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HII to build new amphibious assault warship LHA 8 for US Navy

Naval Technology - Mon, 04/07/2016 - 01:00
The US Navy has awarded a $272m contract to Huntington Ingalls Industries' (HII) Ingalls Shipbuilding division for the construction of a new large-deck landing helicopter assault (LHA 8) warship.

Les structures militaires de l’Alliance (fiche)

Bruxelles2 Blog - Sun, 03/07/2016 - 19:33
(B2) L'OTAN est une organisation politique mais aussi militaire. C'est ce qui constitue sa force. C'est au sein de ses structures, assez complexes, que sont élaborés la doctrine, les concepts, les plans de défense, et que sont préparées et conduites les exercices ou opérations de l'Alliance. De la conception à l'exécution Au sommet, on trouve […]

Le Commandant en chef de l’OTAN (SACEUR)

Bruxelles2 Blog - Sun, 03/07/2016 - 12:55
(B2) Le commandant suprême des forces alliées en Europe de l'OTAN (Supreme Allied Commander Europe), de par son importance dans la structure de l'Alliance, est à la fois une personne et une entité. Toujours assurée un Américain, le SACEUR garde une double casquette, otanienne et nationale. Il commande, en effet, les forces des Etats-Unis en […]

Miro & CoBrA à Bratislava

Bruxelles2 Blog - Sun, 03/07/2016 - 08:00

Le bâtiment du Danubiana planté sur une presqu’île au milieu du Danube (© NGV / B2)

(BRUXELLES2 à Bratislava) De passage à Bratislava lors des prochains mois, ne ratez pas l’exposition European Stars- Miró& CoBrA qui vient d’ouvrir (et se déroule jusqu’au 13 novembre). Elle est située un peu en dehors de la ville, au musée Danubiana. Prévoir donc un peu de temps pour y aller *

En ces temps turbulents pour l’Europe, certaines oeuvres exposées prennent une résonance particulière tel ce Banquet des Idoles de Rancinan – revisitant tous ceux qui ont fait la scène médiatique de Jésus à Madonna ou de Mère Théresa à Einstein – ou une « fin du commencement » de Martin Varholik ou un Red Wedge de Jankovic. Quant à la devise de Cobra définie par Constant « we work for tomorrow’s world », elle a une tonalité très actuelle.

Le bâtiment original en forme de bateau est situé au bord du Danube, et plusieurs oeuvres s’insèrent parfaitement dans le paysage, au point qu’on les prendrait pour des peintures ou portraits réalistes. Certaines oeuvres sont placées dans le jardin, d’autres se nichent dans certaines coins, y compris sur le toit du bâtiment.

Outre les oeuvres de Miró (peintures, peintures, sculptures, dessins, gravures, tapisseries…) et celles du groupe CoBrA (Alechinsky, Appel, Constant, Corneille, Niewenhuys, Henning Pedersen, etc.) l’intérêt de la visite est de découvrir les artistes slovaques (Rudolf Fila, Jozef Jankovic, Ivan Pavle…), tchèques, hongrois (Ilona Keserü), macédonien (Kiro Urdin)… qui valent aussi le coup d’oeil attentif. Au total, une centaine d’oeuvres sont ainsi exposées provenant d’un prêt de la famille Joan Miró, de la collection Meulensteen, du Musée de Amstelveen (Pays-Bas).

(Nicolas Gros-Verheyde)

Pour s’y rendre :

  • Par le Bus 90 (qui se prend derrière le SND, le nouveau bâtiment du Théâtre national)
  • ou par bateau, cela prend environ 1h30. Un seul départ par jour à 13h30 retour à 18h (cela laisse deux bonnes heures pour visiter). Le prix du billet (12 euros) couvre le voyage.
  • Par le taxi ou autres moyens

Un centre sportif et aquatique avec rafting et autres activités se situe à proximité si vous voulez compléter la découverte artistique par un peu de détente physique.

A l’agenda du Sommet de l’OTAN de Varsovie les 8 et 9 juillet 2016

Bruxelles2 Blog - Sun, 03/07/2016 - 00:01
(B2) Les chefs d'Etat et de gouvernement sont réunis les 8 et 9 juillet 2016 à Varsovie pour un nouveau sommet à la symbolique forte. Plusieurs décisions sont attendues qui ont déjà été préparées dans les différentes ministérielles. Voici la liste des sujets attendus. Un engagement répété pour maintenir des budgets de défense à la […]

Comment se décide une mission ou opération de la PSDC ?

Bruxelles2 Blog - Sat, 02/07/2016 - 16:19
(B2) Une mission ou opération de la PSDC se décide au terme d'un processus à la fois politique et militaire. Mais la décision de déployer une mission de la PSDC obéit à plusieurs conditions, officielles ou officieuses. Quand ses conditions sont remplies — ou peuvent être remplies — se met en place une mission ou […]

Il y a trente ans, le premier vol du Rafale...

Blog Secret Défense - Sat, 02/07/2016 - 15:11
La nouvelle promotion de l’Ecole de l’air est baptisée Marcel Dassault.

Les structures politiques de l’Alliance

Bruxelles2 Blog - Sat, 02/07/2016 - 14:00
(B2) Le Conseil de l'Atlantique Nord, plus connu sous ses initiales NAC (North Atlantic Council) est l'instance principale de concertation et de décision politique de l'Alliance atlantique. C'est même le seul organe instauré par le Traité de l'Atlantique Nord en 1949 (article 9). Il a autorité pour mettre en place des entités subsidiaires, s'il l'estime […]

La stratégie globale de l’UE : plus importante qu’il n’y parait après le Brexit

Bruxelles2 Blog - Sat, 02/07/2016 - 12:45

(crédit : EMA / DICOD – archives B2 – exercice de parachutisme en Nouvelle Calédonie)

(BRUXELLES2) L’évènement est passé totalement inaperçu dans la tempête du Brexit. Les ’28’ Chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union européenne ont adopté, le 28 juin, une nouvelle stratégie pour la politique extérieure et de sécurité européenne (en abrégé : ‘Stratégie Globale’) suivant en cela la proposition de Federica Mogherini (1). Je dis bien à ’28’ : il ne s’agit pas d’une formule littéraire. David Cameron était bien là lors de cette discussion mais, il est vrai, qu’il avait un peu la tête ailleurs…

Un document qui arrive au terme d’une année de réflexion

Il ne faut pas surestimer ce document. Il ne s’agit que d’un document de réflexion, qui synthétise la pensée politique du moment, au terme de près d’une année de consultations diverses. Ainsi que nous l’avions déjà écrit, nous n’avons jamais vu une action se déclencher ou être empêchée simplement par une Stratégie (lire : Une stratégie ne fait pas le printemps !). Mais il ne faut pas le sous-estimer non plus. Ce document a une valeur importante au plan symbolique et doctrinal. Il fixe la doctrine extérieure de l’Union européenne. Il a une valeur non contestable par les différents Etats membres qui ont été associés et consultés tout au long de l’élaboration de ce document, que ce soit au niveau des parlements nationaux, des gouvernements ou des groupes de travail au sein de l’Union européenne.

Plus important aujourd’hui qu’hier

Lors de la dernière révision, en 2008, les Chefs d’Etat et de gouvernement n’étaient pas arrivés ainsi vraiment à dépasser la stratégie de sécurité de Solana de 2003. De façon paradoxale, au lendemain du Brexit, la Stratégie globale prend une valeur tout autant fondamentale que son contenu. Ce document permet d’affirmer aux yeux de tous, la confiance des Européens dans leur propre modèle et de jouer un rôle dans le monde. Il permet aussi de mettre au jour des mots clés qui étaient auparavant plutôt tabous au niveau européen : une « autonomie stratégique » (lire : Une Europe autonome : le mot clé de la future Stratégie globale), d’avoir des « capacités autonomes »…

(Nicolas Gros-Verheyde)

A télécharger ici (version anglaise pour l’instant, version française en préparation)

(1) Pour être exact, le document n’a pas été adopté mais ‘salué’ par le Conseil européen qui a ainsi remercié la Haute représentante de l’UE pour son travail. Au plan juridique, la différence est à noter. Mais, au plan politique, cela revient au même. Le document est endossé et devient un document officiel de doctrine de l’Union européenne.

Lire aussi nos décryptages :

Les Dix modèles européens pour associer un pays tiers… et le Brexit

Bruxelles2 Blog - Fri, 01/07/2016 - 17:20
(B2) Dans ses relations avec les pays tiers, l'Union européenne a développé toute une panoplie d'accords qui dépassent les simples cas suisses et norvégiens. Plusieurs modèles permettant de nouer intérêts économiques, politiques et facilitées commerciales dans des accords globaux... sans compter les accords sectoriels possibles (*). Etat des lieux ... Les accords multilatéraux. Le rattachement à […]

La renaissance de la présidence tournante. Une bonne chose ?

Bruxelles2 Blog - Fri, 01/07/2016 - 16:36

Bratislava entend faire de sa présidence un point d’appui pour la reconquête de l’Europe par les Etats (© NGV / B2 – Le pont du soulèvement national slovaque)

(BRUXELLES2 à Bratislava) La prise de présidence par la Slovaquie après les Pays-Bas coïncide avec un retour des Etats en force dans le jeu communautaire. Et l’organisation d’un sommet exceptionnel à Bratislava à la mi-septembre ne doit pas être négligée.

Pour Bratislava, avoir la présidence de l’Union européenne, pour la première fois de son histoire est déjà un acte important. Le premier ministre slovaque, Robert Fico, l’a indiqué nettement aujourd’hui devant la presse internationale (dont B2) présente dans la capitale slovaque. « Pour un si petit pays que la Slovaquie, il s’agit d’un évènement exceptionnel. On a fait tout de ce qui est en notre pouvoir pour que cette présidence se développe aussi bien que possible. »

L’organisation d’un sommet de chefs d’Etat et de gouvernement, le 16 septembre à Bratislava, à ’27’ (sans le Royaume-Uni) est cependant tout, sauf anodine.

Depuis le Traité de Nice, tous les sommets sont normalement organisés à Bruxelles. C’est le résultat d’un deal intervenu au bout de la nuit entre Jacques Chirac, le président français qui assurait alors la présidence de l’Union européenne, et Guy Verhofstadt, alors Premier ministre belge, permettant de compenser pour les Belges, le décrochage des voix avec les Pays-Bas, et également d’en finir avec une certaine anarchie, de mouvements autonomes et d’extrême-gauche qui faisaient de chaque réunion formelle ou informelle des Chefs d’Etat et de gouvernement l’occasion d’une confrontation. Cela avait été le cas à Barcelone (sous la présidence espagnole) mais aussi à Gênes pour le G7. Le sommet de Nice n’échappera pas aux échauffourées,  aussi sur fond de lacrymos et autres vitres cassées.

Ce sommet est ainsi le symbole d’une double reprise en main. Elle est symptomatique d’une volonté chez les Chefs d’Etat et de gouvernement de reprendre la main, sur les institutions européennes, d’avoir leur mot à dire au-delà des procédures européennes. Citant la crise migratoire et le problème des relocalisations Robert Fico a ainsi plaidé pour « que les Etats membres viennent avec leurs propres initiatives, qui seront ensuite prises en compte » dans le débat.

Pour les dirigeants de l’Est, il s’agit ainsi de ne pas se laisser distancer, de ne pas laisser le couple franco-allemand ou même les pays fondateurs imprimer, seuls, une direction à l’Europe. Robert Fico l’avait dit déjà hier devant la presse : « Les décisions cruciales sur l’avenir de l’Europe ne peuvent pas être définies à deux, trois Etats membres, ni par les Etats fondateurs de l’UE (…) L’avenir de l’UE ne peut plus être déterminé sans la participation active des Etats qui l’ont rejointe en 2004 et en 2007 ». Il a enfoncé le clou aujourd’hui à ceux qui critiquaient les Visegrad pour se concerter entre eux avant chaque réunion au sommet. « La coopération dans le cadre du V4 (le groupe de Visegrad) est unique. Elle est utile pour la coopération régionale. Elle repose sur des valeurs essentielles que nous apprécions. Elle continuera et sera approfondie. Il est tout à fait normal que nous abordions des sujets communs, d’essayer de coordonner nos positions là où c’est possible, pour défendre nos intérêts. »

Cette réunion à Bratislava est essentielle pour les chefs d’Etat et de gouvernement de tous bords, il s’agit enfin de se ménager un espace supplémentaire, en dehors de Bruxelles. «  Nos conseils européens sont surchargés de sujets qui sont à l’ordre du jour. Et il faut préparer des conclusions. Car vous journalistes attendez derrière la porte que nous adoptons des conclusions. Nous n’avons pas assez d’espace pour des discussions informelles », autrement dit politiques.

Commentaire : une solution de bon sens à mon avis. Je n’ai jamais été un chaud partisan des sommets dans une ville unique (comme d’ailleurs de la présidence unique). C’est une solution sans doute rationnelle au plan organisationnel. Mais ce qu’on gagne en organisation, on le perd en vivacité, en compréhension, en  en puissance politique.

Si certaines fonctions peuvent être « uniques » – pour l’Euro ou la politique extérieure – on ne peut pas déposséder les Etats de tous les symboles de ce que fait l’Europe. Il n’y a pas un peuple unique, un Etat unique, une voix unique, il n’y a pas même de fédération unique, c’est une erreur de croire ceci. Cela participe ainsi d’une fausse croyance que « Bruxelles » décide de tout, selon des critères pour le moins difficiles à comprendre. Il y a des peuples et des Etats rassemblés, unis le plus étroitement possible, qui donnent la légitimité à la construction européenne.

Dire que cela rapprochera l’Europe des citoyens définitivement est sans doute utopique. Mais, au-delà de l’argumentaire philosophique, tenir des sommets dans un pays de la présidence tournante a un gros avantage : il responsabilise les différents gouvernements, de leur réappropriation de la ‘chose européenne. Il participe aussi de la pénétration dans les médias locaux ou nationaux de ces pays qui vont ‘couvrir’ l’évènement, et donc influer sur une certaine connaissance européenne.

En creux, cette réunion marque également un certain affaiblissement des institutions comme la Commission européenne. C’est un fait. Mais l’organisation d’une telle réunion n’est-elle pas plutôt la conséquence de cet affaiblissement, de ses erreurs, avec un entêtement parfois nécessaire mais aussi parfois suranné, que la cause d’un lent effilochement communautaire ?

(Nicolas Gros-Verheyde)

Report of the Middle East Quartet

EEAS News - Fri, 01/07/2016 - 15:38

Stratego blog - Welcome

Stratego Blog - Fri, 01/07/2016 - 13:49

Welcome to my blog.

My name is Gergely Varga, I’m an international relations and security policy expert, with a PhD from Budapest Corvinus University. Currently I’m working as a non-resident fellow of the Center for Strategic and Defense Studies (CSDS) at the National University of Public Service.

I launched this blog to share my take on international security issues effecting Europe and the wider transatlantic region. As for what to expect balanced approach in understanding competing perspectives, favoring realism in an age of ideologues and extremists, a cherish for traditional values and support transatlantic cooperation in a rapidly transforming world.

I bring extensive research experience from the area of international security studies to this blog: I joined CSDS in 2008 after finishing my law and history studies at ELTE University. In 2012 I was a visiting fellow in Washington D.C. at the Center for Transatlantic Relations Johns Hopkins University. I have written numerous publications, most of the focusing on my primary research areas, US foreign and security policy, NATO, transatlantic relations and European security challenges.

Üdvözlöm a blogomon.

Dr. Varga Gergely vagyok, biztonságpolitikai szakértő. Jelenleg a Nemzeti Közszolgálati Egyetem Stratégiai Védelmi Kutató Intézetének külső munkatársa vagyok, doktori címemet a Budapesti Corvinus Egyetem nemzetközi kapcsolatok szakán szereztem meg.

A blogon Európát és a tágabb transzatlanti térséget érintő nemzetközi biztonsági kérdések kerülnek előtérbe. A blog szellemisége a felmerülő versengő perspektívák megértése tekintetében kiegyensúlyozottságot, az ideológikus és szélsőséges megközelítésekkel szemben a realizmus előtérbe helyezését, a hagyomásos értékek iránti elkötelezettséget és a transzatlanti együttműködés támogatását fogja tükrözni.

Az itt megjejelő cikkek írásakor széleskörű kutatási tapasztalatokra hagyatkozom: 2008-ban kerültem a Stratégiai Védelmi Kutatóközpontba miután befejeztem jogi és történészi tanulmányaimat az ELTE-n. 2012-ben 10 hónapig a washingtoni Johns Hopkins Egyetem Transzatlanti Kapcsolatok Központja vendégkutatója voltam. Számos publikációm jelent meg a fő kutatási területemet, amerikai kül és biztonságpolitikát, transzatalnti kapcsolatokat, NATO-t és az Európai biztonsági kihívásokat érintő kérdésekről.

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