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Le paquet Asile complété. Les 3 propositions de la Commission

Bruxelles2 Blog - Wed, 13/07/2016 - 14:10
(B2) La Commission européenne a proposé ce mercredi (13 juillet), un paquet de mesures pour réformer les trois directives sur l'asile (procédures, accueil, qualification). Cette proposition s'inscrit dans un engagement de la Commission de mettre en place un régime d'asile européen commun et dans le cadre de l'Agenda européen sur les migrations pour assurer à « long […]

Navantia Signs Platform Design Services Contract with Royal Australian Navy

Naval Technology - Wed, 13/07/2016 - 12:49
Navantia has just signed a new contract with the Capability and Sustainment Group (CASG) for platform design services, which means a strong support of Navantia within the country.

Les alliés confirment leur soutien financier aux forces de sécurité afghanes

Bruxelles2 Blog - Wed, 13/07/2016 - 12:42
(B2) Lors du Sommet de Varsovie, le Chefs d'Etat et de gouvernement ont rappelé leur engagement sur « le long terme » en Afghanistan. Engagement qui comporte deux aspects, militaire et financier. Alors que le prolongement de la mission de formation des forces de sécurité afghanes après 2016 est désormais acquis (lire : L’OTAN maintient un […]

Europe, deux puissances militaires moins une...

Blog Secret Défense - Wed, 13/07/2016 - 10:54
Mon édito dans l’Opinion

Vicky Ford, la prêtresse de la liberté des armes semi-automatiques

Bruxelles2 Blog - Wed, 13/07/2016 - 10:50

Vicky Ford présente son rapport sur le contrôle des armes dans son bureau (crédit : Vicky Ford / Facebook)

(BRUXELLES2) Elle s’appelle Vicky Ford et est la rapportrice du rapport sur le contrôle des armes que s’apprête à voter la commission de l’Industrie aujourd’hui (cet après-midi).

Le Moins légiférer en guise d’idéologie

Cette députée de l’East England est une conservatrice pur jus. Elle pourfend le ‘Red Tape‘. Autrement dit : « moins on légifère, mieux c’est », « plus les individus et entreprises font ce qu’ils veulent, mieux c’est »… Sous ces termes, se cachent en fait l’idéologie du laissez-faire et de « loi du plus fort ». On a vu ce qu’un tel résultat produisait au niveau financier. L’eurodéputée entend reproduire le même schéma sur la législation sur les armes. Ce qui est plus que dangereux.

Une proposition intéressante

La Commission européenne a proposé en novembre une législation intéressante et assez ambitieuse, avec un objectif d’utilité publique (Lire : Un cadre plus strict sur la détention d’armes à feu proposé par la Commission). C’est assez rare pour être souligné. Cette proposition n’est sans doute pas parfaite. Mais elle part d’un constat assez juste. Les législations nationales sur la possession légale des armes sont fort différentes d’un pays à l’autre. A l’heure de l’ouverture des frontières, il faut resserrer les boulons, mettre fin à certaines dérives, interdire les armes d’assaut et armes semi-automatiques, rendre les désactivations d’armes plus efficaces dans tous les pays (la désactivation des armes dans certains pays est légère), soumettre les collectionneurs à un peu de contrôle et recenser de façon plus efficace les armes en circulation.

Le déclencheur Breivik

Une contexte du terrorisme, dans lequel est intervenue cette proposition, a fait immédiatement penser aux derniers actes commis à Paris. C’est vrai que certaines des armes utilisées dans ces attentats ont été acquises sur un marché « légal » ou « gris » (semi-légal), particulièrement florissant en Slovaquie et en République Tchèque, et non pas sur le marché « noir » (illégal). Ce qui motivait la législation ressortait davantage des différentes tueries commises avec des armes légalement acquises par des « loups solitaires », souvent jeunes. L’exemple type qui a fait réagir est l’attaque en Norvège commise par Anders Behring Breivik sur le camp d’été de la jeunesse du parti travailliste, il y a presque 5 ans, le 22 juillet 2011. Bilan : 77 morts. Breivik a utilisé des armes à feu semi-automatiques, dont un pistolet Glock 34. Il avait un permis de chasse et était membre d’un club de tir. De quoi faire réfléchir… (lire aussi : Massacres à l’arme semi-automatique… Pour se rafraîchir la mémoire).

Un certain consensus dans les Etats membres

Les Etats membres ont apporté certaines corrections à cette directive, en juin, avec un certain consensus. Quelques pays restent hostiles à cette législation : la Slovaquie et la République Tchèque, notamment, freinent des 4 fers. Une position plus que trouble, qui interpelle. Car la législation et l’application des règles de ventes d’armes de ces deux pays est réputée « plutôt lâche » pour reprendre les termes, d’un expert de la sécurité consulté par B2.

Des arguments d’apparence technique qui n’ont qu’un but

Les amendements présentés en commission (environ 1000) sont d’apparence technique, arguant du « bon sens ». Il ne faut pas se leurrer ! Leur objectif est bien de détricoter, au maximum, la proposition de la Commission. Par exemple, on modifie les critères de désactivation d’armes, patiemment négociés entre les différents Etats membres, de manière à les rendre plus laxistes. La rapportrice veut aussi remettre en cause le fait d’avoir une législation communautaire pour les collectionneurs, renvoyant à une législation nationale. Ce qui revient à annihiler toute réglementation (1).

Une eurodéputée sous la pression des lobbys d’armes

Sous un dehors « du bon sens », Vicky Ford cède, en fait, à (certaines) sociétés de chasse, à (quelques) porteurs d’armes et surtout aux revendeurs d’armes outre-manche, qui ont fait un énorme lobbying et une énorme pression (lire aussi : Le lobby des armes monte au créneau contre le renforcement de la législation). Face à cela, les partisans de l’ordre public, de la sécurité, des droits de l’Homme restent plutôt timides et silencieux. En tout cas, ils n’ont pas la même puissance de frappe (financière et médiatique) que les vendeurs d’armes. Entre quelques gros sous et la vie de quelques jeunes, Vicky Ford a choisi…

La campagne de Firearms United pour la liberté des armes semi-automatiques

Le joli hobby de quelques uns doit-il prendre le pas sur la sécurité publique

Les partisans des armes parlent de « sport ». Et certains clubs de chasse défendent cet « art ». On peut le comprendre avec des armes de précision qui tirent au coup par coup. Mais balancer à l’arme semi-automatique sur des cibles… n’est pas vraiment du sport. C’est un problème de société. Et il n’est pas interdit d’interdire à ce moment-là. Le petit plaisir, particulier, mortifère des uns, ne doit pas l’emporter sur l’intérêt de la société et la sécurité publique. Il y a beaucoup d’autres sports, plus relaxants, et moins nocifs à pratiquer. Un peu de marche en montagne, de la course à pied, de la voile, etc.

(Nicolas Gros-Verheyde)

(1) Dans certains pays, les collectionneurs d’armes sont soumis à une législation précise. Dans d’autres, c’est quasiment libre. Tout le monde peut se prétendre collectionneur et, du coup, acheter (pour collection) des armes.

Lire :

Massacres à l’arme semi-automatique… Pour se rafraîchir la mémoire

Bruxelles2 Blog - Wed, 13/07/2016 - 08:09

Cérémonie du souvenir en juillet 2015 (crédit : Twitter Jens Stoltenberg)

(BRUXELLES2) Sans remonter dans les années 1980, ces dix dernières années sont émaillées « d’incidents » qui font frémir. Le scénario semble toujours le même. Un individu, qui achète tout à fait légalement une arme, s’inscrit parfois dans un club de tir, s’en va commettre un véritable massacre, avec à l’arrivée, à chaque fois, un bilan qui se chiffre en un nombre de vies perdues important. Souvent des jeunes ! Le bilan de chaque tuerie équivaut à celui d’un attentat d’intensité ‘moyenne’.

Les lobbys d’armes qui prétendent qu’interdire certaines armes est une atteinte à la liberté individuelle, ou à la propriété, et qu’encadrer plus strictement le marché légal des armes n’aurait aucun poids sur les crimes commis commettent une lourde duperie. Il n’y a pas de droit à porter une arme, juste pour le plaisir en Europe. En revanche, il existe un droit à la sécurité publique.

Des armes acquises, tout à fait légalement, peuvent tout autant tuer que des armes acquises illégalement. Il n’y a pas que le marché illégal des armes qui alimente le crime. Les faits sont têtus. Plusieurs attaques à l’arme automatique ou semi-automatique ont été commises dans les dix dernières années en Europe, par des personnes, bien sous tous rapports (apparemment), ayant acquis tout à fait légalement leurs armes et enregistrées dans des clubs de tirs, bien souvent.

Une utilisation d’armes semi-automatique qui a été au paroxysme avec le cas Breivik en Norvège à l’été 2011. Les pays anglo-saxons et nordiques semblent plus atteints par cette vague (peut-être du fait du nombre d’armes qui sont en circulation). Mais, aucun pays ne semble à l’abri. C’est un problème qui ne doit pas être négligé aujourd’hui.

7 novembre 2007, Jokela (Finlande). Un jeune de 18 ans, Pekka-Eric Auvinen, surgit dans son lycée de Jokela. Il tire, tuant huit personnes (5 lycéens, 2 lycéennes et la proviseure du lycée) avant de se suicider d’une balle dans la tête. Une douzaine de blessés sont également relevés. Auvinen avait reçu son permis d’armes à feu quelques jours auparavant, en octobre, puis acheté un semi-automatique (SIG Sauer Mosquito calibre 22) et 500 cartouches de munitions. Il était un membre enregistré du Helsinki Shooting Club depuis le 31 août et avait assisté à une session de formation d’une heure.

23 septembre 2008, Kauhajoki (Finlande). Un incident similaire se déroule un an plus tard sur le campus de l’Université des Sciences appliquées de Seinäjoki. Un étudiant de 22 ans, Matti Juhani Saari, arrive masqué, tire au jugé, tuant dix personnes (8 étudiantes, 1 étudiant, 1 professeur) avec un pistolet semi-automatique Walther P22, avant de se tirer une balle dans la tête. L’assassin, là encore, était membre d’un club de tir local et avait obtenu, juste avant (août 2008) une licence pour un pistolet de calibre 22 (5,6 mm). Il avait même été interrogé la veille du massacre par la police après avoir diffusé une vidéo le montrant s’entraîner au tir, sans retrait de l’arme.

11 mars 2009, Winnenden (Allemagne). Rebelote, cette fois en Allemagne. Un étudiant de 17 ans, Tim Kretschmer, tire dans une école secondaire, le collège Albertville-Realschule (qu’il avait fréquenté un an plus tôt). Il est armé d’un pistolet semi-automatique Beretta 9 mm. Bilan : 15 morts (huit filles et un garçon, trois institutrices, un passant et deux vendeurs d’une concession automobile) + l’agresseur qui se suicide. Le père de Tim Kretschmer possédait légalement 15 armes à feu en tant que membre d’un club de tireurs d’élite local (Schützenverein). L’arme utilisée par Tim est retrouvée manquante dans ce stock, ainsi que plusieurs centaines de cartouches de munitions. Quatorze des armes à feu étaient tenus dans un coffre-fort, comme prévu. Mais le Beretta était dans la chambre à coucher. Une procédure pénale est engagée contre le père pour homicide par négligence. Un débat s’engage sur la nécessité de renforcer le contrôle des armes. Malgré le poids des clubs de tirs, cela aboutit à la création d’un registre national des armes (au lieu d’un enregistrement par Länder).

2 juin 2010, Cumbria (Royaume-Uni). Un tireur isolé, Derrick Bird, tue 12 personnes et en blesse 11 autres avant de se suicider. Un des pires actes criminels avec armes à feu de l’histoire britannique. Bird était titulaire d’armes à feu sous licence. Il a tiré un total d’au moins 47 balles au cours de la plupart des tirs (29 avec son fusil de chasse, 18 avec son fusil 22 long rifle). Il avait chez lui un véritable arsenal : plus de 750 balles de 22 mm, 240 balles de fusil de chasse.

9 avril 2011, Alphen aan den Rijn (Pays-Bas). Tristan van der Vlis, 24 ans, fait irruption dans le centre commercial Ridderhof, à environ 33 kilomètres au sud-ouest d’Amsterdam. Vêtu d’un gilet pare-balles, il tire. Bilan : sept morts (six sur le coup et un blessé décédé par la suite) + le tueur, et 16 blessés. L’auteur était membre d’une association de tir et possédait trois armes à feu : un semi-automatique Smith & Wesson M&P15-22, d’un pistolet Colt M1911 de calibre .45, et d’un revolver Magnum Taurus Raging Bull .44. Il présente des antécédents de problèmes psychologiques et psychiatriques (notamment la schizophrénie paranoïde). L’évènement aux Pays-Bas sème l’émotion. Le Premier ministre est alors, Mark Rutte, toujours à la tête du gouvernement.

22 juillet 2011, Utøya (Norvège). Anders Behring Breivik fait irruption dans le camp d’été de la jeunesse du parti travailliste. Armé d’un pistolet semi-automatique (un Glock 34 avec un magasin de 17 balles), d’un fusil semi-automatique Ruger Mini-14 et de quelque 3000 cartouches, il va parcourir le camp semant la mort au passage. Il tire 121 fois. Bilan : 69 morts et plus d’une centaine de blessés. La plupart sont très jeunes : de 14 à 19 ans. C’est une partie de la jeunesse norvégienne qui est fauchée. Ils s’ajoutent aux 8 morts commis par le même individu dans un attentat à la bombe contre un bâtiment abritant le siège du parti travailliste à Oslo (le dirigeant du parti, Jens Stoltenberg, l’actuel secrétaire général de l’OTAN, est heureusement absent). Breivik avait un permis de chasse et était membre d’un club de tir.Il avait un permis de chasse et était membre d’un club de tir.

(NGV)

Raytheon secures $291m contract from US Navy for AIM-9X missile production

Naval Technology - Wed, 13/07/2016 - 01:00
Raytheon has received a $291m contract from the US Navy to manufacture AIM-9X Sidewinder Block II infrared-tracking, short-range, air-to-air and surface-to-air missile.

UK Royal Navy’s HMS Mersey to support Nato’s efforts to counter migration crisis

Naval Technology - Wed, 13/07/2016 - 01:00
UK Defence Secretary Michael Fallon has announced the deployment of the UK Royal Navy’s River-class offshore patrol vessel HMS Mersey to the Aegean Sea to support Nato’s efforts in combating the migration crisis.

America Class Amphibious Assault Ship

Naval Technology - Wed, 13/07/2016 - 01:00
The America Class amphibious assault ships are being built by Northrop Grumman Shipbuilding for the US Navy.

International court rules against China’s sovereignty claims over South China Sea

Naval Technology - Wed, 13/07/2016 - 01:00
The Permanent Court of Arbitration in the Hague, Netherlands, has rejected China’s claims of sovereignty over stretches of South China Sea in a case filed by the Philippines.

Britain leaves the EU: What next?

Stratego Blog - Tue, 12/07/2016 - 19:28

‘The Triumph of democracy’ as Brexit supporters inside and outside of the UK have explained the historic results of whether the UK should remain or leave the EU. referendum. The Leave campaign has successfully mobilized anger of large parts of British society on immigration, the influence of bankers of the City, and the overreach of Brussels bureaucracy. On the other hand the case for Remain was weak in the run up to the referendum, the advantages of the EU were barely present in the debates, all the while fear mongering was dominating on both sides.

Although the pro-Brexit campaign not give any clear picture of how a UK outside the EU would look like, their point that there is life outside of the EU - bringing up Switzerland and Norway as examples – did have some truth in it. They enjoy the benefits of the single market while opting out of the political integration. Those who opposed the Brexit are quick to rebuff this line by saying that these non-member countries basically have to accommodate to EU rules – including on free movement – without having a say in the relevant decisions.

But the problem goes much deeper than that. Switzerland and Norway can have the luxury of opting out because of their size and geography. Although they are rich and well functioning democracies, their overall influence on Europe is limited. It sounds evident , but it’s worth giving it prominence: they can enjoy the benefits of the single European market because there is a single European market, with all its foundational pillars. European peace and welfare isn’t just based on trade, let alone economic cooperation, but shared institutions, procedures and norms created by painful work and compromise. And yes, on the military power and deep political engagement of the United States in Europe. If trade were only to it, then Europe would not have ran into the first World War. Without a certain level of sharing sovereignty with the leadership of Germany and France the peace and prosperity Europe enjoyed in the past sixty years would not have been possible.

However, shared institutions, norms and interdependence by themselves do not bring legitimacy to the European project in the eyes of today’s European citizens. Delivering results in the welfare and security is what might achieve that. And nothing more would bring that closer than results against the negative effects of globalization: uncontrolled immigration, growing inequality within countries, growing masses felt left behind. It’s true that European integration would – in theory - be a useful tool to more effectively tackle these challenges. The challenges of globalization by their nature cannot be tackled successfully alone by nation states.

The problem is that a lot of the major decisions taken by the EU in recent years – that is the Commission and some major European nation states - have exaggerated the challenges, not decreased them. Take the handling of the economic crisis with the disastrous effects of endless austerity imposed on Southern Europe or the migration crisis in which Brussels has simply stepped behind Berlin’s open door – obligatory quota policy. And all these in such an environment where the European publics were already skeptical of the federalist tendencies even before these recent major crisis erupted, as the French and Dutch referendums on the EU Constitution a decade ago have demonstrated.
So with the EU going south on the substance, but – or at least some form of - integration structure still much needed, what next?

First of all, focus should be on the substance. Fostering growth, accelerating innovation, tackling inequality, stopping mass illegal immigration and fighting terrorism with additional resources and proper regulation – but without more integration. The nation states of the EU have to come to terms with each other on these issues foremost. Otherwise any attempt by Brussels or a powerful member to impose its will through the back door on others concerning these critical substantial questions will only hasten the demise of the whole European Union.

Secondly, discussions about the crucial challenges of Europe and the options available should be much more honest and more transparent – the issues on migration and the TTIP are good places to start with. This doesn’t mean that Brussels doesn’t have valid considerations as it is dealing with these issues, but it has to be much more responsive to the concerns of the majority of EU citizens. Any double talk, circumlocution, arrogance and disregard of the fears of many Europeans will only hasten the demise of the whole European Union.

Thirdly, acknowledge that European integration is not a bicycle, which would either go further or fall down. It is rather a huge but slow moving truck on many wheels which at times can even stop to rest to take stock and alter its direction if necessary. It’s a unique and valuable instrument which helps bring us Europeans closer together, and it has become an essential feature of our greater European family, but it cannot replace our homes, the nation states of Europe.

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L’opposition OTAN-UE appartient au passé. La France doit être plus présente à l’OTAN (général Mercier)

Bruxelles2 Blog - Tue, 12/07/2016 - 11:02
(B2) Ancien chef d'état-major de l'armée de l'Air, le général Denis Mercier est aujourd'hui commandant de la Transformation de l'Alliance (ACT). Un des postes les plus emblématiques de l'Alliance Atlantique puisqu'il est en charge du suivi du plan de réactivité et de l'avenir de la réponse euro-atlantique. B2 a pu le rencontrer en marge du […]

Montage Australia

Naval Technology - Tue, 12/07/2016 - 09:50
Jeumont company video

Engility to deliver NAVAIR airworthiness contractor support services

Naval Technology - Tue, 12/07/2016 - 01:00
The US Naval Air Systems Command (NAVAIR) Airworthiness and CYBERSAFE Office has contracted Engility to provide technical services to support aircraft safety-of-flight determinations, and prepare the resulting flight clearances.

EOIR wins US Navy’s $800m contract for electromagnetic manoeuvre warfare efforts

Naval Technology - Tue, 12/07/2016 - 01:00
The US Navy has awarded an $800m indefinite delivery, indefinite quantity (IDIQ) contract to EOIR Technologies to continue supports its electromagnetic manoeuvre warfare command and control (EMC2) project.

UK Royal Navy rededicates HMS Dragon

Naval Technology - Tue, 12/07/2016 - 01:00
The UK Royal Navy’s Daring-class Type 45 air-defence destroyer, HMS Dragon, has been rededicated after successfully completing a major upgrade programme.

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