Auf dem Warschauer Gipfel am 8./9. Juli 2016 wird die Nato zur Rückversicherung der osteuropäischen Verbündeten weitere Beschlüsse fassen. Diese werden über die Entscheidungen des Gipfels von Wales 2014 hinausgehen und voraussichtlich die dauerhafte Stationierung von vier Nato-Bataillonen in Polen und den baltischen Staaten umfassen. Parallel dazu werden die USA Kampfgruppen in den »Frontstaaten« stationieren und schwere Waffen für Verstärkungskräfte vorwärts lagern. Frühere Nato-Befehlshaber fordern eine permanente robuste Vorneverteidigungsstruktur unmittelbar an den russischen Grenzen. Entsprechende Schritte könnten die destabilisierende Abfolge militärischer Aktionen und Reaktionen im Verhältnis zwischen Moskau und der Allianz weiter befeuern. Ein Festhalten an der Nato-Russland-Grundakte und die Erneuerung der Rüstungskontrolle könnten dagegen helfen, dies zu vermeiden.
Vincent Tournier présente sa note Portrait des musulmans d’Europe : unité dans la diversité Vincent Tournier présente sa note : Portrait… par fondapol
Cet article Vincent Tournier présente sa note « Portrait des musulmans d’Europe : unité dans la diversité » est apparu en premier sur Fondapol.
salon étudiant
apache.jpgArmateurs de France
regroupe l'ensemble des entreprises françaises de transports et de services maritimes, appelés armateurs.
Créée en 1903, l'organisation compte 54 membres.
afc-logo-300-283.pngNadia Henni-Moulaï présente sa note Portrait des musulmans de France : une communauté plurielle Nadia Henni-Moulaï présente sa note : Portrait… par fondapol
Cet article Nadia Henni-Moulaï présente sa note « Portrait des musulmans de France : une communauté plurielle » est apparu en premier sur Fondapol.
salon étudiants
carte_france_asso_ihedn_pour_liens.jpgLA FMES
logo_fmes_jpeg.jpgDie Annexion der Krim, der Krieg im Donbas und die Krise im Verhältnis zu Russland absorbieren seit 2014 einen Großteil der Aufmerksamkeit Deutschlands und der EU. Dabei gibt es in der östlichen Nachbarschaft vier ungelöste Territorialkonflikte, die sich seit 2014 zum Teil sehr dynamisch entwickelt haben. Die Autorinnen und Autoren dieser Sammelstudie fragen nach der Rolle russischer Politik in diesen Konflikten, ihren historischen Hintergründen, relevanten Akteuren und deren Interessen und nach dem Zusammenhang zwischen Konfliktebene und geopolitischem Kontext – sie zeichnen so ein nuanciertes Bild des Konfliktarchipels in der östlichen Nachbarschaft der EU. Dabei kommen sie zu dem Schluss, dass sich die Bedingungen für konstruktive Konfliktbearbeitung in allen vier Fällen seit 2014 verschlechtert haben. Dies liegt jedoch nicht nur am geopolitischen Kontext, sondern auch an lokalen Faktoren. Russland spielt eine ambivalente Rolle. Es nutzt alle vier Konflikte systematisch, um seinen Einfluss auf die betroffenen Staaten zu wahren – ohne dabei jedoch die Konfliktdynamiken vollständig zu kontrollieren. Die Autorinnen und Autoren empfehlen der EU eine nuancierte Politik der Konfliktbearbeitung, die nicht nur den internationalen Kontext beachtet, sondern kontextsensibel lokale Faktoren berücksichtigt. Mittelfristige Ziele einer solchen Politik reichen von der Wahrung bestehender Interaktionsmöglichkeiten (Transnistrien) über De-Isolation (Abchasien und Südossetien) bis hin zu De-Eskalation und Konfliktprävention (Berg-Karabach).
Les Chrétiens au Moyen-Orient, héritiers d'une longue histoire et plus
nombreux que jamais en valeur absolue (dix à quinze millions), y sont
devenus très minoritaires (moins de 4% de la population du Moyen-Orient). Les conflits du Moyen-Orient au XXe siècle (conflit israélo-arabe, guerre
du Liban, guerres du Golfe) ont entraîné des départs massifs. L'actuel
retour à la « dhimmitude » (droits et devoirs du statut de minorité) imposé
par Daech sur son territoire est l'aboutissement radical d'une islamisation
générale de l'espace public et des sociétés depuis les années 1970. Dans ce
sombre contexte, on ne peut que remarquer leur importance particulière
au Liban et en Egypte. La vitalité religieuse et sociale des Chrétiens du
Moyen-Orient, l'existence de deux millions de Chrétiens non autochtones
dans le Golfe et enfin le développement de diasporas actives montrent
qu'on ne saurait les réduire à leurs départs.
Les Chrétiens au Moyen-Orient, héritiers d'une longue histoire et plus
nombreux que jamais en valeur absolue (dix à quinze millions), y sont
devenus très minoritaires (moins de 4% de la population du Moyen-Orient). Les conflits du Moyen-Orient au XXe siècle (conflit israélo-arabe, guerre
du Liban, guerres du Golfe) ont entraîné des départs massifs. L'actuel
retour à la « dhimmitude » (droits et devoirs du statut de minorité) imposé
par Daech sur son territoire est l'aboutissement radical d'une islamisation
générale de l'espace public et des sociétés depuis les années 1970. Dans ce
sombre contexte, on ne peut que remarquer leur importance particulière
au Liban et en Egypte. La vitalité religieuse et sociale des Chrétiens du
Moyen-Orient, l'existence de deux millions de Chrétiens non autochtones
dans le Golfe et enfin le développement de diasporas actives montrent
qu'on ne saurait les réduire à leurs départs.
Pour l'Union européenne, la crise ukrainienne n'est pas seulement
militaire. L'UE et la Russie s'opposent aussi en matière énergétique (la
fourniture de gaz), de concurrence (le cas Gazprom) ou agricole (l'embargo russe). Les difficultés d'application du Protocole de Minsk prouvent que
l'Union ne peut compter sur sa puissance militaire. Toutefois, elle dispose
de son expertise juridique, ce qui peut l'aider. Gazprom semble prête à
négocier avec la Commission qui l'accuse d'abus de position dominante.
La contestation russe de la législation énergétique européenne devant le
juge de l'OMC ne pourra pas être invoqué par Gazprom devant la CJUE.
L'accord d'association UE-Ukraine impose la norme européenne face à la
norme russe. Cette expertise normative est une autre forme de puissance.
Pour l'Union européenne, la crise ukrainienne n'est pas seulement
militaire. L'UE et la Russie s'opposent aussi en matière énergétique (la
fourniture de gaz), de concurrence (le cas Gazprom) ou agricole (l'embargo russe). Les difficultés d'application du Protocole de Minsk prouvent que
l'Union ne peut compter sur sa puissance militaire. Toutefois, elle dispose
de son expertise juridique, ce qui peut l'aider. Gazprom semble prête à
négocier avec la Commission qui l'accuse d'abus de position dominante.
La contestation russe de la législation énergétique européenne devant le
juge de l'OMC ne pourra pas être invoqué par Gazprom devant la CJUE.
L'accord d'association UE-Ukraine impose la norme européenne face à la
norme russe. Cette expertise normative est une autre forme de puissance.
Daesh n’avait pas commis d’attentat aussi sanglant en Irak depuis un an. Comment peut-on décrypter cet événement tragique en plein cœur de Bagdad ?
Cet attentat est directement lié à la situation militaire en Irak et plus précisément à la reprise récente de la ville de Fallouja par l’armée irakienne. Depuis un an, on assiste à un recul net de Daesh dans les villes irakiennes. Tikrit, d’abord. Puis Ramadi. Et maintenant Fallouja. C’est en réponse à cette défaite militaire que cet attentat a été perpétré. Car Fallouja n’est pas une ville comme les autres pour Daesh.
Pourquoi ?
Fallouja est une ville symbolique située à 40 kilomètres à peine de Bagdad. C’est comme si Fallouja était dans la banlieue de Bagdad. C’était une ville à majorité sunnite. C’est là que la branche irakienne d’Al-Qaïda s’est formée en 2003 avant de devenir progressivement l’Etat islamique en Irak et au Levant puis l’Etat islamique. C’est donc une perte très symbolique pour les combattants de Daesh.
En conséquence, peut-on dire que cet attentat a été commis pour remobiliser les troupes de Daesh ?
Oui. Le mouvement veut réaffirmer qu’il existe. Comme tous les attentats, il s’agit d’un outil de communication interne. Daesh veut envoyer un signal à ses partisans en Egypte, en Libye, un peu partout. Il veut marquer les esprits. Daesh dispose encore de cellules à Bagdad. Le groupe aurait donc très bien pu attaquer un consulat. Mais là, il a choisi de s’en prendre à un marché très populaire en plein ramadan. Le but était de faire quelque chose de spectaculaire.
Cet attentat peut-il, à votre avis, déstabiliser le pouvoir en place en Irak ?
Je ne crois pas que ce type d’attentat va intimider. Au contraire, cela risque plutôt d’encourager l’État irakien à lutter contre Daesh, notamment en visant désormais la ville de Mossoul. Le Premier ministre irakien est soutenu par la population et la communauté internationale.
Quant à l’armée, elle ne ressemble plus à ce qu’elle était en 2014. La coalition internationale a aidé à fond à sa reconstruction et à sa formation. Quarante milliards de dollars ont été investis pour acheter de l’équipement. Elle dispose désormais d’hélicoptères et d’avions de combat de type F16. Tout cela concourt à penser que Bagdad et l’Irak sont aujourd’hui dans de meilleures conditions pour lutter contre Daesh que la Syrie voisine.
Sino-Greek relations have been growing rapidly over the last decade. In the wake of the Olympic Games hosted by Athens in 2004 and Beijing in 2008, but above all since the COSCO investment in the Piraeus sea port the two countries have come a long way from initial contacts to developing a close economic and political relationship. This is the view of the Greek Consortium for Chinese Studies, which brings together the Institute of International Economic Relations (IIER), the Institute of International Relations (IIR) of the Panteion University, the Hellenic Foundation for European and Foreign Policy (ELIAMEP), the Political Science and International Relations Department of the University of the Peloponnese, and the Department of Mediterranean Studies of the University of the Aegean.
The two countries have been coming closer together despite the economic slump in Greece and notwithstanding some challenges in relation to the COSCO investment in Piraeus. These difficulties have not discouraged China which remains fully committed to developinig its relationship with Greece. Beijing’s One Belt One Road (OBOR) vision is also a major factor to be reckoned with, as Piraeus is one of the key hubs on trade routes between China and Europe.
How is Athens contributing to making the best of the vast potential of Sino-Greek relations? Despite some persistent issues with regard to the Piraeus project, particular attention has been paid to co-operation between Greek shipping businesses and Chinese shipyards, even if Greece as a whole could have benefited to a larger extent from this significant sector of the economy. Growing numbers of Chinese visitors to Greece are yet another encouraging sign of an ever-closer partnership. On the flip side, prospects of boosting Greek exports to China remain limited, despite the fact that the latter has the second largest economy worldwide with a gigantic $6 trillion GDP.
The upcoming visit of Greek Prime Minister Alexis Tsipras coincides with the tenth anniversary of the 2006 Joint Communiqué between the People’s Republic of China and the Republic of Greece on the Establishment of a Comprehensive Strategic Partnership. This could well herald the start of a new phase in Sino-Greek relations, one that would help maximise mutual benefits. The Consortium for Chinese Studies highlights the following steps worth considering: