Après avoir tenu des sit-in, des conférences de presse, et interjeté appel au niveau de la cour d’appel de Bamako, les opposants ont finalement eu gain de cause, car leur liste a été finalement validée. De facto, la liste Urd-Fare-Jamma-Parena pourra participer aux joutes électorales du 20 novembre prochain. En plus de leur liste, celle de l’Adema est aussi validée par la Cour d’appel.
Le samedi 22 octobre dernier, les responsables du parti URD- FARE AN KAWILI -Jamma-PARENA et Adema Pasj étaient face à la presse pour dénoncer l’invalidation de leurs listes. Le mardi 25 octobre 2016, ils ont récidivé en tenant un sit-in. En effet, dans la matinée du 25 octobre dernier, les militants, militantes et sympathisants des partis politiques URD, JAMMA, FARE, -PARENA et de l’ADEMA avaient pris d’assaut devant le tribunal de grande instance de la commune II du district de Bamako pour tenir un sit-in. L’objectif de ce sit-in de protestation était de manifester leur mécontentement face à l’annulation par ledit tribunal de leurs listes pour les élections communales du 20 novembre prochain.
Les responsables de ces cinq partis politiques exigeaient la validation de leurs listes faute de quoi, il n’y aura pas d’élection en commune II. Furieuse du verdict donné par le tribunal de la commune II, la liste d’alliance URD, JAMMA, FARE, -PARENA et la liste de l’ADEMA interjetèrent appel devant la cour d’appel de Bamako pour la validation de leurs listes électorales. Ils ont finalement eu gain de cause. Car, la cour d’appel de Bamako vient de leurs donnés raisons tout en validant leurs listes. Cette information a été donnée hier jeudi 3 novembre 2016 par le président du Parti pour la renaissance nationale (Parena) Tiébilé Dramé et d’autres responsables de l’opposition au cours d’une conférence de presse à la Maison de la presse de Bamako.
Ainsi, cette décision de la cour d’appel permettra donc à la liste d’alliance Urd-Fare-Jamma-Parena et celle de l’Adema de participer aux élections du 20 novembre prochain et dont la campagne électorale s’ouvre, en principe, ce vendredi. D’après la commission administrative en 2011, la commune II avait 123.759 électeurs inscrits. En 2012, le nombre d’électeurs de la commune était de 131.273 soit une augmentation de 7.514 électeurs. Par ailleurs il importe de faire remarquer qu’au total, c’est vingt partis politiques qui ont participé aux élections communales d’avril 2009, seulement sept partis ont pu obtenir des conseillers. Il s’agit de : l’ADEMA, l’URD, le CNID, le MPR, la CODEM, le RPM et l’UDD.
Après la constitution du bureau communal, les partis membres sont : l’ADEMA, l’UDD et le CNID. Actuellement, l’ADEMA compte 16 conseillers, l’URD 8, le MPR 1, RPM 3, le CNID 4, UDD 0, le PDES 1, la CODEM 2, et l’ADM 1. Au regard de cette réalité politique nous pouvons dire que l’ADEMA et l’URD comptent, à eux deux seuls, plus de la moitié des élus communaux en commune II. Surtout que les deux partis se trouvent renforcés par d’autres partis constitués par des personnalités qui comptent dans la commune par rapport à leurs assises sociales.
Aguibou Sogodogo
Source : Le Républicain
Ma hatályba lépett a Párizsi Megállapodás, amely azt a célkitűzést erősítette meg, hogy a Föld légkörének felmelegedését a kötelezettséget vállaló 195 ország 2 Celsius-fok alatt tartja az iparosodás előtti mértékhez képest, és folytatja az arra irányuló erőfeszítéseket, hogy a felmelegedés csak 1,5 fokos legyen.
A megállapodást a klímaváltozás elleni nemzetközi összefogás eredményeként 2015. december 12-én fogadták el. A 1,5 fok megemlítése a megállapodásban a tengerszint emelkedésével létükben fenyegetett szigetállamok kérése volt, amit több mint száz ország, köztük az Európai Unió tagállamai, valamint az Egyesült Államok is támogatott.
A megállapodás egyik kulcseleme a finanszírozás, amely minden országot részvételre ösztönöz, többek között a magánforrások minél szélesebb körű bevonásával. Az aláíró országok ötévente értékelik intézkedéseik eredményét.
Magyarország az Európai Unió hat másik tagállamával együtt – Ausztria, Franciaország, Málta, Németország, Portugália és Szlovákia – október 5-én ratifikálta a megállapodást, miután előző nap az Európai Parlament és az Európai Tanács is megtette ezt. A hatályba lépés feltétele volt, hogy ratifikálja legalább 55 ország, amelyek együttesen a globális felmelegedésért felelős gázok 55 százalékát bocsátják ki.
Számos ország, köztük a világ két legnagyobb szén-dioxid-kibocsátója – Kína és az Egyesült Államok – ratifikálta a klímamegállapodást. Az EU és hat tagállamának csatlakozása után immár 72 ország lett részese az egyezménynek, amelyek a globális kibocsátások 56,725 százalékáért felelnek.
A 2020-ig kidolgozandó részletszabályok további hatékony eszközöket sorakoztathatnak fel a
klímaváltozás ellen, meghatározva a globális fellépés irányát a következő évtizedekre.
L’objectif de cette rencontre pour le Procureur général, était de donner son point de vue sur les mesures à prendre en vue de lutter contre l’insécurité grandissante dans la ville de Bamako et environs. Il s’agissait également d’échanger avec ses collègues afin de trouver rapidement des solutions pérennes permettant de rassurer la population. Mahamadou Lamine Coulibaly souhaite que les procédures pendantes au niveau des commissariats ou des unités d’enquêtes, soient déférées dans les meilleurs délais pour permettre que la poursuite de contrôle soit immédiatement appliquée avec des sanctions. Il recommande qu’à la mesure du forfait, qu’il y ait des sanctions dissuasives qui peuvent rassurer les populations. Les attaques qu’on avait l’habitude de voir jusque là étaient des attaques nocturnes.
Le cas d’ECOBANK était de jour. La population malienne n’est pas habituée à ce genre d’attaque, dit-il. Sur le plan national, le Procureur général Mahamadou Lamine Coulibaly souhaite l’accompagnement de toutes les populations auprès des services de renseignement et des forces de sécurité. Pour lutter contre les malfrats, il faut forcément que la population coopère avec les autorités et qu’elle communique. Le Procureur a enfin appelé les agents de police et ceux des services de renseignement à redoubler d’efforts et à opérer de jour comme de nuit. Cela, pour rassurer la population que les malfrats qu’on est en train de traquer seront retrouvés et sanctionnés avec la dernière rigueur.
Drissa Togola
Source : Le Challenger
Alors qu’allait avoir lieu le vote historique de la résolution L.41 à l’ONU, la France faisait pression sur ses eurodéputés pour qu’ils votent « non » à une résolution similaire du Parlement Européen !
November 3, 2016 (KHARTOUM) - Head of the African Union United Nations Mission In Darfur (UNAMID) Thursday welcomed the extension of unilateral cession of hostilities by armed groups in Darfur and called for the signing of a comprehensive truce.
The Sudan Liberation Movement of Minni Minnawi (SLM-MM), Sudan People's Liberation Movement-North (SPLM-N) and Justice and Equality Movement (JEM) extended on 31 October an unilateral truce to 30 April 2017.
"UNAMID's Joint Special Representative, Martin Uhomoibhi, commended the declaration and used the opportunity to, once again, call upon Abdel Wahid al Nur, leader of the Sudan Liberation Army- Abdul Wahid (SLA-AW), “to make a similar declaration to signal a genuine intent that peace is a strategic choice for him and his movement,” reads a statement extended to Sudan Tribune.
“Each other party to the conflict has made gestures to indicate willingness to engage in peace; now is the time for Mr. al-Nur to make such a gesture,” emphasised Uhomoibhi who is also the joint chief mediator for peace in Darfur.
The SLM-MM and JEM, two groups of Darfur region, are part of a peace process brokered by the African Union High Level Implementation Panel (AUHIP). They also signed a Roadmap Agreement with the government in order to end the conflict and participate in an inclusive constitutional conference.
The SLM-AW refuses to join the negotiating table before to disarm the government militias, return of displaced population to their home villages and to end land grabbing. Also clashes between the rebel fighters and the government forces displaced thousands of people from Jebel Marra area.
Earlier this year, Uhomoibhi and U.S. Special Envoy, Donald Booth met with Abdel Wahid in Paris in a bid to persuade him to join the AUHIP process.
International officials say his refusal hampers the negotiations with the other armed groups, as his attitude encourages them to adopt a tough stance in the discussions with the government.
(ST)
En hommage à Ghislaine et Claude, RFI a initié la « Bourse Ghislaine Dupont et Claude Verlon » qui est à sa troisième édition. Sur décision de l’ONU, le 2 novembre de chaque année est célébrée comme la Journée Internationale de la fin de l’impunité des crimes commis contre les journalistes. Cela ne suffit pas. Hier comme aujourd’hui, il faut la vérité sur cette affaire et la justice pour nos deux confrères.
Le gouvernement de la République ne fait rien dans les enquêtes sur l’assassinat et étale son hypocrisie. Depuis 2012, aucun service d’enquêteurs ou judiciaire n’est présent à Kidal. Au moment de ce drame, Bamako n’avait la maîtrise que sur une très petite portion de la ville de Kidal, devenue un no man’s land par la faute du gouvernement français qui a confié le contrôle de Kidal à ses amis du MNLA qui avaient pourtant été déculottés par les islamistes du MUJAO sur les terres de leur imaginaire République de l’Azawad. Pis, depuis mai 2014, Kidal échappe à tout contrôle du gouvernement du Président Ibrahim Boubacar Kéïta qui est obligé d’accepter tout pour pouvoir y mettre le pied.
L’armée française et les services secrets de l’ancienne puissance coloniale savent quelque chose sur les circonstances de l’assassinat de Gislaine et Claude. Il est peu probable que nous sachions un jour la vérité sur cette affaire qui embrasse au plus haut niveau les autorités françaises qui ont noué des alliances compromettantes avec des personnalités à la moralité et aux fréquentations douteuses. Il est peu probable que nous sachions la vérité sur cette affaire puisque l’armée qui contrôle ce vaste espace depuis janvier 2013, s’est attribué ‘’un permis de tuer’’ pour reprendre une expression de l’ancien diplomate français, Laurent Bigot. L’armée française annonce avoir éliminé des chefs terroristes à coup de grands communiqués soigneusement rédigés. Des éliminations difficilement vérifiables par le commun des mortels. Il est peu probable que les parents de Gislaine et Claude et leurs collègues obtiennent un jour justice.
Et pourtant, il faut la vérité et la justice pour nos deux confrères froidement abattus par des individus sans foi ni loi.
Chiaka Doumbia
Source : Le ChallengerNorth Korea’s provocative behavior has reached a new and unprecedented level after its last successful nuclear test on September 9th. In the last year, a new and dreadful level of activity has characterized Pyongyang’s provocations with two nuclear tests, an intercontinental ballistic test and countless submarine-launched ballistic missile (SLBM) and intermediate-range ballistic missile (IRBM) tests.
Since Kim Jong-un succeeded to its father in 2012, Pyongyang has consistently accelerated the acquisition of nuclear weapons and ballistic missile capabilities in order to fulfil the pursuit of the status of Nuclear Power Nation, as reaffirmed during last Korean Workers Party Congress in May.
While the U.S. and China strongly demand the denuclearization of the Korean peninsula, the end of the North Korean nuclear program and the resume of the Sixth Party Talks, there are evident signals that Pyongyang is determined to increase its military provocations as shown by the recent failed Musudan missile test on October 16th, recently reported by the United States Strategic Command.
Yet, the fast-paced level of technical sophistication in the acquisition, potential miniaturization and range-expansion of the nuclear warheads remains the biggest threats to South Korea and Japan, considered as primary targets. The U.N. Security Council remains adamant in condemning any additional transgressions of the nuclear NonProliferation Treaty, deploring all the grave violations of the previous resolutions against North Korea.
Despite the efforts of the international community to implement the economic sanctions against North Korea, Pyongyang remains determined to pursue the acquisition of nuclear weapons as main tool for regime survival, threatening the fragile balance in the Korean peninsula. The two Koreas remain technically at war, despite an armistice the 1953’s armistice, which ensured de facto the cessation of the hostilities.
From cordial mistrust to closer ententeJapan and South Korea are the most strategically valuable U.S. allies in the region, but also the most exposed to the threat of military retaliation from Pyongyang. While Obama Administration has emphasized its commitment in preventing Pyongyang’s full acquisition of military and nuclear capabilities, concerns over the limited results achieved by the strategic patience approach has surely affected Japan and South Korea’s perception of Washington’s recalibrating role in the region.
Earlier this year, President Park responded to Pyongyang’s escalating missile and nuclear threat with a new and more hawkish policy towards North Korea, characterized by abandoning the path of dialogue and negotiation while relying more and more on a robust deterrence and defense capabilities such as the Terminal High Altitude Area Defense (THAAD) system.
Japan under Abe Administration has increasingly responded to the severe shifts in the regional and international scenario, embarking on a wide reform of its security posture that fostered a debate over the opportunity for marked amendments of Japan’s post-war Constitution.
Currently, Japan is expanding its engagement in promoting a new and more pragmatic role aside Washington through a proactive contribution to peace, while abiding by the commitment of the U.S.-Japan alliance.
On August 3rd, North Korea fired an intermediate-range Rodong missile that fell in the Sea of Japan, 250 km from the coast and within Japan’s Economic Exclusive Zone. Japan’s concern about the surrounding security environment and the threat posed by Pyongyang’s dreadful provocations has certainly affected the decision of Japan’s political elites to accommodate unresolved issues with South Korea in favor of a closer strategic engagement.
Japan and South Korea recognize the pivotal role of Washington as a military patron and strong supporter of a more dynamic strategic trilateral pact, able to expand the level of cooperation between Japan and South Korea. Yet, for long time their relations have been strained by a large number of tensions such as territorial disputes and the heavy legacy of the atrocities committed by the Imperial Army during the occupation of Korea.
For these reasons Seoul and Tokyo have never managed to establish a shared framework for bilateral military cooperation. Yet, North Korea’s growing military capabilities and its slow but unrelenting desire to acquire a more threatening nuclear weapon arsenal have persuaded Japan and South Korea to increase the level of pressure on Pyongyang.
Japan and South Korea have recognized the importance of establishing a new framework for regional cooperation and dialogue as stressed by South Korean Ministry of Defense.
Recently, Seoul has announced its willingness to establish with Tokyo a new framework for intelligence-sharing cooperation while increasing the exchange of data on North Korea’s nuclear and missile activities as part of the trilateral pact signed in 2014.
This could be the first step in resuming the General Security of Military Information Agreement (GSOMIA) proposed in 2012 through the mediation of Washington and later cancelled.
A deal following the model of the GSOMIA, not only would represent a critical breakthrough in the relations between Japan and South Korea, but it would also provide a critical tool to expand the exchange of intelligence about Pyongyang’s nuclear and missile capabilities, cyber-security and other unconventional threats.
Japan and South Korea have made important progress in solving the issue of the comfort women, ultimate legacy of Japan’s 1910-1945 colonial rule. Seoul traditionally reluctant to engage with Japan has moved to a more pragmatic position as highlighted by South Korean Defense Minister Han Min-Koo on October 14.
Moreover, once the deal is approved, Japan’s Self-Defense Forces could be deployed in supporting activities of the U.S. troops as in patrolling operations, but also assisting Washington in the event of an armed conflict, fulfilling the right of the collective Self-Defense.
A change in the regional scenarioThe perception of Pyongyang’s nuclear threat has been one of the most critical elements of alteration of the strategic balance in the region. In the last few months, North Korea missile tests have accelerated the decision of Seoul to deploy the THAAD system creating a diplomatic fracture in the renewed entente with China.
Japan has also announced the upgrading of its missile defense capabilities in the aftermath of Pyongyang’s recent nuclear test and following the example of South Korea, it might decide to acquire a THAAD or Aegis Ashore system to boost its deterrence capabilities.
Indeed, fostering the creation of a solid trilateral security cooperation would represent an important asset for Washington’s regional strategic agenda, but also a critical starting point for the expansion of a proactive security engagement across the Asia-Pacific region at the expenses of Beijing.
While China agrees on the denuclearization of the Korean peninsula, the emergence of a strong trilateral security cooperation pact would seriously compromise Beijing’s influence and strategic interest not only in the Korean peninsula but also in the whole region, alimenting a new phase of harsh confrontation with Washington and its allies.
For Japan, the growing perception of isolation and vulnerability vis-à-vis the North Korea’s threat, still characterized by a vibrant anti-Japanese sentiment and the fast-paced China’s military modernization, has represented a critical element for the success of the ambitious Abe Administration’s security agenda.
While a part of the society still opposes to a marked departure from Japan’s reluctant realism, the renewed military engagement pursued by Tokyo could be seen as one pillar of an integrated strategy of cooperation with Washington and Seoul, dramatically concerned about the evolution of the security scenario in the Korean peninsula.
Of course much depends on the willingness of the future administration to resume and expand the strategic commitments in the region that have characterized Obama Administration’s agenda.
Both Japan and South Korea political elites remain wary over the possibility of abandonment in lieu of the presidential candidate Donald Trump’s grand strategy, calling for a disengagement of the U.S. military presence from the region.
In Seoul, policymakers of the ruling Saenuri party have openly discussed not only the development of an indigenous nuclear weapon program, but also of the possibility of pre-emptive strikes on North Korean facilities, jeopardizing Obama Administration’s vision for a denuclearized Korean peninsula.
Boosting deterrence has become one of the most critical issues within South Korean government and plans for developing a nuclear submarine as the ultimate tool to deter Pyongyang’s nuclear threat, have been taken into serious consideration.
Facing nuclear annihilation as often stressed by North Korean bellicose rhetoric, South Korean political elites and defense officials have shown interest in designing plans for the elimination of the North Korean leadership with surgical strikes as ultimate solution to the dreadful nuclear threat represented by Pyongyang.
An unprecedented strategic cooperation between Japan and South Korea is the direct consequence of a phase of recalibration of Washington’s engagement in the Asia-Pacific region as the end of Obama Administration approaches.
In dealing with Pyongyang, very limited results have been obtained in persuading its recalcitrant leadership to comply with norms and regulations of the international community, leaving Japan and South Korea in a difficult position to respond effectively to the emerging nuclear crisis fuelled by North Korea’s threatening behavior.
A strong security cooperation could be a critical tool for both countries to address the emerging strategic issues on the regional scenario. Yet its success might depend also on next administration’s decision to follow the path marked by President Obama towards the fulfillment of Washington’s Pacific Century, rather than embracing a new strategic orientation.
The post Japan and South Korea: Towards a Closer Security Cooperation appeared first on Foreign Policy Blogs.
Dans leur déclaration politique, les députés du groupe parlementaire ADP-Mali-SADI disent vouloir œuvrer pour le renforcement de l’autorité de l’Etat qui pour eux au lieu de se désengager doit jouer pleinement son rôle dans les domaines de la sécurité et de la défense du territoire, la santé, l’éducation, l’économie et les travaux publics. Ils déclarent aussi vouloir lutter contre les fléaux qui minent le pays aujourd’hui comme la corruption, la délinquance financière et foncière, le népotisme et l’ethnicisme. Leur analyse de la situation globale du pays et de sa gouvernance, fait apparaitre que l’égalité des chances et le mérite n’existent plus. «Nous ferons tout pour que ces valeurs soient à nouveau promues afin de favoriser l’épanouissement humain de tous les maliens. Nous veillerons à la sauvegarde de l’unité nationale du pays, nous nous battrons pour une justice équitable garantissant l’égalité de tous les citoyens devant la loi.
Notre groupe parlementaire, agissant au nom des partis ADP-Maliba et SADI considère le travail comme une valeur. Nous voulons que le travail soit encouragé et respecté et que chacun puisse vivre dignement de son travail. En ce sens, nous réaffirmons notre volonté de voir l’éducation, la formation et l’économie réformées pour qu’ils assurent à tous un travail décent», peut-on lire entre autres dans cette déclaration lue pour la circonstance par l’honorable Bakary Diarra, porte-parole du groupe.
******
Les modalités et le taux des contributions et les opérateurs astreints au financement du Fonds d’Accès universel déterminés
Sur le rapport du ministre de l’Economie numérique et de la Communication, Porte-parole du Gouvernement, le Conseil des Ministres du mercredi 2 novembre 2016 a adopté un projet de décret déterminant les modalités de contribution, le taux des contributions et les opérateurs astreints au financement du Fonds d’Accès universel. Dans le cadre de la promotion du service ou de l’accès universel aux télécommunications et aux technologies de l’information et de la communication, l’Agence de Gestion du Fonds d’Accès Universel a été créée en janvier 2016. Le projet de décret est adopté pour fixer les modalités de contribution, le taux et les modes de gestion et pour déterminer les opérateurs et autres fournisseurs de services de télécommunications astreints au financement du Fonds d’Accès Universel, conformément à l’ordonnance du 20 septembre 2011 relative aux télécommunications et aux technologies de l’information et de la communication. Il détermine notamment les taux de contribution, les modes de paiement et de gestion de la part de la redevance de régulation destinée au financement de l’accès ou du service universel.
****
Le détail des compétences transférées de l’Etat aux collectivités territoriales en matière de culture fixé
Le Conseil des ministres du mercredi 2 novembre 2016 a adopté un projet de décret fixant le détail des compétences transférées de l’Etat aux collectivités territoriales en matière de culture. La loi du 07 février 2012 modifiée, portant code des collectivités territoriales en République du Mali autorise les organes délibérants des collectivités territoriales à régler par délibérations les affaires de leur ressort territorial en matière de développement économique, social et culturel. Le projet de décret est adopté dans ce cadre et fixe le détail des compétences de la Commune, du Cercle, de la Région et du District de Bamako en matière de culture. Il précise que l’appui conseil des services centraux et déconcentrés du Ministère de la Culture doit apporter aux collectivités territoriales dans le cadre de la mise en œuvre des compétences ainsi transférées. L’effectivité de ces mesures contribue à une meilleure prise en compte des politiques nationales en matière de culture dans les plans de développement des communes, des cercles, des régions et du District de Bamako.
Source : inf@sept