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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
Updated: 2 months 1 week ago

Salima Ghezali : le FFS ne participera pas au gouvernement après les législatives

Mon, 01/05/2017 - 22:22

Lors d’une interview faite par Echourrouk News , la tête de liste du FFS madame Salima Ghezali annonce que son parti ne participera pas au gouvernement après les législatives.

Elle déclare aussi que le pouvoir refuse de prendre conscience du degré de gravité de la situation dans lequel le pays est mis, elle critique par la suite monsieur Sellal en disant « il est indigne qu’un représentant de l’état se comporte ainsi « 

Categories: Afrique

Isabelle Noack, une jeune journaliste Américaine est tombée amoureuse de la beauté de l’Algérie

Mon, 01/05/2017 - 21:53

Isabelle Noack (youtubeuse & journaliste): j’ai fait un voyage en Algérie et je suis ravis de partager avec vous cette vidéo de certaines parties de ce pays. L’Algérie est un pays tellement beau, les gens, la mentalité, la nourriture, le paysage…C’est le plus grand pays d’Afrique. Les langues officielles sont l’arabe et la langue berbère. La langue des affaires et de l’éducation est le français, la plupart des gens sont bilingues ou même trilingues. et en Parlant des gens, ils savent aussi une chose ou deux sur la musique et comment passer un bon moment.

Il y a tellement d’idées fausses sur les lieux et les personnes que nous n’avons pas connues, ce qui constitue l’une des raisons pour lesquelles je pense que le voyage est tellement important. Parce qu’il ouvre vraiment notre cœur, nos esprits, nos yeux et même nos armes au monde et aux personnes qui nous entourent. En fin de compte, je pense qu’il y a plus de similitudes que nous partageons, que nous devrions apprécier, que les différences qui pourraient nous déchirer. Si vous avez la possibilité de voyager, je vous encourage à le faire, car cette vie est si belle et précieuse avant que nous ne le connaissions.

Alors, sortez-vous – de votre zone de confort – parce que c’est là qu’ils disent que la vie commence … et à la fin, nos vies sont mesurées par les cœurs que nous touchons, les personnes que nous aidons et les choses que nous expérimentons. Merci beaucoup d’avoir regardé la vidéo. Veuillez me faire part de vos commentaires. N’hésitez pas à aimer et à partager cela et dites-moi ce que vous souhaitez voir prochainement Merci beaucoup. Je vous apprécie énormément et je suis impatient de vous entendre. bisous bisous Isabelle

Categories: Afrique

Vidéo : Des réfugiés retrouvés en haute mer, sauvés par des marins Algériens

Mon, 01/05/2017 - 21:28

Un équipage du méthanier Algérien  « Cheikh Bouamama » a sauvé la vie d’une quarantaine de réfugiés dont des enfants qui tentaient de rejoindre l’Europe. Cela s’est passé en plein hiver, à la fin du mois de février et ce n’est qu’en ce dimanche dernier qu’on a joint le commandant du navire qui a communiqué ces information.

« Ils étaient 41 réfugiés dont des Syriens, Palestiniens, des Éthiopiens et des Soudanais à bord d’un voilier de 12 mètres de long. Il y avait un bébé avec eux et des femmes qui étaient fatigués. Ils venaient de Turquie et voulaient rejoindre l’Italie » a-t-il relaté.

« Nous les avions retrouvés au sud des îles grecques. Ces réfugiés ont passé la nuit avec nous. Nous les avions déposés par la suite en Grèce », ajoute la même source

Categories: Afrique

Jean-Marie Le Pen appelle à voter pour sa fille Marine et la compare à Jeanne d’Arc

Mon, 01/05/2017 - 21:08

Jean-Marie Le Pen a appelé lundi à voter pour sa fille Marine au second tour de la présidentielle, la comparant à Jeanne d’Arc face à Emmanuel Macron, favori du scrutin, qu’il a qualifié de « Hollande bis ».

Le cofondateur du Front national, âgé de 88 ans, avait convié comme chaque 1er-Mai ses partisans à honorer la mémoire de Jeanne d’Arc à Paris, une cérémonie à laquelle sa fille ne s’associe plus depuis 2015. Quelque 300 personnes, selon la police, étaient présentes place des Pyramides, dans le Ier arrondissement de Paris, pour assister au traditionnel dépôt de gerbe au pied de la statue de Jeanne d’Arc.

« La France aux Français, Bleu Blanc Rouge », « l’Islam hors de France », scandaient les manifestants. A Emmanuel Macron, qui s’était présenté au soir du premier tour de la présidentielle comme le candidat des « patriotes » face à celle des « nationalistes », Jean-Marie Le Pen a voulu donner une leçon.

« Le patriotisme, disent d’aucuns, c’est l’amour de la patrie, et le nationalisme, c’est la haine des autres. Mais non messieurs du système, comme le patriotisme est l’amour de la patrie, le nationalisme c’est l’amour de la Nation », a-t-il lancé.

Categories: Afrique

Abbas rencontre Trump pour tenter de relancer les efforts de paix

Mon, 01/05/2017 - 20:57

Le président palestinien Mahmoud Abbas, en difficulté sur la scène politique intérieure, entend convaincre Donald Trump qu’il rencontrera pour la première fois mercredi à la Maison Blanche, de relancer l’effort de paix moribond avec Israël.

Depuis la prise de fonctions en janvier du président américain, les Palestiniens ont maintes fois appelé à un parrainage américain pour régler l’un des plus vieux conflit du monde. MM. Abbas et Trump ont depuis eu seulement un appel téléphonique.

Les responsables palestiniens, soucieux de faire revenir sur le devant de la scène leur cause éclipsée par les conflits au Moyen-Orient, disent placer leurs espoirs dans M. Trump. Cet entrepreneur au business florissant, disent-ils, est prêt à négocier la paix avec Israéliens et Palestiniens en faisant parfois fi des pesanteurs diplomatiques.

« Ils espèrent que le caractère imprévisible de M. Trump jouera en leur faveur« , décrypte pour l’AFP un expert au sein d’une représentation européenne.

« Mais ils seront très déçus car rien n’est sûr« , poursuit ce spécialiste basé à Jérusalem, sous couvert de l’anonymat. Les Palestiniens assurent avoir de bonnes raisons de croire qu’ils obtiendront des engagements « mais l’extrême droite israélienne dit avoir reçu les mêmes garanties« .

« Exigences » de Trump

En outre, relève l’expert, M. Trump a « des demandes exigeantes dont l’application serait un suicide politique » pour M. Abbas. Il cite la fin réclamée des pensions versées aux familles de Palestiniens incarcérés par Israël, alors même que 1.500 d’entre eux mènent depuis deux semaines une grève de la faim qui mobilise au-delà des prisons.

En s’envolant pour Washington, M. Abbas laisse derrière lui des Territoires palestiniens profondément divisés. A Gaza, tenue depuis 10 ans sans partage par le Hamas islamiste, il est régulièrement conspué lors de manifestations dénonçant les coupes salariales décidées depuis la Cisjordanie pour les fonctionnaires.

Il est aussi accusé dans l’enclave -séparée de la Cisjordanie par le territoire israélien- de plonger Gaza dans le noir. Israël a annoncé que l’Autorité palestinienne avait décidé de ne plus payer l’électricité fournie par l’Etat hébreu aux deux millions de Gazaouis dont l’unique centrale est à l’arrêt.

Malgré ces tensions, M. Abbas, dont le mandat a expiré depuis huit ans, a maintenu son cap.

Les Palestiniens ont multiplié les canaux pour obtenir cette rencontre à la Maison Blanche, plus de deux mois après la venue du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et avant une possible visite en Israël de M. Trump, que les médias israéliens annoncent pour fin mai.

Position arabe unie

A aucun moment, les Palestiniens n’ont fermé la porte au dialogue avec le dirigeant américain. Pourtant, ses positions n’avaient rien pour les rassurer.

Il a tout d’abord, durant sa campagne, promis de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël et d’y installer l’ambassade, au grand dam des Palestiniens qui ambitionnent de faire de la partie orientale de la ville sainte la capitale d’un futur État.

Puis il a pris ses distances avec la solution à deux États, israélien et palestinien vivant en paix, la référence diplomatique de la communauté internationale depuis des décennies.

Enfin, l’appel de M. Trump, devant M. Netanyahu, à la « retenue » sur l’expansion des colonies israéliennes dans les Territoires palestiniens occupés, pourtant catégoriquement condamnée par l’ONU.

La solution à deux États, M. Abbas a pris soin de la faire endosser à nouveau par la Ligue arabe fin mars.

Avant de rejoindre Washington, il a rencontré le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi et le roi Abdallah II de Jordanie, tous deux reçus déjà à la Maison Blanche, souligne Jamal Choubaki, ambassadeur palestinien en Egypte et représentant permanent à la Ligue arabe.

M. Sissi, qui dirige le seul pays arabe avec la Jordanie à avoir signé la paix avec Israël, a plaidé pour que les États-Unis retrouvent « un rôle actif » dans le processus de paix au point mort depuis 2014.

Les trois dirigeants partagent le même « impératif« , dit M. Choubaki à l’AFP, celui d’expliquer « à la nouvelle administration américaine leur attachement à l’initiative arabe de paix » qui propose la reconnaissance d’Israël par l’ensemble des pays arabes en échange d’un État indépendant de Palestine.

Categories: Afrique

Défilé du 1er mai (Paris): six policiers blessés par des jets de cocktails Molotov, dont l’un sérieusement

Mon, 01/05/2017 - 20:49
Des violences ont éclaté ce lundi 1er mai, en marge du traditionnel défilé qui se tient à Paris. Six membres des forces de l’ordre ont été blessés, dont l’un sérieusement. Depuis le début de la manifestation, cinq personnes ont été interpellées.

Le défilé du 1er mai a été entaché par de premiers affrontements en marge du cortège syndical au niveau de la place de la Bastille, à Paris. Environ 150 personnes cagoulées se sont infiltrées parmi les manifestants, avant d’être isolées par les forces de l’ordre.

Peu avant 15 heures, les CRS ont été la cible de jets de projectiles et de cocktails Molotov. « Des individus masqués et cagoulés ont jeté des projectiles et des cocktails Molotov sur les forces de l’ordre », qui ont répondu en faisant « usage de grenades lacrymogènes », a précisé la police. Six policiers ont été blessés, « dont un gravement touché à la main, et un autre sérieusement brûlé au visage », précise le ministère de l’Intérieur.

David Michaux, secrétaire national CRS pour UNSA-Police, a indiqué, sur l’antenne de BFMTV:

 « Le problème, c’est que ces casseurs ne sont pas identifiés au départ. Ils se camouflent le visage, et une fois que la manifestation débute, ils agissent. L’image de mon collègue CRS en feu est choquante ».

Capture BFMTV – Des projectiles retrouvés lors de la manifestation du 1er mai à Paris. Cinq interpellations depuis le début de la manifestation

De son côté, le cortège syndical composé de la CGT, FO et de la FSU, a été contraint d’arrêter sa marche à plusieurs reprises pendant les affrontements entre individus masqués et forces de l’ordre. Depuis le début de la manifestation, cinq individus ont été interpellés, pour port d’arme prohibé, violences à agents de la force publique et dégradations.

La sécurité a été fortement renforcée pour cette journée particulière à Paris où pas moins de trois cortèges ont battu le pavé. Plus de 9000 policiers, gendarmes, et militaires de l’opération sentinelle sont engagés sur cette journée, dont 2000 dédiés notamment à la sécurisation de la manifestation qui relie la place de la République à la place de la Nation, parcours de la principale manifestation syndicale.

DR – Des bars de fer dissimulées dans les banderoles de la manifestation à Paris.

DR – Des bars de fer dissimulées dans les banderoles, lors de la manifestation du 1er mai à Paris.
Categories: Afrique

Manifestations et arrestations : des célébrations du 1er mai tendues à travers le monde

Mon, 01/05/2017 - 20:42

Depuis 1947, le 1er mai est un jour férié qui célèbre la Fête du travail. Elle tire ses origines dans les manifestations sanglantes de salariés américains qui réclamaient la journée de travail de 8 heures en 1886.

Aujourd’hui, la Fête du travail est un jour férié et célébré dans de nombreux pays. Cette année, les manifestations organisées ce jour là dans le monde ont été particulièrement tendues. Tour d’horizon.

De nombreuses arrestations en Turquie

La Turquie a célébré ce lundi la fête du travail sous tension, deux semaines après un référendum dont le résultat est contesté par l’opposition et qui a considérablement renforcé les pouvoirs du président Recep Tayyip Erdogan.

La police turque a fait usage de gaz lacrymogène et de balles en caoutchouc lundi pour disperser environ 200 manifestants qui souhaitaient rallier la place Taksim d’Istanbul à l’occasion du 1er mai, malgré l’interdiction des autorités.

Dans le quartier voisin de Besiktas, au moins 60 personnes qui voulaient également se rendre à Taksim ont été arrêtées.


Un manifestant arrêté à Istanbul ce 1er mai 2017. – © YASIN AKGUL – AFP Immense manifestation à Moscou

Près d’un million et demi de Russes ont défilé lundi dans le centre de Moscou pour la fête du Travail, une affluence bien plus importante que les années précédentes, selon la police de la capitale russe.

Sous un ciel radieux, les manifestants ont défilé sur la Place Rouge, brandissant drapeaux et ballons sous les murs du Kremlin. En 2016 et 2015, seuls 100 000 personnes avaient participé à Moscou à cette grande parade, d’après les chiffres de la police.

Certains manifestants brandissaient des drapeaux communistes et des portraits de Lénine, au son de fanfares. D’autres martelaient des slogans contre le gouvernement.


Manifestations, arrestations et défilés: les célébrations du 1er mai dans le monde – © KIRILL KUDRYAVTSEV – AFP A Paris, trois CRS blessés en marge de la manifestation

Des affrontements entre jeunes cagoulés et CRS, en marge de la manifestation parisienne du 1er mai, ont fait trois blessés parmi les forces de l’ordre, a indiqué lundi la préfecture de police.

« Des individus masqués et cagoulés ont jeté des projectiles et des cocktails Molotov sur les forces de l’ordre« , qui ont répondu en faisant « usage de grenades lacrymogènes« , a indiqué la police.

Faisant état dans un premier temps de deux CRS blessés, la préfecture de police a ensuite précisé qu’ils étaient trois, « dont un sérieusement suite à des brûlures » causées par des « jets de cocktails molotov« .


Manifestations, arrestations et défilés: les célébrations du 1er mai dans le monde – © PHILIPPE LOPEZ – AFP Cuba : dernier défilé du 1er Mai sous la présidence de Raul Castro

Le traditionnel défilé du 1er Mai à Cuba se déroule lundi pour la dernière fois sous la présidence du Président Raul Castro, et la première depuis la mort de son frère Fidel, père de la Révolution cubaine qui a dirigé l’île durant près de 50 ans.

Des centaines de milliers de Cubains, brandissant le drapeau cubain rouge, blanc et bleu et des portraits de Fidel Castro, décédé en novembre dernier, se rassemblent chaque année sur la Place de la Révolution, au coeur de la capitale.

Après avoir succédé à son frère il y a un peu plus de dix ans, Raul Castro, 85 ans, devrait se retirer du pouvoir en février 2018, après avoir opéré une prudente ouverture économique et initié la reprise de relations diplomatiques avec son voisin américain. Le défilé de lundi devrait signer la fin d’une époque alors que son successeur n’est pas encore connu.


Défilé à Cuba – © ADALBERTO ROQUE – AFP Des milliers de manifestants pour défendre la sécurité sociale à Hong Kong

Des milliers de personnes ont défilé lundi dans les rues de Hong Kong pour réclamer une meilleure protection sociale à l’occasion de la fête du travail. Un nouveau salaire minimum légal vient d’entrer en vigueur dans la région administrative spéciale, indiquent les médias locaux.

Trois marches sont organisées par des partis politiques et des syndicats alors que Hong Kong a fait passer le salaire minium à 34,5 dollars hongkongais (4,06 euros), rapporte le South China Morning Post. Les mouvements protestant lundi estiment que le minimum légal n’est pas suffisant au vu des prix de la location et du coût de la vie qui continuent à augmenter.


Manifestation à Hong Kong – © RICHARD A. BROOKS – AFP
Categories: Afrique

Une mission économique commune de la Flandre et de la Catalogne au Maroc annulée

Mon, 01/05/2017 - 20:34

La mission économique que devaient mener au Maroc le ministre-président flamand, Geert Bourgeois, et son vis-à-vis catalan, Carles Puigdemont, du 7 au 9 mai, est annulée, a fait savoir M. Bourgeois vendredi soir. Il est probable que le gouvernement à Madrid ait fait pression sur les autorités marocaines afin d’enjoindre celles-ci à ne pas recevoir de délégation catalane.

Une pression de Madrid? 

Les responsables de délégation ont décidé ensemble de renoncer à leur participation après que le gouvernement marocain a fait savoir, deux semaines avant la mission, qu’aucun décideur marocain, à quelque niveau que ce soit, ne pouvait se libérer lors de la venue des ministres-présidents régionaux dans le Royaume. « Le ministre-président Geert Bourgeois et le président Carles Puigdemont regrettent la décision unilatérale du gouvernement marocain« , précise-t-on. « Les deux chefs de gouvernement déplorent surtout les conséquences à assumer pour plus de 30 entreprises flamandes et catalanes qui souhaitaient nouer des liens avec le Maroc, compte tenu de l’importance de ce pays en tant que partenaire commercial.« 

Categories: Afrique

Sellal visite le 3ème salon de la créativité à Riadh El Feth

Mon, 01/05/2017 - 20:29

Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a visité  lundi le 3ème salon de créativité, qui se tient à l’esplanade de Riadh El  Feth à Alger.

Accompagné du ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi, M. Sellal a fait  le tour des différents stands de ce salon, placé cette année sous le slogan  « Pour un monde meilleur, créons, innovons », où il a échangé des propos avec  les participants.

Organisée par l`Office national des droits d`auteur (ONDA), cette  manifestation à laquelle participent une centaine d’exposants entre  éditeurs, artisans et créateurs dans différents domaines, maisons d’édition, musées et artistes, se déroule du 27 avril au 3 mai.

Au programme de ce salon, des soirées artistiques animées par une pléiade  d’artistes et de groupes musicaux, ainsi que des spectacles pour enfants et  la projection de films.

Categories: Afrique

FASM: 6 assiettes de terrain à travers le territoire national pour réaliser des circuits de course

Mon, 01/05/2017 - 20:24

BEJAIA – La Fédération algérienne des sports mécaniques  (FASM) a bénéficié, lors des deux dernières années (2016 et 2017), de six  assiettes de terrains à travers le territoire national, pour la réalisation  de plusieurs circuits de courses dans les différentes spécialités,a indiqué  lundi le premier vice-president de la FASM Amir Ben Omar.

Selon le même responsable, les autorités locales  misent sur l’apport de  la discipline pour la promotion et le développement de l’activité  touristique.

« Les tractations pour la réalisation du complexe dédié aux sports  mécaniques dans la commune de Laayoune (Daïra de Khemisti) dans la wilaya  de Tissemsilt, ont déjà commencé. Nous avons rencontré des opérateurs  économiques intéressés par le projet, alors que les procédures pour l’acquisition des 75 hectares sont en cours entre les services de la wilaya  de Tissemsilt et le ministère de la Jeunesse et des Sports », a déclaré Ben  Omar à l’APS, en marge de la course de moto cross sur sable « Enduro » sur la  plage de Tichy à Béjaia.

« Nous avons également bénéficié de cinq autres assiettes de terrain à  travers le territoire national lors des deux dernières années pour la  réalisation de plusieurs circuits de course. Il s’agit de 7 hectares à  Blida, 45 hectares à Djelfa, 4 hectares à Oran, 4 hectares à Bejaia et 12  hectares à Bouira », a détaillé Amir Ben Omar.

L’instance fédérale qui compte diversifier ses activités à travers  l’organisation de courses dans les différentes spécialités (auto, moto,  carting) pour la promotion des sports mécaniques, est appelée à attirer des  investisseurs pour mener à bien leur projets.

« Maintenant, c’est à nous de débattre et ressortir les meilleures  propositions pour mener à bien nos projets et se mettre au travail pour  trouver les investisseurs susceptibles de mettre de l’argent dans notre  sport », a ajouté le premier vice-président de la FASM.

La course de moto cross sur sable « Enduro » sur la plage de Tichy à Béjaia,  disputée lundi sur un circuit fermé de 1.9 km, a regroupé 21 concurrents.

Categories: Afrique

Des slogans différents et des revendications similaires pour les partis dans leurs campagnes électorales

Mon, 01/05/2017 - 20:20

ALGER- Les partis politiques en lice pour les  législatives du 4 mai prochain ont brandi, au cours de la campagne  électorale qui a pris fin dimanche, des slogans différents même si les  meetings populaires ont été marqués par un même appel au changement dans le  cadre de l’unité du peuple et du pays et avec des programmes focalisés sur  la jeunesse.

Sous le slogan « Passé et présent riches, et un avenir optimiste », le  secrétaire général du parti du Front de libération national (FLN) a mis en  avant, lors de ses nombreux meetings, la nécessité de remettre le flambeau  à « des mains sûres » et jeunes, réitérant l’impératif de préserver « l’unité  territoriale du pays » et « l’union du peuple algérien ».

Le vote est une  « période charnière » dans l’histoire du peuple au vu de son importance dans  la préservation de l’unité territoriale et la protection des frontières  contre les dangers qui guettent le pays et visent à le déstabiliser.

Le secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND), Ahmed  Ouyahia, qui a mené sa campagne sous le slogan « loin des slogans et à  travers un discours direct et franc », a appelé à « préserver la sécurité, la  stabilité et l’unité du pays », soulignant que les axes du  programme de sa formation politique, notamment la préservation de la sécurité et de la  stabilité du pays, et de l’unité territoriale et l’union du peuple  algérien. « L’édification et le développement escomptés ne peuvent se  réaliser sans la sécurité, la stabilité et l’unité du peuple et du pays »,  a-t-il soutenu lors d’un meeting populaire à Boumerdes, affirmant que le  RND « oeuvrait à la concrétisation des axes de son programme à travers  l’attachement à la réconciliation nationale, notamment à la lumière des  graves évènements qui émaillent des pays voisins ».

Pour sa part, le président du Front national algérien (FNA), Moussa Touati  a appelé les différentes franges de la société à se rendre massivement aux  urnes le 4 mai prochain pour choisir des « personnes compétentes et intègres  aptes à opérer un changement positif à même de servir l’intérêt du pays  dans tous les domaines ».

Sous le slogan « Pour l’équité et la Justice », M. Touati a exhorté les  citoyens notamment les jeunes à « ne pas laisser passer l’opportunité des  législatives qui sont décisives pour l’avenir du pays », affirmant que son  parti « accorde un intérêt majeur à ce genre de rendez-vous dans le but  d’améliorer les conditions économiques, sociales et sanitaires » du citoyen.

Il a appelé également tout un chacun à « contribuer à mettre fin à  l’économie rentière pour favoriser une croissance économique à long terme  et faire de l’Algérie un pays leader parmi les nations ».

De son côté, l’Alliance Mouvement de la société pour la paix (MSP) a  plaidé, durant sa campagne électorale sous le slogan « Ensemble pour une  Algérie prospère et sûre », pour le changement. Son président, Abderrazak  Makri a affirmé à plusieurs occasions que le programme de sa formation politique vise l’amélioration du cadre de vie des citoyens, notamment dans  les volets sensibles qui connaissent « une grande dégradation » en termes de  services à l’instar de la santé, de l’enseignement, de la justice et de  l’industrie, promettant de faire de l’Algérie « une force économique et une  destination pour ceux qui aspirent à de meilleurs prestations sanitaires  dans les cinq années à venir ».

Sous le slogan « Notre Alliance…pour l’Algérie », le secrétaire général de  l’Alliance nationale démocratique (ANR), Belkacem Sahli, a appelé à une  forte participation aux législatives du 4 mai pour préserver « l’unité  nationale » et les « réalisations » de l’Algérie en matière de stabilité et de sécurité, estimant que le boycott ne sert ni les intérêts suprêmes du pays  ni ceux du citoyen. Les prochaines législatives sont une opportunité pour  la continuité et la pérennité des institutions et des Assemblées élues,  a-t-il soutenu.

Pour la secrétaire générale du parti des travailleurs (PT), Louisa  Hanoune, la participation au prochain scrutin est une voie de militantisme  pour « le changement pacifique », affirmant que la défense de l’unité  nationale, la protection du droit à l’information et des libertés et l’indépendance de la justice sont les thèmes essentiels du programme  électoral de sa formation politique qui a choisi  « ça suffit » pour  leitmotiv. Réitérant que le PT « ne toléra aucune atteinte à l’unité  nationale », Mme Hanoune a affirmé que le pari de la prochaine étape est « la  préservation de la paix et de la souveraineté nationale à travers la  défense des droits démocratiques, sociaux et politiques ».

Categories: Afrique

18 pays musulmans et près de 40 journalistes en conclave à Moscou: Comment détricoter la toile de Daesh

Mon, 01/05/2017 - 20:16
«Nous savons ce que l’Algérie avait subi durant les années de lutte contre le terrorisme. De ce fait, la voix de l’Algérie, son expérience sont nécessaires et importantes pour nous en tant que groupe stratégique», a indiqué le responsable du groupe de vision stratégique, Viniamin Popov.

Sous le slogan «Journalistes des pays musulmans contre l’extrémisme», s’est ouverte jeudi dernier, la troisième rencontre internationale sur l’extrémisme islamiste.
Plus d’une quarantaine de journalistes, écrivains, chercheurs et hommes de religion venant de 18 pays musulmans se sont rencontrés au «Président Hôtel» au centre de Moscou pour débattre de la lancinante question de la radicalisation via les réseaux sociaux. Cette rencontre organisée par le Groupe stratégique Russie et monde islamique a été rehaussée par la présence de Mikhael Bougdanov représentant spécial du président russe pour les affaires africaines et du Moyen-Orient et également vice-ministre des Affaires étrangères. De même que la rencontre a vu la présence du mufti de Moscou Albert Krganov ainsi que le représentant de la République du Tartaristan Rawil Akhmetshin. La rencontre intervient dans un contexte sécuritaire international très tendu. Le monde fait face à une montée très inquiétante de la radicalisation qui se manifeste par des attentats terroristes sanglants. La Russie a eu son lot. Une dizaine de personnes ont trouvé la mort, et plus de 35 autres ont été blessées, il y a quelques semaines, lors d’une explosion dans le métro de Saint-Pétersbourg, la deuxième ville de Russie.
«Les rapports de force évoluent et la situation est compliquée. Nous assistons à une guerre médiatique féroce et de ce fait le rôle du journaliste devient central et la quête de la vérité est tout aussi compliquée», a affirmé l’ambassadeur Viniamin Popov, le coordinateur de ce groupe de vision stratégique ajoutant que cette situation est encore plus compliquée avec la montée en puissance de l’islamophobie à travers les pays occidentaux, «ce qui n’existe pas en Russie», a-t-il noté.
L’Algérie a bien évidemment marqué sa présence à ce forum. «Nous savons ce que l’Algérie avait subis durant les années de sa lutte contre le terrorisme. De ce fait, la voix de l’Algérie et son expérience sont nécessaires et importantes pour nous en tant que Groupe de vision stratégique», a souligné l’ambassadeur Popov. Aussi, les participants ont eu à s’imprégner de l’expérience algérienne dans la lutte contre le terrorisme en tant que premier pays dans le monde à avoir connu l’émergence fulgurante de l’islamisme politique avec ses dégâts humains et matériels. Pour la première fois depuis la création de la confrérie des Frères musulmans en Egypte en 1928, l’extrémisme islamiste allait accaparer le Parlement en Algérie empruntant le marchepied des législatives de décembre 1991 avant de déclarer que la démocratie est une hérésie occidentale qu’il faudra désormais bannir dans la gestion des affaires de la cité. La menace extrémiste était donc claire et le processus électoral arrêté, le pays a basculé dans une guerre civile atroce.
La facture a été lourde: elle s’est soldée par 200.000 morts et des centaines de milliers de blessés, d’orphelins et de veuves, quant aux pertes matérielles, elles ont été estimées à plus de 20 milliards de dollars. Un véritable cas d’école pour les participants à ce forum mondial, qui ont également eu à constater par quels mécanismes l’Algérie est sortie du lugubre tunnel. Plus de 10 années de lutte antiterroriste menée sans merci par les services de sécurité doublée d’une action de déradicalisation unique en son genre. Ainsi, cette guerre sur le terrain est appuyée par des mesures politiques économiques et sociales.
La politique de la Rahma promulguée en 1995, a été suivie par le référendum sur la Concorde nationale en 1999 avant d’aboutir à la Charte pour la paix et la Réconciliation nationale en 2005. Au plan économique, des programmes quinquennaux ont été élaborés avec des actions ciblées envers la frange des jeunes comme l’accord de crédits sans intérêts et des encouragements pour la création de PME par le système Ansej et Andi. A ces actions s’ajoutent la récupération et la maîtrise des discours religieux aux niveaux des mosquées, la réforme du système éducatif et d’autres actions encore…une véritable expérience de la déradicalisation qui a même interpellé certains participants à expliquer un fait très marquant dans la crise du Moyen-Orient.
En effet, de tous les contingents de jeunes mobilisés par le Net pour se rendre au djihad notamment en Syrie, le nombre d’Algériens est infime comparé à celui des Tunisiens, Marocains, voire même de certains pays occidentaux comme la France, la Grande-Bretagne et la Belgique. Cette expérience unique de déradicalsiation a-t-elle donné ses fruits? La question est posée et le sujet a interpellé bien des spécialistes des questions sécuritaires. Le mufti de Moscou a résumé la situation en avançant que dans cette «guerre contre l’extrémisme» toutes les actions doivent se focaliser essentiellement sur la jeunesse. Il en veut pour preuve ces chiffres effrayants: «Près de 80% des combattants de Daesh sont âgés entre 25 et 30 ans» et «cette organisation terroriste agit sur près de 170.000 sites sur la Toile». Il ajoute dans ce sillage que «pour parer à cette vague de radicalisation, la Russie a décidé de créer une organisation de la jeunesse et qui aura des sections à travers tout le territoire de la Russie. Il faut aller vers cette jeunesse, la rencontrer, l’écouter et la former» appuie-t-il. Si l’objectif de la rencontre était de trouver les moyens de détruire le discours extrémiste, le conflit idéologique éternel entre l’Arabie saoudite et l’Iran a trouvé le moyen de refaire surface même s’il a été vite étouffé par le modérateur Popov. Prenant la parole, Mohamed Marandi, enseignant universitaire iranien, n’a pas ménagé l’Arabie saoudite qu’il a accusée frontalement d’être «le nid du terrorisme» par ses actions à travers le monde musulman. Ces propos ont fait sortir de ses gonds le représentant de l’ambassade saoudienne à Moscou qui a demandé une mise au point pour rétablir les choses. Il a estimé que c’est plutôt «l’Iran qui déstabilise la région avec ses ambitions expansionnistes». Il reste que la tendance générale s’oriente vers une demande d’organisation d’une conférence internationale sur la lutte contre le terrorisme de demander la criminalisation du cyberterrorisme ainsi que l’élaboration d’une stratégie claire pour combattre les deux phénomènes de l’extrémisme et du terrorisme.

Categories: Afrique

Meeting du FFS, à Tizi Ouzou: «Le RCD et le MAK sont une création du DRS»

Mon, 01/05/2017 - 20:08

Animant un meeting, hier, à Tizi Ouzou, les représentants de la direction nationale du FFS et les candidats sur la liste de la wilaya, tout en évoquant la mémoire et le combat de feu Hocine Aït Ahmed et les martyrs de la Révolution et de la démocratie ont tenu un discours à la limite de la vindicte en s’attaquant ouvertement à des partis au pouvoir, notamment le FLN et le RND, ainsi que les forces politiques implantées en Kabylie, à savoir le RCD et le MAK.

 

Pour le premier responsable de la fédération de Tizi Ouzou, Farid Bouaziz, dont l’épouse est candidate sur la liste du FFS à Tizi Ouzou, le RCD et le MAK, deux entités politiques qui disputent la scène à son parti dans la région, sont tous les deux une création des services de l’ex-DRS. «Si le RCD a été créé dans un bureau du général Larbi Belkhir, je dirai à Monsieur Ferhat Mehenni que le MAK l’a été aussi dans un autre bureau juste à côté», accuse-t-il non sans tirer, également, à boulets rouges sur le FLN, un parti dont la mission s’est achevée au lendemain de indépendance. «Le vrai FLN est fini en 1962, mais ils ont créé un autre qui a mené le pays à la dictature», affirme-t-il non sans adresser, pareillement, des fléchettes au patron du RND Ahmed Ouyahia.
«Monsieur Ouyahia a osé parler ici même à Tizi Ouzou d’un projet de décentralisation de la gestion des affaires du pays, lui qui est l’un des premiers responsables dans la mauvaise gestion du pays et surtout d’être derrière l’emprisonnement injuste de centaines de cadres compétents», lance-t-il à l’adresse d’une assistance acquise. Pour Hocine Haroun, sénateur et directeur de campagne du FFS à Tizi Ouzou «tous les projets accordés par l’Etat à la wilaya de Tizi Ouzou ces dernières années ont été arrachés par l’APW FFS alors que ceux qui étaient avant nous à la tête de cette Assemblée n’ont pas hésité à faire alliance avec le wali pour enlever les subventions aux associations locales», lance en guise de critique aux élus du RCD celui qui était à la tête de l’APW avant d’être élu sénateur au Conseil de la nation. S’exprimant devant leurs militants et sympathisants au niveau de la placette Mbarek Aït Menguellet à la sortie ouest de la ville, les responsables locaux et nationaux du FFS n’ont pas cessé d’évoquer à chaque fois le parcours et le combat de feu Hocine Aït Ahmed pour l’instauration d’une véritable démocratie dans le pays.
«Hocine Aït Ahmed, qui a refusé des funérailles officielles, a milité durant 70 ans de sa vie politique pour la démocratie et un Etat de droit. Il a refusé d’être désigné comme chef de l’Etat par des généraux car il a toujours milité pour la vraie démocratie. Nous sommes toujours fidèles au combat de Si El Hocine et le FFS qui est un parti propre et le protecteur de l’Algérie et de la kabylie», ajoute Farid Bouaziz. Pour Azizl Baloul, tête de liste à Tizi Ouzou, le FFS veut à travers sa participation aux législatives «porter son message à travers les institutions et surtout oeuvrer pour un consensus national seul à même de sortir le pays de la crise». Pour Mohamed Klaleche, P/APW de Tizi Ouzou et deuxième sur la liste pour les législatives, «à chaque crise nationale, le FFS propose des solutions» en évoquant le contrat de Rome en 1995, le mémorandum aux généraux en 2001 et la conférence de consensus national depuis deux années. De son côté, Mohand Amokrane Cherifi, membre de la direction nationale, ancien ministre et expert à l’ONU, tout en dressant un tableau noir de la situation économique du pays, en affirmant que «l’argent est en haut et la misère en bas», a évoqué dans son discours la nécessité d’un vote massif le 4 mai prochain. «Seul un vote massif permettra un changement du système en place. Voter pour le FFS, c’est surtout honorer la mémoire de Hocine Aït Ahmed, un homme qui n’est, certes, plus de ce monde, mais son idéal et son aura dans le parti sont toujours omniprésents», lance-t-il en direction des nostalgiques du zaïm.

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La Chine lance son premier porte-avions « fait maison »

Mon, 01/05/2017 - 19:59
Le nouveau navire de 50 000 tonnes, à propulsion classique et sans catapulte, est une étape vers une prochaine génération plus puissante.

La Chine fait désormais partie du club très fermé des nations capables de construire un porte-aéronefs moderne, avec les États-Unis, la France, la Russie, la Grande-Bretagne, et dans une moindre mesure l’Italie et l’Espagne. Pékin a en effet mis à flot mercredi 26 avril son nouveau porte-avions, en construction depuis 2013 au chantier naval de Dalian (nord-est). Le navire, dont on ignore encore le nom, doit subir une série d’essais en mer et être progressivement armé, puis rejoindre le service actif à l’horizon 2019-2020.

En affirmant ainsi sa puissance navale, quelques jours après le 68e anniversaire de la Marine de l’Armée populaire de libération, Pékin parle directement à Washington. Pour le gouvernement chinois, qui a soigneusement mis en scène le lancement en grande pompe, il s’agissait en effet d’envoyer un signal fort à Donald Trump. Le président américain avait répondu aux récentes tensions dans la péninsule coréenne en promettant d’envoyer « une armada » au dictateur Kim Jong-Un après de nouvelles avancées supposées de son programme nucléaire (une armada américaine qui, en réalité, n’avait pas fait route dans la bonne direction…).

Plus gros, mais moins high-tech que le Charles de Gaulle

La construction de ce navire chinois (nom de code « Type 001A », ça ne s’invente pas) avait fait l’objet de nombreuses spéculations, comme le raconte le site spécialisé Zone militaire : ce n’est que grâce à la maladresse d’un fabricant de câbles qui se vantait en 2015 d’avoir remporté le marché du « second porte-avions », que l’on a eu confirmation que le chantier était en cours.

Le porte-avions jauge 50 000 tonnes. C’est un cinquième de plus que le Charles de Gaulle français (42 000 tonnes), mais deux fois moins que les monstres américains de l’US Navy, des classes Nimitz et, depuis peu, Gerald R. Ford (100 000 tonnes). Disposant d’un pont d’envol incliné, il n’est pas équipé de catapultes pour les avions, contrairement aux navires américains et français, et accueillera essentiellement des chasseurs multirôles J-15. De même, il n’est pas équipé d’un réacteur nucléaire mais d’un système de propulsion classique.

Première étape « indigène »

« Il est très probable qu’il s’agisse du premier d’une série de porte-avions indigènes », estime Juliette Genevaz, spécialiste de la Chine à l’institut de recherche stratégique de l’École militaire française, interrogée par l’AFP. Pour James Char, expert à l’école S. Rajaratnam d’études internationales à Singapour, il faudra attendre des navires équipés de catapultes et d’un réacteur nucléaire pour pouvoir parler de « bond technologique » des ingénieurs navals chinois. Ces étapes qui seront peut-être franchies avec la construction de nouveaux porte-avions chinois de nouvelle génération, dont l’un est déjà en chantier.

Le nouveau navire n’est pas le tout premier porte-avions chinois, le pays ayant acquis en 1998 un ancien navire soviétique auprès de l’Ukraine. Après avoir été rénové et rebaptisé Liaoning, ce porte-avions de conception rustique (fin des années 1970) était devenu en 2011 le tout premier porte-avions à entrer en service au sein de la marine de l’empire du Milieu. Il permet aujourd’hui au groupe aéronaval chinois de s’entraîner et d’acquérir des compétences essentielles, en prévision d’une montée en puissance dans les décennies à venir. La marine russe possède le navire-jumeau du Liaoning, l’Amiral Kouznetsov, qui a été récemment déployé au large de la Syrie.

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AFRICOM – ces bases militaires américaines qui entourent l’Algérie

Mon, 01/05/2017 - 19:43
AFRICOM – Au total, 46 bases militaires américaines sont déployées en Afrique, dont 15 sont permanentes, révèlent des documents déclassifiés récemment par  » Freedom of Information Act » .

Dans une carte des bases américaines déployées dans le continent africain à août 2014, l’on peut constater une base près de la frontière algérienne. En effet, il s’agit d’une « base d’urgence » définie par la mission des Etats-Unis en Afrique, AFRICOM, dans le Sud-Est libyen, dans la région d’Al-Wigh.
Plus inquiétant encore et contrairement à ce qu’avait affirmé le président tunisien, Béji Caïd Essebsi, une mission militaire américaine est bel et bien présente en Tunisie. Cette présence est identifiée, peut-on constater sur la carte, au Nord de la Tunisie et est définie comme étant une zone de facilité HT/HR (atterrissage ou départ des troupes).
Par ailleurs, AFRICOM se serait inquiété d’une présence militaire russe et même chinoise en Afrique. Une base chinoise aurait été, selon un rapport américain, installée dans un pays d’Afrique du Nord.

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Lutte/Championnat d`Afrique: l`Algérie termine avec 36 médailles dont 14 en or

Mon, 01/05/2017 - 19:34

MARRAKECH (Maroc) – Les sélections algériennes de lutte (cadets, juniors, seniors et féminine) ont décroché 36 médailles (14 or, 15 argent et 7 bronze), à l`issue de la cinquième et dernière journée des championnats d`Afrique qui ont pris fin dimanche soir à Marrakech au Maroc.

Dans la catégorie des seniors (lutte libre, gréco-romaine et féminine), les sélections algériennes ont terminé la compétition avec 14 médailles (3 or, 5 argent et 6 de bronze).

Chez les cadets (garçons et filles), les lutteurs algériens se sont distingués de fort belle manière en décrochant 10 médailles (6 or et 4 argent).

Dans la catégorie des juniors (garçons et filles), les Algériens se sont illustrés en remportant 12 médailles (5 or, 6 argent et 1 bronze). L`Algérie a pris part à ce rendez-vous africain avec 35 athlètes dans les catégories (cadets, juniors et seniors) ainsi que six athlètes représentant la lutte féminine.

Les sélections algériennes ont été conduites par le staff technique composé des  entraîneurs: Benjedaa Mazouz, Aoune Fayçal, Salim Chami, Benrahmoun Mohamed et Messaoud Zeghdane.

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Sahara occidental: la résolution du Conseil de sécurité, une « grande victoire »

Mon, 01/05/2017 - 19:30

ALGER – Le coordinateur sahraoui avec la Mission de l’ONU  pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (MINURSO), M’hamed  Khedad, a affirmé lundi, que l’adoption par le Conseil de sécurité d’une  résolution portant prorogation du mandat de la Minurso et appelant à  engager des négociations entre le Maroc et le Front Polisario sans  conditions préalables, est une « grande victoire » pour la cause sahraouie,  et remet sur les rails le processus politique garantissant le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination.


Lors d’une conférence de presse organisée à l’ambassade de la République  arabe sahraouie démocratique (RASD) à Alger, M. Khedad a indiqué que  « l’adoption par le Conseil de sécurité, vendredi dernier, de la résolution  2351 (2017), montre qu’il y a une volonté de donner une nouvelle dynamique  et un nouvel esprit pour résoudre le conflit bloqué par l’occupant marocain  depuis mars 2012 et qui refuse de poursuivre les négociations directes avec  le front Polisario et relancer les pourparlers en vue de trouver une  solution garantissant le droit à l’autodétermination du peuple du Sahara  occidental. »

« Cette résolution remet sur les rails le processus politique qui a été  bloqué par le Maroc depuis mars 2012. Le secrétaire général de l’ONU et le  Conseil de sécurité ont appelé à une nouvelle dynamique et un nouvel esprit  dans les négociations », a déclaré M. Khedad.

Selon le coordinateur, la nomination d’un ex-président allemand « qui est  d’un gros calibre » comme envoyé personnel du SG démontre d’une bonne  volonté de donner une nouvelle dynamique et une nouvelle force aux  négociations mais aussi l’engagement ferme du Conseil de sécurité dans  l’objectif de laisser le peuple sahraoui décider de son destin ».

M. Khedad, a, à cette occasion, affirmé la disposition du « Front Polisario  à négocier avec le Maroc » sur la base politique du droit des Sahraouis à  l’autodétermination. « Oui nous sommes pour la négociation avec le Maroc sur  la base de l’autodétermination, mais pas sur la nature du conflit qui est  purement coloniale », a-t-il dit.

Le diplomate sahraoui a fait savoir que la décision de l’ONU au sujet de  la crise à Guerguerate vient confirmer encore une fois que la construction  de la route reliant le Maroc à la Mauritanie, « constitue une violation des  clauses du cessez-le-feu de 1991 et nous avons eu gain de cause parce que le Maroc ne les a pas respectées et par conséquent n’a pas pu achever cette  construction illégale », et que la crise de Guerguerate a remis le dossier  « dans le radar de l’ONU ».

« Les accords sont clairs, a-t-il dit, il ne faut pas qu’il y ait  d’activités militaires ou civiles à Guerguerate », affirmant que la présence  aujourd’hui des Nations unies sur cette partie du territoire démontre « que  ce n’est pas un territoire marocain, qu’il y a un réel problème, une  contestation et que ces territoires qui restent à décoloniser figurent dans  la liste de l’ONU ».

M. Khedad a soutenu que  « la présence des casques bleus aujourd’hui à  Guerguerate est l’expression du reflet de la communauté internationale  d’abdiquer et d’accepter le fait accompli colonial marocain ».

Au Conseil de sécurité, poursuit-il, « les 15 pays membres s’accordent à  dire qu’il faudrait qu’il y ait une révision et une analyse sur ce qu’a  fait la MINURSO depuis sa mise en place, et que tous les pays y compris la  France et le Sénégal, alliés du Maroc, ont affiché le même voeu celui de  poursuivre le processus politique pour trouver une solution définitive au  conflit. »

Selon la résolution, au paragraphe 3, la crise survenue récemment dans la  zone d’El Guerguerate « suscite un nombre de problèmes et d’interrogations  quant à l’accord de cessez-le-feu et aux conventions y afférentes, et la  crise impose un règlement qui encourage le Secrétaire général de l’ONU à  prendre toutes les initiatives nécessaires pour trouver une solution ».

M. Khedad a expliqué, en outre, que la France a essayé d’influencer des  pays, mais n’a pas été suivie par notamment par la Russie, l’Uruguay, la  Bolivie et la Suède.

En réponse à une question sur le rôle de l’Union africaine (UA) dans le  suivi du processus politique et son implication, M. Khedad a assuré que  l’UA est toujours présente et a toujours montré son intérêt, citant la  dernière visite du président de la Commission de l’UA et du commissaire  chargé pour la paix et la sécurité à New York avant les débats du Conseil  de sécurité, durant laquelle il a été décidé dans un communiqué commun que  le dossier du Sahara occidental doit être traité conjointement par l’UA et  les Nations unies ».

Par ailleurs, il a fait observer que « l’administration américaine ainsi  que le Conseil de sécurité ne veulent pas d’un cessez-le-feu éternel au  Sahara occidental et ne sont plus capables de financer si la MINURSO est  incapable d’atteindre ses objectifs de missions de paix, tel que prévu par  le Conseil de sécurité des Nations Unies ».

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Le Président Bouteflika appelle le patronat à accroître les investissements

Mon, 01/05/2017 - 19:23

Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a appelé lundi les chefs d’entreprises à se mobiliser davantage pour renforcer les investissements dans tous les secteurs, assurant que l’Etat est déterminé à accompagner la promotion de l’investissement national.

« Le défi exige du patronat local de se mobiliser, aujourd’hui plus que jamais, pour accroître l’investissement dans tous les secteurs et le déployer, ainsi, à travers tout le territoire national », a insisté M. Bouteflika dans un message adressé aux travailleurs algériens à l’occasion de la fête internationale du Travail, lu en son nom par le ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi, lors des festivités officielles de célébration de cette journée à Tiaret.

A ce propos, il a relevé la détermination de l’Etat « à accompagner la promotion de l’investissement national et en partenariat, par son soutien multiforme et par la promotion de l’environnement économique ».

Pour le Président de la République, si les progrès réalisés dans tous les domaines du développement, sont, certes, encore insuffisants, ils sont, cependant, « une source d’espoir pour tout notre peuple, et de courage pour redoubler d’efforts afin de surmonter la nouvelle crise financière induite par la chute des prix du pétrole, et pour rejoindre le peloton des pays émergents ».

L’Algérie « possède les moyens des avancées qu’elle doit encore accomplir », a-t-il réaffirmé, en soulignant que le pays « interpelle ses enfants pour mettre davantage en valeur ses atouts réels, et les travailleurs et les travailleuses sont de nouveau interpellés par ce nouveau défi ».

Ce défi exige « la préservation de la paix sociale dans les entreprises et dans tous les espaces de travail » afin que les efforts investis produisent leurs résultats en matière de modernisation de l’outil de production et de progrès dans les réformes de l’environnement économique.

  1. Bouteflika a également fait valoir que ce défi recommandait l’amélioration de la productivité et de la compétitivité économique de sorte que les entreprises « résistent localement à la concurrence extérieure » et que la production nationale « parte à la conquête des marchés extérieurs ».

De surcroît, il a relevé que ce défi exigeait que les pouvoirs publics « préservent le pouvoir d’achat des citoyens par une action résolue contre toutes les formes de spéculation qui se manifestent sur le marché ».

Tiaret, un exemple des avancées réalisées ces dernières années

S’agissant de la wilaya de Tiaret, M. Bouteflika a indiqué qu’à l’instar des autres régions du pays, cette wilaya avait bénéficié de son lot de réalisations publiques dans tous les domaines du développement humain, même si les demandes ne sont pas totalement satisfaites.

Mais c’est en matière de développement économique que Tiaret est « un exemple des avancées » réalisées ces dernières années, a observé le Président en citant essentiellement l’agriculture et l’industrie.

Dans ce sens, il a précisé que la mise en valeur des terres de cette wilaya de Tiaret témoignait de la pertinence du Programme national de soutien à l’agriculture qu’il avait annoncé à Biskra en 2009, et dont le gouvernement « doit préserver le contenu, en dépit des contraintes budgétaires, pour ne pas remettre en cause le renouveau agricole en  expansion dans tout le pays ».

Outre l’agriculture, le Président a affirmé que la wilaya de Tiaret était également devenue une « nouvelle citadelle industrielle » grâce à la conjonction des capacités du secteur public économique, de la puissance publique représentée par l’Armée nationale populaire (ANP), ainsi que des partenaires étrangers de grandes références.

Sur ce point, le président de la République a avancé que le pôle mécanique de Bouchekif se développerait davantage grâce à l’apport d’autres partenariats conclus et ceux déjà lancés par des investisseurs privés nationaux avec des partenaires étrangers, en ajoutant que cette wilaya sera renforcée, à court terme, par l’apport d’une raffinerie d’hydrocarbures.

Toutes ces réalisations rentabiliseront davantage l’important réseau d’infrastructures routières et ferroviaires qui débouchent dans la wilaya, à l’image de la rocade et de la voie ferrée des Hauts plateaux, de l’aéroport, et des pénétrantes ferroviaires et autoroutières vers les ports, a-t-il détaillé.

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Enfant enlevé à Tizi-Ouzou: le ravisseur est un entrepreneur en difficultés financières

Mon, 01/05/2017 - 17:47

Le Procureur de la République auprès du tribunal de Tizi-Ouzou a révélé aujourd’hui, au lendemain de la libération de l’enfant Mahdad Salim, des informations sur l’auteur principal de l’enlèvement.

En effet, il s’agit d’un entrepreneur âgé de 39 ans, résident pas loin d’Ath Zmenzer, où a été enlevé l’enfant Salim le 27 avril dernier. Ce dernier, qui a avoué avoir kidnappé l’enfant pour demander une rançon, car il est en difficultés financières.

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Dernier ouvrage du chercheur Slimane Kacem: L’histoire de la wilaya historique VI dans les librairies

Mon, 01/05/2017 - 17:41

L’auteur a motivé sa démarche d’écriture du livre par l’insuffisance d’écrits nationaux sur les aspects historique et militaire de la guerre dans cette région, mais aussi par la volonté d’apporter sa contribution aux recherches sur l’histoire du pays

Histoire politique et militaire de la Wilaya historique VI (1956-1962) est le titre du nouvel ouvrage, signé Slimane Kacem, mettant en exergue les importantes haltes de l’histoire de la guerre de libération nationale dans cette région, qui vient enrichir la scène culturelle de Djelfa. L’ouvrage, publié par Djelfa Infos et imprimé par la maison d’édition Impression et distribution Dar El Khaldounia, est le deuxième livre écrit par le chercheur Slimane Kacem qui avait commis une première publication sur le même thème, parue il y a trois ans de cela sous le titre «Histoire de la Wilaya historique VI, zone II : de la Constitution à la fin de Bellounis».

Interrogé par l’APS sur les raisons de cette nouvelle publication, Slimane Kacem a souligné qu’il aspirait à une recherche plus approfondie, voire très élaborée, de l’histoire de la Wilaya historique VI, l’objectif étant «de préserver l’histoire de notre glorieuse guerre à travers la transmission, l’analyse et l’écriture des témoignages de ceux qui l’ont faite».

L’auteur de Histoire politique et militaire de la Wilaya historique VI (1956-1962) a motivé sa démarche d’écriture du livre par «l’insuffisance» d’écrits nationaux sur les aspects historique et militaire de la guerre dans cette région, mais aussi par le fait d’apporter sa contribution aux recherches sur l’histoire du pays en «mettant en exergue la vision algérienne des choses, loin des écrits français» et, pourquoi pas, enrichir le stock livresque sur l’histoire de l’Algérie. Slimane Kacem a tenu à souligner, à ce sujet, que son livre s’appuie, en grande partie, sur une «matière historique purement locale» (témoignages et archives), sans pour autant négliger, si besoin est, les archives françaises.

A travers cet ouvrage historique, l’auteur entend apporter sa contribution aux recherches afin de braquer les lumières sur la Wilaya historique VI et

son rôle durant la guerre de libération nationale en tant que base arrière importante pour les moudjahidine des Wilayas historiques I, IV et V qu’elle approvisionnait en armes. Plus que tout ça, la Wilaya historique VI, a-t-il noté, fut le berceau de grands noms de la Révolution algérienne, à l’image des chefs historiques Ziane Achour, Omar Idriss et Si El Haoues.

L’ouvrage a été divisé en cinq chapitres, un épilogue et un index d’information et autres annexes explicatives. Le premier chapitre du livre aborde la géographie et la création de la Wilaya historique VI, suite au Congrès de la Soummam, avant de s’intéresser, dans le second chapitre, au parcours de Si El Haoues et son rôle dans la réunification de cette wilaya. L’auteur consacre le troisième chapitre au nouveau commandant de la Wilaya historique VI, colonel Tayeb Djeghlali, alors que dans son quatrième chapitre, l’auteur met en lumière le rôle de cette Wilaya dans la mise en échec du projet colonialiste visant à séparer le Sahara algérien du reste du pays. Le dernier chapitre du livre traite des aspects médical et communicationnel dans la même Wilaya historique. S’ensuit une conclusion pour achever en beauté cet ouvrage parsemé d’une multitude de témoignages vivants ou écrits et autres mémoires de moudjahidine ayant survécu à la guerre au niveau de cette Wilaya historique.

L’auteur ne s’est d’ailleurs pas contenté de ces témoignages et mémoires, puisqu’il s’est aussi basé, dans son ouvrage, sur les quelques sources et documents historiques de valeur, écrits par des Algériens, mais aussi sur des rapports français résumant ce qui se disait dans la presse coloniale de l’époque sur la guerre d’Algérie. Slimane Kacem a soutenu, à ce sujet, avoir rencontré beaucoup de difficultés dans l’écriture de ce deuxième livre historique, à cause, a-t-il dit, d’un manque de sources et de documents sur cette région. Il a notamment fait part de difficultés rencontrées avec des moudjahidine qu’il a essayé d’interroger sur certains faits incompris par lui, ce qui l’a contraint, a-t-il dit, à s’appuyer sur des enregistrements disponibles au niveau de musées, ou alors des écrits de presse sur le sujet.

L’autre difficulté rencontrée dans l’écriture de son ouvrage, est liée à la «sensibilité» du sujet, a-t-il relevé, s’étonnant qu’après «plus de 50 ans passées sur l’indépendance de l’Algérie, je n’ai pu trouver de diplômés en histoire pour les citer comme référence dans mes recherches sur l’histoire de notre région». D’où, a-t-il soutenu, «l’écriture de cet ouvrage, dans lequel j’ai voulu souligner le grand rôle de la Wilaya historique VI dans le succès de la libération du pays du joug colonial».

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