Le Premier ministre, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo, a accordé, ce lundi 03 novembre 2025, une audience à une délégation d'Afrodescendants conduite par la présidente de l'Institut de développement de la diaspora africaine (ADDI), Dr Arikana Chihombori.
A l'issue de l'audience, Dr Chihombori a exprimé sa gratitude envers les autorités burkinabè et l'ambassade du Burkina Faso à Washington D.C. pour avoir facilité la réalisation du voyage.
La République de l'Angola commémore cette année le cinquantième anniversaire de son indépendance. En prélude à la célébration de cet événement, l'ambassadeur de l'Angola accrédité près le Bénin organise un cocktail à Cotonou en l'honneur des autorités béninoises, du corps diplomatiques et autres personnalités.
La République d'Angola célèbre les 50 ans de son indépendance le 11 novembre 2025. En prélude à cet événement Dr José Bamoquina Zau, Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de l'Angola près la République fédérale du Nigeria, du Bénin, du Niger et de la Cedeao, organise un cocktail ce mardi 4 novembre à Golden Tulip hôtel à Cotonou.
L'Angola après près de cinq siècles de domination portugaise a été confronté à 27 ans de guerre civile avant d'accéder à l'indépendance le 11 novembre 1975.
Ce n'est qu'en 2002 que le pays a recouvré la paix. Et depuis, l'Angola s'est lancé dans la reconstruction et l'instauration d'un Etat démocratique avec l'organisation régulière des élections libres. Les dernières consultations électorales ont été organisées en 2022 et les prochaines élections libres et démocratiques sont prévues pour 2027.
"Nous avons souffert pour la lutte pour le droit à l'autodétermination", a souligné le diplomate angolais au cours d'une conférence de presse ce lundi à Cotonou.
L'Amb. Dr José Bamoquina Zau n'a pas manqué d'exprimer la reconnaissance des autorités angolaises aux peuples frères dont celui du Bénin, qui étaient à leurs côtés en ces moments de lutte pour l'indépendance du pays.
Dans le cadre de la célébration de ce cinquantenaire, une cérémonie d'hommage et de décoration sera organisé le 6 novembre à Luanda en l'honneur des leaders dont Álvaro Holden Roberto du FNLA, Jonas Savimbi de l'UNITA, Agostino Neto du MPLA et d'autres combattants qui ont lutté pour l'indépendance de l'Angola.
Au cours de la conférence, l'ambassadeur n'a pas manqué de souligner l'excellence des relations entre son pays et le Bénin.
Depuis avril 2008, un accord général de coopération a été signé entre les deux pays. En 2024, un accord de suppression de visa a été signé pour les passeports diplomatiques et de services.
En appréciant le signal fort donné par le Bénin pour la suppression de visa aux pays africains, le diplomate angolais a annoncé que son pays envisage d'étendre la suppression de visa aux passeports ordinaires.
Toujours dans le cadre de la coopération bilatérale, les deux pays ont procédé à l'échange de note verbale pour un accord aérien.
Faisant le bilan des relations entre les deux pays, SE l'Amb. Dr Bamoquina Zau a conclu : "Nous avons toujours bénéficié de l'appui du Bénin même avant l'indépendance de notre pays."
Les grandes familles BIREBA, YAMEOGO, COMPAORE, ZAGRE, NIKIEMA à Zougdou, Koudougou, Ouagadougou, Sénégal, USA.
Les familles alliées : BANCE, ZONGO, ONADJA, SONDO, SIKO, OUEDRAOGO, KABORE.
La veuve Naomie BIREBA et ses enfants : Alassane, Ousseini, Asaph, Evodie et Yannick
Ont la profonde douleur de vous annoncer le décès survenu le jeudi 30 octobre 2025 au Centre Hospitalier Universitaire de Yalgado de leur époux, père, grand-père, grand frère et oncle Ali Goama Bireba précédement à la retraite à Koudougou.
Les obsèques se dérouleront comme suit :
Mercredi 5 novembre 2025
8h 00 : Levée du corps à la morgue du CHU-BOGODOGO pour le domicile familial sis à Wemtenga.
9h 30 : Départ pour la Salle du Royaume des Témoins de Jéhovah de Karpala Sect. 30.
10h 00 : Discours d'encouragement.
11h 00 : Départ du cortège pour le village, à Manga Zougdou (environs 70km de Ouaga).
14h 00 : Inhumation au domicile à Zougdou.
This hearing will bring together experts to discuss the impact of China's global ambitions on European democratic resilience and offer guidance on building a coherent, principled response to these evolving challenges.
As China's strategic efforts to expand its political, economic and technological influence raise serious questions for democratic governance, strategic autonomy, and human rights, this discussion aims to pinpoint its impact and the next steps in the EU and beyond.
This hearing will explore how China exerts its influence ̶ through infrastructure investments, academic and technology partnerships, media ownership, and pressure on diaspora communities ̶ affecting European business sectors, security, and technological independence.
This hearing will bring together experts to discuss the impact of China's global ambitions on European democratic resilience and offer guidance on building a coherent, principled response to these evolving challenges.
As China's strategic efforts to expand its political, economic and technological influence raise serious questions for democratic governance, strategic autonomy, and human rights, this discussion aims to pinpoint its impact and the next steps in the EU and beyond.
This hearing will explore how China exerts its influence ̶ through infrastructure investments, academic and technology partnerships, media ownership, and pressure on diaspora communities ̶ affecting European business sectors, security, and technological independence.
Ce jeudi 30 octobre 2025, s'est tenu à Dédougou l'atelier de clôture du projet d'assistance multisectorielle aux populations en situation d'urgence – SAVE, une initiative qui a permis d'améliorer les conditions de vie de nombreuses familles vulnérables dans les communes de Solenzo, Sanaba, Tougan et Balavé dans les régions du Bankuy et du Sourou.
« Le projet SAVE est intervenu à un moment où nous traversions une période de soudure très difficile. Nous avons reçu des denrées alimentaires essentielles pour nos enfants et pour nous-mêmes. J'ai également été formée à la saponification et j'ai reçu un kit qui m'a permis de lancer ma propre activité de production et de vente de savon », témoigne Sita, une participante venue de Tougan pour prendre part à l'atelier de clôture du projet.
Comme elle, plusieurs personnes ont bénéficié de l'appui du projet. Plus de 30 000 personnes, dont plus de 20 000 enfants, ont été accompagnées dans le cadre de ce projet à travers des activités de nutrition, de santé, de sécurité alimentaire et de protection.
Une vue des participants à l'atelier de clôtureAu cours de la cérémonie d'ouverture de l'atelier, le Directeur des opérations de l'ONG World Vision International – Burkina Faso Richard SOME a déclaré : « Au cœur de toutes nos interventions – qu'il s'agisse de la distribution de vivres, de l'appui à la création d'activités génératrices de revenus durables, de la réhabilitation des centres de santé, ou du soutien psychosocial – se trouve la quête du bien-être de l'enfant. Les enfants sont les premières victimes des crises, mais ils sont aussi les architectes de l'avenir. »
Il a ensuite salué la mobilisation de l'ensemble des acteurs pour la réussite du projet, qui a contribué à soulager de nombreuses familles dans les régions du Bankuy et du Sourou.
Financé par le Fonds Humanitaire Régional pour l'Afrique de l'Ouest et du Centre (FHRAOC) à hauteur de près de 570 millions de FCFA, ce projet s'inscrit dans le cadre d'un instrument commun de financement humanitaire (Pooled Fund) géré par le Bureau des Nations Unies pour la coordination des affaires humanitaires (OCHA). L'objectif principal de ce fonds est de permettre une réponse rapide, flexible et efficace aux besoins humanitaires les plus critiques et urgents dans la sous-région, notamment au Burkina Faso, au Mali et au Niger.
Distribution de vivres à 492 ménages vulnérables de la commune de Tougan dans le cadre du projet SAVELe représentant de OCHA, Simon Pierre TARAMA a, pour sa part, salué les progrès du projet SAVE, qui a réussi à apporter une assistance multisectorielle à des populations dans des zones difficiles d'accès.
Placée sous la présidence du Gouverneur de la région du Bankuy et du Sourou, représenté par la Secrétaire Générale de la Région Adjara KIENTEGA, cette rencontre a été l'occasion pour les autorités régionales de saluer l'engagement de l'ONG World Vision et ses partenaires, et de les encourager à maintenir et renforcer leur présence auprès des communautés.
La photo de famille à l'issue de la cérémonie d'ouverture de l'atelierCet atelier a réuni l'ensemble des parties prenantes qui ont reconnu l'apport considérable du projet dans l'amélioration des conditions de vie des populations touchées et formulé des recommandations au consortium dont World Vision assure le lead, afin de renforcer les acquis lors de prochaines interventions.
« Nous remercions les plus hautes autorités régionales et les ministères sectoriels au niveau déconcentré pour leur accompagnement constant. Nous sommes ici pour nous assurer que les acquis du projet continuent de transformer positivement et durablement la vie des familles », a conclu le Directeur des opérations de World Vision International-Burkina Faso.
Le service de la communication
Alors qu’un conflit peut basculer en quelques jours, il faut parfois plus d’un mois à un État membre de l’Union européenne pour autoriser le transit d’un char par son territoire.
The post Frontières, goulets d’étranglement et paperasse : les obstacles à la mobilité militaire en Europe appeared first on Euractiv FR.
The 30th "Conference of the Parties" (COP30) to the UN Framework Convention on Climate Change (UNFCCC) will take place from 6-21 November 2025 in Belém, Brazil. It will bring together world leaders, scientists, non-governmental organizations, and civil society to discuss priority actions to tackle climate change. COP30 will focus on the efforts needed to limit the global temperature increase to 1.5°C, the presentation of new national action plans (NDCs) and the progress on the finance pledges made at COP29.
By Gabriel Labbate
NAIROBI, Kenya, Nov 3 2025 (IPS)
A new global study has challenged a key assumption in climate planning: that the planet’s geological “carbon vault” is vast enough to hold all the carbon dioxide (CO₂) we might one day choose to bury underground after we remove it from the atmosphere. It isn’t.
After accounting for seismic zones, protected areas, and densely populated regions, researchers estimate that the prudent planetary limit for geological carbon storage is about 1,460 GtCO₂—still a significant amount, but a fraction of the 11,800 GtCO₂ often cited as “technical” potential.
That finding merits a rethink of any strategies that hinge on essentially limitless underground storage. It also strengthens the case for a diversified portfolio approach that utilizes every credible tool at our disposal, rather than placing too much reliance on a single bet.
We need to adopt a pragmatic approach to achieve both integrity and scale. For too long, the debate has been framed as “permanent” versus “non-permanent” climate solutions—as if the only climate value that counts is storage measured in centuries or millennia. Regardless of the geological storage available, that is a cardinal mistake. Climate risk unfolds across multiple time horizons; therefore, our response must also be multifaceted.
There is real value in decadal-scale reductions and storage. Lowering atmospheric CO₂ over the coming years reduces peak warming, a key driver most associated with triggering irreversible tipping points—from forest dieback to ice-sheet instability and shifts in ocean circulation.
Even if some carbon is later re-emitted, the avoided heat during those crucial decades buys time for technologies to scale, protects people and nature from compounding impacts, and lowers the probability of crossing dangerous thresholds.
Engineered removals and geologic storage may deliver ultra-long-lived storage, but, as this report shows, there is still much to be learned. At the same time, nature-based solutions—especially forests and other ecosystems—can deliver large, near-term emission reductions and removals while providing irreplaceable co-benefits: biodiversity, water security, community resilience, and livelihoods.
Both are essential. Pitting them against each other wastes time we do not have.
Uncertainty about the long-term stability of land carbon stocks does not mean all nature “will go up in smoke.” It means we need risk management, not exclusion. Take, for example, the permanence standard that was recently adopted for Article 6.4 of the Paris Agreement, which equates “negligible risk” with storage effectively guaranteed over a 100-year horizon.
Framed that way, most nature-based solutions are ruled out because uncertainties accumulate over time. The right test is whether systems deliver real, additional, and durable climate benefits over relevant timeframes—and whether risks are transparently accounted for and continually reduced.
Every financial advisor teaches the same lesson: diversify to manage risk and improve returns. Climate strategy is no different. No single approach—technological or nature-based—can deliver the speed, scale, and durability we need. The IPCC’s Sixth Assessment Report underscores that nature-based solutions, particularly forests, can cost-effectively close a substantial share of the near-term ambition gap—on the order of 4–6 GtCO₂ per year by 2030.
That is a vast climate asset if stewarded with integrity and social safeguards. It is also a necessary condition for the success of the Paris Agreement.
A portfolio approach matches tools to time horizons, hedges systemic risk, and multiplies co-benefits. Durable geologic storage should be prioritized for the hardest-to-abate residual missions and for genuinely permanent removal needs; and high-integrity natural climate solutions should be accelerated now for the heavy near-term lifting that lowers peak warming and keeps tipping points out of reach.
If any strand underperforms, the others continue delivering climate benefit. And by investing in nature, societies gain adaptation, biodiversity, and development dividends that pure storage cannot provide.
Policy must catch up to this reality. Integrity and oversight should be strengthened across all solutions so markets function with trust—robust baselines, conservative accounting, credible buffer pools, insurance against reversal risk, high-quality MRV, and clear liability rules.
Standards should move away from effectively impossible definitions of “negligible risk” and toward recognizing decadal climate value, requiring strong safeguards, and using diversified portfolios. Governments should incentivize innovation across the full spectrum of solutions rather than picking winners; technology-neutral frameworks that reward verified climate outcomes—and that recognize different but complementary durability profiles—will channel capital where it does the most good.
The science does not give us permission to wait for perfect solutions. It calls for an “everything, everywhere, all at once” approach—applied wisely. The new storage estimates should focus minds, not fuel fatalism. Scarcity is a guide to strategy: use geologic capacity where it delivers the greatest long-term value, and scale high-integrity nature-based and demand-side actions now to bend the curve this decade and reduce the chances of dangerous tipping points.
That is what a prudent, diversified climate portfolio looks like.
We will not solve a multidimensional crisis with one lever. We will solve it by pulling all credible levers at once, with integrity, urgency, and a bias for learning.
The toolbox is full. It’s time to use it.
IPS UN Bureau
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