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Updated: 1 month 4 weeks ago

Assimi Goita invité par la cedeao à Accra le 25 mars 2022 : deux motifs pour ne pas répondre a une convocation instruite par Macron

Thu, 24/03/2022 - 13:01
Dr Brahima Fomba Dans une lettre datée du 22 mars 2022, la Commission de la CEDEAO vient de convoquer le Président de la Transition Assimi GOITA pour participer au sommet extraordinaire convoquée pour le 25 mars 2022 à Accra au Ghana. L’objet dudit sommet porterait sur la situation politique au Mali. Oui ou non le Président de la Transition Assimi GOITA devrait-il prendre part aux travaux du fameux sommet extraordinaire ?

A priori, la pédagogie du droit des sanctions de la CEDEAO n’est pas antinomique  du maintien de liens fonctionnels avec  l’Etat sanctionné qu’on doit aider à renouer avec ses obligations d’Etat membre.

Sans nier à cet égard, l’existence de motifs éventuels susceptibles de faire pencher la balance dans le sens du voyage  pour le sommet , nous versons ici au débat sur la question, deux facteurs qui paraissent en revanche défavorables à la participation du Président de la Transition à ce qui a tout l’air d’une convocation instruite depuis Paris, aux Chefs d’Etats vassalisés de la CEDEAO, par un Président Macron revanchard, décidé à punir le Mali pour sa soif légitime d’affranchissement de ses liens d’allégeance à la France.

Ces deux facteurs se résument à l’illicéité des sanctions illégitimes infligées au Mali et à l’élément d’extranéité des ingérences intempestives inappropriées du Président Macron dans la gouvernance de la CEDEAO.

L’ILLICEITE DES SANCTIONS ILLEGITIMES INFLIGEES AU MALI

Les sanctions qui frappent le Mali ne sont ni plus ni moins que des actes de banditisme juridique de grand chemin de la part d’une organisation sous-régionale qui dysfonctionnent comme une marionnette institutionnelle sans foi ni loi, instrumentalisées par la France  du Président Macron.

Il s’agit non seulement de sanctions non prévues par le droit communautaire, mais aussi de sanctions viciées par le non-respect des procédures communautaires applicables en la matière.

Dès lors que le Mali, à juste titre, remet en cause la licéité même, voire la légitimité des sanctions que le frappent, pourquoi le Président de la Transition Assimi GOITA se rendrait-il personnellement à ce sommet d’Accra ?

Comment pourrait-il le faire, sans cautionner  de facto le forfait de ses pairs de la CEDEAO  n’ayant eu que mépris, autant pour les textes fondateurs de l’Organisation que pour les peuples  souverains des Etats membres au nom desquels ils prétendent agir.

Le discrédit qui frappe la CEDEAO et ses Chefs d’Etats irrespectueux du droit communautaire,  les disqualifie pour exiger du Mali la moindre attitude de considération pour l’Organisation. C’est à la CEDEAO de se racheter vis-à-vis du Mali victime d’abus  de ses Chefs d’État vassalisés par la France avec  les ingérences intempestives de son Président Macron.

L’ELEMENT D’EXTRANEITE DES INGERENCES INTEMPESTIVES DU PRESIDENT MACRON

Dans quelle mesure le Mali serait-il conventionnellement engagé par les obligations d’une Organisation sous-régionale-marionnette dont les ficelles institutionnelles sont manipulées depuis les Champs Élysées par le Président Macron ?

De quelle crédibilité la CEDEAO pourrait-elle  encore se prévaloir, capable à la fois de banditisme juridique inqualifiable et de docilité humiliante devant la France et son arrogant Président Macron ?

Une CEDEAO  qui s’acharne sur le Mali, tout en se contentant de  prendre acte  des trois ans de la Transition burkinabe et de la durée inconnue de la Transition guinéenne.

Parce que la France le veut ainsi. Pour ses seuls intérêts!

Chacun aura remarqué le silence de mort des Chefs d’Etat de la CEDEAO face à l’affront de l’indécente instruction qui leur a été donnée en live par le Président Macron, dans la pure tradition impérialiste de la françafrique.

Aucun des Chefs d’Etat de la CEDEAO, y compris Nana Akufo-ADO personnellement interpellé au mépris de toutes les convenances diplomatiques, n’aura eu le culot d’appeler l’arrogance française à de la retenue.

Il n’appartient point à l’Etat extra régional français de dicter à la CEDEAO la conduite à tenir à l’endroit de l’un de ses membres. Sauf à reconnaître enfin, que la CEDEAO n’est que pantin entre les mains du Président Macron. Ce que confirme le silence assourdissant de nos valets de Chefs d’Etats incapables de  répliquer, ne serait-ce que pour leur dignité et leur honneur propre,  au Président Macron.

L’élément d’extranéité des ingérences intempestives du Président Macron dans la gouvernance de la CEDEAO, ajouté à la couardise des Chefs d’Etats publiquement ridiculisés et humiliés, achève définitivement de faire de la CEDEAO, un monstre institutionnel au service de la France et de ses intérêts impérialistes, sous des décors d’organisation sous-régionale africaine.

Il est clair aux yeux de tous que le sommet programmé pour le 25 mars 2022 n’est qu’une matérialisation de plus des dernières instructions publiquement données par le Président Macron à ses valets de chefs d’Etats de la CEDEAO. Les intransigeances mesquines de la Médiation Goodluck lors des derniers rounds de négociation à Bamako, témoignent éloquemment des manœuvres de la punition ordonnée le 17 mars 2022 par le Président Macron contre le Mali.

Et si le sommet d’Accra du 25 mars 2022 s’inscrivait dans la même veine ?

Et si le sommet du 25 mars 2022 n’était qu’un prétexte pour nos valets de chefs d’Etats de la CEDEAO de donner davantage de gage à la soif de revanche maladive du Président Macron ?

Le voyage du Président de la Transition à Accra se doit de considérer ces deux facteurs qui ne paraissent pas militer en faveur de sa  présence physique au sommet d’Accra du 25 mars 2022.

 Dr Brahima FOMBA, Université des Sciences Juridiques et Politiques de Bamako (USJPB)

Categories: Afrique

Saison terminée pour Falaye Sacko (Saint-Étienne)

Thu, 24/03/2022 - 12:23

Saison terminée pour Falaye Sacko (Saint-Étienne)

À Saint-Étienne depuis janvier et son arrivée du Vitória Guimarães (Portugal), Falaye Sacko ne rejouera plus de la saison avec les Verts. Le défenseur international malien (26 ans, 24 sélections) a passé des examens mercredi. Ils ont révélé « une blessure au genou qui le contraint à stopper sa saison prématurément », indique l’ASSE. Il était sorti dès la 10e minute de la rencontre contre Troyes (1-1) vendredi.

Par ailleurs, Wahbi Khazri est « atteint musculairement ». Il n’a donc pas rejoint la sélection tunisienne, qui affronte le Mali samedi (aller) et mardi 29 mars (retour) dans le cadre des éliminatoires pour la Coupe du monde 2022.

SOURCE : L’Equipe

Categories: Afrique

Le Portugal ou l’Italie? Salah ou Mané? La lutte pour les derniers tickets du Mondial promet des duels épiques

Thu, 24/03/2022 - 12:15
Pendant que les Diables Rouges joueront deux matchs amicaux contre l’Irlande et le Burkina Faso, la tension sera bien plus présente ailleurs, où les billets restants pour la Coupe du monde vont être distribués.

Les géants européens que sont l’Italie et le Portugal risquent de manquer le rendez-vous incontournable du football international. Le Sénégal, vainqueur de la Coupe d’Afrique, n’a pas non plus de certitude d’aller au Qatar. Le point sur les enjeux de ces barrages.

Quinze pays se sont déjà qualifiés pour la Coupe du monde qui se déroulera au Qatar à la fin de l’année 2022. Ce sont la Belgique, l’Allemagne, le Danemark, le Brésil, la France, les Pays-Bas, la Croatie, l’Espagne, la Serbie, l’Angleterre, la Suisse, l’Argentine, l’Iran, la Corée du Sud et le pays hôte, le Qatar. Les 17 places restantes n’ont pas encore été pourvues.

Europe

Trois billets pour onze pays (la Russie étant exclue). Chaque faux pas sera puni à ce stade. Les matchs de barrages détermineront les trois nations européennes qui iront au Qatar. L’Italie, championne d’Europe, affrontera la Macédoine du Nord à Palerme. Le vainqueur de ce match jouera contre le vainqueur de Portugal-Turquie. Il est donc certain que l’Italie et/ou le Portugal seront absents du Qatar. Vers un Mondial sans CR7?

L’exclusion de la Russie permet à la Pologne de passer directement au tour suivant, où Lewandowski et ses coéquipiers rencontreront le vainqueur de Suède-République tchèque. Il y a aussi Pays de Galles-Autriche et Écosse-Ukraine. Ce dernier ne sera toutefois pas joué avant le mois de juin en raison de la guerre en Ukraine. Le vainqueur de Galles-Autriche devra donc patienter encore un peu.

Ecosse – Ukraine (juin)
Pays de Galles – Autriche (24 mars)
Ecosse/Ukraine – Pays de Galles/Autriche (juin)

Pologne – Russie (Pologne qualifiée à la suite de la suspension de la Russie)
Suède – République tchèque (24 mars)
Pologne – Suède/République tchèque (29 mars)

Portugal – Turquie (24 mars)
Italie – Macédoine du Nord (24 maart)
Portugal/Turquie – Italie/Macédoine du Nord (29 mars)

Afrique

Sur le continent africain également, il y aura des matchs de barrages. Les dix vainqueurs de la phase de groupes qualificative y participeront, ce qui donne forcément lieu à de belles affiches. La République démocratique du Congo jouera le Maroc, un choc opposera le Cameroun et l’Algérie, tandis que le Ghana jouera sa place face au Nigeria. Mais tous les regards seront tournés vers une nouvelle confrontation entre l’Égypte et le Sénégal, soit Mohamed Salah contre Sadio Mané. Début février, les deux attaquants de Liverpool se sont rencontrés en finale de la Coupe d’Afrique. Après les tirs au but, le Sénégal avait été couronné champion d’Afrique. Ce barrage est une occasion rêvée pour l’Egypte de prendre sa revanche.

Match aller (25 mars)

RD Congo – Maroc
Mali – Tunisie
Cameroun – Algérie
Ghana – Nigeria
Egypte – Senegal

Match retour (29 mars)
Maroc – RD Congo
Tunisie – Mali
Algérie – Cameroun
Nigeria – Ghana
Senegal – Egypte

Amérique centrale et du Nord

En Amérique du Nord et centrale, les cartes de la Coupe du monde semblent être largement rebattues, avec trois matchs encore à jouer. Les trois premiers seront directement qualifiés pour la Coupe du monde. Actuellement, le Canada, les États-Unis et le Mexique occupent ces places. Le Canada, en particulier, semble ne plus avoir à s’inquiéter. Avec huit points d’avance sur le quatrième, le Panama, l’avance est rassurante. Il serait également surprenant que les États-Unis et/ou le Mexique quittent le trio de tête. Ces deux pays comptent quatre unités de plus que le Panama. En principe, cela devrait passer pour eux aussi.

La lutte pour la quatrième place est encore plus passionnante, car elle donne droit à un match de barrage contre un pays d’Océanie en juin. Le Costa Rica a actuellement un point de moins que le Panama. À trois matchs de la fin, ce retard peut encore être comblé.

Jamaïque – Salvador (25 mars)
Panama – Honduras (25 mars)
Mexique – Etats-Unis (25 mars)
Costa Rica – Canada (25 mars)

Canada – Jamaïque (27 mars)
Salvador – Costa Rica (27 mars)
Etats-Unis – Panama (28 mars)
Honduras – Mexique (28 mars)

Panama – Canada (30 mars)
Jamaïque – Honduras (30 mars)
Mexique – Salvador (30 mars)
Costa Rica – Etats-Unis (30 mars)

Amérique du Sud

Dans la campagne de qualification sud-américaine, le Brésil et l’Argentine sont déjà sûrs d’aller au Qatar. Les deux places restantes, qui offrent une qualification directe, sont actuellement occupées par l’Équateur et l’Uruguay. Le Pérou occupe la cinquième place et, sans changement, jouera un match de barrage contre un pays asiatique en juin. Le Chili et la Colombie doivent faire un sans faute lors des deux dernières journées s’ils veulent encore croire au Qatar. La Bolivie a besoin d’un miracle. Le Paraguay et le Venezuela ont dit adieu à leur rêve de Coupe du monde.

Uruguay – Pérou (25 mars)
Brésil – Chili (25 mars)
Colombie – Bolivie (25 mars)
Paraguay – Equateur (25 mars)
Argentine – Venezuela (26 mars)

Bolivie – Brésil (30 mars)
Venezuela – Colombie (30 mars)
Equateur – Argentine (30 mars)
Chili – Uruguay (30 mars)
Pérou – Paraguay (30 mars)

Asie

Sur le continent asiatique, l’Iran et la Corée du Sud, dans le groupe A, ont déjà la certitude mathématique de se qualifier pour la Coupe du monde. La bataille pour la troisième place est plus passionnante. À deux journées de la fin, les Émirats arabes unis ont actuellement une avance de trois points sur le Liban et de quatre sur l’Irak. Le pays classé troisième devra encore disputer un match de barrage contre le pays classé troisième du groupe B.

Corée du Sud – Iran (24 mars)
Liban – Syrie (24 mars)
Irak – Émirats arabes unis (24 mars)

Iran – Liban (29 mars)
Émirats arabes unis – Corée du Sud (29 mars)
Syrie – Irak (29 mars)

Dans le groupe B, l’Arabie saoudite, le Japon et l’Australie décideront entre eux des pays qui se qualifieront directement et de celui qui sera condamné à disputer un match de barrage contre le troisième du groupe A. Les chocs entre l’Australie et le Japon et entre l’Arabie saoudite et l’Australie devraient être décisifs.

Australie – Japon (24 mars)
Vietnam – Oman (24 mars)
Chine – Arabie saoudite (24 mars)

Japon – Vietnam (29 mars)
Oman – Chine (29 mars)
Arabie saoudite – Australie (29 mars)

Oceanie

En Océanie, en raison de la pandémie, la campagne de qualification pour le Qatar n’a commencé que la semaine dernière, sans le Vanuatu et les îles Cook. En conséquence, il n’y a que deux pays dans le groupe A, les îles Salomon et Tahiti. Tous deux se qualifient pour un tournoi final où ils affronteront les deux premiers du groupe B, composé de quatre pays. La Nouvelle-Zélande a commencé avec un 6 sur 6 et peut déjà se préparer pour le tournoi final. La Papouasie-Nouvelle-Guinée et les Fidji décideront dans un match direct qui rejoindra la Nouvelle-Zélande. Le vainqueur du tournoi affrontera la quatrième tête de série d’Amérique du Nord et centrale en juin.

Nouvelle-Zélande – Nouvelle-Calédonie (24 mars)
Fidji – Papouasie-Nouvelle-Guinée (24 mars)
Îles Salomon – Tahiti  (24 mars)

Source: 7sur7.be
Categories: Afrique

Face à l’ampleur du phénomène du » motocyclisme acrobatique » à Bamako: Le Gouverneur du district l’a déclaré » constitutif d’infraction de trouble à l’ordre public «

Thu, 24/03/2022 - 12:12
Le phénomène a fait irruption dans le quotidien des Bamakois depuis quelque temps déjà. Il a ensuite pris de l’ampleur et des allures de cauchemar pour les usagers des grandes artères de la capitale.

Il est la cause directe de multiples accidents et de la mort de paisibles citadins, qui vaquaient simplement à leurs besoins. Face à la multiplication des drames de la circulation, provoqués par  » les motards acrobates « ,  des citoyens s’étaient émus et indignés du silence des autorités en charge de l’administration de Bamako.

Mieux vaut tard que jamais, dans un communiqué, daté du 22 mars, le Gouverneur du district Abdoulaye Coulibaly a enfin pris ses responsabilités en mettant en garde  » les individus et groupes de jeunes motocyclistes, se livrant à des spectacles acrobatiques, que cette pratique est constitutive d’infraction de trouble à l’ordre public. Par conséquent, tout individu qui se livrerait à cette pratique dangereuse sera interpellé et traduit devant les autorités compétentes. « 

Mesurant la dangerosité et les risques de propagation du phénomène au sein d’une jeunesse généralement désoeuvrée, le Gouverneur du district a aussi sollicité l’implication des autorités communales, des responsables communautaires et leaders d’opinion par la sensibilisation de la frange juvénile, largement majoritaire de la population, à abandonner cette pratique  » qui met en danger, non seulement ceux qui s’y adonnent mais aussi de paisibles citoyens « .

Hari Moussa Maiga, Stagiaire

Source: l’Indépendant

Categories: Afrique

COMMUNIQUE DU CONSEIL DES MINISTRES DU MERCREDI 23 MARS 2022

Thu, 24/03/2022 - 12:10
Le Conseil des Ministres s’est réuni en session ordinaire, le mercredi 23 mars 2022, dans sa salle de délibérations au Palais de Koulouba sous la présidence du Colonel Assimi GOITA, Président de la Transition, Chef de l’État.
Après examen des points inscrits à l’ordre du jour, le Conseil a :
  • adopté des projets de texte ;
  • procédé à des nominations ;
  • et entendu des communications.
AU CHAPITRE DES MESURES LEGISLATIVES ET REGLEMENTAIRES
  1. Sur le rapport du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le
    Conseil des Ministres a adopté :
    a. des projets de texte relatifs à la création, à l’organisation et aux modalités de fonctionnement de l’Université de Sikasso.
    b. des projets de texte relatifs à la création, à l’organisation et aux modalités de fonctionnement de l’Université de Tombouctou.
    c. des projets de texte relatifs à la création, à l’organisation et aux modalités de fonctionnement de l’Université de Gao.
    Le Mali a engagé depuis son accession à l’indépendance, de nombreuses réformes de l’enseignement en vue d’améliorer la qualité de l’éducation et de disposer des cadres dont le pays avait besoin pour ses plans de développement.
    Malgré les résultats encourageants enregistrés dans la mise œuvre de ces réformes, l’enseignement supérieur reste confronté à des difficultés liées entre autres à l’évolution des effectifs des étudiants toujours croissants, à la faiblesse des capacités d’encadrement et de gestion et à l’insuffisance des infrastructures et équipements.
    Pour pallier ces difficultés, le Gouvernement a décidé de diversifier l’offre de formation et de l’adapter aux besoins de l’économie locale par le développement de pôles universitaires régionaux.
    L’adoption des présents projets de texte permettra de doter les régions concernées d’universités composées de structures de formation et de recherche en fonction des potentialités de la région, de campus pédagogique et social avec les équipements nécessaires.
    A terme, le Gouvernement prendra les dispositions utiles pour doter chaque Région administrative d’une université en vue d’une valorisation des potentialités existantes au niveau local. Des missions universitaires seront mises place à cet effet.
  2. Sur le rapport du ministre de la Santé et du Développement social, le Conseil des Ministres a adopté un projet de décret fixant les conditions de création et les principes fondamentaux de fonctionnement des Centres de Santé Communautaire.
    Dans le cadre de l’application de la Loi n°02-049 du 22 juillet 2002, modifiée, portant loi d’orientation sur la santé, le Gouvernement du Mali a adopté le Décret n°05-299/P-RM du 28 juin 2005 fixant les conditions de création et les principes fondamentaux de fonctionnement des Centres de santé communautaire.
    La création des Centres de Santé Communautaire a permis de promouvoir la participation de la communauté locale dans la prise en charge et la gestion des problèmes de santé des populations.
    En dépit des avancées enregistrées, l’analyse de la situation sanitaire a montré que de nombreuses populations rencontrent encore des difficultés d’accès aux Centres de Santé Communautaire et aux soins de santé, en raison, entre autres, de la distance, de l’accessibilité géographique et de la faible couverture des populations.
    2

La Stratégie « Soins Essentiels dans la Communauté » adopté par le Gouvernement vise pour apporter une solution à ces difficultés en faisant administrer aux populations les soins et services de santé par des Agents de Santé Communautaire.
Le projet de décret est initié pour prendre en compte les évolutions constatées dans le secteur afin de pérenniser les acquis de la mise en œuvre de la Stratégie «Soins Essentiels dans la Communauté ».
Les innovations apportées sont entre autres :

  • la possibilité pour les Centres de Santé Communautaire de relever leur plateau technique en
    cas de nécessité et dans des conditions précises avec l’autorisation du ministre chargé de la
    Santé ;
  • la fourniture de soins et de services de santé dans les villages, fractions ou quartiers par les
    Agents de Santé et relais communautaires sous le contrôle du Centres de Santé Communautaire.
    L’adoption du présent projet de décret permettra d’étendre la couverture sanitaire dans le respect des normes requises.

    AU CHAPITRE DES MESURES INDIVIDUELLES

    Le Conseil des Ministres a procédé aux nominations suivantes :
    AU TITRE DU MINISTERE DE L’ADMINISTRATION TERRITORIALE ET DE LA DECENTRALISATION

  • Inspecteurs à l’Inspection de l’Intérieur :
    Monsieur Issaka BATHILY, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral ;
    Monsieur Bagna Mahamoudou DJITEYE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral ;
    Monsieur Moussa DIABATE, Administrateur civil.
  • Directeur de Cabinet du Gouverneur du District de Bamako :
    Monsieur Dieudonné SAGARA, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Directeur de Cabinet du Gouverneur de la Région de Sikasso :
    Monsieur Bernard COULIBALY, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Directeur de Cabinet du Gouverneur de la Région de Tombouctou :
    Monsieur Mamadou TEMBELY, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Directeur de Cabinet du Gouverneur de la Région de Bougouni :
    Monsieur Abdoulaye GOÏTA, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Directeur de Cabinet du Gouverneur de la Région de San :
    Monsieur Abdramane DEMBELE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Conseiller aux Affaires Administratives et Juridiques du Gouverneur du District de Bamako :
    Monsieur Mangoro KONATE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
    3
  • Conseiller aux Affaires Administratives et Juridiques du Gouverneur de la Région de Kayes :
    Monsieur Boikary TRAORE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Conseiller aux Affaires Administratives et Juridiques du Gouverneur de la Région de Koulikoro :
    Monsieur Mohamar Assagaïdou HAIDARA, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Conseiller aux Affaires Administratives et Juridiques du Gouverneur de la Région de Ségou :
    Monsieur Mohamed Aboubacrine AG MOHAMED ALY, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Conseiller aux Affaires Economiques et Financières du Gouverneur de la Région de Ségou :
    Monsieur Mamadou TRAORE, Planificateur.
  • Conseiller aux Affaires Economiques et Financières du Gouverneur de la Région de Tombouctou :
    Monsieur Malick GUINDO, Vétérinaire et Ingénieur de l’Elevage.
  • Conseiller aux Affaires Economiques et Financières du Gouverneur de la Région de Taoudénit :
    Monsieur Lassine FANE, Vétérinaire et Ingénieur de l’Elevage.
  • Conseiller aux Affaires Economiques et Financières du Gouverneur de la Région de Dioïla :
    Monsieur Aly TELLY, Ingénieur de l’Agriculture et du Génie rural.
  • Conseiller aux Affaires Economiques et Financières du Gouverneur de la Région de Koutiala :
    Madame Mariam DIAKITE, Inspecteur des Services Economiques.
  • Préfet du cercle de Bafoulabé :
    Monsieur Amadou SOUMARE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Préfet du cercle de Yelimané :
    Lieutenant-colonel Madicama DIAWARA, Administrateur de la Protection civile.
  • Préfet du cercle de Kadiolo :
    Monsieur Mamadou TRAORE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Préfet du cercle de Koutiala :
    Monsieur Abdoulaye Daga THERA, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Préfet du cercle de Yanfolila :
    Monsieur Hamma MADJOU, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Préfet du cercle de Macina :
    Commandant Albaraka AG AMARIZAG.
    4
  • Préfet du cercle de Niono :
    Commandant Mohamed TRAORE.
    Préfet du cercle de San :
    Monsieur Namakan TOURE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Préfet du cercle de Bankass :
    Commandant Aly SIDIBE.
  • Préfet du cercle de Youwarou :
    Monsieur Léopold KONATE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Préfet du cercle de Gourma-Rharous :
    Colonel Mamadou Sékou TRAORE.
  • Préfet du cercle de Niafunké :
    Monsieur Bougouto DEMBELE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Préfet du cercle de Almoustrat :
    Chef d’Escadron Amadou S OUOLOGUEM.
  • Préfet du cercle de Kidal :
    Chef d’Escadron Tanass Ag AHMED.
  • Préfet du cercle de Abeïbara :
    Chef d’Escadron Broulaye MARIKO.
  • Préfet du cercle de Tessalit :
    Lieutenant-colonel Moussa KANTE.
  • Préfet du cercle de Taoudénit :
    Chef d’Escadron Oumar Sidy COULIBALY.
  • Préfet du cercle de Foum-Elba :
    Commandant Chido DACKONO.
  • Préfet du cercle de Achouratt :
    Commandant Mohamed Aly MAHMOUD OULD.
  • Préfet du cercle de Araouane :
    Lieutenant-colonel Donat DEMBELE.
  • Préfet du cercle de Boujbeha :
    Chef d’Escadron Vambé MOUNKORO.
  • Préfet du cercle de Ménaka :
    Monsieur Djinémoussa DIAKITE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Préfet du cercle de Andéramboukane :
    Monsieur Kéou NIOUMANTA, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Préfet du cercle de Tidermène :
    Monsieur Adama Waly CISSE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
    5

Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Kayes :
Monsieur Hamadou KASSOGUE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.

  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Bafoulabé :
    Monsieur Famory KAMISSOKO, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Diéma :
    Monsieur Djigui KEITA, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Kéniéba :
    Monsieur Hamadoum TAMBOURA, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Kita :
    Monsieur Boubacar Oumar TRAORE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Nioro :
    Monsieur Almami Ibrahima KAGNASSI, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Koulikoro :
    Monsieur Souleymane COULIBALY, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Banamba :
    Madame Fatoumata SIMBARA, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Kangaba :
    Monsieur Moussa Andielou SAGARA, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Kati :
    Monsieur Mamadou N’Diawar DIARRA, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Kolokani :
    Madame Fatou DAOU, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Nara :
    Monsieur Boubacar COULIBALY, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Sikasso :
    Monsieur Amadou Oumar KIDA, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Bougouni :
    Monsieur Mamoudou DIALLO, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Kadiolo :
    Monsieur Hamadou Yacouba DIALLO, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Kolondiéba :
    Monsieur Mohamed Abdul Boubakar MAIGA, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
    6
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Koutiala :
    Madame Néné Madina SAMASSEKOU, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Yanfolila :
    Madame Virginie TRAORE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Yorosso :
    Monsieur Bakari KEITA, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Ségou :
    Monsieur Zanga DIARRA, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Bla :
    Monsieur Arouna TOGOLA, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Niono :
    Monsieur Abraham KASSOGUE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de San :
    Monsieur Allaye CISSE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Tominian :
    Monsieur Amadou GASSAMBE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Mopti :
    Monsieur Sékou Sidya COULIBALY, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Bandiagara :
    Monsieur Sinaly KEITA, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Djenné :
    Monsieur Abdoulaye CISSE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Douentza :
    Monsieur Alousseini TOURE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Koro :
    Monsieur Cheick Mahamadou SYLLA, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Tenenkou :
    Monsieur Ousmane KEITA, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Youwarou :
    Monsieur Baba KONE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Tombouctou :
    Monsieur Abdoul Karim KONE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Diré :
    Monsieur Kabaou DOLO, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
    7
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Gourma-Rharous :
    Monsieur Lamine KOUYATE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Gao :
    Monsieur Abdoulaye CISSE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Ansongo :
    Monsieur Aly Boureima KASSAMBARA, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Kidal :
    Monsieur Seydou TRAORE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Achibogho :
    Lieutenant Metaga DEMBELE.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Tessalit :
    Monsieur Bréhima DIALLO, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Taoudénit :
    Monsieur Siaka Souleymane SANOGO, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Foum-Elba :
    Monsieur Famory DIALLO, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Achouratt :
    Lieutenant Philippe DEMBELE.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Al-Ourche :
    Capitaine Koké DIARRA.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Araouane :
    Commandant Alexis SANOU.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Boujbeha :
    Chef d’Escadron Abdrahamane KEITA.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Andéramboukane :
    Lieutenant Abdoulaye BERTHE.
  • Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Tidermène :
    Monsieur Maurice TRAORE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Kayes :
    Monsieur Adama Moussa SIDIBE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Bafoulabé :
    Madame Aissata DIARRA, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Kéniéba :
    Monsieur Salif OUMAROU, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
    8
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Kita :
    Monsieur Modibo Kane TOGO, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Yelimané :
    Monsieur Ibrahima DOUGNON, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Koulikoro :
    Monsieur Mamadou BARRY, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Dioïla :
    Monsieur Bréhima DIAKITE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Kangaba :
    Madame Aminata SANOGO, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Kati :
    Monsieur Arouna BERTHE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Kolokani :
    Monsieur Adama Zanga TRAORE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Sikasso :
    Monsieur Drissa COULIBALY, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Bougouni :
    Madame Kadidia Sanaga BAYOGO, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Kadiolo :
    Monsieur Boubacar KASSAMBARA, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Kolondiéba :
    Monsieur Kalifala COULIBALY, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Koutiala :
    Monsieur Aliou SOUMARE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Yanfolila :
    Monsieur Henry Yafong DIARRA, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Yorosso :
    Monsieur Abdoulaye GUINDO, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Ségou :
    Monsieur Aboubacar COULIBALY, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Barouéli :
    Monsieur Mahamane SIDIBE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Bla :
    Monsieur Moriba CAMARA, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
    9
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Niono :
    Monsieur Daouda DIAMOUTENE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de San :
    Monsieur Sékou KANTA, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Tominian :
    Monsieur Simon KONE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Djenné :
    Monsieur Manthié DIARRA, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Douentza :
    Monsieur Abocar Ibrahim CISSE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Koro :
    Monsieur Oumar DEMBELE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Tenenkou :
    Monsieur Mamadou COULIBALY, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Youwarou :
    Monsieur Moussa TRAORE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Tombouctou :
    Monsieur Mahamadou KONE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Diré :
    Monsieur Sékou Moussa TRAORE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Gourma-Rharous :
    Monsieur Drissa KONARE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Niafunké :
    Monsieur Zakaridia SAMAKE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Ansongo :
    Monsieur Mamadou TRAORE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Bourem :
    Monsieur Hama FOFANA, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Abeibara :
    Monsieur Agaly KEITA, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Achibogho :
    Adjudant-chef Lagdaf OULD HAMID.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Taoudénit :
    Monsieur Souleymane GUINDO, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Foum-Elba :
    Monsieur Mamadou DEMBELE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
    10
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Achouratt :
    Lieutenant Cheick Oumar Ibrahima TOURE.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Al-Ourche :
    Lieutenant Sékou DOUMBIA.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Araouane :
    Lieutenant Lamine TRAORE.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Boujbeha :
    Adjudant-chef Mahamoud OULD HANDEL Maouloud.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Andéramboukane :
    Monsieur Gaston BERTHE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Inékar :
    Monsieur Moussa TRAORE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
  • Deuxième Adjoint au Préfet du Cercle de Tidermène :
    Monsieur Bemba TOUNKARA, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
    AU CHAPITRE DES COMMUNICATIONS
    Le ministre de la Santé et du Développement social a informé le Conseil des Ministres de l’évolution de la maladie à Coronavirus marquée par une augmentation du nombre de cas testés positifs par rapport à la semaine précédente.
    Le Président de la Transition, Chef de l’Etat a appelé la population au respect strict des mesures de prévention et de lutte contre la maladie.
    Bamako, le 23 mars 2022
    Le Secrétaire général du Gouvernement,
    Mahamadou DAGNO
    Officier de l’Ordre national
  • SOURCE :Mandé Infos
Categories: Afrique

MULTIPLICATION DES ATTAQUES TERRORISTES CONTRE LES FAMAS

Thu, 24/03/2022 - 11:57
LA ZONE DE TESSIT GANGRENÉE PAR DAESH Daesh  a  revendiqué l’attaque du lundi 21 Mars dernier contre le  camp  des Fama à Tessit  à  travers son site de propagande Amaq.  L’enseignement  à tirer de cette énième attaque est que le groupe état islamique  aussi appelé daesh  semble être très intéressé   par cette partie du territoire national au niveau duquel,  ses attaques sont  toujours violentes contre  les Fama. En l’espace de  moins de 40 jours, c’est la troisième attaque perpétrée contre les Fama    dans  le secteur de Tessit que Daesh a revendiquée . Toute chose qui devrait  pousser la hiérarchie  militaire à  examiner en profondeur l’intérêt   particulier de l’EIGS pour Tessit.

Le groupe  Etat Islamique au  Grand Sahara (EIGS)   encore appelé Daesh est l’un des groupes terroristes qui sévissent  au Mali. Le groupe formé essentiellement par des étrangers    multiplie les attaques contre les positions des Famas depuis  plusieurs  années.   Les offensives criminelles contre les positions des Fama se sont accentuées depuis l’annonce du départ des  Forces étrangères françaises .    L’architecture des mouvements du groupe   sur le territoire national laisse penser que le secteur de Tessit intéresse particulièrement daesh qui (…)

 Par MAHAMANE TOURÉ – NOUVEL HORIZON

Categories: Afrique

Un accident sur la RN27 fait sept victimes

Thu, 24/03/2022 - 11:56
Un accident de la circulation routière est survenu, hier mercredi, aux environs de 2 heures du matin, à Souleymanebougou, dans la Commune rurale de Moribabougou, rapporte le service de la Protection civile de Koulikoro.

C’est un camion en provenance de Koulikoro pour Bamako, qui est entré en collision avec une SOTRAMA roulant dans le sens inverse. Bilan : 7 victimes avec des poly fractures, traumatismes crâniens et bucco-dentaires.  » Les victimes ont été évacuées sur l’Hôpital Gabriel Touré « , a conclu le communiqué.

Source : L’INDEPENDANT

Categories: Afrique

LE PÔLE ÉCONOMIQUE ET FINANCIER DE BAMAKO FOUILLE DANS L’ « AFFAIRE DE FAUX ET USAGE DE FAUX » A L’URD

Thu, 24/03/2022 - 11:52
GOUAGNON COULIBALY ET SES COMPAGNONS ENCORE ÉCOUTÉS LE LUNDI DERNIER En vue de voir clair dans l’affaire de « faux et usage de faux » à l’Union pour la République et la Démocratie (URD), le Pôle Economique et Financier de Bamako a placé Gouagnon Coulibaly et d’autres cadres du parti  sous contrôle judiciaire, le vendredi 11 mars 2022. Dans le cadre de la recherche des voies et moyens pour la manifestation de la vérité, ceux-ci ont encore été entendus, le lundi 21 mars 2022.

Depuis le congrès extraordinaire du dimanche 16 janvier 2022, le camp Salikou Sanogo est aux trousses de celui piloté par Gouagnon Coulibaly. Dans ce cadre, le camp Salikou Sanogo a saisi les autorités compétentes à travers une plainte de faux et usage de faux. Ainsi, après le Camp I de  la Gendarmerie de Bamako, les héritiers du président fondateur du parti de la poignée de mains, feu Soumaïla Cissé sont devant le Pôle Economique et Financier où  Gouagnon Coulibaly qui a été désigné président du parti lors  du congrès extraordinaire du dimanche 16 janvier 2022, Mme Coulibaly Kadiatou Samaké, Kalilou Samaké, Aly Bazzi et Mohamed N. Maïga  sont sous contrôle judiciaire depuis le vendredi 11 mars 2022, pour (…)

TOUGOUNA A. TRAORE – NOUVEL HORIZON  

Categories: Afrique

Lutte contre la corruption et les violations des droits de l’homme: L’AMDH outille ses points focaux et des organisations

Thu, 24/03/2022 - 11:48
L’AGETIC a abrité, hier, mercredi, l’ouverture d’un atelier de deux jours organisé par l’Association Malienne des Droits de l’Homme (AMDH), avec le soutien du PNUD. Une activité, qui entre dans le cadre du  » Projet d’appui à la lutte contre la corruption et le monitoring des violations des droits de l’homme « .

Pour rappel, la Division des droits de l’homme et de la protection de la Mission de l’ONU au Mali (MINUSMA) a enregistré 617 atteintes aux droits de l’homme, commises par des groupes armés, entre janvier et juin 2021, dont 165 homicides. Cela représente une augmentation de quelque 37 % par rapport aux 449 atteintes aux droits de l’homme, dont 121 homicides, documentés d’août à décembre 2020. C’est au regard de cette situation que l’AMDH, avec le soutien financier du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) a initié cet atelier.

A l’ouverture des travaux, le Secrétaire aux affaires juridiques et judiciaires de l’AMDH, Brahima Konaté, a informé que l’objectif de cet atelier est de former les points focaux et les organisations partenaires locaux en matière de technique de documentation, surveillance et rapportage sur des cas de violations des droits de l’Homme et des cas de corruption. L’exercice concernera les zones du projet, qui sont les régions de Ségou, Mopti, Bandiagara, Douentza Gao, Ménaka, Nara et Sikasso.

Il a toutefois invité la population à rester en veille et à remonter toute l’information en lien avec les cas de corruption et de violation des droits de l’homme à l’AMDH,  » Nous allons travailler avec la Fondation Tuwindi, qui a développé une plateforme à partir de laquelle les gens peuvent dénoncer les cas. Et ces informations vont être traitées et transmises à qui de droit « , a-t-il fait remarquer.

O B

Source: l’Indépendant

Categories: Afrique

LE MINISTRE DE LA REFONDATION DE L’ETAT HUE AU DOMICILE DE FEU SOUMEYLOU BOUBEYE MAIGA

Thu, 24/03/2022 - 11:45
Ibrahim Ikassa MAIGA UN MESSAGE ENVOYÉ AUX AUTORITÉS DE LA TRANSITION À TRAVERS IBRAHIM IKASSA MAIGA  Le ministre de la refondation de l’Etat  en charge des relations  avec les Institutions, M. Ibrahim Ikassa MAIGA a été  hué par des proches de feu Soumeylou Boubeye Maïga lorsqu’il s’était rendu dans la famille pour  les salutations. les proches de Soumeylou  lui reprochent le silence des autorités  qui  n’ont pas voulu laisser l’ancien Premier ministre   sortir du pays pour se soigner.

Chaque être humain est destiné à mourir un jour,  cela peu  importe les circonstances. Aussi , s’il est admis que  seul Dieu  a  le pouvoir de  donner ou d’ôter  la vie , il   y a des situations  dans laquelle,   il est  fait fit de  ce pouvoir . Ce constat est fait lorsqu’on      commet un meurtre ou lorsqu’on se suicide. Dans ces deux cas, l’on  oublie que   c’est avant tout Dieu  qui a décidé de la survenue de la mort   car l’on peut survivre avec une  balle  dans la tête comme  mourir avec un simple mal de tête.  Pour des  proches de Soumeylou Boubeye Maïga ,  la mort de l’ancien Premier  ministre est liée  au fait  que  l’Etat a refusé d’ordonner son (…)

 Par MAHAMANE TOURÉ – NOUVEL HORIZON

Categories: Afrique

Propos déplacés de Mahamadou Hawa Gassama contre les albinos: La Fondation Salif Kéita déterminée à porter plainte auprès des juridictions

Thu, 24/03/2022 - 11:42
L’examen d’une plainte contre Mahamadou Hawa Gassama est au niveau de la Fondation Salif Kéita, engagée dans la protection des droits des Personnes Vivant avec l’Albinisme (PVA) au Mali. C’est l’information donnée, hier mercredi, par la Directrice de cette Fondation, Assétou Diallo, contactée par l’Indépendant. L‘assassinat des PVA dans le cadre de rites sacrificiels est devenu une pratique courante au Mali. A cela s’ajoutent les discriminations faites à leurs égards dans leurs environnements sociaux. Ceci explique sans doute la vive réaction des associations de défense des droits des Albinos face aux propos de Mahamadou Hawama Gassama tenus à leur encontre sur une radio de la place. Cet homme politique, actuellement membre du CNT a dit : « … anka fara gnonkon kan ka gon bèlè ni do gnini mou bé Mali bo bolo la « , qui veut dire  » … trouvons ensemble un albinos qui va sauver le Mali « .

S’exprimant sur le sujet, la Directrice de la Fondation Salif Kéita, Assétou Diallo, a indiqué que le rôle de leur Fondation est de se battre contre les fausses idées et pratiques sur les albinos,  » On ne peut pas accepter qu’une personnalité politique et publique puisse tenir de tels propos sur une radio. Il doit être responsable de ses propos « , s’est-elle indignée. Ainsi, elle a rappelé que la Fondation a enregistré plusieurs cas d’assassinats, qui ne sont pas encore élucidés.  » On sait quelle a été la portée de ces propos tenus par Gassama puisqu’on a reçu des réactions des parents dont les enfants ont été victimes d’assassinat », a-t-elle fait remarquer. Avant de déplorer que  » l’animateur, censé également recadrer son invité, a éclaté de rire « . Face à ce comportement, la Dame, Assétou Diallo, engagée pour la cause des albinos, a expliqué que la Fondation Salif Kéita a décidé de porter plainte contre Mamadou Hawa Gassama.  » On attend les autres organisations qui discutent avec leurs membres pour l’introduction de la plainte « , a-t-elle indiqué.

O B

Source: l’Indépendant

 

Categories: Afrique

CONSTRUCTION D’UNE NOUVELLE DIRECTION GÉNÉRALE DES DOUANES

Thu, 24/03/2022 - 11:36
LE MINISTRE ALOUSSENI SANOU EN VISITE SUR  LE CHANTIER

 

En plein chantier, les locaux de la nouvelle Direction Générale des Douanes a reçu des visiteurs   en fin de semaine dernière. Il s’agit du Ministre de l’Economie et des Finances M. Alousséni Sanou accompagné du Directeur Général des douanes, M. Amadou Konaté et plusieurs cadres de l’administration générale de la douane. L’objet de cette visite était dans le cadre de la collecte de renseignements sur l’état d’avancement des travaux de cette prochaine base de la douane du Mali en chantier depuis 2017. A l’issue de la visite, le Ministre Sanou s’est montré satisfait par rapport au déroulement des travaux.

Ces nouveaux locaux qui abriteront  la douane malienne sont situés dans la commune de Mandé,  précisément à Samanko avec une superficie de 30 hectares. Elle a fait l’objet d’une visite  du Ministre de l’Economie et des Finances M. Alousseni Sanou et des hauts cadres de la douane. La construction de cette nouvelle base de la douane malienne est une initiative des autorités du pays afin d’offrir une meilleure condition de travail à cette administration chargée de percevoir aux frontières du Mali les droits imposés sur l’entrée et la sortie  des marchandises et de veiller à ce que les importations ou les exportations prohibées n’aient pas d’accès. Cette structure qui dispose des ressources les plus importantes, voire indispensables du pays,  sera bientôt dans son confort pour vaquer à ses occupations sans difficulté et sans problème dans ses tâches.

Le projet d’équipement de l’administration de cette nouvelle base de la douane comprend : la construction de la direction générale des Douanes, le terrassement de la plateforme devant abriter le bâtiment et sa clôture ; la construction d’annexes (guérites, local groupe et local transformateur) ; les voiries et réseaux sociaux divers (VRD) ; l’aménagement de la cour et d’un parking.

Cette nouvelle installation implantée au cœur d’un domaine de 30 hectares qui servira à un bâtiment principal qui fera office de siège de la future Direction Générale de la Douane, est de niveau R+4.

La surface bâtie est de 5.669,87m2. Elle sera occupée avec 152 bureaux de services, notamment des services centraux a savoir  , « la direction de renseignements et d’enquêtes douanières, la direction de contrôle après dédouanement, la direction facilitation et partenariat avec les entreprises, la direction des ressources humaines des finances et du matériel, la direction informatique et statistique, la direction de la réglementation du contentieux et des relations internationales et la direction recettes, planification et programme de vérification ».

 Dans son entretien avec le Ministre de l’Economie et des Finances M. Alousséni Sanou, le responsable de l’entreprise chargée de la construction a souligné que tous les moyens sont mis en place pour finir les travaux à la date prévisionnelle de la fin des travaux fixée au 30 mai 2022 et a également assuré que l’état d’avancement des travaux est évalué à 93%.

Le Ministre de l’Economie et des Finances, M. Alousseni Sanou n’a pas caché sa satisfaction par rapport au déroulement des travaux. Il s’est dit satisfait quant aux avancements des travaux et a exhorté l’entreprise au respect des délais afin que l’administration douanière puisse mieux répondre aux attentes des plus hautes autorités du pays et des usagers.

A noter que le site abrite déjà le centre de formation des Douanes, le bureau du guichet unique pour le dédouanement des véhicules. Il accueillera également le Centre d’Expertise Technique (CET) afin d’en faire une plateforme complète de la douane Malienne.

Par MAMADOU SEKOU TRAORE – NOUVEL HORIZON

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LE GROUPE AIRNESS OUVRE SA TOUTE PREMIÈRE BOUTIQUE AU SIÈGE DE LA FEMAFOOT

Thu, 24/03/2022 - 11:22
Malamine Koné C’est officiel, Le tout premier point de vente des produits des Aigles du Mali sous la marque de l’équipementier « AIRNESS » vient d’ouvrir ses portes à Bamako. La Boutique AIRNESS qui a officiellement ouvert ses portes hier mercredi 23 mars 2022, est située au siège de la FEMAFOOT. L’évènement s’est déroulé sous les tambours des supporteurs des Aigles du Mali (UNASAM).

Une occasion pour notre compatriote Malamine Koné, fondateur de Airness, d’augmenter son chiffre d’affaires. Mr Koné en a profité pour indiquer que  : « C’est quelque chose qu’on attendait depuis des années : l’ouverture de la boutique, ma boutique enfin ça voit le jour ». Cette inauguration était co-présidée par le Président de la Fédération Malienne de Football,  Mr Mamoutou TOURÉ Alias Bavieux et le PDG de Airness, Mr Malamine Koné. Elle a enregistré la présence de plusieurs personnalités du domaine footballistique.

L’ouverture de la boutique AIRNESS à Bamako intervient deux jours avant la tenue du match Mali-Tunisie au compte des matchs du barrage de la (…)

ALPHA C. SOW – NOUVEL HORIZON  

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APRES LA MORT EN DETENTION DE SOUMEYLOU B MAIGA: « A qui le tour ? »

Thu, 24/03/2022 - 11:14
Trois jours après le décès de l’ancien Premier ministre Soumeylou Boubeye Maïga  alors qu’il était en détention en attente de son procès, le choc au sein de la population est toujours palpable. Et pour cause, beaucoup se demandent « si on la laissé mourir ainsi, alors à qui le tour maintenant » ? La politique est une arme à double tranchant. Quand on s’y lance, il vaut mieux avoir la carapace bien épaisse afin de supporter les multiples invectives. Mais dans tout ceci, peu imaginent que la mort pourrait être une des conséquences de la politique, surtout en 2022, ou cette méthode semblait être révolue !

Arrêté et maintenu en détention en Août 2021 pour une affaire relative à l’achat de l’avion présidentiel, Soumeylou Boubeye Maïga avait déclaré ne pas vouloir fuir car ayant confiance en la justice Malienne. Très vite, sa détention s’est éternisée et sa situation sanitaire s’est gravement détériorée au point de devoir être évacué dans une clinique de la place. Malgré les multiples alertes de ses proches, de sa famille politique et de ses avocats, SBM a été maintenu dans un état de santé critique auquel il a fini par succomber semble-t-il.

Cet acte qui en a choqué plus d’un, au sein de l’opinion nationale,  même les détracteurs du désormais défunt ancien premier ministre, laisse planer un doute chez ceux qui jusqu’à aujourd’hui on tenu à exprimer haut et fort leur (…)

DEMBA KONTÉ

Source: NOUVEL HORIZON

 

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Police nationale : 45 personnes appréhendées, dont 7 femmes et 17 motos saisies dans la zone de l’ancien poste de Niamana

Tue, 28/12/2021 - 11:54
Direction generale de la police La traque des malfrats se poursuit avec la patrouille de grande envergure dénommée  » Opération coup de pied dans la fourmilière « . C’est ainsi que, dans la nuit du samedi 25 décembre, le Commissariat de police du 13è Arrondissement, appuyé par la BAC, la BSI, le GMS ainsi que la Gendarmerie et la Garde nationale, a mené une opération conjointe dans la zone  de l’ancien poste de Niamana. Cette zone, obscure, est connue pour être un refuge pour les délinquants de tous acabits. L’opération a ainsi permis l’interpellation de 45 personnes, dont 7 femmes et la saisie de 17 motos dépourvues de toute pièce et de 6 machines à sous.

Source : L’INDEPENDANT

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Togo: la société civile lance une pétition pour la libération de deux journalistes arrêtés

Tue, 28/12/2021 - 11:50
Une pétition a été lancée la semaine dernière par la société civile pour obtenir la libération de Ferdinand Ayité et Joël Egah, deux journalistes togolais arrêtés le 10 décembre 2021

Au Togo, la pétition lancée par le front citoyen Togo Debout rencontre un succès inattendu. « Nous sommes très heureux de voir que, très rapidement, à travers la diaspora, et même ici au Togo, ça a pris », se félicite le porte-parole du front citoyen David Dosseh.

les deux journalistes ferdinand vité et Joél Egah ont été arrêtés le 10 décembre 2021 après une émission dans laquelle ils raillaient deux ministres du gouvernement. « Cette décision de justice est totalement inacceptable, elle est unique. Des journalistes qui se trouvent derrière leurs barreaux alors qu’ils étaient tout simplement en train de faire leur travail, pour nous, c’est inacceptable et nous sommes heureux de voir qu’au Togo également c’est inacceptable », commente M. Dosseh.

Pour Togo Debout, la réponse à cette pétition illustre la « surprise » et « l’inacceptation » de cette décision de justice. « Au début, on espérait pouvoir atteindre 1 000 signatures difficilement, mais vu l’allure que cette pétition a prise, nous pensons que très rapidement nous allons dépasser les 1 000. Alors pour nous, le prochain objectif pour nous, ce n’est plus 1 000, mais c’est peut-être 5 000 », explique David Dosseh.

SOURCES RFI AFROIQUE

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Coup de filet du Commissariat du 11ème Arrondissement: Un trio de malfaiteurs épinglés en possession d’armes à feu dans une affaire de cambriolage

Tue, 28/12/2021 - 11:26

Le Commissariat du 11è Arrondissement a mis la main sur trois malfrats à Kalaban-coura. C’était dans la nuit du dimanche 19 décembre. Ils étaient en possession de deux armes à feu, de munitions, de Fusil Semi-Automatique (FSA).

C’est l’un des derniers coups de filet réalisés par le Commissaire Divisionnaire Mamoudou Diabaté, attendu très prochainement dans la région de Kayes, à la suite des récentes mutations au sein de la Police nationale.

Selon nos informations, un jeune homme s’est introduit nuitamment dans une famille, à Kalaban-coura, pour y commettre un vol. Il était muni d’une arme et d’un sac contenant des munitions. Au cours de son opération, il a été aperçu par l’un des membres de ladite famille, qui a aussitôt alerté le Commissariat du 11è Arrondissement.

C’est ainsi que la Brigade des Recherches, sous l’autorité du Capitaine Issa Yacouba Coulibaly, a dépêché des éléments pour constatation des faits. Ainsi, les limiers ont interpellé cet intrus muni d’un pistolet de fabrication artisanale, avec son chargeur garni, des munitions ainsi qu’un téléphone portable subtilisé dans cette famille.

Conduit dans les locaux du Commissariat, il a été identifié sous les initiales de F. D, un élève résidant à Kalaban-coura et âgé de 18 ans. Une perquisition effectuée à son domicile a permis aux policiers de retrouver trois autres téléphones portables, une deuxième arme, un ordinateur de marque  » Asus « , un disque dur externe de marque  » Toshiba « . Au cours de son interrogatoire, il a affirmé que l’ordinateur et ses accessoires lui appartenaient. Quant aux armes, il a déclaré les avoir achetées auprès de A.K et B.K. Ceux-ci ont été interpellés, à leur tour, par les limiers.

Cependant, la troisième personne, qui a servi d’intermédiaire pour la vente de ces armes est activement recherchée par la Police. Ainsi, le trio de malfrats (F.D, A.K, B.K) a été mis à la disposition du Tribunal de la Commune VI aux fins de droit.

O. BARRY

Source: l’Indépendant

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DR Bocary Treta lors de la rencontre entre le bureau national du RPM et les élus hier: « Les engagements pris par les autorités de la transition, sont fortement menacés de non-respect par les mêmes autorités »

Tue, 28/12/2021 - 11:20
Bokary Treta est un homme politique malien. Il est le président du parti politique Rassemblement Pour le Mali (RPM) d’Ibrahim Boubacar Kéïta (IBK). Il a été ministre de l’Élevage et de la Pêche dans le gouvernement de Cissé Mariam Kaïdama Sidibé.
Né en 1954 à Diondiori dans la région de Mopti, Bokary Treta est titulaire d’un doctorat d’État en alimentation et nutrition animale de l’Académie vétérinaire de Moscou de l’Université de l’amitié des peuples Patrice Lumumba. Il a été directeur de recherche en zootechnie à l’Institut polytechnique rural de formation et de recherche appliquée de Katibougou.
Crédit photo © Boub’s SIDIBÉ Le Bureau Politique National du Rassemblement Pour le Mali(RPM) a rencontré hier lundi 27 décembre 2021 à la Maison des Ainés, les élus communaux, les Présidents d’Assemblées régionales et les Présidents de conseils de cercles du parti en vue de préparer les futures échéances électorales . La rencontre qui était placée sous la conduite de Dr Bocary TRETA, a noté la participation de plus de 300 élus RPM venus de toutes les régions du Mali .

En plaçant l’événement dans son contexte , le Président du parti Dr Bocary TRETA a fait savoir qu’il est de coutume que la Direction du parti rencontre ses élus locaux pour échanger sur leurs attentes et préoccupations ainsi que les orientations nouvelles du parti entre deux congrès. Saluant la fidélité des militants qui étaient massivement présents dans la salle, Dr Tréta a déclaré qu’il n’a jamais douté de trouver aux tisserands

Source : Nouvel Horizon

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Conflit entre le maire et les jeunes autour d’une parcelle à Mopti : Le Premier ministre Choguel Maiga invité à trancher

Tue, 28/12/2021 - 10:59

Le maire de la Commune Urbaine de Mopti M. Issa Kansaye ne s’entend plus avec plusieurs jeunes du quartier de Medina Coura. La jeunesse s’oppose en effet à la construction d’un centre de transformation alimentaire dans un espace situé à côté du CSCOM du quartier.

De l’avis des opposants au projet, l’espace serait destiné à l’élargissement du CSCOM et à rien d’autre.

À ce jour, plusieurs manifestations violentes ont été enregistrées dans le cadre du rejet du projet de construction du centre de formation.

Les jeunes de Medina Coura sont en effet en conflit avec le Maire de Mopti M. Issa Kansaye qu’ils accusent de vouloir octroyer un espace dédié à l’agrandissement du centre de santé de Medina Coura à un groupe de femmes transformatrices de produits alimentaires. Cette jeunesse affirme que l’endroit en question serait destiné à l’élargissement du CSCOM et que le groupe de femmes bénéficiaires ne serait qu’une association de soutien aux actions du maire.

« Le centre de santé est appelé à s’agrandir un jour. Tout le monde savait que l’endroit est destiné pour ça car même lors de l’accouchement on entend des cris des femmes derrière le centre. Par le passé, la vente de la parcelle a été interdite à tous ceux qui ont voulu le vendre, ce n’est donc pas maintenant que le Maire va changer la donne » a indiqué un jeune leader de Mopti.

Plusieurs autres membres des associations de jeunes de Mopti se sont engagés dans le combat. Des anciens collaborateurs du Maire se sont également rangés du côté des jeunes pour mettre fin à ce projet.

Plusieurs tentatives de construction du centre ont été des échecs en raison de la manifestation des jeunes qui s’est traduite par des brulures de pneus et des barricades de certaines rues. Une quinzaine de jeunes a déjà été convoquée à la Gendarmerie dans le cadre de la tension qui tourne autour du projet.

Le collectif a d’ailleurs saisi le Premier ministre Dr Choguel Kokalla MAIGA afin qu’il s’occupe de la question. Selon certaines sources, les jeunes qui ont reçu les convocations depuis novembre dernier n’auraient pas voulu répondre par peur se voir emprisonnés.

À l’inverse, les forces de l’ordre également n’auraient pas effectué le déplacement pour les cueillir en raison de la tension qui existe au sein du quartier.

 B.T

Source: L’Observatoire

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Côte d’Ivoire: le procureur veut des poursuites contre tous les responsables des violences de 2020

Tue, 28/12/2021 - 10:37

En Côte d’Ivoire, l’Unité spéciale d’enquête sur les violences liées à la présidentielle de 2020 a rendu ses conclusions. Cette unité composée de 40 policiers et gendarmes placés sous la houlette du procureur d’Abidjan a enquêté pendant 6 mois sur les violences politico-ethniques qui ont fait 85 morts entre août et novembre 2020. À l’époque l’opposition rejetait la candidature d’Alassane Ouattara à un troisième mandat puis avait contesté sa réélection. Selon le procureur, plus de 270 personnes sont impliquées à des degrés divers. Il revient maintenant aux juges d’instruction de choisir qui poursuivre.

Depuis 2020, 233 suspects ont été interpellés. La plupart a été libérée et placée sous contrôle judiciaire, mais 11 sont toujours en détention préventive pour leur implication présumée dans les crimes les plus graves, comme la décapitation de Toussaint N’guessan Koffi à Daoukro. 40 autres personnes sont par ailleurs activement recherchées, ajoute le procureur Richard Adou.

« La manipulation des sentiments d’appartenance ethnique, politique et religieuse, ainsi que l’impunité demeure un ressort important de l’escalade de le violence , y compris politique. La jeunesse a été instrumentalisée comme un bras exécuteur par les leaders politiques. Tous ceux qui de près ou de loin auront permis, incité, instrumentalisé, armé ou financé vont répondre de leurs actes. »

Pascal Affi N’guessan, Simone Gbagbo, Maurice Kakou Guikahué, Assoa Adou, Toikeusse Mabri, Guillaume Soro entre autres… Le rapport désigne de nombreux responsables politiques d’opposition comme « auteurs moraux », c’est-à-dire commanditaires ou financiers.

Même l’ancien chef de l’État Henri Konan Bédié, qui a appelé à la désobéissance civile, peut être poursuivi, estime le procureur. Il n’est pas protégé par la loi de 2005 sur le statut des anciens présidents, assure le procureur Richard Adou.   ” Tous ceux qui ont commandité, qui ont incité, qui ont financé cette désobéissance civile qui a entraîné des drames, toutes ces personnes=là ne sont pas exemptes de poursuites. C’est vrai qu’il existe une loi, celle de 2005 sur les anciens présidents de la République, des anciens présidents des institutions, d’anciens ministres. Mais l’article 54 de cette loi dit bien que toutes les infractions commises par ces personnalités en période électorale échappent à la procédure spéciale.

SOURCE RFI AFRIQUE

Le procureur Richard Adou explique la procédure concernant des anciens présidents, qui «ne sont pas exemptes de poursuites»

Le procureur Richard Adou assure par ailleurs qu’il n’y a aucun lien entre la sortie de ce rapport et la reprise du dialogue politique :

« C’est une coïncidence que cela intervienne en ce moment. Le procureur n’est pas un acteur politique, et cela n’a aucune conséquence sur le dialogue politique. »

La balle est maintenant dans le camp des trois juges d’instruction nommés, à qui il revient maintenant de diligenter ou non les poursuites.

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