées « défense et interdiction maritime » et les forces spéciales de la Marine assurent en cette période de fête comme tout au long de l’année, les missions qui leur sont assignées sur le territoire national, en outre-mer et à l’étranger.

Les commandos marine sont environ 700. Pendant les fêtes de Noël et de fin d’année, leurs actions spéciales se poursuivent partout dans le monde. Divisées en trois catégories, elles regroupent les opérations au large, les opérations de la mer vers la terre et les opérations spéciales à terre. Sur terre comme en mer ils continuent à défendre les intérêts de la France en permanence.

Les fusiliers marins, quant à eux, sont environ 1760, dont 250 binômes cynotechniques. Ils se relaient 365 jours par an, 24h sur 24, aux quatre coins du monde, à terre comme en mer, et continuent d’assurer pendant les fêtes leurs missions de défense militaire et d’interdiction maritime des points d’importance vitale de la Marine nationale et des Armées. Ils contribuent également aux opérations aéronavales. Ainsi, ils maintiennent la permanence de la protection des sites sensibles de la Marine et des bases navales en outre-mer et à l’étranger.

Par exemple, les équipes de défense et d’interdiction maritime (EDIM) du détachement de fusiliers marins à Djibouti assureront le soir de Noël comme au nouvel an la protection de la base navale, l’escorte et la sécurisation des bâtiments français en escale au port international et la protection du camp d’Arta.

En cette période de fin d’année, comme à chaque instant, les fusiliers marins et commandos marine sont en action.

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Categories: Défense

La Marine veille en permanence, sur toutes les façades maritimes

Mon, 12/30/2019 - 10:46

© Marine nationale

Dans le dispositif de l’Action de l’Etat en mer (AEM), la Marine nationale joue un rôle central grâce à son expertise d’intervention dans cet environnement et à sa présence sur toutes les mers du globe. Les missions liées à l’AEM sont exigeantes et se déroulent souvent dans des conditions difficiles. Elles nécessitent une bonne connaissance du milieu, un entretien permanent des savoir-faire et une organisation souple. Pendant la période de fin d’année comme quotidiennement, les marins veillent et sont engagés dans différents types de missions (sauvetage en mer, lutte contre le trafic de stupéfiants en mer, contrôle et police des pêches, déminage, sécurité maritime etc.).

Focus sur les façades maritimes métropolitaines

Manche – mer du Nord

En cette période de fin d’année, les marins de la façade maritime Manche – mer du Nord sont les yeux et les oreilles de la mer. Les 14 sémaphores de 1ère catégorie* de la Marine nationale de la Manche et de la mer du Nord sont répartis sur les 870 km du littoral du Mont Saint-Michel à la frontière belge. Ils appartiennent à la formation opérationnelle de surveillance et d’information territoriale (FOSIT) Manche-mer du Nord.

Les marins qui y travaillent sont de spécialité « guetteur de la flotte ». Ils ont notamment pour mission la surveillance des approches maritimes et eaux territoriales françaises, assurant ainsi la présence de la Marine nationale à certains points stratégiques de la façade maritime.

Ce sont de réels moyens d’information et d’action qui participent à la posture permanente de sauvegarde maritime (des personnes et des biens), de défense maritime du territoire et de la lutte contre les activités illicites. Chaque sémaphore collecte et traite l’information maritime dans son volume de détection. Il la diffuse vers le centre des opérations maritimes, vers le centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (CROSS) et aux usagers de la mer.

De jour comme de nuit, des hommes et femmes veillent sur la sécurité en mer, 24h/24, 7j/7. Au sémaphore de Barfleur par exemple, le travail n’est pas de tout repos pour les dix sémaphoristes en poste. « Les veilles de surveillance s’effectuent par tranche de quatre heures avec, au minimum, trois personnes. On surveille le trafic maritime dans un rayon de 20 nautiques (38 km) », explique le chef de poste.

*les sémaphores de 1ère catégorie effectuent une veille permanente depuis des endroits remarquables de la côte ou dangereux pour la navigation ainsi qu’à l’entrée des ports de commerce d’intérêt majeur (PCIM).

Atlantique

Porter secours en mer est une opération complexe qui requiert analyse, rapidité de réaction et engagement de moyens parfois dimensionnants. C’est pourquoi le Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (CROSS) de Corsen est comme une sentinelle vigilante et permanente de l’océan qui agit de la pointe de Penmarc’h au Sud du Finistère jusqu’à la baie du mont Saint-Michel, 365 jours par an, 24 heures/24, Noël et le premier de l’An ne faisant pas exception.

Le CROSS assure la veille des alertes dans sa zone de compétence et coordonne les opérations de recherche et de sauvetage. Cela implique donc une permanence des moyens nautiques et aériens susceptibles d’être engagés, de jour comme de nuit, sur lesquels le CROSS Corsen sait pouvoir compter : Marine nationale bien entendu, mais aussi ceux de la Société Nationale de Sauvetage en Mer (SNSM), Sécurité civile, Gendarmerie, pompiers, Douane, affaires maritimes. Le CROSS Corsen s’appuie également sur la veille vigilante des sémaphores implantés sur le littoral breton.

En matière de surveillance du trafic maritime, le CROSS Corsen, situé à la pointe du Finistère, a un rôle crucial face à l’un des points névralgiques du commerce maritime mondial : le rail d’Ouessant emprunté chaque année par 45 000 navires de commerce environ. Le trafic ininterrompu nécessite de la part des personnels de quart une attention de tous les instants pour s’assurer du respect des règles de navigation, détecter au plus tôt les navires susceptibles d’être en avarie ou ceux en route de collision.

Les tempêtes de la période hivernale qui ne connaissent pas de répit pendant les fêtes de fin d’année constituent autant de points d’attention pour les équipes de quart à Ouessant Trafic !

Méditerranée

Assurée par la Flottille 36F, l’alerte de sauvetage en mer Méditerranée est assurée en permanence à partir de la base d’aéronautique navale de Hyères. 365 jours par an, 24 heures sur 24, l’équipage - placé sous l’autorité du préfet maritime de la Méditerranée et déclenché par le centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage de Méditerranée (CROSS MED) - doit être en mesure de mettre en œuvre l’hélicoptère Panther en une heure (de jour) et en deux heures (de nuit).

L’équipage est composé de 4 marins : deux pilotes, un membre d’équipage (de spécialité HELAÉ) et un plongeur hélicoptère. Sept techniciens permettent, au sol, le bon déroulement de la mise en œuvre du Panther : un adjoint technique, deux techniciens « porteur », deux techniciens « avionique » et deux matelots de spécialité maintenance aéronautique (MOMAINTAÉ). Outre le personnel de service de la BAN de Hyères et les marins du CROSS MED, ce sont donc onze marins du ciel qui, pendant les fêtes comme tout le reste de l’année, de jour comme de nuit, mettront tout en œuvre pour porter secours aux usagers de la mer qui se trouveraient en difficulté en Méditerranée.

En savoir plus sur l’Action de l’État en mer

L’action de l’État en mer (AEM) recouvre les missions d’intérêt public que l’État exécute en mer, à l’exclusion des missions de défense. Elle est placée sous la responsabilité du Premier ministre. Le secrétaire général de la mer (SGMer), sous l’autorité du premier ministre et en liaison avec les ministères compétents, anime et coordonne l’action des représentants de l’Etat en mer dans l’exercice de leurs attributions et leur donne, en tant que de besoin, des directives. En France métropolitaine, le préfet maritime est le représentant de l’État en mer. La France dispose de préfectures maritimes sur ses 3 façades maritimes : Méditerranée, Manche-mer du Nord et Atlantique. Outre-mer, les fonctions de représentant de l’État en mer sont confiées au délégué du Gouvernement pour l’AEM (préfet ou haut-commissaire) assisté du commandant de zone maritime.

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Categories: Défense

L’aéronautique navale engagée pendant les fêtes de fin d’année

Fri, 12/27/2019 - 09:41

© Marine nationale

La sécurité des Français requiert un engagement quotidien de la part des équipages de la Marine nationale. Ainsi, même pendant cette période de fêtes, les marins du ciel agissent pour la protection des intérêts de la France et des français.

C’est ainsi qu’un Atlantique 2 (ATL2) a atterri sur la piste de la base aérienne projetée (BAP) de Niamey pour une mission au profit de la force Barkhane. Cet aéronef de la Marine nationale est régulièrement déployé au-dessus de la bande sahélo-saharienne (BSS). Pesant plus de 40 tonnes, cet aéronef est initialement conçu pour des missions de patrouilles maritimes et de lutte anti sous-marine. Polyvalent, il est un excellent vecteur pour sonder la profondeur d’une zone désertique comme la BSS.

De la même manière un Falcon 50 de la Flottille 24F passera les fêtes à Dakar avec pour mission d’assurer une alerte permanente de Search and Rescue (SAR). Il constitue le vecteur par lequel les missions de recherche et de sauvetage sont réalisées dans la zone de responsabilité de Dakar, qui s’étend de l’Afrique de l’Ouest jusqu’au milieu de l’Atlantique. L’avion de surveillance maritime est également employé dans les missions de coopération au profit du Sénégal, mais aussi des partenaires régionaux : surveillance des pêches dans la zone économique exclusive (ZEE) du Sénégal, de la Guinée, de la Guinée-Bissau et partenariat avec les forces locales.

Du côté de la composante hélicoptère, un détachement de la Flottille 36F qui est embarqué avec son hélicoptère Panther à bord de la frégate Courbet, engagée depuis le début du mois de novembre en océan Indien, passera les fêtes en mer. Cet équipage a contribué à la plus grande saisie de drogue de la Marine nationale en 2019 (3.5 tonnes de cannabis saisis le 13 décembre).

De la même manière un détachement de la Flottille 33F est déployé avec son hélicoptère Caïman Marine à bord de la FREMM Normandie à l’occasion de son déploiement de longue durée.

En mer comme à terre, 365 jours par an, les marins du ciel maintiennent leur engagement pour la défense des intérêts français.

 

 

 

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Categories: Défense

L’aéronautique navale engagée pendant les fêtes de fin d’année

Fri, 12/27/2019 - 09:41

© Marine nationale

La sécurité des Français requiert un engagement quotidien de la part des équipages de la Marine nationale. Ainsi, même pendant cette période de fêtes, les marins du ciel agissent pour la protection des intérêts de la France et des français.

C’est ainsi qu’un Atlantique 2 (ATL2) a atterri sur la piste de la base aérienne projetée (BAP) de Niamey pour une mission au profit de la force Barkhane. Cet aéronef de la Marine nationale est régulièrement déployé au-dessus de la bande sahélo-saharienne (BSS). Pesant plus de 40 tonnes, cet aéronef est initialement conçu pour des missions de patrouilles maritimes et de lutte anti sous-marine. Polyvalent, il est un excellent vecteur pour sonder la profondeur d’une zone désertique comme la BSS.

De la même manière un Falcon 50 de la Flottille 24F passera les fêtes à Dakar avec pour mission d’assurer une alerte permanente de Search and Rescue (SAR). Il constitue le vecteur par lequel les missions de recherche et de sauvetage sont réalisées dans la zone de responsabilité de Dakar, qui s’étend de l’Afrique de l’Ouest jusqu’au milieu de l’Atlantique. L’avion de surveillance maritime est également employé dans les missions de coopération au profit du Sénégal, mais aussi des partenaires régionaux : surveillance des pêches dans la zone économique exclusive (ZEE) du Sénégal, de la Guinée, de la Guinée-Bissau et partenariat avec les forces locales.

Du côté de la composante hélicoptère, un détachement de la Flottille 36F qui est embarqué avec son hélicoptère Panther à bord de la frégate Courbet, engagée depuis le début du mois de novembre en océan Indien, passera les fêtes en mer. Cet équipage a contribué à la plus grande saisie de drogue de la Marine nationale en 2019 (3.5 tonnes de cannabis saisis le 13 décembre).

De la même manière un détachement de la Flottille 33F est déployé avec son hélicoptère Caïman Marine à bord de la FREMM Normandie à l’occasion de son déploiement de longue durée.

En mer comme à terre, 365 jours par an, les marins du ciel maintiennent leur engagement pour la défense des intérêts français.

 

 

 

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Categories: Défense

Un Noël sous les mers…

Tue, 12/24/2019 - 10:27

© Marine nationale

Il fixe les lumières depuis plusieurs minutes. Elles sont de couleur bleue, blanche, rouge, jaune ou verte. Leurs formes sont rondes, rectangulaires, carrées ou en forme de croix.

On pourrait croire ce marin perdu dans ses pensées mais si l’une d’entre-elles venait à clignoter ou à s’éteindre, il réagirait immédiatement. Ce marin assure son quart devant un tableau de sécurité-plongée à bord d’un sous-marin nucléaire en mission.

Tout à l’heure, il quittera ce sapin multicolore pour en rejoindre un autre, tout aussi synthétique et retrouver ses camarades de quart pour partager le repas de fêtes que le service commissariat aura pris soin de préparer.

Pendant les fêtes, pensant bien sûr intensément à leurs proches, encore plus que les autres jours ces sous-mariniers loin du monde sont liés par un même esprit d’équipage.

Liés à eux par un fil invisible, les marins de quart dans les centres de transmissions marine et de contrôle opérationnel les soutiennent en veillant et leur apportant toutes les informations nécessaires à la conduite de leurs missions, pour ces SNA (sous-marins nucléaires d’attaque) et SNLE (sous-marins nucléaires lanceurs d’engins) qui patrouillent loin des yeux durant les fêtes de fin d’année.

 

 

 

 

 

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Rencontre avec deux élèves issus du cours de manœuvrier

Mon, 12/23/2019 - 07:53

© Marine nationale

A l’approche des fêtes de fin d’année, les 30 élèves issus de différentes filières : Ecole de Maistrance, quartier-maître et matelot de la flotte (QMF) Pont (matelot de pont) et de réorientation QMF Mopontvol (matelot de pont d’envol), embarquent aux Cours des Métiers du Marin dans l’objectif d’obtenir le Brevet d’Aptitude Technique (BAT) de manœuvrier, dont la formation est dispensée à l'École navale (Lanvéoc-Poulmic) vont retrouver leurs familles avant de rejoindre leur affection début 2020.

Durant les quatre mois de formation, entamée le 26 août dernier, au sein de la promotion 2019, 2 manœuvriers ont acquis des compétences de navigation côtière et hauturière, de manœuvre théorique et pratique, d’embarcation rapide ou encore de matelotage. Les élèves ont été également formés au quart en passerelle, mais aussi à devenir barreur, veilleur et équipier de manœuvre. A l’issue du cours, ils seront chargés de la mise en œuvre et de l’entretien des apparaux de manœuvre, des embarcations et des manœuvres spécifiques (mouillage, remorquage, ravitaillement à la mer).

Rencontre avec le quartier-maître Sulivann et le second-maître Thomas afin d’échanger avec eux. Nous les avons questionnés à propos de leur parcours, de leur formation et de leur prochaine affectation après l’obtention de leur BAT.

Sulivann entre dans la Marine nationale en 2009, sur l’île de la Réunion, en tant que manœuvrier volontaire pendant dix mois. Il devient fusilier marin durant cinq ans mais l’envie de voyager et de naviguer le pousse à changer de spécialité en intégrant en 2014 le cours Formation Elémentaire Métier (FEM). A l’issue, il est affecté sur un bâtiment hydrographique de la Marine nationale avant d’intégrer le BAT Manœuvrier.

Thomas entre dans la Marine nationale en 2016 en tant que volontaire durant deux ans et demi, sur un bâtiment hydrographique et océanographique de la Marine nationale, avec pour spécialité manœuvrier. Au cours de son volontariat, Thomas a l’envie de s’engager en intégrant Maistrance. En sortie de cours, il commence le Brevet supérieur Navigateur mais cela ne correspond pas avec ses attentes, le choix du BAT manœuvrier s’impose alors à lui.

A l’issue de leur BAT, le QM Sulivann et le SM Thomas seront affectés respectivement sur un remorqueur haute mer et sur un bâtiment d’expérimentation et d’essais. « J’ai choisi le remorqueur haute mer en rapport à ses missions côtières, afin de passer mon cours de plongeur de bord ainsi que mon TOEIC, en parallèle » souligne le QM Sulivann. Pour le SM Thomas, le choix du bâtiment d’expérimentation et d’essais s’est fait suite à l’obtention du BAT : « nous avons un nouveau niveau de compétence sur les bateaux, comme pilote d’embarcation et je voulais embarquer le plus possible afin d’acquérir de l’expérience ».

Durant toute la formation, la promotion a maintenu un bon état d’esprit, une bonne ambiance ainsi que de la cohésion. Le BAT est constitué de profils hétérogènes. Les élèves de la promotion ont un cursus différent, ce qui favorise l’entraide. « Nous avons appris tellement de choses, nous sommes impatients de retrouver nos affectations afin de mettre en pratique ce que nous avons appris » soulignent les deux élèves.

« Etre dans la Marine nationale c’est tellement enrichissant puisque cela nous fait grandir assez rapidement, on s’ouvre au monde, on découvre de nouvelles cultures, cela nous responsabilise vite, nous avons l’impression de participer à l’actualité ».

 

 

 

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Categories: Défense

Corymbe - Activités de coopération pour la Somme

Tue, 10/29/2019 - 16:58

© Marine nationale

Du 14 au 19 octobre, le Bâtiment de commandement et de ravitaillement (BCR) Somme était en escale au port d’Abidjan, Côte-d’Ivoire. Il s’agissait de la troisième escale après Nouakchott en Mauritanie et Dakar au Sénégal. A cette occasion, l’équipage a réalisé plusieurs activités de coopération avec les forces ivoiriennes.

La séquence à quai a permis de conduire plusieurs périodes d’instructions opérationnelles au profit des marins ivoiriens sur divers thématiques comme la plongée ou encore la maîtrise des procédures liées à la sécurité à bord. Ces formations permettent ainsi le partage de compétences et des savoir-faire avec l’objectif que les marins formés gagnent en autonomie.

Le bâtiment a ensuite offert son soutien aux forces pré-positionnées dans le golfe de Guinée. Trois membres d’équipage de l’hélicoptère Fennec de l’armée de l’Air stationné en Côte d’Ivoire ont ainsi procédé à des manœuvres avec la Somme alors qu’elle faisait route vers Kribi, au Cameroun.

Le bâtiment a enfin effectué une patrouille avec à son bord un officier ivoirien, en coopération avec un patrouilleur de la marine ivoirienne. L’occasion de rendre encore plus concrets et tangibles les liens qui unissent les marines française et ivoirienne.

Depuis 1990, la France déploie un à deux bâtiments en mission Corymbe de façon quasi permanente dans le golfe de Guinée. La mission a deux objectifs majeurs : participer à la protection des intérêts français dans la zone ainsi et contribuer à la diminution de l’insécurité maritime, en aidant notamment au renforcement des capacités des marines riveraines du golfe dans le domaine de sécurité maritime, dans le cadre du processus de Yaoundé. Le déploiement de bâtiments français en mission Corymbe complète le dispositif français prépositionné en Afrique occidentale (Gabon, Côte d’Ivoire, Sénégal) et participe au volet maritime des coopérations opérationnelles mises en œuvre régionalement par ces forces de présence.

Sources : État-major des armées

Droits : Ministère de la Défense

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Corymbe - La Somme et le Germinal dans le Golfe de Guinée

Tue, 10/29/2019 - 16:49

©Marine nationale

Durant son transit vers le Cameroun, pays de départ de l’opération annuelle de sécurité maritime Grand African NEMO 2019, le bâtiment de commandement et de ravitaillement (BCR) Somme est entré en contact avec les pêcheurs locaux et a procédé à un ravitaillement en mer au profit de la frégate de surveillance Germinal.

Au large du Ghana, une pirogue est détectée à proximité de la Somme. Il est alors décidé de procéder à une friendly approach pour connaître les habitudes des pêcheurs. Une embarcation semi-rigide est mise à l’eau, avec à son bord trois marins français et deux des cinq fusiliers marins portugais embarqués à bord de la Somme. Ces friendly approaches permettent d’entraîner l’équipage à mettre rapidement en œuvre une embarcation du bord et à nouer un dialogue avec les pêcheurs locaux pour obtenir des informations.

Le lendemain, la Somme a réalisé un ravitaillement à la mer (RAM) au profit de la frégate de surveillance Germinal. Celle-ci patrouille également en zone dans le golfe de Guinée, en zone Corymbe, depuis le début du mois d’octobre, et participera également à Grand African NEMO 2019. Ce ravitaillement comprenait le transfert de 160 mètres cubes de carburant d’un bateau à l’autre. Pour ce faire, les deux navires doivent avoir la même route, naviguer à la même vitesse, avec une distance d’écart comprise entre 36 et 42 mètres. Les conditions maritimes sont également importantes dans la réalisation de ces ravitaillements.

Ce ravitaillement à la mer a conféré au Germinal une plus grande autonomie en mer. Le capitaine de frégate Dupire, le commandant de la Somme, explique que « l’interopérabilité, nous permet de ravitailler n’importe quel bâtiment de l’OTAN à n’importe quel moment. Nous avons 11 millions de litres de carburant en réserve. Si besoin, la Somme peut ravitailler jusqu’à 3 bateaux en même temps ».

Un peu plus tard dans la journée, un entraînement au transfert de charges lourdes a été mené entre la frégate de surveillance et le bâtiment ravitailleur, afin de ravitailler la FS Germinal en vivres.

Les deux bâtiments continuent désormais leur navigation dans le golfe de Guinée.

Depuis 1990, la France déploie un à deux bâtiments en mission Corymbe de façon quasi permanente dans le golfe de Guinée. La mission a deux objectifs majeurs : participer à la protection des intérêts français dans la zone ainsi et contribuer à la diminution de l’insécurité maritime, en aidant notamment au renforcement des capacités des marines riveraines du golfe dans le domaine de sécurité maritime, dans le cadre du processus de Yaoundé. Le déploiement de bâtiments français en mission Corymbe complète le dispositif français prépositionné en Afrique occidentale (Gabon, Côte d’Ivoire, Sénégal) et participe au volet maritime des coopérations opérationnelles mises en œuvre régionalement par ces forces de présence.

 

Sources : État-major des armées

Droits : Ministère de la Défense

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4ème saisie de drogue du mois de mai pour le Floréal : 520 kg d’héroïne.

Thu, 05/30/2019 - 12:26

© Etat-major des armées

Après la saisie de près de 7,5 tonnes de drogues début mai, la frégate de surveillance « Floréal » a continué ses patrouilles sous le contrôle opérationnel d’ALINDIEN, en soutien direct de la Task Force 150, en charge de la lutte contre les trafics liés au terrorisme dans la zone nord de l’Océan Indien. Le 28 mai, la frégate réalise à nouveau une belle performance en saisissant 520 kg d’héroïne.

Lors d’une surveillance maritime de nuit, le Panther, hélicoptère embarqué de la frégate, détecte un boutre qui présente différents critères de suspicion et navigue dans une zone connue pour être fréquentée par les trafiquants. Après avoir élaboré une route d’interception, le « Floréal » détecte à son tour le boutre suspect et s’en rapproche durant la nuit. Ainsi au petit matin, les interrogations peuvent débuter.

Le « Floréal » est alors autorisé à effectuer une enquête de pavillon, et, au cours de cette visite, une première cache d’héroïne est découverte au milieu d’une cargaison de ciment. Les investigations supplémentaires permettent de découvrir deux nouvelles caches portant à 434 le nombre de ballots trouvés. Au bilan, ce sont plus de 520 kg d’héroïne qui sont saisis et détruits par la frégate de surveillance « Floréal ».

Ce nouveau succès opérationnel porte à six le nombre de prises effectuées par le « Floréal » depuis septembre 2018. Autant de produits stupéfiants qui n’alimenteront pas le financement des activités terroristes.

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Des fêtes de fin d’année loin du port base pour le patrouilleur polaire L’Astrolabe

Tue, 01/01/2019 - 10:44

© Marine nationale

Il a suffi de quelques guirlandes et décorations, d’une cale pleine à craquer et du rouge étincelant de la coque du P800 qui contraste joliment sur la glace pour plonger l’équipage B de L’Astrolabe dans l’ambiance des fêtes de fin d’année.

Dehors, il fait – 4° C et le vent ne faiblit pas. Demain, L’Astrolabe ralliera la station Dumont d’Urville en se frayant un passage au milieu des glaces.

Cette ambiance festive et propice à la cohésion que l’équipage partage avec les passagers ne ralentit pour autant en rien l’activité à bord.  Les opérations de chargement et déchargement se déroulent successivement entre Hobart et la station polaire de Dumont d’Urville. En mer ou à quai, tout doit aller vite avant le retour de l’hiver austral, avant que la nature ne reprenne ses droits et ne rende à la terre Adélie son isolement.  Voilà bientôt trois mois que les marins ont quitté leurs familles pour  la mission de soutien à la logistique Antarctique qu’ils ont à cœur d’accomplir.

Noël a marqué pour eux, le temps d’une courte pause, la fin d’une deuxième rotation et  le début d’une nouvelle.

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L’Aéronautique navale veille

Mon, 12/31/2018 - 10:19

© Marine nationale

Depuis Niamey, où un Atlantique 2 est déployé dans le cadre de l’opération Barkhane, les seize marins de l’équipage de la Flottille 23F se préparent à passer un réveillon loin de chez eux.

Les équipages des Flottilles 21F et 23F de patrouille maritime se succèdent sur les théâtres, y compris en fin d’année. Le détachement de la 23F à Niamey profitera, en ce dernier soir de l’année 2018, d’un repas amélioré, l’occasion de partager un moment privilégié et festif entre membres de la grande famille des marins du ciel, mais aussi avec les autres armées et services présents.

Régulièrement engagé dans la Bande Sahélo Saharienne (BSS), l’Atlantique 2 permet de compléter les capacités « intelligence, surveillance and reconnaissance » (ISR) françaises engagées au sein de cette opération de lutte contre les groupes armés terroristes. Les marins du ciel participent ainsi à l’action conjuguée des moyens aériens destinée à fournir une capacité d’appréciation autonome de la situation sur un territoire désertique aussi vaste que l’Europe. Missions de reconnaissance, de surveillance, voire d’appui et de désignation d’objectifs sont autant d’actions menées de concert par les marins du ciel et les aviateurs de l’armée de l’Air en appui des troupes au sol.

Cet aéronef, initialement conçu pour les missions de patrouille maritime et de lutte anti sous-marine, possède également des capacités éprouvées dans le domaine aéroterrestre, en particulier au-dessus d’étendues désertiques. Doté d’un très grand rayon d’action et d’une longue endurance (jusqu’à 14 heures de vol), il représente un avantage indéniable pour « durer » sur zone. Il dispose en outre d’importants moyens de détection permettant de collecter du renseignement de jour comme de nuit grâce à ses multiples capteurs. La polyvalence de cet avion de patrouille maritime lui permet également de conduire des missions de reconnaissance armées en coordination avec des avions de chasse. Il dispose enfin d’une capacité offensive de bombardement par tir autonome d’armement guidé laser.

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Prométhée : 415 jours de déploiement

Mon, 07/09/2018 - 11:09
Categories: Défense

Prométhée : 415 jours de déploiement

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Mon, 03/12/2018 - 18:15

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