You are here

Feed aggregator

DARPA tests ACTUV vessel with TALONS prototype payload

Naval Technology - Thu, 27/10/2016 - 01:00
The US Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) has tested its anti-submarine warfare (ASW) continuous trail unmanned vessel (ACTUV) with a prototype of a low-cost, elevated sensor mast, Towed Airborne Lift of Naval Systems (TALONS) payload.

La présence de l’amiral Kuznetsov en Méditerranée : normal ou non ? Le ravitaillement par l’Espagne : légal ?

Bruxelles2 Blog - Wed, 26/10/2016 - 21:30

Le porte-avions avec son groupement aérien. Il avait fait escale à deux reprises dans le port de Limassol à Chypre début 2014 (Crédit : marine russe, avril 2014)

(B2) Le passage du groupe naval russe constitué autour de l’unique porte-avions russe Amiral Kuznetsov, est suivi à la trace par les forces de l’OTAN (le commandement maritime allié) et a suscité quelque émois. Car ce groupe naval est équipé, cette fois, de son groupe aérien. Et sa direction face à la Syrie ne laisse pas d’inquiéter. Il est cependant nécessaire de garder la tête froide et de ne pas tomber dans le piège de la démonstration de force.

1° Le groupe naval russe peut-il naviguer en Méditerranée (Atlantique, Manche, etc). Est-ce légal ou légitime ?

Le passage du groupe naval est tout à fait légal et légitime. « La Russie a le droit d’opérer dans les eaux internationales » a d’ailleurs indiqué très clairement ce soir, le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, lors de sa conférence de presse. NB : ce groupe ne peut pas normalement pénétrer dans les eaux territoriales (12 miles nautiques) d’un État sans son autorisation.

2° Est-ce nouveau ?

Non. Ce type de déploiement n’est pas rare ni vraiment nouveau. « Cela est arrivé avant. » confirme le secrétaire général de l’OTAN. « Nous avons vu le déploiement de navires de guerre russes et aussi du groupe naval en Méditerranée. Et nous avons aussi bien sûr vu également auparavant des visites portuaires des navires russes y compris vers des ports de pays de l’OTAN » note Stoltenberg.

NB : L’Amiral Kuznetsov a, en fait, déjà accompli sept missions en Méditerranée, la dernière fin 2013 / 2014 (détails sur le site). A cette occasion, il avait d’ailleurs fait deux escales successives, en février et avril 2014 à Limassol à Chypre. Régulièrement, d’ailleurs, la Russie déploie ses navires entre ses différentes bases maritimes faisant route du nord — Baltiisk (flotte de la mer Baltique) et Severomorsk (flotte duNord) ou Kaliliningrad — vers le sud — Sébastopol (mer noire) — ou vers l’Est —  Vladivostok (flotte du Pacifique). Elle utilise ainsi régulièrement les corridors maritimes internationaux : en Baltique, dans la Manche, à Gibraltar, dans le Bosphore ou dans le Canal du Suez. Des corridors qui sont non loin de pays membres de l’Alliance.

3° Est-ce connu ?

Oui. Un tel déploiement n’est pas discret. En général, c’est le but d’ailleurs. Le déplacement d’un groupe naval a des objectifs logistiques, militaires mais aussi politiques, de diplomatie publique, de propagande, de démonstration de force. La Russie utilise ce moyen aujourd’hui comme les Américains, et dans une moindre mesure les Français, les Britanniques ou les Chinois le font. Ce mouvement est d’ailleurs observé de très près par l’OTAN.

4° Qu’est-ce qui est différent ?

Ce qui fait la différence cette fois, c’est que le groupe naval de l’Amiral Kuznetsov part en Méditerranée au large de la Syrie dans une situation de guerre aggravée, où l’engagement russe aérien est majeur (vital pour le régime même). Il « peut être utilisé comme une plate-forme pour davantage d’attaques contre Alep et en Syrie » s’inquiète ainsi le secrétaire général de l’OTAN. Et il pourrait « aggraver la catastrophe humanitaire déjà en cours dans Alep et en Syrie ».

5° Les pays membres de l’OTAN (comme voulait le faire l’Espagne) ont-ils le droit de ravitailler ces navires ?

Oui en théorie, chaque Etat est souverain et peut décider d’accueillir ou de ravitailler n’importe quelle force qu’il souhaite. La décision de l’Espagne d’accueillir le groupe naval russe dans son port de la Ceuta (enclave espagnole au Maroc) n’est pas illégale. Jusqu’à nouvel ordre, il n’y a pas de guerre entre l’OTAN et la Russie. « Il appartient à chaque nation, chaque Allié, de décider individuellement s’il fournit un ravitaillement en carburant et des fournitures aux navires russes » si on écoute Jens Stoltenberg. S’il existe un problème, c’est d’ordre plus politique, souligne-t-on à l’OTAN (1).

6° L’Espagne a-t-elle le droit de ravitailler un navire russe ?

Non. Dans une situation de guerre en Syrie, où la Russie est un belligérant (reconnu officiellement comme tel par les 28, cf. les conclusions du dernier Conseil européen), l’Espagne n’a pas la marge de manœuvre décrite par le secrétaire général de l’OTAN. Au contraire. Elle doit se conformer à la réglementation européenne (décidée à l’unanimité). Je ne suis pas sûr ainsi que le ravitaillement d’un navire de guerre soit vraiment conforme à l’embargo décrété par l’Union européenne vis-à-vis de la Syrie en mai 2013. L’UE a ainsi notamment interdit toute exportation d’armes ou outils pouvant servir à la répression, à destination de la Syrie ainsi que toute aide d’ordre technique.

Le texte est assez complexe. Et de fins juristes pourraient peut-être y trouver des failles. Mais il est clair qu’en agissant ainsi, un gouvernement européen contourne la décision qu’il a lui-même contribuée à adopter. Selon moi, la décision européenne, même complexe, interdit réellement toute aide technique (le ravitaillement en est une) pouvant servir à la répression en Syrie (ce que pourraient faire les navires de guerre russes et leurs avions à bord).

« Sont interdits la vente, la fourniture, le transfert et l’ex­portation à destination de la Syrie, que ce soit par les ressortissants des États membres ou depuis le territoire des États membres (…) de certains équipements, biens et technologies susceptibles d’être utilisés à des fins de répression interne (…) qu’ils proviennent ou non de leur territoire. […] Il est interdit: a) de fournir, directement ou indirectement, une aide technique (…) ou d’autres services en rapport [avec cette interdiction] (…) aux fins d’une utilisation en Syrie (….). »

(Nicolas Gros-Verheyde)

(1) Devant les pressions, l’Espagne a finalement renoncé à accueillir les navires russes. Ou, plus exactement, les Russes ont modifié leur plan de navigation, renonçant à leur escale, après une demande d’information espagnole…

Les quatre bataillons à l’Est en ordre de marche dès 2017 (Stoltenberg)

Bruxelles2 Blog - Wed, 26/10/2016 - 20:31
(B2) Le développement d'une présence avancée à l'Est de l'Alliance est en passe de se mettre en place, début 2017, avec quatre bataillons prépositionnés dans chacune des républiques baltes et en Pologne. En revanche, il faudra attendre encore quelques mois pour que l'organisation euro-atlantique définisse sa présence en Roumanie et Bulgarie qui pourrait être plus […]

Une petite équipe pour prendre la relève d’EUPOL Afghanistan. Mais 14 millions d’euros pour fermer la mission !

Bruxelles2 Blog - Wed, 26/10/2016 - 19:17
(B2) A seulement quelques semaines de la fermeture de la mission de police EUPOL Afghanistan, on commence à y voir un peu plus clair sur l'avenir de la présence européenne dans le pays. Une équipe réduite autour du Représentant spécial Les experts des '28' réunis au CivCom sont tombés d'accord récemment sur le processus de […]

Missions/opérations de la PSDC en nette diminution à l’horizon 2018. La fin d’une époque ?

Bruxelles2 Blog - Wed, 26/10/2016 - 17:25
(B2) Dans les prochains mois, d'ici la mi-2018, plusieurs missions et opérations actuelles de la PSDC pourraient se clôturer ou se limiter. Après la mission EUSEC RD Congo, en juin, ce sera au tour de la mission EUPOL Afghanistan de fermer ses portes dans quelques semaines. Sa fermeture est programmée pour la fin 2016 et […]

Thales UK’s Halcyon hunts for mines offshore Scotland

Naval Technology - Wed, 26/10/2016 - 16:01
At the Royal Navy’s Unmanned Warrior exercise, which took place off the west coast of Scotland earlier in October, Thales UK tested its Halcyon unmanned surface vessel. Katie Woodward found out more from the company’s mine warfare product line manage…

Carnet (26.10.2016). EUPOL Afghanistan (après). QG permanent (contenu). Sanctions Syrie (dérogation, arrêts). KFOR (Royaume-Uni). Belgique-Russie (F-16). RDC (violences). Drones maritimes. Syrie (Verhofstadt). Alep (appel humanitaire). Turquie (maires...

Bruxelles2 Blog - Wed, 26/10/2016 - 11:24
(B2) Parus récemment : L’Amérique « en premier », de Trump. Pour l’Europe, un certain langage de la vérité* L’opération de lutte contre la piraterie au large de la Somalie « EUNAVFOR Atalanta » (fiche) A l’agenda de la ministérielle défense de l’OTAN les 26 et 27 octobre 2016 Les eurodéputés veulent créer une défense commune et […]

L’Amérique « en premier », de Trump. Pour l’Europe, un certain langage de la vérité

Bruxelles2 Blog - Wed, 26/10/2016 - 06:30

(BRUXELLES2) Les discours de Donald Trump, le candidat à la présidence des États-Unis, en matière de politique étrangère doivent être regardés avec une certaine attention. Contrairement à ce que laisse dire sa concurrente Hillary Clinton, ces textes traduisent une certaine logique (du moins en matière de politique étrangère). On peut ne pas la partager mais elle est loin d’être imbécile comme le présentent quelques commentateurs. Si on retire la tonalité de campagne, de nature auto-glorificatrice (dans le genre : ‘avec moi tout va changer’) un rien martiale, et les attaques répétitives (parfois sous la ceinture) contrer sa concurrente, ses prises de position (1) sont très politiques. Son slogan de campagne « America First » se traduit par un axiome : « s’occuper de notre pays en premier, avant de se préoccuper du reste du monde », parfaitement décliné en matière de politique étrangère.

La photo de campagne de Donald Trump en grand héros américain (crédit : Donald Trump)

Les Etats-Unis trop indulgents envers leurs alliés

Dans son premier discours de politique étrangère, en avril, Trump avait averti : au sein de l’OTAN « nos alliés ne paient pas leur juste part. (…) Beaucoup d’entre eux (…) regardent les États-Unis comme faibles et indulgents et ne ressentent aucune obligation d’honorer leurs accords avec nous. À l’OTAN, par exemple, hormis l’Amérique, 4 seulement des 28 autres pays membres dépassent le minimum requis de 2 % du PIB consacré à la défense. (…) Nos alliés doivent contribuer [davantage] aux coûts financiers, politiques et humains. (…) Les pays que nous défendons doivent payer pour le coût de cette défense. Sinon les États-Unis doivent être prêts à laisser ces pays se défendre. Nous n’avons pas le choix. »

La solidarité automatique dans le cadre de l’OTAN

Trump l’a répété, en juillet, dans une interview au New York Times. L’intervention des États-Unis ne sera plus automatique. « Je préférerai être capable de poursuivre les accords existants mais uniquement si les alliés arrêtent de considérer comme un avantage acquis ce qui peut être appelé une ère de largesse américaine qui n’est plus supportable ». Il faudrait avant tout vérifier que ces pays « ont bien respecté leurs obligations vis-à-vis de nous ».

“I would prefer to be able to continue” existing agreements, he said, but only if allies stopped taking advantage of what he called an era of American largess that was no longer affordable.

La présence permanente US à l’étranger remise en cause

De la même façon, dans cet entretien, il estime que « le déploiement avancé de troupes américaines à l’étranger n’est pas toujours nécessaire. (…) Si nous décidons que nous devons défendre les États-Unis, nous pouvons toujours déployer » à partir du sol américain, souligne-t-il. Ce faisant, il pourrait remettre en cause la présence américaine en Europe qui peut paraître superflu au regard de cet axiome.

Une certaine tentation à l’isolationnisme

Le candidat à la présidence américaine revient à ce qui est un des courants traditionnels de l’Amérique : l’isolationnisme. « Quand le monde voit dans quel pétrin les États-Unis sont plongés et qu’on commence à parler de libertés civiles, je ne crois pas qu’on soit un très bon messager », a-t-il dit au New York Times. « Je ne crois pas que nous ayons le droit de donner des leçons. Comment pouvons-nous donner des leçons alors que chez nous des gens tirent de sang-froid sur des policiers ? » souligne-t-il. Dans d’autres discours, il a particulièrement critiqué les interventions en Iraq (2003) et en Libye (2011), les jugeant peu efficaces.

Commentaire : un raisonnement légèrement tronqué

Ce n’est pas la fin de la clause de solidarité mutuelle comme on l’a craint au niveau de l’OTAN ou des pays baltes. C’est la fin d’un dispositif faussé, un tantinet parasite, qui consiste pour la plupart des pays européens à considérer l’OTAN et les États-Unis comme une assurance tous risques à moindres frais, avec un minimum d’investissement (tant financier qu’en prise de risque). Le langage de Trump est assez logique : pas question de faire un effort si les Européens ne contribuent pas davantage de façon décisive à l’OTAN.

Si on peut partager ce propos de Trump, il faudrait aussi rappeler l’effort important consenti par les Européens qui ont contribué aux opérations menées en solo par les Américains en Afghanistan (à partir de 2001) et en Irak (à partir de 2003).

De nombreux pays ont répondu présents en hommes, en matériels et en engagement financier à des interventions qui étaient largement contestables (2) au plan de l’utilité politique, militaire comme du droit international (pour l’Irak), montrant ainsi une certaine solidarité hors limite avec les intérêts américains (du moment).

Trump oublie également que les États-Unis ont souvent veillé à verrouiller l’OTAN dans le sens de leurs intérêts. Et l’important investissement militaire consenti a été payé de retour également, en termes de retombées économiques nationales, les États-Unis imposant souvent la production made in USA à ses alliés.

(Nicolas Gros-Verheyde)

(1) Télécharger les discours sur la politique étrangère (avril 2016) et sur l’Islam radical  (août 2016)

(2) Donald Trump affirme s’être très tôt opposé à l’intervention en Irak dans un speech prononcé en août. « J’étais un adversaire de la guerre en Irak depuis le début. (…) J’ai exprimé publiquement mes doutes privés au sujet de l’invasion. Trois mois avant l’invasion, je l’ai dit, dans une interview avec Neil Cavuto : « Nous ne devrions peut-être pas le faire (…) l’économie est un beaucoup plus gros problème ». En août 2004, dans le magazine Esquire il déclarait : « Regardez la guerre en Irak et le gâchis que nous sommes. (…) Quelqu’un croit-il vraiment que l’Irak va être une démocratie merveilleuse où les gens vont courir jusqu’au bureau de vote, y glisser doucement un bulletin de vote et le gagnant dirigea le pays ? Allons ! Deux minutes après notre départ, il y aura une révolution, et le plus méchant, le plus dur, le plus intelligent gars, plus vicieux va prendre le relais. Et il y aura des armes de destruction massive, que Saddam ne possédait pas. » 

MacB to support US NAVAIR’s cyber warfighting capabilities initiative

Naval Technology - Wed, 26/10/2016 - 01:00
MacAulay-Brown (MacB) has secured a multi-year basic ordering agreement (BOA) to support the naval air systems command (NAVAIR) cyber warfare detachment (CWD) initiative.

Lockheed contracts Ultra Electronics for MK 48 torpedo array nose assemblies

Naval Technology - Wed, 26/10/2016 - 01:00
Lockheed Martin has awarded a contract to Ultra Electronics’ Ocean Systems business for the non-recurring engineering production of the MK 48 torpedo array nose assembly.

Hyundai Heavy Industries to build two new frigates for Philippine Navy

Naval Technology - Wed, 26/10/2016 - 01:00
South Korean shipbuilder Hyundai Heavy Industries (HHI) has signed a contract with the Department of National Defense, Republic of the Philippines to build two 2,600t frigates for the Philippine Navy.

L’opération de lutte contre la piraterie au large de la Somalie « EUNAVFOR Atalanta » (fiche)

Bruxelles2 Blog - Tue, 25/10/2016 - 23:00
(B2) EUNAVFOR Atalanta, lancée en décembre 2008, est la première opération aéronavale de l'Union européenne réalisée dans le cadre de la PSDC (1). Née d’une initiative franco-espagnole, elle vise à répondre à la résurgence de la piraterie qui a déstabilisé la circulation maritime des nombreux navires marchands passant par le Golfe d’Aden et l’Océan indien. Appel […]

A l’agenda de la ministérielle défense de l’OTAN les 26 et 27 octobre 2016

Bruxelles2 Blog - Tue, 25/10/2016 - 18:54
(B2) Les ministres de la défense de l'Alliance atlantique se retrouvent les mercredi 26 et jeudi 27 octobre à Bruxelles. Une réunion essentiellement destinée à assurer le suivi du sommet de Varsovie de juillet (lire dossier N°40. Le Sommet de l’OTAN de Varsovie, 8 et 9 juillet 2016). Trois séances de travail sont prévues : […]

Armée de l’air : « Unis pour Faire Face » mais un peu autrement qu’avant...

Blog Secret Défense - Tue, 25/10/2016 - 16:56
Le chef d’état-major de l’armée de l’air imprime sa marque au « plan stratégique » de son prédécesseur.

VITAVIC 400

Naval Technology - Tue, 25/10/2016 - 16:52
VITAVIC 400 is a fully digital, military specification intercom, software-defined system designed for the end user.

Vitavox Tactical Communications Brochure

Naval Technology - Tue, 25/10/2016 - 16:39
Vitavox is a supplier of tactical communication products for the defence industry, including tactical intercom systems, tactical public address systems

Les eurodéputés veulent créer une défense commune et remanier la PSDC

Bruxelles2 Blog - Tue, 25/10/2016 - 13:05
(B2) A quelques semaines du conseil 'jumbo', des ministres des Affaires étrangères et de la Défense des 28, décisif en matière d'évolution de la PSDC, les eurodéputés ont voulu lancer un message clair : il faut renforcer l'Union de la défense. L'Union européenne doit « réagi[r] plus rapidement et plus vigoureusement » aux menaces réelles qui […]

A Mossoul, la bataille des deux gouverneurs

Blog Secret Défense - Tue, 25/10/2016 - 10:26
Deux hommes, jadis à la tête de la ville irakienne, espèrent en reprendre les rênes. L’un sert les intérêts de la Turquie, l’autre ceux du gouvernement central et donc de l’Iran.

« A quoi sert l’Otan ? A maintenir la paix en Europe... »

Blog Secret Défense - Tue, 25/10/2016 - 10:07
Une interview en vidéo aux Géopolitiques de Nantes

Pages