Le président américain Donald Trump a tweeté mardi qu’il autorisait le Japon et la Corée du Sud à acheter des armes américaines « ultra sophistiquées » dans un contexte de tensions exacerbées avec la Corée du Nord qui vient de procéder à son sixième essai nucléaire.
M. Trump n’a pas précisé dans l’immédiat quels types d’armes pourraient être concernés.
Le président américain Donald Trump a évoqué ce sujet lundi lors d’un échange téléphonique avec son homologue sud-coréen Moon Jae-In.
« Le président Trump a donné son accord de principe pour l’achat par la Corée du Sud aux Etats-Unis d’équipements militaires et d’armes d’une valeur de plusieurs milliards de dollars », avait indiqué la Maison Blanche, mais là encore sans aucune précision.
I am allowing Japan & South Korea to buy a substantially increased amount of highly sophisticated military equipment from the United States.
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) 5 septembre 2017
Entre 2010 et 2016, Séoul a acheté près de 5 milliards de dollars de matériel militaire aux Etats-Unis, selon les calculs du Stockholm International Peace Research Institute.
Le Japon est également un des très gros clients de l’industrie de l’armement américain.
Les Etats-Unis, avec leurs alliés européens et japonais ont annoncé lundi négocier de nouvelles sanctions sévères de l’ONU contre la Corée du Nord mais la position de Pékin et Moscou, dotés d’un droit de veto au sein du Conseil de sécurité, reste incertaine.
Le roman « Nos richesses » de l’écrivaine algérienne Kaouthar Adimi a été nominée dans les listes des prétendants aux prix littéraires francophones Renaudot et Goncourt.
Le jury du prix Renaudot a dévoilé sa liste de prétendants lundi 04 septembre 2017. Le gagnant sera connu le 6 novembre prochain. Au total 16 récits et 5 essais ont été retenus, dont « Nos richesses », troisième roman de Kaouthar Adimi et Salim Bachi pour son roman « Dieu, Allah, moi et les autres » paru chez Gallimard.
Né en 1971 à Alger, Salim Bachi qui s’était illustré avec « Le chien d’Ulysse », plusieurs fois primé en France, dont le Goncourt en 2001, a publié une dizaine d’autres romans et essais dont « La Kahéna » (2003), « Tuez les tous » (2006), « Le dernier été d’un jeune homme » (2013), ou encore « Le consul » (2014).
Publié en août chez le « Seuil », le roman « Nos richesses » raconte de son côté le retour, en 1935 à Alger, de l’éditeur, libraire et « passeur de livres » Edmond Charlot pour y ouvrir une bibliothèque-librairie, inspiré, voire époustouflé par la bibliothèque d’Adrienne Monnier à Paris. A travers cette maison d’édition, Charlot sera amené à publier des auteurs comme Jean Amrouche, Emmanuel Roblès, Garcia Lorca, Mouloud Feraoun ou Albert Camus.
Un lieu historique, actuellement sous l’égide de la BNA, que Ryad, la vingtaine, dont l’indifférence pour la littérature est racontée par une autre voix, s’attellera à fermer en 2017 pour remplacer les livres par des beignets, sous le regard impuissant de Abdallah.
Un roman également sélectionné par le Prix Goncourt dans une liste de prétendants dévoilée ce matin par son jury.
Avant Kaouthar Adimi, Boualem Sansal est le dernier auteur algérien a avoir été sélectionné pour le prix Goncourt pour son roman « 2084 ».
La plupart des hadjis algériens ont regagné la Mecque pour le dernier jour de Tachriq, avant de prendre leur premier vol vers le pays à partir du 6 septembre.
La mission algérienne a mobilisé plusieurs bus pour transporter les hadjis, tandis que d’autres ont préféré marcher vu l’encombrement au niveau des routes, a déclaré le responsable du bureau des affaires des hadjis à la Mecque, Boudraa Zahir, soulignant que « toutes les dispositions nécessaires ont été prises au profit des hadjis ».
Les éléments de la protection civile, de la prise en charge sanitaire et de l’orientation religieuse ont mobilisé leur effort pour mener à bien l’accomplissement des hadjis de leur rite, a précisé M. Boudraa. Il a ajouté que des mesures ont été assouplies grâce à la grande mobilisation des membres de la mission, d’autant que le grand nombre des hadjis algériens accueillis à la Mecque est de 36.000″.
Malgré les difficultés rencontrées, les membres de la mission ont accompli un « excellent » travail puisque ils ont apporté aide et soutien aux hadjis durant tout leur séjour sur les Lieux Saints.
Cette situation a sérieusement affecté le cadre de vie des habitants, et même des riverains.
Les habitants de l’îlot 407 et riverains de cette allée, relevant de la commune de Bir El Djir, situé sur le CW 75, pointent un doigt accusateur sur la situation qui prévaut dans leur quartier.
Très tôt, tous les matins, des dizaines de camions, remorquant des bétonnières, viennent prendre place sur toute l’allée squattant l’asphalte durant toute la journée, portant ainsi un grave préjudice aux habitants et commerçants du quartier. Aucune autorité de l’administration locale n’a pu mettre de l’ordre et délocaliser ces engins vers le site aménagé à proximité du cimetière de la localité de Belgaïd.
Cette situation a sérieusement affecté le cadre de vie des habitants et même des riverains du quartier Canastel ‘’haï El-Menzeh’’, un secteur urbain relevant de la ville d’Oran. Le mauvais stationnement empiète sur les commerces locaux et gêne la mobilité des gens qui s’alarment face à ce désordre urbain. Des cas pareils sont vécus au quotidien par les habitants de cette agglomération, notamment au tournant, et à quelques mètres plus loin, sur le 4e périphérique, qui est également investi par des camions de gros tonnage, spécialisés dans le transport d’agrégats. Face à cette nuisance et autres préjudices causés, les riverains ne savent plus vers qui se tourner pour mettre fin à cette anarchie orchestrée par les conducteurs ambulants du BTPH, résignés à ne pas se faire expulser. Nous avons appris que ces camionneurs, transporteurs d’agrégats, ayant acquis leurs matériels via l’Ansej, et qui pénalisent les autres activités surtout celles des commerces de quartier, ne payent aucune taxe de stationnement. Où réside leur force, d’où vient cette audace qui leur permet de tenir tête aux forces de l’ordre, sachant que plusieurs tentatives de les déloger se sont avérées vaines, notamment lors des passages de cortèges officiels? Pourtant, une instruction de la wilaya d’Oran avait été émise pour les camions dont le poids varie entre 2 et 20 tonnes, leur interdisant le stationnement anarchique et la circulation aux points sensibles de tous les centres urbains d’Oran. Il s’agissait principalement du rond-point dit Acyl, l’autoroute située près de la passerelle de Sidi Bachir, haï Khemisti, dans les quartiers Gambetta, Sid Hasni et Derb, certaines artères de M’dina J’dida et à Sidi Chahmi. “Nous avions attiré à maintes reprises l’attention du wali sur la nécessité d’aménager un site de stationnement pour les transporteurs des matériaux de construction au rond-point de Canastel qui est devenu un véritable nœud gordien”, déplore un riverain.
En clair, les habitants des îlots sont unanimes à dire que l’interdiction de la circulation des poids lourds et engins de travaux publics à l’intérieur du centre urbain d’Oran doit être fermement réactivée.
Hadj Hamdouche
À la veille de la rentrée sociale, la direction de la Sûreté de wilaya de Tébessa a mis en place un plan spécial pour assurer une rentrée sans troubles, apprend-on dans un communiqué de la Sûreté de wilaya. La nouveauté est sans doute, selon le document, la présence des agents de l’ordre dans l’entourage des établissements scolaires non seulement pour assurer la sécurité des élèves et les préserver des vendeurs de drogue. La deuxième cible de la Sûreté, en termes d’importance et de priorité, les gares routières et les stations de taxi et de bus qui seront renforcées.
Par ailleurs, le quartier de Bab Zouatine qui demeure jusqu’à présent le fief des voleurs et agresseurs est concerné par ce plan. D’ailleurs la veille de la fête Aïd- El- Adha, deux personnes dont un ressortissant tunisien, ont été sauvagement agressées à l’arme blanche et délestées de leur biens.
RACHID G.
Le Salon du manuel scolaire a ouvert ses portes ce mardi à Riadh El-Feth (Alger) sous la supervision des ministres de l’Education nationale et de la Culture, respectivement Nouria Benghebrit et Azzedine Mihoubi.
Organisé par l’Office national des publications scolaires (ONPS), ce salon qui se poursuivra jusqu’au 12 septembre courant et auquel prennent part 38 exposants, permettra aux parents élèves d’acquérir les manuels et les fournitures scolaires pour leurs enfants pour la rentrée scolaire 2017-2018 prévue demain, mercredi.
Dans une déclaration à la presse en marge de l’ouverture du salon, Mme Benghebrit a rassuré les citoyens de la disponibilité des manuels scolaires au niveau des centres de distribution relevant de l’ONPS ainsi qu’au niveau des 800 librairies privées autorisées à vendre le manuel scolaire.
Les nouveaux manuels scolaires de deuxième génération (3e et 4e années primaire et 2e et 3e années moyenne) seront disponibles dans tous les établissements scolaires, au plus tard le 10 septembre en cours.
«Le manuel scolaire sera utilisé après 15 jours de la rentrée pédagogique. Cette durée permettra à l’enseignant d’évaluer l’élève», a précisé la ministre.
De son côté, le ministre de la Culture a mis l’accent sur la qualité du manuel scolaire, indiquant que les éditeurs ont pris en compte les observations des instances officielles et des parents d’élèves».
Il a, dans ce sens, appelé les opérateurs algériens à investir dans l’industrie des fournitures scolaires en vue de réduire le coût de l’importation.
APS
Au total 16 wilayas ont enregistré un déficit en matière d’eau durant cet été.
C’est ce qu’ a indiqué aujourd’hui à Alger, M. Smain Amirouche, le directeur central de l’alimentation en eau potable au niveau de ministère des Ressources en eau .
« 16 wilayas dont Annaba , Souk Ahras,Gulema et Bordj Bou Arreridj ont enregistré un déficit en matière d’eau. « Il s’agit d’un cumul de plusieurs années », a fait savoir ,M. Amirouche lors d’une conférence de presse portant sur le service public de l’eau et l’assainissement durant les fêtes de l’Aïd El Adha.
Suite à ce déficit, il a été enregistré une diminution du niveau des barrages, a ajouté M. Amirouche, soulignant la nécessite d’une gestion rationnelle » des ressources en eau. Mais ce responsable s’est bien gardé d’aborder l’envasement des barrages et le manque de dragage, ce qui aurait évité beaucoup de désagréments.
Par ailleurs, l’intervenant a affirmé qu’un programme d’urgence a été mis en place concernant notamment la distribution et la mobilisation de camions-citernes.
Et alors que des localités entières ont été sujette à un assèchement de leurs robinets, bien avant les fêtes de l’aïd, le conférencier a indiqué que la distribution de l’eau potable assurée par l’ADE, la SEAAL, la SEOR et la SEACO durant les fêtes de l’Aïd El Adha a été « globalement satisfaisante » sur l’ensemble du territoire national.
Pour le cas du complexe El Hadjar, M. Amirouche a cité plusieurs mesures qui seront mise en œuvre, dont la réalisation de cinq forages au niveau de cette usine.
F.A/Agence
ISTANBUL – Le tennisman algérien Yasser Bouchareb sera opposé samedi au Bulgare Ferdun Shevkedov, pour le compte du premier tour de la phase qualificative du tournoi international Koza Wos Cup « Futures 31 », organisé du 19 au 27 août à Istanbul (Turquie), selon le programme dévoilé par la Fédération internationale de tennis (FIT) sur son site internet.
En cas de victoire, Bouchareb (28 ans) défiera lors du second tour le vainqueur du match opposant le Croate Marko Goles Babic au Turc Recep Ulas Uzun.
Plusieurs athlètes bien positionnés dans le classement ATP seront en lice dès mardi pour le compte du premier tour du tableau final, dont le Néerlandais Tallon Griekspoor (306e), le Russe Ivan Nedelko (355e), le Bosnien Tomislav Brkic (358e) et l’Espagnol Javier Marti (393e).
Cette compétition dont le prize-money s’élève à 25.000 USD, se déroule sur les courts en terre battue du complexe sportif « Koza World of Sports ». Le tennisman algérien reste sur une défaite lors du tournoi « Futures 31 » qui s’est disputé aussi à Istanbul (Turquie), en s’inclinant dès le deuxième tour des qualifications face au Russe Ivan Korol 6-1, 6-0.
Sur les hauteurs du Moyen Atlas au Maroc, la bourgade sans histoire de Melouiya est tombée des nues après l’annonce de l’implication présumée des frères Driss et Moussa Oukabir, originaires du village, dans les attentats qui ont endeuillé l’Espagne.
Une tente Caïdale a été plantée dans un paysage rocailleux, à quelques mètres de la maison rudimentaire en pierre et en terre des Oukabir, initialement pour accueillir une cérémonie de mariage prévue de longue date, et qui s’est transformée en veillée funèbre.
« La joie a laissé place à la tristesse et à la douleur », souffle Abderrahim, la quarantaine, un des oncles des frères Oukabir.
« Nous sommes sous le choc, complètement effondrés », enchaîne, les larmes aux yeux, leur père Said, entouré de membres de la famille, de voisins et d’amis venus lui présenter leurs condoléances.
« La police espagnole a appelé aujourd’hui sa mère qui se trouve en Espagne, pour lui dire que Moussa était mort », dit-il à l’AFP peu avant l’annonce officielle vendredi soir par la police catalane.
Âgé de 17 ans, Moussa a été tué par un policier dans la nuit de jeudi à vendredi, avec d’autres assaillants. Ils avaient lancé à toute allure une Audi A3 sur la promenade de la station balnéaire de Cambrils, en Espagne.
Son frère Driss, 27 ans, a lui été arrêté jeudi à Ripoll, une ville d’environ 10.000 habitants non loin des Pyrénées, avec trois autres personnes.
Les deux attentats, à Cambrils et à Barcelone, ont fait 14 morts et près de 120 blessés.
Entre deux rives
« Nous sommes des gens simples, pacifistes. Nous ne connaissons ni le radicalisme, ni le terrorisme », dit un habitant de cette région sinistrée et majoritairement berbérophone nichée dans le centre du royaume, et dont l’économie repose essentiellement sur l’élevage, l’agriculture et le transfert d’argent des Marocains de la région établis en Europe, principalement en France, en Espagne et en Italie.
Said Oukabir est lui parti tenter sa chance de l’autre côté de la Méditerranée dans les années 1990, dans la province de Gérone en Catalogne.
Son fils Driss, qui a passé son enfance à Aghbala, une commune rurale de 12.000 habitants à huit kilomètres du village natal, avait alors dix ans.
Moussa, qui aurait fêté ses 18 ans en octobre prochain, est né à Ripoll. La famille vivait depuis entre Melouiya, Aghbala et son pays d’accueil.
L’annonce de l’implication présumée des deux frères dans les attentats qui ont frappé l’Espagne a manifestement suscité une onde de choc chez leurs proches, qui affirment ne pas les avoir vu se radicaliser.
« Ils ne montraient aucun signe de radicalisation. Ils vivaient comme les jeunes de leur âge, s’habillaient comme eux », jure le père, carrure d’athlète et casquette vissée sur la tête.
« Moussa était un garçon gentil qui ne faisait de mal à personne. Il suivait ses cours normalement et devait passer son bac l’an prochain. Ces derniers temps, il a commencé à faire sa prière (…) mais ça s’arrêtait là ». Mais il était jeune, pas encore mûr, et il s’est sans doute fait manipuler », poursuit-il.
« Il était doux, toujours souriant. Il ne fumait pas, ne buvait pas », affirme son oncle, selon qui « toute la région est sous le choc ».
Driss, lui, a « quitté tôt l’école pour travailler honnêtement et gagner sa vie », raconte le père.
« Aujourd’hui il est entre les mains de Dieu et de la police. Il est sous le coup d’une enquête. J’espère qu’ils diront qu’il est innocent. Je n’ai pas envie de perdre mes deux fils ».
Par Kader Bakou
On a «célébré» le 40e anniversaire du film Omar Gatlato de Merzak Allouache, sorti en 1976.
«Célébrer» l’anniversaire de la sortie d’un film pourrait être vu sous plusieurs angles. Le premier «point de vue», c’est que la production cinématographique en Algérie est tellement faible (en qualité et en quantité) que nous n’avons pas oublié un film sorti il y a une quarantaine d’années.
L’autre point de vue, c’est que le film en question est un chef-d’œuvre à tous points de vue, comme par exemple Le Dictateur de Charlie Chaplin ou Le Cuirassé Potemkine de Serguei Eisenstein.
Omar Gatlato est sorti à l’époque des grands films sur la guerre de Libération ou des films «révolutionnaires» sur l’édification du socialisme et ses trois «révolutions». C’était aussi la période des films «réalistes» algériens qui, eux aussi, entraient dans la même moule idéologique.
Loin d’être un film engagé, Omar Gatlato est une simple comédie divertissante. Un cinéphile non Algérien pourrait même le considérer comme un film ennuyeux avec une histoire dont on a du mal à suivre le fil. Mais le cinéphile algérien, à l’époque, était ravi de voir sur écran le quotidien des jeunes comme lui, parlant un langage populaire qu’il comprend bien.
«Les défauts» de Omar Gatlato sont, en fait, ses qualités.
K. B.
kaderbakou@yahoo.fr
Akli Yahiaten animera un concert demain soir à l’Opéra d’Alger Boualem-Bessaih. C’est dans les geôles françaises qu’il avait composé plusieurs chansons à succès, notamment Yal Menfi (le banni), un chant d’exil parlant des déportés algériens en Nouvelle-Calédonie, à la suite, notamment, de la révolte d’El Mokrani de 1871.
L’Opéra d’Alger Boualem- Bessaih a programmé jeudi soir un concert en hommage à Blaoui Houari, disparu, il y a exactement un mois, le 19 juillet dernier à Oran.
Intitulée El Marsem, du titre d’un de ses succès, cette soirée, sous la direction de Kamel Maati, avait à l’affiche les chanteurs Rahal Zoubir, Maati El Hadj, Amel Atbi et Baroudi Benkhedda. Blaoui Houari né le 23 janvier 1926 à Oran est l’un des fondateurs, avec Ahmed Wahby, du genre musical «El Asri el Wahrani» (moderne oranais) un genre nouveau né à Oran dans les années 1940 et influencé par la musique arabe traditionnelle du Moyen-Orient, mais avec un langage poétique typiquement oranais. Blaoui Houari a aussi révolutionné et modernisé la musique «bédoui» (bédouine), un style typique dans l’Oranie.
Le répertoire de Blaoui Houari est riche de près de 500 chansons qui ont influencé plusieurs chanteurs des années 1980 dont Cheb Mami, Baroudi Benkhedda et Houari Benchenet qui deviendra un de ses plus fervents admirateurs. Blaoui Houari est celui qui a le plus adapté les textes populaires de l’Ouest algérien en composant et chantant les textes des cheikhs Miloud, Mostfa Ben Brahim, El-Hadj Khaled Benahmed, Kadour Ould M’hamed, M’barek Essouci, etc.
Par ailleurs, l’Opéra d’Alger Boualem-Bessaih, abritera demain (dimanche 20 à partir de 19h), un concert du grand artiste Akli Yahiaten. Akli Yahiaten, né en 1933 à Aït-Mendes près de Boghni dans l’actuelle wilaya de Tizi-Ouzou, est un des plus grands artistes algériens. Dans les années 1950, il a travaillé comme manœuvre spécialisé dans les usines Citroën en France et commence à fréquenter le milieu artistique «émigré» du Quartier Latin, notamment Slimane Azem, Cheikh El Hasnaoui et Allaoua Zerrouki. Suspecté de collecter des fonds au profit du FLN, durant la guerre de Libération nationale, il sera emprisonné à plusieurs reprises.
Dans les geôles françaises, il composera plusieurs chansons à succès, notamment Yal Menfi (le banni), une reprise d’un vieux chant d’exil parlant des déportés algériens en Nouvelle calédonie, à la suite notamment de la révolte d’El Mokrani de 1871.
Cette chanson rappelle aussi les souffrances et la nostalgie du pays, des immigrés algériens dans l’Hexagone. Ya El Moudjerreb ahkili, El Fraq, Tamurt Iw et Zrigh zin di Michelet, figurent parmi les plus grands succès d’Akli Yahiaten, qui chante aussi bien en kabyle qu’en arabe.
Kader B.
La hausse des températures entraînera probablement un effet négatif sur le rendement du blé, du riz et du maïs disent les chercheurs dont les conclusions de leurs recherches ont été publiées dans les comptes rendus de l’Académie américaine des sciences (PNAS).
En plus clair, le rechauffement climatique va faire baisser le rendement des cultures céréalières et toute la terre est concernée par ce phénomène. Cette menace plane mais l’état et les agriculteurs tentent de réduire au mieux l’impact du réchauffement climatique sur les cultures avec la création de nouveaux points d’eau, l’augmentation des superficies irriguées, l’emblavement des terres, l’utilisation des engrais et fertilisants de bonne qualité, le choix des graines de semence, etc. Ces facteurs ont été pour beaucoup dans l’importance du rendement céréalier à Sidi-Bel-Abbès pour la saison 2017. Le rendement des cultures a largement dépassé les estimations pour cette campagne de moisson-battage. En effet, 1,7 milion de quintaux de céréales ont été collectés alors que les prévisions faisaient état de 1,3 million de quintaux. En bref, le rendement céréalier est appréciable avec 500 000 quintaux de blé dur sur
46 000 hectares, 300 000 quintaux de blé tendre sur 40 000 hectares, 700 000 quintaux d’orge sur 67 700 hectares et 50 000 quintaux sur 6 000 hectares.
A. M.
Les crampes nocturnes
Le soir, envelopper vos jambes dans un linge que vous aurez imbibé de vinaigre ; garder en place deux minutes.
La fatigue passagère
Diluer 1 cuillerée à café de miel et 1 demi-cuillerée à café de vinaigre dans un verre d’eau tiède. Deux fois par jour, une heure avant les repas.
La gorge irritée
Diluer une cuillerée à soupe de vinaigre dans un verre d’eau tiède ; utiliser en gargarisme.
Le mal de tête
Ingrédients pour la préparation du vinaigre de romarin : 50 g de romarin, 1/2 litre de vinaigre.
• Vous êtes sujette au maux de tête ? Laissez macérer les deux ingrédients durant trois semaines dans un flacon hermétique, filtrez, puis versez dans un vaporisateur. Quand vous sentirez la douleur monter, vaporiser ce remède autour de vous et respirez : soulagement garanti.
Les petits problèmes de peau
Le vinaigre, qui a le même pH (acidité) que la peau, est efficace contre les démangeaisons et éruptions diverses. Il suffit de mélanger à parties égales vinaigre de vin et eau et de tamponner les lésions.
Les pieds douloureux
Après avoir marché trop longtemps, vos pieds sont rouges, lourds et douloureux ? Le remède est simple : faites-les tremper dans de l’eau froide avec une petite poignée de gros sel et un verre de vinaigre de cidre.
Une piqûre (insecte, ortie)
Lotionnez-vous tout de suite avec le premier vinaigre venu : il neutralisera le venin.
Les cheveux ternes
Après chaque shampooing, rincer la chevelure avec un demi-verre de vinaigre dilué dans deux verres d’eau.
Pour le biscuit : – 6 blancs d’œufs – 250 g de poudre d’amandes – 150 g de sucre en poudre – 2 c. à soupe de café lyophilisé – 1 c. à soupe de farine – sel
Pour la mousse au chocolat : – 200 g de chocolat dessert – 75 g de beurre – 3 œufs – 20 g de sucre en poudre
Pour le glaçage : – 150 g de chocolat – 4 cuillerées à soupe d’eau – 50 g de sucre glace – 30 g de beurre
1/ Préparez le biscuit :
Préchauffez le four Th.4 (150°). Battez les blancs d’œufs en neige ferme avec une pincée de sel puis ajoutez progressivement le sucre tout en continuant de fouetter pour obtenir une préparation lisse et brillante. Ajoutez alors la farine, le café lyophilisé préalablement dilué dans 2 cuillerées à soupe d’eau et la poudre d’amandes en mélangeant délicatement de bas en haut avec une spatule.
Etalez cette préparation sur une plaque de four recouverte d’un papier sulfurisé beurré d’environ 30 cm x 40 cm (l’épaisseur idéale étant de 2 cm). Faites cuire 35 à 40 minutes au four Th.4 (150°) puis laissez refroidir sur une grille. Coupez le biscuit en 3 rectangles égaux, dans le sens de la longueur.
2/ Préparez la mousse au chocolat :
Cassez le chocolat en morceaux et faites-le fondre au bain-marie sans ajouter d’eau. Hors du feu, incorporez progressivement le beurre coupé en parcelles. Versez ce mélange sur les jaunes d’œufs en remuant vivement. Battez les blancs d’œufs en neige ferme avec une pincée de sel puis ajoutez le sucre tout en continuant de battre. Incorporez-les délicatement à la préparation. Versez cette mousse sur les rectangles de biscuit en intercalant biscuit, mousse, biscuit, mousse, biscuit. Réservez au réfrigérateur.
3/ Préparez le glaçage :
Pour le glaçage, faites fondre le chocolat cassé en morceaux au bain-marie. Hors du feu, ajoutez le beurre en parcelles, mélangez bien et incorporez le sucre glace.
Nappez le gâteau et placez-le au réfrigérateur jusqu’au moment de servir
2 blancs de poulet, 4 œufs, 250 g de fromage, 2 cuillères à soupe de persil haché, 3 cuillères de crème fraîche, farine, sel et poivre.
Dans un bol, battre les œufs en omelette, ajouter la crème fraîche, le persil haché, le sel et le poivre. Couper les blancs de poulet en morceaux, les faire cuire à la vapeur.
Faire tremper les morceaux de poulet dans le mélange d’œufs puis dans la farine et,à la fin, dans le fromage râpé.
Les faire frire dans l’huile chaude. Servir aussitôt.
Forme
1 exercice, 4 minutes, 28 jours… pour un nouveau corps
Le meilleur exercice pour renforcer la partie centrale du corps est la planche. Cet exercice permet de brûler la graisse abdominale et de renforcer les muscles intérieurs et extérieurs du dos, la partie supérieure du corps, les fessiers, les jambes et les mains. Lorsque vous maintenez la position, les muscles se contractent. Ils ne deviendront pas plus larges ni plus courts, ils seront simplement renforcés de l’intérieur.
Ce défi est basé sur une augmentation progressive de la durée de l’exercice, et ce, pendant quatre semaines.
Vous commencez avec 20 secondes pour finir avec 4 minutes de planche.
Après les quatre semaines de défi, vos muscles seront plus résistants et vous serez prête pour de nouveaux challenges.
Vous devez adopter une position bien droite pour faire la planche. Lorsque vous vous appuyez sur les coudes et les orteils, la partie supérieure du corps doit former une ligne droite. Respirez profondément et maintenez toujours la ligne droite. Ensuite, essayez de pousser les muscles des fesses et de distribuer votre poids entre les jambes et les coudes afin de garder votre équilibre. Après avoir trouvé la position correcte, il ne vous reste plus qu’à aller au-delà de vos espérances et relever le défi des 28 jours.
Pendant les 20 premières secondes, vous allez vous rendre compte que la planche est un exercice difficile. Si vous n’arrivez pas à relever ce défi, ou que vous voulez seulement travailler certaines parties du corps, il existe d’autres types de défis. Les techniques restent les mêmes, il suffit simplement d’augmenter le temps et le nombre de mouvements progressivement.
Vive le papotage !
Pipelettes, soyez fières de l’être
D’après les psychologues, ce charmant défaut n’en est finalement pas un. S’il irrite parfois notre conjoint, le papotage peut libérer les tensions et s’avérer aussi efficace qu’une thérapie. Réapprenez à parler… Au quotidien, nous ne discutons pas, nous échangeons des informations pratiques. Il faut retrouver le goût du simple bavardage, avec vos enfants notamment. Certes, ils ont appris leurs leçons, fini leur verre de lait et rangé leur chambre. Et si vous vous arrêtiez de les interroger sans cesse pour discuter avec
eux ? Les enfants adorent jacasser et ils profitent souvent de ces instants privilégiés pour raconter ce qu’ils ont dans la tête et qui parfois les perturbe. Éteignez donc la télévision pendant le dîner. Au travail, le bavardage est un excellent moyen de défense face au stress ou aux changements. Et c’est aussi en discutant avec les collègues qu’on apprend qu’une place se libère au service. Attention toutefois à ne pas diffuser de ragots et autres fausses rumeurs : cela risquerait de se retourner contre vous. Bien sûr, ne négligez pas non plus le dialogue avec votre conjoint. A force de penser «il n’écoute pas ce que je lui dis», on finit par ne plus se parler. N’hésitez pas à discuter en voiture ou avec vos voisins. Engagez la conversation, vous ne risquez rien et un peu de spontanéité est si agréable.
De la gym antigonflette pour les yeux
Ouvrez l’œil et, avant de sortir du lit, faites bouger vos vingt-deux muscles oculaires pour relancer la circulation sanguine et lymphatique, ralentie pendant la nuit.
Amusez-vous à faire rouler doucement vos yeux dans leurs orbites. Sans bouger la tête, dessinez dans l’espace des petits cercles dans un sens, dans l’autre, puis dessinez un huit à l’horizontale, à la verticale…
Une façon toute naturelle de réveiller en douceur les circuits.
l’OIM a enregistré l’arrivée par mer de 119.069 personnes en Italie, en Grèce, en Espagne et à Chypre, quatre pays méditerranéens membres de l’Union européenne (UE).
L’agence des Nations Unies en charge des migrations souligne cependant que l’Espagne pourrait bientôt dépasser la Grèce en nombre d’arrivées par mer de réfugiés et migrants, la voie maritime entre le Maroc et la péninsule ibérique étant de plus en plus empruntée.
Si les chiffres notés en Espagne restent loin de ceux enregistrés en l’Italie, l’OIM estime toutefois que les autorités de Madrid pourraient faire face à davantage d’arrivées de migrants et de réfugiés que celles d’Athènes.
Les autorités espagnoles agissaient seules et de manière responsable face à ces nouvelles arrivées de migrants et réfugiés. « Si le nombre d’arrivées augmente, l’Espagne aura besoin d’un soutien supplémentaire » a souligné un porte-parole.