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N°39. Le bouclier anti-missiles de l’OTAN

Bruxelles2 Blog - Thu, 07/07/2016 - 13:00
(B2) L'OTAN a fait de la défense antimissile, sous impulsion américaine, une de ses priorités pour protéger le territoire des Etats membres comme ses forces déployées sur le terrain. Pour l'Alliance, la prolifération des missiles balistiques dans le monde représente « une menace croissante pour les populations, le territoire et les forces déployées des pays […]

Le Quartet pessimiste sur une solution au conflit israélo-palestinien

Bruxelles2 Blog - Thu, 07/07/2016 - 10:05
(B2) Attendu depuis plusieurs mois, le rapport du Quartet (Etats-Unis, Union européenne, Russie et Onu) sur les récents développements du conflit israélo-palestinien a finalement été publié, vendredi (1er juillet). Ce rapport de 7 pages, dresse un constat quelque peu pessimiste, d'impuissance. Il met en exergue les blocages venant des deux parties et l'urgence d'inverser trois tendances […]

Le Brexit en arrière cour de toutes les discussions. Une déclaration du Hilton

Bruxelles2 Blog - Thu, 07/07/2016 - 06:00
(B2) Le Sommet de l'OTAN à Varsovie aura un invité clandestin : le Brexit. Le départ du Royaume-Uni de l'Union européenne devrait être de nombre de discussions au sommet, dans la salle et dans les couloirs. A l'agenda de la rencontre avec Obama Le Brexit est ainsi à l'agenda, dès le matin du vendredi (de […]

US Navy’s SPAWAR contracts Cubic to deliver common data link split radio

Naval Technology - Thu, 07/07/2016 - 01:00
The US Navy's Space and Naval Warfare Systems Command (SPAWAR) Systems Center Pacific has contracted Cubic Mission Solutions (CMS) to deliver the switchable common data link (CDL) split above and below decks radio systems.

Mictrotech wins $750m contract to provide C2 systems to US Navy

Naval Technology - Thu, 07/07/2016 - 01:00
Mictrotech has secured a $750m indefinite-delivery / indefinite-quantity contract from the Space and Naval Warfare Systems Center to provide command-and-control (C2) systems and associated support services to the US Navy.

South Korea requests sale of SM-2 Block IIIB Standard missiles from US

Naval Technology - Thu, 07/07/2016 - 01:00
The US Defense Security Cooperation Agency has notified Congress of the potential foreign military sale (FMS) of SM-2 Block IIIB Standard missiles, SM-2 missile containers and support to the Republic of Korea (ROK).

Le sommet de l’OTAN veut faire face aux menaces de l’Est comme du Sud

Bruxelles2 Blog - Wed, 06/07/2016 - 23:55

(B2) Entre la projection à l’Est qui illustre le retour à la défense territoriale, le coeur de métier de l’Alliance atlantique, et la ‘projection de stabilité’ au Sud, notamment en Irak ou en Méditerranée, le sommet de l’OTAN à Varsovie les 8 et 9 juillet ne manque pas de sujets importants. C’est l’objet de ce « Café diplomatique » spécial.

En quelques années, les « menaces ont augmenté de façon drastique » comme le notent tous les diplomates qui préparent cette rencontre, tant du côté de l’OTAN que de l’Union européenne. L’invité clandestin de cette réunion devrait être… le Brexit qui sera dans tous les esprits et toutes les têtes notamment lors du dîner qui rassemble les membres de l’OTAN et certains responsables européens (Commission européenne, Conseil européen, Haut représentant, Finlande et Suède).

Une émission de B2 et de Vieuws

A lire aussi :

La capacité opérationnelle initiale de la défense anti-missiles de l’OTAN déclarée

Bruxelles2 Blog - Wed, 06/07/2016 - 17:12
(B2) Le sommet de l'OTAN à Varsovie les 8 et 9 juillet doit approuver la « capacité opérationnelle initiale » (IOC) de la défense anti-missiles balistique (DAMB) de l'OTAN (voir encadré). Jusqu'à présent seule une capacité « intérimaire » avait été proclamée (au sommet de Chicago en 2012), qui reposait essentiellement sur les moyens américains. […]

Le Parlement approuve le Corps européen de garde-frontières

Bruxelles2 Blog - Wed, 06/07/2016 - 14:55
(B2) Le Parlement européen a approuvé, ce mercredi (6 juillet), le règlement créant le Corps européen de garde-frontières et garde-côtes à une large majorité (483 voix pour, 181 voix contre et 48 abstentions). Il ne s'agit pas, formellement, de la dernière étape pour ce texte puisqu'il doit encore être mis au point par les juristes […]

June's top stories: Fincantieri-Qatar’s €4bn navy deal, RIMPAC 2016 begins

Naval Technology - Wed, 06/07/2016 - 01:00
Fincantieri won a €4bn contract to build seven vessels for the Qatar Navy, Rim of the Pacific (RIMPAC) 2016 international maritime exercise started in Hawaiian waters and the US Navy’s fifth mobile user objective system satellite was successfully lau…

MMI Engineering-Technical, Engineering and Scientific Services for Maritime Risk Management

Naval Technology - Wed, 06/07/2016 - 01:00
MMI Engineering (MMI) provides technical consulting and engineering services to enable effective maritime risk management.

Lockheed to provide support for Canadian Navy’s Victoria-class submarines’ SFCS

Naval Technology - Wed, 06/07/2016 - 01:00
Lockheed Martin has been contracted by the Government of Canada to offer long-term, full-spectrum support for the submarine fire control system (SFCS) on-board the Royal Canadian Navy's (RAN) four Victoria-class submarines and land based team trainer…

Chile requests $140m sale of Evolved Seasparrow missiles from US

Naval Technology - Wed, 06/07/2016 - 01:00
The US Defense Security Cooperation Agency has notified Congress of the potential $140.1m foreign military sale of Evolved Seasparrow missiles (ESSMs), equipment, training, and support to the Government of Chile.

Isode-High-Grade Messaging Software

Naval Technology - Wed, 06/07/2016 - 01:00
Isode supplies messaging and directory server software to sectors requiring high levels of reliability, security and support.

L’accord de Berlin Plus touché en plein coeur par le Brexit

Bruxelles2 Blog - Tue, 05/07/2016 - 21:50

Cérémonie de médailles à EUFOR Althea (Crédit : EUFOR Althea)

(BRUXELLES2) Dans le début des années 2000, l’Union européenne avait conclu un accord avec l’OTAN pour pouvoir utiliser lors de ses opérations le quartier général de l’Alliance Atlantique (le SHAPE situé à Mons). Cet accord a aujourd’hui un peu de plomb dans l’aile… Et le Brexit pourrait l’achever.

Un accord utilisé dans les années 2000…

Un dispositif qui a été utilisé dans les Balkans uniquement à deux reprises : en 2003, avec la relève de l’opération de l’OTAN (Allied Harmony) en Macédoine/FYROM et, en 2004, quand les Européens avaient repris la succession de la SFOR, la force de stabilisation de l’OTAN en Bosnie-Herzégovine, en mettant en place leur opération EUFOR Althea. Depuis, en fait, il n’a pas vraiment été utilisé tout simplement car il n’est plus nécessaire et n’est plus vraiment adapté.

Un accord qui n’est plus tout à fait adapté pour 4 raions

Une différence dans les opérations

Premièrement, l’Union européenne ne mène plus de grosses opérations terrestres de stabilisation comme dans les Balkans, sur une longue durée. Elle mène plutôt des opérations avec une courte durée et une « faible » empreinte terrestre ou des opérations maritimes. Autrement dit le QG de l’OTAN est un peu « lourd » pour ce type d’opération.

Une autonomie de fait

Deuxièmement, pour mener ses diverses opérations militaires, l’Union européenne — et ses Etats membres — préfèrent utiliser les quartiers généraux mis à disposition par ces derniers : cela a été le cas pour l’opération EUFOR au Tchad en 2008 (c’était le Mont Valérien près de Paris), cela a été le cas pour l’opération maritime EUNAVFOR anti-piraterie (Atalanta dont le QG est toujours à Londres – Northwood) et c’est toujours le cas pour l’opération maritime EUNAVFOR au large de la Libye (Sophia) de lutte contre les migrants et de contrôle de l’embargo sur les armes (dont le QG est à Rome). Et si demain, elle se dote d’un QG autonome, elle aura encore moins besoin du QG de l’OTAN.

Une différence de logique politique

Troisièmement, ce qui constitue le principal problème, le dispositif de l’OTAN obéit à une autre logique et une autre organisation politique. Il y a une rupture de la chaîne de commandement politique et militaire qui est impensable dans un Etat membre et tout autant dans une organisation internationale. Imaginons l’opération Barkhane au Mali dirigée par le QG britannique de Northwood. Et le Premier ministre britannique décide directement de nommer le militaire qu’il veut à sa tête ou de le retirer. C’est proprement impensable.

Une composition fortement différenciée

Quatrièmement, même si l’Union européenne et l’OTAN sont assez proches, plus proches que l’apparence le laisse penser, la logique et l’organisation des deux organisations sont différentes. Elles n’ont pas les mêmes ‘actionnaires’ (les mêmes Etats membres). Quand on dit que OTAN et UE ont « presque » les mêmes membres. Toute la différence est dans le ‘presque’. Du côté de l’UE, on trouve six Etats « neutres » ou « non alignés » qui auraient bien du mal à devenir membres de l’OTAN (Suède exceptée). Du côté de l’OTAN, on trouve un ‘gros’ morceau — Etats-Unis, Canada — ces deux pays n’ont pas vocation à devenir membres de l’UE — et la Turquie — dont la candidature est repoussée… aux calendes grecques. Ajoutons au surplus qu’il y a un membre — les Etats-unis — qui dépense quasiment trois fois plus de budget de défense que tous les autres réunis. Cela donne une suprématie qui se réflète naturellement dans les choix de l’organisation. Cela n’existe pas au niveau européen. Enfin un Etat membre de l’OTAN (Turquie) a un ‘différend’ militaire (gelé) avec un Etat membre de l’UE (Chypre). En bref, il y a une sacrée ‘presque’ différence !

Une expérience née au fil des années

Enfin il y a près de 15 ans, quand l’Union européenne n’avait aucune expérience de mission de stabilisation, et sur des opérations où elle succédait à des opérations de l’OTAN, il y avait une « vraie » logique opérationnelle et politique à ce qu’elle recourt aux moyens de l’OTAN. Aujourd’hui, le QG de l’OTAN pour mener des opérations de l’OTAN est plutôt inadapté, et pour tout dire un peu « lourd » à manier pour les opérations de l’Union européenne.

Un ‘petit’ problème politique : le Brexit

C’est normalement le D-Saceur qui était le commandant d’opération des opérations européennes recourant au QG de l’OTAN. Le D-Saceur étant traditionnellement un Européen, et un Britannique, cela satisfaisait tout le monde ou presque. Demain avec le Brexit, cela prend une autre tournure avoir un commandant d’une nationalité autre qu’un membre de l’Union européenne, pour une opération européenne est un problème. Bien sûr officiellement la réponse : nous ne connaissons pas encore toutes les conséquences du Brexit et le Royaume-Uni est toujours membre de l’Union européenne… Cela c’est pour la galerie…

Exit un commandant britannique pour une opération européenne ?

Dans les couloirs, la question se pose réellement. B2 a interrogé quelques diplomates et militaires bon connaisseurs du dossier. Et la réponse est limpide : « Cela devra changer ! » répond un diplomate. « Il y a bien d’autres militaires que les Britanniques dans l’Alliance » réplique le militaire, dans une tournure assez … diplomatique finalement pour aboutir au même résultat. Exit le commandant britannique d’une opération de l’Union européenne. L’opération Althea tirant à sa fin… (avec à peine 600 soldats disponibles sur place … en comptant les Turcs !), d’ici un ou deux ans, se posera réellement la question de sa reconduction (les Britanniques n’étant plus là pour en défendre l’existence).

Un Varsovie + ou un Berlin + 2

Les accords de Berlin Plus avaient un atout … Ce qui est en jeu aujourd’hui n’est pas de les momifier en tentant de leur garder un semblant de vie alors qu’ils n’ont plus d’intérêt. C’est de les revivifier. Car c’est cela l’essentiel : trouver une modalité organisationnelle où l’Union européenne puisse bénéficier de la planification et de l’organisation militaires de l’Alliance (dont elle n’a pas les moyens). Et vice-versa… Le paradoxe c’est qu’à Varsovie, c’est un accord Varsovie + qui se dessine : c’est l’Alliance qui est désormais demandeuse de pouvoir bénéficier des atouts ‘civils’ de l’Union européenne notamment contre les menaces hybrides ou en matière de cyber-attaque ou de cyber sécurité.

(Nicolas Gros-Verheyde)

La Commission veut doper la cyber-résilience en Europe

Bruxelles2 Blog - Tue, 05/07/2016 - 17:30
(B2) La Commission a défini ce mardi (5 juillet) dans une communication un plan d'action pour « mieux armer l’Europe contre les cyberattaques et renforcer la compétitivité du secteur de la cybersécurité ». Ce plan repose sur deux éléments principaux : un partenariat public-privé pour générer des investissements et des annonces d'intention de la Commission […]

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