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Au Tchad, pas de solution face aux prix élevés du ciment

RFI /Afrique - Fri, 20/12/2024 - 00:04
Au Tchad, la population trouve trop élevé le prix du sac de ciment, produit localement tout comme importé. Un sac de ciment de 50 kg se vend entre 8 500 et 11 500 francs CFA, soit 130 à 176 euros. Il est importé parfois du Maroc, du Nigeria ou du Cameroun, car l’usine de Baoré, au Tchad, n’arrive pas à produire comme il se devrait à cause de la crise économique. Avec ce prix élevé, beaucoup de Tchadiens n’arrivent pas à construire de maisons modernes. 
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Mpox en RDC: dans les camps de déplacés à Goma, contenir l’épidémie [3/3]

RFI /Afrique - Fri, 20/12/2024 - 00:04
Dans les camps de déplacés à la sortie de la capitale de la province du Nord-Kivu, Goma, des centaines de milliers de personnes s’entassent depuis 2021 et les affrontements entre les hommes du M23, appuyés par l’armée rwandaise, et les troupes progouvernementales. Les conditions de vie et la promiscuité entre les déplacés sont deux conditions favorables au développement du virus mpox. Pourtant, l’épidémie n’y a pas explosé, mais de nombreuses questions restent en suspens. 
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Burkina/Réalisation des infrastructures : Un taux d'exécution physique global de 80,95% en 2024

Lefaso.net (Burkina Faso) - Fri, 20/12/2024 - 00:01

Le ministère des Infrastructures et du désenclavement tient sa 2ᵉ session ordinaire de l'année 2024 du Conseil d'administration du secteur ministériel (CASEM), ce jeudi 19 décembre 2024 à l'École nationale des travaux publics de Ouagadougou.

Le Conseil d'administration du secteur ministériel constitue un cadre stratégique incontournable pour évaluer collectivement les performances, orienter les actions et planifier le futur.

Selon le ministre des infrastructures et du désenclavement, Adama Luc Sorgho, cette session donne l'opportunité de présenter un bilan partiel de l'exécution des activités de l'année 2024, d'examiner et d'adopter le programme d'activité pour l'année 2025, objets de la présente session.

Pour ce deuxième rendez-vous de l'année, le thème retenu est : « Sécurisation des emprises des infrastructures routières et ferroviaires : le défi de la libération des emprises de l'occupation anarchique pour une mise en œuvre efficace des projets d'infrastructures de transport ».

« Malgré les nombreux défis qui ont été relevés, notre département a enregistré des résultats satisfaisants »

Il s'agit pour les acteurs des infrastructures et du désenclavement de poser un diagnostic de la situation afin d'identifier des pistes de solutions adaptées pour améliorer l'exécution des projets.

Un bilan assez satisfaisant

Selon le ministre Adama Luc Sorgho, la mise en œuvre des activités de cette année 2024 a été fortement impactée, au-delà du contexte sécuritaire, par la contre-performance de certaines entreprises et le retard dans l'obtention des ANO (Avis de non-objection). « C'est un formulaire obligatoire destiné aux bailleurs de fonds qui atteste ne pas émettre d'objections à un financement d'un projet (Ndlr) ».

« Il faut également noter une lenteur dans la libération des emprises par les populations et les concessionnaires, qui entraîne un retard dans le démarrage effectif des travaux et impacte significativement la mise en œuvre efficace des projets d'infrastructures de transport », a-t-il ajouté.

Les participants à ce CASEM sont invités à user de leurs capacités d'anticipation pour faire face aux difficultés et aux contraintes de procédures

Cependant, à en croire les acteurs de ce ministère, des statistiques montrent qu'il y a des résultats satisfaisants. Le bilan de mise en œuvre des activités est assez satisfaisant. Sur un total de 277 activités planifiées, 123 ont été achevées, 134 sont en cours d'exécution et 20 n'ont pas encore démarré.

Le ministre a indiqué que c'est un taux d'exécution physique global de 80,95%. « Il faut encourager les agents du ministère et les collaborateurs pour ce travail. Vu la période que nous traversons, c'est un résultat satisfaisant », a-t-il déclaré.

Cryspin Laoundiki
Lefaso.net

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Burkina : Vers une amnistie pour certains auteurs de la tentative de coup d'État de septembre 2015

Lefaso.net (Burkina Faso) - Fri, 20/12/2024 - 00:00

Au titre du ministère de la Justice, le conseil des ministres du 18 décembre 2024 a adopté un projet de loi portant amnistie et conditions d'octroi de la grâce amnistiante relativement aux évènements des 15 et 16 septembre 2015. Il s'agit de la tentative de coup d'État opérée par l'ex Régiment de sécurité présidentielle contre les autorités de la transition de l'époque. À la sortie de la réunion gouvernementale, le ministre chargé de la Justice, Edasso Rodrigue Bayala, a expliqué que les personnes présumées impliquées doivent remplir un certain nombre de critères pour bénéficier de cette amnistie.

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Coopération Burkina Faso- République centrafricaine : Le Président TOUADERA à Ouagadougou

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 19/12/2024 - 23:55

(Ouagadougou, 19 décembre 2024). Le Président du Faso, Chef de l'État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, a accueilli à l'aéroport international de Ouagadougou, le Président de la République Centrafricaine, Faustin-Archange TOUADERA, en visite d'amitié et de travail au Burkina Faso.

Le Président de la République centrafricaine séjourne à Ouagadougou dans le cadre d'une visite d'amitié et de travail pour le renforcement de l'axe Ouagadougou-Bangui.

Accueilli à l'aéroport international de Ouagadougou, Faustin-Archange TOUADERA a eu un tête-à-tête au Palais de Koulouba avec le Président du Faso, Chef de l'État, le Capitaine Ibrahim TRAORE.

Les deux Chefs d'État ont, au cours de l'entretien, échangé sur les enjeux majeurs de la coopération entre le Burkina Faso et la République centrafricaine, mais également sur des questions stratégiques pour l'Afrique.

Il s'agit entre autres de la situation sécuritaire, du développement de leurs pays respectifs, de la lutte des pays africains pour leur souveraineté dans la dynamique de favoriser l'épanouissement des populations et le développement économique des États africains.

Direction de la communication de la Présidence du Faso

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Burkina / Recherche scientifique : L'INSS-CNRST rend hommage à quatre chercheurs retraités

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 19/12/2024 - 23:50

Ce jeudi 19 décembre 2024, l'Institut national des sciences des sociétés (INSS), un des instituts du Centre national de la recherche scientifique et technologique du Burkina Faso (CNRST), a lancé à Ouagadougou des journées d'hommage aux chercheurs admis à la retraite qui se dérouleront du 19 au 20 décembre 2024, sous le thème « Savoirs croisés : Langage, territoire et éducation en dialogue ».

Des hommages ont été rendus à Dr Oger Kaboré, Dr Naraogo Dolerme Félix Compaoré ; Dr Ardjouma Ouattara, et Dr Betéo Dénis Nebié, tous ayant fait valoir leurs droits à la retraite. La cérémonie s'est tenue sous la présidence de Dr Emmanuel Nanéma, délégué général du Centre national de la recherche scientifique et technologique (CNRST) ; du co-parrainage de Martin Zongo, administrateur général du CITO ; de Karim Demé, directeur général ECR/BTP ; de Dahouda Ouédraogo, directeur général du Bureau d'études urbaines ; et de Dr Ludovic O. Kibora, directeur de recherche en anthropologie à l'INSS/CNRST. Le moment était solennel pour chaque enseignant-chercheur admis à la retraite, qui a reçu un trophée à l'image d'un baobab.

Dr Naraogo Dolerme Félix Compaoré, représentant des retraités

Le parcours de ces enseignants-chercheurs admis à la retraite inspire un profond respect au sein de la communauté scientifique. Cet événement solennel a permis à l'INSS-CNRST de rendre hommage à ces chercheurs pour leur travail acharné. Le représentant des récipiendaires, Dr Naraogo Dolerme Félix Compaoré, a exprimé, au nom de ses collègues, sa gratitude envers tous ceux ayant contribué à l'organisation de cette cérémonie. « C'est un honneur d'avoir été honoré et reconnu par la communauté scientifique. Merci à tous », a-t-il déclaré.

Lydia Rouamba, présidente du comité d'organisation des journées d'hommage, a salué les parrains et tous ceux qui ont participé à la réussite de cet événement. Elle a expliqué que le thème de ces journées fait référence à l'esprit visionnaire et au travail multidimensionnel des quatre chercheurs. Elle a ajouté que ces journées ne se limitaient pas à des célébrations, mais constituaient également un moment d'échange intellectuel et scientifique, avec une trentaine de communications scientifiques prévues, auxquelles participeront des chercheurs du Burkina Faso, de la Côte d'Ivoire et du Niger. « Ces échanges enrichiront sans aucun doute nos réflexions », a-t-elle souligné.

Lydia Rouamba, présidente du comité d'organisation des journées d'hommage

Aouwa Carole Bambara/Congo, directrice de l'INSS-CNRST, a rappelé que ces moments d'hommage sont essentiels pour réfléchir sur les thématiques scientifiques traitées par les chercheurs à l'honneur. Selon elle, les recherches en géographie, sciences de l'éducation, ethnomusicologie et linguistique apportent un éclairage précieux pour construire une société de paix et de prospérité. Elle a précisé que ces journées d'hommage s'inscrivent dans la tradition de l'INSS en proposant aux décideurs des connaissances permettant de réussir la transformation positive de la société. « Grâce à vos écrits, vos actions et votre engagement, vous avez laissé une marque indélébile dans l'histoire de notre pays et dans le cœur de ceux qui ont eu la chance de vous connaître ou de vous lire. Votre héritage continuera à éclairer notre travail pour de nombreuses années à venir », a-t-elle conclu.

Aouwa Carole Bambara/Congo, Directrice de l'INSS-CNRST

Le représentant des parrains, M. Martin Zongo, a exprimé ses félicitations aux chercheurs honorés. « Honorer la personne méritante de son vivant est encore mieux. Alors, chers récipiendaires, honneur à vous ! Merci pour tout ce que vous avez fait pour notre pays. Que Dieu vous accorde une retraite longue et paisible, comme vous le méritez ! Vous avez vécu utilement, et les générations futures garderont un souvenir éternel de votre travail », a-t-il déclaré.

Le représentant des parrains, M. Martin Zongo

Dans son discours d'ouverture, Dr Didier Zida, délégué général adjoint de l'INSS-CNRST, a souligné l'importance de l'union au sein de la communauté scientifique. Il a rappelé que, bien que les chercheurs soient parfois mal compris par certains citoyens et décideurs, leur rôle est crucial pour fournir des données fiables et aider à des prises de décisions éclairées. « Être chercheur sous nos cieux est un véritable sacerdoce, car cela implique une responsabilité envers la nation burkinabè et le monde. Chers aînés, vos productions scientifiques et vos contributions à la promotion du CNRST témoignent de votre dévouement et des valeurs positives que vous avez transmises à vos cadets », a-t-il affirmé avant de déclarer officiellement ouvertes les journées d'hommage aux enseignants-chercheurs.

Dr Didier Zida, Délégué général adjoint de l'INSS-CNRST

Cette cérémonie marquait un moment important de reconnaissance pour les chercheurs à la retraite, mais aussi un temps de réflexion pour la communauté scientifique, qui continuera de puiser dans leur héritage pour bâtir un avenir meilleur.

Lefaso.net

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RDC: limogeage du général Christian Tshiwewe Songesha à la tête de l'état-major des Forces armées

RFI /Afrique - Thu, 19/12/2024 - 23:48
Des changements à la tête des Forces armées de la République Démocratique du Congo (FARDC). Félix Tshisekedi a procédé à une série de nominations dans un contexte de montée des violences dans l’est du pays et de progression du M23, particulièrement dans le territoire de Lubero, au Nord-Kivu. Parmi ces décisions, le remplacement du chef d’état-major général des FARDC.
Categories: Afrique

Burkina Faso : L'avant-projet de loi d'orientation du numérique en cours de validation

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 19/12/2024 - 23:45

Le ministère de la Transition digitale, des Postes et des Communications électroniques a organisé ce jeudi 19 décembre 2024, un atelier national de validation de l'avant-projet de loi d'orientation du numérique au Burkina Faso. L'ouverture des travaux a été présidée par Abdoulaye Ouédraogo, directeur de cabinet, représentant la ministre en charge de la transition digitale.

Au regard de la multiplicité des textes juridiques, des acteurs et des référentiels en matière numérique, le gouvernement du Burkina Faso a décidé de créer un cadre national unifié de référence qui assurera les réformes juridiques, politiques et institutionnelles appropriées pour un meilleur développement du secteur numérique. En vue de mettre en place ce cadre unifié, il est envisagé l'élaboration d'un avant-projet de loi d'orientation du numérique au Burkina Faso.

C'est dans ce sens que se tient ce présent atelier national de validation de l'avant-projet de loi d'orientation du numérique au Burkina Faso. Cet atelier national de validation se tient grâce à l'appui financier du Projet d'accélération de la transformation digitale au Burkina Faso (PACTDIGITAL-BF), dont l'objectif de développement est d'améliorer la disponibilité, l'accessibilité et l'appropriation des services numériques au Burkina Faso.

Photo de famille des participants à cet atelier de validation

Au cours de cet atelier, Il sera question de présenter l'avant-projet de loi d'orientation du numérique au Burkina Faso aux participants, de recueillir leurs avis et amendements et de valider cet avant-projet de loi.
Pour Abdoulaye Ouédraogo, directeur de cabinet, représentant la ministre en charge de la transition digitale à l'ouverture des travaux, les technologies de l'information et de la communication présentent de nombreux avantages et le Burkina Faso entend également saisir ces opportunités à travers la prise de nombreux cadres juridiques et stratégiques.

« Les technologies de l'information et de la communication sont sans conteste au cœur des transformations majeures de notre époque. Elles façonnent les sociétés, dynamisent nos économies et redéfinissent nos manières de vivre et de travailler. Pour le Burkina Faso, cette technologie représente non seulement une opportunité, mais aussi une responsabilité, celle d'en faire un levier de développement inclusif et durable. C'est dans cette dynamique que notre pays s'est doté depuis plusieurs années de cadres juridiques, stratégiques et institutionnels ambitieux pour promouvoir le numérique. A titre d'illustration, on a la Stratégie nationale de développement de l'économie numérique (SN@DEN) 2018-2027 dont la vision est : « À l'horizon 2027, le Burkina Faso dispose d'une économie numérique compétitive qui impacte positivement, durablement et de façon inclusive son développement'', témoigne de la volonté du gouvernement de faire du numérique un pilier essentiel de transformation économique et sociale du Burkina Faso », a-t-il indiqué.

Abdoulaye Ouédraogo, directeur de cabinet, représentant la ministre en charge de la transition digitale

Selon Abdoulaye Ouédraogo, l'élaboration de l'avant-projet de loi d'orientation du numérique s'inscrit dans la volonté du gouvernement burkinabè, de doter le pays d'un cadre juridique reflétant les principes et les valeurs de la société de l'information et structurant la mobilisation du potentiel du numérique. « C'est dans cette optique que le gouvernement, avec l'appui du projet PACTDIGITAL a initié le présent processus législatif. Cette loi d'orientation du numérique doit répondre aux besoins pressants des acteurs, tout en jetant les bases d'un environnement juridique et institutionnel apte à soutenir durablement le sort du secteur. Cet atelier constitue une phase importante dans l'établissement de ce cadre juridique. Nous sommes donc invités à analyser, améliorer et approuver l'avant-projet de loi », a-t-il précisé.

Wilfrid Batako est le directeur de la valorisation de l'écosystème du numérique par intérim au ministère de la Transition digitale. Il a confié que l'avant-projet de loi d'orientation du numérique est un instrument voulu par le département en charge de la transition digitale afin de structurer, de canaliser, de faire en sorte que les interventions dans le domaine du numérique, puissent avoir un fondement cohérent dans l'architecture juridique actuelle, mais surtout que l'Etat puisse avoir un regard dans la mise en œuvre des projets dans le pays.

Wilfrid Batako, directeur de la valorisation de l'écosystème du numérique par intérim au ministère de la Transition digitale

Comme grandes lignes de cet avant-projet, Wilfrid Batako a laissé entendre qu'il consacre un certain nombre de principes comme l'érection du numérique comme priorité nationale, l'inclusion numérique, la souveraineté numérique, la sécurité numérique, etc. « Il y a un ensemble de principes énumérés pour soutenir la transformation digitale et le développement du numérique en général dans notre pays », a-t-il déclaré.

Mamadou ZONGO
Lefaso.net

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Nicknames, Nose Art, and Bomb Markings of the Final 492nd FS F-15Es Returning from the Middle East

The Aviationist Blog - Thu, 19/12/2024 - 22:44

Let’s have a look at the markings sported by the final six F-15E Strike Eagles of the 492nd Fighter Squadron, which have just returned from their deployment to the Middle East. The final six F-15E Strike Eagle jets belonging to the 492nd Fighter Squadron “Madhatters” of the 48th Fighter Wing, deployed to the CENTCOM AOR […]

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Le lieutenant général Jules Banza Mwilambwe prend les commandes des FARDC

Radio Okapi / RD Congo - Thu, 19/12/2024 - 22:16


Le président de la République, Felix Tshisekedi, a procédé ce jeudi 19 décembre à plusieurs nominations et promotions en grade au sein des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC).

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Is Elon Musk Running the GOP?

The National Interest - Thu, 19/12/2024 - 22:09

Team Trump is scrambling to control the fallout from Elon Musk almost singlehandedly terminating a stopgap spending bill that would have ensured the federal government is funded through March 14. The problem is twofold. One is that the government may soon shutter, leaving House Speaker Mike Johnson with essentially no exit from the debacle. The other is that Musk is starting to eclipse President-elect Donald Trump.

Instead of Trump heading into his second term as Mr. Big, it increasingly looks like Musk is calling the shots. “This bill should not pass,” Musk declared. It didn’t. The result is political mayhem. Sen. Rand Paul is suggesting that Musk should replace Johnson as House speaker. So is Rep. Marjorie Taylor Greene.

Writing in Talking Points Memo, Josh Marshall observed, “Musk is erratic, volatile, impulsive, mercurial. He introduces a huge source of unpredictability and chaos into the presidency that for once Trump doesn’t control. See it clearly: Musk did this. Trump thrives on chaos, but his chaos. Not someone else’s chaos.”

Vice President-elect J.D. Vance has essentially been AWOL over the past several weeks. It appears that Musk has cemented the bromance between himself and Trump. He’s everywhere. He goes to the Notre Dame with Trump. He goes to the Army-Navy game with Trump. He goes to dinner with Trump at Mar-a-Lago. The only question is where he does not go.

Now Trump is moving to quash the notion that he’s in some kind of co-presidency with Musk, a notion that Gerald Ford once proposed to Ronald Reagan in 1980, who promptly rejected the notion. Instead, the Trump campaign released a statement to Business Insider claiming that Trump remains in command: “As soon as President Trump released his official stance on the CR, Republicans on Capitol Hill echoed his point of view,” Leavitt told it. “President Trump is the leader of the Republican Party. Full stop.”

However, the more the Trump campaign feels compelled to deny the claim, the more plausible it will become. For their part, Democrats are playing up the idea that Musk is the true president-elect. Rep. Rosa DeLauro issued a fact sheet showing what Elon’s move to kill disaster supplemental aid will cost each state. Others are referring to “President-elect Musk.” “He’s president and Trump is now vice president,” stated Rep. Jim McGovern.

Musk himself says that he is simply an upstanding patriot who seeks to bring important matters to the incoming administration’s attention.

For Trump, who has vowed to upend the federal government, torpedoing the bill offered an opportunity to flex his political muscles even before he officially becomes president. President Joe Biden is nowhere in sight. Trump dominates.

But in dominating the debate, he risks taking responsibility for a government shutdown, one largely engineered by his buddy Musk. At some point, there may be a collision between Trump and Musk. After all, if the shutdown isn’t resolved by January 6, Congress won’t be able to certify his election as president.

Jacob Heilbrunn is editor of The National Interest and is a nonresident senior fellow at the Atlantic Council’s Eurasia Center. He has written on both foreign and domestic issues for numerous publications, including The New York Times, The Washington Post, The Wall Street Journal, Financial Times, Foreign Affairs, Reuters, Washington Monthly, and The Weekly Standard. He has also written for German publications such as Cicero, Frankfurter Allgemeine Zeitung, and Der Tagesspiegel. In 2008, his book They Knew They Were Right: the Rise of the Neocons was published by Doubleday. It was named one of the one hundred notable books of the year by The New York Times. He is the author of America Last: The Right’s Century-Long Romance with Foreign Dictators.

Image: Hadrian / Shutterstock.com

Burkina business club : Dix millions francs CFA pour les associations œuvrant dans le social et l'humanitaire

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 19/12/2024 - 21:30

Cinq associations ont bénéficié de la main tendue de Burkina business club (BBC) ce jeudi 19 décembre 2024, à Ouagadougou. Le don, composé de vivres et de chèques allant de 500 000 à 1 million de francs CFA, vise à soutenir et à encourager ces institutions qui ont fait du bien-être de leur prochain, leur cheval de bataille.

Confronté à une crise sécuritaire et humanitaire qui l'a rendu beaucoup plus vulnérable, l'une des valeurs sur lesquelles le Burkina Faso mise pour sortir la tête de l'eau est la solidarité. Cela, Burkina business club l'a bien compris. Pour contribuer à arracher un sourire aux personnes vulnérables, cette institution composée de 150 chefs d'entreprise n'a pas lésiné sur les moyens.

Les business men de BBC et des récipiendaires, ensemble sur la photo de famille

« Huit sacs de lait, 12 bidons d'huile, 20 sacs de riz, 20 sacs de maïs, 20 sacs de sucre, 40 sacs de macaroni et des chèques allant de 500 000 à 1 million de francs CFA », voilà l'essentiel des dons offerts par BBC à cinq associations œuvrant dans l'humanitaire et le social. Objectif : accroître la résilience des associations à pied d'œuvre sur le terrain.

Une vue des dons en nature, offerts aux associations

« Dans le cadre de la résilience sécuritaire et humanitaire, nous avons pensé à venir directement faire des dons à ces associations qui se battent pour les Personnes déplacées internes, les veuves, les orphelins. Nous sommes une association citoyenne et il est de bon ton que nous apportions notre concours au niveau national, que participions aux problèmes que rencontrent les associations, parce que ce sont elles qui sont directement en contact avec les populations », a justifié Dr Ernest Toé, président de BBC.

« Nous souhaitons que les associations fassent bon usage de ce qu'elles ont reçu, pour le bien des personnes vulnérables », Dr Ernest Toé

Bassitara Burkina est une association créée en 2002 avec pour objectif de venir en aide aux orphelins et aux enfants du village, à travers des projets. A ce jour, une centaine d'enfants sont passés par ce centre. En recevant ce chèque de 1 million de francs CFA au profit de l'orphelinat de Samendéni, le président de l'association, Oumar Sangaré, n'a pas manqué de signifier sa joie ; une joie immense car dit-il : « cela permettra d'aider à la prise en charge de la vingtaine d'orphelins et d'enfants démunis que nous avons avec nous ».

« Certains des enfants passés chez nous sont à l'université. L'un d'entre eux est en master cette année », Oumar Sangaré

La Fondation Go Paga qui œuvre à apporter un soutien aux veuves des PDI a, elle, bénéficié de la somme de 500 000 francs CFA. Pour Aïssatou Ouédraogo, chef de projet de l'institution, l'émotion est à son comble. « C'est un honneur ! Nous remercions BBC pour le choix fait sur notre fondation, surtout en ces temps de fin d'année où nous faisons des dons à nos veuves et organisons des arbres de Noël pour les enfants de soldats tombés pour la patrie », s'est-elle réjouie.

« Go Paga a vu le jour en 2021. Depuis avril 2024, nous sommes devenus une Fondation », Aïssatou Ouédraogo

Pour rappel, Burkina business club existe depuis 1990. Historiquement dénommé « Club des hommes d'affaires franco-burkinabè (CHAFB) », le club fait une plus grande ouverture au monde des affaires burkinabè en permettant une inclusion plus large. Son objectif est de promouvoir les affaires à travers des cadres de concertation et de réseautage.

Erwan Compaoré
Lefaso.net

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Burkina/ Festivités de fin d'année : Le ministre de la sécurité invite les populations à redoubler de vigilance

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 19/12/2024 - 21:30

Dans un communiqué en date du 19 décembre 2024, le ministre de la sécurité Mahamadou Sana à rappelé la nécessité de redoubler de vigilance en ces périodes de fêtes de fin d'année. Il a souligné que la baisse de vigilance occasionnée par les fêtes, constitue des moments propices d'actes terroristes. Il rassure les populations que les dispositifs de sécurité sont renforcés et les forces de défense et de sécurité préparées à faire face à toute éventualité.

Mahamadou Sana invite les populations à être sur leurs gardes, surtout au cours de la période allant du 20 décembre 2024 au 15 janvier 2025. Il a par ailleurs exhorté les citoyens à signaler toute activité, comportement, colis, chargement, ou véhicules suspects aux numéros verts suivants : 10 10 ; 16 ; 17 ; 199.

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Burkina : Le gouvernement lance les premières journées nationales de l'agroécologie, du 19 au 21 décembre 2024

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 19/12/2024 - 21:30

Dans sa politique de parvenir à l'auto-suffisance alimentaire et à la transformation structurelle de l'agriculture burkinabè par la valorisation des maillons de la chaîne, le gouvernement, à travers le ministère de l'Agriculture, des Ressources animales et Halieutiques, multiplie les initiatives. Désormais, il faut, à cet effet, compter avec les Journées nationales de l'agroécologie (JN-AE), dont la première édition se tient du 19 au 21 décembre 2024. La cérémonie officielle de lancement de cet événement s'est déroulée dans la matinée de ce jeudi 19 décembre 2024 à Ouagadougou.

Cette édition inaugurale, qui se tient sous le patronage du ministre d'État, ministre de l'Agriculture, des Ressources animales et Halieutiques, le commandant Ismaël Sombié, a pour thème : « Agroécologie et création d'emplois dans le contexte de l'Offensive agro-pastorale et halieutique, enjeux et perspectives ».
Les Journées nationales de l'agroécologie (JN-AE) se veulent une initiative de valorisation et de promotion de l'agroécologie, « une alternative crédible pour la durabilité des systèmes de production et un levier essentiel pour la création d'emplois et la sécurité alimentaire ».

Le poisson frais de Bagré...

Cadre d'échanges et de partage d'expériences entre acteurs, cette édition repose sur deux grands volets. Il s'agit des activités de communication (panels et conférences) avec des producteurs, des cadres de l'agriculture, des organisations et institutions de promotion de l'agroécologie, des chercheurs, des étudiants, des entrepreneurs dans l'agrosylvopastoral, etc.

... le poisson d'eau douce fumé de Koubri et des crevettes.

L'exposition-vente est sans doute l'activité-phare de cette première édition des JN-AE. Elle met en exergue, divers produits de l'agroécologie (poissons d'eau douce, frais et fumés ; différentes gammes de jus naturels ; des produits locaux transformés et leurs dérivés ; du charbon vert ; des intrants et pesticides bio ; des engrais organiques ; du matériel agricole, etc.). On trouve également dans cet espace spécialement aménagé pour la circonstance, des services, organisations et institutions de promotion et d'accompagnement de l'agroécologie, ainsi que des spécialistes de pépinières et d'équipements adaptés à ces systèmes de production.

Fatoumata Ouarmé, gérante de l'entreprise Les Saveurs du Faso SARL, basée à Dédougou (à gauche) et Biba Banananzaro de l'Établissement La Grâce, également à Dédougou, présentent une gamme variée de produits alimentaires.

Selon la conseillère technique du ministre d'Etat, ministre de l'Agriculture, des Ressources animales et halieutiques, Ivonne Rouamba, qu'elle a représenté à cette cérémonie d'ouverture des JN-AE, l'agroécologie s'inscrit dans la dynamique engagée pour la souveraineté alimentaire du Burkina à l'horizon 2025, mission première de l'offensive agro-pastorale et halieutique.

Coupure du ruban de l'exposition-vente avec la Conseillère technique Ivonne Rouamba.

Situant les enjeux du sujet, la représentante du patron a relevé que le Burkina est désormais confronté à deux urgences, qui peuvent être perçues comme contradictoires : assurer sa souveraineté et sa sécurité alimentaires en produisant plus et lutter contre le dérèglement climatique en produisant différemment. C'est pour résoudre cette équation qu'est proposée l'agroécologie, qui permet d'engager l'agriculture vers de nouveaux modes de production plus vertueux et synonyme de croissance, motive Mme Rouamba.

Matériel agricole

Ces premières JN-AE visent donc à, présente la conseillère technique, développer des synergies entre les acteurs de l'agroécologie au Burkina ; partager les résultats des bonnes pratiques agro-écologiques en termes de savoir-faire, de pratiques, d'intrants et de produits agro-écologiques ; identifier les freins à l'adoption de l'agroécologie et déterminer les conditions et les besoins d'accompagnements favorables à une mise à l'échelle réussie de l'agroécologie dans toutes les zones agro-climatiques du Burkina.

Ici, les discours d'ouverture avec des premières JN-AE, avec la Conseillère technique, Ivonne Rouamba (au milieu), avec à sa droite, le représentant du Secrétariat permanent des organisations non-gouvernementales (SPONG), Hervé Koné.

« A travers ces journées, nous voulons montrer les impacts positifs, les effets de l'agroécologie sur notre environnement, et surtout sa contribution à la sécurité alimentaire, notamment par sa production agricole, halieutique et pastorale », soutient le correspondant national agroécologie du ministère de l'Agriculture, des Ressources animales et halieutiques, Adama Sawadogo, qui précise que l'agroécologie est une façon de produire, tout en préservant les ressources naturelles, l'environnement et la biodiversité.

Le représentant du Secrétariat permanent des Organisations non-gouvernementales (SPONG), Hervé Koné, partenaire à l'événement, salue les progrès notables enregistrés par le Burkina en matière d'agro-écologie.
Pour lui, l'adoption de la stratégie nationale de développement de l'agro-écologie 2023-2027, accompagnée de son plan triennal et l'offensive agro-pastorale 2023-2025, marquent une étape cruciale dans la quête d'une agriculture durable.

Le Burkina Faso, en adoptant l'agro-écologie prépare, au-delà des enjeux actuels, un avenir pour ses agriculteurs, tout en préservant les ressources naturelles pour les générations futures, convainc M. Koné.
C'est pourquoi rassure-t-il de la disponibilité de l'ensemble des organisations et associations de la société, à accompagner le ministère de l'Agriculture, des Ressources animales et Halieutiques et tous les acteurs engagés dans cette démarche.

Jusqu'au 21 décembre 2024, toutes ces activités s'ouvrent aux populations burkinabè, en particulier celles de la ville de Ouagadougou et environs. Pour les exposants, venus de l'ensemble du territoire national avec divers produits locaux de l'agroécologie, ces journées nationales sont une aubaine également en cette veille de fêtes de fin d'année. Pour cela, il suffit de se rendre au ministère de l'Agriculture, des Ressources animales et halieutiques, sis Ouaga 2 000, avenue Ousmane Sembène.

O.L
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RAF Typhoons Visit Turkey’s Mürted Air Base as Ankara Pushes to Acquire the Fighters

The Aviationist Blog - Thu, 19/12/2024 - 21:24

The RAF Typhoons, which were returning from the Advanced Tactical Leadership Course in the UAE, made a stop in Turkey for a ‘detailed inspection’ in the presence of top Turkish and British defense officials. The diplomatic push of the United Kingdom and Germany for Turkey to acquire the Eurofighter Typhoon is now moving from words […]

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Protection des enfants : Le projet “Mobilité protégée en Afrique de l'Ouest” (MoProtAO) dresse son bilan

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 19/12/2024 - 21:00

Koubri, dans la région du Centre, abrite du 19 au 22 décembre 2024, l'atelier régional bilan et de capitalisation des résultats avec les partenaires et les parties prenantes du projet “Mobilité protégée en Afrique de l'Ouest” (MoProtAO). L'ouverture de la rencontre qui réunit des participants du Niger, du Sénégal, de la Côte d'Ivoire, de la Guinée et du Burkina Faso, a eu lieu ce jeudi 19 décembre 2024.

Le projet “Mobilité protégée en Afrique de l'Ouest” (MoProtAO) est le premier cycle d'une convention-programme initiée par Ecpat France et Ecpat Luxembourg grâce au soutien financier de Luxembourg Aid & Development et de l'Agence française de développement. Conçu et mis en œuvre dans six pays que sont la Côte d'Ivoire, la Guinée, le Niger, le Sénégal et le Burkina Faso et le Mali (le projet y a pris fin en 2023) sur une durée de trois ans (2021-2024), ce projet œuvre pour la protection des enfants en mobilité. Le projet ambitionne qu'à l'horizon 2030, les filles et les garçons concernés par la mobilité en Afrique de l'Ouest participent à leur protection et vivent dans des environnements sûrs et sécurisés à l'abri de traite et d'exploitation sexuelle.

Les participants viennent du Niger, du Sénégal, de la Côte d'Ivoire, de la Guinée et du Burkina Faso.

Alors que le projet arrive à son terme, les parties prenantes et les partenaires sont réunis pour faire le bilan et capitaliser les résultats engrangés. Trois jours durant, les participants feront un bilan général de l'exécution du projet de 2021 à 2024 et analyseront les difficultés rencontrées, ainsi que les solutions utilisées pour en venir à bout. Ce sera aussi le lieu de capitaliser les leçons apprises, les bonnes pratiques et les résultats des principaux changements réalisés durant ces trois années et d'échanger sur les grandes orientations du deuxième cycle du projet en cours de validation et qui devrait débuter en 2025.

Des résultats encourageants

À en croire Sami Patrice Palm, directeur Afrique de l'Ouest d'Ecpat France et Ecpat Luxembourg, en trois années de mise en œuvre sur le terrain, le projet MoProtAO a engrangé des résultats satisfaisants, Il a rappelé que le premier cycle du projet a été expérimental, l'occasion pour les organisations de mise en œuvre dans les différents pays, d'apprendre à travailler ensemble pour la protection des enfants depuis les zones de départ jusqu'aux zones d'arrivée en passant par les zones de transit. « La traite des enfants est visible par ses manifestations, mais la question de l'exploitation sexuelle des enfants est plutôt sournoise. Donc à travers ce projet, nous mettons en place des dispositifs qui consistent à former les enfants eux-mêmes, pour qu'ils soient conscients de ces risques et qu'ils développent des réflexes pour pouvoir s'auto-protéger et protéger leurs pairs. Ensuite, nous renforçons les mécanismes communautaires, dans toutes les localités, tout le long des chemins de mobilité. Nous renforçons également les mécanismes institutionnels de prise en charge de telle sorte que lorsqu'un enfant est concerné par l'une de ces situations qu'ils puissent savoir aller vers ces structures et obtenir la prise en charge qui sied, qui est adaptée et qui est respectueuse de ses droits. C'est ce que nous avons essayé de tisser comme filets de protection sur tous les principaux chemins de mobilité que ce soit à l'intérieur des différents pays et de façon transfrontalière pour faire en sorte qu'un enfant qui quitte le pays et qui est dans une situation de mobilité, lorsqu'il est confronté à un risque, qu'on sente qu'il y a tout un réseau qui est en branle pour pouvoir le prendre en charge », explique M. Palm.

Sami Patrice Palm, directeur Afrique de l'Ouest d'Ecpat France et Ecpat Luxembourg se dit satisfait des résultats engrangés par le projet.

Ces résultats n'ont pas été atteints sans difficultés. La crise sécuritaire et humanitaire dans certains pays comme le Burkina Faso a favorisé la mobilité des enfants, alors qu'ils n'y étaient pas préparés. Ils se sont retrouvés sur les routes sans documents d'état civil et sans aucune connaissance des mécanismes de protection. Mais grâce aux enfants déjà formés par le projet, certains des enfants en mobilité ont été outillés sur les mécanismes d'autoprotection et les recours qui existent. « Certains de ces enfants ont eu la chance d'être en contact avec les ressources du projet. Les enfants champions qui ont été formés dans les localités ont mené des séances d'autoprotection qui ont pu aider ces enfants-là à être sensibilisés et à pouvoir avoir accès à des services de qualité de prise en charge. Mais il y a aussi d'autres enfants qui n'ont pas eu cette chance et qui sont toujours dans les parcours de mobilité, fortement exposés. Tout le défi, c'est de faire en sorte que notre expérience de ces trois années, puisse être portée à l'échelle pour que tous les enfants, où qu'ils soient, lorsqu'ils sont dans le contexte de la mobilité, qu'ils soient en contact avec des ressources qui peuvent les aider à se protéger », a indiqué M. Sami Patrice Palm.

Les participants ont posé pour la postérité.

Au Niger également, le projet a engrangé des résultats satisfaisants, comme l'a souligné Moustapha Kadoum, chef du projet “Mobilité protégée en Afrique de l'Ouest” (MoProtAO) au Niger. Il a rappelé que la rencontre de Koubri permettra d'échanger sur les grandes orientations du deuxième cycle du projet en cours de validation et qui devrait débuter en 2025, et dont il a hâte de démarrer la mise en œuvre dans son pays.

Justine Bonkoungou
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Burkina : 10 boulangeries fermées par l'ABNORM pour poids non conforme des miches de pain

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 19/12/2024 - 20:30

L'Agence Burkinabè de Normalisation, de la Métrologie et de la Qualité (ABNORM) a effectué du 12 au 19 décembre 2024, des sorties inopinées dans des boulangeries dans 6 régions du pays. L'information est rapportée par le service de communication de l'institution. Ce sont au total 37 boulangeries qui ont été contrôlées dans les villes de Fada N'Gourma, Tenkodogo, Pouytenga, Ouagadougou, Dano, Houndé, Boromo, Diébougou, Gaoua et Orodara.

Des pesées des baguettes de pains produites par les boulangeries contrôlées ont été effectuées par les techniciens de l'ABNORM. A l'issue des pesées, 10 des 37 boulangeries contrôlées ont été mises sous scellé, pour non respect du poids du pain.

L'ABNORM entend multiplier ses opérations de contrôles sur l'étendue du territoire national pour le bien du consommateur burkinabè. Elle invite par ailleurs les populations à prendre attache avec ses services techniques pour dénoncer tout cas de tromperie sur la qualité et la quantité des produits alimentaires et non alimentaires vendus sur la place du marché.

www.lefaso.net

Source : ABNORM-BF

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How Donald Trump Can Undercut China’s AI Strategy

The National Interest - Thu, 19/12/2024 - 20:26

There is a short window for President Trump and Congress to reassert U.S. competitiveness on artificial intelligence (AI) and undercut China’s strategy before it cements its economic and geopolitical influence for a generation to come. Beijing and Washington are already in an AI race with the highest stakes for our economic and national security. Thankfully, innovation is in America’s strong suit. Open-source AI is how the United States can compete with China in both cost and capability. President Trump and his national security team, led by Rep. Mike Waltz (R-FL) and Senator Marco Rubio (R-FL), can embrace the competitive advantages of open innovation so that America will unquestionably win the AI contest with Beijing.

China is on pace to spend more than $1.4 trillion by 2030 in its strategy to become the world leader in AI and other emergent technologies. Additionally, it is releasing AI models that are already competitive with the best American models. In November, the Chinese company Alibaba released its latest AI model, “Qwen,” which beat the best U.S. models in several performance benchmarks. According to CNBC, Alibaba’s models have been downloaded 40 million times since their initial release last year. 

Open sourcing is an explicit part of China’s Global AI Governance Initiative. If China is allowed to set global AI standards, the CCP’s long history of censorship will be exported around the world. In one concerning example, Chinese generative AI chatbots censor topics by refusing to respond to questions about Tiananmen Square or falsely claiming that Taiwan is part of China.

Recent administrations have tried and failed to keep advanced chips needed to develop powerful AI out of the hands of Chinese companies. Still, a committed adversary like China will always seek advantage where possible. Chinese companies have reportedly used U.S. cloud providers to get around bans on accessing chips and are hiring AI teams in the United States, in part to access these chips within our borders and evade controls.

There are four core elements to a successful open-source AI strategy that President Trump and Congress can implement.

First, the Trump administration should encourage federal agencies and the public sector to adopt freely available open-source models in their AI tools and products, or at least not prefer proprietary or closed models over open-source ones.

Second, America must be prepared to push back on other countries that are seeking to punish American innovation through restrictions that would target U.S. models while protecting their domestic ones.

Third, Congress must step up by pre-empting any state laws with federal policies or legislation so that the United States doesn’t end up with a patchwork of incompatible state laws that limit American innovation. This would stop future harmful, anti-innovation bills, like California’s SB1047, which was fortunately vetoed this Fall before it could be enacted.

Fourth and finally, leaders in Washington should avoid placing export controls on generative AI, which would prevent U.S. companies from releasing open-source models.

U.S. restrictions on open-source models will only disadvantage the United States and its allies while doing nothing to slow China’s momentum. Access to the latest AI developments and models is critical for our national security. The U.S. military and Intelligence Community are already using U.S. open-source AI to gain tactical and strategic decision advantages. Large language models can identify patterns within source intelligence reporting, accelerate the speed and accuracy of battlefield decisions, and expose terrorist financing or identify cyber vulnerabilities before attacks happen. Slowing down our advances in this technology is not an option.

Instead, the United States should focus on holding off China’s AI advancements by restricting its access to the chips and computing power needed to train AI models. An AI researcher noted that China’s latest models show that it has the raw data and talent to train large models, but it will need more specialized technology and chips to solidify its lead at the top.

To win the tech race, America must lead in both open and closed-source AI models. Each approach has its unique advantages, but to beat China, we need to foster both. Some argue that closed models are more secure, but that’s not the case. Every year, China steals more than $500 billion in trade and tech secrets from the United States, and well-resourced states like China can easily gain access to closed-source models. 

“Closed” doesn’t mean secure, and proprietary AI models could easily end up in Chinese hands through IP theft, insider attacks, or other means. Open-source AI has several benefits for the United States and our allies because it makes us more competitive in the global economy through open-source models, making AI technology more accessible—especially for smaller developers and researchers who are challenging the status quo.

Open source also fosters economic growth because it drives competition, spurs homegrown innovation, and increases consumer choice. Open source can also make products safer because more eyes can mean fewer faults: a wide community is providing ongoing feedback and scrutiny, which isn’t possible when a company makes their AI proprietary through selling access.

As history has demonstrated, open-source technology typically becomes the global standard over the closed alternative. AI will be no different. The AI standard that emerges will become embedded in the financial, e-commerce, infrastructure, manufacturing, and communications systems of the future. The domains and industries AI affects are too consequential for the United States to ever fall behind an adversary, including China. The incoming Trump administration is positioned to ensure the United States leads on this front for decades to come.

Alexander B. Gray served as deputy assistant to the president and chief of staff of the White House National Security Council (2019-21) and special assistant to the president for the defense industrial base (2017-18).

Image: Billion Photos / Shutterstock.com. 

Burkina : Le gouvernement recadre les missions de la Chambre de commerce

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 19/12/2024 - 20:00

Pour le compte du ministère de l'Industrie, du Commerce et de l'Artisanat, le conseil des ministres du 18 décembre 2024 a adopté deux rapports portant approbation des statuts particuliers de la Chambre de commerce et d'industrie du Burkina Faso (CCI-BF) et dissolution de la Chambre consulaire de la CCI-BF. L'objectif est d'orienter la gestion des ressources de la Chambre de commerce et d'industrie vers le développement du commerce, de l'industrie et des services, a expliqué le ministre Serge Gnaniodem Poda.

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Burkina /Exploitation minière : Le gouvernement adopte un décret sur l'indemnisation des personnes victimes de préjudices

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 19/12/2024 - 20:00

Le gouvernement a adopté, le 18 décembre 2024, cinq décrets visant à parachever la structuration du secteur des mines au Burkina. Ces décrets portent, entre autres, sur les activités de coulée, de pesée et de contrôle de la quantité et de la qualité de l'or et des autres substances précieuses, la constitution des réserves d'or au Burkina ; l'indemnisation des personnes victimes de préjudices au niveau de l'exploitation minière. Le ministre des Mines, Yacouba Zabré Gouba, donne des explications.

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