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Diplomacy & Defense Think Tank News

«2099 ist leider zu spät»

SWP - Wed, 10/06/2015 - 15:21
Oliver Geden äussert grosse Zweifel an der Absicht der G-7-Länder, sich von der fossilen Energie zu...

Francis Mer présente sa note : Nouvelle entreprise et valeur humaine

Fondapol / Général - Wed, 10/06/2015 - 14:41

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La France et les musulmans, défi majeur de 2017 : le combat pour l’égalité n’est pas vain

IRIS - Wed, 10/06/2015 - 11:00

Le rapport de la France avec ses citoyens musulmans est certainement l’un des défis les plus importants qui se dresse devant nous. Il risque, pour le meilleur ou pour le pire, d’être un enjeu majeur des élections de 2017. Il est essentiel et déterminant, tant pour les équilibres internes de la société française que pour la place de notre pays sur l’échiquier mondial.

Deux options sont sur la table. Soit on considère qu’ils sont des Français à part entière, qu’ils jouissent des mêmes droits que les autres, ce qui ne signifie pas, bien entendu, le droit d’imposer leur vision du monde à leurs concitoyens. Il ne s’agit pas d’accéder à toutes leurs demandes, il s’agit de penser qu’ils ont le droit de les exprimer librement. Ils sont enfants de la République, avec les mêmes droits et les mêmes obligations que les autres.

Soit on considère qu’ils constituent un élément externe et étranger à la République française, qu’ils sont tolérés à la seule condition de ne pas faire de vagues et de n’émettre aucunes revendications, forcément jugées antirépublicaines et dangereuses pour la société française.

Il y a des tentatives de leur assigner dans les médias des représentants désignés de l’extérieur de leur communauté, dans lesquels ils ne se reconnaissent pas et même qu’ils rejettent et on met trop souvent en avant des musulmans à même d’alimenter un discours stigmatisant sur l’islam, ce que l’on ne fait pour aucune autre communauté.

En réalité, certains leur refusent de s’organiser de façon autonome. Pourquoi leur nier le droit de décider eux-mêmes les figures dans lesquelles ils se reconnaissent ?

La radicalisation de quelques éléments est un défi à relever. C’est un problème qu’il ne faut pas occulter, mais dont les Français musulmans ne sont, collectivement, ni responsables, ni coupables.

Certains considèrent qu’il est consubstantiel à l’islam, d’autres, qu’il est le produit d’un moment historique, un processus qui peut être combattu efficacement par un dosage de réponses sécuritaires et politiques. Que l’islamophobie et la radicalisation se nourrissent mutuellement et qu’il faut les combattre simultanément.

Peut-on penser que les musulmans ont leur place en France, à la seule condition de ne pas s’exprimer par eux-mêmes, de rester à leur place, celle qui était la leur il y a quarante ans, en bas, très loin en bas, sans aucuns droits, comme des dhimmis d’une nouvelle sorte ?

C’est trop tard. Ceux qui rêvent de cela, pour des raisons diverses ne réalisent pas le changement fondamental qui s’est opéré.

Nous pouvons choisir entre une société ouverte et dynamique, attractive et apaisée ou des affrontements sans fin, un cercle vicieux où les extrémistes se nourrissent mutuellement.

Les musulmans français ni ne partiront, ni ne se courberont. Ils veulent prendre place à la table de la République. Ils ont déjà formé une classe moyenne supérieure qui accède aux responsabilités. Vouloir les exclure n’est ni possible, ni souhaitable. Et cela donne, à l’extérieur, une image dégradée de la France, aux antipodes de sa tradition d’ouverture et d’universalisme.

Les musulmans français ne sont plus majoritairement des ouvriers non qualifiés dont le principal objectif est de regagner, sans être victimes de ratonnades, leur foyer Sonacotra, comme dans les années 70. Nombre d’entre eux sont ingénieurs, professeurs, avocats, médecins, etc.

Si le plafond de verre existe encore pour les responsables politiques, préfets, généraux, chefs d’entreprise, il y a une classe moyenne supérieure dont on parle peu, ou pas, qui s’est développée. Cela doit d’ailleurs être un motif d’espoir et de mobilisation pour nos compatriotes musulmans.

Ils ont raison de dire qu’ils sont plus discriminés que le reste de leurs compatriotes français – Roms exceptés – mais ils doivent réaliser que des progrès, fort heureusement, ont eu lieu, et que le combat pour l’égalité n’est pas vain, qu’il faut au contraire le poursuivre parce qu’il paye.

La larga marcha hacia Europa: España y la Comunidad Europea, 1957-1986

Real Instituto Elcano - Wed, 10/06/2015 - 08:33
DT 8/2015 - 11/6/2015
Charles Powell
El trigésimo aniversario de la firma del Tratado de Adhesión de España a las Comunidades Europeas el 12 de junio de 1985 ofrece un excelente pretexto para recordar los aspectos más notables de la larga marcha de España hacia la Europa comunitaria.

60. Geburtstag von Annette Schavan: "Politik ist Marathon mit viel Geduld"

Konrad Adenauer Stiftung - Wed, 10/06/2015 - 00:00
Annette Schavan, von 2005 bis 2013 Bundesministerin für Bildung und Forschung, ist heute deutsche Botschafterin beim Heiligen Stuhl.

Somalia: The Road to 2016

European Peace Institute / News - Tue, 09/06/2015 - 21:42

On Tuesday, June 9th, IPI hosted Nicholas Kay, Special Representative of the Secretary-General for Somalia (UNSOM), and Ambassador Maman Sambo Sidikou, Special Representative of the Chairperson of the African Union Commission for Somalia, who discussed the future of the UN Assistance Mission in Somalia (UNSOM) and the African Union Mission in Somalia (AMISOM) and the challenges Somalia faces as it prepares for a transfer of presidential and parliamentary power next year.

Click here to view the event video on YouTube>>

Mr. Kay termed 2015 the “year of federalism and delivery.” The first five months of the year have seen progress made on this agenda. Somalia is a country, once mired in conflict, which has progressively better functioning governance, where political dialogue is replacing the rule of the gun, and where violent extremism is being countered. Yet much more remains to be done in the run up to the electoral processes scheduled for 2016.

The event was moderated by IPI Senior Adviser, John Hirsch.

Analyse du discours patronal sur la flexibilité

Institut Montaigne - Tue, 09/06/2015 - 16:39
Date de parution: Lundi 08 Juin 2015Auteur: Virginie Forest et Mathilde JulienNom de l'editeur: Semaine sociale Lamy supplémentImage de l'editeur: Description: Les travaux de P.Cahuc et S.Carcillo (Les juges et l'économie, une défiance française, Institut Montaigne, déc. 2012) posent le problème en ces termes : "la jurisprudence fait peser sur le licenciement économique un contrôle exceptionnellement fort, allié à une importante insécurité juridique, comparé à nos principaux partenaires européens. En effet, en France, les entreprises peuvent licencier pour sauvegarder leur compétitivité, mais non pour l'améliorer, depuis une jurisprudence élaborée par la Cour de cassation en 1995. La comparaison de la protique française avec celle de nos partenaires européens montre clairement que la France est une exception. C'est le seul pays où le juge apprécie la validité de l'entreprise."Type de parution: L'institut est citéType de média: Presse

Monitoring and Review

SWP - Tue, 09/06/2015 - 13:47

L’affaiblissement de l’AKP est-il synonyme d’instabilité politique en Turquie ?

IRIS - Tue, 09/06/2015 - 10:09

Le résultat du Parti de la justice et du développement (AKP) aux élections législatives du 7 juin constitue un sérieux revers pour le parti de M. Erdogan. Perdant sa majorité absolue au Parlement pour la première fois depuis 2002, il est aujourd’hui difficile d’imaginer la composition du futur exécutif. A quoi pourrait-il ressembler selon vous ?
Tout d’abord, comprenons que nous sommes désormais dans une nouvelle séquence politique en Turquie. En effet, depuis treize ans, le parti au pouvoir n’avait pas connu une seule défaite électorale. Le résultat atteint hier n’est pas à la hauteur des espoirs que le Parti de la justice et du développement (AKP) avait fondé et des objectifs que le président de la République s’était fixé, puisque son principal objectif était d’atteindre la majorité qualifiée des trois cinquièmes, pour pouvoir modifier la Constitution. M. Erdogan est loin du compte, puisqu’en plus de ne pas obtenir la majorité qualifiée, il n’a même plus la majorité absolue au sein du Parlement, ce qui constitue une nouveauté depuis qu’il a accédé au pouvoir la première fois.
Désormais se pose le problème de la composition du gouvernement. Jusqu’à présent – et c’était d’ailleurs un des arguments que M. Erdogan mettait en avant -, la majorité absolue détenue par l’AKP depuis 2002 lui avait permis de composer des exécutifs homogènes et lui avait évité de recourir à des coalitions. Il avait en ce sens beaucoup insisté ces dernières semaines, durant la campagne électorale, sur le fait qu’il avait amené la stabilité politique en Turquie, et que si, par malheur, le pays retombait dans le jeu des coalitions gouvernementales, un profond désordre s’instaurerait. Pourtant, les résultats sont là et M. Erdogan va être obligé de recourir à un système de coalition. La difficulté principale est qu’évidemment, aucun des partis politiques représentés au sein du Parlement pour cette nouvelle législature n’est spontanément disposé à entrer en coalition avec l’AKP. Ce dernier, ainsi que son principal dirigeant M. Erdogan, ont cristallisé de tels ressentiments, voire même parfois une telle colère, qu’un accord de compromis politique sera difficile à atteindre.
Une option éventuellement envisageable serait que l’AKP bénéficie d’abstentions au moment de l’investiture parlementaire du nouveau gouvernement mais que les députés qui soutiendraient, de facto, la constitution de ce gouvernement ne participent pas eux-mêmes directement à l’exercice du pouvoir gouvernemental aux côtés de l’AKP. Un soutien critique sans participation en quelque sorte. Ce serait une solution hybride, mais cette option sera en réalité bien difficile à mettre en œuvre. Une autre possibilité serait que le Parti démocratique des peuples (HDP) – parti d’extraction kurde qui n’en est plus exclusivement un puisqu’il a mordu sur d’autres pans de la société et a développé de nombreux thèmes de revendications durant la campagne électorale – accepte de participer au gouvernement sur un programme et sur un mandat extrêmement précis ne concernant que la résolution de la question kurde, bien que le HDP n’ait cessé de répéter au cours des dernières semaines que cette option n’était pas concevable. On pourrait alors peut-être imaginer qu’une telle coalition temporaire se forme, mais cela est pour l’instant tout à fait théorique et de complexes tractations vont commencer. Hypothétiquement, ce gouvernement n’aurait mandat que sur un seul point, celui de la question kurde, alors que les défis de la société turque sont évidemment multiples, tant au niveau politique qu’économique.
On est donc dans une situation politique tout à fait nouvelle et, encore une fois, les ressentiments qu’a cristallisés M. Erdogan par ses positions très polarisantes et systématiquement clivantes depuis des années, vont rendre difficile la constitution d’une coalition au sens classique du terme.

A l’inverse, avec un score dépassant les 13% des voix, le parti pro-kurde (HDP) entre pour la première fois au Parlement et obtiendrait au moins 80 sièges. Selon vous, quelles vont être les conséquences de cette victoire ? Le « processus de résolution » avec les Kurdes sera-t-il remis en question ou au contraire renforcé ?
Tout d’abord, il ne me semble plus juste de qualifier ce parti de « pro-kurde » car, en réalité, ce Parti démocratique des peuples (HDP) a changé de tactique et a effectué sa mue politique. Même s’il a évidemment une base électorale très forte dans les zones de peuplement kurde en Turquie, notamment à l’Est et au Sud-Est du pays, il a su grâce à un changement de stratégie politique, mordre sur d’autres catégories de la population. Il a, par exemple, au cours de la campagne, beaucoup insisté sur la défense de toutes les minorités, qu’elles soient religieuses, sexuelles, etc. Le HDP a aussi beaucoup insisté sur les questions environnementales, ce qui est assez nouveau dans les problématiques politiques en Turquie. Enfin, le thème de l’égalité hommes-femmes a été un des thèmes récurrents qui s’est notamment traduit par l’investiture de 268 candidates, proportion qui le place loin devant tous les autres partis. Par conséquent, on peut considérer qu’une bonne partie de ceux et celles qui contestaient le pouvoir, à l’image de ce qui s’était cristallisé lors de la crise de Gezi à Istanbul il y a deux ans, ont voté pour ce parti qui cherche à embrasser des causes beaucoup plus diverses et multiples que la seule question kurde. On peut ainsi constater qu’une partie de la gauche radicale et/ou libérale a voté pour lui.
Evidemment, le HDP est un des grands vainqueurs de cette consultation électorale car c’est la première fois qu’en tant que parti, il dépasse le seuil des 10%. Il a conquis une représentation parlementaire jamais atteinte avec 80 députés. Il va donc être un parti charnière dans les jeux politiques et parlementaires dans les jours et les mois à venir. Ainsi, un des aspects essentiels – même si non exclusif – sera probablement la relance du « processus de résolution » de la question kurde, c’est-à-dire la tentative de parvenir à un compromis politique avec l’État, de façon à ce que les revendications politiques et culturelles des Turcs d’origine kurde puissent aboutir. On sait que ce projet était un des axes importants du HDP, et au vu des résultats très positifs qu’il a atteint en ce dimanche électoral, je pense que ce sera un de ses principaux axes de bataille. On peut donc considérer que ce très bon score du HDP constitue potentiellement un renforcement du processus de résolution, dont on a bien compris que pendant la période électorale, il avait été mis sous la table et n’était plus très actif. C’est le moment de relancer la négociation car je ne pense pas que la Turquie puisse achever son processus démocratique jusqu’au bout si cette question kurde, récurrente, n’est pas réglée.

Y a-t-il un risque de voir une instabilité politique s’installer durablement en Turquie ? Certains évoquent déjà au sein de l’AKP une possible élection anticipée…
Il y a d’ores et déjà une forme d’instabilité politique qui existe en Turquie, à mon sens, et c’est ce qu’on a pu constater lors de la crise de Gezi. Même si cette crise n’avait touché qu’une petite partie de la population turque, il n’empêche que cette mobilisation, il y a quasiment deux ans jour pour jour, avait un sens politique de première importance. Depuis lors, il y a eu une série de crises qui ont entâché la vie politique turque, notamment ce combat acharné qui a été engagée par le parti de M. Erdogan contre ce qu’il appelle la « structure parallèle », soit en réalité la lutte contre les partisans de Fethullah Gülen, ancien soutien de l’AKP. Cette bataille politique, qui s’est soldée par la mise en examen ou la mutation de centaines de magistrats et de policiers, indique que ce pays connaissait une phase d’instabilité politique, non pas au niveau gouvernemental puisque l’AKP dirigeait seul, mais d’une manière plus globale. Cette forte propension du président de la République à cliver et à polariser la vie politique n’était évidemment pas saine. Dans ce contexte, M. Erdogan aura certainement beaucoup de difficultés à entamer cette nouvelle séquence de la vie politique. Nous savons qu’il a une conception singulière de la démocratie où il considère que quand un parti est majoritaire, il n’a guère besoin de trop écouter le point de vue des partis minoritaires. Depuis maintenant quatre ou cinq ans, on observe également un glissement autoritaire préoccupant de sa part, voire un début de culte de la personne, si ce n’est de la personnalité. Tout cela est structurant de sa façon de gouverner. Il va néanmoins falloir qu’il change totalement de façon de procéder, même si cela sera infiniment compliqué, à la fois pour des raisons politiques et des raisons personnelles.
Effectivement, des dirigeants de l’AKP ont évoqué dès hier soir la possibilité d‘élections anticipées qui, pour des raisons constitutionnelles, ne pourrait cependant pas avoir lieu avant plusieurs mois. Par ailleurs, organiser de nouvelles élections serait une mauvaise manière de procéder, revenant à nier la qualité de l’expression démocratique de la volonté des citoyens turcs telle qu’elle s’est exprimée, d’autant que le résultat pourrait être le même, voire encore plus faible pour l’AKP.
Ceci étant, il ne faut pas oublier que ce parti a encore près de 41% des suffrages exprimés. Si le projet de M. Erdogan, et notamment celui portant sur une modification constitutionnelle, ne paraît plus envisageable, l’AKP reste encore d’assez loin la première force politique en Turquie.

Iran: Meier: Sanktionen jetzt schwierigste Frage

SWP - Tue, 09/06/2015 - 10:08
In Wien ist der Gouverneursrat der Internationalen Atomenergieorganisation zu vierteljährlichen...

François Bazin : Les lois de la primaire. Celles d’hier, celles de demain.

Fondapol / Général - Tue, 09/06/2015 - 09:55

En France, la primaire est née à gauche, et c’est celle du PS qui sert désormais de modèle parce que la plus achevée, celle de 2011, a permis de désigner sans heurt un futur président. Sur les modalités, l’UMP n’a pas cherché à innover. Au-delà des clivages politiques, faut-il en conclure que, face aux mêmes obstacles et aux mêmes enjeux, les grands partis de gouvernement sont contraints aux mêmes choix ? Mieux, faut-il croire que ces mêmes choix produisent les mêmes effets sur les acteurs de cette compétition ?

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François Bazin – Le Figaro – La primaire ou la fin de la rencontre d’un homme et d’un peuple

Fondapol / Général - Tue, 09/06/2015 - 09:45

Article paru dans Le Figaro du 9 juin 2015. Pour le journaliste François Bazin, cette nouvelle procédure de sélection des candidats à la présidentielle révèle la perte de légitimité des partis politiques.
La procédure dite de la primaire est une de ces innovations qui modifie en profondeur les règles de fonctionnement du système politique français.

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Parlamentswahl in der Türkei

SWP - Tue, 09/06/2015 - 09:24
Am 7. Juni wird in der Türkei ein neues Parlament gewählt. Was waren Themen des Wahlkampfs? Wer...

Die Verteidigungspolitik der USA

SWP - Tue, 09/06/2015 - 09:17

Die Verteidigungspolitik der USA wird gegenwärtig durch drei wesentliche Entwicklungstrends geprägt, wie die Analyse in dieser Studie zeigt. Erstens sind die innenpolitischen Rahmenbedingungen – öffentliche Meinung, Haltung der Parteien und finanzielle Ausstattung – für Washingtons globales militärisches Handeln schwieriger geworden. Allerdings bleibt der Einfluss dieser Faktoren auf die amerikanische Verteidigungspolitik insgesamt sehr begrenzt. Zweitens zeichnet sich die Politik von Präsident Obama durch Zurückhaltung beim Einsatz der Streitkräfte im Ausland sowie durch eine Präferenz für den »leichten Fußabdruck« aus. Darunter fällt auch das Bestreben, die Sicherheitskräfte in Partnerländern aufzubauen, um so die Notwendigkeit direkter Militärinterventionen durch die USA zu minimieren. Drittens verfolgt die amerikanische Regierung nicht erst seit Obama eine langfristig angelegte Transformations-Agenda. Diese rückt die technologischen Fähigkeiten zur globalen Machtprojektion in den Mittelpunkt und nimmt dabei Einschnitte beim Umfang der Streitkräfte in Kauf. Für das transatlantische Verhältnis haben die zu beobachtenden Grundtrends der US-Verteidigungspolitik ambivalente Auswirkungen. Sie bringen sowohl neue Kooperationsmöglichkeiten als auch zusätzliches Konfliktpotential mit sich.

Maritime Sicherheit im Indischen Ozean

Konrad Adenauer Stiftung - Tue, 09/06/2015 - 00:00
Mit dem Golf von Aden, dem Suez-Kanal, der Straße von Hormuz und der Straße von Malakka befinden sich die wichtigsten maritimen Nadelöhre im Indischen Ozean. Die sicherheitspolitischen Herausforderungen in der Region bedrohen die maritime Sicherheit nachhaltig. Deutschlands Wohlstand hängt vom freien, internationalen Seehandel und vom ungehinderten Zugang zu den Rohstoffmärkten ab. Essentielles Interesse Deutschlands ist daher die Gewährleistung maritimer Sicherheit im Indischen Ozean. Nur durch eine ständige Präsenz in der Region kann Deutschland nachhaltig zu ihrer Verbesserung beitragen.

Quantifying Peace: Launch Event of the 2015 Global Peace Index Report

GCSP (Events) - Mon, 08/06/2015 - 17:54

Quantifying Peace: Launch Event of the 2015 Global Peace Index Report

Le Sommet IES 2015

IHEDN - Mon, 08/06/2015 - 16:07

L’IHEDN a parrainé cette année le sommet Intelligence économique et stratégique 2015 qui s’est déroulé du 4 au 6 juin à Chamonix. Premier événement de ce type ...

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Les auditeurs des sessions nationales au JO :

IHEDN - Mon, 08/06/2015 - 16:03

L’arrêté du 5 juin 2015 publié au Journal officiel confère le titre d’auditeur aux personnes ayant suivis les cycles des sessions nationales de l’IHEDN 2014-2015 : ...

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