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God save … l’Angleterre et l’Europe ! Ne dites plus 28 mais 27

Bruxelles2 - Fri, 24/06/2016 - 11:20

le HMS Vanguard (crédit : UK Royal Navy)

(BRUXELLES2) Jusqu’au dernier moment les sondages ont fait traîner un leurre, le « Remain » l’emportant assez largement. Jusqu’à minuit on était encore à des sondages gagnant à 52% (YouGov) voire à 54% (IpsosMori). Avant de battre en retraite piteusement. Le Brexit s’installait durablement durant la nuit au fur et à mesure des dépouillements dans l’Angleterre traditionnelle. Les pro-européens ont dû déchanter. Le ‘Leave » avait gagné. Mon analyse tranche sans doute avec la plupart des commentaires apitoyés. Mais je ne suis pas sûr que le Brexit — qui pose toute une série de questions — soit le désastre annoncé… pour plusieurs raisons. C’est un saut certain dans l’inconnu… Mais un saut contrôlé !

Le résultat était-il une totale surprise ?

Le contraire aurait été surprenant. Cela fait des années que les principaux journaux à gros tirage (Daily Mail, Daily Telegraph, Daily express) montrent, exemples à l’appui (souvent les plus farfelus…) que l’Europe n’est pas une bonne chose et qu’il serait bien meilleur d’être tout seul. Ils ont fait une campagne intense en faveur du Brexit. Cela fait des années, aussi, que de nombreux responsables politiques pointent du doigt Bruxelles pour éviter de s’interroger. David Cameron n’ayant pas été le dernier dans ce sport de l’ ‘Europe Bashing’. Sa volte-face pro-européenne, aurait constitué un véritable tour de force s’il avait réussi.

Est-ce une catastrophe pour l’Europe ?

Ce n’est pas sûr. D’une part il y aura un accord avec le Royaume-Uni pour permettre aux Européens et aux Britanniques de continuer à commercer et à se financer ensemble. La City, l’industrie, l’économie britannique ont besoin des débouchés européens. Et vice-versa. Il y a une convergence très nette d’intérêts qui va pousser dans le sens d’un accord permettant au Royaume-uni de continuer à s’arrimé économiquement au continent. Cette solution convient d’ailleurs aux Britanniques : bénéficier sans participer. Lire : Après le Brexit : fini le marché unique et tout le reste ? Raison gardons ! Scénarios… Ensuite tout dépend de la réaction des pays fondateurs qui, jusqu’à présent, sont restés (depuis une dizaine d’années) très timides (un mot gentil !) sur la construction européenne.

Un accord est-il facilement négociable ? Rapidement ?

L’accord ne sera pas facile à négocier. Car il y a une série de liens à dénouer et … à renouer. C’est un peu une procédure d’élargissement à l’envers. Dans cette négociation, il reste deux atouts majeurs : 1) le Royaume-Uni reste membre des autres organisations européennes (OCDE, Conseil de l’Europe, OTAN, OSCE) et il peut revenir à l’AELE qu’il avait contribué à créer. 2) Le Royaume-Uni ne participe déjà pas à la moitié des politiques européennes (Euro, Espace Schengen, Coopération policière et judiciaire). Il n’est pas membre ainsi de la Banque centrale européenne, de l’Agence Frontex. En matière de défense européenne, il reste un ‘outsider’.

Peut-on arriver rapidement à un accord ?

Ce sera difficile. Mais on peut penser que la négociation pourrait être plus rapide que prévu, au moins sur l’essentiel : l’économie. Il est hors de question pour le Royaume de laisser planer une quelconque incertitude pour les investisseurs étrangers, et pour tous les secteurs économiques (finances, commerce maritime, industrie, immobilier…) essentiels à l’économie britannique et sensibles aux mouvements extérieurs. Les derniers temps, ceux-ci ont retenu leur signature, ou inséré une « clause Brexit » de révision possible du contrat. Ce serait arrêter toute la machine économique britannique. Dès l’annonce du Brexit, les bourses ont chuté. Si l’incertitude se prolongeait, ce mouvement superficiel, de mauvaise humeur pourrait, lui aussi, se prolonger et endommager gravement l’économie britannique. Un accord, au moins transitoire, devrait donc être annoncé rapidement. La City insiste ainsi pour une solution provisoire.

Quand démarre la négociation ?

Officiellement il faut attendre la notification par le gouvernement britannique de sa décision de sortir de l’Union européenne et de faire jouer la procédure prévue à l’article 50 du traité européen (Lire : Brexit ! Quelle procédure pour le retrait ? Quand est-ce applicable ?). Dans les faits, point besoin d’attendre. Dès maintenant, juristes et sherpas sont au travail pour bâtir une solution convenable pour tout le monde. Si aucun délai n’est fixé pour la notification dans les traités, on peut se demander si une notification qui est juste la transcription des résultats d’un vote populaire peut vraiment tarder plusieurs mois. C’est douteux juridiquement et, surtout, très dangereux politiquement et… économiquement.

Quelles conséquences sur le gouvernement britannique ?

Il va être secoué. Ce référendum est une décision propre, personnelle, de David Cameron. Une promesse de campagne. Rien ne justifiait ni au niveau politique ni au niveau juridique la mise en place d’un référendum sur l’Union européenne. Le Premier ministre britannique s’est engagé pleinement dans la campagne, énergiquement. Mais il va désormais devoir assumer ce qui est, avant tout, sa défaite, personnelle. Il a d’ailleurs annoncé sa démission… d’ici le mois d’octobre, le temps de trouver un remplaçant. Les Tories vont sortir affaiblis de la bataille qui les a divisés.

Quelles conséquences pour le Royaume-Uni ?

C’est une vraie question. L’Ecosse, proprement européenne, pourrait être tentée par l’aventure solitaire et rejoindre de façon indépendante l’Union européenne. Ce qui est juridiquement tout à fait possible à condition que ce soit politiquement possible (avec un second référendum sur l’indépendance en Ecosse). Il suffit de négocier un accord dans l’accord pour permettre la continuation des Ecossais aux accords liant le Royaume-Uni à l’Union européenne. En soi, la question écossaise n’est pas très préoccupante pour la stabilité européenne… Le problème plus inquiétant, et souvent minoré, est l’Irlande du Nord. L’accord de paix signé en Ulster n’est pas encore parfaitement consolidé. L’idée d’une Irlande réunifiée est évoquée aujourd’hui clairement par certains partis comme le Sinn Fein (gauche, ancienne branche politique de l’IRA).

Quelles conséquences pour l’Europe ?

Elles sont difficiles à estimer. Mais ce qui est sûr aujourd’hui, c’est que l’Union européenne va sérieusement devoir réfléchir à son fonctionnement. La méthode du « vélo » semble morte. Les institutions européennes sont déconnectées de la population. Et la faute n’en revient pas au Royaume-Uni mais … aux pays fondateurs.

Quelles conséquences pour la défense européenne ?

Aucune ! (Lire : Brexit. Le Britannique est-il nécessaire à l’Europe de la défense ? (et article à suivre)

(Nicolas Gros-Verheyde)

Lire aussi : God save the Queen ! L’Europe à la veille d’une révolution politique ?

et notre dossier N°38. Brexit ou Remain. Quand le Britannique se tâte sur l’Europe

Categories: Défense

Musique et concerts à la Maison d'Europe et d'Orient

Courrier des Balkans - Fri, 24/06/2016 - 11:18

Musique à la MEO#2 musiques d'Europe et d'Orient
Lundi 13 juin 19h00 Shono et Mandaakhjargal Daansuren Chant diphonique et musique bouriate et mongole. Deux musiciens d'exception vous font voyager à travers les épopées et les mythes fondateurs de leur peuple.
21h00 Lemon Far East D'inspiration orientale, l'écriture finement ciselée du groupe ouvre la voie à la transe et à l'improvisation !
Mercredi 15 juin 19h00 Linalone Linalone décloisonne les genres, les cultures et les langues, s'amuse à voyager (...)

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Categories: Balkans Occidentaux

Chammal : Le Forbin retrouve le groupe aéronaval américain CSG-8 en Méditerranée Orientale

Déployé depuis le 19 mai 2016 dans l’opération Chammal, le Forbin a été placé du 2 au 14 juin 2016 en soutien associé du groupe aéronaval américain Carrier Strike Group 8 (CSG-8), qui a opéré pendant une quinzaine de jours depuis la Méditerranée orientale.
Categories: Défense

Press release - Plenary session live - Brussels - 23/06/2016

Europäisches Parlament (Nachrichten) - Fri, 24/06/2016 - 10:34
General : Extraordinary Plenary session live in Brussels

Source : © European Union, 2016 - EP
Categories: Europäische Union

Press release - Plenary session live - Brussels - 23/06/2016

Európa Parlament hírei - Fri, 24/06/2016 - 10:34
General : Extraordinary Plenary session live in Brussels

Source : © European Union, 2016 - EP

Press release - Plenary session live - Brussels - 23/06/2016

European Parliament (News) - Fri, 24/06/2016 - 10:34
General : Extraordinary Plenary session live in Brussels

Source : © European Union, 2016 - EP
Categories: European Union

Press release - Plenary session live - Brussels - 23/06/2016

European Parliament - Fri, 24/06/2016 - 10:34
General : Extraordinary Plenary session live in Brussels

Source : © European Union, 2016 - EP
Categories: European Union

Press release - Plenary session live - Brussels - 23/06/2016

Parlement européen (Nouvelles) - Fri, 24/06/2016 - 10:34
General : Extraordinary Plenary session live in Brussels

Source : © European Union, 2016 - EP
Categories: Union européenne

L’esprit de cordée dans l’épreuve pour atteindre les cimes

Tout au long de l’année, les chasseurs alpins se mobilisent pour apporter un soutien financier et moral aux veuves et orphelins de l’armée de Terre ainsi qu’à leurs camarades blessés au combat ou en service. Point d’orgue annuel de cette volonté : la Journée de soutien aux blessés de l’armée de Terre (JSB) dont la 6e édition s’est tenue il y a quelques jours à Grenoble. Plus de 50 000 euros ont été récoltés pour aider les blessés et familles endeuillées.
Categories: Défense

Syed Kamall: "Brexit ist ein Warnschuss"

EuroNews (DE) - Fri, 24/06/2016 - 10:25
Der Chef der Fraktion der Europäischen Konservativen und Reformer, der britische Europaabgeordnete Syed Kamall, hat die Entscheidung in Großbritannien als einen Warnschuss…
Categories: Europäische Union

Brexit : quelles conséquences pour l'Afrique ?

Jeune Afrique / Economie - Fri, 24/06/2016 - 10:23

Les Britanniques ont voté en faveur de la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne (UE). "The Africa Report" fait le point sur les conséquences possibles en Afrique : volatilité des marchés, pression sur les conditions de financement, renégociation d'accords commerciaux...

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Categories: Afrique

Migration and human trafficking in focus of joint visit of OSCE Special Representative, Parliamentary Assembly humanitarian Chair, to Italy’s Lampedusa

OSCE - Fri, 24/06/2016 - 10:16

CATANIA, Italy, 24 June 2016 – The OSCE Special Representative and Co-ordinator for Combating Trafficking in Human Beings, Madina Jarbussynova, on Thursday concluded a joint visit to Lampedusa and Catania, Italy, with the OSCE Parliamentary Assembly humanitarian Chair in order to assess conditions among migrants and refugees and evaluate risks for human trafficking.

The five-day trip allowed them to meet with a range of officials, hold conversations with refugees and sail aboard Italian coast guard vessels carrying out rescue operations in the Mediterranean. On the aircraft carrier Garibaldi they were also briefed about the European Union Naval Force – Mediterranean (EUNAVFOR MED) and had a chance to observe its patrolling operations at sea.

“People on the move in the Mediterranean region are at great risk of becoming human trafficking victims, but we can prevent this crime,” Jarbussynova said. “The Italian authorities are working hard to save migrants at sea and assist them on land, and I was encouraged by what I saw at the Lampedusa and Catania reception centres.”

Both Lampedusa and Catania, on Sicily, are part of the European Union’s new Hotspot approach, which supports the swift identification, registration and fingerprinting of people in areas facing a large influx of migrants. Lampedusa is an official Hotspot, while Catania serves as the regional headquarters.

Often impoverished and jobless, migrants can become easy targets for those who abuse them in situations of modern-day slavery, part of an illegal multi-billion euro industry.

Jarbussynova was joined on the trip by Isabel Santos (MP, Portugal), Chair of the OSCE Parliamentary Assembly’s General Committee on Democracy, Human Rights and Humanitarian Questions.

“I am impressed by the efforts of the officials, professionals, volunteers and activists in Italy, who under difficult circumstances are showing great dedication and are doing the best they can to provide assistance and protection,” Santos said. “European countries must show greater solidarity and speed up the relocation process in order to more equitably host men, women and children fleeing their homes due to conflict and persecution. Our responsibility to protect lives comes above any responsibility to protect borders.”

Santos called on fellow parliamentarians from OSCE participating States to create the political will necessary to establish humanitarian corridors and legal channels of access to Europe.

The Office of the Special Representative and Co-ordinator for Combating Trafficking in Human Beings emphasized migration issues in its work since 2015, when it devoted the 15th Alliance conference to the trafficking risks migrants face. Earlier this month Jarbussynova launched a ground-breaking training initiative in Vicenza, Italy, and also visited several countries affected by the recent influx. Additional trips to Bulgaria and Greece are scheduled later this year. 

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Categories: Central Europe

‘All changed, changed utterly’ – How the Brexit vision of UK freedom risks turning sour

Europe's World - Fri, 24/06/2016 - 10:09

“All changed, changed utterly,” wrote the celebrated Irish poet W.B. Yeats of the 1916 Easter Rising in Dublin, adding “a terrible beauty is born!” A century later, he might well have been writing about the result of Britain’s referendum on EU membership.

Radical change has been the dream of the UK’s triumphant Brexiteers, but what, beautiful or not, will be born? An absence of clarity about the impact of Brexit on the UK, the rest of Europe and worldwide will last for a decade at least. The notion that Britain can neatly cut the links binding it to continental Europe will quickly prove absurd, as will the idea that the surgery will be painless and only local.

To return to that ‘terrible beauty’; the referendum result suggests that a majority of British voters believe they have freed themselves of the cumbersome diktats of the EU ‘superstate’, and that the UK will be able to rediscover its former glory. They see the British lion again standing rampant at the centre of an international trading system wider than Europe, with the strength to impose some benign new form of Pax Britannica whenever troubles threaten.

The picture is beguiling but misleading. It is impossible to predict how the 27 remaining EU member states will react, but right now it seems likely that next week’s scheduled meeting of the European Council grouping national leaders will be a subdued affair.

David Cameron’s successor will presumably attend as Britain’s prime minister, and the appropriate courtesies will be extended to him, along with commiserations for having lost the referendum.

Once the dampening effects of shock wear off, though, the pain will come flooding in. This summer will see the beginning of a tumultuous political crisis that will probably set many EU member states against one another, and will certainly reverberate around the world.

It is too soon even to guess at the immediate consequences of the vote for Brexit. The pound sterling will probably tumble, stocks and shares slide and the global financial system will be severely shaken. But what goes down can also come back up, so the more important question is the longer term political outlook for the EU and for the 60-year process of European integration.

Will Britain’s exit trigger a wave of copycat pressures across the Union, as many fear? The European Union’s global credibility is going to suffer, and the further risk is that voters in other European countries will demand special treatment that could, unless satisfied, prompt fresh demands to leave the EU.

The arguments raging so fiercely in recent months inside the UK have been followed closely elsewhere, not least by Europe’s eurosceptic populists. The established centre-right and centre-left mainstream parties that in effect govern the EU’s choices and direction know that their reactions to the Brexit decision must avoid strengthening their hand.

That leaves the EU and its member governments with a difficult balancing act. They must avoid panicking and permitting the UK’s withdrawal negotiations to exacerbate euroscepticism elsewhere. And they must at the same time create a more positive climate so as to move the European project forward.

A first step would be to stop pretending that the EU’s lack of accountability is no problem. Eurosceptics are not the only ones to question the secrecy surrounding Council of Ministers’ meetings that produce no public record of who said what, along with the unelected character of the European Commission.

No one can predict the sort of more open, democratic and transparent EU decision-making structure that might emerge from a re-think. The EU and the national leaders who in truth are responsible for its policies would, however, be very unwise to ignore the pressures for reform. Not the sort of narrow, self-serving ‘reforms’ that Britain’s prime minister David Cameron attempted to secure earlier this year, but imaginative improvements that could restore the EU’s credibility and popularity.

IMAGE CREDIT: CC / FLICKR – Dave Kellam

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Categories: European Union

Rotation allemande en Méditerranée. Avec des Finlandais à bord !

Bruxelles2 - Fri, 24/06/2016 - 09:38

L’équipe d’abordage des Finlandais (crédit : Bundeswehr / Achim Winkler)

(B2) La relève allemande pour l’opération Sophia (EUNAVFOR Med) est en route. Le navire de transport Werra (A-514) et le chasseur de mines Datteln ont quitté leur base de Kiel pour rejoindre la Méditerranée centrale. Ils vont venir relayer le ravitailleur Frankfurt et la frégate Karlsruhe. Relais normalement prévu le 1er juillet.

N’oubliez pas !

Avant leur départ, le ministre de l’Intérieur du Schleswig-Holstein, Stefan Studt (SPD), a voulu rappelé le côté humain de cet engagement. « Partout dans le monde, des familles fuient la violence. Les chiffres sont impressionnants. Mais il ne faut pas oublier que ce sont des mères et des pères, des filles et des fils. Ce sont des gens comme vous et moi, que la guerre a forcés à fuir ».

Des Allemands en diminution

En termes de militaires, cela représente cependant une décrue très nette du nombre de militaires allemands engagés. Le « Werra » compte un équipage de 67 personnes (commandant : Mirko Preuss) et le Datteln 40 membres d’équipage (commandant Björn Fischer). Soit à peine plus de 100 officiers/sous-officiers et matelots.

Des Finlandais toujours engagés

A bord du Werra, va embarquer une équipe de 12 militaires… finlandais spécialement formés. Ils vont composer une équipe d’abordage à même soit d’aller au secours des migrants soit d’assurer le contrôle des navires « suspects ». Ce n’est pas une nouveauté en soi. Les Finlandais sont déjà présents depuis décembre dernier à bord des navires allemands. Au départ, ils ont été embarqués sur le navire de soutien Berlin, puis ont été transférés sur son navire jumeau Frankfurt am Main.

Des codes à la place de l’anglais

Achim Winkler, l’officier de presse du Frankfurt am Main, en témoigne. « Leur intégration avec l’équipage allemand a parfaitement bien fonctionné. Ces gars parlent tous un anglais excellent. Pourtant, les défis ont surgi auxquels personne n’avait vraiment pensé à l’avance. Les Finlandais ne pouvaient pas comprendre les annonces en allemand faites sur les haut-parleurs du navire et ont loupé donc quelques alarmes. Pour y remédier, une liste de codes a été créé. Les messages allemands ont donc été modifiés avec des codes comme « Bravo deux », « Alpha trois » ou « Papa one » »

Une méthode bien répétée

Lors de l’évacuation des canots de fortune où s’entassent les migrants et les réfugiés, l’équipe se divise. « Une partie monte dans les deux vedettes du navire à la rencontre des occupants du canot. « Ils donnent une main » pour aider les passagers en détresse à monter à bord « mais gardent une autre libre, prêts à réagir immédiatement en cas de danger, si nécessaire par la force des armes. A l’arrière, une équipe de tireurs d’élite sécurise les propres soldats. Il ne peut jamais être exclu qu’un terroriste se soit glissé parmi les réfugiés et veuille mener une attaque au milieu des gens sur le bateau surchargé. Un des officiers d’embarquement, sur la piste de pont du navire, est en contact radio constant avec ses hommes. Les soldats restants sont répartis sur les points de récupération à bord du navire pour garder leurs camarades en vue ou pouvoir répondre en cas de chute. »

L’équipe d’abordage ou VPD : une spécialité finlandaise ?

Les Finlandais sont des habitués de ce type d’engagement. Ils avaient constitué une équipe de VPD autonomes pour accompagner les navires du PAM (le programme alimentaire mondial) dans l’opération anti-piraterie de l’UE (EUNAVFOR Atalanta). Ils ont aussi embarqués à bord de la frégate « Augsburg » et « Schleswig-Holstein » en 2014 pour assurer l’escorte du navire spécial américain ‘Cape Ray’, assurant le convoyage es armes chimiques syrienne pour être détruites.

 

(NGV)

Categories: Défense

Communiqué de presse - Déclaration du Président Schulz et des présidents des groupes politiques

Parlement européen (Nouvelles) - Fri, 24/06/2016 - 09:29
Général : Le Président du Parlement européen Martin Schulz et les présidents des groupes politiques du PE ont fait des déclarations à la presse le 24 juin suite à une réunion extraordinaire de la conférence des présidents (qui réunit le Président du PE et ceux des groupes politiques du Parlement) sur les résultats du référendum britannique du 23 juin.

Source : © Union européenne, 2016 - PE
Categories: Union européenne

Pressemitteilung - Erklärungen von Präsident Schulz und Fraktionsvorsitzenden zum EU-Referendum

Europäisches Parlament (Nachrichten) - Fri, 24/06/2016 - 09:17
Allgemeines : Der Präsident des Europäischen Parlaments Martin Schulz und die Fraktionsvorsitzenden haben am Tag nach dem Votum der Briten für einen EU-Austritt im Anschluss an die Konferenz der Präsidenten (EP-Präsident und Fraktionsvorsitzende) Erklärungen zum Ergebnis des EU-Referendums im Vereinigten Königreich am 23. Juni abgegeben.

Quelle : © Europäische Union, 2016 - EP
Categories: Europäische Union

100 ans d'escadrilles le 14 juillet

Le mamouth (Blog) - Fri, 24/06/2016 - 09:03
On connaît désormais totalement la maquette du défilé aérien, dévoilée sur ce blog il y a plusieurs
Plus d'infos »
Categories: Défense

Carnet (24.06.2016). EUNAVFOR Med (Luxembourg). Menaces hybrides. Dépenses de défense. France (avions). Chine (stratégie). Corée du Nord (missiles). Fyrom (progrès limités). Monténégro (bilan). Jordanie (attaque). Israël (partenariat). Réfugiés (aide).

Bruxelles2 - Fri, 24/06/2016 - 09:00
(B2) Parus récemment : Helga Schmid, la nouvelle tête pensante du service diplomatique européen * Près de 5000 migrants secourus en Méditerranée jeudi Le procureur Loutsenko évoque le Français arrêté en Ukraine. Le mystère s’épaissit Une conférence internationale d’ici la fin de l’année est souhaitable (Mahmoud Abbas) * Centrafrique : une fenêtre d’opportunité unique (Hautecloque-Raysz) […]
Categories: Défense

Second policy dialogue on “Modernising Myanmar’s economy - building on a strong agricultural sector” held in Nay Pyi Taw

Hanns-Seidel-Stiftung - Fri, 24/06/2016 - 09:00
Second policy dialogue on “Modernising Myanmar’s economy - building on a strong agricultural sector” held in Nay Pyi Taw

Design 770. Az olasz zsebcsatahajó.

Héttenger - Fri, 24/06/2016 - 08:50

1928-ra az olasz haditengerészet nagy hadihajói, melyek építését még az első világháború előtt kezdték meg, már nyilvánvalóan elavultak voltak. A kiöregedő hajókat fokozatosan vonták ki a szolgálatból, miközben megkezdték a pótlásukra szánt új egységek tervezési munkáit, noha a pénzügyi nehézségek miatt azok megépítéséről egyelőre nem lehetett szó. A flotta költségvetését a húszas években teljesen kimerítette a cirkáló és romboló építési program.

A haditengerészetnek az első világháború után megmaradt öt csatahajójából, melyek már szolgálatba állításuk idején sem számítottak az igazán élvonalbeli csatahajók közé, hármat már leszereltek, és tartalékba állítottak, majd a Dante Alighierit le is selejtezték. Csak a Duilio osztály két csatahajója maradt még egy ideig szolgálatban, de komolyabb korszerűsítéseket ezeken se hajtottak végre.

[...] Bővebben!


Categories: Biztonságpolitika

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