You are here

Feed aggregator

Un as de l’évasion fiscale prend la présidence de l’UE : Malte

Bruxelles2 Blog - Wed, 11/01/2017 - 22:30

(B2) Confier les rênes d’une banque à un braqueur… c’est un peu ce que semble faire l’Union européenne en ce début d’année. L’image peut être paraître osée. Mais quand on lit le rapport que vient de publier le groupe des Verts au Parlement européen au moment où Malte prend la présidence de l’Union européenne, elle parait évidente. Malte cette riante île, aux lagons bleus, aux fonds agréables pour les plongeurs, recèle d’autres atouts, tout aussi séduisants, pour les  investisseurs à la recherche d’un endroit discret pour faire « évader » leur argent.

Le régime de taxation de Malte « offre à la plupart des grandes sociétés un taux d’imposition de 5% seulement – voire de 0% dans certains cas ». Ce régime fiscal très avantageux « a fait perdre près de 14 milliards d’euros d’impôts aux autres pays entre 2012 et 2015 » dénoncent les Verts, mettant à jour une série de mécanismes ingénieux, destinés à permettre aux investisseurs de tirer un maximum de profit. Pire, l’opacité du système maltais est mise en cause.

La justice maltaise a des oublis quand il s’agit de blanchiment ou d’évasion fiscale. « Plusieurs responsables politiques du pays ont été épinglés sans qu’aucune enquête sérieuse sur ces affaires de blanchiment et d’évasion fiscale n’ait jusqu’à présent vu le jour ». « La situation est pour le moins burlesque » dénonce l’eurodéputée Eva Joly, qui a une certaine expérience de ces affaires pour avoir été magistrate du parquet financier. « Avec Jean-Claude Juncker, ancien combattant de la guerre fiscale, actuellement à la tête de la Commission européenne et, dès aujourd’hui un pays à la Présidence du Conseil qui a toutes les allures des paradis fiscaux, le tandem est pour le moins déconcertant. »

(NGV)

Télécharger le rapport

Global Defence Technology: Issue 71

Naval Technology - Wed, 11/01/2017 - 17:15
Keeping the peace in the Arctic region, a new satellite service from Airbus, closing the GPS gap with wearable sensors, instant detection for armour damage, high-speed drones for fighter aircraft support, progress of Australia’s new submarines, and m…

A l’agenda du Conseil des Affaires étrangères (16 janvier 2017)

Bruxelles2 Blog - Wed, 11/01/2017 - 14:44
(B2) Les ministres des Affaires étrangères de l'UE se réunissent pour leur première réunion de l'année avec deux sujets essentiels sur leur table : le conflit en Syrie (et non en lunch) et le processus de paix au Moyen-Orient (MEPP). NB : Les questions de l'Égypte et de la Libye ont été reportées à la […]

Plusieurs dizaines d’officiers turcs réfugiés à l’Ouest. « Nous ne sommes pas des terroristes »

Bruxelles2 Blog - Wed, 11/01/2017 - 14:10

(B2) Ils sont capitaines, commandants, lieutenant-colonels, colonels …  parfois de grade inférieur. Tous des officiers (ou sous-officiers) diplômés, formés, expérimentés. Il y a quelques mois, ils servaient avec fierté leur pays, portant l’uniforme turc dans les couloirs et commandements de l’OTAN, au quartier général ou au Shape pour ceux qui se trouvent en Belgique. Depuis le coup d’état en juillet — et surtout depuis la fin septembre — ils sont proscrits, considérés comme des pariats, des renégats par leur propre pays et sont passés dans une semi-clandestinité. Après être restés très discrets, ils témoignent aujourd’hui, sous le sceau de l’anonymat. B2 a rencontrés certains d’entre eux (en compagnie de nos collègues de RTL), dans un appartement de la banlieue bruxelloise. Un témoignage capital.

Une centaine de militaires proscrits en Belgique

La purge contre l’armée a été massive. Rien qu’en Belgique, ils seraient presqu’une centaine d’officiers ou de sous-officiers à faire l’objet de l’opprobre d’Ankara. Selon des chiffres communiqués par ces officiers, 84 sur les 138 servant dans les structures de l’OTAN en Belgique (au SHAPE à Mons ou au quartier-général à Bruxelles) sont concernés. Ce qu’on leur reproche : ils ne le savent pas précisément, à part d’avoir servi avec fidélité l’idéal de la nation turque. Le 27 septembre, très exactement, tout a basculé. Une liste de plusieurs officiers a été établie et diffusée comportant plus de 200 noms. Ankara demandait aux intéressés de rentrer immédiatement au pays, dans les trois jours, en abandonnant tout. Sans aucune explication. Certains ont hésité…

« Quand j’ai vu mon nom sur la liste, je ne savais pas pourquoi. Je suis militaire, pas politique. S’il y a des faits qu’on me reproche, ils doivent m’avertir, m’informer des accusations portées contre moi, conformément à nos droits constitutionnels, afin que je puisse me défendre. Ils n’ont rien dit, demandant simplement de revenir en Turquie. Ils nous accusent d’avoir été membres ou de soutenir les mouvements terroristes et du mouvement Gülen, il n’y a pas eu de décision de tribunal en aucun cas. »

Arrestation et tortures pour les officiers rentrés au pays

Peu après, une autre liste a circulé, avec 46 noms de plus ajoutés. « On ne sait pas pourquoi ces noms ont été rajoutés ». Certains ont obtempéré. Mal leur en a pris, aussitôt arrivés à l’aéroport ou, peu après, ils ont été arrêtés, traînés en prison, interrogés avec véhémence. Les mauvais traitements et même la torture ont été utilisés. Les militaires ont reçu plusieurs témoignages concordants. Parfois c’est la femme qui subit « des mauvais traitements ou des tortures ». Le tout est enregistré. « La vidéo est montrée au mari » pour le faire craquer. « Certains militaires (entre 4 à 6) seraient morts. En fait, ils sont décédés de la torture infligée en prison ». De quoi augmenter les réticences de la première minute. 

Obligés de demander l’asile

Les militaires ont décidé de rester en Belgique et, finalement, de demander l’asile. Une demande à laquelle ils ont dû se résoudre. Ce n’était pas leur premier choix. « On ne voulait pas demander l’asile au début. Mais on nous a conseillé de le faire pour rester en Belgique ». Les officiers n’entendent cependant « pas rester longtemps en Belgique ». Ils souhaitent « seulement pouvoir vivre en sécurité. Quand notre pays sera sécurisé, nous voulons retourner immédiatement dans notre pays. » C’est là qu’ils ont leurs attaches, leur famille, leur avenir. Le gouvernement turc leur a coupé les vivres : les rémunérations, les allocations et même les remboursements de soins. En attendant, ils ont quitté leur appartement de fonction et opter pour un logement moins cher, en se tenant à l’écart de la communauté turque de Bruxelles dont ils craignent les dénonciations car acquise en bonne partie au gouvernement Erdogan. Ils vivent, en partie, grâce à la solidarité des militaires des autres pays de l’OTAN qui leur procurent une aide matérielle mais surtout un réconfort moral.

L’infamie d’être considéré comme un terroriste

Pour ces militaires, formés, biberonnés au sein de l’État turc, être tout à coup traités et considérés comme un terroriste est infamant. « Ils nous ont traité de terroristes » répète l’un d’eux, qui n’en revient pas. « Toute ma vie je me suis battu contre le terrorisme. J’ai été félicité pour cela » précise-t-il. « Un jour, vous êtes terroristes. Mais, si le lendemain, vous soutenez Erdogan, vous devenez un héros. »

Tous formés à l’occidentale

Chacun s’interroge sur les raisons d’une purge aussi large qui touche un des piliers de l’État turc, garante d’une certaine façon de la modernité et de la démocratie. « On s’est rencontrés parfois pour la première fois, on a cherché le point commun. On s’est aperçu qu’on a tous une formation occidentale », souvent aux États-Unis ou dans le collège de défense de l’OTAN à Rome. « Nous sommes aussi des séculiers » des laïcs. Ce qui va à l’inverse de l’orientation religieuse donnée par Erdogan au pouvoir turc. « On ne partage pas la vision d’Erdogan. On ne l’a jamais rendu publique. Nous sommes des militaires. On garde cela très discret. »

Un tournant dans l’ancrage turc euro-atlantique ?

Pour ces officiers, derrière ces purges, il y a en fait une autre réalité : la volonté de changement géostratégique de la Turquie : la vision d’Erdogan pour la Turquie est « d’opérer un tournant », de détacher la Turquie « de l’Ouest, de l’OTAN et de l’Europe, des Etats-Unis pour la faire évoluer vers l’Est, vers une alliance avec la Russie, vers l’organisation de Shangai Five (montée autour de la Russie et de la Chine avec les ex-républiques d’URSS d’Asie centrale) plutôt que vers l’OTAN » soulignent-ils. Ces officiers en sont convaincus, ils ne sont qu’une petite partie de l’iceberg. « Les forces armées sont une force importante pour la république turque. Si vous changez, cela vous changez l’âme de la république turque. »

Une bonne majorité de l’effectif turc à l’OTAN victime de la purge

Les militaires établis à l’étranger sont une cible de choix, en général les officiers supérieurs. Dans tous les pays où se trouvent des bases de l’OTAN : aux Pays-Bas (à Brunssum), en Italie (à Naples), aux États-Unis (à Norfolk), on retrouve un scénario identique.

Selon un bilan détaillé établi par nos interlocuteurs, 232 des 400 officiers ou sous-officiers turcs présents dans une structure de l’OTAN ont été victimes de la purge, soit près de deux tiers de l’effectif.

Une photo vaut mieux qu’un long discours : la représentation turque au quartier-général de l ‘OTAN : décimée

Près de deux-tiers des effectifs déployés dans l’OTAN concernés

Parmi les 232 officiers ou sous-officiers figurant sur la « liste noire » victimes de la purge, la majorité se trouve en Belgique (84) et en Allemagne (45). Les autres se trouvent dans tous les pays de l’Alliance à commencer par les États-Unis (28) et l’Italie (28), les Pays-Bas (17) et le Royaume-Uni (13), enfin l’Espagne (10), la Norvège (4) et l’Autriche (3).

A ceux-là, il faut ajouter 165 attachés ou assistants militaires présents dans les différentes ambassades et structures militaires (sur les 264 en poste) qui ont été priés de rentrer au pays. Selon nos informations — non confirmées officiellement mais non infirmées non plus —, la France serait concernée par cette éviction des attachés militaires.

Au total, ce sont ainsi près de 400 militaires sur les 664 en poste à l’étranger sont concernés. Soit deux tiers de l’effectif. Ce n’est pas un écrémage, c’est une vraie liquidation d’un certain capital d’expérience.

(Nicolas Gros-Verheyde)

L’effectif turc au SHAPE… largement entaillé !

Quel est le bilan de l’opération Sophia (EUNAVFOR Med) jusqu’à aujourd’hui ?

Bruxelles2 Blog - Wed, 11/01/2017 - 13:33

(B2) Selon le dernier bilan communiqué par l’opération maritime européenne en Méditerranée contre les passeurs et trafiquants d’êtres humains (EUNAVFOR Med / Sophia), au 31 décembre 2016 :

222 opérations de secours en mer ont été menées depuis le début de l’opération, permettant de venir en aide à 31.899 migrants.

372 navires, utilisés par les trafiquants, ont été détruits.

101 individus suspectés de trafic ont été remis aux autorités italiennes pour être interrogés et, éventuellement, jugés.

(NGV)

Lire aussi : Méditerranée. Les flux de migrants se renversent, les trafiquants s’adaptent

Les détails des moyens de l’opération Sophia / EUNAVFOR Med. Des manques au FHQ

Bruxelles2 Blog - Wed, 11/01/2017 - 11:30
(B2) Selon l'état des lieux dressé par son commandant, le contre-amiral Enrico Credendino, l'opération EUNAVFOR Med / Sophia regroupait en tout un peu plus de 2000 personnes (2266 personnes à la fin octobre) venant de 25 États membres (une dizaine uniquement si on prend la contribution opérationnelle). La grosse majorité sert dans les navires, une […]

DARPA completes first phase of tactical undersea network architecture project

Naval Technology - Wed, 11/01/2017 - 01:00
The US Defence Advanced Research Projects Agency (DARPA) has completed the initial phase of tactical undersea network architecture (TUNA) programme, which aims to develop temporary, underwater, fibre-optic communications networks to ensure connectivi…

Safran to deliver upgraded version of global navigation system for French Triomphant SSBNs

Naval Technology - Wed, 11/01/2017 - 01:00
Safran Electronics & Defense has been selected by the French defence procurement agency DGA to deliver an upgraded version of its global navigation system installed on the French Navy's Triomphant-class ballistic missile nuclear submarines (SSBN).

Pakistan successfully conducts first test fire of Babur-3 SLCM

Naval Technology - Wed, 11/01/2017 - 01:00
Pakistan has confirmed the successful test firing of a submarine-launched cruise missile (SLCM), Babur-3, from an undisclosed location in the Indian Ocean.

Une nouvelle mission de l’UE en Irak?

Bruxelles2 Blog - Tue, 10/01/2017 - 17:00
(B2 - exclusif) Le service diplomatique européen (SEAE) prépare le projet d'une équipe d'experts déployées en Irak pour conseiller et assister les autorités irakiennes pour la réforme des forces de sécurité (EUSSR A&A). Une note de concept a été préparée et diffusée aux différents États membres. Cette mission sonnerait le retour de l'Union européenne en […]

Le FS Ducuing rejoint l’opération maritime européenne en Méditerranée

Bruxelles2 Blog - Tue, 10/01/2017 - 12:11

(B2) Le patrouilleur de haute mer de la marine française, le FS Commandant Ducuing  (F-795) a intégré l’opération EUNAVFOR Med / Sophia de lutte contre les trafics d’êtres humains et d’armes en Méditerranée au large de la Libye, apprend-on aujourd’hui du QG de l’opération. Il devrait être particulièrement en charge du contrôle de l’embargo sur les armes, selon nos informations.

Cet aviso de type A69, classe d’Estienne d’Orves, avait déjà participé à l’opération maritime européenne contre la piraterie (EUNAVFOR Atalanta), à au moins deux reprises : en 2009 (Lire : La frégate grecque Nikoforos arrive. EUNAVFOR = 11 bateaux, 4 avions) et en 2013 (lire : Dernières nouvelles de la piraterie (1er déc. 2013)).

Durant cette période dans l’océan indien, il avait repris son pavillon national pour participer à l’opération de reprise du voilier Tanit, détourné par des pirates somaliens en avril 2009 (lire : Les pirates célèbrent à leur manière la relève d’EUNAVFOR).

Jusqu’à peu, il était en mission anti-piraterie dans le Golfe de Guinée, dans le cadre de l’opération (nationale) Corymbe, entre août et octobre 2016, avant de revenir à son port d’attache, Toulon, début novembre.

(NGV)

Méditerranée. Les flux de migrants se renversent, les trafiquants s’adaptent

Bruxelles2 Blog - Tue, 10/01/2017 - 11:00
(B2) Dans son dernier rapport d'activité (confidentiel), remis au comité militaire de l'UE fin novembre, le commandant de l'opération EUNAVFOR Sophia contre les trafics en Méditerranée, le contre-amiral Enrico Credendino, dresse un bilan de son action comme de l'activité des trafiquants en mer Méditerranée. Il met en cause d'une façon plutôt nette le travail des […]

La présence des ONG au large de la Libye : un effet d’aubaine pour les trafiquants ?

Bruxelles2 Blog - Tue, 10/01/2017 - 08:56

Le premier navire de recherche et de sauvetage de MSF, le Dignity I, a pris la mer le 21 avril 2016 depuis le port de La Valette, à Malte. Ce bateau, d’une capacité d’embarquement de 400 personnes, est déployé au large de la Libye et cherchera activement les navires en détresse. (Crédit : MSF)

(B2) Dans son dernier rapport d’activité, le commandant de l’opération EUNAVFOR Med Sophia contre les trafics en Méditerranée, au large de la Libye, le contre-amiral Enrico Credendino, met en cause d’une façon plutôt nette le travail de certaines ONG sur place, estimant qu’elles frôlent avec la limite territoriale des 12 miles nautiques et facilite, d’une certaine, façon le travail des contrebandiers.

La proximité des ONG est un facteur incitant

« La présence accrue des ONG — jusqu’à 26 navires des ONG sont enregistrés en haute mer  — qui sont prêtes à secourir les migrants dans les limites et parfois à l’intérieur des eaux territoriales libyennes a un effet sur le flux de migration. En étant aussi près des côtes libyennes, la présence des ONG permet aux trafiquants de récupérer leurs navires vers le rivage beaucoup plus facilement, dans l’objectif de les réutiliser ».

Un changement du modus operandi des trafiquants

Cette présence proche des ONG réduit « la moyenne de secours de 75 miles à 35 voire 20 miles du rivage libyen ». Cela a des conséquences sur le mode de fonctionnement : « les navires ne partent plus avec des téléphones Turaya (NB : comme au début) et ils ne passent plus d’appels de détresse au MRCC ». Les contrebandiers « semblent très au courant où ils peuvent trouver des navires de secours, en particulier des ONG, qui diffusent leur position via le système d’identification automatique (AIS) » dénonce l’amiral italien.

Des incidents avec la ‘garde-côte’

Trois incidents ont ainsi impliqué des ONG et des navires « portant le logo des gardes côtes libyens », rappelle l’amiral : le 17 août (lire : Le Bourbon Argos attaqué au large des côtes libyennes), le 9 septembre (lire : Le Werra à la rescousse de ressortissants arrêtés par les garde-côtes libyens) et le 21 octobre (lire : Nouveau heurt avec un navire de la garde-côte libyenne ? Plusieurs noyés dénonce une ONG). Dans le premier cas, c’est un navire de MSF qui est témoin, dans les deux autres cas, c’est l’ONG allemande Sea-Watch (1). Les navires d’EUNAVFOR ont été appelés à la rescousse dans deux de ces occasions : en août et en septembre.

(Nicolas Gros-Verheyde)

Sur ce sujet, lire aussi : MSF répond aux accusations de Frontex

Lire aussi : Méditerranée. Les flux de migrants se renversent, les trafiquants s’adaptent

(1) Une ONG avec qui l’opération EUNAVFOR Med semble en mauvais termes, ou vice-versa

Carnet (10.01.2017). EUAM Ukraine, EUCAP Somalia, EUTM RCA (chef). COPS (agenda). Mission UA Burundi (financement). CAE (agenda). Jeunes en délégation (stages). Tchèque-Slovaquie (aérien). Royaume-Uni (A400M, arme laser). France (AASM block4, Drones...

Bruxelles2 Blog - Tue, 10/01/2017 - 07:15
(B2) Parus récemment : Dossier N°48. La réunification chypriote : une négociation de longue haleine Le dernier round de la négociation chypriote ? Quelques points épineux encore à régler Le RP britannique chargé de négocier le Brexit nommé. Un ex du COPS Muna, le nouveau-né bébé ‘EUnavfor Med’ déclenche une polémique en Espagne (blog) Le […]

US Department of Defense tests world’s largest micro-drone swarm

Naval Technology - Tue, 10/01/2017 - 01:00
The US Department of Defense’s (DoD) Strategic Capabilities Office (SCO), in partnership with Naval Air Systems Command, has successfully conducted a micro-drone demonstration at China Lake in California.

UK MOD signs £271m Wildcat support contract with Leonardo Helicopters

Naval Technology - Tue, 10/01/2017 - 01:00
The UK Ministry of Defence (MOD) has signed a deal worth £271m with Leonardo Helicopters to continue to support the Royal Navy’s Wildcat maritime helicopters.

US Navy's Columbia-class submarine programme passes Milestone B review

Naval Technology - Tue, 10/01/2017 - 01:00
The US Navy's Columbia-class submarine programme has passed its Milestone B review and can now begin the design and construction phase.

N°48. La réunification chypriote : une négociation de longue haleine

Bruxelles2 Blog - Mon, 09/01/2017 - 23:30
(B2) La réunification chypriote a été le cœur de nombreuses péripéties. Après l'échec de 2007 et de 2012, il semblait impossible de pouvoir assoir à nouveau les leaders des deux parties à la table des négociations. Des discussions intercommunautaires ont pourtant repris en 2014, grâce à une nouvelle génération de leaders déterminée à surmonter les échecs de ses prédécesseurs. […]

En Israël, vives tensions autour de l’éthique militaire

Blog Secret Défense - Mon, 09/01/2017 - 18:32
Un soldat israélien a été reconnu coupable d’homicide pour avoir achevé un Palestinien blessé et désarmé après une agression au couteau commise en mars à Hébron, en Cisjordanie.

Pages