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Diplomacy & Defense Think Tank News

Security Council Retreat Examines Cooperation between Council and Regional Organizations

European Peace Institute / News - Thu, 04/06/2015 - 22:26

Regional organizations have been playing increasingly important roles in the maintenance of international peace and security in recent years. In parallel, their interactions with the UN Security Council have grown, presenting new opportunities and challenges for collaboration in advancing peace. How can the Security Council and regional organizations work together more effectively?

As organizations try to keep pace with rapidly evolving international peace and security dynamics, this meeting note offers a practical understanding of the nature of cooperation between the Security Council and regional organizations, such as the African Union, the European Union, and the Organisation of Islamic Cooperation. Focusing on the areas of conflict prevention, peace operations, counterterrorism, and humanitarian crises, it provides ideas for enhanced cooperation on different issues relating to international peace and security.

The report stems from the fifth annual Istanbul Retreat of the UN Security Council, convened by the government of Turkey, which council members attended from April 11 to 13, 2014. The Istanbul retreat seeks to provide an informal forum for Security Council members to discuss topics on the agenda of the council.

The following are among the ideas for improving collaboration between the council and regional organizations that emerged from the discussions:

  • Conflict Prevention: Produce a comprehensive overview of the council, UN, and regional organizations’ roles and responsibilities and enhance their joint early-warning efforts and information sharing. Support and develop the conflict prevention role of existing UN bodies, such as the Mediation Support Unit, the Peacebuilding Support Office, before creating alternative bodies.
  • Peace Operations: Rethink funding structures and capacity-building mechanisms to more adequately and sustainably support regional organizations in peace operations, including security sector reform and disarmament, demobilization, and reintegration processes.
  • Counterterrorism and Sanctions: Build new partnerships between the council and regional actors in counterterrorism, as most current efforts are state-centric. Develop strategies for peace operations that incorporate the interconnectedness of conflict and terrorism when necessary (e.g., AMISOM in Somalia).
  • Humanitarian Crises: Review refugee policy options and develop strategies with neighboring countries, host governments, and regional organizations for a coherent response to inflows of refugees, including capacity development of the host community.

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Regionaler Austausch und Zusammenarbeit zwischen den Polizeibehörden Südostasiens : ASEAN-Menschenrechtsforum für leitende Polizeibeamte

Hanns-Seidel-Stiftung - Thu, 04/06/2015 - 14:00
"Die Achtung der Menschenrechte als Lebensprinzip (way of life) sollte zum Leitmotiv der Polizeibehörden Südostasiens werden“. Das ist die Kernaussage eines gemeinsamen Kommuniqués von leitenden Polizeibeamten aus Brunei Darussalam, Indonesien, Kambodscha, Myanmar, Philippinen, Thailand und Vietnam. Es wurde im Rahmen des "Ersten Südostasien-Menschenrechtsforums für Polizeibeamte" vom 28. und 29. April 2015 auf den Philippinen verfasst.

Rohingyas : l’inquiétude des Occidentaux face à l’immobilisme de l’Asie du Sud-Est

IRIS - Thu, 04/06/2015 - 11:10

Depuis plusieurs semaines, des milliers de Rohingya et d’émigrés du Bangladesh tentent de rejoindre l’Asie du Sud-Est par bateau. Comment expliquer cette situation ? Quel est l’histoire et la situation actuelle de la population Rohingya ?
Le sort ténu de cette minorité Rohingya (musulmane de culture et d’origine bengalie ; environ un million d’individus en Birmanie) considérée comme « apatride » par une majorité de Birmans (bouddhistes) n’est guère nouveau. Ces trois dernières années, la communauté internationale, les médias occidentaux, les institutions et spécialistes [1] de la Birmanie se sont à diverses reprises penchées sur cette thématique humanitaire délicate, sans parvenir à infléchir significativement la perception des autorités birmanes, toute post-junte soient-elles depuis à présent quatre ans.
Au pays de La Dame de Yangon (Aung San Suu Kyi) et des généraux, le sort de ces « Bengali » comme les nomme sans ménagement l’homme de la rue à Yangon, Mandalay ou Sittwe ne soulève généralement pas des montagnes d’empathie, alors même que la résurgence d’un nationalisme bouddhiste militant est parallèlement de plus en plus marquée.
En revanche, les ordres de grandeur impressionnants et la dimension « industrielle » – plusieurs milliers de cas désespérés abandonnés au large des côtes birmanes, thaïlandaises et indonésiennes, sur des embarcations de fortune -, sont quant à eux plus nouveaux dans la région en ce XXIe siècle débutant, interpellant l’opinion ; au passage, bien davantage en Occident qu’en Asie…
Dans le contexte de cette Birmanie nouvelle et de retour dans le concert des nations, se profilent d’ici cinq mois des élections générales aussi cruciales qu’indécises à cette heure, les forces démocratiques (cf. Ligue Nationale pour la Démocratie – LND), l’électorat ethnique (un tiers de la population), le parti de l’ex-junte (USDP) et l’armée jouant des coudes pour conserver, résister ou étendre leurs « parts de marché » auprès des votants. Dans ce cadre particulier, la question des Rohingyas tient une place particulière où chaque parti / partie prenante au scrutin entend plaire à l’électorat. Un électorat très majoritairement birman (au sens ethnique du terme) et bouddhiste qui n’a qu’un intérêt pour le moins minime pour la situation de ces ressortissants déshérités, dont pas plus la Birmanie que le Bangladesh voisin ne se soucie vraiment, si ce n’est parce que la communauté internationale (occidentale) le leur suggère…

Une conférence régionale sur la crise des migrations clandestines en Asie du Sud-Est, réunie en urgence à Bangkok à l’initiative de la Thaïlande le vendredi 29 mai, devait permettre de trouver une solution à cette crise. Cette conférence a-t-elle permis de trouver des solutions satisfaisantes ? Largement pointée du doigt par ses voisins régionaux, quelle position la Birmanie a-t-elle choisi d’adopter ?
Dans ce forum régional « de crise », où une quinzaine de nations tentaient – péniblement… – de parler d’une seule et même voix sur ce dossier sensible et de trouver une issue rapide, calibrée et coordonnée, le doigt accusateur était principalement pointé en direction des régimes birman et bangladais, coupables d’une gestion (fort) sujette à caution, si ce n’est moralement indéfendable. Le ton est notamment monté à diverses reprises lors d’échanges tendus entre la délégation birmane, le Haut-Commissariat des Nations unies pour les Réfugiés (HCR) et les représentants américains, aux positions et solutions diamétralement opposées.
N’aimant guère être poussés dans les cordes, à plus forte raison devant un tel parterre régional et sous les feux médiatiques internationaux, les « diplomates » birmans présents à Bangkok ont tonné leur mécontentement, estimant être à tort stigmatisés. Les représentants de Naypyidaw [2] se sont toutefois « engagés » à ce que la Birmanie s’implique désormais davantage dans la recherche d’une solution de crise acceptable pour les populations considérées…
Quant aux participants de ce forum régional élargi, sur un plan collectif, l’idée d’une prise en charge immédiate, plus humaine, concertée et mutualisée entre les pays concernés au premier chef [3] par cette tragédie, scella les débats. Une issue somme toute attendue qui a très court terme, ces prochains jours, devrait (en théorie) ramener le niveau et l’amplitude de ces drames à de moins inhumaines proportions (cf. accueil des boat-people en situation de grande précarité, prise en charge temporaire et ventilation entre les différents États).
Le 3 juin, pour faire bonne mesure et s’acquitter de cette promesse obtenue sous la contrainte (diplomatique et médiatique), les autorités birmanes acceptèrent l’accostage de plus de sept cents individus dérivant depuis des semaines en mer des Andaman et tenus jusqu’alors à bonne distance du littoral birman…
Qu’en sera-t-il dans quelques semaines, d’ici quelques mois, lorsque le regard et l’attention du concert des nations se seront reportés sur une autre scène de détresse ou sur un autre théâtre de crise…

Qu’en est-il de la situation politique de la Birmanie aujourd’hui ? Constate-t-on toujours une libéralisation et une démocratisation du pays engagée depuis 2011 ?
Quoi qu’à l’évidence quelque peu grippé ou à tout le moins ralenti depuis une bonne année et demie, à l’orée de l’été 2015, le tempo de l’ouverture, des réformes et de la transition démocratique engagée au printemps 2011 demeure de mise.
Certes, ayant beaucoup investi depuis 2011 dans l’accompagnement de cette ouverture démocratique inédite – mais mise en musique par une majorité d’anciens hauts responsables militaires [4] -, la communauté internationale (occidentale principalement ; et Washington en particulier) fait la moue, mécontente des chantiers à l’avancée désormais ralentie, des calendriers et échéances plus flous et des divers retards pris. Aux félicitations a succédé une certaine déception.
Le sentiment d’avoir tout donné et trop vite, repris en boucle par les acteurs / observateurs militaro-sceptiques de la scène birmane (cf. ONG, organisations des droits de l’homme), commence à se faire entendre dans les grandes capitales. Promptes à se rendre toute affaire cessante à Naypyidaw et Yangon (entre 2011 et 2014 notamment), les responsables politiques étrangers de premier plan [5] sont dernièrement repris de volée pour leur précipitation supposée, mal récompensée selon leurs détracteurs par ce brutal coup de frein – d’aucuns en Birmanie parlent, un peu excessivement sans doute, de retour en arrière – de l’administration Thein Sein, il y a encore peu portée aux nues.
Un changement de rythme que l’on impute à la phase transitoire menant aux élections générales de novembre, ainsi qu’aux délicates – si ce n’est laborieuses – discussions de paix en cours. Ces dernières rapprochent dans une complexe alchimie de négociations/tractations/intimidations une quinzaine de groupes ethniques armés et le gouvernement, lequel ambitionne désormais d’obtenir de ses interlocuteurs ethniques parties au processus la possible signature, courant juin ou juillet, d’un hier encore très improbable accord national de cessez-le-feu (National Ceasefire Agreement : NCA).
Un événement somme toute alors historique dans ce pays d’Asie du Sud-Est, fragilisé depuis un long demi-siècle par une kyrielle de conflits domestiques violents, mais qui ne signifierait pas encore la matérialisation de la Paix avec un P majuscule ; le NCA ne constituant « que » le stade préliminaire de ce processus alambiqué.
De fait, une fois paraphé, l’accord national de cessez-le-feu autoriserait l’ouverture d’une phase deux, c’est-à-dire d’un « dialogue politique » entre le gouvernement et les minorités ethniques. Une deuxième étape cruciale et délicate, que la majorité des observateurs imaginent étirée sur plusieurs années, ce alors que des accrochages violents, des combats, perdurent encore début juin 2015 en divers points du territoire (cf. Etats Shan, Kachin et Rakhine).
En 2015, dans cet État trait d’union stratégique et jointure unique des mondes indien, sud-est asiatique et chinois, le chemin de la transition démocratique et de la concorde nationale se révèle à l’évidence tout aussi ardu que celui supposé mener à la paix.

[1] Lire notamment http://www.iris-france.org/docs/kfm_docs/docs/observatoire-strategique-asie/20140325birmanie.pdf ; http://www.iris-france.org/docs/kfm_docs/docs/observatoire-strategique-asie/2013-04-05-asie-perspectives-stratgiques-n5-deux-ans-aprs-la-fin-de-la-junte-deux-ans-avant-les-lections-gnrales-la-birmanie-au-milieu-du-gu.pdf
[2] La capitale birmane depuis 2005.
[3] Cf. les pays de départ : Bangladesh et Birmanie ; les pays de transit : Thaïlande et Indonésie ; enfin, les pays de destination : Malaisie et Australie.
[4] A l’instar du Président Thein Sein (ancien n°5 de la Junte militaire ; général) ou du Président de l’Assemblée nationale (Speaker) Thura Shwe Mann (ancien n°3 de la junte ; également général). Dans le gouvernement birman actuel, à minima les 4/5e des portefeuilles ministériels et des postes à responsabilité sont confiés à d’anciens officiers supérieurs.
[5] Tel le Président américain Barack Obama, le seul chef d’État occidental à s’être rendu à deux reprises en Birmanie en l’espace de trois ans (2012 et 2014).

Des idées pour l’apprentissage inspirées du modèle allemand

Institut Montaigne - Thu, 04/06/2015 - 11:06
Date de parution: Mercredi 03 Juin 2015Auteur: Raphaëlle PienneNom de l'editeur: Défi métiersImage de l'editeur: Description: Pour que le taux de jeunes Français suivant une formation en apprentissage puisse atteindre le niveau connu outre-Rhin, une étude publiée par l’institut Montaigne fait une série de propositions. Type de parution: L'institut est citéType de média: WebLien: https://www.defi-metiers.fr/breves/des-idees-pour-lapprentissage-inspirees-du-modele-allemand

DEKT in Stuttgart: Der interreligiöse Dialog macht klüger

Konrad Adenauer Stiftung - Thu, 04/06/2015 - 00:00
"Damit wir klug werden" lautet das Motto des Evangelischen Kirchentags und passt zu Methodius Kusumahadi aus Indonesien.

Jugendkongress in Hamburg: Politik_Lab - Demokratie 2.0

Konrad Adenauer Stiftung - Thu, 04/06/2015 - 00:00
Unter dem Motto "Demokratie lebt vom "MITdenken! MITreden! MITmachen! Nur wer sich einmischt, kann etwas verändern" trafen sich Ende Mai 250 Jugendliche.

Doppelstrategie der richtige Weg: Prinzipien klar machen und im Dialog bleiben

Konrad Adenauer Stiftung - Thu, 04/06/2015 - 00:00
Nur im Dialog kann man auch eigene Überzeugungen deutlich machen, so Pöttering nach dem umstrittenen Staatsbesuch von Ägyptens Präsident al-Sisi.

Meeting, Learning and Sharing: GCSP's Security Policy Conference and 20th Anniversary Festivities Close on High Note

GCSP (News) - Wed, 03/06/2015 - 17:43

Meeting, Learning and Sharing: GCSP's Security Policy Conference and 20th Anniversary Festivities Close on High Note

Dr Eleni Panagiotarea discusses the Greek crisis on ARTE, 02/05/2015

ELIAMEP - Wed, 03/06/2015 - 16:41

Research Fellow of ELIAMEP Dr Eleni Panagiotarea gave an interview on ARTE discussing the evolution of the Greek crisis. The interview was played out on 2 June 2015.

Writing for Welt Trends Dr Thanos Dokos analyses Greece’s policy towards the Middle East

ELIAMEP - Wed, 03/06/2015 - 15:52

In an article he wrote for Welt Trends Journal devoted to foreign policy Director General of ELIAMEP Dr Thanos Dokos analyses Greek policy towards the Middle East. You can have here access to the journal.

Thanos Dokos and Ioannis Grigoriadis share their views on the Turkish election

ELIAMEP - Wed, 03/06/2015 - 14:56

Director General of ELIAMEP Dr Thanos Dokos and Research Fellow of ELIAMEP and Assistant Professor at the Department of Political Science, Bilkent University, Dr. Ioannis N. Grigoriadis analyse the Turkish election of 7 June 2015 by responding on four questions on ELIAMEP website. The content is available in Greek.

The G-7 and the post-2015 process: role and deliverables

At the upcoming G7 Summit held in Elmau, G7 members should seize the opportunity and push for a successful outcome of the major multilateral events of 2015 dealing with development finance (Addis Ababa), the post-2015 agenda for sustainable development (New York) and climate change (Paris). We identify opportunities for action at three different levels. •   The G7 should introduce changes at home with a significant global impact: (i) G7 leaders should commit themselves to formulate national, time-bound plans for implementation of the universal post-2015 agenda that are linked to existing national processes such as sustainable development policies and strategies; (ii) they should be frontrunners in tackling unsustainable consumption and production patterns and (iii) specify national contributions on how to limit global warming to 2°C. •   The G7 should support sustainable development in low- and middle-income countries (LICs and MICs): (i) The G7 should scale up support for national public health systems in LICs and help create a health contingency fund; (ii) reconfirm and specify commitments to contribute to global public finance, including         official development assistance (ODA) and climate finance and (iii) promote the transfer and development of technology for LICs and MICs. •   At the global level the G7 should promote global rules for global commons: (i) the G7 should implement reforms of the international financial architecture; (ii) advance the reform of the international tax system by promoting multilateral agreements to foster international cooperation among tax authorities and (iii) encourage an enabling international trade system for developing countries including a development friendly Transatlantic Trade and Investment Partnership (TTIP) and Trans-Pacific Partnership (TPP). The post-2015 agenda for sustainable development reaffirms the universality of human rights and other core G7 values. While the current draft proposal of the Sustainable Development Goals (SDGs) is not perfect, it could trigger urgent collective action which is needed now to maintain and secure prosperity and wellbeing of current and future generations within planetary boundaries. Furthermore, the sustainable development agenda provides an example of how to deal with collective problems: in a rules-based partnership, based on ideas of fairness, equity and common but differentiated responsibilities. The G7 must play their part and help the negotiations succeed.

Professor Tsoukalis to give a talk on the future of Europe at an international conference in Venice

ELIAMEP - Wed, 03/06/2015 - 14:26

President of ELIAMEP, Professor Loukas Tsoukalis will speak at a conference organised by the Council for the United States and Italy, on June 5 and 6, in Venice. He will participate at the opening panel discussion on ‘Europe and the 2015 elections: Greece, UK, Denmark, and Spain’. Among the many distinguished speakers who will participate at the conference: Joaquin Almunia, former Vice-President of the European Commission; Peter Sutherland, Chairman, Goldman Sachs International; Eric Schmidt, Executive Chairman, Google; Lorenzo Bini Smaghi, Chairman of the Board, SNAM and Chairman of the Board, Société Générale, along with the Italian Minister of Foreign Affairs, Paolo Gentiloni and the Minister of Economy and Finance, Pier Carlo Padoan.

Hoffnungsträger für Frauen und LGBTs

SWP - Wed, 03/06/2015 - 12:23
Bei den Wahlen in der Türkei sind alle Augen auf die pro-kurdische "Demokratische Partei der...

Foot : le parrain 2

IRIS - Wed, 03/06/2015 - 11:41

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