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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
Updated: 5 hours 26 min ago

Deux blessés dans la chute d’un véhicule à Cap Falcon

Wed, 08/08/2018 - 12:38

Par Rachid Boutlélis

  Les deux occupants d’un véhicule qui a chuté tôt dans la matinée d’hier, aux environs 4 heures, d’une falaise ceinturant la baie du village de Cap Falcon sont sortis presque indemnes, hormis quelques légères blessures superficielles. La voiture des victimes, un couple âgé de 28 et 22 ans, originaire de la wilaya de Tiaret, aurait pu terminer sa chute sur les récifs tapissant le rivage à une vingtaine de mètres plus bas, n’était-ce un talus dans lequel elle a fini sa course, indiquent des sources policières. Le conducteur a arrêté son véhicule, une Renault Laguna, au lieudit Belle Vue qui surplombe la baie de Cap Falcon. Pour des raisons que déterminera l’enquête de police, la Renault a subitement dévalé la pente. Les victimes ont été évacuées vers le service des urgences de l’hôpital Dr Tami Medjbeur d’Aïn El Turck. Selon des sources hospitalières, les victimes pourraient quitter l’hôpital aujourd’hui (NDLR mercredi) après les soins que leur prodigue l’équipe médicale.

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Université d’Oran: Le département d’espagnol marque ses 50 ans d’existence

Wed, 08/08/2018 - 12:36

Par Houari Barti

A l’occasion du 50ème anniversaire de sa création, le département d’espagnol de l’université d’Oran a annoncé hier l’organisation pour le mois de novembre prochain d’une journée d’étude intitulée «Le département d’espagnol, 50 ans plus tard (1968-2018) : évolution, situation actuelle et perspectives de la formation en graduation et post-graduation».

Selon le Pr Terki-Hassaine Ismet, président du comité d’organisation de l’évènement, cette journée d’étude sera également «une occasion de rendre hommage au doyen des professeurs et pionnier de la post-graduation du département, le professeur Emilio Sola, qui a enseigné au département d’espagnol de l’université d’Oran de 1976 à 1984». «C’est grâce au Pr Emilio Sola que le département d’espagnol de l’université d’Oran a pu former les premières promotions en DEUA, magister et doctorat», a-t-il tenu à souligner. Spécialiste de l’histoire algéro-espagnole, notamment durant la période ottomane, il est actuellement professeur émérite d’histoire contemporaine à l’université d’Alcalá de Henares en Espagne, a-t-il précisé.

Cette journée vise tout d’abord à «faire connaître les circonstances dans lesquelles a été créé le département d’espagnol de l’Université d’Oran et son évolution jusqu’à nos jours», a indiqué au Quotidien d’Oran le Pr Terki-Hassaine Ismet. «Mais elle vise surtout à analyser et évaluer la trajectoire de la formation de la langue espagnole en graduation et post-graduation dans ses différentes spécialités : didactique, littérature linguistique et civilisation. Une analyse qui doit déboucher sur la formulation de propositions pour améliorer les méthodes d’enseignement dans ces domaines à tous les niveaux, a-t-il indiqué. Cette journée d’étude, a ajouté le Pr Terki-Hassaine, sera également une occasion de choix pour réfléchir et débattre sur la possibilité de créer un master professionnel (à la carte) dans un avenir proche, en tenant compte des besoins du pays et des défis de la nouvelle politique des langues étrangères dans le monde. Il y sera également question, a-t-il ajouté, d’ouvrir de nouveaux domaines et lignes de recherche dans la littérature et la civilisation latino-américaine.

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Aïn Témouchent: Session de formation pour l’enseignement de la langue amazighe

Wed, 08/08/2018 - 12:32

Par Saïd Mouas

La généralisation de l’enseignement de la langue tamazight poursuit son bonhomme de chemin et tend graduellement à s’installer dans le paysage institutionnel éducatif.

A la prochaine rentrée scolaire, le premier palier du primaire bouclera la troisième année consacrant la langue officielle en tant que vecteur culturel incontournable dans le processus de réappropriation de l’identité nationale.

Une démarche à laquelle sont associés, conjointement, l’Académie de la langue tamazight et le Haut-Commissariat à l’amazighité dont les efforts sont fortement soutenus par l’Etat. C’est ainsi qu’au niveau de l’Institut national de l’éducation d’Aïn Témouchent, qui jouxte le lycée Cheikh El Ibrahimi, se tient, depuis le 05 août passé, une session de formation destinée aux nouvelles recrues de l’enseignement primaire devant encadrer les cours en langue berbère. Originaires de 18 wilayas, les futurs enseignants vont, quinze jours durant, se familiariser avec les contenus de programmes et les méthodes d’apprentissage sous la férule d’inspecteurs et de professeurs spécialisés. Une évaluation continue permettra, une fois le personnel concerné opérationnel, d’apporter les adaptations nécessaires à une plus grande maîtrise des outils pédagogiques. Rappelons que l’enseignement du tamazight en est à sa septième année dans le cycle secondaire et à sa onzième année à l’université. Il s’agira, à travers ces premiers jalons, de jeter les bases d’une vaste politique de réhabilitation de la composante amazighe.

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Tlemcen: Le barrage Mefrouch, un site incontournable

Wed, 08/08/2018 - 12:31

Par Khaled Boumediene

Si Tlemcen est surtout connue pour son melting-pot de cultures et sa Kissaria fourmillante du centre-ville, elle n’en est pas moins une destination de choix pour les férus de nature.

Car la cité des Zianides regorge, même sur ses hauteurs les plus paisibles, de plans d’eau et massifs forestiers éparses où Dame Nature se manifeste sous toutes ses formes. Situé à un jet de pierres du plateau de villégiature de Lalla Setti (1200 mètres d’altitude), le barrage de Mefrouch, qui tourne à plein régime en cette saison de l’été, reste un lieu naturel incontournable pour le pique-nique écolo, les promenades attrayantes et les barbecues sur les rochers. « Les alentours de ce barrage sont jalonnés de petits coins accueillants et qui conservent encore leur côté sauvage. C’est idéal pour installer sa nappe à carreaux et échapper à la canicule, avec une vue qui surplombe le plan d’eau. Même en hiver, je ramène ma famille pour profiter des paysages enneigés et prendre un bol d’oxygène », explique Sid-Ahmed, un riverain de Mansourah rencontré lundi dernier au barrage de Mefrouch. Pour un autre habitant de Tlemcen, venu prendre son dîner en famille dans cet endroit serein, « c’est un vrai moment de bonheur simple et de partage quand je suis ici, je préfère marcher au maximum autour de ce plan d’eau pour perdre du poids et activer la circulation cardiaque et la ventilation, car je suis diabétique de type 2. J’aime beaucoup cet endroit qui diminue le stress et améliore beaucoup ma santé.

Et puis, cet endroit offre un paysage naturel impressionnant. Tout y est pour se sentir au plus près de la nature et de la campagne. Seul bémol, Il n’y a ni poubelles, ni bancs, ni tables, ni aires de stationnement pour les véhicules. Je dois profiter de votre de journal pour lancer un appel aux autorités et aux responsables du tourisme et même à ceux de la forêt pour leur demander de procéder à des aménagements dans les alentours de ce barrage qui attire beaucoup de gens en hiver et en été. Ils doivent au moins s’installer sur des bancs et des tables de pique-nique qui auront vue sur le plan d’eau du barrage. Il faut aussi créer beaucoup d’activités pour attirer davantage de visiteurs vers ce site pittoresque ». De nombreux jeunes en quête de fraicheur sont attirés par le site majestueux des cascades d’El Ourit qui se situe en aval de ce barrage. Ils font ainsi un saut, en grand nombre, vers le lac bleu « Guelta Zerga », pour se baigner ou admirer les merveilleuses chutes d’eau déversant dans le lac bleu, et la verdure surplombant le bassin d’arrivée des eaux. En hiver, quand il pleut suffisamment, de nombreux citoyens viennent de tous les coins de la wilaya et des régions environnantes de Sidi Bel Abbès, Ain Témouchent, Oran, Bayadh et Saïda pour contempler les plus belles chutes d’El Ourit, suite au trop-plein du barrage Mefrouche. De nombreux visiteurs font une halte sur leur passage, dans le bourg rural de Mefrouch, pour acheter du pain traditionnel (El-matlou, khobz frina, khobz zraâ, khobz dra, etc.) préparé à la maison par des mains expertes, mais aussi, du lait de vache cru ou pasteurisé, du beurre, des olives grosses et charnues, des amandes, des plantes culinaires et médicinales (Basilic, sauge, thym, romarin, absinthe, verveine, lavande, menthe et tisane), ainsi que des cultures de plein champ et quelques volailles et lapins.

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El-Bayadh: Un faux vétérinaire arrêté

Wed, 08/08/2018 - 12:26

Par Hadj Mostefaoui

Un faux vétérinaire a été pris la main dans le sac, ce lundi en début de matinée, par les éléments de la BRI de la sûreté de daïra de Bougtob, dans la wilaya d’El Bayadh, au moment où il délivrait à gauche et à droite de faux certificats de vaccination aux éleveurs dans le marché à bestiaux de cette localité. A l’approche de la fête du sacrifice, ce document est initialement exigé pour tous les maquignons et éleveurs désireux d’écouler leur bétail qui doit être vacciné contre la fièvre aphteuse, la brucellose et la clavelée, des maladies qui affectent depuis peu le cheptel de la région. Cet individu et son complice, âgés respectivement de 47 et 42 ans, ont été arrêtés en possession d’une somme de 18.000 DA, fruit de leurs transactions illégales ainsi que d’un paquet de 250 faux certificats de vaccination, portant le cachet et la signature dérobés par son complice auprès d’un autre vétérinaire issu d’une wilaya limitrophe. Ces documents étaient proposés par ces individus aux éleveurs naïfs ou peu scrupuleux à raison de 5.000 DA l’unité, censés les mettre à l’abri de toute forme de contrôle sanitaire de leur bétail présent sur les marchés de la région. Présentés devant le procureur de la République près le tribunal territorialement compétent, ils ont été placés sous mandat de dépôt et écroués.

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Chantiers oubliés

Wed, 08/08/2018 - 12:24

Six ans après leur lancement, 3 chantiers de parkings à étages dans la capitale sont encore très loin de voir le bout du tunnel. Il s’agit des projets d’El Madania, de Hydra et de Kouba (ce dernier devant accueillir une station de bus) qui  ne semblent pas inquiéter outre mesure les autorités de la capitale.

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Blida: 7 blessés dans 3 accidents de la circulation

Wed, 08/08/2018 - 12:24

Par Tahar Mansour

Trois accidents de la circulation ont été enregistrés par les unités de la Protection civile de la wilaya de Blida au cours de la journée d’avant-hier, lundi. Le premier a eu lieu à 6 h 30 du matin sur la voie ferrée au PK 809+37 à un passage à niveau au centre de Berriane quand un train en direction d’Alger a violemment percuté une Renault Express qui transportait deux personnes.

Les agents de l’unité de Boufarik sont intervenus pour secourir les blessés et les évacuer vers l’hôpital de Boufarik où ils ont été pris en charge. La voiture a aussi subi des dégâts à l’avant.

Le deuxième accident a eu lieu à 7 h 53 sur le tronçon de l’autoroute Est-Ouest entre Béni Méred en allant vers Boufarik où deux véhicules de tourisme, une Renault Symbol et une Volkswagen Polo, ont dérapé puis se sont renversées causant des blessures de divers degrés de gravité à leurs conducteurs qui ont été secourus et évacués vers l’hôpital de Boufarik. L’accident a causé un bouchon de plusieurs kilomètres sur l’autoroute du côté de l’accident jusqu’à ce que la route soit dégagée et même du côté opposé par de nombreux automobilistes qui s’arrêtaient pour prendre des photos ou simplement regarder les deux véhicules accidentés. Quant au troisième accident, il a eu lieu à Bahli dans la commune de Soumaa, aux environs de 9 h 55 après qu’une Mercedes a embouti une moto, causant des blessures diverses à trois personnes dont le conducteur de la moto et son passager ainsi qu’au conducteur de la voiture. Les trois blessés ont été pris en charge par les sapeurs-pompiers du poste avancé de la Protection civile de Soumaa et évacués vers l’hôpital de Boufarik.

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Constantine – Commune de Constantine: La commission des œuvres sociales fait des vagues

Wed, 08/08/2018 - 12:23

Par Abdelkrim Zerzouri

Réagissant à l’article paru sur nos colonnes dans l’édition du 5 août 2018, sous le titre «Les travailleurs de la commune de Constantine en colère», le chargé des affaires sociales de la section syndicaliste affiliée à l’UGTA, laquelle section est en conflit avec une seconde section syndicale qui se revendique également de la représentativité des travailleurs de la commune, en l’occurrence M. Bouarroudj, que nous avons reçu hier à notre rédaction, a apporté des éclaircissements au sujet de ce malaise socioprofessionnel qui couve au sein des travailleurs. D’emblée, notre interlocuteur nous dira que l’article en question a ajouté le dépit à la colère, notamment concernant les déclarations de M. Maouadji Hocine, président de la commission des œuvres sociales de la commune.

Rappelons que ce dernier a «pointé du doigt le conseil communal auquel il a imputé cette situation de misère dans laquelle sont plongés les travailleurs de la commune», tout en soulignant que «ce conseil ne donne rien. Figurez-vous que les colonies de vacances que nous avons organisées cette saison n’ont été rendues possibles que grâce au budget des œuvres sociales de 2017, car nous sommes au mois d’août 2018 et le conseil communal n’a pas délivré la subvention à verser au fonds des œuvres sociales». Des propos qui ont provoqué l’indignation de M. Bouarroudj et de nombreux autres fonctionnaires, car la commission des œuvres sociales a terminé son mandat le 18 juin 2018, et M. Mouadjhi n’a plus la qualité de président des œuvres sociales, dont le sort reste suspendu aux actions de renouvellement de ses membres en étroite concertation entre l’administration et les syndicats représentatifs. «Comment voulez-vous que le conseil communal délivre une quelconque subvention dans ce cas de figure (ndlr, fin de mandat des membres de la commission) ?», dira-t-il. Dans ce contexte, M. Bouarroudj nous a révélé qu’une action en justice contre le président de la commission des œuvres sociales est en cours d’instruction.

Le concerné a été entendu sur PV par les services de sécurité le dimanche 5 août à la suite de la plainte qui été déposée devant le procureur de la République près le tribunal de Constantine, laquelle plainte porte sur de graves accusations contre le président des œuvres sociales, qui agit «hors normes réglementaires», «sans aucun plan d’action», «sans la présence des membres de la commission, qui n’ont pas été renouvelés après le départ de certains d’entre eux à la retraite», et qui «n’a présenté ni bilan moral ni bilan financier à la fin du mandat (18 juin 2018)». «Nous avons demandé l’examen des situations financières durant les trois dernières années par un expert financier, afin de situer les dépenses des subventions qui avoisinent les 9 milliards de centimes », ajoutera M. Bouarroudj, qui dira que les travailleurs sont en colère face à ces comportements qui marginalisent les salariés du droit de bénéficier du soutien des œuvres sociales, et qui se demandent à qui profitent les œuvres sociales de la commune ! Notre interlocuteur affirme encore que les primes sont régulièrement versées aux 2.500 travailleurs de la commune (et non 4.000 comme rapporté par l’article, puisqu’il y a eu un déploiement d’une partie du personnel vers les EPIC).

Et, vraisemblablement, tout n’a pas été dit à ce sujet, car le P/APC, qui se trouve en congé, devrait avoir à dire son mot sur ces déclarations, notamment les critiques qui relèvent «l’absence totale de politique de gestion à la mairie», et en attendant les prochains jours, la fin de l’instruction judiciaire, pour voir probablement d’autres rebondissements dans cette affaire.

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Constantine – Mouton de l’Aïd: Affluence timide sur les points de vente

Wed, 08/08/2018 - 12:22

Par A. E. A.

  Au troisième jour de l’ouverture des points de vente officiels du mouton de l’Aïd, les clients ne sont pas nombreux et ceux qui s’y rendent le font surtout pour se renseigner et tâter le terrain, pendant qu’au niveau des points non réglementaires les choses n’ont pas traîné et les « vendeurs de moutons » sont déjà à pied d’œuvre, à l’instar du point de Aïn El Bey avec une affluence mitigée, mais où des ventes ont lieu malgré les interdictions et les risques de santé encourus. Le directeur des services agricoles de la wilaya, M. Ghédiri, rappelle que ces marchés informels sont strictement interdits, en considération de l’existence de maladies possibles, les moutons qui y sont offerts à la vente n’ayant aucune traçabilité ni suivi par les vétérinaires assermentés. Cela demeure l’affaire des APC concernées pour sévir, par le biais d’abattage pur et simple des bêtes ou par leur saisie, dira-t-il. Pour les questions de prix vente, ils sont situés, selon nos informations, entre 40.000 et 60.000 dinars pour un mouton d’envergure simple et normal pour l’Aïd, sans beaucoup de prétentions. Et évidemment beaucoup plus pour d’autres, dont la fourchette de prix peut aller jusqu’à 80.000 et 120.000 dinars. Ainsi le mouton de « Ouled Jalel » qui, annoncé auparavant au prix de 30.000 et 50.000 dinars, se retrouve finalement au niveau des marchés de la ville propulsé entre 45.000 et 65.000 et même plus. Pourtant et selon le commentaire d’un des citoyens intéressés par l’achat, qui a visité le point de vente de l’ex-ferme Gérard et celui du 13ème km de Aïn S’mara, les bêtes exposées ne payent pas de mine et ce, malgré le prestigieux label de « Ouled Jalel » qu’ils portent.

Questionné sur le sujet des prix du mouton destiné au sacrifice de la fête religieuse, l’Aïd El Adha, le directeur des services agricoles de la wilaya fera savoir qu’il estime pour ce qui le concerne que les prix tournant autour de 40.000 et 55.000 sont relativement abordables et répondent à la règle de l’offre et la demande. « En tout état de cause, je conseille le consommateur d’acheter directement auprès des éleveurs et producteurs, au niveau des exploitations agricoles, ou auprès des points de vente officiels, pour contrecarrer toute activité des spéculateurs et des envolées de prix, qui ne sont pas à écarter. Et aussi et surtout de s’éviter le risque de faire l’amère découverte après achat de l’animal qu’il est malade et d’être obligé de l’abattre », dira-t-il.

Par ailleurs et concernant les cas suspects de fièvre aphteuse détectés à Benihmidène et Ouled Rahmoune, l’inspecteur vétérinaire Mourad Benamer, de la DSA, réitère qu’il s’agit de cas suspects et des échantillons prélevés sont toujours au laboratoire pour analyse. Mais que l’abattage des dix cas de bêtes en question a été décidé par mesure préventive et pour éviter toute mauvaise surprise future.

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Fermeture des commerces et des cabinets des professions libérales en août: L’anarchie règne

Wed, 08/08/2018 - 12:04

Par Madjid BERKANE

Sans, parfois, même aviser leurs clients et patients ne serait-ce que par une affiche sur les devantures de leurs locaux, les commerçants, médecins, avocats, notaires, architectes baissent rideau et rentrent chez eux ou optent pour d’autres cieux.

Décidément, les commerçants et les professions libérales n’en font qu’à leur tête. Leurs horaires de travail ne tiennent, en dehors de leurs affaires aucune place. C’est ce que dégage en tout cas leur comportement, portant fermeture des commerces pour les uns et les locaux pour d’autres, en même temps à chaque début du mois d’août, et ce pour une durée d’un mois ou plus. Sans parfois même pas aviser leurs clients et patients ne serait-ce que par une affiche sur les devantures de leurs locaux, les commerçants, médecins, avocats, notaires, architectes baissent rideau et rentrent chez eux ou optent pour d’autres cieux. Si le motif tient la route, le congé annuel en l’occurrence, le procédé ne l’est pas. Il est même passible de sanctions. C’est la santé de certains qui est en jeu et les affaires de bien d’ autres qui risquent de se voir évaporer. Ce phénomène qui prend de l’ampleur à chaque été laisse tout le monde sans voix. Ces gens-là disposent- -ils d’un registre du commerce? Y a-t-il une partie à qui ils doivent rendre des comptes? Si c’est le cas, laquelle? Autant de questions et d’autres que ne cessent de poser et de se poser les citoyens à chaque période de l’année.
Le directeur exécutif de la Fédération algérienne des consommateurs(FAC) Mohamed Toumi, que L’Expression a interviewé, hier, à ce sujet, voir ci-après l’interview, a souligné que cette pratique est motivée par l’absence d’une loi devant réguler ce chapitre. Pour Mohamed Toumi, les commerçants et les fonctions libérales exerçant dans le même périmètre n’ont pas le droit de prendre leur congé annuel à la même période. Le congé annuel de ces derniers doit être pris à tour de rôle. Les dégâts de cette anarchie, fera remarquer le directeur exécutif de la (FAC), sont énormes. Ils ne concernent pas uniquement l’intérêt du citoyen, mais aussi l’activité économique du pays. Au sujet de l’activité économique, Mohamed Toumi ramène les dégâts à deux points.
Le premier a trait à l’activité économique elle- même. C’est-à-dire la vente et l’achat se répercutant sur la production.
Le second point est le fait que cette pratique favorise la prolifération de l’informel. Le citoyen qui ne trouve pas le commerçant de son quartier ouvert va se rabattre sur le commerçant vendant à la sauvette. «Cela va compliquer plus tard le travail des associations et celui des collectivités locales contre l’informel», a laissé entendre le directeur exécutif de la «FAC». Par ailleurs, il faut dire que la fermeture des commerçants de leurs commerces et les autres professions libérales de leurs cabinets durant le mois d’août contribue à l’accentuation de la morosité dans nos villes. En effet, les rues et les quartiers déjà peu animés en temps ordinaires deviennent de plus en plus désertes et fantomatiques avec leur fermeture. Une situation qui va à l’encontre de la volonté des pouvoirs publics voulant rendre nos villes plus attractives et touristiques. Pis encore, la fermeture d’un cabinet médical peut pousser un patient à se rendre malgré lui dans un pays étranger pour se faire soigner. Sur un autre plan, il y a lieu de dire que dans d’autres pays, l’activité de certains fonctionnaires libéraux est régie par des lois inhérentes à l’activité publique. Le commerçant approvisionnant un hôpital, une cantine scolaire ne doit pas travailler à sa guise. Son titre de congé doit être visé par l’instance compétente.

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Les figues et les figues de barbarie à 400 da: Des fruits « exotiques » bien de chez-nous

Wed, 08/08/2018 - 11:54

Par Kamel BOUDJADI

La banane qui a pourtant traversé les océans pour parvenir dans notre pays est cédée entre 300 et 350 dinars.

La saison des figues et des figues de Barbarie arrive et avec elle ces fruits très succulents. La figue dans toutes ses variétés et la figue de Barbarie trop présentes dans le décor local font partie intégrante de la personnalité et de la culture locale. Toutes les familles possèdent au moins un figuier devant la maison et un petit talus couvert de figues de Barbarie. En ces mois estivaux, ces deux fruits s’intègrent harmonieusement au décor des montagnes et surtout à l’image des villages.
Mais d’une part, et contrairement à un temps pas si lointain, ce fruit est aujourd’hui vendu sur les routes dans des conditions d’hygiène lamentables. Selon les vieux, nos ancêtres ne lavaient pas les figues avant de les manger. Ces fruits autant fragiles que succulents perdaient beaucoup de leur saveur une fois lavés. Il suffisait juste d’enlever le bout et parfois jeter un peu d’eau dessus sans toucher de la main. Ce qui n’est plus possible aujourd’hui au vu des conditions dans lesquelles, les figues sont vendues. Une virée sur la RN12 reliant Tizi Ouzou à Alger suffit largement pour se faire une idée du désastre. Exposées aux abords des routes, ces fruits reçoivent toute la poussière soulevée par le passage à grande vitesse des voitures. Ceci en plus de la chaleur dans laquelle elles sont laissées durant toute la journée.
A cette vue, beaucoup de personnes, cédant à la nostalgie, s’arrêtent pour acheter un kilo ou un panier. Les connaisseurs se désolent de ces conditions car ils savent que les figues ne seront jamais bonnes à consommer. Ce fruit très sensible et fragile est pénétré jusqu’au noyau par la poussière de l’autoroute. Pour le consommer, il faut le laver fortement. Mais une fois lavée, la figue se dilue et perd sa saveur. C’est donc, impossible de retrouver le goût de la figue de Kabylie dans ces conditions.
D’autre part, en plus des conditions d’hygiène lamentable, ces fruits sont vendus à des prix trop élevés. Une tournée dans le marché fait ressortir que la figue et les figues de Barbarie coûtent plus cher que la banane. Alors que ce fruit exotique qui a traversé les océans pour parvenir dans notre pays est vendu à 250 dinars, la figue de chez nous s’élève à 300 ou 400 dinars. Beaucoup s’étonnent de la logique commerciale qui a prévalu dans le processus de détermination du prix de ce fruit.
Une interrogation qui en alimente d’autres en relation directe avec la gestion de ce créneau à tous les niveaux.
La figue et la figue de Barbarie sont des fruits du terroir qui méritent la plus grande attention et la plus grande considération. Leur culture et leur vente doivent répondre à des critères à même de faire vivre les producteurs. Ce qui ne semble point être le cas aujourd’hui au vu de la méthode anarchique de leur vente. Ces fruits ne parviennent pas encore à intégrer les circuits commerciaux légaux.
D’ailleurs, beaucoup de producteurs réclament aujourd’hui en urgence un marché pour écouler leurs productions.
L’existence de ce marché spécialisé des produits du terroir sera d’un apport considérable dans l’organisation de toute la chaîne allant de la production dans les vergers jusqu’au consommateur.
Enfin, en attendant l’arrivée de ces marchés, le producteur, lui, souffre. Les vendeurs sont conscients des conditions lamentables, mais ils ne peuvent rien faire. L’absence de marchés les contraint à aller exposer sur les routes. C’est l’unique canal pour se faire de l’argent. Un jeune vendeur nous a d’ailleurs montré des documents sur Internet pour nous prouver que ce n’est pas lui l’ignorant. Il sait bien comment est organisée la filière au Maroc et en Tunisie et il sait très bien où se situe l’incapacité.

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75 millions de livres scolaires ont été édités: La pénurie sera-t-elle évitée?

Wed, 08/08/2018 - 11:51

Par Massiva ZEHRAOUI

Près de 75 millions de ces livres ont été édités et distribués par l’Office national des publications scolaires (Onps) au niveau des établissements scolaires du pays, en prévision de la rentrée, selon ce département.

Le ministère de l’Education nationale promet une rentrée scolaire «sans failles». Ses responsables ont assuré qu’outre la réhabilitation des infrastructures scolaires pour parer la surcharge des classes, il n’y aura pas de pénurie de manuels scolaires. Prés de 75 millions de ces livres ont été édités et distribués par l’Office national des publications scolaires (Onps) au niveau des établissements scolaires du pays, en prévision de la rentrée, selon ce département. Concernant le coût de ces livres, les mêmes services se sont assuré qu’il n’y ait aucun changement par rapport aux prix de l’année dernière. Cette opération aurait été entamée depuis le mois de mars dernier, afin d’être sûr que ces livres soient prêts avant la rentrées des classes au début du mois de septembre prochain. Pour éliminer tout risque de déficit de ces manuels, indispensables dans l’apprentissage des élèves, les services de Nouria Benghebrit ont édité un nombre de livres supérieur à celui de l’année écoulée.

Ceci dit, il faut avouer que ces mêmes garanties sont avancées avant chaque rentrée scolaire, mais à peine l’année entamée que le déficit de ces manuels est très vite enregistré au niveau des établissements scolaires. Rappelons qu’une grave pénurie des manuels scolaires est survenue l’année passée, après l’épuisement des stocks de l’Office national des publications scolaires, qui avait ouvert des points de vente à travers le pays. Il était devenu de plus en plus difficile de se procurer ces livres. 15 jours après la rentrée scolaire 2017-2018, les nouveaux manuels scolaires étaient quasiment introuvables. Suite à cette malencontreuse situation, les parents d’élèves, aux abois, se sont alors précipités vers les librairies privées, où les prix de ces livres étaient pourtant proposés à plus de la moyenne, face aux craintes exprimées par les parents qui ont pris peur que leurs enfants n’accusent du retard dans leurs cours.

Pour sa part, Nouria Benghebrit avait justifié ce retard, en affirmant que tout avait été prévu, du fait que les premiers jours devaient être consacrés à l’évaluation des élèves par leurs enseignants. Des syndicalistes et autres observateurs relevant du domaine, ont eux, imputé cette situation à la mauvaise planification et programmation des responsables chargés de cette question. Pour l’opération de cette année, le ministère de l’Education nationale a indiqué que certains établissements scolaires ont opéré la distribution de manuels scolaires avant les vacances d’été.
Ainsi, l’opération reprendra dés la rentrée prochaine, et ce, jusqu’au 10 octobre prochain. Sur le volet de la gratuité des livres, les mêmes dispositions seront prises pour certaines catégories. Nouria Benghebrit a par ailleurs mis l’accent sur la nécessité d’améliorer toujours plus, les méthodes de distribution des livres scolaires, car ces derniers sont un élément vital et indispensable à l’apprentissage des élèves.

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Le commissaire du festival d’Oran du film arabe reconnaît que la censure est autorisée: « On est soumis aux valeurs du peuple… »

Wed, 08/08/2018 - 11:49

Par O. HIND

Brahim Seddiki, commissaire du Fiofa a animé, hier, un point de presse au niveau du journal El Hiwar où il est revenu en détails sur les coulisses et les couacs qui ont émaillé cette onzième édition.

Apres avoir passé en revue le programme indiquant que 470 participants ont pris part à ce festival entre invités et autres stagiaires avec 32 films en compétition (entre documentaire long métrage et court métrage), il soulignera que le plus important dans n’importe quel festival ce sont les films. «On se base sur les films arabes et on doit s’en acquitter des mois avant. Ce qui importe d’abord est la qualité du film et sa date de production. Ce sont les seuls critères qui animent les douze membres du comité de lecture. Défendre l’âme du cinéma réside dans son indépendance. On n’a aucun problème par rapport au contenu d’aucun film» et d’ajouter «on doit suivre les festivals internationaux dont celui de Cannes pour être à la page…». Pourtant relativisant ces propos un peu plus tard dans la même conférence, le commissaire du festival d’Oran du film arabe apporte un bémol de taille en glissant cet aveu d’une censure non annoncé et pourtant bel et bien assumée. Seddiki a reconnu qu’un film peut être censuré à cause d’une seule image qui peut choquer le public car dit- il «on respecte les croyances et les valeurs du peuple. Les avis sur un film lors du débat pour la sélection peuvent être longs et contradictoires et parfois le film qui est pourtant extraordinaire peut ne pas passer à cause d’une seule scène, je l’avoue…».

Il avouera le couac survenu dans la salle Maghreb le jour de l’ouverture où les éléments du ministère de la Culture se sont vu interdire l’accès dans la salle Maghreb- placée sous l’égide de l’Onci- qui, la veille n’était pas encore pourvue de climatisation! «Nous avons dû placer la clim à 3h du matin», soit, vous le comprenez bien, le jour-même, tout comme l’installation du matériel loué, à savoir le DCP, faut croire, ce dont fait montre le commissaire du festival si l’on arrive à bien interpréter ses propos, sinon pourquoi fait- il cette remarque à propos de la location du DCP, action qui revient chaque année? Encore de la politique de la dernière minute qui est hélas soulignée en filigrane. Ajouté à cela, le commissaire du festival a refusé qu’on parle de «mauvaise organisation», mais plutôt d’incidents promettant que cela ne se reproduira plus l’année prochaine…On aimerait bien le croire mais….Et avec le ton qui monte d’un cran, le commissaire du festival indigné, se demandera: «Qui veut salir l’image du festival et de l’Algérie? Ceux qui ont critiqué l’affiche n’ont rien à voir avec le cinéma. L’affiche est un travail artistique et personnel.» Et de renchérir à propos des journalistes et ceux qui ont critiqué le festival, estime -t-il avec «haine, mépris, violence», «j’ai lu des critiques écrites avec conviction, mais d’autres qui relevaient du mensonge et de l’insulte.» «Tu es libre d’écrire, ta responsabilité relève de ta conscience. Ecris ce que tu veux, tu es responsable de vendre ton pays pour une simple invitation en Egypte.» Il répondra aux critiques qui estiment le fait que d’être «poète» n’a rien à voir avec le cinéma, à cela Seddiki fera valoir ses 7 ans dans l’audiovisuel. «En Algérie on insulte les poètes. L’image poétique, et linguistique a précédé l’image cinématographique».

Enfin à propos de la non-sélection du film Les bienheureux de Sofia Djama, l’attachée de presse est montée au créneau pour souligner que ce film ne remplit aucun critère pour son éligibilité à ce festival étant donné «qu’il n’était ni algérien ni arabe ni financé par l’Algérie…» Hassen Zerari, responsable de la sélection dira «avoir eu mal au coeur «de le rejeter, mais les rejets sont la règle… La réalisatrice ayant eu vent de ses remarques a décidé de répondre affirmant sur les réseaux sociaux: «A ceux qui prétendent que mon film Les Bienheureux n’est pas algérien ni arabe pour être éligible à Oran, sachez qu’il suffit de lire le générique pour noter que Les Bienheureux est au moins qatari, ce qui donc le rendait éligible et c’est contractuel. Et d’ajouter: «Pour son «algériennité» il est pourtant de notoriété publique (à lire le générique) qu’il a été soutenu financièrement par une entreprise privée algérienne, que des institutions étatiques avec qui nous avons signé des conventions ont soutenu le film, on appelle cela «soutien industrie» et ça compte en prod, ce qui est assez pour donner sa légitimité algérienne, puisque ma nationalité ne vous suffit pas.
Quant au membre de la commission qui dit que mon film n’était pas éligible parce qu’il n’a reçu aucun centime de la part de ministère de la Culture, en soi il formalise l’idée que tout film qui ne passe pas par le financement officiel du ministère de Mihoubi, ne peut être algérien. On ne fait rien sans être adoubé par le ministère, donc vous officialisez publiquement le contrôle de la culture…».
Pas faux.

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Iran : Washington réimpose des sanctions contre Téhéran

Wed, 08/08/2018 - 11:42

De premières sanctions réimposées par les Etats-Unis contre l’Iran sont entrées en vigueur, mardi, dans le but de lui exercer une pression économique après le retrait unilatéral de Washington de l’accord sur le nucléaire iranien de 2015.

Dans un entretien télévisé à quelques heures du rétablissement de ces sanctions, M. Rohani a accusé Washington de « vouloir lancer une guerre psychologique contre la nation Iranienne et provoquer des dissensions » parmi les Iraniens.

Le président Trump a déclaré que le « régime Iranien est confronté à un choix », soit il change son attitude menaçante et déstabilisatrice, soit il continue sur la route de l’isolement économique.

La première vague de sanctions Américaines, qui a pris effet mardi à 04h01 GMT, comprend des blocages sur les transactions financières et les importations de matières premières, ainsi que des mesures pénalisantes sur les achats dans le secteur automobile et l’aviation commerciale.

Elle devrait être suivie, en novembre, de mesures affectant le secteur pétrolier et gazier ainsi que la Banque centrale.

Le président Américain, qui a adopté une attitude très hostile envers l’Iran depuis son arrivée au pouvoir, voudrait « intensifier la pression sur Téhéran pour qu’il change de comportement ». Il reproche entre autres à ce pays son soutien au président Syrien Bachar al-Assad, aux rebelles Houthis au Yémen ou encore au Hamas à Gaza et au Hezbollah Libanais.

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Crise diplomatique entre le Canada et l’Arabie saoudite

Wed, 08/08/2018 - 11:41

Le Canada a réaffirmé, lundi, sa détermination à défendre les droits humains dans le monde après l’annonce de l’expulsion de son ambassadeur à Ryad pour « ingérence », provoquant une crise virulence entre les deux pays.

« Que les choses soient bien claires pour tout le monde, le Canada défendra toujours les droits humains au Canada et dans le reste du monde », a déclaré Chrystia Freeland, la ministre Canadienne des Affaires étrangères, réagissant pour la première fois à l’expulsion annoncée de son ambassadeur en Arabie saoudite.

Le royaume avait annoncé lundi, à la surprise générale, l’expulsion sous 24 heures de l’ambassadeur Canadien à Ryad, le rappel de son représentant au Canada, et le gel des relations commerciales entre les deux pays.

Cette décision faisait suite à un tweet de l’ambassade canadienne se disant gravement préoccupée par une nouvelle vague d’arrestations de militants des droits de l’homme dans le royaume.

Les autorités saoudiennes ont notamment jugé « inacceptable » que les Canadiens réclament la « libération immédiate » des militants.

Dans la journée de lundi, Ottawa a maintenu sa ligne ferme sur la question des droits de l’Homme. « Notre politique étrangère, basées sur des valeurs, notre soutien aux droits humains et aux droits des femmes, est une partie essentielle de ce que nous sommes lorsque nous parlons au nom du Canada », a-t-elle martelé.

Face à la fermeté Canadienne, Ryad a une nouvelle fois haussé le ton et annoncé de nouvelles mesures telle la suspension des bourses universitaires pour ses ressortissants au Canada et le transfert de ces derniers vers d’autres pays.

La compagnie aérienne nationale Saudia Airlines a de son côté annoncé la suspension des vols à destination et en provenance de Toronto, la plus grande métropole Canadienne.

Le royaume « refuse toute ingérence dans ses affaires intérieures et traitera toute ingérence de façon déterminée », a réaffirmé le ministre saoudien des Affaires étrangères, Adel al-Jubeir, estimant que les critiques Canadiennes reposaient sur des informations « biaisées ».

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Le FLN parachève l’élaboration du bilan des réalisations du Président Bouteflika

Wed, 08/08/2018 - 11:39

ALGER – Le secrétaire général du parti du Front de libération nationale (FLN), Djamel Ould Abbes a annoncé mardi à Alger, le parachèvement de l’élaboration du bilan des réalisations du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, des vingt dernières années, en vue de sa présentation « la semaine en cours » au chef de l’État.

Lors d’une conférence de presse animée conjointement avec le président du parti Tajamoue Amel el Djazair « TAJ », Amar Ghoul, à l’issue de leur réunion bipartite, M. Ould Abbes a indiqué que le document sur le bilan des réalisations du Président Bouteflika durant les vingt dernières années et qui « est au stade de l’impression » sera soumis cette semaine au Président Bouteflika puis au comité central du parti. Cette initiative ainsi que l’appel à la candidature du Président Bouteflika à la prochaine élection présidentielle, lancé par le parti, « émanent de la profonde conviction des militants du FLN« , a-t-il dit, soulignant que « le Président n’a aucunement besoin de complaisance de la part de notre parti, ni d’une campagne électorale, car le peuple a constaté ses réalisations sur le terrain« .

Le secrétaire général du FLN a démenti le monopole de son parti sur la question de candidature du Président Bouteflika à la prochaine présidentielle, « car il est le président de tous les Algériens et agit selon un programme clair et précis, basé sur une feuille de route qui englobe tous les secteurs, s’étendant jusqu’en 2030« .

« Notre parti n’a pas le monopole mais jouit de l’ancienneté et de la légitimité révolutionnaire dans l’histoire. Il représente l’une des institutions de l’État et non un simple parti. »

À une question sur l’initiative « La génération Bouteflika« , adoptée par son parti et si celle-ci était en contradiction avec la déclaration du ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, Tahar Hadjar sur « la nécessité de ne pas impliquer l’université dans la politique« , M. Ould Abbes a estimé que « lorsqu’il s’agit du nationalisme et de l’Algérie, nous traitons et considérons les universitaires comme le reste des Algériens« .

M. Amar Ghoul a évoqué pour sa part la prochaine élection présidentielle, soulignant que son parti s’est lancé effectivement dans la campagne électorale. À une question s’il avait reçu des instructions à cet effet, le président de TAJ a déclaré « nous n’attendons pas d’ordres d’en haut, mais nous avons opté pour ce choix avec conviction et nous continuerons sur cette voie« . Les partis TAJ et FLN « empruntent la même ligne politique et son liés par un partenariat politique reposant sur un accord commun datant de 2013, date de la création de TAJ« , une ligne perpétuée par les deux partis, « sur la base de leur appui permanent et leur allégeance constante au président Bouteflika« , a-t-il poursuivi.

A l’instar des autres réunions tenues dernièrement par le FLN avec les autres partis, ayant été sanctionnées par l’appel à la candidature du Président Bouteflika à la présidentielle 2019, il a été annoncé l’installation d’une commission nationale chargée de l’élaboration d’une stratégie future pour mener ce choix politique à bien ».

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Festival de Djemila: Cheb Nasro sur scène après 21 ans d’absence

Wed, 08/08/2018 - 11:39

SETIF – De retour sur scène après 21 ans d’absence, Cheb Nesro a fait vibrer fortement l’antique théâtre de Cuicul dans la nuit de lundi à mardi, à la quatrième soirée de la 14ème édition du Festival arabe de Djemila (Sétif).

Bien avant son entrée sur scène, dés les premières notes de ‘’Choufi el maktoub ki lakana’’, les admirateurs très nombreux  de Nasro, ont repris spontanément et en chœur la chanson, scandant le nom du chanteur.

Emu par un accueil des plus chaleureux du public composé notamment de jeunes, Nasro de son vrai nom Nassreddine Souidi a chante avec ses fans  »Choufi el maktoub ki lakana’’ et enchaîne avec ‘’Antia ma vie’’, ‘’Achekek guelbi’’ et ‘’Atta’k rabi plaça fi qalbi’’.

A l’ouverture de la soirée, la quatrième de cette nouvelle édition de Festival  de Djemila, la chanteuse Amel Sekkak a rendu à un hommage à la diva Warda El Djazairia avec ‘’Ba touaness bik’’ et à cheb Akil à travers ‘’Mazal mazal’’ avant d’interpreter ‘’Khardjouni mar’’, ‘’Chadi ouledk ali’ya’’, ‘’Mal Habibi malou’’ dans une prestation chaleureusement applaudie.

Lui succédant, Cheb Zinou a ravi le public avec des airs staifi et chaoui entonnant ‘’ Ya Salah’’, ‘’Lalla a’yb allik’’, ‘’Habitek’’, avant de céder la place au groupe Dey qui s’est produit pour la première fois à Djemila en fusionnant diwane, chaâbi et flamenco.

Le groupe Imzad  de Tamanrasset a pris le relais et  a transporté le public, grâce à ses sonorités targuies enchanteresses, aux fins fonds du désert algérien avec ‘’ Tisnanet’’, ‘’Imouhag’’.

De l’avis de plusieurs familles qui ont assisté à la soirée, le programme de cette dernière était ‘’très riche et très variée’’, la « bonne organisation » du festival les encouragent à faire le déplacement à chaque fois que l’occasion se présente, ont-ils affirmé.

A noter que le commissariat du Festival arabe de Djemila propose  pour la soirée de clôture de cet événement culturel, dés 22 heures, au site romain Cuicul, les chebs Kader japoni, Khaled didi, Rochedi et Yacine.

Ouvert vendredi dernier avec un show  chorégraphique ‘’Azdif’’ (terre noire en berbère, d’où provient le nom de Sétif) reflétant des pans de l’histoire, de l’art et de la culture des Hauts plateaux en présence du ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi, la 14ème édition du Festival arabe de Djemila a consacré l’art et les artistes algériens dans toutes leurs diversités.

Un programme riche, dense et diversifié a été jusque là proposé au public qui rallie chaque soir Djemila, depuis plusieurs régions limitrophes.

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Les pays en quête de croissance économique négligent les ressources humaines

Wed, 08/08/2018 - 11:33

ALGER – Les gouvernements en quête de croissance économique investissent depuis longtemps dans les infrastructures mais négligent souvent leurs ressources humaines, d’où ce « déficit en capital humain », a fait constater la Banque mondiale dans un rapport publié sur son site web.

« Ces gouvernements préfèrent investir dans le capital physique : routes, ponts, aéroports et autres infrastructures.Mais ils négligent souvent leurs ressources humaines, en partie parce que les retombées de ces investissements mettent plus de temps à se matérialiser et sont difficiles à mesurer« , a noté le président du Groupe de la Banque mondiale, Jim Yong Kim, dans la revue Foreign Affairs, citée dans ce rapport. « Faute d’investir dans les ressources humaines, les pays pauvres restent confrontés à des défis impressionnants en termes d’éducation et de progrès« , prévient l’institution de Bretton Woods.

D’après les statistiques de cette institution financière, 260 millions d’enfants et de jeunes dans les pays pauvres ne sont pas scolarisés, 60% des élèves du primaire n’atteignent pas les niveaux de compétences minimales au cours de leur apprentissage. Par ailleurs, un quart des enfants de moins de cinq ans souffrent de malnutrition dans ces pays.

Au-delà de la justification purement morale des investissements dans la santé et l’éducation de l’ensemble de la population, les auteurs du rapport font valoir un argument économique: « C’est grâce à ces investissements que chacun acquiert les moyens de soutenir la concurrence et de s’épanouir dans un environnement évolutif« , ont-ils souligné. Ainsi, le « capital humain » le potentiel de chaque individu, va devenir l’investissement de long terme le plus important qu’un pays doit consentir pour garantir la prospérité et la qualité de vie future de ses ressortissants, ont-ils insisté.

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Séisme en Indonésie: le bilan s’alourdit à 105 morts

Wed, 08/08/2018 - 01:53

Au moins 105 personnes ont été tuées et plus de 200 autres ont été blessées dans le puissant séisme qui a frappé l’Indonésie, où les équipes de secours ont évacué plus de 4600 touristes de petites îles touristiques proches de celle de Lombok, selon un nouveau bilan annoncé mardi par les autorités. Un précédent bilan a fait état de 98 morts. Le tremblement de terre de magnitude 6,9 survenu dimanche soir à une faible profondeur de 10 kilomètres y a endommagé des milliers de bâtiments, une semaine après un autre séisme qui avait tué au moins 17 personnes. « Sept touristes indonésiens sont décédés à Gili Trawangan en raison du séisme, ce qui porte le total à 105 » morts, a déclaré dans la soirée un porte-parole de l’Agence nationale de gestion des catastrophes, Sutopo Purwo Nugroho, ajoutant s’attendre à ce que le bilan continue d’augmenter. Il a aussi mis en exergue les « défis » auxquels sont confrontés les autorités. « Les routes ont été endommagées, trois ponts ont aussi subi des dommages, certains endroits sont difficiles d’accès et nous n’avons pas assez de personnel », a-t-il ajouté, alors que les recherches ont été suspendues à la tombée de la nuit. Les secouristes poursuivaient mardi les recherches pour tenter de retrouver des survivants et victimes dans les décombres de maisons, mosquées et écoles détruites par ce nouveau séisme qui a été ressenti aussi sur l’île voisine de Bali, la plus touristique de l’archipel d’Asie du Sud-Est. Par ailleurs, « les équipes de recherche et de secours ont réussi à secourir plus de 2700 touristes des Gili, indonésiens et étrangers », qui ont été évacués vers un port du nord de Lombok pour pouvoir rejoindre ensuite l’aéroport, a-t-il ajouté.

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Infrastructures : trois stades de football non-homologués pour la saison 2018-2019

Wed, 08/08/2018 - 01:50

ALGER – La commission d’audit des stades a décidé de ne pas homologuer les enceintes de Mohamed-Benhaddad (Kouba), Habib-Bouakeul (Oran) et Abdelatif-Mokhtar (Boussaâda), a annoncé la Ligue de football professionnel (LFP) lundi soir sur son site officiel.

Concernant le stade de Kouba, l’instance dirigeante de la compétition est dans l' »attente du document du Centre technique de construction (CTC)« . Le président de la LFP, Abdelkrim Medouar, a tenu lundi une réunion avec les membres des sous-commissions d’audit des stades, en présence du chargé du dossier à la LFP, Djamel Messaoudene. Cette rencontre a été organisée pour l’évaluation des réserves constatées lors de la première visite de la commission d’audit.

Dix-huit (18) stades ont été homologués en vue de la saison footballistique 2018-2019, dont le coup d’envoi sera donné vendredi. En revanche, 7 autres stades seront inspectés « ces jours-ci pour constater la levée des réserves« .

Liste des stades homologués

24-Février-1956 (Sidi Bel-Abbès)

13-Avril-1958 (Saïda), Zougari-Tahar (Relizane)

Mohamed-Boumezrag (Chlef)

Akid Lotfi (Tlemcen)

Chahid Ahmed-Zabana (Oran)

Chahid Hamlaoui (Constantine)

19-Mai-1956 (Annaba)

20-Août-1955 (Skikda)

8-Mai-1945 (Sétif)

Messaoud-Zougar (El-Eulma)

El Alia (Biskra)

1er-Novembre-1954 (El-Harrach)

Omar-Hamadi (Alger)

20-Août-1955 (Alger)

Imam-Ilyes (Médéa)

Unité Maghrébine (Béjaïa)

Les frères Brakni (Blida)

Stades en travaux, une autre visite est prévue pour constater la levée des réserves

Commandant Ferradj (Mostagnem) : visite programmée pour le dimanche 12 août 2018

20-Août-1955 (Béchar) : visite prévue le lundi 13 août 2018 (en travaux)

Demene-Debbih (Aïn-M’lila) : visite prévue le mercredi 8 août 2018

Lahoua-Smaïn (Tadjenanet) : (problème d’éclairage) visite prévue le 12 août 2018

Magra : visite prévue le samedi 11 ou le dimanche 12 août 2018

20-Août-1955 (Bordj Bou Arréridj) : visite prévue le lundi 13 août 2018

1er-Novembre-1954 (Tizi-Ouzou): visite prévue le jeudi 9 août 2018

Stades non-homologués

Habib-Bouakeul (Oran)

Abdelatif-Mokhtar (Boussaâda)

Mohamed-Benhaddad (Kouba, attente document du Centre technique de construction)

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