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RSS : les 28 appellent à préciser et mettre en oeuvre le concept

Bruxelles2 Blog - Mon, 14/11/2016 - 12:00
(B2) Les 28 ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne ont approuvé, lundi 14 novembre, un cadre stratégique visant à soutenir la réforme du secteur de la sécurité (RSS), sur la base de la communication présentée par la Commission européenne en juillet dernier (lire : Une nouvelle doctrine pour la réforme de sécurité). Les ministres veulent « des actions […]

La Finlande veut compléter la boite à outils de la défense européenne et être à l’avant-garde

Bruxelles2 Blog - Mon, 14/11/2016 - 09:40
(B2) Les ministres finlandais des Affaires étrangères, Timo Soini, et de la Défense, Jussi Niinistö, devraient à la réunion ministérielle de l'UE ce 14 novembre défendre une certaine ambition pour la politique étrangère et de sécurité de l'Union européenne. Une position avant-gardiste conforme à un 'blueprint' adopté fin septembre par le gouvernement. Enthousiaste sur le […]

Aurora to demonstrate TALOS capability on UH-1H Huey helicopter

Naval Technology - Mon, 14/11/2016 - 01:00
Aurora Flight Sciences is planning to implement and demonstrate its tactical autonomous aerial logistics system (TALOS) on the UH-1H Huey helicopter.

BAE Systems to upgrade US Navy’s amphibious ship USS New Orleans

Naval Technology - Mon, 14/11/2016 - 01:00
BAE Systems has been contracted by the US Navy to upgrade its San Antonio-class amphibious transport dock ship, USS New Orleans (LPD 18).

UK announces new cooperation on maritime patrol aircraft with Norway

Naval Technology - Mon, 14/11/2016 - 01:00
UK Defence Secretary Michael Fallon has announced a new cooperation with Norway on maritime patrol aircraft (MPA) and exercises, to enhance operational effectiveness and boost defence ties.

Vers une nouvelle étape des relations de l’UE avec l’Iran

Bruxelles2 Blog - Sun, 13/11/2016 - 20:00
(B2) Les 28 ministres des Affaires étrangères doivent adopter ce lundi (14 novembre) des conclusions qui mettent en évidence la nécessité pour les Européens de prendre un tournant dans les relations avec l'Iran. Ce papier sera complété une fois les conclusions publiées Que disent les Européens ? 1° Le plan d'action global commun (JCPOA) est […]

Secret-défense: Pierre Lellouche veut destituer François Hollande

Blog Secret Défense - Sun, 13/11/2016 - 18:35
Le député LR de Paris veut réunir la Haute Cour suite aux déclarations du chef de l’Etat rapporté dans un livre récent.

(Géopolitique) Hubert Védrine: «Mon plan pour sauver l’Europe: reconquérir les peuples»

Blog Secret Défense - Sun, 13/11/2016 - 18:28
Un entretien avec l’ancien ministre des affaires étrangères

Carnet (13.11.2016) Battlegroups (planning). EUPOL Afghanistan (suite). EUFOR Althea / EUNAVFOR Med (mandat ONU). Mission ONU (flexibilité). Norvège/Royaume-Uni (coopération défense). Ghana (MOE). RDC (radios brouillées). Ukraine. Bosnie-Herzégovine ...

Bruxelles2 Blog - Sun, 13/11/2016 - 16:45
(B2) Parus récemment : Une défense européenne : oui mais en complément à l’OTAN (Stoltenberg) Défense européenne : le syndrome de la citrouille Nous devons mettre l’accent sur la formation des formateurs et des 2e écoles (A. Conze) PESC. Le Parlement européen demande des décisions « ambitieuses » avant la fin de l’année Six membres de […]

Le double avertissement du chef de l’OTAN à Donald Trump et aux Européens (entretien exclusif avec Jens Stoltenberg)

Bruxelles2 Blog - Sun, 13/11/2016 - 15:30

(crédit : OTAN)

(B2 – exclusif) Dans un entretien à B2 et Sud-Ouest, publié vendredi, le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, a averti mezzo vocce le nouveau président américain, Donald Trump, comme les Européens de ne pas jouer avec le feu.

  • Le langage reste très policé et diplomatique, et il faut le lire souvent à rebours. Mais, au lendemain de l’élection américaine et à la veille de la réunion des ministres des Affaires étrangères et de la défense de l’UE, le message est très clair : ne tentez pas d’affaiblir le lien transatlantique, de diminuer le rôle de l’OTAN, c’est votre meilleure garantie de stabilité pour l’Europe, comme pour les États-Unis ! Sur la défense européenne, le secrétaire général de l’OTAN ne veut pas s’engager plus avant… La volonté européenne de se doter d’un C2 (Command & Control) autonome ne lui parait pas vraiment une bonne idée. Il engage plutôt les Européens à s’investir dans l’OTAN.

Etre candidat c’est une chose, être président c’est une autre, Trump doit s’inscrire dans les pas de ses prédécesseurs

« Les Américains ont toujours été engagés dans l’OTAN depuis 70 ans. C’est un engagement solide comme le roc. Je suis certain que les États-Unis continueront de l’être. (…) Tous les présidents américains ont toujours été de grands supporters de l’OTAN. Tout simplement parce qu’ils ont vu qu’une OTAN forte n’est pas seulement bénéfique pour l’Europe, c’est bien aussi pour les États-Unis. »

L’OTAN n’en est pas à sa première réforme et elle peut encore s’adapter

« Je chercherai à travailler avec [le président élu Donald Trump] pour continuer à adapter l’OTAN face aux défis existants de la sécurité, comme nous l’avons fait avec ses prédécesseurs auparavant. »

La solidarité transatlantique, ce sont les Etats-Unis qui en ont bénéficié les premiers…. en 2001 ! Un fait que Donald Trump semble avoir oublié

« L’article 5 a été invoqué par les États-Unis, après les attentats du 11 septembre 2001. C’était la première, et la seule fois, qu’on a mis en œuvre cette clause de défense collective. Des soldats de toute l’Europe et du Canada ont alors répondu présent, pour aller en Afghanistan, dans une opération de l’OTAN. C’était une réponse directe à une attaque contre les États-Unis et à une demande américaine. Plusieurs centaines d’entre eux ont payé de leur vie cet engagement. »

Dans une période d’instabilité aux bordures de l’Europe, l’OTAN a son intérêt

« Plus que jamais. Particulièrement dans des moments de tensions, d’augmentation de l’instabilité d’imprévisibilité, comme aujourd’hui, il y a besoin d’avoir d’institutions fortes comme l’Alliance. L’OTAN offre de la stabilité. L’OTAN est une plate-forme de coopération. L’OTAN permet d’avoir un lien solide de part et d’autre de l’Atlantique. Cela a toujours été le cœur des tâches de [notre] organisation. »

Si on mine cette solidarité, on enlève un élément clé de la dissuasion euro-atlantique

« Tant que nous serons unis, nous serons capables de transmettre le message très clair qu’une attaque contre l’un est une attaque contre tous. C’est la meilleure dissuasion possible et cela préviendra un conflit. Dans un monde plus dangereux, où il faut répondre à la fois à une Russie plus affirmée, à l’Est, et au terrorisme et à l’instabilité au Sud, l’OTAN est là pour dissuader et fournir une défense solide. »

La nécessité de partage du fardeau entre l’Europe et les USA est une réalité… Et ce n’est pas nouveau

« C’est un problème réel. C’est sûr. A chaque fois que j’ai été à Washington, c’est le même message que j’ai entendu, venant du Congrès, de la Maison Blanche, d’Obama comme du président élu Donald Trump. C’est le message des Etats-Unis… »

… et les Européens ont entendu ce message et commencé à prendre des mesures

« En 2014, au sommet du Pays de Galles, nous avons décidé collectivement d’arrêter les coupes dans la défense et de, progressivement, augmenter les budgets de défense pour les amener à 2% du produit intérieur brut (PIB). Dès la première année après la décision, en 2015, après des années de coupes, nous avons pu obtenir que la baisse des dépenses soit stoppée. Et en 2016, les premières estimations montrent qu’on a réussi à augmenter d’un peu plus de 3% les dépenses. Il reste encore un long chemin à parcourir, la situation est toujours ambivalente. Certes. Mais c’est au moins beaucoup mieux qu’il y a quelques années. Oui, le message [américain] a été entendu par les Européens. »

Le projet de l’Union européenne de se doter d’un QG autonome pour ses opérations militaires, c’est … non

« Il est est trop tôt pour moi d’être précis pour dire comment résoudre les différents défis. (…) L’important maintenant est de s’asseoir et de travailler ensemble. Et surtout, il est primordial que le processus au sein de l’UE reste transparent afin que les Alliés non membres de l’UE puissent être certains que la façon dont l’Europe renforce sa défense apporte quelque chose en plus (added value), soit complémentaire et n’entre pas en concurrence avec l’OTAN. »

Ce n’est pas le moment d’affaiblir le lien transatlantique

« Je salue les discussions en Europe pour renforcer la défense européenne. C’est une discussion en cours en Europe et dans l’Union européenne. Je suis convaincu, en effet, qu’une défense européenne plus forte renforcera l’OTAN, le lien transatlantique et permettra, au final, un partage plus équilibré du fardeau. Ce sera encore plus facile de transmettre le message aux États-Unis que nous travaillons ensemble. »

L’OTAN reste la clé de la défense européenne

« Je me félicite, notamment, des déclarations de nombreux dirigeants européens disant que l’objectif n’est pas de construire une armée européenne, de faire de la défense collective ou de présenter une alternative à l’OTAN mais davantage de faire quelque chose de complémentaire à l’Otan. »

Le Brexit renforce encore la nécessité de l’OTAN comme ‘cornerstone‘ de la défense

« Il faut bien prendre conscience qu’après le Brexit, 80% des dépenses à l’OTAN sera assuré par des pays qui ne sont pas membres de l’UE. Et trois des quatre bataillons déployés à l’Est de l’Europe l’année prochaine seront dirigés alors par des pays non membres de l’UE (États-Unis, Canada, Royaume-Uni). Il n’y a pas d’autre moyen que de travailler ensemble. »

(Propos recueillis par Nicolas Gros-Verheyde)

Entretien complet (publié le 11.11 : Une défense européenne : Oui mais… en complément à l’OTAN

Trump fera-t-il décoller la défense européenne ? Pas sûr…

Bruxelles2 Blog - Sat, 12/11/2016 - 18:30

La première rencontre entre Obama et le nouvel élu Donald Trump a été plus consensuelle que prévue (crédit : US White House)

(BRUXELLES2) L’élection de Donald Trump à la présidence américaine sera-t-il un motif pour les Européens de se ressouder et de trouver des motifs d’agir davantage ensemble, de renforcer la défense et l’industrie européennes ? On peut l’espérer, le souhaiter. Certains le disent et l’expriment. Mais le contraire pourrait tout aussi bien être envisageable et doit être envisagé.

 

Ne me quitte pas…

Les quelques paroles de Donald Trump sur l’OTAN peuvent certes apparaitre comme des propos de campagne. Ils vont susciter de la part des dirigeants européens qui ne tiennent pas à voir l’OTAN diminuer son rôle ni les Américains cesser de s’y investir. Ce n’est donc pas le moment de créer le moindre brin d’incertitude des Européens ou d’alternative possible qui pourrait permettre à Washington d’en tirer parti. Ce mouvement a déjà commencé. Dans plusieurs pays (Belgique, Allemagne…) les dirigeants ne cessent de monter au créneau pour démontrer l’utilité de l’OTAN. Et le secrétaire général de l’OTAN a sonné l’alarme (lire son entretien exclusif à B2 : Une défense européenne, oui mais en complément à l’OTAN). Il va falloir ensuite passer à la caisse…

 

Oui … je paierai davantage

Ce qu’a dit Donald Trump sur la solidarité transatlantique — pas de solidarité sans un effort européen — peut susciter des interprétation diverses. Au premier degré, l’ambition américaine est de quantifier l’effort américain à l’effort européen. C’est ce qu’on appelle le partage des charges. Trump s’inscrit là concrètement dans les pas de ses prédécesseurs (Bush, Obama). Aux Européens de se prendre en charge un peu plus, avec à la clé une augmentation des budgets des dépenses de défense (1) mais aussi une prise de risque plus importante. Un discours qui n’est pas exempt de contradiction côté américain. Car si cette montée en puissance des Européens est souhaitée, les Américains ne souhaitent finalement pas qu’elle soit trop autonome.

Buy American ou je me tire !

Au second degré, le propos de Trump est davantage une attitude de négociateur commercial. La menace de plus assurer l’assistance aux Européens doit être prise comme une volonté de s’assurer de la fidélité des Européens. Et cela marche, à en juger par les déclarations dans les capitales européennes. Elle s’accompagne d’une volonté d’avoir davantage de retour sur investissements, dans le plus pur style du principe « I want my money back ». Autrement dit, si les Américains assurent une partie de la défense, européennes aux Européens de payer plus, en nature au besoin, en achetant… américain. Dans toute cette logique, on est assez loin du renforcement d’une défense européenne autonome…

(Nicolas Gros-Verheyde)

Lire : Trump élu, l’Europe va devoir se bouger les fesses !

(1) L’objectif fixé de dépenser 2% du PIB pour la défense est un objectif idiot. Sans un plan de dépense à l’échelle européenne, il risque d’aboutir à des achats dispersés, un gaspillage d’argent comme il y a eu dans le passé, et ne permettront pas en tant que tel de résoudre les lacunes qui persistent.

Sécuriser les océans… une communication de la Commission

Bruxelles2 Blog - Sat, 12/11/2016 - 14:50
(B2) La Commission européenne a adopté jeudi 10 novembre une communication conjointe intitulée « gouvernance des océans : un agenda pour le futur de nos océans ». L'Union européenne appelle à créer des « synergies » entre sa stratégie de sécurité maritime (EUMSS) et de ses politiques (cyber sécurité et cyber défense) pour « une croissance […]

Une défense européenne, en complément à l’OTAN (Stoltenberg)

Bruxelles2 Blog - Fri, 11/11/2016 - 12:00
(B2 - exclusif) Le secrétaire général de l'OTAN a bien voulu accorder quelques minutes, dans un emploi du temps chargé, à B2, en marge du Nato Industry Forum. Un entretien marqué au sceau des élections américaines. L’incertitude est grande, en effet, à Bruxelles sur ce que veut faire le futur président républicain. Mais nous avons […]

Deals this week: BAE Systems, Pratt & Whitney, Raytheon Missile Systems

Naval Technology - Fri, 11/11/2016 - 01:00
BAE Systems has been awarded a $192.68m-worth US Navy contract for work on the USS Zumwalt (DDG-1000) and USS Michael Monsoor (DDG-1001) guided missile destroyer warships.

USMC’s F-35B completes first power module and engine swap at sea

Naval Technology - Fri, 11/11/2016 - 01:00
The US Marine Corps' (USMC) F-35B Lightning II aircraft has successfully completed the first power module and engine swap at sea aboard the US Navy’s amphibious assault ship, USS America (LHA 6).

Report: Global naval ships and surface combatants market to witness positive growth

Naval Technology - Fri, 11/11/2016 - 01:00
The global naval vessels, surface combatants, and associated maintenance, repair and overhaul (MRO) market is anticipated to record a compound annual growth rate (CAGR) of 3.31% during 2016-2026, according to a report by Strategic Defence Intelligenc…

Airbus to provide TRS-4D naval radars for US Navy’s littoral combat ships

Naval Technology - Fri, 11/11/2016 - 01:00
Airbus Defense and Space has been contracted to provide TRS-4D naval radars for the US Navy's littoral combat ship (LCS) programme.

Défense européenne : le syndrome de la citrouille

Bruxelles2 Blog - Thu, 10/11/2016 - 23:00
(B2) A quelques jours de la réunion des ministres des Affaires étrangères et de la Défense de l'Union européenne, lundi (14 novembre), il semble toujours difficile aux différents acteurs de la négociation, de situer à la fois le niveau d'ambition que pourront atteindre les Européens comme les projets qui pourraient déboucher concrètement. Tout semble encore […]

Global Defence Technology: Issue 69

Naval Technology - Thu, 10/11/2016 - 12:07
In this issue: Could Russia gain a technological edge over Britain? Plus: the benefits of base sharing, protecting GPS guided weapons from spoofing, the next step in electric vehicles, contenders for the T-X jet trainer programme, lessons learned fro…

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