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Agrégateur de flux

South Korea : KAI's made-in-Airbus light armed helicopters cop flak

Intelligence Online - jeu, 29/02/2024 - 06:00
Not all those destined to use Korea Aerospace Industries (KAI)'s light armed helicopters (LAH) are happy with the choice of
Catégories: Defence`s Feeds

China/North Korea/Russia : Beijing lets North Korean workers protest near border to pressure Pyongyang

Intelligence Online - jeu, 29/02/2024 - 06:00
Intelligence Online understands that North Korean workers in the cantons of Jilin province in northern China, along the border with
Catégories: Defence`s Feeds

United States : Balkan specialist seeks to turn out Serbian-Americans for Donald Trump in US elections

Intelligence Online - jeu, 29/02/2024 - 06:00
Olga Ravasi, a former private security contractor in the Balkans is working to boost Serbian-American voter turnout for Donald Trump
Catégories: Defence`s Feeds

United States : Nardello & Co hit by lawsuit linked to bankruptcy of pro-Trump Chinese businessman

Intelligence Online - jeu, 29/02/2024 - 06:00
The sprawling bankruptcy case of Chinese businessman Guo Wengui has roped in corporate intelligence firm Nardello & Co, after it
Catégories: Defence`s Feeds

La Cour d’appel de Paris confirme la mise en accusation de Roger Lumbala

Radio Okapi / RD Congo - jeu, 29/02/2024 - 05:48


La Cour d’appel de Paris a confirmé, mercredi 28 février, la mise en accusation de Roger Lumbala, ex-chef rebelle, « pour complicité de crimes contre l’humanité ».

Catégories: Afrique

Goma: des milliers de nouveaux déplacés peinent à accéder à l’eau potable

Radio Okapi / RD Congo - jeu, 29/02/2024 - 05:29

 


Des milliers de nouveaux déplacés autour de Goma (Nord-Kivu) sont confrontés à des difficultés d'accès à l'eau potable depuis plus de deux semaines. Conséquence : les conditions d'hygiène se dégradent dangereusement, exposant les personnes à de graves risques sanitaires.

Catégories: Afrique

Bewerbungsmanager*in (w/m/div)

Das DIW-Graduiertenzentrum bietet in Kooperation mit Berliner Universitäten ein hochkarätiges Doktorandenprogramm in den Wirtschaftswissenschaften an. Es hat derzeit rund 50 junge und motivierte Doktorand*innen aus der ganzen Welt.

Dafür sucht die Abteilung zum nächstmöglichen Zeitpunkt eine*n

Bewerbungsmanager*in (w/m/div)

(19,5 Stunden)


Sénégal: la loi d’amnistie adoptée en Conseil des ministres

RFI /Afrique - jeu, 29/02/2024 - 01:44
La loi d’amnistie a été adoptée en Conseil des ministres mercredi soir. Elle avait été proposée lundi dernier lors de l’ouverture du dialogue nationale initié par le président Macky Sall pour tenter de trouver une sortie de crise que traverse le pays depuis l’annonce du report de l’élection présidentielle par le chef de l’État. 
Catégories: Afrique

Afflux de réfugiés en Mauritanie: le HCR et l'agence coréenne de coopération signent un accord financier

RFI /Afrique - jeu, 29/02/2024 - 00:17
Un accord financier a été signé ce mercredi entre l’agence coréenne de coopération internationale KOICA et l'agence des Nations unies pour les réfugiés (HCR) en Mauritanie, pour faire face aux arrivées de réfugiés qui se multiplient depuis la reprise des conflits dans le nord du Mali.
Catégories: Afrique

Nord-Kivu : environ 500 ménages sommés de vider leurs habitations par les rebelles du M23

Radio Okapi / RD Congo - jeu, 29/02/2024 - 00:09


Deux quartiers de l’agglomération de Bambo, chefferie de Bwito dans le territoire de Rutshuru (Nord-Kivu) sont vidés de leurs habitants depuis trois jours, sur instruction des rebelles du M23. D'après les notables locaux, joints sur place mercredi 28 février par Radio Okapi, il s'agit de cinq cents ménages des quartiers Lubango et Makengele.

Catégories: Afrique

Suspension des accréditations des lobbyistes d'Amazon au Parlement européen

RFI (Europe) - jeu, 29/02/2024 - 00:05
Les lobbyistes d'Amazon ne sont plus les bienvenus dans les couloirs du Parlement européen. Les services administratifs du Parlement ont décidé mardi de leur retirer leurs accréditations pour une durée pour l'instant indéterminée. Décision prise face au refus du géant de la tech de venir répondre aux questions des parlementaires sur les conditions de travail dans ses entrepôts situés dans l'UE.
Catégories: Union européenne

Maniema : la société civile s'oppose aux nouvelles affectations du personnel de la santé

Radio Okapi / RD Congo - mer, 28/02/2024 - 23:49


La nouvelle dynamique de la société civile dans la province de Maniema a dénoncé, mercredi 28 février, les nouvelles affectations collectives du personnel de la santé opérées par le gouverneur intérimaire, Afani Idrissa.


Le président de cette structure citoyenne, Michel Yuma Kasonda, indique que cette décision de l'autorité provinciale viole celle du directeur de cabinet du Président de la République, portant interdiction, entre autres, de tous mouvements du personnel à tous les niveaux :

Catégories: Afrique

Enterrement de vie de jeune fille : Un phénomène qui a la cote auprès des futures mariées à Ouagadougou

Lefaso.net (Burkina Faso) - mer, 28/02/2024 - 23:46

Fête ou activité qui marque la fin de la vie de célibataire avant de se mettre la corde au cou, l'enterrement de la vie solitaire est de plus en plus à la mode chez les Burkinabè. En grande pompe ou de façon symbolique, chacun fait selon ses moyens. Même si le concept concerne tout futur(e) marié(e), à Ouagadougou, c'est une pratique qui se constate en majorité chez les filles.

La notion d'enterrement de vie célibataire est née dans les pays anglo-saxons. Même si elle concerne l'homme et la femme, au Burkina Faso, ce sont surtout les filles qui enterrent leur vie de jeune filles. Soirée en boîte, dîners entre copines, jeux coquins ou voyages, il y a plusieurs types d'enterrement de vie de jeune fille. Pour certaines, ce sont des soirées surprises organisées par leurs amies ou proches. D'autres décident de prendre en main elles-mêmes, l'organisation de leurs enterrements de vie de jeune fille.

Annick Timboué Gouba et ses copines pour son enterrement de vie de jeune fille

Fatimata Ouédraogo épouse Komy a organisé son enterrement de vie de jeune fille en 2021, une semaine avant son mariage. Elle a alors passé une journée entière avec sept copines dans un complexe hôtelier hors de Ouagadougou. « Nous avons bien mangé, bien dansé puis nous avons fait une séance de photos », explique -t-elle. Selon elle, son mari, fiancé à l'époque, n'y voyait pas d'inconvénient vu qu'elle fêtait la fin de son célibat avec ses amies. Elle n'a pas de souvenir exact de ce qu'elle a dépensé ce jour mais elle pense n'avoir pas excédé 50.000 francs CFA pour ce moment entre amies. Ses copines ont pris en charge leurs tenues et l'une d'entre elle lui a offert un gâteau. « Cette étape n'est pas réellement importante avant de se marier puisqu'elle n'est pas obligatoire. Mais elle est quand même une source de joie et de célébration avec ses amies et proches », indique Fatimata qui précise que c'est un choix personnel.

Les différents types de gadgets proposés par Bernice Timboué pour les cérémonies comme des couronnes, des pantoufles, des peignoirs, des écharpes...

Dame X, mariée depuis décembre 2020, a aussi enterré sa vie de jeune fille. Sa copine lui a organisé une fête surprise à quelques jours de son mariage. Pour elle, ce fut un moment agréable qui lui a permis de déstresser au regard des différentes préoccupations à gérer pour l'organisation du mariage. Comme elle, Annick Timboué Gouba s'est vu offrir une fête surprise par sa belle-sœur (sœur de son mari) qui organise ce type d'évènements en collaboration avec ses copines. « Elle m'a fait une surprise à laquelle je ne m'attendais pas. Ce sont les yeux fermés, qu'elles m'ont emmenée sur le lieu et j'étais très contente. Nous avons d'abord fait des photos avec des accessoires dans un jardin, avant de nous rendre dans une chambre bien décorée où nous avons fait de petits jeux intéressants. C'était à trois jours de mon mariage et ça m'a réellement permis de déstresser. Il est vrai que je pensais à faire un enterrement de vie de jeune fille mais je voulais une fête simple », a raconté dame Annick Timboué Gouba.

Une décoration faite par Flora Compaoré Ouoba pour une soirée en chambre d'enterrement de vie de jeune fille

Cet intérêt que porte les futures mariées à l'enterrement de vie de jeune fille a créé une activité pour de nombreuses personnes qui se sont spécialisées dans l'organisation de ce type d'évènements.

L'enterrement de vie de célibataire a fait naître un business

Cette pratique représente un business en plus pour certaines décoratrices et organisatrices de mariage. Elles proposent une panoplie de gadgets pour embellir ou pimenter un enterrement de vie de jeune fille tels que des ballons, des écharpes, des peignoirs, des couronnes, des pantoufles et bien d'autres accessoires. Dans la boutique ‘‘Gadgets de mariage'' de Bernice Timboué, en plus des articles de mariages, on retrouve un important lot de gadgets féminins pour enterrement de vie de célibataire. « Actuellement, la demande est forte pour l'organisation ou l'achat d'articles pour enterrement de vie de jeune fille. Mais c'est surtout dans le mois de décembre et janvier que nous en recevons plus ». Selon elle, le plus souvent, ce sont les amies qui cotisent pour offrir une cérémonie à la future mariée. Que ce soit en vente ou en location, il est possible de s'offrir des gadgets pour une soirée entre filles. De plus, les sommes dépensées pour ces moments dépendent des activités voulues.

Bernice Kamboué affirme que le concept s'adapte au contexte africain

Flora Compaoré Ouoba fait partie des pionnières dans l'organisation des enterrements de vie de célibataire au Burkina Faso. Avec son entreprise d'évènementiels ‘‘Fête en Folie'', elle est ‘‘wedding planer'' et décoratrice d'évènements. « La plupart du temps, c'est au restaurant que les filles enterrent leur vie de jeune fille. Il est rare qu'au Burkina les filles fassent la totale c'est-à-dire restaurant-boite de nuit-chambre décorée. En général, elles font une de ces activités uniquement », nous confie-t-elle. Par ailleurs Flora Compaoré Ouoba conseille aux futures mariées de faire ce genre de cérémonies un bon moment avant le jour du mariage. « Si c'est une surprise que l'on fait à la mariée, c'est plus facile. Mais si c'est elle même qui l'organise, elle doit s'y prendre tôt pour éviter le stress inutile », pense la wedding planer.

Une pratique pas très comprise par bon nombre de personnes

Pour nos différentes organisatrices d'enterrement de vie de célibataire, cette activité n'a rien de problématique mais n'est juste pas comprise. « C'est peut-être le terme « enterrement de vie de jeune fille » qui pose problème aux gens. Cependant, en général ce sont seulement des soirées pour se retrouver entre filles et marquer son soutien à la future mariée pour ce nouveau départ », affirme Bernice Timboué, ajoutant que même si c'est étranger, le concept s'adapte au contexte burkinabè.

" Chacun organise son enterrement de vie de jeune fille en fonction de son pouvoir d'achat", Flora Compaoré Ouoba

Pour Flora Compaoré Ouoba qui a vu les débuts de ce phénomène au Burkina, l'enterrement de vie de célibataire n'est pas une pratique nouvelle dans notre société. « C'est quelque chose qui existait mais on n'avait pas donné ce nom occidental. Avant, les amies de la nouvelle mariée se réunissaient avec elle à la maison pour causer et partager un repas avant le jour du mariage. Seulement de nos jours, le concept a été modernisé », fait savoir Flora Compaoré Ouoba. Aussi, c'est une pratique mal vue parce que certains y mettent des sommes exorbitantes. « Je crois que chacun y va en fonction de son pouvoir d'achat. C'est un peu comme l'organisation du mariage, certains le feront avec 50.000 francs CFA et d'autres avec 10 millions de francs CFA » a-t-elle dit.

Même si l'enterrement de vie de célibataire ne fait pas l'unanimité, on retiendra que c'est un moyen pour ces jeunes femmes d'évacuer le stress de l'organisation du mariage.

Farida Thiombiano
Lefaso.net

Catégories: Afrique

Burkina / Fonctionnement des institutions : Le ministère de la justice relève un taux d'amélioration de 75%

Lefaso.net (Burkina Faso) - mer, 28/02/2024 - 23:45

Dans le rapport de performance annuelle 2023 du secteur "Justice et droits humains", l'action 10 porte sur l'amélioration du fonctionnement des institutions. Le seul produit programmé dans cette action concerne "les projets de textes nécessaires au bon fonctionnement des institutions." Ainsi, les indicateurs prévus à cet effet sont de deux ordres : d'une part, le nombre de projets de textes nécessaires au fonctionnement de l'Autorité supérieure de contrôle d'Etat et de lutte contre la corruption (ASCE-LC). D'autre part, le nombre de projets de textes nécessaires au fonctionnement des autres institutions. A la date du 31 décembre 2023, l'indicateur du produit affichait un taux de 75%.

En 2022, l'indicateur de l'action "Amélioration du fonctionnement des institutions" était "l'indice de perception de la corruption". Et selon le rapport Transparency International publié en janvier 2022, cet indice était de 40 sur 100. Toujours pour la même année, le Burkina Faso a été classé 77e sur 180 pays classés.

Pour faire reculer la corruption en 2023, le ministère de la justice a travaillé à la mise en œuvre du produit programmé dans le cadre de l'action suscitée. Ainsi, pour ce qui est du premier indicateur qui porte sur "le nombre de projets de décrets nécessaires au fonctionnement de L'ASCE-LC", la cible qui était fixée à 2 n'a pas été atteinte. A la date du 31 décembre 2023, un projet de décret avait été élaboré par l'ASCE-LC. Il portait sur la mise en place d'un dispositif de veille et la mise en oeuvre des recommandations, des audit/contrôle et des rapports.

Pour ce qui est du deuxième indicateur, portant sur "le nombre de projets de textes nécessaires au fonctionnement des autres institutions", la cible a été atteinte. En effet, le rapport révèle que la Cour de cassation et la Cour des comptes ont transmis au Ministère de la justice et des droits humains, chargé des relations internationales, leurs avant-projets de loi organique portant composition, organisation, attributions et fonctionnement de ces institutions ainsi que les procédures applicables devant elles."

Sur les 30 millions fcfa prévus pour la mise en œuvre du produit de cette action, 20 millions ont été consommés, ce qui porte le taux d'exécution financière à 66,66%.

Erwan Compaoré
Lefaso.net

Catégories: Afrique

Burkina : L'association des femmes détentrices de clubs PMUB dénonce un prélèvement de 5% sur leurs commissions

Lefaso.net (Burkina Faso) - mer, 28/02/2024 - 23:40

L'association des femmes détentrices de clubs PMUB a rassemblé ses membres devant le siège de la Loterie nationale burkinabè (LONAB) pour exprimer son mécontentement concernant le prélèvement de 5% sur les commissions. Selon la présidente de l'association, 0,2% est prélevé sur le chiffre d'affaires depuis des années au titre des impôts.

« Ce directeur général n'a jamais voulu nous rencontrer depuis qu'il a été nommé. Il refuse de nous rencontrer pour comprendre nos difficultés. Cela fait 35 ans que nous travaillons avec la LONAB. On nous a fait comprendre que les 0,2% qui sont prélevés sont destinés aux impôts. En ce mois de février, on vient nous dire qu'en plus des 0,2%, il y a 5% qui seront prélevés pour les impôts. Nous avons donc dit nous payons deux fois les impôts. Et on dit maintenant que les 0,2% sont pour les timbres. Si c'était un prélèvement de 1%, on pouvait comprendre, mais jusqu'à 5%, nous n'allons pas accepter. Nous avons énormément de charges. Nous ne pourrons pas supporter les dépenses si ça continue. Les comptes ont été arrêtés le 20 février. Et trois jours après, ils paient les femmes. Nous constatons qu'ils ont coupé les 5%. Ils ont vite fait le paiement pour pouvoir couper l'argent. Nous sommes des partenaires. Avant toute décision, nous devons discuter et trouver un consensus. Mais on ne peut pas se lever et couper l'argent sans vraiment chercher à discuter avec nous », a lâché Isabelle Coulibaly, conseillère de la présidente de l'association, sur un ton de colère.

Isabelle Coulibaly, conseillère de la présidente de l'association des femmes détentrices de clubs PMUB

Les responsables de la LONAB ont rencontré une délégation des femmes autour de 9h. A l'issue de la rencontre, les femmes disent que le directeur général de la LONAB a promis leur revenir le vendredi 1er mars 2024.

« Il nous a reçues. Nous avons exposé notre problème. Il a dit qu'il a bien écouté et qu'il est désolé de ce qui arrive mais que lui aussi a un conseil d'administration. Qu'il va lui soumettre la question. Mais qu'il va nous revenir le vendredi 1er mars. Et il pense que tout le monde sera satisfait. Voilà ce qu'il a dit. Nous avons posé plusieurs questions concernant notre situation, dont la coupure des 5% que nous n'arrivons pas à comprendre. Il a dit que la mesure vient d'en haut. Donc que ce sont les impôts. Nous lui avons dit que depuis 34 ans, les impôts ont été coupés à 0,2%. Il nous a dit que cela fait 24 ans que cela devrait être appliqué mais que c'était la LONAB qui payait. Les femmes ont dit qu'elles ne peuvent pas parce que les charges sont énormes. Nous avons des vendeuses à payer et aussi le loyer. Le loyer des locaux devient de plus en plus cher », a dit la conseillère de la présidente de l'association à la sortie de la rencontre avec les responsables de la Loterie nationale burkinabè.

Les femmes chantant l'hymne national pour exprimer leur mécontentement

Elle espère qu'un consensus sera trouvé pour le bon fonctionnement de leur partenariat.

Rama Diallo
Lefaso.net

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Kongo-Central : 9 députés provinciaux renoncent à leurs mandats

Radio Okapi / RD Congo - mer, 28/02/2024 - 23:38



 

Neuf élus provinciaux sur les trente-six proclamés provisoirement par la Commission électorale nationale indépendante (CENI) ont renoncé, mercredi 28 février, à leurs sièges à l’assemblée provinciale du Kongo-Central.


L'annonce a été faite par le président du bureau provisoire de l'organe délibérant provincial, Thomas Yobila, à l'issue d'une séance plénière. Ces députés ont été élus à la fois au niveau national et provincial. Ils ont donc opté pour siéger à l'Assemblée Nationale.

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Conseil des ministres : Le gouvernement dissout l'Unité spéciale d'intervention des Eaux et forêts

Lefaso.net (Burkina Faso) - mer, 28/02/2024 - 23:35

(Ouagadougou, 28 février 2024). Le Président de la Transition, Chef de l'Etat, le Capitaine Ibrahim TRAORE a présidé ce mercredi, le Conseil des ministres qui a examiné et adopté des dossiers importants au titre de plusieurs départements ministériels, selon le ministre d'Etat, Porte-parole du gouvernement, Jean Emmanuel OUEDRAOGO.

Au titre du ministère de la Fonction publique, du Travail et de la Protection sociale, le Conseil a adopté un décret portant détermination des conditions et des modalités de répartition et de prélèvement de la cotisation ainsi que les délais de son versement à la Caisse nationale d'assurance maladie universelle. Pour le ministre d'Etat Bassolma BAZIE, ce décret permettra à toutes les couches sociales de notre pays d'être prises en compte et surtout de faire face, de façon efficace à la question sanitaire.

« Ce n'est pas au départ, une obligation pour les populations dans la mesure où il faudra enregistrer les acteurs qui sont concernés. Si vous ne vous êtes pas fait enregistrer, pour le moment, vous n'êtes pas concernés par la situation. L'autre élément, c'est la temporalité de la mise en œuvre qui va se faire sur une période d'essai », a soutenu M. BAZIE. Il a invité l'ensemble des acteurs du privé, du secteur informel et du public, à s'engager afin que leur santé soit prise en charge de façon adéquate.

Au titre du ministère de l'Environnement, de l'Eau et de l'Assainissement, une communication orale a été faite au Conseil sur la dissolution de l'Unité spéciale d'intervention des Eaux et forêts à la suite d'un mouvement d'humeur d'une partie de l'unité, le 21 février dernier à la Direction générale des Eaux et forêts.

« Cette unité a été mandatée pour une opération de sécurisation dans la région des Hauts-Bassins. Des instructions ont été données pour qu'elle replie sur un autre site dans le Centre-ouest. L'unité a opposé une fin de non-recevoir. Elle a donc été sommée de regagner Ouagadougou. Une fois dans la capitale, elle a pris en otage, le Directeur général des Eaux et forêts en empêchant toute sortie. Après moults tractations, l'unité a été désarmée », a expliqué le ministre Roger BARO.

Pour lui, les faits constatés sont très graves et inadmissibles selon le règlement de discipline générale des Eaux et forêts. Le Conseil a donc décidé de la dissolution de l'Unité. Les 165 éléments qui sont rentrés en mouvement, a dit M. BARO, seront sanctionnés conformément aux textes.

En rappel, l'unité spéciale d'intervention des Eaux et forêts a été mise en place en 2023, puis rendue opérationnelle à partir du deuxième semestre de la même année avec un effectif de 250 hommes.

Direction de la Communication de la Présidence du Faso

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Santé / Alimentation : Les dangers de la conservation des aliments dans les récipients en plastique

Lefaso.net (Burkina Faso) - mer, 28/02/2024 - 23:30

Les récipients en plastique font partie intégrante des ustensiles de cuisine. On les utilise à souhait pour manger et boire ou encore garder de la nourriture et souvent au réfrigérateur. Toutefois, l'utilisation des plats en plastique pour la conservation des aliments chauds ou encore de certains aliments comporte des risques pour la santé des consommateurs. Yasmine Zerbo diététicienne, nous apprends que les récipients en plastique exposés à une certaine température, peuvent devenir cancérigènes.

Tous les aliments ne sont pas faits pour être conservés dans les récipients en plastique, car en plus de porter atteinte à leur goût, ces récipients peuvent provoquer des problèmes de digestion et un mal être. C'est ce qu'affirme Yasmine Zerbo, diététicienne, face à l'utilisation courante des plats en plastique dans les ménages. Elle explique que la mélamine-formaldéhyde, employée dans l'industrie plastique, comporte des risques pour la santé.

Yasmine Zerbo, diététicienne, recommande les plats en inox, en verre et en céramique pour la conservation des aliments

« Cette substance présente dans le plastique est réputée cancérigène. Les récipients en plastique peuvent provoquer plusieurs cancers comme celui du sang, de la prostate, des testicules et bien d'autres maladies chroniques telles que des troubles du système nerveux, des atteintes au système reproductif, une insuffisance pondérale à la naissance et des maladies thyroïdiennes », fait comprendre la diététicienne.

les plats en céramique sont conseillés pour les repas chauds

Parmi les aliments qu'il faut éviter de garder dans les plats plastiques, figurent les œufs. En effet, les œufs peuvent être porteurs de bactéries telle que la salmonelle. « Des bactéries ont tendance à se multiplier au contact du plastique », soutient Yasmine Zerbo. Il en est de même pour la mayonnaise. La conservation des soupes chaudes dans des boites en plastique est également à proscrire car les particules de plastique peuvent être transférées dans le repas pendant le stockage. Ainsi, la diététicienne recommande de laisser refroidir les soupes avant de les renverser dans des récipients en plastique, pour éviter qu'elles ne s'altèrent et que les bactéries y prolifèrent.

Le thé ou le café chauds ne doivent pas non plus être pris dans des verres en plastique. Il est plus approprié de les prendre dans des tasses en porcelaine ou encore de les garder dans des thermos en inox. Aussi, conserver les fruits dans du plastique fait qu'ils s'abiment beaucoup plus vite et perdent leurs qualités nutritionnelles. Eviter également de conserver les crudités déjà découpées dans des boites en plastique car elles vont rapidement se ramollir et flétrir. Les garder plutôt dans un contenant en verre. Les yaourts, et les plats en sauce doivent autant que faire se peut, être gardés dans des récipients en verre, en céramique ou en inox, car le plastique en plus d'altérer leur goût, augmente le risque de prolifération bactérienne et la perte des valeurs nutritionnelles, fait remarquer la diététicienne Yasmine Zerbo.

les plats en inox sont aussi recommandés pour la conservation des aliments chauds

En somme, elle recommande d'éviter autant que possible d'exposer les aliments chauds au plastique. Et pour éviter tout risque, elle invite à adopter des récipients fabriqués à base de matériaux comme le verre, la céramique, la fonte, l'inox ou encore la pierre, car ceux-ci ne posent pas de problème de migration de substances nocives pour la santé du consommateur.

Armelle Ouédraogo
Lefaso.net

Catégories: Afrique

LINAFOOT play off : FC Les Aigles du Congo renforce son ossature

Radio Okapi / RD Congo - mer, 28/02/2024 - 23:25


En prévision de la phase de play off, le FC Aigles du Congo a renforcé son comité, son staff technique et l’effectif de joueurs. La cérémonie de présentation a eu lieu mardi 27 février à Kinshasa. 


Le nouveau comité est marqué par la nomination de Junior Kiaku et Glady Bokese comme manager général et manager général adjoint.


Concernant l'effectif des joueurs, trois nouveaux attaquants ont intégré le groupe:

Catégories: Afrique

Burkina / Médias : Dans les coulisses du "Tribunal de l'actualité", une des émissions phares de 3TV/Watt Fm

Lefaso.net (Burkina Faso) - mer, 28/02/2024 - 23:25

Diffusée pour la première fois sur la radio Watt FM en 2016 et à la télévision 3TV en 2018, l'émission ‘'Tribunal de l'actualité'' connaît une attractivité certaine au sein de l'opinion nationale. Chaque matin à 8h, de lundi à vendredi, des invités, appelés ''convoqués'', sont reçus pour parler de l'actualité nationale et internationale. Ou par moments, ce sont deux journalistes du média, désignés comme juges de siège, qui analysent l'actualité burkinabè et au-delà. Chaque émission représente donc une « audience », dirigée par le président, qui n'est autre que le modérateur de l'émission. Nous avons pu assister à l'audience du vendredi 23 février 2024. Reportage !

Habituellement, ‘'Le tribunal de l'actualité'' est animé par trois journalistes, avec l'animateur principal appelé ‘'président du tribunal'' et les deux autres, ‘'juges'' en vue de refléter l'image réelle d'un tribunal. Vendredi 23 février 2024, en l'absence du juge Bernard Bougouma, le président du tribunal Serge Kaboré était accompagné du juge Geoffroy Vaha.

Ambassda Paul Sandwidi, analyste politique et ancien maire de commune était le convoqué du jour. Gouvernance, sécurité et diplomatie, c'est le sujet enrôlé pour cette audience. « Ils sont très peu, ceux qui acceptent se prononcer sur ce genre de sujet dans le contexte actuel. C'est l'une des principales difficultés de cette émission », nous confie le juge Geoffroy Vaha à son arrivée à 7h47 mn, quelques temps après le « convoqué », c'est-à-dire l'invité.

Après quelques temps passé dans son véhicule devant le bâtiment R+3 qui abrite le média, le convoqué est invité par les agents de la sécurité à prendre place dans la salle d'attente. Le regard plongé dans sa tablette, l'ancien maire de la commune de la Tensobentenga, dans la province du Kouritenga, région du Centre-est, s'informe sur l'actualité. Il est un habitué des plateaux-télé, mais le stress zéro n'existe pas, a-t-il laissé entendre. C'est pendant ces moments d'échanges que le président du tribunal Serge Kaboré fait son apparition. L'homme à la silhouette filiforme, vêtu d'un jean noir et d'un habit manches longues de même couleur, arborant une cravate marron, fait son entrée et nous salue avant de continuer dans son bureau, le bras droit chargé de sa veste noire qui sera enfilée pour la présentation.

L'arrivée du Juge Geoffroy Vaha

7h50mn, le chrono tourne, l'heure de l'émission avance à grands pas. Comme il est de coutume, le convoqué du jour est appelé pour le maquillage. En moins de 5mn, il ressort de la salle dédiée avec un visage encore plus pétillant. C'est l'œuvre de Noëllie Pacodi, une passionnée du métier, en service au sein de la télévision 3TV depuis deux ans. Elle vient tous les jours à 6h pour ne repartir qu'à 14h. « Nous sommes deux, ce qui nous permet de nous relayer très facilement », a-t-elle confié après avoir libéré le convoqué, qui s'est directement installé sur le plateau de l'émission avant l'arrivée du président et le juge.

7h56, les deux animateurs sortent, à leur tour de la salle de maquillage. Ils s'installent et échangent avec le convoqué, question de le mettre dans le bain, avant le lancement du jingle pour l'émission, dans les conditions du direct. Les techniciens aussi s'affairent pour une bonne retransmission à cet effet. Ces derniers, de leur salle, communiquent avec les occupants du plateau. Rien ne leur échappe, même un bouton mal agencé d'une chemise est vite signalé.

Le convoqué du jour, Ambassda Paul Sandwidi, dans la salle de maquillage en attendant le début de l'émission

Moctar Lompo est un opérateur synthé. Il est chargé de mettre toutes les écritures à la télé, notamment les noms des invités et des animateurs pendant leur apparition à l'écran. Il ressort du studio au pas de course, avec une feuille où est écrit le nom du convoqué. Il est allé se rassurer avec le présentateur s'il n'y a pas d'erreur d'orthographe sur le nom du convoqué du jour. Pendant qu'il consigne le nom du convoqué sur sa machine, un autre technicien de la même cabine commence le décompte, de trois, pour lancer le plateau à zéro. Le silence s'installe. Le président du tribunal, le regard braqué sur le chronomètre installé dans le studio, agence sa cravate après interpellation des techniciens.

8h00, l'émission commence. Le président du tribunal présente le convoqué du jour avant de donner la parole au juge au siège pour son avant-propos, selon la tradition de l'émission. Le juge Vaha commente l'adoption de la loi portant conditions d'entrée et de sortie du Burkina. Puis, dans le vif du sujet, le convoqué est soumis à des questions, suivies par moments de commentaires, notamment du juge Vaha.

Noëllie Pacodi travaille à 3TV depuis deux ans maintenant

C'est Lookman Sanfo qui a la paternité de ce nom ‘'Tribunal de l'actualité''

Après l'émission, nous avons rencontré le juge Vaha dans son bureau. Il est l'un des acteurs qui ont baptisé l'émission ‘'Tribunal de l'actualité''. Au milieu de plusieurs livres, l'économiste de formation (une maîtrise en économie) revient sur la genèse de l'émission. Pour l'ancien pensionnaire de l'université de Cocody, en Côte d'Ivoire, le premier numéro de l'émission est passé à la radio Watt FM le 13 juin 2016, puis à la télévision 3TV en mars 2018. Mais le concept ‘'Tribunal de l'actualité'' a été choisi par Lookman Sanfo, premier président du tribunal, a confié le juge Vaha. « On convient que le tribunal est le lieu où sont jugées les affaires. On voulait un cadre qui soit celui où on interroge dans toute leur profondeur, les sujets d'actualité avec les acteurs concernés ou des personnes ressources. Cela pour que le téléspectateur ou l'auditeur se fasse une idée. Celui qui vient n'est pas invité, c'est un convoqué pour établir le parallèle avec la réalité d'un tribunal. On se fait appeler ‘'juges au siège'' parce qu'on sait que dans un tribunal, il y a les magistrats au siège et les magistrats de parquet. Nous sommes-là pour questionner le convoqué du jour, le pousser dans ses retranchements pour avoir sa version sur les faits. C'est une manière de donner des clés de lecture à l'auditeur ou au téléspectateur pour mieux comprendre et décortiquer l'actualité qu'il reçoit. C'est le principe premier de l'émission », a-t-il expliqué. Cette manière d'analyser l'actualité en vue d'éclairer davantage l'opinion s'inscrit dans le sens du slogan de l'émission qui est : « Ne condamnez jamais l'actualité sans l'avoir jugée ».

« Nous arrivons ici très tôt le matin », affirme Moctar Lompo, opérateur synthé

Mais l'une des difficultés majeures, selon le juge Vaha, réside dans le choix des invités. Il y a souvent la réticence, mais le tribunal fait de son mieux pour tenir le pari de la diffusion quotidienne. « L'émission a grandi en notoriété. Quand on appelle un potentiel convoqué, rarement on nous a dit qu'on ne connaît pas l'émission », raconte-t-il, saluant au passage l'engagement des animateurs pour tenir l'émission, du lundi au vendredi. A en croire le juge, beaucoup de personnalités nationales et internationales sont passées devant le tribunal de l'actualité. « Il y a certains grands noms, après les passages ici, ils disent qu'ils se sentent soulagés. Ils disent que le passage devant le tribunal de l'actualité équivaut à une dure épreuve. A cause de l'audience et de la qualité des journalistes qui sont en face », révèle M. Vaha. Il révèle qu'il avait le journalisme dans l'âme alors qu'il a fait des facultés de sciences dures. « Je me suis donné les moyens de faire ce métier », affirme-t-il. L'ancien journaliste de la télévision privée Canal 3 a suivi une formation en journalisme en vue de maîtriser les B.A BA du métier.

Le début de l'émission

Quid du choix des sujets ?

Serge Kaboré est journaliste à la télévision privée 3TV depuis 2021. Il a rejoint l'équipe du tribunal de l'actualité en 2022, en tant qu'intérimaire du président. Il est confirmé président depuis septembre 2023. Selon ses explications, le choix des sujets se fait à l'issue de grandes concertations. « C'est la veille médiatique. On a jusqu'à l'après-midi pour choisir l'actualité et les personnes à convoquer. Mais il n'est pas rare qu'on soit au téléphone après 1h ou 2h du matin, en cas de bouleversement de l'actualité, en vue de changer de sujet. Cela est arrivé plusieurs fois », a-t-il dévoilé avant de préciser que les choix se font de manière collégiale. L'émission se prépare la veille, a ajouté le juge Vaha. « Nous sommes des journalistes, on lit beaucoup, on s'informe. En discutant de l'actualité, on fait des propositions et après, on tranche ensemble », a poursuivi le juge. « S'il y a des sujets que nous ne comprenons pas, nous prenons le temps d'appeler nos amis qui sont spécialistes en la matière. Nous leur expliquons que nous ne maîtrisons pas très bien le sujet et on leur demande de nous outiller pour que nous puissions être à la hauteur », a-t-il complété.

Le président du tribunal, Serge Kaboré, se réjouit du bon déroulement des émissions

Du Tribunal de l'actualité au tribunal de la justice

C'est l'histoire d'une dame qui a été condamnée par la justice après son passage sur l'émission Tribunal de l'actualité. « On a une dame qui était venue dénoncer des affaires de parcelles, incriminant directement le maire. Après, on a appelé le maire en question pour l'entendre aussi. Il dit qu'il a suivi l'émission et qu'il aimerait même venir donner les détails parce qu'il n'est pas d'accord avec ce que la dame a dit. Mais il a demandé l'enregistrement pour mieux se préparer. A notre grande surprise, il n'est pas venu. Il a convoqué la dame en justice et elle a été condamnée », cite le juge Vaha, déplorant cette situation.

« Je me rappelle un convoqué, narre-t-il encore, qu'on a invité après son point de presse. On l'avait tellement cuisiné (bousculé dans le jargon) qu'après l'émission, sachant qu'il ne s'était pas bien défendu, est entré dans une colère noire. Et il m'a dit que je l'ai piégé. Qu'il a cru qu'on était amis ». « Si c'était pour venir me mettre la honte comme cela en direct, il ne fallait pas m'inviter », nous a-t-il lancé. Je lui ai dit qu'il connaît bien l'émission, on vient pour défendre ses positions. Il a dévalé l'escalier sans nous dire au-revoir se souvient encore le juge.

Mais selon Geoffroy Vaha, l'émission a aussi permis à beaucoup de personnes d'avoir des gratifications après leur passage. « Nous avons reçu des retours dans ce sens. Nous recevons aussi des conseils pour une amélioration », a-t-il conclu.

« On lit beaucoup pour pouvoir être au diapason de l'actualité », affirme le juge Geoffroy Vaha

‘'Le Tribunal de l'actualité'', une émission populaire et consensuelle

Valérie Traoré, journaliste à la télévision Canal 3, a fait ses travaux de recherches sur l'émission « Le Tribunal de l'actualité ». Selon l'ancienne étudiante de L'Institut des sciences et techniques de l'information et de la communication (ISTIC), l'émission a une grande notoriété. Il est ressorti que toutes les personnes interrogées en 2021 à Ouagadougou dans le cadre de ses recherches, disent connaître ‘'Le tribunal de l'actualité'' de 3TV et Watt FM. « Il y a 66% des hommes qui suivent Le tribunal de l'actualité contre 34% de femmes », a-t-elle démontré. Pour la présentatrice télé, l'émission contribue à l'ancrage de la gouvernance politique au Burkina Faso. « La plupart des gens que nous avons interrogé, avouent avoir appris beaucoup de choses à travers l'émission Le tribunal de l'actualité » nous a-t-elle confié.

Valérie Traoré

Serge Ika Ki
Lefaso.net

Catégories: Afrique

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