Dans le secteur très lucratif des jeux et paris au Sénégal, la digitalisation de la régulation est devenue un enjeu majeur. Depuis plusieurs années, la LONASE s'appuie sur des prestataires privés pour centraliser les flux numériques et moderniser son système. Mais derrière cette apparente modernisation, se cache une mécanique d'influence beaucoup plus opaque, et un nom revient sans cesse : Sharp Vision, société française devenue régulateur de fait des jeux d'argent sur le continent.
La décision attendue de l'ARCOP
Le 1er septembre 2025, l'Autorité de Régulation de la Commande Publique (ARCOP) a rendu une décision très attendue dans l'affaire explosive opposant la LONASE à Afitech, entreprise censée piloter la centralisation numérique des jeux au Sénégal. Officiellement, l'ARCOP a choisi la prudence : plusieurs clauses du contrat ont été renvoyées devant le juge, au nom du respect des procédures. Mais derrière cette réserve administrative se cache une réalité plus troublante : la plateforme utilisée par Afitech n'est pas la sienne. Elle appartient à Sharp Vision, société française qui, dans les faits, s'impose comme un régulateur privé des jeux en Afrique.
Afitech : une coquille vide
Depuis 2020, Afitech est présenté comme le partenaire technique chargé de moderniser les systèmes de la LONASE. Mais son contrat, attribué sans appel d'offres, a échappé au Code des marchés publics sous couvert d'un “partenariat technique”. Un rapport d'expertise judiciaire a révélé un fait accablant : cent millions de francs CFA ont été versés avant toute exécution de service. Ce préfinancement soulève de sérieuses questions sur la conformité du marché et de potentielles violations des lois anticorruption internationales. Lorsque Afitech a tenté de contester l'arrivée d'une plateforme concurrente, ses recours ont été jugés irrecevables par l'ARCOP. L'institution a même exprimé des doutes sur sa capacité technique et financière à mener un partenariat public-privé. Tout indique qu'Afitech n'est qu'une coquille vide, un simple paravent local, tandis que Sharp Vision contrôle l'infrastructure, la technologie et les flux d'information.
Sharp Vision, l'ombre derrière le rideau
Sharp Vision n'est pas une inconnue dans le paysage africain. Cette société française s'est fait une spécialité de la régulation privée des jeux dans plusieurs pays : Bénin, Guinée, Cameroun, République centrafricaine… Son modèle est toujours le même : décrocher des contrats hors procédures transparentes, se présenter comme prestataire technique incontournable, puis se substituer progressivement aux autorités publiques dans la régulation. Le groupe présente un historique d'augmentations de frais jugées excessives, ce qui soulève une question centrale : qui bénéficie réellement de ces revenus ? Le même schéma se reproduit systématiquement. Il s'appuie sur un discours bien rodé : promesse de modernisation des systèmes, promotion d'un « jeu responsable » et annonce d'une hausse des recettes fiscales pour l'État. Cependant, derrière cette rhétorique se cachent un manque de transparence, une opacité financière persistante et, dans certains cas, une prise d'influence progressive sur la régulation du secteur. Ce modèle interroge non seulement la répartition des profits, mais aussi la capacité des autorités publiques à conserver le contrôle sur un domaine stratégique.
Des casseroles à répétition
Dans tous les pays où elle opère, Sharp Vision traîne de nombreuses controverses. Ses contrats sont souvent attribués sans appel d'offres. Ses revenus restent opaques. La frontière entre prestataire technique des paris en ligne et acteur économique est brouillée. Le cas le plus révélateur : l'affaire Lat Diop et Honoré Gaming. Officiellement, Sharp Vision y joue le rôle de régulateur, pendant qu'Honoré Gaming fournit les plateformes technologiques. En réalité, les deux sociétés partagent la même direction et le même actionnariat. Cette proximité efface toute frontière entre le régulateur et le fournisseur, faisant de Sharp Vision un acteur juge et partie dans un secteur censé être strictement encadré. Ces dérives soulèvent aussi une question plus large : celle de la dépendance technologique de plusieurs États africains vis-à-vis de sociétés françaises qui, sous couvert de modernisation, contrôlent des infrastructures critiques et collectent des données sensibles. Ces controverses, présentes dans plusieurs pays africains, montrent une stratégie systématique : capturer la régulation tout en échappant au contrôle démocratique, avec des alliances opaques qui ne servent pas l'intérêt public.
Un risque juridique international
Le modèle économique et juridique de Sharp Vision dépasse les frontières africaines et pourrait attirer l'attention des autorités internationales. En France, la loi Sapin II impose des règles strictes de transparence et de prévention des conflits d'intérêts. Au Royaume-Uni, le UK Bribery Act sanctionne toute corruption d'entreprise, y compris à l'étranger. Et aux États-Unis, le Foreign Corrupt Practices Act (FCPA) punit sévèrement les pratiques opaques dans les marchés publics internationaux. Le partage de direction entre Sharp Vision et Honoré Gaming soulève des questions de conformité susceptibles d'intéresser les régulateurs internationaux. Ce modèle, fondé sur la confusion entre régulation et prestation, expose potentiellement la société à des risques juridiques majeurs bien au-delà du continent africain.
Après Afitech, combien d'autres masques tomberont ?
La décision de l'ARCOP n'a pas clos le dossier. Elle a ouvert une brèche. Derrière Afitech apparaissent désormais les véritables architectes du système, Sharp Vision et Honoré Gaming, et leurs réseaux transnationaux. Mais la question dépasse le seul cas sénégalais. Combien d'autres marchés africains sont déjà infiltrés par des structures similaires ? Combien de gouvernements confient leurs systèmes numériques à des entités étrangères sans contrôle public ? Tant que ces contrats resteront opaques, la régulation des jeux ne servira ni la transparence ni l'intérêt général. Elle demeurera un instrument de captation privée, dissimulé sous le masque d'une modernisation numérique. La question brûlante demeure la suivante : des sociétés offshore et des responsables gouvernementaux profitent-ils individuellement sous couvert de conformité ? Et tant que l'opacité persiste, la régulation restera un outil de capture, pas de transparence.
Le ministre d'État chargé de l'Économie et des Finances, Romuald Wadagni, candidat de la mouvance présidentielle, se rend ce lundi 13 octobre 2025, à la Commission électorale nationale autonome (CENA) pour le dépôt officiel de son dossier de candidature à l'élection présidentielle de 2026.
Le dépôt de dossier de candidature du ministre d'Etat, Romuald Wadagni sera effectif dans quelques heures. Selon les informations, le candidat de la mouvance présidentielle va procéder au dépôt de son dossier ce lundi à la CENA à 17 heures. Il sera accompagné de sa colistière, Mariam Chabi Talata, ainsi que de plusieurs figures de la majorité présidentielle.
Une forte mobilisation est annoncée à Cotonou, notamment à Ganhi, où des militants et sympathisants doivent se rassembler pour former un cortège de soutien jusqu'à la CENA.
Cette démonstration de force intervient alors que l'opposition n'a pas encore dévoilé son candidat. Du côté du parti "Les Démocrates" le président Boni Yayi a réuni ce lundi, les membres de la Coordination Nationale pour la présentation du rapport de la Commission Nationale de Candidature chargée de la désignation du duo de candidats du parti à la présidentielle du 12 avril 2026.
A.A.A
WYN-008-2025
Suite à une révision des profils à recruter, nous invitons tous les candidats ayant déjà postulé à l'Avis WYN-007-2025 et les nouveaux candidats intéressés à soumettre leurs candidatures conformément au présent communiqué.
WHAT YOU NEED SA, à travers son département GRH et développement des performances, recrute des Jeunes Talents (H/F) rémunérés pour le compte de la Société Nationale Burkinabè des Hydrocarbures (SONABHY).
CONTEXTE ET JUSTIFICATION :
Le manque de compétences des jeunes diplômés ou l'inadaptation de leurs compétences aux besoins du marché du travail, mais aussi le faible taux d'offre d'emplois, sont des freins à leur insertion professionnelle. Cela constitue de nos jours une source de préoccupation dans les instances de décision au niveau national et mondial. En effet, le taux de chômage au niveau mondial des jeunes est de 13, 6%. Au Burkina Faso, il est de 14,7% pour ceux qui ont une formation technique et professionnelle, contre 15,4% pour ceux ayant une formation générale et 23% pour ceux de la formation technique et professionnelle dans les filières tertiaires.
Face à cette situation, plusieurs structures privées se sont engagées dans l'accompagnement des jeunes diplômés par l'octroi d'opportunités suivant un programme dénommé « Jeunes talents ». Le programme
« jeunes talents » constitue un tremplin pour l'insertion et le développement professionnel des jeunes diplômés en leur offrant l'opportunité d'avoir les bases d'une carrière professionnelle solide. Il permet également de développer et de soutenir le système d'adéquation « formation-emploi », contribuant ainsi à la compétitivité de la jeunesse du pays sur le marché de l'emploi.
Dans le cadre de sa Responsabilité Sociétale des entreprises (RSE), la SONABHY s'investit à soutenir les aspirations socio-économiques du Burkina Faso dans plusieurs segments dont le développement du capital humain. C'est pourquoi la SONABHY a décidé de jouer pleinement sa partition à travers son Programme « Jeunes Talents » destiné à accroître l'attractivité des talents, le développement de leurs compétences et la formation des futurs leaders du pays.
À travers le programme « Jeunes Talents », lancé en 2024, la SONABHY a démontré sa volonté d'offrir aux jeunes diplômés des opportunités concrètes de perfectionnement et d'intégration dans le tissu socio-économique national.
La première cohorte, composée de cinq jeunes formés dans des domaines stratégiques, a permis de mesurer l'impact positif d'un accompagnement structuré. Ces résultats probants justifient aujourd'hui la reconduction et l'extension du programme à de nouveaux jeunes diplômés.
Le programme « Jeunes talents » se positionne ainsi comme un véritable tremplin pour l'insertion et le développement professionnel, consolidant le lien entre formation et emploi et contribuant à la compétitivité de la jeunesse burkinabè sur le marché du travail.
Postulez donc afin de saisir l'occasion pour des immersions pratiques qui vous permettront de développer vos compétences et d'améliorer votre insertion professionnelle au Burkina et à l'international.
Ce programme vous offre la chance de devenir un futur leader et de contribuer activement au développement économique du Burkina Faso. Ne manquez pas cette occasion de propulser votre carrière !
Pour cette deuxième phase du Programme « Jeunes Talents », la SONABHY ouvre les (07) postes suivants :
1. Un (01) Jeune talent en Transport logistique de niveau bac+5
2. Un (01) Jeune talent en Gestion des Ressources Humaines de niveau bac+5
3. Un (01) Jeune talent en Finances de niveau bac+5
4. Un (01) Jeune talent Ingénieur Statisticien-Economiste de niveau bac+5
5. Un (01) Jeune talent en Comptabilité Analytique de niveau bac+5
6. Un (01) Jeune talent en Energies Renouvelables de niveau bac+5
7. Un (01) Jeune talent en Markéting de niveau bac+5
Important : Veuillez lire l'intégralité du communiqué avant de postuler !
A- Conditions générales
Les candidats aux différents postes doivent satisfaire aux conditions générales suivantes :
• Être de nationalité Burkinabè ;
• Être âgé de 22 ans au moins et de 30 ans au plus au 31 décembre 2025 ;
• Être physiquement bien portant et jouir de l'ensemble de ses facultés mentales ;
• Être immédiatement disponible ;
• S'exprimer couramment en français ;
• Avoir un diplôme de niveau Bac+5 soutenu après le 31/12/2022 (les attestations d'admission ne sont pas recevables)
• Ne pas être un Jeune Talent SONABHY de la cohorte 2024
• Partager ou désirer développer les valeurs professionnelles suivantes :
L'esprit d'équipe, le sens du leadership, le désir d'acquérir de nouvelles connaissances et des compétences, la courtoisie, le travail bien fait, la ponctualité et l'assiduité, le respect de la hiérarchie, la rigueur, le professionnalisme et le sens de la responsabilité.
B- Description des postes à pourvoir
1- Jeune talent en Transport logistique
– Nombre de poste à pourvoir : 01
– Niveau d'études : Être titulaire d'un diplôme de niveau Bac+5 en transport logistique, commerce international
– Expérience professionnelle : Non exigée
– Aptitudes professionnelles : Intervenir dans le déploiement des technologies avancées dans l'organisation de la circulation des produits de la société en vue de permettre une meilleure traçabilité et une optimisation des coûts.
– Lieu de travail : Direction stratégique trading et approvisionnement à Ouagadougou
– Disponibilité : Être immédiatement disponible
2- Jeune talent en Gestion des Ressources Humaines
– Nombre de poste à pourvoir : 01
– Niveau d'études : Être titulaire d'un diplôme de niveau Bac+5 en Gestion des Ressources Humaines avec des compétences en intelligence Artificielle ;
– Expérience professionnelle : Non exigée
– Aptitudes professionnelles : Contribuer à la mise en œuvre et à l'optimisation d'une démarche de la Gestion prévisionnelle des Emplois et des compétences (GPEC) à travers la digitalisation, l'innovation et l'accompagnement des processus RH au sein de la société.
– Lieu de travail : Direction des Ressources Humaines à Ouagadougou
– Disponibilité : Être immédiatement disponible
3- Jeune talent en Finances
– Nombre de poste à pourvoir : 01
– Niveau d'études : Être titulaire d'un diplôme de niveau Bac+5 en finance quantitative ou gestion des risques financiers, en Banques Finances.
– Expérience professionnelle : Non exigée
– Aptitudes professionnelles : Intervenir dans l'optimisation et l'automatisation de la gestion des flux financiers à travers le développement et la mise en place d'outils innovants pour accroitre la productivité de la société.
– Lieu de travail : Direction Financière et Comptable à Ouagadougou
– Disponibilité : Être immédiatement disponible
4- Jeune talent Ingénieur Statisticien-Economiste
– Nombre de poste à pourvoir : 01
– Niveau d'études : Être titulaire d'un diplôme d'Ingénieur Statisticien-Economiste de niveau Bac+5
– Expérience professionnelle : Non exigée
– Aptitudes professionnelles : Collecter, analyser et modéliser des données économiques et statistiques afin d'éclairer la prise de décisions stratégiques
– Lieu de travail : Direction Générale à Ouagadougou
– Disponibilité : Être immédiatement disponible
5- Jeune talent en Comptabilité Analytique
– Nombre de poste à pourvoir : 01
– Niveau d'études : Être titulaire d'un diplôme de niveau Bac+5 en Audit Contrôle Comptabilité, Finances Comptabilité ou Sciences de Gestion ;
– Expérience professionnelle : Non exigée
– Aptitudes professionnelles : Intervenir dans l'optimisation des coûts et le contrôle des dépenses ainsi que l'appui à la prise de décision stratégique favorisant la rentabilité et l'accroissement de la performance au profit de la société.
– Lieu de travail : Direction du Contrôle de Gestion à Ouagadougou
– Disponibilité : Être immédiatement disponible
6- Jeune talent en Energies Renouvelables
– Nombre de poste à pourvoir : 01
– Niveau d'études : Être titulaire d'un diplôme de niveau Bac+5 en Energies Renouvelables ;
– Expérience professionnelle : Non exigée
– Aptitudes professionnelles : Intervenir dans l'exploration des alternatives énergétiques durables en préconisant des technologies innovantes permettant d'atteindre l'efficacité énergétique dans les projets et investissements de la société.
– Lieu de travail : Direction de la qualité hygiène ; sécurité et environnement à Ouagadougou
– Disponibilité : Être immédiatement disponible
7- Jeune talent en Markéting
– Nombre de poste à pourvoir : 01
– Niveau d'études : Être titulaire d'un diplôme de niveau Bac+5 (Master) en Marketing, Marketing Digital, Marketing et stratégie ;
– Expérience professionnelle : Non exigée
– Aptitudes professionnelles : Intervenir dans l'élaboration et à la mise en œuvre de stratégies marketing innovantes et contribuer à l'analyse du marché, des comportements clients pour proposer des pistes d'optimisation de l'expérience client.
– Lieu de travail : Direction Commerciale et Marketing à Ouagadougou
– Disponibilité : Être immédiatement disponible
C- Composition du dossier
• Une demande adressée à Monsieur l'Administrateur Général de WHAT YOU NEED précisant le poste à pourvoir
• Une lettre de motivation datée et signée et mettant en exergue son projet professionnel adressée à Monsieur l'Administrateur Général de WHAT YOU NEED
• Un curriculum vitae détaillé, sincère, daté et signé
• Une copie légalisée du diplôme exigé
• Une copie légalisée de la Carte Nationale d'Identité Burkinabè ou du Passeport
En cas d'admission les candidats devront fournir des pièces complémentaires suivantes :
• Un certificat de nationalité burkinabè ;
• Un casier judiciaire datant de moins de trois (03) mois.
D- Date et lieu de dépôt des dossiers de candidature
Les dossiers de candidatures sont reçus exclusivement en ligne à l'adresse : wynrecrutejeunetalent@gmail.com du mardi 14 octobre 2025 à 00H00 au jeudi 23 octobre 2025 à 23H59. Le dossier de candidature doit être envoyé en un seul fichier en format PDF en précisant en objet le titre du poste.
E- Procédure de recrutement
• Phase 1 : Présélection sur dossier : Seuls les cent (100) premiers dossiers de candidature par poste à pourvoir seront pris en compte pour la présélection.
• Phase 2 : Entretiens oraux et évaluation des habilités professionnelles : A l'issue du test oral seuls les trois (03) meilleurs candidats par poste à pourvoir seront retenus pour le classement final.
• Phase 3 : Entretiens oraux définitifs : les trois meilleurs candidats seront auditionnés par les directions d'accueil en vue de la sélection définitive du jeune talent.
• Toute note inférieure à 07/20 dans une épreuve est éliminatoire
• L'admission d'un candidat n'est prononcée que lorsqu'il a obtenu une moyenne totale supérieure ou égale à 12/20
• Seuls les candidats présélectionnés à une étape donnée seront invités à prendre part à l'étape suivante
• Toutefois, l'admission n'est définitive qu'après un contrôle approfondi.
F- Informations utiles :
• Seul l'avis de recrutement publié par le cabinet fait foi
• Seul le diplôme exigé est accepté
• Seuls les cent (100) premiers dossiers de candidature par poste à pourvoir déposés au cours de la période et par la voie sus-indiquée seront reçus et pris en compte
• Les diplômes présentés feront l'objet de vérification de leur authenticité
• Le lieu et la date de déroulement des différentes épreuves seront communiqués à l'issue de chaque étape à travers le site web de WHAT YOU NEED (www.wyngroupe.com) et ses réseaux sociaux Facebook et LinkedIn
• Le cabinet se réserve le droit de ne donner aucune suite au présent avis de recrutement
G- Renseignements :
Pour toute information complémentaire, veuillez appeler le 25452460 du lundi au vendredi de 08h00 à 16h00 ou visiter notre site web www.wyngroupe.com et nos pages Facebook et LinkedIn.
Aboubakari OUEDRAOGO
Administrateur Général
La Zone industrielle de Glo-Djigbé (GDIZ), hub industriel béninois développé par la Société d'investissement et de promotion de l'industrie (SIPI-BENIN S.A.), a remporté trois distinctions majeures aux fDi Global Free Zones of the Year Awards 2025, organisés par fDi Intelligence.
Le Bénin une fois encore au-devant de la scène internationale grâce à la Zone industrielle de Glo-Djigbé, plateforme industrielle développée par la SIPI-BENIN, un partenariat public-privé entre le Gouvernement du Bénin et le Groupe ARISE Integrated Industrial Platforms (ARISE IIP).
A l'occasion des fDi Global Free Zones of the Year Awards 2025, organisés par fDi Intelligence, la GDIZ a remporté trois distinctions majeures dont le prix de la Meilleure zone industrielle d'Afrique. A travers cette distinction, la GDIZ s'impose comme une référence en matière de transformation industrielle sur le continent africain, et la 7e zone à l'échelle mondiale.
Au cours de l'évènement, la Zone industrielle de Glo-Djigbé a obtenu une « Mention honorable » pour sa contribution au développement économique et social du Bénin.
Ces reconnaissances internationales décernées à la GDIZ, témoignent de l'impact, de la vision et de la détermination qui font d'elle, un modèle industriel en Afrique et par-delà, le monde.
« La GDIZ est une Zone Industrielle qui opère dans un contexte particulièrement exigeant, qui crée un nombre impressionnant d'emplois directs et apporte une contribution majeure au développement du Bénin », souligne fDi Intelligence.
A travers la création d'emplois, la formation des talents, le transfert de compétences et la transformation locale de produits tels que le coton, la noix de cajou et le soja, la GDIZ continue d'écrire une nouvelle page du développement industriel durable du Bénin. Mise en œuvre depuis février 2020, la GDIZ est une zone industrielle intégrée qui couvre une superficie de 1640 ha. Elle est axée sur la création de florissantes chaînes de valeur allant de l'approvisionnement en matières premières, la transformation des ressources, et à l'exportation de produits finis. Au terme d'une première phase de 400 ha, la zone abrite en plus de 30 unités de transformation dont une quinzaine déjà opérationnelles, qui emploient plus de 35 000 jeunes béninois.
F. A. A.
La Coordination Nationale du parti "Les Démocrates" tient une session extraordinaire ce lundi 13 octobre 2025.
Tous les membres de la Coordination Nationale sont invités à une session extraordinaire au siège du parti "Les Démocrates" à Fifadji Cotonou. L'ordre du jour porte sur la présentation du rapport de la Commission Nationale de Candidature chargée de la désignation du duo de candidats du parti à l'élection présidentielle du 12 avril 2026.
L'opération d'enregistrement des dossiers de candidatures pour l'élection présidentielle de 2026 au Bénin a débuté, vendredi 10 octobre 2025, à la Commission électorale nationale autonome.
A.A.A
L'Ambassadrice de France au Bénin, SE.Mme Nadège Chouat, a rendu un vibrant hommage à la légende du football africain Claude Le Roy. La cérémonie s'est déroulée, vendredi 10 octobre 2025, à la Maison Rouge de Cotonou.
Au cours d'une soirée conviviale et pleine d'émotions, l'ancien joueur et entraîneur français Claude Le Roy a été honoré par ses pairs, amis et admirateurs.
« Claude est un vieil ami. C'est au-delà du football. J'ai connu Claude, il y a très longtemps et j'ai décidé de lui rendre hommage de son vivant », a confié Mme Nadège Chouat, soulignant la profondeur du lien qui les unit. La soirée a connu la présence de plusieurs figures des chaînes Canal + Sport Afrique en séjour au Bénin (Lilian Gatounes, Kaba Diawara, Fousseni Diawara, Rod Fanni, Cédric Kanté, José Pierre-Fanfan et Charles Mbuya).
Ils sont arrivés au Bénin pour la 2è édition du Trophée des Académies Ligue 1 McDonald's initiée par Claude Le Roy. Le monde sportif béninois n'a pas manqué ce rendez-vous d'amitié et de reconnaissance.
Plusieurs présidents de fédérations sportives ont répondu à l'invitation. L'Ambassadrice de France a salué « le rôle d'ambassadeur du football et de l'amitié franco-africaine » que joue Claude Le Roy depuis plusieurs décennies.
A.A.A
Megjelent a kis- és középvállalkozások innovációjának piacra vitelét támogató pályázat, amely a hazai innovatív vállalkozások eredményeinek piaci hasznosítását ösztönzi, különös tekintettel új termékek, technológiák és szolgáltatások kísérleti fejlesztésére.
De Sarajevo à Belgrade, de Paris à Sydney, des milliers de fans ont rendu hommage au chanteur Halid Bešlić, disparu le 7 octobre à l'âge de 71 ans. Véritable légende de la musique populaire bosnienne, il laisse derrière lui une œuvre qui a traversé les frontières et les générations.
- Le fil de l'Info / Courrier des Balkans, Bosnie-Herzégovine, Culture et éducation, Personnalités, YougonostalgieDe Sarajevo à Belgrade, de Paris à Sydney, des milliers de fans ont rendu hommage au chanteur Halid Bešlić, disparu le 7 octobre à l'âge de 71 ans. Véritable légende de la musique populaire bosnienne, il laisse derrière lui une œuvre qui a traversé les frontières et les générations.
- Le fil de l'Info / Courrier des Balkans, Bosnie-Herzégovine, Culture et éducation, Personnalités, YougonostalgieLe ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation a tenu, ce lundi 13 octobre 2025 à Bobo-Dioulasso, une conférence de presse sur la rentrée académique 2025-2026 et la situation des retards académiques dans les universités publiques du Burkina Faso. La rencontre, présidée par le ministre Adjima Thiombiano, a permis de dresser un bilan encourageant des efforts engagés pour la normalisation du calendrier universitaire à l'échelle nationale.
Face à la croissance rapide des effectifs, à l'insuffisance des infrastructures pédagogiques et au déficit d'enseignants, les institutions d'enseignement supérieur et de recherche (IESR) du Burkina Faso ont longtemps été confrontées à des retards et des chevauchements d'années académiques. Selon le ministre Adjima Thiombiano, grâce aux réformes entreprises par le ministère depuis 2023, la situation connaît une amélioration significative.
En effet, selon le Pr Thiombiano, le taux de normalisation des années académiques est passé de 50,47% en octobre 2023 à 81,30% en septembre 2024, pour atteindre 92,52% au 30 septembre 2025. Ces résultats ont été obtenus grâce à la poursuite des activités académiques pendant les périodes de vacances et à la mise en place d'un dispositif rigoureux de planification et de suivi des cours dans les IESR.
Plusieurs actions structurantes ont contribué à ces performances. Parmi elles, la réhabilitation d'infrastructures pédagogiques, l'équipement des laboratoires, la dotation en ordinateurs portables des chefs de départements, et la connexion internet dans les universités publiques. Le ministère a également veillé au règlement partiel de la dette sociale, au maintien des œuvres universitaires (restauration et hébergement) durant les vacances, ainsi qu'à l'appui de la SOTRACO pour le transport des étudiants.
L'opérationnalisation de la plateforme numérique “Campus Faso” a aussi marqué un tournant majeur dans la gestion administrative et académique. Cet outil facilite désormais la programmation des cours, la tenue des délibérations, la délivrance des attestations et relevés de notes, ainsi que la gestion des salles.
Malgré ces avancées, certaines filières accusent encore des retards. Au total, 24 filières sur 321 (7,48%) restent non normalisées. L'Université Joseph KI-ZERBO concentre à elle seule 13 filières en retard (20%), suivie de l'Université Nazi BONI (5 filières, 6,49%), de l'Université Norbert ZONGO (4 filières, 5,71%), de l'Université Thomas SANKARA (1 filière, 2,17%) et de l'Université Virtuelle du Burkina (1 filière, 7,69%).
Cependant, certaines institutions se distinguent par leur performance. C'est le cas de l'École Polytechnique de Ouagadougou (EPO), de l'École Normale Supérieure (ENS), de l'Université Lédéa Bernard Ouédraogo (ULBO), de l'Université Yembila Abdoulaye Toguyeni (UYAT) et désormais de l'Université Daniel Ouézzin Coulibaly (UDOC), toutes ayant réussi à normaliser leurs années académiques.
Lefaso.net