L’armée sudafricaine a annoncé mardi 28 janvier, le décès de trois militaires sud-africains, tués dans des combats contre les rebelles du M23, soutenus par le Rwanda, à l’aéroport de Goma au Nord-Kivu.
Ces nouveaux décès portent à 13 le nombre de soldats sudafricains tués en une semaine, sur différents fronts.
How did a former banker in a same-sex relationship with a Sri-Lankan born woman become the figurehead of Germany's surging far right?
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Le gouverneur de la ville province de Kinshasa, Daniel Bumba, interdit toutes les manifestations publiques à partir de ce mercredi 29 janvier.
Il a pris cette décision quelques heures après l’organisation par la population, des manifestations publiques qui ont causé des dégâts matériels énormes, avec notamment des attaques ciblées contres certaines ambassades accréditées en RDC, dont l’ambassade des USA, de la France, du Kenya, de l’Ouganda, de l’Afrique du Sud et Rwanda.
The Bulletin of Atomic Scientists cited the growing risk of nuclear war, humanity's failure to combat climate change, and advances in disruptive technologies as the critical factors behind its decision.
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For the uninitiated, the term can be awe-inspiring – or yawn-inducing. But what is it, exactly?
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In this episode, host Giada Santana talks to Euractiv's economy reporter Thomas Moller-Nielsen about the most salient points of the EU’s economic North Star.
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A public consultation on EU medical devices rules shows long approval processes are forcing companies to launch innovative products elsewhere.
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It could be a "new Mercosur" for tuna fishing, senior Europêche director warned
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A UN-affiliated body wants EU politicians to re-commit to universal SDG and to put them into practice.
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For fertilisers, the tariffs will rise from the current 6.5% on value to 100% in three years.
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Le Gouvernement a noté, mardi 28 janvier, plus de 500 mille nouveaux déplacés dans les provinces du Nord et Sud-Kivu, en ce mois de janvier, à la suite de la guerre menée par le Rwanda et ses supplétifs.
L'accès à l'énergie reste un défi majeur au Burkina Faso. Une grande partie de la population n'a toujours pas accès à l'électricité, et les coupures de courant sont récurrentes, particulièrement en période de fortes chaleurs. Cette situation freine le développement économique du pays, affecte la productivité des entreprises et complique le quotidien des ménages.
Ainsi, l'énergie solaire apparaît comme une solution adaptée à ce contexte. Abondante, propre et renouvelable, elle constitue une véritable alternative accessible et durable aux autres sources d'énergies au Burkina Faso.
L'énergie solaire : une opportunité pour le Burkina Faso
Le Burkina Faso bénéficie d'un ensoleillement exceptionnel, estimé à 1 972 kWh/m²/an, soit environ 5,5 kWh/m²/jour (comparé à la France qui est de de 2,5 kWh/m²/jour soit 50% de moins). Cette ressource est encore trop souvent sous-exploitée, et représente une opportunité unique pour répondre aux besoins énergétiques croissants du pays. En effet, l'adoption de l'énergie solaire permet de réduire la dépendance aux importations d'électricité et aux combustibles fossiles, coûteux et instables. Pour preuve, aujourd'hui, 60% de l'électricité que nous consommons est importée, essentiellement des pays voisins comme la Côte d'Ivoire (15%) et le Ghana (45%). Adopter le solaire, c'est bénéficier d'une énergie plus stable et abordable.
En parallèle, l'énergie solaire, grâce à son caractère propre et renouvelable, constitue une solution alignée avec les objectifs globaux de transition énergétique et de lutte contre le changement climatique. Sur le plan social, l'énergie solaire offre une opportunité essentielle pour étendre l'accès à l'électricité dans les zones rurales, où les infrastructures traditionnelles sont souvent absentes ou insuffisantes. En fournissant une source d'énergie fiable et abordable, elle contribue directement à l'amélioration des conditions de vie des populations.
Les défis liés à l'adoption de l'énergie solaire
Malgré ses nombreux avantages, l'énergie solaire fait face à plusieurs obstacles. Le coût initial des infrastructures solaires constitue un frein majeur, souvent inabordable pour les ménages et les petites entreprises. Le prix moyen d'une installation solaire de qualité s'élève à 1 million de francs/ KW pour un ménage contre 500 mille francs / KW pour une entreprise. Par ailleurs, le pays souffre d'un manque de techniciens qualifiés pour l'installation et la maintenance des systèmes solaires. Les difficultés liées à la partie logistique et l'approvisionnement du matériel de qualité sont des aspects qui continuent à freiner le développement du solaire au Burkina Faso.
Ces obstacles techniques et financiers sont aggravés par un cadre réglementaire qui reste peu favorable au développement du solaire, malgré les efforts réalisés en ce sens. Par exemple, malgré l'adoption du décret, la revente d'électricité sur le réseau SONABEL n'est pas encore opérationnel. Par ailleurs, les mécanismes de financement adaptés aux besoins du secteur solaire manquent cruellement.
SolarDev : une solution innovante pour faciliter l'adoption du solaire
Dans ce contexte, de nombreuses initiatives locales et innovantes se sont développées et visent à démocratiser cette solution. C'est le cas d'Alioth System qui, en plus de la vente et de l'installation d'installations solaires de tailles variées, propose des kits solaires à destination des ménages en situation off-grid (non-connectés au réseau SONABEL).
C'est face au défi du coût élevé de l'investissement dans le solaire que SolarDev a cherché à se positionner. A travers un modèle de type location-vente, nous préfinançons les projets de nos clients, dont le besoin a été préalablement défini par nos soins. Ce modèle vient soulager nos clients dans l'accès à l'énergie solaire en les préservant du coût élevé de l'investissement initial. Grâce à cette approche, nos clients ont pu bénéficier d'une source d'énergie fiable, tout en réduisant leur facture d'électricité.
Vers un avenir durable : lever les obstacles et construire une vision d'avenir
Pour favoriser l'essor de l'énergie solaire au Burkina Faso, il est aujourd'hui essentiel que l'ensemble des acteurs concernés travaillent ensemble à la levée des principaux obstacles au développement du solaire.
Le gouvernement a un rôle actif à jouer à travers des subventions, des programmes de financement et un cadre réglementaire simplifié pour attirer les investisseurs et soutenir les entreprises solaires. Parallèlement, les banques locales et les institutions de microfinance doivent proposer davantage de produits financiers adaptés, pour faciliter l'accès au financement des projets solaires. Il est également crucial de renforcer les capacités locales en formant des techniciens spécialisés et en soutenant l'émergence de petites entreprises locales dans la production et la maintenance des équipements solaires.
L'énergie solaire représente aujourd'hui une opportunité unique et elle doit devenir un moteur de développement pour le Burkina Faso. La concrétisation de cette vision nécessite une mobilisation collective autour du solaire, un secteur porteur pour l'avenir énergétique du Burkina Faso.
Solar Dev (https://solardevbf.com/)
Désigné comme pays invité d'honneur de la 29e édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO), le Tchad veut réussir le pari de ce rendez-vous du 7e art. En séjour à Ouagadougou pour les préparatifs, Abdoulaye Souleymane Ousman Babalé, cinéaste et secrétaire général du ministère du Développement touristique, de la culture et de l'artisanat du Tchad, a répondu aux questions de la rédaction de Lefaso.net.
Lefaso.net : La 29e édition du FESPACO commence dans moins d'un mois. Quel est l'objet de votre visite à Ouagadougou ?
Abdoulaye Souleymane Ousman Babalé : L'objet de notre énième séjour ici à Ouagadougou est d'accélérer les préparatifs de notre participation à la 29e édition du FESPACO. C'est aussi l'occasion pour nous de rencontrer la communauté tchadienne du Burkina Faso pour les impliquer et voir les attentes pour que la réussite de notre participation soit effective.
A ce jour, le Tchad est-il prêt pour réussir le pari en tant que pays invité d'honneur ?
Nous sommes convaincus que le pari sera gagné car le comité national d'organisation du FESPACO a pris toutes les dispositions nécessaires pour que nous soyons à la hauteur et que notre participation soit la plus belle. Nous sommes prêts.
En tant que cinéaste, vous avez participé à plusieurs éditions du FESPACO. Dites-nous quelles seront les innovations du Tchad à l'édition de cette année ?
Les innovations ont été déjà présentées par la délégation générale du FESPACO et pour nous, en tant que participants, nous sommes ravis de vous informer qu'on est en train de se mobiliser pour faire déplacer la plupart de nos ambassadeurs culturels ici à Ouagadougou pour qu'on fasse découvrir nos cultures aux festivaliers.
Comment se porte actuellement le cinéma tchadien ? Quels sont vos défis et atouts ?
Le cinéma tchadien existe et renaît à nouveau grâce à une politique cinématographique qu'on est en train de mettre en œuvre sous la clairvoyance du maréchal Mahamat Idriss Déby Itno. Je tiens à vous informer que c'est pour la première fois qu'on a lancé un appel à projets pour la production et postproduction de films. Il est prévu d'autres actions concrètes pour le quinquennat à venir. Le véritable défi repose sur la formation.
Comment votre pays compte tirer profit de ce grand rendez-vous du cinéma africain ?
Le profit, c'est d'abord que les festivaliers puissent découvrir nos films, ce cinéma qu'ils connaissent bien, car on a toujours été présents et avec des films qui ont fait parler le monde. C'est l'occasion pour nous d'embarquer les partenaires afin qu'ils sachent que le Tchad a orienté aussi sa vision vers ce secteur qui peut rapporter beaucoup pour l'économie, car c'est une industrie.
Le Tchad a une forte communauté résidant au Burkina Faso. Comment comptez-vous exploiter cet avantage pour la 29e édition du FESPACO ?
La communauté sera mise à l'honneur et elle sera mise à profit pour une communion entre ceux qui vivent ici et ceux qui viennent de N'Djamena. Vous savez, c'est toujours un plaisir pour les Tchadiens de se retrouver en famille, surtout hors du pays. Cette communauté regorge énormément de talents et est capable de présenter le Tchad en miniature.
Quel est votre mot de fin ?
C'est vraiment de remercier les autorités du Burkina Faso pour l'appui et la fraternité. Aux médias du Burkina aussi, merci. Je nous souhaite un bon festival.
Propos recueillis par Cryspin Laoundiki
Lefaso.net