La veille l’armée avait donné un bilan de trois militaires et deux assaillants tués.
Les deux civils, le deuxième conseiller municipal d’Intagom et son fils, sont des « victimes collatérales » de l’attaque, a indiqué une source militaire à l’AFP jeudi, précisant qu’un soldat était « porté disparu ».
Selon le communiqué de mercredi, tôt mercredi matin, « des individus non identifiés ont attaqué le poste avancé de Intangom à cinq kilomètres de la frontière malienne et à une vingtaine de kilomètres de Tin-Akoff (frontière du Niger) ».
« On pense que ce sont des éléments jihadistes. Le renfort est parti appuyé par un hélicoptère. Nous espérons les localiser », avait déclaré mercredi à l’AFP un haut responsable de l’armée burkinabè sans autre précision.
« Les assaillants sont arrivés vers 04h00 du matin » et étaient armés de « kalachnikovs », a indiqué à l’AFP un haut responsable administratif joint au téléphone à Gorom-Gorom, chef lieu de la province de l’Oudalan dont dépend Intangom.« Ils ont récupéré un véhicule pick-up armé et d’autres armes qu’ils ont abandonnés dans la brousse du côté du Mali où ils sont repartis », a ajouté ce responsable.
Le détachement de l’armée burkinabè occupait depuis peu un poste de police qui avait été l’objet d’une attaque le 1er juin, au cours de laquelle trois policiers avaient été tués.
C’est la première fois que des militaires burkinabè sont tués sur leur sol par des présumés jihadistes. Des douaniers et des policiers ont déjà été tués dans des attaques similaires.L’armée burkinabè dispose depuis 2012 d’un bataillon anti-terroriste au nord, déployé le long de la frontière avec le Mali.
Le nord du Burkina Faso, frontalier du Niger et du Mali, est l’objet d’attaques fréquentes.
Selon un décompte de l’AFP, c’est la huitième attaque perpétrée dans la seule province de l’Oudalan depuis 2015, faisant d’elle la province la plus exposée, mais aucun auteur n’a jusqu’ici été appréhendé.
Début septembre, deux personnes dont un douanier ont été « abattues » dans l’attaque du poste de douane de Markoye, située à 45 km à l’est de Gorom-Gorom.
Longtemps préservé, le Burkina Faso, pays sahélien pauvre d’Afrique, est entré depuis 2015 dans un cycle d’enlèvements et d’attaques terroristes surtout dans sa région septentrionale.
Début avril 2015, un agent de sécurité roumain d’une mine de manganèse avait été kidnappé à Tambao, et en janvier 2016, un couple de médecins australiens – dont l’épouse a depuis été libérée – avait été enlevé à Djibo.
Le 15 janvier 2016, un commando de trois assaillants a tué 30 personnes et fait 71 blessés dans le centre de Ouagadougou.
Nyakunkon a fűtési idény. Akik kizárólag magukra vannak utalva a téli tüzelő beszerzését illetően, minden bizonnyal, persze ha anyagilag tehették, gondoskodtak arról, hogy legalább hat hónapig a család ne fagyoskodjon. Az ország lakosságának nagyjából egyharmada azonban fokozott kíváncsisággal, s némi szorongással próbál tájékozódni arról, hogy a számára érdekes távfűtőműben mi a helyzet, vagyis melegek lesznek-e a radiátorok.
Une « enquête préliminaire » de la Fifa a été lancée sur le geste mimant un égorgement effectué par le défenseur du PSG Serge Aurier lors du match Côte d’Ivoire-Mali (3-1) samedi en qualifications au Mondial-2018, a-t-on appris jeudi après de l’instance mondiale du football.
« Une enquête préliminaire est actuellement en cours », a simplement indiqué la Fifa à l’AFP.
Autour de la demi-heure de jeu samedi soir à Bouaké, l’arrière droit a centré et provoqué un but contre son camp d’un Malien, donnant l’avantage aux Ivoiriens (2-1 à ce moment là). Il l’a alors célébré en se frappant la poitrine du bras droit puis en mimant un égorgement, en direction des tribunes.
Le geste du joueur parisien avait agité les réseaux sociaux, suscitant sarcasmes ou messages de défiance à l’égard des médias.
Aurier (23 ans) a plusieurs fois défrayé la chronique ces derniers mois. Fin septembre, il a été condamné à deux mois de prison ferme après une altercation avec des policiers à Paris. En février, il avait insulté et moqué son entraîneur du PSG d’alors, Laurent Blanc, et certains de ses coéquipiers, sur l’application Periscope.
Lors de ce même match de samedi dernier, Aurier avait aussi eu un geste secourable: il avait évité à un joueur d’avaler sa langue après un choc dans un duel, comme l’avait raconté le sélectionneur du Mali, Alain Giresse, mercredi sur RMC.
« Aurier a eu un réflexe énorme. Je lui en ai parlé après et je l’ai même remercié d’avoir eu ce sang-froid », a ajouté l’ex-membre du carré magique des Bleus des années 1980.
Une « enquête préliminaire » de la Fifa a été lancée sur le geste mimant un égorgement effectué par le défenseur du PSG Serge Aurier lors du match Côte d’Ivoire-Mali (3-1) samedi en qualifications au Mondial-2018, a-t-on appris jeudi après de l’instance mondiale du football.
« Une enquête préliminaire est actuellement en cours », a simplement indiqué la Fifa à l’AFP.
Autour de la demi-heure de jeu samedi soir à Bouaké, l’arrière droit a centré et provoqué un but contre son camp d’un Malien, donnant l’avantage aux Ivoiriens (2-1 à ce moment là). Il l’a alors célébré en se frappant la poitrine du bras droit puis en mimant un égorgement, en direction des tribunes.
Le geste du joueur parisien avait agité les réseaux sociaux, suscitant sarcasmes ou messages de défiance à l’égard des médias.
Aurier (23 ans) a plusieurs fois défrayé la chronique ces derniers mois. Fin septembre, il a été condamné à deux mois de prison ferme après une altercation avec des policiers à Paris. En février, il avait insulté et moqué son entraîneur du PSG d’alors, Laurent Blanc, et certains de ses coéquipiers, sur l’application Periscope.
Lors de ce même match de samedi dernier, Aurier avait aussi eu un geste secourable: il avait évité à un joueur d’avaler sa langue après un choc dans un duel, comme l’avait raconté le sélectionneur du Mali, Alain Giresse, mercredi sur RMC.
« Aurier a eu un réflexe énorme. Je lui en ai parlé après et je l’ai même remercié d’avoir eu ce sang-froid », a ajouté l’ex-membre du carré magique des Bleus des années 1980.
Une « enquête préliminaire » de la Fifa a été lancée sur le geste mimant un égorgement effectué par le défenseur du PSG Serge Aurier lors du match Côte d’Ivoire-Mali (3-1) samedi en qualifications au Mondial-2018, a-t-on appris jeudi après de l’instance mondiale du football.
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Autour de la demi-heure de jeu samedi soir à Bouaké, l’arrière droit a centré et provoqué un but contre son camp d’un Malien, donnant l’avantage aux Ivoiriens (2-1 à ce moment là). Il l’a alors célébré en se frappant la poitrine du bras droit puis en mimant un égorgement, en direction des tribunes.
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Aurier (23 ans) a plusieurs fois défrayé la chronique ces derniers mois. Fin septembre, il a été condamné à deux mois de prison ferme après une altercation avec des policiers à Paris. En février, il avait insulté et moqué son entraîneur du PSG d’alors, Laurent Blanc, et certains de ses coéquipiers, sur l’application Periscope.
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Társadalmi konzultációt kezd a jövő héten a skót kormány az újabb függetlenségi népszavazás lehetőségéről - közölte csütörtökön Nicola Sturgeon skót miniszterelnök.
Pendant plus de deux ans, le Nigeria n'a eu aucune nouvelle des 219 lycéennes – 276 avaient été initialement kidnappées mais 57 avaient réussi à fuir dans les heures suivantes – enlevées dans leur lycée à Chibok par Boko Haram dans la nuit du 14 au 15 avril 2014. Puis, le 17 mai 2016, une des jeunes filles était retrouvée vivante dans la forêt de Sambisa, fief du groupe terroriste.
In link with the classification of the Russian non-governmental organisation International Historical and Human Rights Society (IHHRS) 'Memorial' as 'a foreign agent', the Chair of the Subcommittee on Human Rights of the European Parliament, Elena Valenciano (S&D, ES) made the following statement:
Speaking on behalf of the European Parliament's Subcommittee on Human Rights, I denounce the decision taken by the Russian authorities which is another attempt to silence an independent organisation that promotes and protects human rights through peaceful advocacy work.