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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
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Agrément du nouvel ambassadeur d’Arabie saoudite en Algérie

Tue, 14/08/2018 - 20:07

Le gouvernement algérien a donné son agrément à la nomination de M. Abdelaziz Ben Ibrahim Hamad El-Omairini, en qualité d’ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire du Royaume d’Arabie Saoudite auprès de la République algérienne démocratique populaire, indique ce mardi un communiqué du ministère des Affaires étrangères.

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Categories: Afrique

Burkina Faso/Attaque: six personnes tuées par une mine dans l’Est

Tue, 14/08/2018 - 19:55

OUAGADOUGOU – Cinq gendarmes et un civil ont trouvé la mort samedi après-midi, au passage de leur pick-up sur une mine artisanale, à une centaine de kilomètres de Fada N’Gourma (est), a annoncé samedi soir l’Agence d’Information du Burkina.

« Le véhicule d’escorte de la gendarmerie a roulé sur une mine, faisant six morts » et de « nombreux dégâts », a confirmé une source sécuritaire.

Le Burkina Faso est régulièrement la cible d’attaques terroristes dans le nord, le centre et l’est depuis 2015.

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Effondrement d’un viaduc autoroutier en Italie: l’Algérie présente ses « sincères » condoléances

Tue, 14/08/2018 - 19:52

ALGER – L’Algérie a présenté, mardi, ses « sincères » condoléances au gouvernement et peuple italiens suite à l’effondrement d’une partie du viaduc autoroutier près de la ville de Gênes au sud de l’Italie, qualifiant le drame d' »affligeant ».

« L’effondrement d’une partie du viaduc de l’autoroute près de la ville de Gênes au sud de l’Italie est un drame affligeant qui a endeuillé de nombreuses familles auxquelles nous présentons nos sincères condoléances, comme nous assurons de notre sympathie et de notre solidarité le Gouvernement et le Peuple italien amis », a déclaré à l’APS, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Abdelaziz Benali Chérif.

Le bilan des morts dans cet effondrement s’est alourdit à 30 morts, a annoncé le ministre italien de l’Intérieur, Matteo Salvini.

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Italie: au moins 30 morts dans l’effondrement d’un viaduc autoroutier

Tue, 14/08/2018 - 19:51
GENES (Italie) – Le bilan des morts dans l’effondrement d’un viaduc autoroutier à Gênes, en Italie, s’est alourdit à 30 morts, a annoncé mardi le ministre italien de l’Intérieur, Matteo Salvini.

« Je remercie les pompiers, les secouristes professionnels et bénévoles qui sont intervenus dès la première minute et sont encore en train de creuser et de sauver des vies. Malheureusement, il y a une trentaine de morts confirmés et beaucoup de blessés graves », a déclaré M. Salvini lors d’un point presse à Catane, en Sicile.

Il a ajouté prendre « l’engagement devant les Italiens d’aller au bout pour déterminer les responsabilités d’un désastre inacceptable parce que ce n’est pas possible de travailler et mourir comme ça en 2018 ».

« Ce pont je suis passé dessus des centaines de fois, mais désormais je ferai tout pour avoir les noms des responsables passés et présents. Il est inacceptable de mourir comme ça en Italie », a souligné M. Salvini.

Le ministre de l’Intérieur a aussi évoqué les investissements nécessaires pour faire face à la vétusté générale de nombreuses infrastructures italiennes.

Auparavant, le vice-ministre des Infrastructures, Eduardo Rixi, avait affirmé qu’au moins 22 personnes sont mortes dans l’effondrement d’une portion de viaduc de l’autoroute A10 à Gênes, tout en précisant que ce bilan risque de s’alourdir.

Une longue portion d’un viaduc de l’autoroute A10 s’est effondrée mardi à Gênes, dans le nord de l’Italie.

Les images de télévision montrent des dizaines de secouristes s’activant autour de carcasses de camions et de voitures précipités dans le vide, sur une soixantaine de mètres.

Selon les pompiers, le pont dit Morandi s’est effondré mardi vers 12H00 (10H00 GMT). « Les équipes des pompiers sont engagés en masse, les équipes de recherches et cynophiles sont activées », avaient-ils annoncé plus tôt sur Twitter.

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Comment protéger les travailleurs dans une économie ouverte

Tue, 07/08/2018 - 11:54

Par Robert J. Shiller*

NEW HAVEN – Seulement 39% des Américains approuvent la décision de Donald Trump de taxer bien plus lourdement les importations, et 56% s’y opposent. C’est ce que rapporte un sondage Washington Post/Schar School publié le 11 juillet. L’opposition de la majorité des Américains sur ce sujet sensible est un élément positif, mais cela n’empêche pas Trump d’aller de l’avant, pensant sans doute que l’opinion publique approuvera ces taxes lorsqu’elles seront appliquées. On peut néanmoins se demander pourquoi 39% des Américains approuvent cette mesure. Depuis la Grande dépression, la Deuxième Guerre mondiale et l’Accord général de 1947 sur les tarifs douaniers et le commerce, les USA (tant l’Etat que la population) sont de farouches partisans du libre-échange.

Dans son livre de 1976, La richesse des nations, Adam Smith faisait une plaidoirie convaincante en faveur du libre-échange, par opposition aux distorsions commerciales qu’introduisent les taxes douanières. Le libre-échange permet à l’économie de prospérer, car dans ce cadre les biens et les services proviennent des pays qui sont les mieux à même de les produire ou de les dispenser. Les faits confirment ce point de vue. Deux économistes, Jeffrey Frankel et David Romer, ont montré que c’est le libre-échange qui génère la croissance, et non le contraire.

Dans ces conditions, pourquoi une partie non négligeable de l’opinion publique américaine approuve-t-elle la guerre commerciale que lancent les USA ? Cela tient sans doute à la précarisation de l’emploi qui accompagne le libre-échange, et au sentiment d’injustice ressenti par les perdants. La plupart des gens ne veulent pas de charité. Les électeurs américains se sont montrés favorables à l’idée de «rendre sa grandeur à l’Amérique», mais ils étaient réticents quant à la proposition d’Obama de «diffuser la richesse un peu partout».

En 1982, un politologue, John Ruggie, a défendu l’idée que le multilatéralisme de l’après-guerre et le libre-échange résultaient d’un compromis entre interventionnisme et libéralisme, le «libéralisme intégré». Un système multilatéral et des taxes douanières faibles sont acceptables sur le plan politique dans la mesure où l’Etat intervient pour stabiliser l’économie au profit des citoyens.

En 1998, un autre économiste, Dani Rodrik, a fourni des éléments en faveur de la thèse de Ruggie. A partir de données portant sur 125 pays différents, il a mis en évidence une corrélation positive entre le degré d’ouverture économique d’un pays et la part des dépenses publiques dans son PIB. Autrement dit, plus une économie est ouverte, plus la part du service public dans le pays est importante. Contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, l’Etat intervient beaucoup dans les pays les plus ouverts aux échanges commerciaux.

Les dépenses publiques dépassent largement le budget consacré aux indemnités-chomage qui existent dans beaucoup de pays ou au programme américain Trade Adjustment Assistance. Ce dernier permet aux travailleurs qui ont perdu leur emploi en raison du libre-échange de recevoir des indemnités en attendant de retrouver un travail. Obama voulait étendre cette aide qui a commencé avec une loi de 1962 (le Trade Expansion Act) en créant une assurance-salaire. Mais même cette modeste proposition n’a pas été adoptée.

Dans mon livre publié en 2003, The New Financial Order [Le nouvel ordre financier], je propose la création d’une assurance privée contre les pertes de salaire. Son coût dépendrait du métier et de la formation du souscripteur. Elle garantirait un minimum vital à long terme si nécessaire. Cela faciliterait la prise de risque sur le marché de l’emploi et favoriserait la croissance. Mais cette idée n’est pas appliquée.

Il serait difficile à l’Etat d’offrir ce type de garantie, car si elle protège contre les pertes d’emploi liées au libre-échange, cela passerait pour de la redistribution. C’est notamment le cas dans le contexte du libre-échange, car il s’inscrit dans le long terme. Une perte d’emploi dans la métallurgie aux USA en raison d’une fermeture d’usine peut sembler sans espoir. Il est difficile d’imaginer que l’Etat indemnise pendant des décennies les travailleurs licenciés.

Aujourd’hui, avec la mondialisation qui semble installée pour longtemps et les inégalités qui se creusent un peu partout, les gens se sentent de plus en plus en situation d’insécurité économique à long terme. Il faut trouver le moyen de les protéger contre les risques inhérents au marché mondial sans les placer dans une position humiliante.

Heureusement, le plus souvent, une redistribution en nature ne passe pas pour de la charité envers les déshérités. Quand l’Etat investit l’argent des contribuables dans l’éducation publique ou dans la santé, on ne considère généralement pas qu’il s’agit de redistribution, car tout le monde peut bénéficier des services financés de cette manière. En général la population accepte ce type de financement, car il semble patriotique. Dans la mesure où tout le monde peut bénéficier des écoles et des hôpitaux publics, l’opinion publique ne considèr pas la redistribution comme de la charité.

Autre solution, l’Etat pourrait encourager la souscription d’assurances privées contre les pertes de revenus en cas de perte d’emploi liée au commerce extérieur. Les compagnies d’assurances privées en concurrence entre elles et soumises à une réglementation appropriée feraient sans doute preuve de la créativité voulue pour gérer les risques que le libre-échange fait peser sur les travailleurs.

La guerre commerciale lancée par Trump est une tragédie internationale. Mais son issue pourrait être positive si nous prenons conscience des risques que le libre-échange fait courir à la population et si nous améliorons les mécanismes destinés à la protéger.

Traduit de l’anglais par Patrice Horovitz
Prix Nobel d’économie 2013 – enseigne l’économie à l’université de Yale aux USA. Il a écrit avec George Akerlof un livre intitulé Phishing for Phools: The Economics of Manipulation and Deception

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Mostaganem: Le poulet à 450 DA le kilo

Tue, 07/08/2018 - 11:30

Par Djamel Ayache

La viande ovine à 1.200 DA le kg et la bovine à 1.000 DA kg, le poulet n’est, désormais, plus le refuge du consommateur à faible revenu, puisque le kilo de viande blanche a atteint, ces derniers jours, dans la wilaya de Mostaganem, 450 DA, dans plusieurs points de vente, alors qu’il était cédé il y a 3 semaines à 300 DA le kg.

Des consommateurs surpris par la cherté du produit ont souligné ne plus acheter de poulet à ce prix, alors qu’il était considéré, auparavant, comme la viande du pauvre par excellence.

D’aucuns expliquent cette envolée des prix de la volaille, durant cet été, par la forte demande exercée sur ce produit, principalement, sur le littoral mostaganémois, avec notamment le flux important de visiteurs et aussi la forte consommation dans les hôtels, dans les campings et aussi les mariages.

Un ex-aviculteur de la localité de Bouguirat explique, quant à lui, cette flambée, par l’arrêt des élevages de poulet de chair, depuis le mois de juin dernier par les éleveurs ne disposant pas pour la plupart des bâtiments d’élevage répondant aux normes requises (ventilation, aération et autres) afin d’éviter d’enregistrer des pertes sèches dues à la chaleur, à l’intérieur des espaces d’élevage.

Un ex-cadre à l’ORAVIO atteste, quant à lui, que la filière volaille traverse une période de turbulence. L’augmentation du prix du poussin de 30% par rapport à l’année dernière, puisqu’il est cédé à 130 DA l’unité et aussi la flambée du prix de l’aliment de volaille o,t contraint des dizaines de petits éleveurs à abandonner carrément la profession, à défaut de moyens financiers, puisque une bande d’élevage de 4.000 poussins nécessite un investissement d’au moins 60 millions de centimes.

A noter que le poulet rôti est proposé ces jours-ci, à Mostaganem, entre 750 et 800 DA l’unité, une augmentation de 30%, par rapport au mois de juin dernier. Par ailleurs, et à l’approche de l’Aid El-Adha, la demande sur la viande blanche devrait, sensiblement, diminuer et le citoyen se tournera vers la viande rouge, ce qui fera que les prix connaîtront un fléchissement sensible, pendant au moins 15 jours.

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Mascara: Le nouveau Plan de circulation approuvé

Tue, 07/08/2018 - 11:29

Par Mohamed Belkecir

  Le Plan de circulation qui doit soulager la ville de Mascara de ses nombreuses contraintes, vient d’être achevé et approuvé par la wilaya. Il a été réalisé par le ‘Betur’, une filiale de l’entreprise du «Metro d’Alger».

Actuellement, il est pris en charge par les services de l’APC qui se sont lancés dans les travaux pour l’aménagement des tronçons routiers urbains, conformément à la conception du nouveau schéma. Dans la ville, il est remarqué des chantiers qui s’érigent, ici et là, pour prolonger ou diminuer de la longueur des voies, boucher les issues parasites, placer des plaques de signalisation et réglementer le stationnement; en somme, c’est toute la circulation qui est en voie de réorganisation surtout au centre-ville qui suffoque par les encombrements automobiles. Dans ce volet, un second parking sous-terrain, attenant au siège de la wilaya, vient d’ouvrir ses portes pour abriter quelque 300 véhicules.

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Tlemcen: La Sogerhwit sur de bons rails

Tue, 07/08/2018 - 11:27

Par Khaled Boumediene

La Société générale de travaux hydrauliques de Tlemcen (Sogerhwit) a été, récemment, retenue parmi un consortium d’entreprises de grande renommée, tels que Cosider, Tahraoui (Biskra), Chiali (Sidi Bel-Abbès) et Haddad (Alger), pour la réalisation des travaux d’un important projet hydraulique de transfert des eaux albiennes du champ de captage de la région de Béni-Ounif vers le chef-lieu de wilaya de Bechar.

Outre, cette percée dans le sud du pays qui la positionne, incontestablement, sur un socle solide et la place, aujourd’hui, au premier rang des entreprises de travaux hydrauliques, dans le pays, la Sogerhwit (Plus de 1.200 employés et 80 ingénieurs), a décroché, coup sur coup, d’importants marchés de travaux hydrauliques, dans les localités de Sétif, Mila, Tarf, Annaba, Alger, Naâma, Laghouat, Relizane, Méchéria, Ain Sefra, Mascara, Mostaganem, Sidi Bel-Abbès, Boutelilis, Bou-Sfer et Tlemcen. Elle s’est vue confiée des travaux d’assainissement, des grands travaux d’adduction en eau potable (AEP), des projets de châteaux d’eau, des stations d’épuration et des stations de lagunage naturel, la rénovation des réseaux AEP, ainsi que d’autres travaux de génie civil, drainage, retenues collinaires et petits barrages.

L’entreprise réalise, aussi, des activités secondaires notamment, la production de divers agglomérés, la production du béton prêt à l’emploi, la fabrication des pièces de chaudronnerie et fabrication mécanique, les prestations de matériels de transport et engins de chantier. Les activités de production sont, essentiellement, développées pour les besoins propres de l’entreprise. Il faut dire, que la Sogerhwit, a échappé au spectre de la disparition et au vent de dissolution qui a soufflé sur de nombreuses entreprises de petite taille de la wilaya de Tlemcen (Socomet, Somewit, Sotrawit, Batiwit, Entrebatp, Siriwit, etc.). « Au début notre seul objectif était d’assurer la survie de l’entreprise, face aux secousses et bouleversements économiques qui nous menaçaient, à chaque stade et à tout moment. On avait de grandes difficultés et il fallait, donc, résister à la transformation radicale de notre environnement économique.

Ça n’a pas été facile, croyez-moi, car il fallait beaucoup de moyens humains, financiers, matériels et tout un ensemble de règles, règlements, méthodes efficaces et des structures pour le faire. Dieu merci, on a pu sauver l’entreprise grâce à la volonté et la mobilisation de tous les dirigeants, cadres, techniciens et employés, qui ont su relever ce défi, dans un contexte de mondialisation et de globalisation irréversible de l’économie et de la concurrence. Dès lors, un deuxième défi devait, nécessairement, être relevé, celui de : comment assurer la pérennité et rendre l’entreprise performante. Il fallait s’insérer, activement, dans le marché national et même concurrencer les entreprises publiques et privées. On oublie, souvent, qu’une bonne gestion, commence par une prise de conscience de tout le personnel, de l’importance de l’existence de l’entreprise, qui assure les salaires et promeut les employés et leurs familles.

Le problème essentiel qui devait être résolu est de trouver de nouvelles ressources, innover, embaucher du nouveau personnel compétent et créatif, entretenir ses réseaux et avant tout confier, voire déléguer, les ressources et les pouvoirs aux personnes les mieux placées, dans l’organisation de l’entreprise pour accomplir les missions attendues.

Il fallait également, entretenir des relations d’affaires avec la clientèle, la banque ou les fournisseurs, et mettre à niveau notre système d’information, de gestion, de production et de l’environnement des affaires.

De même, le développement de la ressource humaine et des valeurs éthiques, reste l’un des principaux moyens d’aller de l’avant, en vue d’assurer une économie productive, et améliorer notre performance et notre compétitivité sur le marché intérieur», a notamment affirmé, à notre journal, le président-directeur général de la Sogerhwit de Tlemcen, Ramdani Mohamed (Titulaire d’un master en management, mathématiques et en informatique, ingénieur d’Etat en informatique), et ce, en marge du 45ème anniversaire de la création de la Sogerhwit.

Par ailleurs, pour contrôler ses méthodes de travail et harmoniser ses pratiques et opérations, la Sogerhwit s’est lancée dans un vaste parcours de certification, en mettant en place un système de management de la qualité. Selon le responsable des ressources humaines, Abdelkader Debbal, et la responsable du management et qualité, Mme Touileb Houria, la Sogerhwit est certifiée à la norme ISO 9001, version 2008 et ISO 9001, version 2015. Selon eux, un audit est en cours par la Sarl ‘MOODY Algérie’ pour la mise en place d’une approche par risque, procédures claires et documents types.

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Sidi Bel-Abbès: Deux postes électriques en cours de réalisation

Tue, 07/08/2018 - 11:22

Par M. Delli

Par ces temps de grande canicule et une demande, sans cesse grandissante, en énergie électrique, Sonelgaz s’efforce de mettre tous les moyens humains et matériels pour lutter contre les coupures et les pannes imprévisibles sur son réseau électrique.

Dans un communiqué, rendu public par la SDC de Sidi Bel-Abbès, il est relaté que «des actions ont été entreprises, en matière d’investissement et d’entretien du réseau». On signale la mise en place «d’une organisation du personnel et une planification dans les interventions».

Ainsi a-t-on précisé « le programme d’investissement 2018, lancé par la direction de Sidi Bel-Abbès a permis de réaliser 29 projets, avec une consistance de réseau de 31 km et la création de 04 postes de distribution pour assurer et améliorer la qualité de service du réseau électrique, pour un montant financier de 100 millions de DA». Toujours dans le cadre de l’investissement et sur le long terme, la direction de Sonelgaz de Sidi Bel-Abbès a prévu, selon les termes du communiqué «la réalisation de nouvelles sources d’alimentation en énergie électrique dont 2 sont en cours de réalisation à savoir: le poste 60/30 kv Pack’ Belarbi et le poste 60/30 kv Pack ‘Benbadis’.

La SDC conclut son communiqué, en indiquant que « les usagers n’ont pas été privés d’électricité, en cette période de canicule », à l’exception de quelques coupures enregistrées en fin de semaine écoulée dans plusieurs quartiers de la ville.

Pour cela, dit-on le risque zéro n’existe pas puisqu’il s’agit de plusieurs facteurs techniques qui peuvent être à l’origine des pannes qu’il faudra réparer en un temps record.

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Cherté du mouton : Les prix dépassent d’au moins 15 000 DA ceux pratiqués dans les zones d’élevage d’ovins

Tue, 07/08/2018 - 11:22
Écrit par Bouzid Chalabi

En prévision de l’Aïd El Adha, le ministère du Commerce vient de finaliser les listes des commerçants qui assureront la permanence durant les jours fériés. Ils sont au total 500 800, dont 5 500, boulangers à être concernés par ce dispositif.

Ces listes, selon le président de l’Union nationale des commerçants et artisans algériens (UNCAA), Hadj Tahar Boulanouar, vont être transmises à toutes les grandes communes du pays pour les diffuser sur la voie publique. Le but étant, d’après Boulanouar, de renseigner les consommateurs qui des détaillants et des boulangers seront ouverts dans leur parage pendant les jours de l’Aïd. Ce dernier, lors d’un point de presse, animé hier en son siège à Alger, en compagnie du chargé de la communication auprès de la Fédération nationale des éleveurs d’ovins, Bouzid Salmi, a fait remarquer, toujours à propos des permanences de l’Aïd, que «la diffusion des listes des permanences des commerces sur la voie publique est en soi une initiative louable, puisqu’elle va permettre de savoir où se trouvent les points de vente, notamment les boulangeries, les plus proche. Contrairement aux Aïds précédents où le consommateur devait se déplacer sans pour autant être sûr de s’approvisionner». Concernant la disponibilité des fruits et légumes avant l’Aïd et les jours d’après, le président de l’UNCAA n’est pas allé par quatre chemins. «Il faut s’attendre à une hausse des prix pour la simple raison qu’au niveau des marchés de gros de fruits et légumes l’activité va baisser, comme il est devenu d’usage à la veille de chaque Aïd», dira-t-il, précisant que «les collecteurs qui approvisionnent les marchés cessent toute activité les jours qui précèdent l’Aïd et ne la reprennent que bien plus tard. Un arrêt qui dégarnit les carrés des mandataires et du coup les prix augmentent».

Silence radio sur la mise en place de points de vente

De son côté, le porte-parole de la Fédération nationale des éleveurs d’ovins n’a pas caché, dès l’entame de son intervention, son étonnement sur le fait « qu’à deux semaines de la célébration de l’Aïd, et contrairement aux trois années précédentes, c’est le silence radio sur la mise en place de points de vente de béliers aux alentours des grands centre urbains. Nous espérons que le ministère de tutelle réagisse au plus vite car ces espaces sont d’un double intérêt. Primo seuls les vrais éleveurs sont autorisés à y prendre place et, partant, les acheteurs n’ont pas affaire à des vendeurs occasionnels. Deuxièmement, tous les béliers proposés à la vente ont fait l’objet d’une inspection vétérinaire». Toujours au sujet de l’intérêt de la mise en place de ces points de vente, Salmi a tenu à faire savoir que «de nombreux éleveurs souhaiteraient savoir au plus vite si des espaces de vente seront mis à leur disposition, car sur ces lieux, ils sont sûrs d’écouler un maximum de moutons. C’est d’autant plus primordial dans la mesure où cette année l’offre est très importante. Je peux même avancer qu’elle dépasse d’au moins 600 000 têtes de bélier celle de l’année dernière. A partir de cette donne, j’estime qu’il est urgent que les parties autorisées à ouvrir des points de ventes le fassent au plus vite». Interrogé sur la cherté des mérinos, Salmi a été catégorique dans sa réponse : «Je peux vous affirmer, aujourd’hui, qu’après avoir pris connaissance de visu suite à mes visites dans de nombreux points de vente clairsemés ici et là au niveau de la wilaya d’Alger, que les prix pratiqués dépassent d’au moins 15 000 DA ceux pratiqués dans les zones d’élevages d’ovins. Un écart de prix que j’ai aussi découvert sur les étals des bouchers de la capitale. Le gigot de bélier est affiché dans les zones pastorales autour des 800 DA alors qu’ici, le même quartier de viande est proposé à partir des 1 400 DA, soit presque le double. C’est à n’y rien comprendre.» Et de poursuivre dans ce sens : «Pour ceux qui insistent à dire que même au niveau des zones pastorales le mouton reste cher, je les invite à partager le quotidien des vrais éleveurs pendant quelques jours pour qu’ils réalisent que le coût de revient de l’élevage d’un mouton reste élevé, sans compter la pénibilité et les souffrances que subissent chaque jour les bergers. Des contraintes et parfois des risques qui justifient le prix du mouton en âge d’être proposé à la vente.» Et pour clore ce chapitre de la cherté du mouton, le chargé de la communication de la fédération a indiqué aux médias que «chez nos voisins tunisiens et marocains, le prix du mérinos tourne autour des 200 euros. A vous de déduire si notre mouton est vraiment cher ou pas». Enchaînant sur le même sujet, le président de l’UNCAA considère que les prix pourraient baisser pour peu que notre cheptel ovin augmente en nombre suffisant. «C’est à la portée du pays, compte tenu de l’immensité des terres pastorales dont il dispose, sans compter les hectares à défricher et qui pourraient abriter des zones d’élevage intensif», estime-t-il.

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Au revoir les championnats d’Afrique d’athlétisme au Nigeria, bonjour Alger 2020 : Bouraâda et Lahoulou qualifient l’Afrique à la Coupe intercontinentale 2018

Tue, 07/08/2018 - 10:53
Écrit par Saïd B

L’Algérie a remporté trois médailles dont deux en or grâce à Larbi Bouraâda (décathlon) et Abdelmalik Lahoulou (400 m haies) et une en bronze, œuvre de Mohamed-Yasser Tahar Triki, 3e dans le concours du triple saut,

à l’issue des championnats d’Afrique d’athlétisme qui viennent de prendre fin à Asaba (Nigeria) avec la consécration de l’Afrique du Sud.

Cette moisson de trois médailles seulement dont deux en or est vraiment maigre pour une discipline qui, jadis, constituait, une des fiertés du sport algérien.

D’ailleurs faut-il faire remarquer au passage qu’avec 14 athlètes engagés dans ces joutes, l’Algérie était absente dans plusieurs spécialités dont celles du 1500 m, le sprint, les 5 000, le 10 000 m et la hauteur, qui étaient pourvoyeuses de médailles pour notre pays.

Si les trois athlètes algériens médaillés seront primés comme vient de l’annoncer le Comité d’organisation de cette édition 2018 des championnats d’Afrique seniors d’athlétisme d’Asaba, au Nigeria, deux seulement seront présents à la Coupe intercontinentale à Ostrava les 8 et 9 septembre prochain. En effet, selon les règlements, les deux meilleurs athlètes de chaque épreuve représenteront l’Afrique à la Coupe intercontinentale à Ostrava en République Tchèque.

Ce qui veut dire que Larbi Bouraâda (décathlon) et Abdelmalik Lahoulou (400 m haies) représenteront donc l’Afrique et bien évidemment l’Algérie dans ces joutes en République tchèque qui réuniront quatre équipes continentales, à savoir l’Afrique, l’Amérique, l’Europe et l’Asie-Océanie.

3 000 dollars de prime pour Lahoulou et Bouraâda et 1 000 dollars pour Triki

Le comité d’organisation de ces championnats d’Afrique a annoncé avoir décidé de primer les athlètes ayant remporté des médailles lors de cette compétition qui a pris fin dimanche à Asaba, au Nigeria.

Ainsi, une médaille d’or sera primée à 3 000 dollars, soit un peu plus de 1 500 000 francs CFA et une médaille d’argent à 2 000 dollars, environ un million CFA, contre 1 000 dollars, environ 500 000 francs CFA, pour une médaille de bronze.

En d’autres termes, les deux médaillés d’or algériens, Larbi Bouraâda (décathlon) et Abdelmalik Lahoulou (400 m haies) recevront 3 000 dollars de prime chacun. Quant à Mohamed-Yasser Tahar Triki, médaillé de bronze au triple saut, recevra une prime de 1 000 dollars. Le comité d’organisation a justifié cette décision d’octroyer des primes aux médaillés par la nécessité de «relever les standards» des compétitions africaines.

Par contre, la Confédération africaine d’athlétisme (CAA) n’a pas avalisé la décision des organisateurs de primer les athlètes médaillés, arguant d’éviter d’instituer une pratique qui peut devenir un boulet pour les pays candidats à l’organisation des futures éditions des championnats d’Afrique seniors d’athlétisme. Durant cinq jours, les meilleurs athlètes africains de la discipline se sont affrontés à Asaba, capitale de l’État du Delta au Nigeria. Toutes les épreuves prévues au programme ont finalement eu lieu, malgré des débuts difficiles au Nigeria, organisateur de l’événement pour la deuxième fois depuis 1989. A la veille de la compétition, de nombreux compétiteurs ont en effet dû attendre de longues heures, même plusieurs jours pour certains, à l’aéroport de Lagos, faute de vols vers le lieu des championnats. Une situation qui a eu pour conséquence le report du début des épreuves, prévues mercredi matin, alors que neuf délégations n’avaient toujours pas rejoint Asaba. Et c’est l’Afrique du Sud qui a finalement plané sur ces championnats d’Afrique en terminant à la première place du classement général devant, respectivement le Nigeria et le Kenya.

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Planche à billets : Créer de la monnaie sans inflation, le défi de la Banque d’Algérie

Tue, 07/08/2018 - 10:48
Écrit par Hakim Ould Mohamed

Comment continuer à vivre par l’apport de la planche à billets en cash sans provoquer de tensions inflationnistes susceptibles de remettre en cause les scénarios initialement conçus par l’Exécutif ? Telle est le défi auquel est confrontée la Banque centrale à l’heure où la quiétude observée depuis quelques mois sur le marché pétrolier risque d’être perturbée par les tensions géopolitiques et les conflits commerciaux auxquels s’adonnent les principales puissances de la planète.

Après les chiffres alarmants contenus dans les situations mensuelles de la Banque d’Algérie, levant le voile sur des tirages de monnaie culminant à 3 585 milliards de dinars d’octobre 2017 à fin mars 2018, des observateurs pensent que le rythme avec lequel évolue le volume de monnaie créée ne sera d’aucune conséquence sur l’inflation.

D’autant plus que les besoins de financement de l’actuel exercice, les niveaux des déficits et de la dette interne plaident pour une nette hausse du montant des tirages par le moyen de la planche à billets. La Banque centrale le sait très bien. Elle garde la main appuyée sur certains leviers avec lesquels elle compte stériliser les quantités de billets créés si celles-ci venaient à se transformer en facteur d’inflation. La reprise des liquidités et la hausse des réserves obligatoires des banques en sont parmi les leviers. Ils sont déjà actionnés aux fins de limiter le volume des liquidités en circulation dans le circuit bancaire.

Le défi de stabilisation du niveau de la masse monétaire n’est pas si facile à relever à moyen terme, d’autant plus que le gouvernement semble décidé à faire de la planche à billets un instrument de financement sur le court et le moyen termes, en attendant qu’une éclaircie pointe à l’horizon du marché pétrolier. Les économistes n’ont pas manqué de mettre en garde quant à un usage prolongé de la planche à billets. De l’avis des experts du Fonds monétaire international (FMI), le financement monétaire des déficits budgétaires pourrait certes offrir un répit à l’économie à court terme, mais également faire peser des risques considérables sur les perspectives économiques de l’Algérie. Dans le dernier rapport de l’institution de Bretton Woods sur l’Algérie, publié le 16 juillet dernier, les experts de Washington encouragent les autorités à se tenir prêtes à durcir la politique monétaire si des tensions inflationnistes se manifestent.

Ils déconseillent le financement monétaire du déficit, «mais si celui-ci se poursuit», ils soulignent «la nécessité de mettre en place des mesures de sauvegarde pour en atténuer l’impact négatif, dont des limites temporelles et quantitatives», lit-on dans le dernier rapport du FMI sur l’Algérie. Ses experts n’ont pas manqué de saluer l’engagement de la Banque centrale à stériliser, le cas échéant, les liquidités apportées par le financement monétaire. Ils savent que l’effort de stérilisation mené par la Banque d’Algérie est pour le moins vital, à même de contenir l’inflation à des niveaux soutenables. Tout l’enjeu est là.

Et l’institution de Mohamed Laksaci sait qu’elle doit impérativement réussir son exercice afin d’éviter au pays les conséquences néfastes de la planche à billets. Une chose est sûre, le financement non conventionnel n’a pas profité jusqu’ici à la croissance, qui est restée molle au premier trimestre de l’année en cours (1,3%) malgré les budgets qui lui ont été alloués cette année. Quoi qu’il en soit, la planche à billets ne doit pas être une fin en soi, mais doit s’accompagner de réformes budgétaires et économiques.

Le gouvernement est condamné à prendre des mesures d’assainissement des finances publiques, d’amélioration de l’efficience et de la gestion des dépenses publiques, de diversification des ressources de revenus, de réforme des subventions, d’amélioration du climat des affaires… La Banque centrale a fait savoir qu’il était de son devoir de lutter contre d’éventuelles tensions inflationnistes que pourrait provoquer la planche à billets, mais qu’il était néanmoins indispensable de mener des réformes budgétaires.

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Oum El Bouaghi : La ville croule sous les ordures !

Tue, 07/08/2018 - 10:44
Écrit par  Kader M. 

Le défaut d’hygiène et de la propreté régnant dans la ville en cette saison estivale marquée par la prolifération remarquable des moustiques constitue un souci majeur pour la population du chef-lieu de wilaya.

Pourtant, il n’y a pas longtemps une initiative de volontariat pour le nettoiement a été initiée par le chef de l’exécutif pour chaque week-end et à laquelle ont adhéré de nombreux citoyens. La ville croule sous les ordures actuellement et la situation persistera encore tant que l’absence de la société civile, du mouvement associatif et autres associations de quartier, censés créer une dynamique en matière d’initiatives (protection de l’environnement, valorisation du patrimoine culturel, participation à l’embellissement de la ville et autres), est remarquée. Lesquelles associations apparaissent par enchantement lors de certaines occasions à l’exemple du mois sacré, pour disparaître après. Dans ce sillage, exception faite pour certaines artères principales donnant pignon sur des infrastructures publiques, les autres quartiers et cités de la ville dont la population dépasse les 80 000 habitants demeurent jonchés d’ordures entassées depuis longtemps.

Ces dernières dégageant des odeurs nauséabondes sont fréquentées par toutes sortes d’insectes, chats et chiens errants, au demeurant vecteurs de pathologie diverses. Même les agents municipaux de la voirie se contentent uniquement de ramasser les sachets poubelles lors du passage du camion et laissent sur place toutes sortes d’immondices éparpillées. L’époque où des agents municipaux étaient affectés par la municipalité pour ne rien laisser après le passage du camion de poubelle et la propreté et l’hygiène de la ville d’Oum El Bouaghi qu’on citait comme exemple sont révolues malheureusement pour céder la place à une cité croulant sous les ordures, abandonnée la nuit aux chats et chiens errants. La situation du manque d’hygiène est telle que les citoyens sont victimes de piqures de moustiques de toutes sortes à l’intérieur même des domiciles. Cela se passe au moment où l’opération démoustication n’a pas eu lieu au chef-lieu de wilaya et la prolifération du moustique «Tigre» est d’actualité dans d’autres régions du pays.

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Bouira: Plus de 180 incendies en un mois

Tue, 07/08/2018 - 10:41

Par Farid Haddouche

Les unités de la Protection civile ont enregistré 183 incendies de différentes natures qui se sont produits tout le long du mois de juillet.

Nous trouvons parmi ses incendies déclarés 53 feux qui ont touché des superficies agricoles, provoquant la destruction de 320 arbres fruitiers, 2800 bottes de foin et 62.96 hectares de céréales. 7 incendies se sont déclarés dans les espaces forestiers et ont ravagé une superficie totale de 1500 hectares de territoire forestier.

On dénombre également 9 incendies de véhicules et 6 feux dans des groupes électriques, 7 incendies domestiques et 6 incendies dans des dépôts. 7 personnes ont été atteintes lors des interventions. Il s’agit de 3 personnes qui ont été brûlées, 3 autres asphyxiées et une personne légèrement blessée, d’après les indications de la Protection civile.

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Constantine – Les hôpitaux manquent de sang

Tue, 07/08/2018 - 10:40

Par A. E. A.

L’été, particulièrement au mois d’août, les donneurs de sang ne sont pas nombreux, fera savoir avec regret la directrice par intérim du secteur de la santé dans la wilaya, Linda Boubguira. Les gens sont moins mobilisés pour les questions de solidarité, dira-t-elle, ils se retrouvent, saison estivale oblige, plus préoccupés par leur départ en vacances et par les soucis liés aux mariages de proches etc. alors que les malades sont toujours là, ils n’ont ni la tête à festoyer ni la capacité de prendre des vacances ; ils ont un gros besoin de quelques gouttes de sang.

En tout cas, selon notre interlocutrice, sans que la situation soit dramatique, il y a lieu de souligner que les hôpitaux enregistrent un manque flagrant de poches de sang, surtout en cette période d’été.

Les groupes de sang rhésus négatif et même positif, sont les bienvenus, estime-t-elle. Sans oublier, ajoute-t-elle, les plaquettes de sang dont le cas est assez particulier dans le sens où en plus de la durée limitée de leur conservation, il y a lieu d’indiquer qu’il faut douze (12) donneurs pour satisfaire les besoins d’un seul malade et cela pour juste une prise.

Quoi dire, lorsqu’il s’agit de malades, ou d’accidentés de la circulation ou de femmes sur le point d’accoucher qui ont besoin de sang ? Notre interlocutrice invitera, ainsi, les donneurs, surtout les «réguliers», à faire montre de plus de solidarité et d’humanité, particulièrement lors des jours de l’Aïd El-Adha, qui coïncide avec un long week-end. Elle signalera à cet effet que les prélèvements de sang se font dans tous les hôpitaux, des bus et camions de transfusion sanguine, qui sont stationnés au centre-ville et à la nouvelle ville de Ali-Mendjeli, mais également devant les mosquées, surtout lors de la prière du vendredi.

La directrice par intérim de la DSP renouvelle son appel aux donneurs de sang, de le faire de façon régulière, car si «on ne peut pas acheter le sang qui demeure un don des bien portants», être un donneur régulier permet de constituer une sorte de banque de sang qui répond à l’appel et qui est très indiquée dans pareilles conditions.

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Bouira: 10 morts sur les routes

Tue, 07/08/2018 - 10:40

Par Farid Haddouche

190 accidents de la circulation se sont produits sur le réseau routier de la wilaya de Bouira. Selon un bilan mensuel de la Protection civile, ces accidents ont fait 10 morts et 299 blessés. Parmi les accidents déclarés 81 sont survenus sur les routes nationales, 49 sur l’autoroute Est-Ouest, et 60 sur les chemins de wilaya et les chemins communaux.

Le non-respect du code de la route dont les dépassements dangereux, le franchissement des lignes continues, l’état des véhicules et des routes, sont à l’origine de ces accidents, a-t-on constaté.

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Constantine – Ralentissement des travaux sur les chantiers du BTP: Risque de non-respect du délai de livraison des écoles

Tue, 07/08/2018 - 10:35

Par Abdelkrim Zerzouri

Le mois d’août est réputé synonyme de ralentissement de la cadence de travail pour un grand nombre de secteurs, mais sur les chantiers du BTP c’est parfois le frein sec.

Le taux de réalisation n’enregistre aucune avancée par rapport aux mois précédent. L’Aïd El-Adha viendra cette année prolonger encore l’arrêt des chantiers jusqu’après le 24 août, avouent des entrepreneurs et des maîtres d’ouvrages, qui s’inquiètent sérieusement de cet arrêt. Les chantiers du BTP sont à la veille d’importants rendez-vous fixés par les autorités pour réceptionner et distribuer des centaines de logements, ainsi que des établissements scolaires qui doivent impérativement être fonctionnels à la rentrée 2018/2019. Si pour les chantiers de logements il n’y a pas trop de soucis à se faire, puisqu’on peut procéder à une distribution solennelle de logements au profit de quelques bénéficiaires en attendant de finir les travaux qui restent encore en suspens, le chantier des établissements scolaires, lui, ne peut pas se permettre des délais supplémentaires. La rentrée n’attendra pas avec ces centaines d’élèves qui vont y affluer dès le 5 septembre. Normalement, selon les récentes déclarations du directeur de l’Education, de nombreuses écoles primaires sont inscrites sur le chapitre de la réception le 20 août prochain, à Ali-Mendjeli et Massinissa notamment, deux agglomérations qui ont connu une forte arrivée de nouveaux locataires.

Le directeur de l’Education n’a pas pu cacher son inquiétude au sujet de l’achèvement des travaux de ces nouvelles écoles. A cause, justement, des départs massifs des travailleurs en congé, et l’Aïd El-Adha, qui va certainement prolonger les vacances sur les chantiers. En plus de la fermeture de nombreux établissements qui approvisionnent les chantiers (les fournisseurs), du départ en congé des chefs d’équipes et des manœuvres, les employeurs, eux-mêmes, partent en vacances et laissent les chantiers presque à l’abandon, juste quelques travailleurs pour ne pas fermer les portes des entreprises. Histoire de donner l’impression d’un semblant d’animation sur le chantier, mais au fond rien ne marche convenablement, avoue un gardien qu’on a fraîchement recruté pour garder un œil sur le matériel.

Il y en a quelques entrepreneurs qui tentent de respecter le délai de réalisation des projets qu’ils ont sous la main, mais ils rencontrent des difficultés énormes pour garder le personnel en activité. Les travailleurs qui ont trimé tout au long de l’année tiennent absolument à profiter de leur mois de congé, et sur le marché de l’emploi, la main-d’œuvre qui est très rare tout au long de l’année est inexistante en ce mois d’août, relèvent des entrepreneurs. Le wali qui avait l’habitude de secouer la torpeur sur les chantiers en organisant des sorties hebdomadaires, n’est plus là pour le faire, car lui également se trouve en congé depuis le début du mois d’août. Pratiquement, tous les responsables sont en congé durant cette période, la première quinzaine du mois d’août, puisque la deuxième quinzaine de ce mois de vacances sera bloquée par la célébration de la fête de l’Aïd El-Adha.

Les travailleurs, y compris les responsables, préfèrent consommer leurs congés avant le 20 août, car l’Aïd El-Adha, annoncé le 22 août, se fête en famille, exigeant un retour au bercail de tous les vacanciers. Retour au bercail mais pas au travail, car la fête religieuse est synonyme également de congé, avant et après sa célébration.

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Constantine – Des policiers affectés aux frontières pour renforcer les contrôles

Tue, 07/08/2018 - 10:33

Par A.E A.

  En accompagnement des déplacements des estivants vers les régions côtières, 5.000 policiers des wilayas intérieures ont été affectés en renfort à la sécurité des villes balnéaires, de même 150 autres policiers ont été déployés dans huit centres frontaliers de l’Est du pays et ce, pour renforcer les contrôles des voyageurs, selon l’inspecteur de police de la région Est du pays (qui comprend 17 wilayas), Mustafa Benaini. Ces renforts font partie du plan de sécurité « spécial », mis en place à la faveur de la présente saison estivale, en plus de brigades supplémentaires concernées par des transferts conjoncturels, fera savoir encore le premier responsable de la police de l’Est. Le plan de sécurité en question, comprend bien évidemment le volet renfort en moyens humains, et donc en agents, mais aussi en moyens matériels et en systèmes électroniques liés aux opérations de contrôle. « De même que nous avons eu à effectuer des aménagements en coopération avec les walis de Tébessa, Souk Ahras et El Tarf, pour des extensions de salles, multiplication du nombre de guichets et aussi des parkings extérieurs. Et cela est valable, poursuit-il, pour les huit centres frontaliers », dira l’inspecteur régional.

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Constantine – Plus de 12 milliards pour le transport scolaire

Tue, 07/08/2018 - 10:33

Par A. El Abci

  La wilaya a affecté trois milliards de centimes comme budget spécial pour le trousseau scolaire au profit des élèves nécessiteux, au titre de la prochaine rentée des classes 2018 – 2019 et ce, en sus des contributions des différentes APC.

Selon le directeur de l’administration locale, Abd El Hakim Bouferoua, toutes les procédures afférentes à ce dossier doivent être lancées au cours de la présente semaine. Rappelant que lors de la dernière session de l’APW des instructions ont été données aux présidents des 12 APC, d’entamer rapidement les procédures relatives à l’opération de sélection des fournisseurs des cantines et des trousseaux scolaires. Il est à indiquer, en outre, que le ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales a attribué, pour sa part, une aide financière d’un montant de sept milliards 800 millions de centimes pour le transport scolaire, auxquels il y a lieu d’ajouter 4 milliards 500 millions de centimes de participation de la wilaya en soutien aux APC. Et le directeur de l’administration locale d’indiquer que ces aides du ministère de tutelle et de la wilaya d’un montant global de 12 milliards 300 millions de centimes, seront à même de couvrir 170 lignes de transport des élèves au moyen de 187 bus. La wilaya de Constantine, poursuit-il, a connu de grandes transformations grâce essentiellement aux programmes de réalisation de logements avec les fameux transferts de populations. Il en est, ainsi, d’un grand nombre d’habitants de Constantine qui ont été relogés à la nouvelle ville de Ali Mendjeli. Situation qui impose aux autorités locales, de mettre à disposition le transport scolaire pour tous les élèves qui ont été transférés avec leurs parents dans les nouvelles zones d’habitation. Et de faire savoir à ce propos, qu’il n’existe pas beaucoup de problèmes en considération que la direction des transports a fourni les listes nominatives des transporteurs, que les présidents des APC n’auront qu’à exploiter pour la signature de contrats, conclut-il.

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Tébessa: Campagne de vaccination contre la fièvre aphteuse

Tue, 07/08/2018 - 10:29

Par Ali Chabana

Les services vétérinaires de la wilaya de Tébessa viennent d’acquérir 10 mille doses de vaccin anti fièvre aphteuse. L’opération n’est pas plus qu’une mesure préventive, car aucun cas de cette maladie n’a été signalé jusque-là. La campagne de vaccination est lancée depuis quelque temps déjà, quelques semaines seulement avant l’Aïd El-Adha. Elle a été précédée d’une campagne de sensibilisation auprès des éleveurs et maquignons, afin qu’ils adhérent au programme de vaccination. Jusqu’ici près de huit mille bovins ont été vaccinés. Pour rappel, la fièvre aphteuse est une maladie virale grave du bétail, hautement contagieuse, transmissible à l’homme, mais dans des cas rares et bénignes.

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