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Updated: 2 months 1 week ago

Inauguration de «Jardins d’Alger, Djenan Dzair» au Bastion 23: Un univers onirique à découvrir à travers une palette d’expositions

Mon, 01/05/2017 - 17:40

A travers la manifestation aux multiples facettes, il s’agit d’aborder la question du jardin en tant que patrimoine culturel. L’exposition, qui se poursuivra jusqu’au 29 septembre prochain, est évolutive et accueillera des artistes, des artisans, des designers, des architectes et des conférences d’universitaires abordant différents aspects liés à cette thématique

À l’occasion de la célébration du mois du Patrimoine, célébré chaque années du 18 avril au 18 mai, l’exposition «Jardins d’Alger, Djenan Dzair» a été inaugurée jeudi au Palais des Rais (Bastion 23), dans une ambiance conviviale aux effluves des senteurs fleuries, en présence du ministre de la Culture, Azzedinne Mihoubi, et des nombreux exposants. L’exposition organisée par le ministère de la Culture et le Centre des arts et de la culture du Palais des Rais en partenariat avec l’agence Lafabrik, et la collaboration du Musée du Bardo, du Musée des arts et traditions populaires, de l’Ecole supérieure des Beaux arts de Mostaganem et de l’ambassade des Pays-Bas , a été marquée lors de cette première journée par le vernissage de multiples expositions de peinture, de design, de photographie et de plantes, ainsi qu’un défilé de tenues traditionnelles algéroises et un récital de la chorale Nagham.

Dans la présentation de l’exposition, il est souligné que «nombreux sont les voyageurs, les poètes et les artistes qui ont déclaré leur fascination face à la beauté de la cité-jardin d’Alger. Les charmants Djnein qui jouxtaient la ville ont été décrits avec affection et émerveillement. Déjà au XIIIe siècle, El Abdari lors de son voyage à travers l’Afrique septentrionale, s’exclamait ainsi : «El-Djezaïr, ville qu’on ne peut se lasser d’admirer et dont l’aspect enchante l’imagination. Assise au bord de la mer, sur le penchant d’une montagne, elle jouit de tous les avantages qui résultent de cette position exceptionnelle; elle a pour elle les ressources du golf et de la plaine. Rien n’approche de l’agrément de sa perspective.»

Ainsi, c’est dans cet esprit que Boualem Belacheheb, directeur du palais des Rais, soulignant à propos de cette manifestation aux multiples facettes qu’il s’agit d’aborder la question du jardin en tant que patrimoine culturel. Il explique que cette exposition qui se poursuivra jusqu’au 29 septembre prochain, est évolutive et accueillera des artistes, des artisans, des designers, des architectes et des conférences d’universitaires abordant différents aspects liés à cette thématique.

Au cœur du Bastion 23, un jardin éphémère a été installé par les étudiants de l’école des Beaux-arts de Mostaganem où les mosaïques côtoient des œuvres contemporaines entourées de fleur et d’herbes harmonieusements disposées.

Il y a également l’exposition des designers qui se sont adaptés avec et symbiose dans les dédales du Bastion 23, intitulé «Design moi un jardin », où l’exposition est coordonnée par Ratiba Ait Chafaa, les artistes designers Hamida Benmansour, Leila Mammeri, Nawel Hagui, Badia Lamani, Radia Zitouni, Chafika Amel Ait Aoudia, Radia Zitouni, Billel Bachemmar, Mourad Ourad et Reda Selmi.

Citons aussi l’exposition du photographe Nadir Djama en collaboration avec le Jardin d’essai d’El Hamma, où le visiteur est convié à découvrir l’histoire de ce jardin séculaire, se trouvant au cœur d’Alger, à travers des photos emblématiques de ce mythique lieu qui nourri l’imaginaire de plusieurs générations.

Le Musée du Bardo, participe à la manifestation avec une exposition intitulée «La culture assaillie», en collaboration avec l’ambassade du Royaume des Pays-Bas qui aborde les menaces planant sur le patrimoine mondial au cœur de l’actualité récente.

Pour sa part le Musée des Beaux-arts d’Alger présente une exposition de l’artiste polonaise Marta Banaszak. Qui met en relief la beauté de l’architecture islamique où les jardins ont une place prépondérante.

Au premier étage du palais 17, les visiteurs sont également conviés à découvrir jusqu’au 15 mai prochain, un autre volet de l’événement «Djnan Dzaïr» avec l’exposition des œuvres pleines de fraicheurs printanières de l’artiste peintre Djahida Houadef, intitullée «Mon uni-vert». A ce propos, Djahida Houadef, tel un échos au réveil de la nature et tel un échos au bastion 23 qui reprend vie à travers cette manifestation où le vert, l’exaltation de la nature et la pétulance des exposants sont omniprésentes, écrit dans la présentation de cette exposition : «Le vert paradisiaque, je le peins et le repeins sans me lasser.

Ce vert a bien marqué mon enfance, son histoire avec moi ne s’est pas arrêté de se répéter, je l’ai mangé en melons et concombres dans les vergers de mes oncles, je l’ai touché et caressé sur les draps satinés couvrant les saints de «Sebââ Ergoud», je l’ai grimpé jusqu’à la dernière tige des amandiers de notre ferme, je l’ai cajolé lors de mes siestes sur l’herbe». L’artiste peintre et poetesse conclue que «ce vert donne sens à mon existence, il nourrit en moi tous les degrés de la beauté jusqu’au lait, il me rapproche de cette œuvre divine, il me rapproche de Dieu»

Categories: Afrique

Le Big Bond, une nouvelle approche pour l’Afrique

Mon, 01/05/2017 - 17:39

Les pays d’Afrique sub-saharienne ont atteint un stade critique. Eprouvée par l’effondrement du prix des matières premières et par le ralentissement économique de la Chine, la région a vu sa croissance chuter pour atteindre 3,4% en 2015 – chiffre inférieur de presque 50% au taux moyen des 15 dernières années. Le taux de croissance économique estimé pour 2016 est par ailleurs inférieur à un taux de croissance démographique d’environ 2%, ce qui implique une contraction du PIB par habitant.

Les pays d’Afrique sub-saharienne ont atteint un stade critique. Eprouvée par l’effondrement du prix des matières premières et par le ralentissement économique de la Chine, la région a vu sa croissance chuter pour atteindre 3,4% en 2015 – chiffre inférieur de presque 50% au taux moyen des 15 dernières années. Le taux de croissance économique estimé pour 2016 est par ailleurs inférieur à un taux de croissance démographique d’environ 2%, ce qui implique une contraction du PIB par habitant.

Une croissance économique soutenue est indispensable au maintien des progrès accomplis en matière de réduction de la pauvreté ainsi que de lutte contre la mortalité infantile, les maladies et la malnutrition. Elle seule peut créer suffisamment d’emplois décents pour la jeunesse bourgeonnante d’Afrique – la plus rapidement croissante au monde. Comme l’a souligné le ministre allemand du Développement Gerd Müller lors d’une récente conférence de presse, «si les jeunes Africains ne peuvent ni trouver un emploi, ni espérer un avenir dans leur propre pays, ce ne sont pas quelques centaines de milliers mais plusieurs millions d’entre eux qui prendront le chemin de l’Europe».

L’un des moyens de pérenniser la croissance et de créer des emplois consisterait en une collaboration autour de la planification et de la mise en œuvre d’une augmentation massive des investissements en infrastructures sur le continent africain, et notamment dans les infrastructures publiques. L’Afrique a besoin d’autoroutes, de ponts et de voies ferroviaires pour relier les producteurs ruraux des pays enclavés aux consommateurs africains des villes ainsi qu’aux marchés extérieurs, besoin de transports publics et d’infrastructures Internet permettant une plus grande activité commerciale, ainsi que de lignes de transmission électrique intégrant centrales et réseaux financés par le secteur privé.

D’importants projets régionaux sont également nécessaires au rassemblement des nombreuses économies sub-sahariennes d’envergure réduite. C’est seulement à cette condition que pourront être créées les économies d’échelle nécessaires au déploiement du potentiel d’exportation des secteurs agricole et industriel d’Afrique, ainsi qu’à la diminution des prix domestiques de l’alimentation et des produits manufacturés.

Bien que les gouvernements africains fournissent eux-mêmes davantage d’efforts de dépenses dans les infrastructures publiques, des financements extérieurs sont également nécessaires, notamment aux fins de projets régionaux qui constituent rarement une priorité pour les gouvernements nationaux. Or, l’aide à l’Afrique en provenance de donateurs étrangers traditionnellement généreux, tels que les Etats-Unis et l’Europe, est aujourd’hui sur le point de diminuer en raison de contraintes politiques et économiques.

Il existe néanmoins une solution qui permettrait à l’Afrique de renouer avec la croissance, une solution acceptable pour les dirigeants occidentaux et leurs électeurs : c’est ce que nous appelons le «Big Bond», une stratégie visant à lever des fonds d’aide extérieure sur les marchés de capitaux internationaux pour générer des financements en faveur d’investissements massifs en infrastructures.

Il s’agirait plus précisément pour les donateurs d’emprunter sur les apports d’aide futurs au niveau des marchés de capitaux. Ces donateurs pourraient ainsi exploiter chez eux l’actuel niveau faible de taux d’intérêt, et générer en même temps de nouvelles ressources. Pour des taux du Trésor américain à 30 ans d’environ 3%, il leur suffirait de titriser environ 5 milliards de dollars pour lever pas moins de 100 milliards de dollars. Cet argent pourrait provenir des 35 milliards d’aide publique au développement (APD) fournis chaque année à l’Afrique (qui totalise environ 50 milliards de dollars d’aide) sous la forme de simples subventions.

Les donateurs transmettraient le coût des intérêts aux pays africains, réduisant ainsi leurs propres coûts fiscaux. Du côté des pays africains, ces modalités seraient plus favorables que celles prévues par les eurobonds. Mieux encore, aussi audacieux que cela puisse paraître, le fait de transférer le coût des intérêts aux pays bénéficiaires pourrait en réalité renforcer la durabilité de leur dette.

D’après une étude relative à huit pays menée par le laboratoire d’innovation politique de la Banque africaine de développement, un taux d’intérêt de 3% en dollars américains se révélerait inférieur au coût marginal des emprunts commerciaux contractés par plusieurs pays africains au cours des cinq dernières années. En outre, la possibilité d’échéances et de délais de grâce beaucoup plus étendus qu’en matière de finance de marché viendrait soulager la pression exercée sur les réserves de change.

Ce type d’aide par financement anticipé n’est pas une nouveauté. Cette méthode a permis au début des années 2000 de financer des vaccins qui ont sauvé plusieurs millions de vies humaines dans les pays en voie de développement. Les ressources du Big Bond, gérées par la Banque africaine de développement, pourraient être utilisées pour contribuer à garantir le financement de grands projets régionaux d’infrastructure depuis longtemps en attente, tels que la voie de chemin de fer d’Afrique de l’Est destinée à relier la Tanzanie au Rwanda et au Burundi, ou encore l’autoroute s’étendant du Nigeria à la Côte d’Ivoire. Ces projets pourraient également être cofinancés par des investisseurs privés.

Le Big Bond pourrait par ailleurs contribuer à redynamiser les relations entre donateurs et pays africains. De même, en soutenant des investissements à retombées bénéfiques importantes au niveau des Etats, cette démarche pourrait inciter les pays africains à entreprendre des réformes visant à accroître leur capacité d’absorption quant au choix et à la mise en œuvre des investissements publics en infrastructures.

L’approche du Big Bond est une approche nouvelle qu’il convient absolument d’intégrer au cadre de l’APD – approche propice à une croissance plus forte et plus durable dans les pays bénéficiaires, en même temps qu’à un allégement de la charge pour les pays donateurs. À l’heure où l’aide internationale subit une pression politique, sans doute une approche audacieuse de ce type, consistant à maximiser l’efficience des ressources des donateurs, constitue-t-elle précisément ce dont le monde a besoin.

Categories: Afrique

Hommage à Duke Ellington sous la baguette de Rémi Dumoulin à Alger: «Jazzaïr Big Band» célèbre avec brio la journée internationale du jazz

Mon, 01/05/2017 - 17:37

Des années 1920, jusqu’au années 1970, l’orchestre de Tours a revisité les plus grands standards de jazz. Dans la deuxième partie de la soirée, des musiciens algériens ont rejoint l’orchestre pour des solos et des moments de fusions harmoniques.

A l’occasion de la célébration de la «Journée Internationale du Jazz», l’Agence algérienne pour le rayonnement culturel (AARC) a organisé, vendredi dernier, pour la première fois en Algérie, un big band jazz composé de près d’une trentaine de musiciens pour un concert unique, en hommage au pianiste, compositeur et chef d’orchestre de jazz Duke Ellington. Décrétée par l’Unesco en 2011, la Journée internationale du jazz consacre cette musique comme un «vecteur de liberté et de créativité qui favorise le dialogue interculturel et rapproche les peuples».

Cet esprit de créativité et de dialogue était présents à l’Opéra d’Alger Boualem-Bessaïh, où les mélomanes étaient nombreux pour cette soirée exceptionnel marquée par le projet, «Jazzaïr Big Band» animée par le Dumoulington Orchestra de la ville de Tours en France et des musicien algériens qui avaient participé à une résidence de création à la villa Abdellatif.

Durant plus de deux heures, le Big Band talentueusement dirigé par le chef d’orchestre Rémi Dumoulin a captivé les présents par l’enthousiasme des musiciens, des solistes et des surprises qui ont marqué cette soirée dédiée à l’esprit jazzy de celui qui a donné ces lettres de noblesse au jazz, Duke Ellington.

En première partie de soirée, les musiciens du «Dumoulington Orchestra» composée d’étudiants et de professionnels tourangeaux, autour de transcriptions fidèles du répertoire Ellingtonien, ont transporté les présents dans l’univers du jazzman américain qui a marqué près d’un demi-siècle de ce style de musique. Le chef d’orchestre a su créer une véritable symbiose entre le public et l’orchestre, en présentant les différentes partitions et arrangement pour cette soirée hommage, ponctuant les intermèdes d’anecdotes sur l’histoire des pièces choisies et le parcours de l’un des piliers du jazz américain.

Des années 1920, jusqu’au années 1970, l’orchestre de Tours a revisité les plus grand standard de jazz interprété par les pétillants pianiste Ludovic Yapaudjian, les trompettistes Jean-Baptiste Réhault, Paul Cadier, Etienne Quezel, Romain Meunier, Florent Michaud, Tom Grigne, Adrien Colas, Martin Declercq, Nicolas Fernandes. A la guitare Pierre Guimbail, à la batterie de Lorenzo Rotini, à la contrebasse Simon Buffaud et aux Quentin Longepe Alexis Persigan et l’envoutant Benjamin Augé. Le public a également apprécié des pièces plus longues telles que la suite en quatre mouvements et les solos que le maître avait composés pour ses compagnons de route.

La première surprise de la soirée est la présence d’Aïda, la chanteuse du groupe Garage Band interprétant Kissing my baby chaleureusement applaudie par le public. Cette première partie s’est clôturée avec un tour du monde avec Duke qui, tel le souligne le chef d’orchestre Rémi Dumoulin, «rapporte de ces tournées mondiales des images sonores et des atmosphères. Il transcrivait cela dans ses compositions avec finesse et subtilité sans tomber dans la carte postale».

Ainsi, l’orchestre «Dumoulington Orchestra» a fait voyager le public à travers les différents continents de l’Afrique, à l’Asie en passant par l’Europe avec la  Suisse, l’Amérique latine, au cœur de l’Amérique jazzy en Louisianne et également l’Australie ainsi que le Moyen-Orient. Ponctuant chaque voyage de retentissant applaudissement, les mélomanes présents ont apprécié «El Barbero Loco» «Néo Créole», «Ahmad»et «Didgeridoo» où Duke a reproduit au saxophone baryton le son de cette longue flute aborigène aux sonorités envoutantes.

Dans la deuxième partie de la soirée, c’est au tour des musiciens algériens de rejoindre l’orchestre pour des solos et des moments de fusions harmonique. Le public a pu découvrir le talent des saxophonistes Arezki Bouzid, Mouhamed Shihadeh et Hacene Zemrani, du trompettiste Mohamed Amine Naas, à la Basse électrique : Nadjib Gamoura, le guitariste Nazim Kridech et au Trombonne Bakli Zatout.

Cette seconde partie a également été marquée par l’entrée en scène le chanteur Hamidou à la grande surprise du public. Hamidou a d’emblée séduit les connaisseurs présents dés les premières de «My funny valentin» standard mytique de Frank Sinatra. Un défi relevé avec brio par Hamidou avec sa voix de ténor, les envolées lyriques et la tessiture vibrato de crooner sous un standing ovation du public. Hamidou enchaîne ensuite avec un autre grand standard «Sunny».

Cette soirée se clôture avec un hommage à l’Algérie où la jeune chanteuse Aïda interprète en duo avec Hamidou «El Bareh» du regretté El Hachemi Guerouabi. Avec un arrangement jazzy et une orchestration de cuivre saluée par un standing ovation du public.

Categories: Afrique

L’intervention s’est déroulée au Japon/ Cellules souches : première opération de la rétine avec donneur

Mon, 01/05/2017 - 17:35

Les premières greffes à partir de cellules reprogrammées en cellules de la rétine ont eu lieu au Japon ces trois dernières années. Elles ouvrent la voie à la création d’une banque de cellules souches.

C’est une première mondiale. Des cellules de rétine obtenues à partir de cellules souches issues d’un donneur ont été transplantées dans la rétine d’un patient atteint de dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA). Cette opération s’est déroulée mardi 28 mars à Tokyo au Centre de biologie du développement de l’institut Riken (Japon) et a été pilotée par l’ophtalmologiste Masayo Takahashi. Il ne s’agit encore que d’un essai clinique de phase 1: cette opération ne visait pas à guérir ce patient déjà trop atteint pour espérer retrouver la vue, mais plutôt à prouver que cette technique ne présente pas un danger immédiat pour la santé.

Cellules «remises à zéro»

«La prochaine étape de ces essais cliniques sera probablement de transplanter des cellules d’EPR chez des personnes qui n’ont pas encore perdu leurs photorécepteurs, pour voir si cela permet de sauvegarder ces neurones photosensibles et ainsi se traduire par une amélioration significative de la vision», explique Olivier Goureau, directeur de recherche à l’Institut de la Vision axé sur le développement de la rétine et les stratégies de thérapie cellulaire.

Des cellules matures de peau ont été retirées à un donneur anonyme puis «remises à zéro» pour revenir à leur état embryonnaire, devenant ainsi des cellules souches pluripotentes (c’est-à-dire capable d’évoluer en plusieurs types de cellules). Elles ont été ensuite à nouveau différenciées pour, dans ce cas précis, devenir des cellules de l’épithélium pigmentaire rétinien (EPR), qui ont été implantées sous la rétine du patient. L’homme de 60 ans est ainsi la première personne au monde à recevoir une greffe de cellules de rétines issues de cellules souches pluripotentes induites (cellules iPS). Tous les autres essais jusqu’à maintenant avaient été réalisés avec des cellules souches embryonnaires humaines, qui ne s’étaient pas encore différenciées.

Une première opération trois ans auparavant

Une opération presque similaire avait été menée avec succès, il y a trois ans, dans les mêmes locaux, avec une patiente âgée de 77 ans et également atteinte de DMLA à un stade très avancé. Mais lors de cette opération, ce sont des cellules de rétine obtenues à partir de ses propres cellules, et non de celles d’un donneur, qui avaient été implantées. L’équipe japonaise a publié les résultats de cette approche «autologue» mi-mars dans la revue The New England Journal of Medicine.

Les chercheurs japonais ont ainsi implanté sous la rétine de la patiente un feuillet de cellules d’épithélium pigmentaires rétinien (EPR) différenciées. Cet épithélium – qui fait face aux photorécepteurs à l’intérieur du globe oculaire – est indispensable au bon fonctionnement de la rétine, notamment via l’absorption du surplus de lumière qui arrive à l’œil, mais également via l’évacuation des «déchets» présents dans la rétine.

Le dysfonctionnement et la dégénérescence progressive de cet épithélium de la rétine, correspondent au début de la DMLA, une maladie incurable et qui fait perdre la vision centrale.

Le succès de la chirurgie «autologue»

Une année après la chirurgie, l’acuité visuelle de l’œil traité chez la patiente de 77 ans ne s’était pas améliorée. C’était attendu car d’autres zones de la rétine étaient déjà atteintes par la maladie, notamment les photorécepteurs chargés de transformer la lumière en signal électrique.

Mais sa pathologie ne s’était pas non plus aggravée, ce qui constitue le succès de cette opération. Les chercheurs notent qu’elle s’est tout de même dite «satisfaite d’une vision «plus brillante», probablement due à l’ablation lors de l’opération de la membrane nécrosée.

«L’avantage évident de cette technique est qu’il n’y a pas de rejet de greffe, dans la mesure où nous sommes dans un processus autologue, autrement dit, une autogreffe», explique Olivier Goureau. «Mais l’inconvénient c’est que cette médecine hyper-personnalisée coûte plusieurs millions par patient.»

La compatibilité donneur-receveur

L’opération de la semaine dernière, avec les cellules d’un donneur, est donc une nouvelle avancée dans la recherche sur les cellules souches avec la possibilité de greffer des cellules issues de donneurs. Le but serait désormais pour l’équipe japonaise de créer une banque de cellules iPS pour traiter les différentes maladies (dont la DMLA). Une telle banque permettrait de disposer d’un «stock» de cellules souches accessible dès qu’un patient en aura besoin.

Une telle banque est imaginable au Japon car la population y est assez peu variée génétiquement: cinq à dix donneurs permettraient de traiter 30 à 50% de la population japonaise. L’équipe espère y parvenir d’ici à 2018.

Categories: Afrique

Ould Abbès à Mostaganem: « Le prochain scrutin sera transparent »

Sun, 23/04/2017 - 10:41

«Il a appelé à sensibiliser les citoyens pour voter massivement le 4 mai prochain.»
Le secrétaire général du FLN, Djamel Ould Abbès ,a animé hier un meeting à Mostaganem. Dans ce contexte, il a appelé à sensibiliser les citoyens afin de voter massivement le 4 mai prochain. Il a souligné, lors d’un meeting électoral organisé au palais des sports, au chef-lieu de la wilaya, que les citoyens «doivent se rendre aux urnes», assurant que les prochaines échéances seront «transparentes, démocratiques et que toutes les voix seraient respectées».

Il a appelé ses militants à se mobiliser pour remporter les neuf sièges de la future APN qui reviendront à la wilaya de Mostaganem. Il a mis l’accent sur le programme du FLN, inspiré de celui du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, signalant que son parti oeuvrait à remettre le flambeau aux jeunes. Il a également réaffirmé que l’unité du peuple algérien et l’intégrité territoriale du pays sont deux principes sacrés pour le FLN.

Il a fait l’éloge des réalisations accomplies à la faveur du programme du président Bouteflika, depuis l’avènement de sa magistrature, dans divers domaines. Pour les habitants de la wilaya de Mostaganem, il a promis la réalisation de 6000 ha de superficies irriguées pour renforcer le secteur agricole local, l’ouverture de quatre lignes maritimes pour le transport de marchandises, la réalisation d’un aérodrome spécialisé dans le fret et l’encouragement de l’investissement touristique».

A Bordj Bou-Arréridj, il a réitéré que «le FLN, est le dépositaire de l’indépendance du pays et la colonne vertébrale de l’Etat». Le parti sera toujours la première force politique, avait-il noté, soulignant que sa formation vise à gagner la majorité absolue confortable lors du prochain scrutin. L’orateur estime que ces élections, qui viennent après la révision de la Constitution revêtent une importance particulière. Le patron du FLN fait allusion au fait qu’en vertu de la nouvelle Constitution, le Premier ministre sera désigné après consultation du parti majoritaire. Ce texte ouvre une ère nouvelle pour l’Algérie, a-t-il insisté.

A Annaba, Ould Abbès s’en est pris à Ahmed Ouyahia, sans le citer. «Oui au FLN, nous nous accaparons fièrement le président Bouteflika. Et celui qui touche à n’importe quel militant au FLN, cadre ou de la base, je m’érigerai devant lui pour le protéger», a-t-il menacé à Annaba. Encore une fois, il a exhibé une copie de la dernière page des Accords d’Evian, pour dire que «ces accords ont été signés par le grand Krim Belkacem, au nom du FLN».

Tout au long de cette période électorale, le secrétaire général du FLN ne cesse d’évoquer et de mettre en avant song glorieux passé révolutionnaire, un parcours qui a été mis en doute par d’anciens moudjahidine. «Je suis un moudjahid, un condamné à mort et j’ai les documents qui le prouvent», a-t-il rétorqué au moudjahid de Tlemcen qui l’a accusé d’inventer son passé révolutionnaire. Ahmed Ouyahia, secrétaire général du RND, lui a rappelé que le président Bouteflika appartenait à tous les Algériens. Enfin, il a affirmé à Setif que le FLN allait gouverner le pays pour un siècle à venir»…

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Législatives : Les partis entament le dernier virage avant le jour «J»: Le plus dur reste à faire

Sun, 23/04/2017 - 10:38

Affaiblis par les quinze jours de meetings non-stop, les acteurs politiques sont à bout de souffle, mais n’ont pas droit au répit.
C’est, sans doute, la semaine la plus éreintante pour eux. Les partis politiques et les candidats doivent carburer à fond pour convaincre. Affaiblis par les quinze jours de meetings non-stop, les acteurs politiques sont à bout de souffle, mais n’ont pas droit au répit.

A une semaine de la fin de la campagne électorale pour les législatives du 4 mai prochain, les animateurs de la scène politique doivent passer à la vitesse supérieure raffler le maximum de voix. Un défi difficile à relever. Devant le peu d’enthousiasme affiché par les citoyens pour cet événement politique, les craintes d’une abstention élevée provquent la panique chez la classe politique.

Pour les partis, tout se joue durant ces derniers jours de campagne. Ainsi, la tension va monter d’un cran. Il faut s’attendre à des attaques virulentes et des déclarations incendiaires, entre les uns et les autres qui vont marquer le discours politique. Chaque parti tente de sauver sa peau en épinglant son rival. Cette semaine, le discours sera marqué par une surenchère sans précédent. Les hostilités ont déja bien commencé entre eux. Le bras de fer n’est pas engagé seulement entre les ennemis traditionnels coalition-opposition. Même les partis alliés se livrent une guerre larvée entre eux en public. C’est le cas du FLN et du RND.

Les deux formations majoritaires, qui constituent les piliers du pouvoir, sont minées par des divergences. Leurs leaders politiques s’amusent à échanger des tirs croisés. Les deux hommes proches du sérail se donnent en spectacle en se disputant le président de la République. Le secrétaire général du FLN qui veut s’approprier des réalisations faites par les responsables politiques à commencer par la révolution jusqu’au jour d’aujourd’hui a irrité ses amis de l’alliance.

Le RND n’a pas pu résister pour riposter en apportant un mise au point à son rival. «Le président de la République appartient à tous les Algériens», a déclaré Ahmed Ouyahia qui s’est permis d’épingler son compagnon en affirmant que le RND combat la politique de l’argent sale «chkara».

Une déclaration qui a fait sortir Ould Abbès de ses gonds. «Le FLN n’est pas né avec des moustaches», a-t-il affirmé en faisant allusion à la création du parti RND en 1997, qui a raflé la majorité trois mois après sa création. Amara Benyounès qui fait partie de la coalition a également répondu à Ould Abbès qui prévoit d’arracher la majorité absolue.

«Ceux qui pensent avoir la majorité absolue lors des prochaines élections pour revenir à l’ère du parti unique se trompent», a soutenu le patron du Mouvement populaire algérien. En dehors de ce pôle, les animosités s’accentuent entre la coalition et l’opposition.
Cette dernière ouvre le feu sur les partis majoritaires en les accusant de mener le pays à la dérive.

«Il est au pouvoir depuis l’indépendant, mais le FLN n’a rien fait», a martelé hier Djamal Benabdeslam, président du Front de l’Algérie nouvelle en accusant le parti majoritaire d’user des moyens de l’Etat pour animer la campagne et remplir les salles. Ce dernier n’est pas le seul. Mohamed Saïd, président du Parti de la liberté et de la justice (PLJ), a appelé à partir de Tébessa, de ne pas voter pour le FLN. «Ne renouvelez pas votre confiance à ceux qui ont échoué comme députés.

Ils ont eu plusieurs mandats sans servir l’intérêt général», a-t-il dit. Mohamed Saïd a accusé Ould Abbès de mener une guerre psychologique. «Si une génération se compte en années, ils ont passé plus qu’une génération au pouvoir, qu’ils partent!», a déclaré Moussa Touati, président du FNA qui a chargé Ould Abbès de critiques. Le Parti des travailleurs fait du FLN sa cible privilégiée. Depuis le début de la campagne, sa secrétaire générale ne rate aucune sortie pour tirer à boulets rouges sur ce parti majoritaire qu’elle accuse de tous les torts.

Categories: Afrique

Législatives : Ouyahia à partir d’oran : « Bouteflika interdit l’endettement extérieur »

Sun, 23/04/2017 - 10:34

Ouyahia a ajouté que «nous devons soutenir l’agriculture et investir dans l’exportation».
«Nous ne resterons pas otages de la dette extérieure.»

C’est ce qu’a affirmé le secrétaire général du RND, Ahmed Ouyahia, ce vendredi lors d’un rassemblement populaire au Centre des conventions d’Oran. Tel un véritable dirigeant des grands challenges, Ahmed Ouyahia accompagne ses propos d’un véritable argumentaire, notamment en ce qui concerne les questions sensibles liées à la souveraineté nationale comme le partenariat avec des pays étrangers et la dette extérieure. «Le président Bouteflika interdit l’endettement extérieur», a-t-il affirmé devant un parterre composé essentiellement de militants, cadres et sympathisants du parti.

En tenant de telles déclarations, Ouyahia réitère les positions de son parti vis-à-vis du recours aux prêts extérieurs, tout en préconisant un traitement de choc, permettant la renaissance de l’économie nationale dans le cadre de partenariats algériens avec des entreprises étrangères tout en maintenant le principe de la règle des 51/49%. «Nous resterons souverains dans notre économie», dira Ouyahia ajoutant que «le partenaire restera partenaire, sans plus».

Faisant le tour d’horizon sur les différents segments pouvant faire renaître l’économie nationale, Ouyahia arbore un bloc de solutions concoctées par son parti à commencer par la réduction des importations et le développement de plusieurs secteurs, qui, pour Ouyahia, engrangeront d’importants dividendes comme l’agriculture et le tourisme. «Nous avons consommé tous les produits venant de toutes les régions du monde», a déploré Ouyahia avant de s’interroger en affirmant: «Est-ce que l’Algérie est stérile ou encore ne produit pas?» Sur sa lancée, il a ajouté que «nous devons soutenir l’agriculture et investir dans l’exportation».

Ouyahia se lance après dans un véritable réquisitoire en défendant l’idée d’exploitation du gaz de schiste sans pour autant verser dans les diatribes à l’encontre des opposants au projet. Pour Ouyahia, la force de l’argumentaire constitue l’un des moyens les plus appropriés pour pousser le chantier de l’avant.

Le but recherché est, selon Ouyahia, d’attirer la devise. En ce sens, il dira que «nous devons développer le secteur de l’énergie». Une telle déclaration a été vite suivie par une autre à travers laquelle le patron du Rassemblement national démocratique dira que «nous devons exploiter le gaz de schiste». Là aussi, Ouyahia ne tarit pas d’explications en liant l’exploitation du projet controversé à la lutte contre le chômage et l’alimentation des ménages par une telle énergie.

«Le gaz de schiste permet la pérennité de l’emploi, le fonctionnement de la zone pétrochimique d’Arzew et l’alimentation des foyers en gaz de ville.» «Il faut continuer l’exploitation de toutes les ressources pétrolières du pays, ainsi que le phosphate et les autres ressources», a-t-il indiqué, soulignant que «l’Algérie doit jouer toutes ses cartes et en premier lieu sa principale richesse, avant le pétrole, qui est la jeunesse».

Toujours dans le même ordre d’idées, le secrétaire général du RND revient encore en faisant état d’un bloc de solutions préconisées par sa formation à commencer par «la nécessité de la décentralisation de la décision en accordant plus de prérogatives aux responsables locaux dans le domaine de l’investissement». En plus de l’assainissement du milieu de l’investissement en levant les entraves bureaucratiques, la corruption et autres embûches, les réformes proposées par Ouyahia reposent essentiellement sur l’ouverture de l’investissement au niveau local tout en dotant les responsables locaux d’un pouvoir leur permettant de booster et pousser de l’avant toutes formes de projets économiques. «Nous voulons que tous les dossiers d’investissements soient traités au niveau de chaque wilaya», lance Ahmed Ouyahia.

La question des privatisations n’a pas été en reste du discours du premier responsable du Rassemblement national démocratique. «Nous défendons la privatisation des entreprises», a lancé Ahmed Ouyahia du haut du podium du Centre des conventions.

Poursuivant son discours il dira: «Que peut faire l’Etat dans des secteurs devant être privatisés? D’autant qu’une telle privatisation est, selon Ouyahia, réglementée par des lois rigoureuses à commencer par la règle des 51/49%. Il n’y a pas lieu de s’inquiéter quant à la privatisation des entreprises.» «Nous devons produire», précisera Ouyahia. Au sujet de la baisse des prix du pétrole, le secrétaire général du Rnd a souligné le fait que «la crise va durer encore plusieurs années et la solution pour en sortir doit venir des Algériens qui doivent se mobiliser et travailler pour la construction du pays».

Ayant entamé son speech, Ouyahia a rendu hommage aux hommes et femmes qui ont mené la guerre de Libération nationale. Au passage, il n’a pas non plus oublié les hommes et les femmes qui se sont soulevés contre le terrorisme. Dans ce chapitre, il a plaidé pour «plus de vigilance vu, ce qu’il a qualifié, de cercle infernal entourant l’Algérie». Là aussi, Ouyahia aborde la question sécuritaire en faisant implicitement référence aux sectes et autres fractions religieuses qui se créent un peu partout dans le pays. Il dira en ce sens que «notre religion est l’islam. Nous sommes des sunnites et malékites ni plus ni moins».

Sur sa lancée, il a, d’un revers de main, rejeté les autres factions religieuses en déclarant que «je n’accepterai jamais que l’Algérie soit perturbée ni par les chiites ni encore moins par la secte El Ahmadiya». «Nous devons rester mobilisés pour l’unité et la réconciliation nationale», a souligné le premier responsable du Rassemblement national démocratique, avant d’exhorter les Algériens à rester mobilisés aux côtés de l’Armée nationale populaire et les autres corps de sécurité qui protègent le pays et les citoyens.

Dans ce contexte, il a rendu hommage aux patriotes et aux gardes communaux, qui ont lutté pour la sauvegarde de l’Algérie. Dans le cinéma Le Maghreb, ex-Régent, le chef du parti El Moustakbal, Belaïd Abdelaziz, a, pour sa part, tenu un rassemblement populaire à travers lequel il est revenu sur la nécessité de prendre en compte le secteur de l’Education nationale.
Amar Ghoul, du TAJ, a, lui aussi, réuni ses troupes dans la salle omnisports d’Es Senia. Dans son speech, il est longuement revenu sur plusieurs sujets d’actualités tout en axant son verbe sur le programme de son parti reposant sur plusieurs projets dont l’agriculture, l’industrie, le tourisme, la santé etc.

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Le ministre de l’habitat à Annaba: Le bonheur des souscripteurs de l’Aadl

Sun, 23/04/2017 - 10:30

Très satisfait de la cadence de réalisation de la nouvelle-ville de Draâ Erich, le ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, et ministre du Commerce par intérim, Abdelmadjid Tebboune, s’est engagé à soutenir les autorités locales, pour l’éradication de l’habitat précaire.
La visite du ministre de l’Habitat est venue mettre fin au calvaire de milliers de souscripteurs de la formule Aadl 2001-2002 à Annaba.

En effet, deux haltes très importantes ont marqué la visite du commis de l’Etat qui s’est rendu au site de Boukhadra III, où il a remis 30 clés symboliques aux bénéficiaires de 330 unités Aadl, sur un total de 1073. Affichant une satisfaction bien compréhensible, Abdelmadjid Tebboune n’a pas hésité à manifester une grande satisfaction quant aux réalisations, opérées dans ce secteur. «Comme à chaque fois que nous venons à Annaba, la plus belle ville d’Algérie, nous constatons les efforts que les responsables déploient pour ce secteur, notamment en matière de lutte contre l’illicite et l’embellissement de la ville», s’est exclamé le ministre.

Ce dernier, pour plus d’encouragements, a mis en relief devant chacune de ses déclarations, les efforts de Youcef Cherfa, wali d’Annaba. «J’ai remarqué le nouvel élan de développement dans cette wilaya, depuis la prise des commandes, par ce responsable», a-t-il indiqué. Face à une telle détermination du wali d’Annaba, le ministre de l’Habitat a fait savoir que toutes les demandes introduites par ce responsable, devant son département, à la faveur du secteur de l’habitat ont été satisfaites. Cela reflète l’intérêt que porte le président de la République à la wilaya d’Annaba, selon ses déclarations.

Dans une ambiance conviviale, Abdelmadjid Tebboune et lors de la remise des clés aux souscripteurs du segment Aadl 2001-2002, a fait signifier avec une forte insistance que «pour mettre fin à l’habitat précaire, le wali mise sur 100% et nous, nous le soutenons». Ce qui signifie que l’Etat algérien vise à satisfaire toutes les demandes. D’ailleurs, c’est dans cette optique que les instructions et les recommandations du commis de l’Etat ont été orientées «Nous souhaitons que la cadence des travaux soit encore plus positive à la faveur d’une attribution avant la fin de l’année, car nous soutenons le projet de développement du président Abdelaziz Bouteflika», a estimé Tebboune. Se rendant à la nouvelle-ville de Draâ Erich, le ministre de l’Habitat a procédé à la remise de 430 réaffectations sur un total de 756 unités Aadl.

Une remise qualifiée par plusieurs bénéficiaires d’actes rassurants puisque les souscripteurs à cette formule ont dû attendre 17 ans durant. Ces derniers et si les précisions apportées par les acteurs en charge, occuperont leurs appartements en juin prochain. La visite du ministre de l’Habitat, entre, selon ses propos, dans le cadre de l’achèvement du chef de l’Etat.

«Le programme du président de la République sera appliqué dans toutes ses dimensions», a-t-il dit, lançant en direction des souscripteurs: «J’assume toute la responsabilité, jusqu’à ce que les 2500 unités Aadl, pour ce sites soient achevées et livrées», a rassuré le ministre. Il est visible que l’Etat mise beaucoup sur ce secteur, puisque rien que pour la wilaya d’Annaba, il a été retenu depuis 2005 et jusqu’en 2015 plus de 70.000 unités tous segments confondus. Un chiffre impressionnant, pour satisfaire la forte demande à Annaba. «La politique engagée par l’Etat dans ce secteur a évité une catastrophe pour le pays», a révélé Tebboune.

Sur les mesures de son département contre la prolifération, depuis quelques semaines, des constructions illicites, le commis de l’Etat s’est montré intransigeant. «Toute attribution se fera en référence au fichier national», a affirmé Tebboune qui a promis solennellement qu’aucun ne sera relogé sauf passage par le fichier national. En attendant que ces dispositions soient appliquées par le ministre de l’Habitat, le bonheur des souscripteurs Aadl à Annaba est démesuré et les nouveaux bidonvilles continuent de pousser au su et au vu des autorités locales, qui bien que mises au parfum, persistent dans l’indifférence.

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NAHD : Mokhtar : «Oui, on peut toujours prétendre à une place qualificative pour une compétition internationale»

Sun, 23/04/2017 - 09:46

Relégué en second plan, Hichem Mokhtar travaille d’arrache-pied pour gagner sa place dès la reprise de la compétition. L’ancien joueur du RCR avec qui nous nous sommes entretenus hier nous fait un bilan de cette première semaine de préparation et nous a affirmé que l’équipe sera encore plus forte d’ici quelques jours avant la reprise officielle de la compétition.
Tout d’abord, comment se passe la préparation actuellement ?

Elle se déroule dans de bonnes conditions. Tout se passe bien, le groupe la vit bien. Une bonne ambiance règne au sein du groupe. La plupart des joueurs répondent présents pour exécuter le travail demandé par le coach. Ce qui est très important pour réussir notre préparation. Avec un peu de temps et du travail, on réussira à retrouver notre forme habituelle. C’est de bon augure à quelques jours de la reprise de la compétition officielle, car pour atteindre notre objectif, on doit finir le championnat en force.

Est-ce que cela veut dire que NAHD va revenir en force lors de cette fin de saison ?
C’est très possible. On peut s’en apercevoir à travers la grande détermination que les joueurs affichent. On sait que le Nasria ne jouera que pour les premiers rôles, et c’est la raison pour laquelle tout le monde se donne à fond aux entraînements. Je pense que décrocher une place qualificative pour une compétition africaine est jouable, il faut seulement croire à nos chances.
Comment évaluez-vous cette première étape de préparation ?

Elle a été réussie. Jusqu’à présent, elle s’est super bien déroulée. On a été mis dans de bonnes conditions donc on n’a pas à se plaindre. On a disputé deux matchs amicaux, et cela va nous faire énormément du bien. Je pense qu’il va y avoir d’autres confrontations à disputer. Ce ne sera qu’une occasion pour les membres du staff technique afin d’améliorer nos points faibles.
Qu’avez-vous à nous dire à propos de votre prochaine sortie qui vous opposera à la JSS ?

Notre adversaire est une équipe accrocheuse. C’est une belle affiche. Il faut bien la préparer pour être à la hauteur. Nous jouerons à domicile, ce sera une bonne occasion pour renouer avec la victoire. Notre tâche s’annonce compliquée mais on va faire de notre mieux pour se réconcilier avec nos supporters. Ils n’ont à aucun moment cessé de nous soutenir, et il faut bien les récompenser pour tout le spectacle qu’ils font à chaque fois dans les tribunes.

Comment se présente pour vous la suite du parcours ?
C’est clair, elle ne va pas être facile à gérer, mais, il faut mettre les précédents échecs de côté et passer à autre chose. Il reste encore six rencontres à jouer, on a les moyens pour rebondir, il suffit seulement de croire en nos chances. Je pense qu’avec l’implication de tous les concernés, responsables, membres du staff technique et joueurs, on réussira à redresser la barre et finir ainsi la saison sur une bonne note.

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MCA/ Pris en photo en train de rire, Djemaouni s’explique : «Voilà pourquoi je souriais après le match»

Sun, 23/04/2017 - 09:41

 Vous avez fait objet de virulentes critiques suite à l’occasion de but manquée en fin de partie et qui a privé votre équipe de prendre les trois points de la rencontre… 
Je comprends les supporters qui ont parcouru des kilomètres pour assister à la rencontre, et il est de leur droit de me critiquer d’avoir raté le but de la victoire dans les dernières secondes des arrêts de jeu, mais ils doivent me comprendre aussi car même moi je voulais marquer le but et aider mon équipe à gagner. 
A quoi attribuez-vous ce manque de confiance qui s’est répercuté négativement sur vous ? 
Il est évident que lorsque vous ne jouez pas, vous manquez de réussite, et je ne vous cache pas que je voulais rentrer bien avant car je connais bien ce stade Zabana, où j’ai des repères. Mais une fois sur le terrain j’ai eu une occasion qui ne se répétera même pas dans mes rêves. Je n’ai pas donc à parler plus et je dirais seulement que la malchance me poursuit.
Qu’avez-vous ressenti après avoir manqué cette opportunité d’offrir les trois points à votre équipe ?
Je n’en revenais pas. Croyez-moi, je n’ai pas fermé l’œil durant toute la nuit à cause de cette occasion en or et qui pouvait me remettre en confiance. Une fois de plus, je dirais que les supporters ont le droit de me critiquer après avoir manqué un but tout fait. 
Les supporters sont plus mécontents après avoir vu une photo en fin de partie où vous étiez en train de rigoler…
Vous me donnez l’occasion pour bien m’expliquer sur ce sujet. En rejoignant les vestiaires, je mes suis mis le maillot sur le visage, pour cacher ma déception, mais sur l’action l’un des journalistes que je connais m’a appelé pour me dire que je manquais terriblement de chance et je me suis tourné vers lui tout en souriant malgré le fait que j’avais la mort dans l’âme. C’est à ce moment-là qu’on m’a pris en photo et tout le monde pensait donc que je rigolais, croyant que j’étais indifférent au sort du match, malgré le fait que j’étais très déçu.   
  On laisse croire que vous avez refusé de rentrer lorsque Mouassa vous a demandé de prendre votre place sur le terrain…
Effectivement, j’avais refusé de rentrer car je voulais avoir plus de temps de jeu et je me suis dit qu’en bénéficiant seulement de cinq minutes de jeu, je n’allais pas bénéficier de suffisamment de temps pour toucher le ballon. Mais par la suite j’ai respecté la décision du coach et j’ai pris ma place sur le terrain et personne ne sait ce que lui réserve le destin, car une occasion de but s’est présentée à moi, que je n’aurai peut-être pas eue même si j’avais été aligné d’entrée. 
Peut-on dire que votre refus de prendre votre place sur le terrain vous a déconcentré ?
Oui, il se pourrait, car en effectuant m’a rentrée sur le terrain j’étais un peu perturbé et c’est la raison pour laquelle j’ai raté cette occasion. Il faut savoir aussi que j’ai un peu perdu confiance, ce qui peut expliquer aussi le penalty raté face à la JSK. Cependant, il ne faut pas oublier qu’il y a une grande pression au Mouloudia et cela contrairement à celle des autres équipes, et il faut que tu marques dès que tu effectues ta rentrée sur le terrain. 
Après tout ce que vous avez enduré cette saison, est-ce que vous pensez à changer d’air en fin  de saison ? 
Il est prématuré pour parler de la fin de saison et une fois qu’on terminera cet exercice, il se pourrait que je pense à mon avenir. Il ne faut pas oublier que je n’ai pas eu l’occasion de jouer beaucoup de matchs cette saison et si j’avais eu plus de temps de jeu, les choses auraient pu changer pour moi. 
Mais vous n’avez jamais réussi à donner un plus lorsque vous jouez… 
Je n’ai jamais aligné de matchs de suite comme titulaire, car à chaque fois je me retrouve même en dehors de la liste des dix-huit. Contrairement aux autres joueurs, je n’ai pas bénéficié de beaucoup de chance, car certains éléments et malgré le fait qu’ils n’aient pas eu le rendement souhaité, ils ont continué à jouer ce qui leur a permis de gagner en confiance, contrairement à moi. Par exemple, ce sont tous les joueurs qui sont passés complètement à côté de leur sujet face à l’USMA, mais j’étais le seul qui s’est retrouvé en dehors de la liste des dix-huit le match suivant. Je peux dire toutefois que la faute n’incombe pas aux entraineurs, pour me donner plus de chance, car lors de la phase aller on ne pouvait changer une équipe qui gagne et de mon côté je peux vous dire que la chance m’a tourné le dos. 
Le coach n’a pas manqué de vous défendre en fin de partie…
Je connais bien Mouassa et je demande seulement qu’il me donne plus de chance pour jouer deux à trois rencontres d’affilée, et si je n’arrive pas à le convaincre, il n’y a aucun problème si je ne rejoue pas. 

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MCA : Mouassa : «Le titre est toujours possible, mais attention à l’USMBA et l’USMA !»

Sun, 23/04/2017 - 09:39

A l’issue de la rencontre disputée face au MCO et malgré le fait que l’équipe ait perdu deux précieux points, Kamel Mouassa garde toujours l’espoir de pouvoir coiffer l’ESS au poteau : «Certes, on pouvait gagner et l’écart de points, qui nous sépare de l’ESS, est de dix longueurs, mais il ne faut pas baisser les bras et il faut continuer à croire que le titre est toujours possible. Toutefois il faut faire aussi attention à l’USMBA et l’USMA qui sont capables de revenir en force et jouer aussi pour le titre. Il faut donc lutter et essayer de récolter le maximum de points jusqu’à la fin du parcours». 

«On pouvait tuer le match en première mi-temps» 
Le coach du MCA et en parlant de la rencontre en elle-même, estime que son équipe pouvait sceller le sort de la rencontre : «On s’est déplacés à Oran avec la ferme intention de gagner ce match, malgré le fait qu’on allait affronter une équipe qui n’a réussi qu’une seule victoire depuis l’entame de la phase retour. La rencontre était équilibrée, mais on s’est créé les occasions les plus franches et on pouvait tuer le match en première mi-temps, n’était  l’efficacité qui nous a fait défaut une fois de plus. Je peux dire qu’on a gagné un point, mais on a aussi perdu deux autres». 

«Je ne comprends pas ce qui nous arrive en championnat»  
Pour expliquer les résultats réalisés en phase retour, contrairement aux rencontres de coupe d’Afrique où l’équipe carbure à plein régime, le coach nous confie : «Je ne comprends pas ce qui nous arrive dans les rencontres de championnat, car en coupe d’Afrique on arrive à mieux s’exprimer et on trouve toujours le chemin des filets. Je pense toutefois que ce sont les calculs qui influent négativement sur l’équipe et j’ai demandé aux joueurs d’essayer d’oublier la première place du classement et se libérer pour s’exprimer sur leur véritable valeur et essayer de réaliser les résultats souhaités». 

«J’aurais souhaité que Djemaouni m’offre un but qui est équivalent à trois points» 
En revenant sur le but manqué par Djemaouni dans l’ultime minute des arrêts de jeu, le coach a pris la défense de son joueur et dira : «J’aurais souhaité que Djemaouni m’offre un but qui est équivalent à trois points, mais il ne faut pas oublier que le joueur a traversé des moments difficiles depuis l’entame de la saison et cette situation a influé négativement sur son rendement. Il ne faut pas en vouloir au joueur, au contraire, on doit l’aider pour remonter la pente». 

«Les absences ne nous ont pas perturbés et je ne crains pas la fatigue»
Abordé sur les absences qu’a connues son équipe pour cause de blessure ou de suspension, ainsi que le calendrier chargé qui l’attend, Kamel Mouassa se montre confiant : «Ecoutez, le football est un sport collectif et ce n’est pas l’absence d’un ou deux joueurs qui va nous perturber. Malgré le fait qu’on était amoindris, je pense que nous avons dominé les débats, et la force de mon équipe est dans l’esprit du groupe. Quand vous me parlez de l’enchaînement des rencontres, il faut savoir qu’on a profité des arrêts du championnat pour bien se préparer sur le plan physique, ce qui nous permettra de faire face à la programmation et terminer la saison en force.  Pour ce qui est de la rencontre qui nous opposera au MOB, on doit la gagner afin qu’on puisse rester en course pour le titre». 
 

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Mandi : «Pas grand-chose à dire d’Alcaraz, on va apprendre à le connaitre»

Sun, 23/04/2017 - 09:38

Le défenseur et capitaine d’équipe de l’EN, Aïssa Mandi a confié dans la presse espagnole que ses camarades et lui en sélection vont tout faire pour faciliter la tâche au nouveau sélectionneur des Verts, Lucas Alcaraz. Invité à livrer ses impressions sur la nomination de  l’ex coach de Granada CF à la tête de la barre technique des Verts, Mandi très réaliste a déclaré au journal estadiodeportivo.es : «Je ne connais pas personnellement Lucas Alcaraz, donc je ne peux pas émettre beaucoup de commentaires à ce sujet. Tout ce que je connais sur lui, est que nous avons joué contre lui lorsqu’il était à  Grenade.  Nous allons le rencontrer lors du prochain stage  en Juin et on va apprendre à connaître sa méthode de travail, son  caractère et sa mentalité.» 
«On va tout faire pour l’aider à atteindre les objectifs de l’EN» 
Aïssa Mandi reconnait toutefois qu’un grand travail attend le nouvel entraîneur de la sélection nationale. Il rajoute que les joueurs seront là pour l’aider à atteindre les objectifs à atteindre sous sa coupe : «Je ne pense pas que le fait  de jouer  en Espagne  va me servir particulièrement, après, nous avons de très grands joueurs qui évoluent dans les meilleurs championnats européens, et on va l’aider à réaliser nos objectifs. Nous avons des défis intéressants, avec les éliminatoires de la  Coupe d’Afrique des nations et d’autres matchs importants à jouer, donc beaucoup de travail nous attend».
«Avec Brahimi, Feghouli et moi même, le problème de la langue ne se posera pas»
Interrogé si le problème de la langue espagnole serait un handicap pour les joueurs de la sélection nationale, Aïssa Mandi qui a appris l’espagnol, déclare : «Lors de son discours  en conférence de presse, Alcaraz a dit qu’il va apprendre le Français rapidement, mais en attendant, je crois que la présence des joueurs qui maitrisent bien l’Espagnol à l’image de  Feghouli ou Brahimi qui parlent aussi couramment la langue, aidera à servir de traducteurs avec nos camarades en sélection.»
«Notre génération est loin d’être finie, on va revenir en force» 
Pour terminer Aïssa Mandi rappelle que cette génération de joueurs doués n’a pas encore dit son dernier mot même si pour le Mondial de Russie cela semble mal parti. Il promet que l’Équipe nationale va revenir en force lors des prochains jours. «Si tout va bien avec lui, nous pourrons bâtir cette grande équipe d’Algérie. Le football en Afrique est certes très difficile, car il y a de grandes sélections. La nôtre l’est aussi. Même si beaucoup de choses se sont passées lors de la dernière CAN, on est encore loin de la fin d’une génération surtout que la plupart de nos meilleurs joueurs restent dans l’équipe. Nous allons essayer de revenir de très forts pour atteindre nos objectifs.» 
 

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Barça : Luis Enrique évoque les enjeux de ce Clasico

Sun, 23/04/2017 - 09:37

En conférence presse d’avant-match, Luis Enrique a détaillé les enjeux du Clasico : « Beaucoup de choses rendent spécial ce Clasico. D’abord, la saison est très avancée. C’est la 33e journée. Ensuite, nous affrontons notre éternel rival qui est leader du championnat. L’objectif est d’être fidèle à notre style de jeu. Ce serait absurde de penser différemment. Mais il faudra aussi être très efficaces pour contrer les nombreuses qualités de l’adversaire et pour affirmer les nôtres. J’espère que nous serons capables de contrôler et de dominer le match. Pour nous, la victoire est le seul résultat intéressant ». Des propos relayés par L’Equipe.

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OL : Ghezzal absent lors du choc face à Monaco

Sun, 23/04/2017 - 09:33

En plus d’Alexandre Lacazette, blessé durant la rencontre contre le Besiktas en Ligue Europa jeudi, l’entraîneur rhodanien doit aussi se passer de Nabil Fekir, Rachid Ghezzal, Emmanuel Mammana et Jérémy Moirel comme l’indique Sport24. Les trois premiers sont blessés tandis que Morel a été laissé au repos. Il pourra par contre aligner Memphis Depay, pas qualifié en C3 avec l’OL, et Rafael, suspendu contre les Turcs. 

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MCA : Ghrib : «Les joueurs ont été des hommes sur le terrain, et rien n’est encore perdu»

Sun, 23/04/2017 - 09:33

Après la rencontre devant le MCO, Omar Ghrib semble satisfait de son équipe, car même si le Doyen pouvait revenir avec une victoire à la maison, il n’en demeure pas moins que le fait de prendre un point en déplacement, tout en étant handicapé par plusieurs absences, reste une bonne performance. «Les joueurs étaient des hommes sur le terrain et ont fourni les efforts nécessaires, ce qui nous a permis de réaliser un bon résultat. Il est vrai qu’on aurait souhaité empocher les trois points, mais il ne faut pas oublier que nous étions amoindris et les joueurs qui ont pris leur place sur le terrain ont réussi à relever le défi. Pour ce qui est du titre, je peux vous dire que rien n’est encore perdu et on va lutter jusqu’à la fin. Cependant, et si on ne réussira pas à terminer champion, on assurera une participation en Ligue des champions et c’est l’objectif qu’on s’est fixés avant l’entame du championnat», dira Ghrib 

«Il ne faut pas critiquer les attaquants, ce sont les mêmes joueurs qui ont inscrit quatre buts face aux Young Africans»
Sachant que les attaquants ont fait l’objet de virulentes critiques suite aux occasions manquées, le président a tenu à défendre ses éléments, car même s’ils n’avaient pas eu la réussite de leur côté, ces derniers n’ont pas démérité. A ce sujet, il répondra : «Certes nous avons manqué des buts, mais il ne faut pas critiquer les attaquants, car ce sont les mêmes joueurs qui ont inscrit quatre buts face aux Young Africans. Ainsi, il faut encourager l’équipe pour qu’elle puisse réaliser les résultats escomptés pour le reste du parcours».      

«On doit gagner face au MOB pour rester dans la course au titre»
Evoquant la rencontre que son équipe livrera ce mardi contre le MOB, le premier responsable du Mouloudia se montre confiant : «On doit gagner notre match face au MOB, car c’est une rencontre qu’on jouera sur notre terrain et on n’a pas droit à l’erreur. Une victoire nous permettra de reprendre la seconde place du classement, qui nous incitera à rester en course pour le titre, car il faut y croire jusqu’à la dernière minute».   

«Le retour des blessés apportera un plus»
Comme le Mouloudia a été privé de quelques joueurs pour cause de blessure, Ghrib estime que son équipe sera plus forte pour cette fin de saison : «Les joueurs n’ont pas démérité et nous avons un effectif riche et chacun essaye de donner le meilleur de lui-même. Le retour des joueurs blessés va apporter un plus et on terminera la saison en force».

«Avec Ghrib, le Mouloudia a retrouvé sa notoriété» 
Le premier responsable du club est revenu sur l’accueil chaleureux réservé par le MCO à son équipe, en nous confiant :  «Je remercie le MCO pour cet accueil qui atteste les relations fraternelles entre les deux clubs. Avec Ghrib, le Mouloudia a retrouvé sa notoriété et la où l’équipe se déplace, elle est bien reçue, et l’époque des scandales est révolue». 

«Meçabih a besoin du soutien de tout le monde, car il a beaucoup donné au football algérien» 
Abordé au sujet de Meçabih qui a été honoré, Ghrib a montré son soutien indéfectible à l’ancienne star de l’EN. «Meçabih a besoin du soutien de tout le monde dans ces moments difficiles,  car il a beaucoup donné au football algérien. Je remercie les auteurs de cette belle initiative d’honorer Meçabih et à leur tête la direction du MCO», conclut Ghrib. 
 

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CRB : Reda Malek : «J’ai laissé six milliards et je vais saisir la justice»

Sun, 23/04/2017 - 09:22

L’ancien président du Chabab de Belouizdad n’a pas attendu longtemps pour répondre à la dernière sortie médiatique de Karim Chettouf, le président du CSA/CRB, qui est intervenu hier matin sur les ondes de la radio Chaîne III. Joint par nos soins, Reda Malek a répondu aux accusations de Karim Chettouf concernant l’avance encaissée de la part d’Ooredoo par l’ancienne direction belouizdadie. « Sincèrement, j’étais surpris d’entendre que ma direction a retiré l’argent d’Ooredoo et que le club ne bénéficiera pas d’argent cette saison. C’est totalement faux. J’ai laissé six milliards de centimes de la saison 2015-2016, et ce sans oublier les rentrées de 2017. Et j’ai les documents pour le prouver », a-t-il déclaré.

«C’est pour cette raison qu’on a demandé une avance d’Ooredoo»
Concernant l’avance qu’a reçue sa direction de la part du principal sponsor du club Ooredoo, Reda Malek a tenu à éclaircir les choses pour qu’il n’y ait pas de mauvaises interprétations. « Ooredoo, qui es notre principal sponsor, a diminué ses contributions pour la saison sportif 2015-2016, et ce pour tous les clubs algériens. Ce qui nous a poussé à réfléchir à la possibilité de changer de sponsor après la fin du bail avec Ooredoo. Mais après des négociations, on a pu obtenir une avance de la saison 2018, et ce pour mieux gérer les problèmes rancuniers qui secouaient le club à l’époque », a-t-il expliqué.

«J’ai investi de ma propre poche pour le Chabab» 
Reda Malek a poursuivi son discours en évoquant les difficultés rencontrées lorsqu’il était venu occuper le poste de président du Chabab et en rappelant tout l’argent qu’il a dépensé de sa propre proche pour aider le CRB a sortir de la crise. « Comme ils parlent d’argent, il faut savoir que quand je suis venu au CRB, le club croulait sous les dettes. Mais cela ne m’a nullement découragé. Bien au contraire, je me suis investi à fond et j’ai injecté de l’argent de ma propre poche pour sauver un club cher à mon coeur. Pourquoi ils ne font pas de même ? Pourquoi ils n’investissent pas de leur propre argent ? » se demande-t-il.

«Pendant mon mandat, personne ne se plaignait des mensualités impayées»
L’ancien numéro un de la direction belouizdadie ne s’est pas arrêté là. Il a tenu aussi à rappeler que pendant son règne, aucun joueur ne s’est plaint de ses mensualités auprès de la CRL, contrairement à ce qui se passe aujourd’hui avec Niati, Belaili et Feham. Une preuve, selon lui, de la mauvaise gestion du club actuellement. « Je ne comprends pas comment une direction ne peut pas assumer les mensualités des joueurs. Ils ont tenté d’expliquer ça par le fait que la masse salariale est trop élevée (2 milliards de centimes, ndlr). Mais il faut qu’il sache qu’à mon époque, j’ai essayé de la baisser jusqu’à 1 milliard 800 millions. De plus, aucun joueur ne s’est plaint concernant ses salaires », a-t-il ajouté.

«J’ai joué les premiers rôles mais ils m’ont critiqué»
Après le volet financier, Reda Malek s’est penché sur son bilan sportif qu’il a défendu bec et ongles en rappelant qu’à son époque, le Chabab de Belouizdad jouait les premiers rôles du championnat mais cela n’a pas empêché des personnes proches du club de le critiquer juste parce qu’il n’a pas réussi à gagner un titre. Sur ce sujet, il a déclaré : « L’année dernière, j’ai terminé la saison à la quatrième position et la saison d’avant, j’ai joué les premiers rôles du championnat mais on m’a tout de même critiqué parce que je n’ai pas réussi à dérocher un titre. Mais au moins, pendant mon passage au CRB, personne ne s’est plaint à la CRL pour ne pas avoir été payé. » 

«Le club était au bord du gouffre avant ma venue»
En évoquant son passage au Chabab de Belouizdad, Reda Malek n’a pas pu s’empêcher de revenir au contexte économique et sportif qui l’ont vu venir à la tête de l’un des clubs les plus titrés en Algérie : « Lorsque je suis venu au CRB, le club était menacé de disparition. Il croulait sous les dettes. J’ai investi de mon propre argent pour le sauver et lui permettre de continuer d’exister parmi l’élite. Mais, il y a une chose qui m’intrigue : où sont les hommes et les milliards qu’ils ont évoqués avant mon départ ? » 

«Qu’ils prennent à leur compte les dettes comme je l’ai fait»
Concernant les dettes qu’il a laissées après son départ à l’instar de l’affaire N’gomo et Aoudou qui ont saisi la FIFA dernièrement, Reda Malek a répondu : « Peut-être que j’ai laissé quelques dettes après mon départ mais en même temps je n’ai pas laissé les caisses du club vides. Bien au contraire. J’ai laissé de l’argent derrière moi. Et puis, pourquoi ils ne prennent pas à leur compte les dettes du club, comme je l’ai fait moi-même lorsque j’ai pris les reines du club et comme l’a fait aussi Gana avant moi ? » 

«Je ne vais pas me taire !»
Pour finir, Reda Malek a menacé la direction actuelle en recourant à la justice et de déposant une plainte contre le porte-parole officiel du club, Karim Chettouf, qui a déclaré dernièrement que la direction de Malek avait pris une avance sur l’argent d’Ooredoo. « Je ne compte pas me taire après tout ce qui a été dit sur moi et sur mon administration. Je vais recourir à la justice pour déposer une plainte contre eux parce que tout ce qu’ils ont dit n’est que mensonges. J’ai tout les documents pour le prouver », a-t-il menacé. 

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MOB : Belkacemi : «Nous allons affronter le MCA comme s’il s’agissait d’un match capital»

Sun, 23/04/2017 - 09:22

Le jeune attaquant du MOB, Ismaïl Abdelfetah Belkacemi, paraît très optimiste à la veille de la reprise de la compétition et de la rencontre face au MCA. Dans cet entretien, il nous fait part de la détermination de ses coéquipiers à réaliser un bon résultat ce mardi. 

À l’approche du match contre le MCA, quel est l’état d’esprit qui prévaut au sein de l’équipe ?
Comme vous l’avez constaté, le groupe se prépare dans de très bonnes conditions en prévision de notre prochain match. Pour le moment on est bien concentrés sur le prochain contre le MCA que nous ne devons pas rater. On fera de notre mieux pour revenir avec un bon résultat ce mardi. 
Après trois semaines très chargées, l’heure de vérité a sonné. Êtes-vous prêts pour cette partie ? 
Oui, nous sommes prêts pour cette partie importante pour les deux équipes qui comptent gagner ce match. Après plusieurs jours de travail au cours de cette trêve, tous les joueurs sont très motivés pour cette rencontre qui ne doit pas nous échapper. J’espère qu’on sera à la hauteur. 
Comment voyez-vous cette rencontre ? 
Ce sera avant tout un match comme les autres, l’équipe du MCA est une bonne équipe qui reste sur un match nul ramené de l’extérieur. Il est clair que ce sera un match difficile entre deux équipes qui pratiquent un beau football. De notre côté, je pense qu’on est très conscients de la tâche qui nous attend devant cette formation. On fera tout pour ne pas revenir bredouilles. 
  Quelle sera la clé de ce match pour votre équipe ? 
L’équipe du MCA n’est plus cette équipe qui joue pour le maintien. C’est une très bonne équipe qui possède de bonnes individualités. J’estime que c’est dans le mental que tout va se jouer lors de cette empoignade. Pour espérer gagner face au MCA, il faut être forts mentalement et jouer pour gagner. C’est ainsi que nous pourrons les battre. 
Allez-vous vous donner à fond sur le terrain même si la partie n’a aucun enjeu ? 
Effectivement, ce sera sans enjeu pour nous, mais pour eux ce sera le match de la confirmation. Nous allons sortir le grand jeu car nous songeons à terminer la saison avec les honneurs. Nous allons prendre notre adversaire très au sérieux comme s’il s’agissait d’un match capital. 
Trouvez-vous important de finir l’exercice en force malgré que vous ayez perdu vos chances de vous maintenir ? 
Oui, nous avons besoin de terminer la saison en force. C’est vrai, ce sera une mission délicate, mais pas impossible. Nous avons une idée maintenant sur le MCA. Certes, le MOB a pratiquement perdu toutes ses chances de rester parmi l’élite, mais ce n’est pas une raison de tout lâcher maintenant. Nous allons quand même nous battre jusqu’au bout. 
Mais certains disent que votre sort est déjà scellé et qu’il est utile de penser à la saison prochaine dès maintenant ?
Oui, notre situation est très compliquée à présent. Je sais qu’on a raté plusieurs matches et désormais ce sera difficile pour nous de nous ressaisir. Toutefois, on doit quand même jouer nos sept derniers matches avec la même détermination. Notre motivation est toujours la même. Nous ambitionnons de terminer la saison en force, car nous abordons chaque match avec la ferme intention de le gagner et ce sera le cas donc ce mardi face au MCA. 

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Alors que Zetchi veut toujours le 5-Juillet, Alcaraz …….

Sun, 23/04/2017 - 09:20

Le sujet de la domiciliation des prochaines rencontres de la sélection nationale attire toujours l’attention des spécialistes et de l’opinion publique. Tout le monde s’interroge en effet si l’EN va rester au stade Mustapha Tchaker de Blida ou retournera au stade du 5-Juillet que les spécialistes qualifient de tribunal. Arrivé à Alger mardi, le sélectionneur national, Lucas Alcaraz, est allé, jeudi dans la matinée, visiter les deux stades. Les deux stades lui ont laissé une bonne impression, mais avec un penchant pour le stade olympique vu sa grandeur et l’excellent état de pelouse. Mais Lucas Alcaraz n’a encore rien décidé, contrairement à tout ce qui se dit. Le sélectionneur national prendra une décision finale à son retour à Alger prévu ce jeudi. 
Il a décidé de revoir les matchs de Blida et ceux du 5-Juillet pour faire une analyse
Du côté de la FAF, on a expliqué au nouveau sélectionneur la situation et le fait que l’EN joue ses matchs à Blida et non pas au stade du 5-Juillet. La situation est très simple. Les joueurs veulent jouer à Blida car là-bas le public est moins exigeant et moins virulent par rapport à celui du stade du 5-Juillet. Les joueurs n’ont toujours pas   oublié ce qui s’est passé en octobre 2015 lorsqu’ils ont été sifflés et insultés par le public du stade olympique lors des deux matchs amicaux  face à la Guinée et au Sénégal. D’ailleurs, ces deux matchs avaient provoqué la crise au sein de l’EN et provoqué aussi le départ du sélectionneur de l’époque, Christian Gourcuff, qui a jeté l’éponge trois mois plus tard. Et face à cette situation, Lucas Alcaraz a demandé à revoir les matchs de l’EN à Blida mais aussi ceux de la Guinée et du Sénégal pour faire une analyse   de la situation. C’est pour cette raison que la décision finale sera prise à son retour. En Espagne, il aura le temps de revoir les matchs en question. 
Il va demander l’avis des joueurs
Face à cette situation, et surtout que l’EN reste sur une déroute lors de la CAN au Gabon et que le peuple est très remonté contre les joueurs, Lucas Alcaraz a décidé  de prendre l’avis des joueurs qui sera déterminant pour choisir le stade qui va abriter la rencontre amicale face à la Guinée le 6 juin prochain puis le match du Togo, une semaine plus tard, pour le compte de la première journée des éliminatoires de la CAN 2019. 
Un premier contact avec les joueurs ces jours-ci
Dans cette situation, le sélectionneur national va avancer l’étape de prise de contact avec les joueurs de la sélection. Alors qu’il était prévu que cela se fasse au cours des rencontres lors de la tournée européenne du coach prévue au mois de mai, Lucas Alcaraz contactera les joueurs avant son retour à Alger pour avoir leur avis sur la question. 
Zetchi veut toujours le 5-Juillet
Même si l’EN se dirige vers la réception des deux matchs au stade Mustapha-Tchaker de Blida,   le président de la FAF, Kheireddine Zetchi, souhaite que l’EN revienne au stade olympique d’Alger qui est le plus grand stade du pays. Mais la situation actuelle de l’EN l’oblige   à temporiser pour le retour au stade du 5-Juillet vu que les joueurs, qui restent sur un échec humiliant lors de la dernière CAN en janvier, redoutent une mauvaise réaction des supporters. 

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L’assistant de Alcaraz sera désigné au …..

Sun, 23/04/2017 - 09:07

Concernant la composante du staff technique de l’EN, aucune décision n’a encore été prise du côté de la FAF ou même de Lucas Alcaraz qui a laissé  la Fédération la liberté du choix pour désigner un assistant et un entraîneur des gardiens. Selon une source bien informée, le sujet sera déballé lors de la prochaine réunion du bureau fédéral qui aura lieu dimanche prochain au CTN de Sidi-Moussa. 
Madoui en pole position 
Selon une source crédible, c’est Kheireddine Madoui qui tient la corde pour seconder Lucas Alcaraz. Le président de la FAF, Kheireddine Zetchi, veut Madoui pour  son expérience africaine acquise avec l’ES Sétif et la consécration continentale remportée   en 2014. Du coup, le président de la FAF veut tirer profit de son expérience africaine surtout que Alcaraz et ses assistants espagnols ne connaissent pas le football africain. Il est à noter que dans l’entourage de la Fédération plusieurs noms avaient circulé comme Mounir Zeghdoud, Chérif El Ouazzani Si Tahar et Omar Belatoui. 
Il sera aussi sélectionneur des A’
Dans le projet de Zetchi, l’assistant local sera en même temps le sélectionneur des A’. C’est ce qu’il a décidé surtout que les locaux sont actuellement sans entraîneur après la démission de Taoufik Korichi, qui avait assuré l’intérim jusque-là. Ainsi, Khiereddine Madoui sera aussi le sélectionneur des A’. Lors de la réunion du BF, la question sera tranchée et il faut s’attendre à une nomination de Madoui au vu de son CV très intéressant. 
Zetchi veut un staff élargi et homogène
Zetchi veut cette fois instaurer un staff technique assez élargi  pour que les entraîneurs travaillent en étroite collaboration. Son prédécesseur, Mohamed Raouraoua, voulait instaurer cette politique mais il n’avait pas pu le faire, compte tenu du programme de toutes les sélections. Reste à savoir si l’ancien président du PAC pourra   l’instaurer. 

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Le sélectionneur depuis hier à Alicante
Comme prévu, le sélectionneur national, Lucas Alcaraz, est chez lui depuis hier. Il a rallié la ville d’Alicante à partir d’Oran où il a passé la nuit en compagnie du manager général, Hakim Meddane, après avoir suivi, vendredi, la rencontre MCO-MCA. Son retour pour Alger est prévu en principe pour jeudi.

Le match de la Guinée officialisé
Le match amical Algérie-Guinée a été officialisé. La Fédération algérienne de football et son homologue guinéenne se sont mises d’accord sur tous les détails concernant la tenue de cette rencontre qui aura lieu le 6 juin à partir de 22h dans un stade qui sera déterminé prochainement. Les Guinéens ont donné ainsi une réponse favorable à la FAF. La rencontre aura lieu  au cours d’une soirée de Ramadhan. Les deux Fédérations vont signer la convention dans les tout prochains jours. 

Des précurseurs de la FAF en Zambie prochainement
Selon une source bien informée, une délégation de la FAF sera en Zambie, précisément à la ville de Ndola qui va abriter le match face à l’Algérie au début du mois de septembre. Les précurseurs algériens iront ainsi préparer le séjour de l’EN qui va durer 48 heures seulement. Selon la même source, la délégation algérienne devrait être composée du président de la commission des équipes nationales, Djahid Zefzef, du manager général de l’EN, Hakim Meddane, ainsi que le cuisinier-chef, Farid Nemiri. 

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USMA : Meftah sera présent contre la JSK

Sun, 23/04/2017 - 09:06

Pour une bonne nouvelle, s’en est une ! Mohamed Rabie Meftah n’a finalement rien de grave. L’arrière latéral droit des Rouge et Noir a contracté une blessure lors du match amical disputé mercredi passé à Bologhine contre l’Olympique de Médéa et perdu sur le score de deux buts à zero. Ne souffrant que d’une contusion   de la cuisse, le défenseur international sera bel et bien présent à Tizi Ouzou mardi. C’est en tout cas ce que nous avons pu apprendre d’une source proche de ce dossier. Une information qui ne devrait que réjouir le coach mais surtout les supporters vu le poids de cet élément au sein du groupe. Considéré comme un élément clé dans le onze du Belge,  celui qui a été formé et révélé à la JSK, avant de rejoindre la JSMB puis l’USMA, fera son retour au stade du 1er-Novembre et tentera donc de tenir son rôle comme il l’a si bien fait jusque-là sur et en dehors du terrain. Reste à savoir maintenant si sa présence sera suffisante pour permettre aux siens de réaliser le meilleur résultat possible contre les Canaris. Réponse après la fin de cette partie.
Il reprendra ce matin
Laissé au repos jeudi et vendredi, Mohamed Rabie Meftah s’est contenté de subir  des soins tout en appliquant un programme spécifique afin de garder la forme. Un tel traitement a permis à l’arrière latéral des Rouge et Noir de se sentir mieux et du coup il pourra se joindre une nouvelle fois à ses coéquipiers dès aujourd’hui puisque c’est ce dimanche que les Usmistes se remettront au travail pour faire les dernières retouches avant qu’ils se rendent à Tizi Ouzou lundi. 
Benguit est prêt à le remplacer
Ne voulant pas rater cette rencontre, Mohamed Rabie Meftah est prêt à faire les efforts nécessaires pour tenir son rôle et il est bien parti pour pouvoir le faire. Dans le cas où il y aurait un revirement de situation, le jeune Abderraouf Benguit se dit prêt pour le remplacer. Ayant déjà accompli une telle mission par le passé, le milieu de terrain de formation prêté par le Paradou AC demeure donc une bonne option aux yeux du premier responsable du staff technique qui pourrait aussi compter sur Faouzi Bourenane pour tenir une telle mission même si celui qui a rejoint le club l’hiver passé est plus à l’aise dans un rôle plus offensif.
 

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