As an island vulnerable to frequent blackouts, Puerto Rico deserves a resilient and reliable power grid. Building such a grid starts with guaranteeing energy security for critical infrastructure, such as hospitals and storm shelters. Natural gas (NG) can help alleviate the island’s power grid challenges by providing backup redundancy, fuel diversification, and the other critical services (so-called ancillary services) that are required to maintain a reliable grid. If implemented successfully, NG distribution by trucks or storm-resilient pipeline networks would serve as a bridge to a stable grid and set the stage for the 100 percent renewable goal described in the Department of Energy’s PR100 report.
Puerto Rico needs additional power generation today to enable critical planned unit maintenance before another major storm devastates the island or grid failures cause irreparable harm to the local economy. Distributed NG generation is well-positioned to provide this rapid and effective support to both critical infrastructure and the grid at large through both backup and ancillary services. While large NG generators require extensive and expensive bidding and design processes, smaller generators are much easier to acquire and faster to install. They can also be combined to perform similar services at scale. NG generators are also better suited than diesel to operate when air quality is a concern.
Additionally, if done strategically, new NG generation is well suited to address Puerto Rico's net-zero energy goals. Onsite renewables and batteries can supplement energy generation. At the same time, a transition plan from NG to hydrogen, biogas, or green methanol would ensure a clear pathway to continue leveraging all generation assets in a net-zero future.
To maximize the utility of NG, the Puerto Rican government should task the Puerto Rico Energy Bureau (PREB) with establishing and overseeing the construction of a natural gas distribution network as a bridge to a resilient and reliable energy future. This strategy should lay out a plan for distributing NG from liquified natural gas (LNG) terminals to critical nodes, starting with critical infrastructure and expanding out to other regions that chronically experience generation shortages. There are examples of critical infrastructure—such as hospitals and other energy-sensitive industries—that are installing NG distribution and generation. PREB should also establish contracts for the NG generators to provide ancillary services when required by the power grid. Also, PREB should assess and plan for the necessary transition from NG to a carbon-neutral gas alternative.
Until such a transition plan is implemented, using the two existing LNG terminals in Puerto Rico will provide immediate benefits, as these terminals already have the capacity to provide cleaner fuel than the current fleet of emergency diesel generators. On the mainland United States, many utilities include rapidly deployable generation resources as an integral part of their 2050 net zero transition plans—for example, Xcel in Minnesota and Florida’s Duke Energy.
While PR100’s net zero by 2050 remains a worthy goal, and renewable power initiatives should continue, Puerto Rico can and must address more immediate needs. With NG, it can do that while also better positioning itself for the future. Natural gas will enable the island to increase its resilience, enable necessary grid repairs, and pave the way for a net zero-emission future.
Ismael Arciniegas Rueda is a senior economist at the RAND Corporation.
Andrew Star is an engineer at RAND.
Frank Andujar Lugo is a technical analyst at RAND.
Robert Jolly is a SkillBridge Research Fellow at RAND.
Image: Fahroni / Shutterstock.com.
The Chinese naval build up continues with the launch of Sichuan amphibious assault ship, the lead ship of the Type 076 class, displacing 40,000 tons and equipped with an electromagnetic catapult for fixed-wing aircraft operations. On Dec. 27, 2024, the People’s Liberation Army Navy (PLAN) officially launched its latest amphibious assault ship (AAS) from Shanghai, […]
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Après avoir été récemment choisi par l’Allemagne pour remplacer ses Tigre, la Belgique ou encore la Hongrie, l’hélicoptère H145M vient de faire l’objet d’un nouveau contrat. En effet, le 30 décembre, le gouvernement irlandais a fait savoir qu’il venait d’en commander quatre exemplaires auprès d’Airbus Helicopters UK, pour un montant de 91,7 millions d’euros. Devant...
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Alors que les grandes rues de Ouagadougou grouillent de monde pour les fêtes de fin d'année, chacun prépare à sa manière la célébration du réveillon et du jour de l'an. Quelques habitants de la capitale partagent leurs attentes et leurs souhaits pour cette nouvelle année.
Harouna Ouango, conducteur automobile
« J'ai foi que 2025 sera une année meilleure que 2024. Il faut célébrer les fêtes avec modestie en pensant à nos forces de défense et de sécurité qui sont loin de leur famille. C'est grâce à eux que nous pouvons fêter et nous agiter. Donc je pense qu'il ne faut pas en faire trop et avoir une pensée pour eux. Je souhaite beaucoup de santé à tous les Burkinabè en 2025 ».
Harouna Ouango, conducteur automobileAwa, restauratrice
« Après la messe, je vais dîner avec ma famille et mes clients dans mon restaurant. Malgré les difficultés que j'ai traversées depuis longtemps, 2024, à travers Dieu a essuyé mes frustrations et les peines. C'est une année qui a été très agréable pour moi par rapport aux années antérieures. Je remercie le Seigneur pour tout ce que j'ai réalisé car c'est grâce à lui. Je prépare 2025 avec beaucoup d'amour, de conviction et de paix. Je voudrais qu'il y ait beaucoup d'énergies positives autour de moi. Que Dieu restaure tous ceux qui souffrent en silence, qu'il guérisse les malades et qu'il protège les orphelins, les veufs et veuves du monde entier. Au-delà de tout, que Dieu donne la force à notre président afin qu'il puisse travailler ».
Awa qui est restauratrice trouvé que l'année 2024 a été une bonne annéeIssa, commerçant de chaussures
« Vu que je n'ai pas fait de bonnes affaires je vais juste partager un repas avec ma famille et rendre grâce à Dieu pour la vie. D'habitude ici au marché, nous vendons beaucoup pendant cette période mais cette année, la clientèle se fait rare. Les gens disent qu'ils n'ont pas d'argent donc le marché est morose. On souhaite seulement que la paix revienne en 2025 car cela impacte tout le monde ».
Thérèse, enseignante
« Nous avons décidé de faire le réveillon de la Saint Sylvestre en famille avec les enfants, les petits enfants avec un repas que l'on va partager. L'année 2024 a été très difficile pour moi sur le plan économique et celui de la santé mais je rends grâce à Dieu car je suis toujours en vie. Pour 2025, nous demandons à Dieu de nous aider à retrouver la paix dans tout le pays. On souhaite qu'il y ait une bonne avancée économique et des partenariats fructueux dans le pays ».
Samuel Zongo, vulcanisateur
« L'année qui s'achève n'a pas été simple. Les affaires ne marchent pas et en plus il y a l'insécurité. Pour les fêtes, je ne pourrai pas faire ce que je fais d'habitude pour ma famille. Mais le plus important ce n'est pas d'avoir l'argent selon moi mais c'est la santé pour atteindre nos objectifs. Je souhaite en 2025 pouvoir aller partout au Burkina pour mon activité si possible ».
Nouroudine Nikièma, boucher
« Je suis content d'achever cette année car j'ai la santé et mes affaires fonctionnent assez bien. Pour la Saint sylvestre je vais sauter un poulet pour ma mère et lui remettre un peu d'argent aussi. À mon avis 2024 était meilleure que 2023 donc je rends grâce à Dieu. Je souhaite qu'en 2025 mes rêves se concrétisent ».
Nouroudine Nikiema espère que ses rêves se concrétisent en 2025Farida Thiombiano
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Ukraine’s Military Intelligence equipped a Magura V5 Unmanned Surface Vessel with R-73 air-to-air missiles and says it scored a kill against a Russian Mi-8 helicopter, with another helicopter damaged. On Dec. 31, 2024, the Ministry of Defense of Ukraine posted on its Telegram and X accounts a video from Ukraine’s Military Intelligence, showing the downing […]
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Débuté le 23 décembre 2024 à Ouagadougou, le camp d'éveil scientifique et technologique, organisé au sein du Cours privé « Le Creuset », se déroule avec succès à trois jours de sa clôture. Cette initiative de l'Académie de création et d'éveil scientifique (ACES) vise à préparer la nouvelle génération aux défis technologiques futurs tout en leur offrant une expérience ludique et enrichissante.
Le jeudi 26 décembre 2024, au lendemain de Noël, nous retrouvons des enfants de 7 à 17 ans, encore pleins d'énergie. « Même pas fatigués ! », semblait-on lire sur les visages. L'expert en cybersécurité et investigation numérique, Younoussa Sanfo, guide les apprenants dans la création de mots de passe robustes d'au moins douze caractères incluant lettres, chiffres et caractères spéciaux. L'ambiance est studieuse mais joyeuse, preuve que la Nativité n'a pas entamé le dynamisme des enfants.
Frédéric Sévérin Soubeiga dispensant le module sur la robotiqueDe Bamako à Ouagadougou
Mohamadoun Kassé, un jeune malien en classe de 1re A, participe pour la deuxième fois à ce camp. « Mon père a vu l'affiche sur Facebook en 2023. Il s'est dit que ce type de formation me plairait beaucoup. Il m'en a parlé et je suis directement venu au Burkina Faso pendant les congés de Noël », indique le Mohamadoun Kassé qui assure avoir beaucoup appris l'année dernière sur l'arduino, la conception et le pilotage des drones. « Cette formation est la bienvenue, car les enfants aiment tout ce qui bouge. Les initier aux technologies dès maintenant, c'est s'assurer d'avoir des hommes avertis et aguerris à l'avenir. », explique-t-il.
Le jeune Malien Mohamadoun Kassé est à sa deuxième participationUne pédagogie adaptée à tous les âges
Frédéric Séverin Soubeiga, ingénieur en robotique et formateur au camp, se dit émerveillé par l'éveil et la créativité des apprenants. « Nous avons commencé par les bases de l'algorithmique et de la programmation, puis abordé le montage et la programmation de robots. », précise-t-il.
« La méthode pédagogique du camp se base sur des exemples de la vie courante pour faciliter la compréhension. Les enfants sont répartis en groupes selon leur âge. Nous apprenons aux plus grands des concepts plus poussés et nous initions les plus jeunes aux langages graphiques comme Scratch. À la fin du camp, ils seront capables de programmer un jeu sur Scratch, de monter et programmer un robot », assure Soubeiga. Il ne cache d'ailleurs pas sa fierté de voir des élèves comme Traoré Idrissa et Ouédraogo Muslim assembler, programmer et démonter aisément des robots.
Younoussa Sanfo, expert en cybersécurité et en investigation numériqueLe pilotage de drones civils
Après un week-end (les 28 et 29 décembre, ndlr) de repos bien mérité, les enfants reviennent enthousiastes pour le module de pilotage de drones, animé par le formateur Roch Sawadogo
Lors du cours théorique, les apprenants explorent le vocabulaire spécifique des drones et ont un aperçu de la législation en vigueur. « Au Burkina Faso, il y a des règles concernant l'utilisation des drones », rappelle le formateur.
« Par exemple, il est interdit de survoler certains sites sensibles tels que les hôpitaux, les commissariats et les aérodromes. De plus, la hauteur maximale de vol en agglomération est limitée à 150 mètres. On ne peut pas utiliser les drones la nuit ou encore capturer des images du voisinage. Il faut respecter la vie privée des autres. », a rappelé le formateur, pour qui l'espace public n'est pas aussi un espace de jeu.
Après cette session théorique, les enfants ont appris à faire voler les drones à l'aide d'un simulateur de vol, avant de passer à la pratique en conditions réelles avec des drones adaptés à leur âge. « Souvent les enfants maîtrisent mieux les simulateurs que les adultes. Ils apprennent plus vite en s'amusant », observe Roch Sawadogo.
Préparer les innovateurs de demain
Ce camp, organisé par l'Académie de création et d'éveil scientifique (ACES), s'inscrit dans sa mission d'éducation et de sensibilisation aux technologies émergentes.
Les initiateurs entendent susciter la curiosité scientifique de ces derniers et leur permettre de développer des compétences en logique, créativité et résolution de problèmes, des atouts précieux pour leur avenir académique et professionnel, dans un monde de plus en plus numérique. « Certains pourraient choisir de poursuivre dans la robotique ou la programmation, ce qui serait bénéfique pour le Burkina Faso. », conclut l'ingénieur en robotique Frédéric Séverin Soubeiga.
En attendant, rendez-vous est pris le vendredi 3 janvier 2025 pour la cérémonie de clôture. Ce sera l'occasion pour les enfants de montrer à leurs parents qu'ils n'ont pas eu tort de les confier à l'Académie de création et d'éveil scientifique durant ces congés de Noël.
Fredo Bassolé
Lefaso.net
Après deux semaines de compétition, sous la houlette des responsables en charge du sport, le tournoi de ballon militaire (de la 3e Région militaire) a connu son épilogue dans la soirée de lundi, 30 décembre 2024, sur le terrain du Camp général Baba Sy, Ouagadougou. La finale, qui a opposé la Compagnie de commandement et des services (CCS) à la Compagnie mortier lourd (CML), s'est soldée par la victoire de la CSS par un score de 6-4. L'objectif principal de ces compétitions, dont l'apothéose a eu lieu devant de nombreuses notabilités coutumières, est de raffermir les liens entre les différentes unités de l'armée.
Le commandant de la 3ème région militaire, lieutenant-colonel Éric Dabiré, a salué l'esprit qui a animé la compétition.C'est dans une ambiance bon enfant que s'est déroulée cette finale, en présence de plusieurs cadres et responsables militaires, mais également de nombreux invités, frères d'arme et civils, dont une grande mobilisation de notabilités coutumières et de l'association des garagistes Bangr-Nooma du quartier Karpala (quartier riverain du camp). Avant le top départ à proprement dit donné par le commandant de la 3e région militaire, le lieutenant-colonel Eric Dabiré, le public a assisté à une remise de certificats de reconnaissance à des partenaires.
Le lieutenant-colonel Éric Dabiré, ses collaborateurs et invités, saluant...Cette étape a fait place à la finale. Elle a opposé la Compagnie de commandement et des services (CCS) à la Compagnie mortier lourd (CML). Après les salutations d'usage des deux équipes par les autorités militaires et invités, avec en tête le commandant Eric Dabiré, place au duel, en deux fois 20 minutes. Une rencontre sur la supervision technique de l'adjudant Adama Fofana et du sergent Lompo et les commentaires des deux ‘'spécialistes'' du jour, auto-proclamés ici Daba Kini et Gabriel Barrois (deux célèbres journalistes sportifs burkinabè), au grand plaisir de supporters et invités.
...les équipes avant le coup d'envoi.C'est dans ce décor que CCS et CML sont livrées à ce jeu typiquement militaire, qui se joue avec la main et sur un terrain semblable à celui de football. Pas de round d'observation entre les deux équipes qui y ont jeté leur dévolu dès l'entame de cette première mi-temps. Dans cette pression de part et d'autre, CML ouvre le score, 10 mn après le coup d'envoi. Elle sera rattrapée 5 mn après. Le jeu gagne en intensité, au grand plaisir du public. Mais la mi-temps intervient sur ce score de parité.
Ici, la commission technique avec l'adjudant Adama Fofana(à gauche) et le sergent Lompo, veillant au grain.Les organisateurs profitent de l'instant pour remettre des prix aux vainqueurs des compétitions de damier, de jeux de cartes et de pétanque. Plusieurs compétiteurs reçoivent des enveloppes financières accompagnées de congratulations et encouragements des chefs militaires et personnalités invitées.
Mission également accomplie pour les commentateurs "Gabriel Barrois" (au micro) et "Daba Kini ".A la reprise, les deux équipes, encore poussées par leurs supporters, puisent davantage dans leurs énergies et ingéniosité. La rencontre s'intensifie avec des occasions de but qui s'enchaînent pour chaque équipe. A la 22e (soit 2 mn après la reprise), CML corse l'addition, 2-1. Mais cela est loin d'être un acquis, car 2 mn plus tard, CCS parvient à l'égalisation. Le temps de savourer cette remontée que CML devance au score. L'adversaire ne se résigne cependant pas, elle revient à la charge. Les buts vont s'enchaîner à un rythme sans répit. Dans ce ping-pong dans les buts, c'est l'équipe de CCS qui s'impose au terme du temps imparti, par un score de 6 buts contre 4.
L'équipe victorieuse, la CCS, posant avec son trophée et ses médailles.La Compagnie de commandement et des services (CCS) s'adjuge donc le trophée, les médailles d'or et une enveloppe financière. La Compagnie mortier lourd (CML) se console avec des médailles d'argent et une enveloppe financière.
Au-delà des deux finalistes, les autres équipes participantes ont reçu des prix d'encouragements. Mieux, de nombreux prix spéciaux, alimentés par des invités, ont été distribués (meilleur gardien, meilleur buteur, équipe fair-play, premier buteur de la finale, etc.).
Pari réussi, une fois de plus, pour les organisateurs de ces sports et loisirs, dont l'objectif principal est de raffermir les liens entre les différentes unités. En attendant les prochaines éditions, responsables militaires et compétiteurs louent tous l'importance d'un tel cadre, surtout dans le contexte national actuel marqué par un défi sécuritaire qui nécessite l'esprit de solidarité, de fraternité, de cohésion pour la défense de la patrie.
...et militaires.« Le sport est un élément-clé pour améliorer notre condition physique et renforcer la cohésion entre les unités, surtout dans le contexte sécuritaire actuel. Ces moments de convivialité nous permettent de mieux nous connaître et de travailler ensemble de manière plus efficace », a félicité le commandant de la 3e région militaire, le lieutenant-colonel Eric Dabiré.
O.L
Lefaso.net
The rapid collapse of Syrian President Bashar al-Assad’s Ba’athist government is the culmination of a thirteen-year civil war. Key global trends fed into Syria’s suffering: ethnic and religious hostilities, migration, terrorism, militant Islam, and the return of great power politics, as meddling and interventions by Türkiye, Russia, and Iran only made matters worse.
The United States, Europe, Türkiye, and moderate Arab nations must ensure that Syria does not revert to being a Russian and Iranian stronghold in the Eastern Mediterranean again. They must also guarantee that Syria will not serve as a base for future jihadist expansion led by ISIS and that reconstruction efforts include measures to secure equality for women and all ethnic groups, particularly the Kurds, who are American allies, allowing them to coexist peacefully. This will not be an easy task.
With the fall of the Assad regime (supported by Russian president Vladimir Putin and Ayatollah Ali Khamenei), the geopolitical balance of power in the Levant has shifted. The borders of Syria, initially drawn by the British Empire and France in the 1916 Sykes-Picot Agreement, may no longer exist. Türkiye and, to a lesser extent, Qatar emerged as clear winners.
For everyone else, the impact of recent events is more ambiguous. The Syrian people, the United States, and Israel will find out whether a transitional administration led by Hay’at Tahrir al-Sham (HTS) is to their benefit. The U.S. State Department still designates this rebel coalition as a foreign terrorist organization (FTO). Nevertheless, Secretary of State Anthony Blinken announced direct contact between Washington and HTS on December 15. A U.S. delegation led by Assistant Secretary of State for the Middle East Barbara Leaf met with Ahmad al-Sharaa, the HTS Syrian leader, and the White House is reportedly contemplating lifting the Foreign Terrorist Organization designation from HTS.
To send a message to the new rulers in Damascus, Israel moved to secure a narrow buffer zone on the Golan Heights. In what may be a favor to the rest of the Middle East and the world, it also proceeded to methodically destroy Assad’s surface-to-surface missiles, chemical weapons, and other heavy weapons stored throughout Syria. With ISIS still active in the area, one never knows who could use these arms in the future or to whom HTS might sell them.
Turkish president Recep Tayyip Erdoğan gambled on supporting multiple rebel groups after Assad rebuffed his efforts to restore relations between Türkiye and Syria. Ankara deployed the Syrian National Army (SNA) to destroy the Syrian Kurdish-led, U.S.-backed Syrian Democratic Forces (SDF) in Northern Syria, and Turkey controls two large buffer zones there. Reports of executions of the wounded in hospitals and rape and kidnapping of Kurdish women by these Turkish proxies have shocked the world. Since the collapse of the Ottoman Empire, Türkiye has never exerted as much military and diplomatic power in the Middle East as it does now. Qatar also supported anti-Assad forces in Syria, and there is no doubt that officials in Doha are more pleased with current events than officials in other Gulf monarchies that were more conciliatory toward Assad (e.g., UAE, Oman).
The Shift In The Balance of PowerAssad’s defeat weakens the geopolitical standing of both Tehran and Moscow. Russia spent tens of billions of dollars to keep the Syrian regime in power. For years, the Iranian Revolutionary Guard Corps and Hezbollah served as Iran’s leading force supporting Assad. Successful Israeli strikes against Hezbollah’s leadership this fall deprived the Syrian government of a vital ally. Russia may lose its naval port in Tartus, a Mediterranean city in northwestern Syria, and an air base in Khmeimim.
If calm ensues, reconstruction will be key. EU and American sanctions against the Assad regime targeted the dictatorship and the businesses and institutions aligned with it. Many Assad opponents now hope that Western countries can fully lift those sanctions. However, much will depend on whether and how much common ground can be found with the post-Assad regime.
A continuous civil war or the creation of a Sharia-based terrorist state is unlikely to receive aid, much less investment. If there is chronic violence, or if the rights of women and ethnic minorities are not protected, the hundreds of billions of dollars necessary to rebuild the country and allow millions of Syrian refugees from the Middle East and Europe to come home may not materialize.
Assad’s exile is worthy of celebration, but American leaders should not yet lift the FTO designation from HTS. In a diverse, war-torn country like Syria, post-revolutionary hatred runs deep. Ethnic and sectarian hostilities, especially fears among the Kurdish and Alawite minorities, are already mounting. The HTS-led government needs to prove that they will abandon jihad and are ready to fight ISIS.
The defeat of Russian and Iranian forces in Syria presents an opportunity to re-establish American preeminence in the Middle East, particularly in preparation for confronting the Iranian nuclear threat. To achieve this, the United States and its allies must “get Syria right.” There is a lengthy to-do list. Washington must ensure that Russia withdraws its troops and closes its air and naval bases. HTS, the U.S., and Israel need to make sure that no Iranian resupplies reach Hezbollah via Syria.
The Perilous Path AheadThe new Syrian leader, al-Sharaa, is projecting a pragmatic image and may be threatened by murderous radicals bent on removing the competition. He announced that it may take up to four years to hold elections in the country. This would be more than enough time to establish a Sharia-based regime. Despite the pro-Sharia regime statements by regime spokespeople, in particular, Ayshe al-Debs, the HTS Women Affairs Minister, in support of Hamas, jihad, and in favor of the limitations on women’s rights, Washington, along with our moderate Arab and European allies, must clearly communicate to HTS that a harsh, Sharia-based political system that discriminates against women, forces “conversion” on the Druze and Alawites to an extremist form of Sunni Islam, or reduces Christians to “Dhimmis” is entirely unacceptable; any attempt to do so will result in a cessation of all aid and isolation. In fact, the U.S. State Department did that, but not decisively. Thus, removing HTS’ FTO status may be premature.
For Syria to build a democratic, pluralistic, and peaceful nation dedicated to the return of its refugees, their safety and prosperity through economic development increasingly seems like a dream. Despite the immense suffering of the Syrian people, without the wisdom, patience, and tolerance of the factional leaders, there is a tragic possibility that a further phase of the war—and possibly more massacres—may still lie ahead.
Dr. Ariel Cohen is the Managing Director of the Energy, Growth, and Security program at the International Tax and Investment Center and a nonresident Senior Fellow at the Atlantic Council. Follow him on X: @Dr_Ariel_Cohen.
Image: Shutterstock.com.
La nouvelle Directrice générale de l’Agence nationale pour la promotion des investissements (ANAPI), Rachel Pungu Luamba a pris l’engagement, lundi 30 décembre, de faire de cet établissement un instrument de l’émergence socio-économique en RDC.
Elle a exprimé son engagement lors de la prise de ses fonctions, à Kinshasa en présence du Directeur de cabinet du vice-Premier ministre du Plan, Prince Leta.
En 2019, dans le cadre du programme NGES [Next Generation Ejection Seat], l’US Air Force fit savoir qu’elle avait retenu Collins Aerospace afin d’équiper ses avions F-15 « Strike Eagle », F-16 « Falcon », F-22A « Raptor », A-10 « Warthog » et B-1 « Lancer » avec le nouveau siège éjectable ACES 5. L’année suivante, un premier contrat, d’une valeur de 700 millions...
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