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Central Europe

Sánchez announces nine measures to stop ‘genocide in Gaza’

Euractiv.com - Mon, 09/08/2025 - 12:06
The measures will be implemented "immediately", Spanish PM Sánchez said

Norwegen wählt – EU bleibt Randthema

Euractiv.de - Mon, 09/08/2025 - 12:04
Europa spielt bei Norwegens Parlamentswahl heute eine zentrale Rolle – allerdings nur unter der Oberfläche. Die meisten Wahlberechtigten blenden die europäische Dimension ihrer Politik aus, und die Parteien im Land haben wenig Interesse, das zu ändern.

Megegyezett a koalíciós tanács a szeptemberi parlamenti ülés programjáról...

Bumm.sk (Szlovákia/Felvidék) - Mon, 09/08/2025 - 12:00
TASR: A koalíciós tanács hétfői ülésén megállapodás született a szeptemberi parlamenti ülés programjáról – tájékoztatta a TASR-t a kormányhivatal. Az ülés kedden (9. 9.) délután kezdődik, összesen 150 programpontot kell megvitatni, köztük az oktatási törvények módosítását és a házszabály módosítását. Terítékre kerül két olyan törvény is, melyeket az államfő újratárgyalásra visszaküldött a törvényhozásba. Az alkotmánymódosításról szóló végszavazást szeptember 25-én 17 órára tervezik.

Most az egészségügyi szolgáltatók követelik Ficotól Kotlár kirúgását

Bumm.sk (Szlovákia/Felvidék) - Mon, 09/08/2025 - 11:30
A Járóbeteg-ellátást Szolgáltatók Szövetsége (Zväz ambulantných poskytovateľov/ZAP) szerint olyan személynek, aki nyíltan inkompetens és veszélyes nézeteket terjeszt az orvostudomány és a vakcinázás ellen, nem lenne szabad teret engedni a közvélemény vagy a kormány döntéshozatali folyamatainak a befolyásolásánál.

'A heavy shirt to wear' - being Man Utd number one and Onana's struggles

BBC Africa - Mon, 09/08/2025 - 10:05
An in-depth look at Manchester United's goalkeeping situation as Andre Onana prepares to leave on loan.
Categories: Africa, Central Europe

SA face New Zealand in World Cup quarter-finals after losing to France

BBC Africa - Sun, 09/07/2025 - 19:58
France face Ireland next Sunday in the Women's Rugby World Cup quarter-finals, sealing top spot in Pool D by hammering South Africa in Northampton.
Categories: Africa, Central Europe

Bódis László: vállalati innovációs pályázatok indulnak 182 milliárd forint értékben a GINOP Pluszban

EU Pályázati Portál - Fri, 09/05/2025 - 11:40
Budapest, 2025. szeptember 5. - A következő napokban két vállalati innovációs pályázat indul, összesen 182 milliárd forint értékben a GINOP Pluszban - mondta a Kulturális és Innovációs Minisztérium (KIM) innovációért felelős helyettes államtitkára pénteken sajtótájékoztatón Budapesten.

L'UP-R et le BR désignent Romuald Wadagni pour succéder à Patrice Talon

24 Heures au Bénin - Sun, 08/31/2025 - 05:07

Romuald Wadagni sera le candidat de la mouvance présidentielle à la prochaine élection d'avril 2026. L'actuel ministre d'État chargé de l'Économie et des Finances a été désigné à l'issue d'un conclave tenu ces derniers jours par les partis de la majorité, l'Union Progressiste pour le Renouveau (UPR) et le Bloc Républicain (BR).

Le choix de la coalition au pouvoir, validé par le président Patrice Talon, met fin aux spéculations qui entouraient sa succession. Romuald Wadagni apparaît ainsi comme le profil retenu pour incarner la continuité des réformes engagées depuis 2016, tout en apportant l'image d'une relève générationnelle.

Selon les acteurs de la majorité, cette désignation traduit la volonté de concilier jeunesse, compétence et expérience gouvernementale. Ministre des Finances depuis 2016, Romuald Wadagni s'est imposé comme l'un des piliers de la politique économique du régime de la Rupture.

Si ce choix venait à être confirmé par les urnes, il constituerait une première dans l'histoire du renouveau démocratique béninois : pour la première fois, un candidat officiellement investi par une coalition politique accéderait à la magistrature suprême.

Judicaël ZOHOUN

Categories: Afrique, Central Europe

Rentrée scolaire 2025-2026 et échéances électorales de 2026

24 Heures au Bénin - Sun, 08/31/2025 - 03:17

« Pour un programme politique porté par une vision de stabilité et de continuité constructive du système éducatif béninois »

Le 15 septembre, comme à chaque année, de milliers d'élèves et d'enseignants reprendront le chemin des classes. Occasion de nous rappeler que l'éducation nationale est un projet de souveraineté, un tremplin par excellence au travers duquel chaque citoyen réalise l'importance de bâtir ensemble l'avenir de notre pays.

Occasion toute aussi belle de réfléchir à notre système éducatif, miroir de notre société, révélateur des forces et des fragilités de notre vision de l'avenir national, de celui du Bénin.

Occasion ultime de souligner que le Bénin a fait de l'école, l'un des piliers de sa construction :

Des investissements significatifs

En 2023, 19,04% des dépenses publiques étaient dédiées au secteur éducatif, bien au-dessus de la moyenne mondiale de 13,95% (voir The GlobalEconomy). Entre 2016 et 2021, le taux de couverture électrique est passé de 20% à 35% dans les écoles primaires. Ce taux est de 78% pour les écoles secondaires en 2021 (Voir Fonds Monétaire International).

Des progrès notables dans l'accès à l'éducation

En 2022, le taux net de scolarisation au primaire est de 90,39% (Voir UNESCO). Quant à lui, le taux d'inscription au secondaire a progressé en passant d'environ 59% en 2000 en 77% en 2023 (Voir Banque Mondiale). Le nombre d'enseignants formés dans les écoles primaires est passé de 70 % à 75 % entre 2016 et 2021 et a doublé pour les enseignants du premier cycle du secondaire, passant de 18 % à 36 % (Voir Fonds Monétaire International). Le ratio élèves/enseignant qualifié dans les écoles primaires a considérablement diminué, passant de près de 60 élèves par enseignant qualifié en 2016 à environ 49 élèves par enseignant qualifié en 2021 (Voir Fonds Monétaire International). Par ailleurs, grâce à un programme financé par le Global Partnership for Education (GPE) et la Banque mondiale (2020-2023), le Bénin a formé plus de 46 000 enseignants pour améliorer les capacités des élèves en lecture et en mathématiques en début de primaire (Voir Global Partnership for Education).

Des améliorations conséquentes dans l'apprentissage

Par exemple, en 2014, seulement 10 % des élèves du cours préparatoire (CP) avaient dépassé le niveau minimal de compétence en lecture, mais en 2019, cette proportion était passée à 38 % (Voir PASEC 2019). En mathématiques, 34 % de ces élèves avaient un niveau de compétences supérieur au niveau minimal en 2014, comparativement à 62 % en 2019 (Voir PASEC 2019). Le taux de passage au primaire est passé de 68% en 2017 à environ 78% en 2023 (Voir Global Partnership for Education).
Ces progrès en appellent à redoubler d'efforts pour maintenir le cap de la transformation du système éducatif béninois. Nul ne se voilerait la face sur les immenses défis qui persistent en termes d'effectifs dans les classes, d'infrastructures, de personnel enseignant qualifié, d'inadéquation entre les programmes de formation et les besoins réels de l'économie et de la société béninoises, de disparités régionales, etc.

Des défis qui nous invitent à des réflexions profondes et méthodiques pour repenser notre système éducatif.

Car l'éducation est bien plus qu'un service public : elle est une question de souveraineté nationale. Elle est une cause nationale qui nous concerne tous, sans distinction de région, de condition sociale ou de parti politique.

Former des citoyens éclairés, créatifs, et capables de répondre aux enjeux du XXIe siècle, voilà le vrai projet politique pour les prochaines années.

Offrir aux enfants de ce pays une éducation de qualité, c'est poser les bases d'une société béninoise plus juste, plus prospère et plus unie.

Le Bénin a déjà montré sa capacité à relever de grands défis, à les transformer en opportunités. La volonté politique est là, les programmes montrent leur efficacité, et les résultats sont tangibles.

Il nous appartient de poursuivre les efforts collectifs pour bâtir une école béninoise plus inclusive, plus adaptée aux besoins de notre temps et plus ouverte sur le monde. Une école béninoise, véritable levier d'émancipation et de transformation sociale.

Poursuivre notre engagement collectif en termes :

• d'investissement dans les infrastructures scolaires, pour offrir à chaque enfant un cadre d'apprentissage digne. Nous devons augmenter les dépenses dans le secteur de l'éducation à 7% du Produit Intérieur Brut (PIB) d'ici 2030 pour atteindre les Objectifs de Développement Durable (ODD) en mutualisant ressources publiques et privées.

• de valorisation des enseignants sur les plans de la formation et de la qualification, de la rémunération etc., car il n'y a pas d'école de qualité sans des enseignants bien formés et motivés. Nous devons continuer à former et soutenir les enseignants, en investissant davantage dans les instituts de formation, en les accompagnant avec des outils et évaluations régulières.

• de modernisation des programmes pour les adapter aux réalités et aux défis du pays : emploi, numérique, démocratie, aménagement du territoire, développement humain durable, etc. Nous devons accentuer la mise en œuvre de programmes de pédagogie structurée et le maillage formation-métier en fédérant tous les acteurs (États, collectivités, secteur privé, partenaires internationaux, société civile).

• d'égalité des chances et d'équité pour que chaque enfant de ce pays puisse avoir accès à une éducation de qualité. Nous devrons réduire les écarts, en ciblant davantage les filles et les zones rurales en renforçant les programmes de bourses, de cantines scolaires, d'infrastructures socio-sanitaires.

Ainsi, le 15 septembre, lorsque les cloches de la rentrée retentiront, rappelons-nous qu'elles ne sonnent pas seulement pour marquer le début d'une année scolaire. Elles résonnent comme un appel à la responsabilité collective : celle de donner à nos enfants les clés de leur avenir et de celui du Bénin.

L'école béninoise est un trésor collectif. Elle est le lieu où se forgent la curiosité, le savoir, les valeurs citoyennes qui font vivre notre démocratie. Chaque enfant qu'elle forme et accompagne vers la connaissance constitue une pierre posée dans l'édifice de notre avenir national.

En ce sens, en cette veille des échéances électorales de 2026, cette rentrée du 15 septembre doit marquer un nouveau tournant dans notre engagement à bâtir une école performante et inclusive.

Elle doit être le début et le symbole de notre adhésion à un programme politique d'une école béninoise au service de l'ambition d'un Bénin uni et prospère.

Un programme politique porté par la stabilité du système éducatif, inscrivant son action dans une continuité constructive, fondée sur des objectifs partagés.

Un programme politique ancré dans des réformes éducatives de long terme, offrant le temps au monde de l'éducation de les discuter, de les approprier et de les assimiler.

Un programme politique fondé sur la concertation avec les acteurs autour des questions de revalorisation du métier d'enseignant (avec une politique claire et durable de rémunération et d'évolution de carrière), de gestion des effectifs et des infrastructures (avec une meilleure planification et un dialogue étroit avec les communautés locales).

Un programme politique mettant l'école béninoise au service des défis du 21e siècle : valorisation des compétences psychosociales (en préparant les élèves à coopérer, s'adapter aux changements et à développer leur esprit critique), intégration du numérique et de l'intelligence artificielle (en développant une stratégie numérique ambitieuse au service de l'éducation et de la réduction des inégalités).

Seule trajectoire à notre sens pour faire de l'écol béninoise, un espace d'apprentissage, d'espérance et de progrès partagé.

Dr Chedrak Chembessi

Professeur des Universités

Co-fondateur du Collectif AGORA 229

Categories: Afrique, Central Europe

Ahouanwanou renonce aux Mondiaux d'athlétisme au Japon ‎

24 Heures au Bénin - Sun, 08/31/2025 - 00:47

Odile Ahouanwanou ne participera pas aux 20ᵉ championnats du monde d'athlétisme, prévus du 13 au 21 septembre à Tokyo.

‎Qualifiée grâce à son titre de championne d'Afrique aux 20ᵉ championnats du monde d'athlétisme, prévus du 13 au 21 septembre au Japon, Odile Ahouanwanou ne participera pas à la compétition.

‎L'athlète a expliqué, vendredi 29 août, qu'elle n'était « pas prête physiquement » pour représenter le Bénin. « Je continue mes efforts », a-t-elle écrit sur Facebook, remerciant ses soutiens.

‎Plus de 2 000 athlètes de près de 200 pays sont attendus au Japan National Stadium. Au programme : 49 épreuves, dans la plus grande compétition d'athlétisme après les Jeux olympiques.

Le 26 août dernier, l'athlète s'est engagée en politique. Elle a annoncé son adhésion au Mouvement des Élites engagées pour l'émancipation du Bénin (Moele-Bénin).

‎M. M.

Categories: Afrique, Central Europe

Le Manifeste 2025 lancé au Maroc le 4 septembre

24 Heures au Bénin - Sun, 08/31/2025 - 00:45

African Global Health et Diplomatic Courier organisent, les 4 et 5 septembre 2025, un symposium de haut niveau à l'Hôtel Four Seasons de Casablanca (Maroc). Un nouveau Manifeste sera lancé au cours de cette rencontre qui va réunir des leaders africains et internationaux pour explorer l'innovation en matière de gouvernance et la coopération Sud–Sud.

La rencontre qui se déroule à casablanca, les 4 et 5 septembre, va explorer l'approche émergente de l'Afrique en matière de gouvernance par la réduction des risques, un modèle pragmatique fondé sur la solidarité, l'inclusivité et la résilience.

L'événement qui se déroule sous la houlette de Maroc Newspaper, marquera le lancement officiel de « Harm Reduction – The Manifesto 2025 », un nouvel ouvrage aux éditions ORION qui marque la voix de l'Afrique et du global South créant des ponts de travail en connexion avec le monde. Cet ouvrage amplifie les voix d'experts africains et internationaux appelant à des systèmes de gouvernance plus justes, plus efficaces et fondés sur des données probantes.

Dans un contexte de crises mondiales qui se chevauchent — du changement climatique aux urgences sanitaires en passant par les migrations massives — l'Afrique propose un modèle tourné vers l'avenir, ancré dans les principes de la réduction des risques.

Initialement née dans le champ de la santé publique, cette approche est aujourd'hui réinventée pour orienter les politiques, les institutions et la coopération internationale.

Le symposium réunira des responsables gouvernementaux, des leaders de la santé publique, des diplomates et des acteurs du changement afin d'examiner comment ce prisme de gouvernance peut inspirer de nouvelles formes de coopération Sud–Sud et des systèmes publics plus résilients.

Le symposium va aborder plusieurs thèmes dont Le financement innovant et les alliances pragmatiques ; La diplomatie culturelle et les partenariats internationaux ; et Des solutions de gouvernance face aux défis mondiaux.

« L'Afrique ne se contente pas de réagir aux crises ; elle propose un modèle capable d'inspirer le monde. La réduction des risques appliquée à la gouvernance est notre réponse concrète aux défis d'aujourd'hui et de demain », a déclaré Dr. Imane Kendili, Présidente d'African Global Health et hôte de la rencontre.

« Nous parlons souvent de réinventer les systèmes, mais ce manifeste fait plus qu'imaginer : il trace un cadre audacieux et concret qui place la dignité humaine et la coopération au centre de la gouvernance », a déclaré Ana C. Rold, Fondatrice et PDG de Diplomatic Courier et co-organisatrice de l'événement.

Le symposium est organisé par AGH et Diplomatic Courier.
African Global Health (AGH) est une organisation non gouvernementale basée au Maroc qui promeut les pratiques de réduction des risques, la gouvernance inclusive et la coopération Sud–Sud à travers l'Afrique.
Diplomatic Courier est une organisation médiatique mondiale spécialisée dans les affaires internationales et une plateforme de rencontres mettant en lumière l'innovation, la diplomatie et les solutions aux défis les plus pressants du monde.

Categories: Afrique, Central Europe

Frontière Gibraltar-Espagne : « le dernier mur d’Europe occidentale » disparaîtra en 2026

Euractiv.fr - Mon, 08/25/2025 - 16:46

Les contrôles le long de la frontière de 1,2 km qui sépare l’Espagne et Gibraltar devraient cesser en janvier 2026 pour les 15 000 travailleurs frontaliers qui la traversent chaque jour depuis l’Espagne, rapporte le quotidien espagnol El País.

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L’Ocean Viking visé par des tirs des garde-côtes libyens

Euractiv.fr - Mon, 08/25/2025 - 15:57

Dimanche 24 août, des centaines de coups de feu ont été tirés depuis un bateau des garde-côtes libyens en direction de l’Ocean Viking, un navire de l’ONG SOS Méditerrannée, dans les eaux internationales. Aucun mort ou blessé n’est à déplorer, mais le navire a été lourdement endommagé.

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Où se tiendrait un éventuel sommet Poutine-Zelensky ?

Euractiv.fr - Mon, 08/25/2025 - 14:58

Plusieurs villes dans le monde sont citées comme lieux possibles pour une éventuelle rencontre entre Donald Trump, Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky. Mais des obstacles de taille, notamment le mandat d’arrêt international lancé contre le président russe, compliquent la situation.

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La mort en direct du streameur Jean Pormanove révèle les failles du DSA 

Euractiv.fr - Mon, 08/25/2025 - 14:02

Jusqu’à la semaine dernière, la plateforme Kick n’avait pas désigné de représentant légal dans l’UE — une obligation essentielle dans le cadre du règlement européen sur les services numériques (Digital Services Act, DSA) destinée à mieux faire appliquer la loi aux entités basées en dehors de l’Union.

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« Un choix délibéré » qui a permis d’éviter une guerre commerciale : Ursula von der Leyen défend son accord avec Donald Trump

Euractiv.fr - Mon, 08/25/2025 - 09:55

La présidente de la Commission européenne a défendu l’accord conclu avec Donald Trump, estimant qu’il s’agit d’une décision « délibérée » qui a permis d’éviter une guerre commerciale totale entre l’UE et les États-Unis.

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Wetterindexversicherungen als Instrument der Förderung sozial-ökologischer Resilienz gegenüber dem Klimawandel

Ländliche Gemeinschaften sind besonders anfällig für Wetterschwankungen und die Zerstörung von Ökosystemen. Bisher haben sich Landwirt*innen entweder allein oder gemeinschaftlich durch verschiedene Risikomanagement-Strategien an Klimaschwankungen und Wetterextreme angepasst. Der Klimawandel verstärkt jedoch die Häufigkeit und Intensität extremer Wetterereignisse und verschärft die Umweltzerstörung.
Als Ergänzung zu konventionellen Risikomanagementstrategien werden nun marktbasierte Risikotransferinstrumente entwickelt, um ländliche Haushalte vor den erhöhten Klimarisiken zu schützen. Lösungen zum Risikotransfer spielen eine zentrale Rolle in der globalen Klima- und Entwicklungsagenda. Internationale und regionale Initiativen wie die InsuResilience Global Partnership unterstützen gefährdete Entwicklungsländer dabei, ihre finanzielle Absicherung durch Klimarisiko-Finanzierung und -Versicherungen zu erhöhen. Dazu zählen auch innovative Systeme auf Mikroebene wie Wetterindexversicherungen.
Seit rund zehn Jahren sind indexbasierte Wetterversicherungen zentraler Bestandteil der Debatte zu Klimaresilienz. Solche Systeme entschädigen die Versicherten auf Grundlage eines vordefinierten Wetterindexes und nicht wie bei traditionellen Versicherungen auf Grundlage von Einzelschäden. Daher birgt dieses Instrument mehrere Vorteile. Es ist zum Beispiel zeit- und kosteneffektiv und hat ein geringeres subjektives Risiko.
Obwohl Wetterindexversicherungen deshalb vielversprechend sind, erweist sich die Ausgestaltung und Förderung in Entwicklungsländern oft als schwierig. Erstens mangelt es besonders den ärmsten ländlichen Gemeinschaften, die Klimarisiken ausgesetzt sind, am Zugang zu erschwinglichen Versicherungen. Zweitens tragen Anbieter von Versicherungen aufgrund der zunehmenden Häufigkeit und Schwere von Wetterextremen ein erhöhtes Risiko für größere Schäden, während Rückversicherungsleistungen oft fehlen. Und drittens wird den Umweltfolgen von Wetterindex-Mikroversicherungen in Forschung und Politik bislang wenig Aufmerksamkeit geschenkt. Dabei sind der Schutz der Umwelt und der Aufbau ökologischer Resilienz entscheidende politische Aspekte des Klimarisikomanagements in ländlichen Regionen, in denen die Armen überproportional von Ökosystemgütern und -leistungen abhängen, da es ihnen oft an alternativen Lebensgrundlagen fehlt.
Dieses Papier erörtert auf Grundlage der Ergebnisse einer Auswertung der vorliegenden Literatur zu Wetterindexversicherungen sowie von Feldforschungen die wichtigsten Herausforderungen für Mikroversicherungen. Es entwickelt Empfehlungen für die Entwicklungszusammenarbeit, Regierungen und Versicherungen zur Ausgestaltung verbesserter Klimarisikoversicherungen. Der Fokus liegt speziell auf Wetterindexversicherungen für die arme ländliche Bevölkerung auf Mikroebene. Es ist dringend nötig, das Wissen über die potenziellen positiven und negativen Umweltfolgen von Wetterversicherungen zu erweitern und verschiedenste Klimarisikomanagement-Strategien für die Armen zu entwickeln, einschließlich Mechanismen zur sozialen Sicherung.

Europa sollte die Zusammenarbeit mit dem Nahen Osten und Nordafrika stärker auf die Gesellschaftsverträge fokussieren

2021 ist ein wichtiges Jahr für die Zusammenarbeit Europas mit seinen Nachbarn im Nahen Osten und in Nordafrika (MENA). Die Corona-Pandemie zwang die Europäische Union (EU) bei der Erstellung ihres neuen Mehrjahreshaushalts, die politischen, wirtschaftlichen und sozialen Prioritäten ihrer Kooperation mit den MENA-Ländern sowie die ihrer Mitgliedstaaten zu überdenken. Ihr Potenzial, die Beziehungen zwischen Staat und Gesellschaft in den MENA-Ländern positiv zu beeinflussen, hat sie aber noch längst nicht ausgeschöpft. Die jüngste Mitteilung zur Europäischen Nachbarschaftspolitik (ENP) Süd vom Februar 2021 kündigt eine „neue Agenda“ für die Zusammenarbeit mit den MENA-Ländern an. Offensichtliche Zielkonflikte bleiben aber unausgesprochen, v.a. die Unvereinbarkeit des Strebens nach liberal-demokratischen und Wirtschaftsreformen, mehr Rechenschaftspflicht und der Achtung von Menschenrechten durch die MENA-Regierungen auf der einen Seite und einer restriktiven Handelspolitik der EU, Migrationssteuerung und sicherheitspolitischer Kooperation auf der anderen. Zudem mangelt es an bilateraler Koordination zwischen den EU-Mitgliedstaaten. Das Konzept des Gesellschaftsvertrags könnte helfen, diese Konflikte zu überwinden. Sie sind unvermeidlich, wenn inter-nationale Kooperation v.a. kurz- bis mittelfristige Ziele wie Migrationssteuerung, Resilienzförderung und Privatinvestitionen verfolgt. In autoritären Kontexten wird dadurch aber oft der Staat zu Lasten der Gesellschaft gestärkt, was zu Spannungen führt und nicht zur angestrebten Stabilität. Gesellschaftsverträge stärker zu beachten führt zu einer längerfristigen Perspektive. Sie beruhen auf der Erbringung von 3 „P“s durch den Staat: Protection (Schutz der Bürger), Provision (wirtschaftliche und soziale Dienstleistungen) und Participation (Teilhabe der Gesellschaft an Entscheidungen).
Das Konzept des Gesellschaftsvertrags kann Orientierung bei der gemeinsamen Ausrichtung und Organisation der Politik der EU und ihrer Mitgliedstaaten geben. Es verdeutlicht, wie die drei „P“s bei der Verbesserung des sozialen Zusammenhalts, der innerstaatlichen Beziehungen und der politischen Stabilität zusammenwirken. Dadurch hilft es, die Wirksamkeit, Kohärenz und Koordination der MENA-Politik der EU und ihrer Mitgliedstaaten zu verbessern. Einige Mitglieder fokussieren hierin auf Handel und Investitionen, andere auf politische Reformen und Menschenrechte und wieder andere auf Migrationssteuerung. Eine längerfristige Perspektive würde verdeutlichen, dass nachhaltigere Gesellschaftsverträge in den MENA-Ländern alle diesen Zielen dienlich sind. Alle Maßnahmen der Europäer sollten daher auf Reformen abzielen, die die Gesellschaftsverträge der MENA-Länder für alle Vertragsparteien, also Regierungen und gesellschaftliche Gruppen, akzeptabler machen. Im Idealfall werden solche Reformen von den Parteien auf Augenhöhe ausgehandelt. In der Praxis ist die Verhandlungsmacht der Gesellschaft aber oft begrenzt – weshalb europäische Politik die Gesellschaften stets mindestens so sehr stärken sollte wie die Regierungen. In diesem Papier werden vier Bereiche der Zusammenarbeit erörtert, die wirkungsvolle Treiber für Veränderungen in den Gesellschaftsverträgen darstellen: (i) Konfliktlösung, Friedenskonsolidierung und Wiederaufbau; (ii) Wiederaufbau nach der Corona-Pandemie: Gesundheit und soziale Absicherung; (iii) Partizipation auf lokaler, regionaler und nationaler Ebene; sowie (iv) Migration und Mobilität zum gegenseitigen Nutzen.

Demokratie schützen: Die Relevanz internationaler Demokratieförderung für Amtszeitbeschränkungen

Die Frage, ob und wie sich Demokratie durch internationale Unterstützung fördern und schützen lässt, hat jüngst an Relevanz gewonnen. Zum einen hat der Abzug der NATO-Truppen aus Afghanistan eine öffentliche Debatte über die Grenzen von Demokratieförderung neu entfacht. Zum anderen wächst der Bedarf an internationalem Demokratieschutz angesichts zunehmender Autokratisierungstrends weltweit. Forschungsergebnisse des DIE zeigen: Wirksame Unterstützung von Demokratie ist möglich. Dabei sind sowohl der Schutz von zentralen demokratischen Institutionen wie Amtszeitbeschränkungen von Machthabern als auch die Förderung von demokratischen Kräften, die sich Autokratisierungsversuchen proaktiv widersetzen, zentral.
Seit 2010 zeichnen sich Autokratisierungstrends dadurch aus, dass sie bereits erreichte Demokratisierungserfolge oft schleichend erodieren und Autokratien festigen. Umgehungen und Aufhebungen präsidentieller Amtszeitbeschränkungen durch amtierende Präsidenten gehören zum typischen „Autokratisierungsbaukasten“. Amtszeitverlängerungen schränken demokratische Kontrolle ein und weiten die präsidentielle Macht aus.
Demokratieförderung und -schutz spielen eine relevante Rolle für den Erhalt präsidentieller Amtszeitbeschränkungen und damit für den Schutz von Demokratie. Sie tragen dazu bei, „Überlebenschancen“ von Amtszeitbeschränkungen zu verbessern. Je mehr internationale Demokratieförderung bereitgestellt wird, desto geringer das Risiko, dass Amtszeitbeschränkungen umgangen werden. Eine DIE-Analyse ergab z. B., dass eine moderat hohe Demokratieförderung von durchschnittlich US$ 2,50 pro Kopf über vier Jahre hinweg das Risiko der Umgehung einer präsidentiellen Amtszeitbeschränkung im Schnitt halbiert.
Basierend auf einer quantitativen Analyse und Fallstudien ergeben sich die folgenden Empfehlungen für internationale Demokratieförderer:
• Demokratieförderung und -schutz komplementär einsetzen. Einerseits gilt es, Demokratie stetig zu fördern, da die Organisations- und Oppositionsfähigkeit politischer und zivilgesellschaftlicher Akteure nur langfristig aufgebaut werden können. Anderseits müssen Demokratieschützer in politischen Krisen auch mit Ad-hoc-Maßnahmen und diplomatischen Mitteln kurzfristig reagieren.
• Demokratieförderung ist eine Risikoinvestition, die sich lohnt. Ob es gelingt, Demokratie langfristig zu fördern und vor Autokratisierung zu schützen, hängt vor allem von heimischen Kräften und Institutionen ab. Auch für sie sind politische Krisen ergebnisoffen. Während Untätigkeit Autokraten eher in die Hände spielt, birgt kontextsensibles Engagement immerhin die Möglichkeit, einen Beitrag zum Erhalt von Demokratie zu leisten.
• Demokratieschutz durch regionale Organisationen stärken. Regionalorganisationen wie die ECOWAS oder AU bieten regionalpolitische Strukturen, die helfen können, deeskalierend zu wirken und glaubwürdige Verpflichtungen vonseiten der Amtsinhaber zu gewährleisten. Internationale Geber könnten sich daher in demokratiekritischen Situationen mit Regionalorganisationen wirksam abstimmen.

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