Le parlement hongrois a voté mardi 18 novembre à une écrasante majorité l’interdiction de la production et de la vente de viande cultivée en laboratoire, au risque d’un nouveau bras de fer avec Bruxelles.
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La Police a interpellé au petit matin du mardi 18 Novembre 2025 à Bassila, dans le département de la Donga, un couple de trafiquants de chanvre indien. Les mis en cause entretiennent un réseau de vente et de consommation de produits psychotropes.
Dans la commune de Bassila, précisément au quartier Kokoyè, la Police républicaine a, mardi 18 novembre 2025, mené une enquête qui a abouti à l'interpellation d'un couple. Les mis en cause ont transformé leur domicile en un entrepôt de chanvre indien. La perquisition effectuée par le commissariat de Bassila a permis de découvrir une plaquette de chanvre indien et quelques boulettes déjà conditionnées pour la consommation.
L'interpellation du couple fait suite à l'arrestation d'un individu en plein marché de Frignon pour détention de chanvre indien. Le commissariat de police poursuit les investigations pour démanteler d'autres réseaux criminels. De quoi assurer la quiétude de la population à l'approche des fêtes de fin d'année.
Marina HOUENOU (Stag)
L'auteur Hamidou Kaboré a dédicacé son roman intitulé « Envers et Contre tous ». La cérémonie de dédicace s'est déroulée dans la soirée du mardi 18 novembre 2025 à Ouagadougou. Elle a réuni des curieux et passionnés de lecture.
L'univers littéraire du Burkina Faso s'agrandit et s'enrichit d'une nouvelle œuvre. « Envers et Contre tous », un livre qui aborde divers thèmes, à savoir la résilience, l'amour, le poids psychologique ainsi que le terrorisme.
À travers cette œuvre parue depuis le 30 juin 2025, Hamidou Kaboré démontre que même lorsque tout semble s'effondrer, l'amour, la détermination et la foi peuvent triompher. Dans son intervention, l'auteur a partagé avec le public la genèse de son livre, ainsi que ses attentes vis à vis des lecteurs.
« Ce livre est né d'un constat que j'ai fait sur le syndrome du stress post-traumatique des personnes qui reviennent du front. Je souhaite que ce soit un livre lu, partagé, qui nous emmène à nous remettre en cause. Un livre qui n'est pas lu uniquement pour se distraire, mais un livre qu'on va questionner et qu'on va laisser nous questionner », a-t-il confié.
Il invite également la jeunesse à ne pas baisser les bras, à continuer à se battre et à prôner l'unité car c'est ainsi que l'on pourra relever les défis.
Hamidou Kaboré en pleine séance de dédicace des livresPour sa part, le commandant Ahmed Issaka Drabo, chef du groupement mobile de la gendarmerie de Ouagadougou et par ailleurs parrain de la cérémonie de dédicace, a réitéré ses félicitations à l'auteur. Il indique que l'œuvre « Envers et Contre tous » est un roman particulier car elle retrace l'histoire de ceux qui, malgré les coups de la vie, refusent de lâcher prise.
« Aujourd'hui, nous célébrons un acte de création, mais aussi un acte de résistance car "Envers et Contre tous" n'est pas un roman comme les autres. C'est un cri, un souffle, une confession. C'est l'histoire de celles et ceux qui refusent de s'abandonner aux armes de la fatalité, qui se relèvent quand tous semblent les inviter à tomber », a-t-il laissé entendre.
« Envers et Contre tous » est un livre de 250 pages réparties en 22 chapitres. Environ 200 exemplaires sont disponibles à la villa Yirisuma au prix unitaire de 10 000 FCFA.
Une vue du public présent à la cérémonie de dédicaceLa cérémonie de dédicace a été marquée par la lecture d'extraits du livre et des échanges entre l'auteur et le public.
Pour mémoire, Hamidou Kaboré est un jeune écrivain burkinabè, ancien du Prytanée militaire du Kadiogo. Il est diplômé en gestion des ressources humaines, en gestion de projets et en coopération internationale.
« Dans ce livre, Hamidou nous offre plus qu'un récit. Il nous offre une part de notre vécu quotidien », commandant Ahmed Issaka DraboPassionné de littérature, il fait ses premiers pas dans l'écriture en 2019 avec un recueil de nouvelles intitulé « Destinée ». Il poursuit sa quête lentement mais sûrement, ce qui lui permet de sortir sa deuxième œuvre intitulée « Envers et Contre tous », parue le 30 juin 2025.
Muriel Dominique Ouédraogo (stagiaire)
Lefaso.net
Le gouvernement a décidé d'actualiser les études techniques, environnementales, sociales et de sécurité liées à la passerelle de Tchonvi, dans la commune de Sèmè-Podji. La mesure a été annoncée, mercredi 19 novembre 2025, en Conseil des ministres.
Prévue dans le cadre du Programme d'adaptation des villes aux changements climatiques, la passerelle de Tchonvi-Sèkandji doit accompagner les travaux de pavage et d'assainissement de la voie Sèkandji-Tchonvi-Èkpè. Une route qui traverse « des zones humides sensibles » de Sèmè-Podji, et l'ouvrage est jugé indispensable pour sécuriser la mobilité dans cette partie de la commune. Tenant compte de la nature du site, des études avaient été réalisées en 2020.
Mais « compte tenu du niveau d'avancement du chantier d'aménagement des voies d'accès qui désenclavent la localité », le gouvernement estime nécessaire d'actulaliser les études. L'objectif est que la construction se réalise « conformément aux standards requis », selon le Conseil des ministres du 19 novembre dernier.
Pour mener cette mise à jour, le Conseil a autorisé « la contractualisation avec un cabinet » spécialisé, chargé de conduire la mission « dans les plus brefs délais ».
Le Programme d'adaptation des villes aux changements climatiques concerne quatre communes (Bohicon, Comè, Cotonou, Sèmè-Podji), exposées aux « risques d'inondation ». Il vise des infrastructures « aux standards modernes » capables de renforcer la résilience des zones vulnérables.
M. M.
Une controverse révélatrice de l’obsolescence des textes régissant nos universités
La récente polémique autour de la nomination d’un directeur de cabinet à l’Université de Lomé par le Professeur Kossivi Hounake soulève une question juridique fondamentale : le président d’une université publique dispose-t-il du pouvoir d’organiser son propre cabinet ? Au-delà des positions tranchées, une analyse approfondie des textes et des usages plaide largement en faveur du Président de l’Université de Lomé.
Un vide juridique évident
La loi de 1997 régissant les universités togolaises établit une distinction claire mais incomplète. L’article 72 attribue au ministre de tutelle la compétence de nommer les directeurs des services de l’administration centrale (DRH, DAAS, etc.). L’article 73, quant à lui, confère au président d’université le pouvoir de nommer les responsables des services administratifs de la présidence (secrétariat, service comptable, etc.).
Mais voilà le nœud du problème : aucun de ces textes ne traite explicitement de la question du cabinet présidentiel. Faut-il considérer le cabinet comme faisant partie de l’administration centrale, relevant ainsi de l’article 72 ? Ou doit-il être regardé comme un service de la présidence au sens de l’article 73 ? C’est précisément dans ce silence des textes que se situe l’équivoque.
La force de l’usage institutionnel
Face à cette ambiguïté juridique, l’usage institutionnel constitue un argument de poids. À l’exception notable du Professeur Kpodar qui avait supprimé ce poste à sa nomination, tous les présidents d’université récents ont disposé d’un chef ou directeur de cabinet. Cette pratique, établie depuis plusieurs années, témoigne d’une nécessité fonctionnelle reconnue par l’ensemble des acteurs universitaires.
Plus révélateur encore : le poste existe depuis 2016, et aucun ministre de l’Éducation nationale n’a jugé bon de soulever la moindre objection jusqu’à présent. Ce silence prolongé de la tutelle pendant près d’une décennie équivaut à une acceptation tacite de cette organisation. Comment expliquer qu’une pratique tolérée pendant neuf ans devienne soudainement problématique ?
Une autonomie universitaire à préserver
L’autonomie des universités, bien que soumise à un cadre réglementaire, ne saurait être vidée de sa substance. Un président d’université porte des responsabilités considérables : pilotage stratégique, gestion administrative et financière, représentation institutionnelle. Il paraît logique qu’il puisse s’entourer d’une équipe rapprochée pour l’assister dans ces missions complexes.
Le cabinet présidentiel, par sa nature même, se distingue des services administratifs classiques. Il constitue un organe de conseil, de coordination et d’aide à la décision directement rattaché au président. À ce titre, il s’apparente davantage aux services de la présidence visés par l’article 73 qu’aux directions centrales mentionnées à l’article 72.
Des textes dépassés par la réalité
Cette controverse met en lumière un problème plus profond : l’obsolescence manifeste des textes régissant nos universités. Rédigés il y a près de trois décennies, ils ne reflètent plus les réalités et les besoins actuels des établissements d’enseignement supérieur. Les conflits de compétences récurrents entre présidents d’université et ministère de tutelle ne sont que les symptômes de ce décalage.
Plutôt que de s’enfermer dans des interprétations rigides de textes incomplets, ne serait-il pas plus judicieux d’engager une réforme d’ensemble du cadre juridique universitaire ? Une clarification législative permettrait de mettre fin à ces querelles stériles et de définir précisément les contours de l’autonomie universitaire.
Une affaire aux contours flous
L’intervention ministérielle soulève également des questions sur son timing et ses motivations réelles. Pourquoi cette réaction soudaine après des années de tolérance ? La personne nommée au poste de directeur de cabinet, Kodjo Sosoe Kodjo, a d’ailleurs déjà pris service. Cette affaire cache manifestement des non-dits qui dépassent le simple cadre juridique.
Au regard de l’analyse des textes, de la force de l’usage et des nécessités fonctionnelles, le Président de l’Université de Lomé apparaît fondé dans sa démarche. En l’absence de disposition explicite interdisant l’organisation d’un cabinet présidentiel, et compte tenu de la pratique établie depuis 2016, la nomination d’un directeur de cabinet relève légitimement de sa compétence d’organisation des services de la présidence.
Cette affaire appelle moins à un rappel à l’ordre qu’à une modernisation urgente du cadre législatif universitaire. Car en réalité, ce n’est pas le Président Hounake qui pose problème, ce sont nos textes qui ne sont plus en cohérence avec les réalités évidentes de la gouvernance universitaire contemporaine.
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