Les nouveaux usages citoyens ou commerciaux des technologies de
l'information et de la communication ont désormais un impact direct
sur la conduite et les orientations des politiques spatiales. De nombreux
acteurs publics et privés, institutionnels et industriels à travers le monde
évoquent aujourd'hui un nécessaire infléchissement des pratiques et de
l'organisation du secteur. Plus particulièrement, le principe politique d'un
équilibre nécessaire, voire indépassable entre souveraineté et compétitivité
tel qu'il est habituellement prôné par les autorités européennes se trouve
aujourd'hui mis à l'épreuve avec l'émergence aux Etats-Unis de nouveaux
acteurs privés qui, issus du monde de l'Internet, défendent des modèles
économiques en rupture.
Wall Street apparaît comme un nouveau théâtre du rêve américain. Par
les nombreux films qui fleurissent sur le sujet, Hollywood nous raconte
cette soif d'argent et de succès, sans en dissimuler la part d'ombre. Dans
ces westerns modernes où la mort est économique et le désarroi spirituel,
les traders spéculent sans répit. Si la crise de 2008 a approfondi son sens
critique à l'égard d'une finance débridée, le cinéma en profite néanmoins
pour renouveler et continuer de promouvoir le rêve américain. Et à travers
la fascination de l'homme contemporain pour l'argent et ses idoles, ces
films interrogent, plus loin encore, la notion même de réussite.
Wall Street apparaît comme un nouveau théâtre du rêve américain. Par
les nombreux films qui fleurissent sur le sujet, Hollywood nous raconte
cette soif d'argent et de succès, sans en dissimuler la part d'ombre. Dans
ces westerns modernes où la mort est économique et le désarroi spirituel,
les traders spéculent sans répit. Si la crise de 2008 a approfondi son sens
critique à l'égard d'une finance débridée, le cinéma en profite néanmoins
pour renouveler et continuer de promouvoir le rêve américain. Et à travers
la fascination de l'homme contemporain pour l'argent et ses idoles, ces
films interrogent, plus loin encore, la notion même de réussite.
L'attentat contre Charlie Hebdo du 7 janvier 2015 à Paris provoque
une onde de choc dans les opinions publiques à l'échelle mondiale. Dans
les médias de presse écrite, si les points de vue convergent pour rendre
hommage aux victimes et pour condamner de tels actes de violence, ils
divergent sur l'interprétation des causes et sur la question de l'équilibre
entre liberté d'expression et responsabilité. Quel est le regard de la presse internationale sur l'attentat contre le siège de Charlie Hebdo au début
2015 ?
L'attentat contre Charlie Hebdo du 7 janvier 2015 à Paris provoque
une onde de choc dans les opinions publiques à l'échelle mondiale. Dans
les médias de presse écrite, si les points de vue convergent pour rendre
hommage aux victimes et pour condamner de tels actes de violence, ils
divergent sur l'interprétation des causes et sur la question de l'équilibre
entre liberté d'expression et responsabilité. Quel est le regard de la presse internationale sur l'attentat contre le siège de Charlie Hebdo au début
2015 ?
Le prix Nobel de la Paix implique la reconnaissance sociale de modèles
d'engagement pour la paix par des hommes et des femmes de toutes
catégories hiérarchiques, sociales, culturelles ou religieuses. La liste des
lauréats témoigne en effet d'une grande diversité de profils. Pourtant, un
regard sociologique sur les mécanismes de reconnaissance engagés nous
amène à nous interroger. Les questions soulevées par les modes d'attribution
du prix ont déjà motivé de nombreuses publications, en Science politique
et Relations internationales notamment. En revanche, peu d'études
se sont penchées sur la reconnaissance sociale des lauréats. On peut se
demander par exemple s'ils ont tous pareillement retenu l'attention, dans
quel cadre et pourquoi ? Nous tâcherons donc d'examiner divers indices de
reconnaissance sociale, en nous intéressant à la littérature produite par les
institutions internationales, par le monde scientifique et par les médias.
Au-delà d'une quelconque mesure de la portée théorique du prix Nobel de la Paix, il s'agira surtout d'analyser les mécanismes socio-anthropologiques
de la reconnaissance des figures primées.
Le prix Nobel de la Paix implique la reconnaissance sociale de modèles
d'engagement pour la paix par des hommes et des femmes de toutes
catégories hiérarchiques, sociales, culturelles ou religieuses. La liste des
lauréats témoigne en effet d'une grande diversité de profils. Pourtant, un
regard sociologique sur les mécanismes de reconnaissance engagés nous
amène à nous interroger. Les questions soulevées par les modes d'attribution
du prix ont déjà motivé de nombreuses publications, en Science politique
et Relations internationales notamment. En revanche, peu d'études
se sont penchées sur la reconnaissance sociale des lauréats. On peut se
demander par exemple s'ils ont tous pareillement retenu l'attention, dans
quel cadre et pourquoi ? Nous tâcherons donc d'examiner divers indices de
reconnaissance sociale, en nous intéressant à la littérature produite par les
institutions internationales, par le monde scientifique et par les médias.
Au-delà d'une quelconque mesure de la portée théorique du prix Nobel de la Paix, il s'agira surtout d'analyser les mécanismes socio-anthropologiques
de la reconnaissance des figures primées.
L'ONU a célébré en 2015 son soixante-dixième anniversaire. C'est
l'occasion de se pencher sur son organe principal dans le domaine de la
paix et de la sécurité internationales, le Conseil de sécurité. Quelle est la
centralité du Conseil aujourd'hui, dans le système international créé par
la Charte, par rapport aux autres organes de l'Organisation ? Quel est son
rôle face aux défis du XXIe siècle tels que le terrorisme ou les menaces
transnationales ? Comment analyser son fonctionnement dans l'imposition
de sanctions, dans la mise en place d'opérations de maintien de la paix et
face à la justice internationale ? Au plan politique, son efficacité dépend
avant tout de la bonne coopération entre ses membres permanents. La
résolution des crises en Syrie et en Libye en dépendra.
L'ONU a célébré en 2015 son soixante-dixième anniversaire. C'est
l'occasion de se pencher sur son organe principal dans le domaine de la
paix et de la sécurité internationales, le Conseil de sécurité. Quelle est la
centralité du Conseil aujourd'hui, dans le système international créé par
la Charte, par rapport aux autres organes de l'Organisation ? Quel est son
rôle face aux défis du XXIe siècle tels que le terrorisme ou les menaces
transnationales ? Comment analyser son fonctionnement dans l'imposition
de sanctions, dans la mise en place d'opérations de maintien de la paix et
face à la justice internationale ? Au plan politique, son efficacité dépend
avant tout de la bonne coopération entre ses membres permanents. La
résolution des crises en Syrie et en Libye en dépendra.
Le blog sur les enjeux de l'humain augmenté.
A suivre sur www.anthropotechnie.com
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On June 29, IPI launched a new book by Philip Remler entitled Chained to the Caucasus: Peacemaking in Karabakh. The book recounts twenty-five years of (mostly failed) diplomatic attempts to broker peace between Armenia and Azerbaijan over the contested region of Nagorno-Karabakh.
At a roundtable discussion at IPI’s Vienna office, Mr. Remler (a retired US diplomat who served with the State Department and the Organization for Security and Cooperation in Europe) described how leaders on both sides have pursued a policy of “total victory.” As a result, compromise is very difficult. Even when the presidents of the two countries have managed to come to agreement on key areas of a settlement, the promise of “total victory” makes compromise look like failure or betrayal. This has cost some Armenian politicians their jobs, and even their lives.
As a result, said Mr. Remler, the leaders of Armenia and Azerbaijan must believe that they personally will survive an agreement. This requires “political cover” from the international community. It also involves preparing the people for peace. As Mr. Remler writes, “for any peace deal to work, the parties’ leaders must be able to show suspicious populaces that the gains are worth the concessions.” There must be a credible peace dividend.
He recalled past attempts at peace, and noted that the building blocks of a settlement exist. However, he stressed that both parties share an expectation that peace is not likely in the near future, and adapt accordingly. With this perspective, politicians use negotiations as “an arena for scoring points, impressing patrons, and posturing to build a political career” rather than seeking peace.
Participants stressed the urgency for intensified mediation in the aftermath of a deadly flare-up in violence between Armenia and Azerbaijan in April this year–the worst violence since a cease-fire was declared in May 1994. They also discussed initiatives stemming from recent high-level meetings between Presidents Aliyev and Sagsyan in Vienna and St. Petersburg designed to de-escalate tensions along the Line of Contact, as well as the impact of these meetings on the negotiation process led by the co-chairs of the OSCE Minsk Group. Mention was also made of proposals to increase the number of international monitors.
The issue was also looked at in the context of wider geopolitical tensions and developments in the region. Among the discussants was Ambassador Herbert Salber, the European Union Special Representative for the South Caucasus and the crisis in Georgia, and Dennis Sammut, director of LINKS.
Cette note propose d’analyser les caractéristiques et les valeurs des musulmans en Europe à partir des données cumulées de l’enquête European Social Survey (ESS). Les musulmans constituent-ils une population homogène sur le plan des valeurs sociales et politiques ? Observe-t-on des différences entre musulmans et non-musulmans ? Les données montrent que la population musulmane présente […]
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Depuis plus de vingt ans, l’islam en France se retrouve régulièrement au centre du débat public. Si l’idée qu’il existe une communauté musulmane est largement répandue dans l’opinion, la réalité est plus complexe. Concept clé en islam, la oumma, au sens de communauté de foi, se reflète-t-elle sur le terrain ? Cette note tente d’apporter […]
Cet article Nadia Henni-Moulaï – Portrait des musulmans de France : une communauté plurielle est apparu en premier sur Fondapol.