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Valls attendu à Dakar, première étape de sa tournée ouest-africaine

Le Figaro / Politique - Thu, 22/09/2016 - 15:00
Le premier ministre s'entretiendra avec le président sénégalais Macky Sall qu'il présente comme son «ami».
Categories: France

Gabon : des expertises africaines engagées dans le recomptage des voix

La Nouvelle Tribune (Bénin) - Thu, 22/09/2016 - 14:50

Au Gabon où on s’achemine vers le verdict de la Cour constitutionnelle devant définitivement départager l’opposant Jean Ping et le Président Ali Bongo, des expertises africaines sont à l’œuvre. Pour la délicate mission de recomptage des voix du scrutin présidentiel gabonais, l’Union africaine a dépêché une mission de juristes qui assistera  aux travaux des conseillers de la Cour.


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Categories: Afrique

Rdc : Kabila en sapeur-pompier, l’opposition le désavoue

La Nouvelle Tribune (Bénin) - Thu, 22/09/2016 - 14:49

Après deux jours d’affrontements meurtriers entre militants de l’opposition et forces de l’ordre, le Président Joseph Kabila a réagi dans un message où il appelle les Congolais au calme.


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Categories: Afrique

Les frères ennemis

Le Monde Diplomatique - Thu, 22/09/2016 - 14:41

Une guerre d'indépendance a opposé une guérilla aux forces gouvernementales éthiopiennes entre 1961 et 1991. La fin de l'empire unitaire d'Éthiopie de Hailé Sélassié, en 1974, et la prise du pouvoir par M. Mengistu Hailé Mariam (dit « le Négus rouge ») en 1978 n'y ont rien changé (1).

Pendant ce long affrontement, le Front populaire de libération de l'Érythrée (FPLE), constitué en 1972, avait développé une coopération militaire étroite avec la guérilla du Front populaire de libération du Tigré (FPLT), qui luttait depuis la province du Tigré contre le Négus rouge. Après la victoire de la coalition FPLE-FPLT en mai 1991, la sécession de l'Érythrée s'est effectuée de manière consensuelle en 1993, le FPLE prenant le pouvoir à Asmara tandis que son allié le FPLT s'installait à Addis-Abeba. L'alliance paraissait d'autant plus naturelle que les deux fronts étaient dirigés par des chrétiens tigréens.

Les tensions survenues par la suite ont souvent été qualifiées de « syndrome grand frère - petit frère ». Dans la lutte, le FPLE revendiquait l'antériorité, une meilleure organisation, un rayonnement international indiscutable, alors que le FPLT ne disposait que d'un ancrage régional. Bien que dirigeant un pays beaucoup moins peuplé (6 millions d'habitants contre 94 pour l'Éthiopie), il ne se donnait pas la peine de dissimuler son sentiment de supériorité. Les premières années furent calmes, mais néanmoins marquées par des revendications économiques de plus en plus fortes de la part de l'Érythrée : demande de parité monétaire birr-nakfa, demande d'arrêt des investissements industriels au Tigré.

Le chef du FPLT devenu président de l'Éthiopie, Meles Zenawi, tenta de faire entendre raison à son ancien allié. Il fit valoir que, en tant que dirigeant d'un grand pays peuplé à 95 % de non-Tigréens, il subissait des contraintes bien plus lourdes que durant les années de guerre. En mai 1998, prenant prétexte de revendications sur des espaces territoriaux minuscules et sans valeur stratégique ou économique, l'Érythrée attaqua son grand voisin. Il s'ensuivit une guerre de deux années dans laquelle périrent environ 70 000 combattants et qui coûta plus de 2 milliards de dollars.

La lutte de guérilla de la guerre d'indépendance laissa place à un conflit conventionnel rappelant la première guerre mondiale en Europe — tranchées, attaques frontales meurtrières, barrages d'artillerie lourde —, qui n'aboutit à rien. L'armistice signé à Alger en juin 2000 ne fut suivi d'aucun traité de paix. Il laisse beaucoup d'amertume des deux côtés. Ce conflit larvé menace toujours de dégénérer en un conflit ouvert dès qu'une faille apparaît dans l'un ou l'autre camp.

(1) Lire « En Éthiopie, des rivalités ethniques si anciennes, si profondes… », Le Monde diplomatique, septembre 1991.

Fantasmes occidentaux

Le Monde Diplomatique - Thu, 22/09/2016 - 14:40

Le regard occidental est marqué par la volonté constante de chercher dans le Sud-Est européen un islam radicalement différent de celui pratiqué dans le reste de l'oumma. En réalité, cette tentation n'est pas nouvelle. On pouvait déjà la voir à l'œuvre dans le rôle central accordé au bektachisme (lire le glossaire) dans le récit national albanais. La tendance à dissocier bektachisme et islam sunnite fut encore accentuée par le communisme autarcique et autoritaire d'Enver Hodja, du moins jusqu'à l'interdiction de toute pratique religieuse en 1967 : le bektachisme devenait ainsi une sorte de religion nationale, d'autant que la direction mondiale de la confrérie, très centralisée, s'était repliée à Tirana en 1927, après l'interdiction des ordres soufis dans la Turquie de Mustafa Kemal Atatürk (1). En réalité, les confréries furent des relais importants de l'affirmation nationale albanaise. Depuis la chute du communisme, les tentatives de reconstituer une hiérarchie bektachie totalement séparée de la communauté islamique se heurtent à un échec : lors du recensement de 2011, seuls 2,09 % des Albanais se sont déclarés de confession bektachie.

Les derviches et les pratiquants de l'islam soufi sont souvent perçus comme des modèles de tolérance, alors que la constitution et le rayonnement des grandes confréries dans les Balkans sont indissolublement liés à l'armée ottomane — les membres du corps d'élite des janissaires étaient traditionnellement bektachis — et que ces confréries, notamment les puissants naqshbandis, ont été les dernières, dans les années 1920, à défendre le principe du califat et à s'opposer au projet de Turquie moderne et laïque que défendait Atatürk. En réalité, l'islam soufi a toujours eu deux visages : l'un mystique, hétérodoxe et volontiers frondeur, et l'autre militaire et proche du pouvoir, que l'on ne retrouve pas en Afrique ou en Turquie. Ce n'est pas un hasard si la confrérie naqshbandie connaît depuis la fin de la guerre un vif renouveau en Bosnie-Herzégovine, en s'appuyant sur les cadres issus de l'armée et ceux du Parti d'action démocratique (SDA), la formation de l'ancien président Alija Izetbegović. Un pèlerinage soufi comme l'Ajvatovica (2) fait ainsi figure de commémoration patriotique, et la fréquentation d'un lieu de prière favorise bien souvent l'avancement d'une carrière dans le parti ou dans l'administration.

Dans les années 1990, la volonté de singulariser l'islam des Balkans répondait à des exigences politiques fort concrètes : le conflit de Bosnie-Herzégovine était contemporain de la guerre civile en Algérie et, pour certains intellectuels français, qui perçoivent moins le monde comme un ensemble de réalités à décrypter que comme une succession de causes à embrasser, il était opportun de pouvoir opposer un bon et un mauvais islam. On s'extasiait de voir des Bosniaques, d'indéniable tradition musulmane, boire de l'alcool, comme si aucun Turc n'avait jamais bu un verre de raki ! En partie à cause de la confusion entre l'identité nationale « musulmane » et la croyance religieuse, on trouvait particulièrement « modernes » des musulmans qui ne pratiquaient pas leur religion — un peu comme s'il fallait s'étonner de voir des Français baptisés catholiques manger de la viande le vendredi.

La réalité du processus de laïcisation engagé sous le socialisme yougoslave empêchait de comprendre l'existence parallèle d'un islam vécu par une partie de la population d'origine musulmane, ainsi que la renaissance de la pratique qu'entraînèrent l'éclatement de l'État socialiste et la guerre. Les musulmans bosniaques devenaient des archétypes de musulmans délivrés des observances rituelles de leur religion et, à ce titre, étaient perçus comme un modèle que l'on pouvait opposer aux tentations du radicalisme affectant l'ensemble du monde musulman. Pourtant, au cours des décennies suivantes, nombre de jeunes musulmans des Balkans s'engagèrent dans les rangs du djihad mondialisé. On en dénombrerait plus de huit cents en Syrie (3).

Cette construction idéologique renvoie aux incertitudes du regard occidental sur les Balkans eux-mêmes. S'inscrivant dans le droit-fil des travaux d'Edward Saïd sur l'orientalisme, l'anthropologue bulgare Maria Todorova a créé la notion de « balkanisme » (4) : alors que l'Orient imaginé par l'Europe serait un « non-lieu », une utopie servant à projeter les fantasmes occidentaux, les Balkans, eux, précisément parce qu'ils forment une marche, une zone-tampon entre Occident et Orient, relèveraient de l'ordre du réel, d'un réel qu'un Occident démiurge s'efforce depuis deux siècles de contrôler et de modeler. L'idée d'« européanisation des Balkans » mise en avant depuis la fin de la guerre du Kosovo, en 1999 (5), comme substrat idéologique du processus d'intégration européenne, n'est que le dernier avatar de cette longue tradition : il s'agit de supposer que le rapprochement européen doit entraîner une transformation des sociétés balkaniques, qui abandonneraient peu à peu des traits définis comme culturels tels que la mauvaise gouvernance, la corruption, les tentations autoritaires ou une certaine propension au désordre. Certains, dans les Balkans, vont encore plus loin, comme l'écrivain Ismaïl Kadaré (6), pour qui les Albanais devraient rejeter la foi musulmane et revenir au catholicisme de leurs très lointains ancêtres pour affirmer leur identité européenne.

Dans ces visions schématiques, l'islam et l'orthodoxie, cet héritage byzantin, sont perçus comme les marqueurs identitaires d'une altérité négative. Pourtant, l'islam demeure un facteur déterminant dans les Balkans. Mais quel statut lui reconnaître dans le regard d'un Occident traversé de courants islamophobes ? L'idée d'un « islam européen » répond précisément à ce défi, en permettant d'imaginer, dans des Balkans enfin « européens », un islam « modèle ». Or les réalités de l'islam vécu et pratiqué dans les Balkans restent bien sûr plus complexes que le binôme réducteur opposant radicalité et modération, et cet islam restera toujours traversé par les contradictions et les tensions qui affectent l'ensemble du monde musulman, tout en étant riche de son histoire spécifique.

(1) Cf. Nathalie Clayer, Aux origines du nationalisme albanais. La naissance d'une nation majoritairement musulmane en Europe, Karthala, Paris, 2006.

(2) Ce pèlerinage, théoriquement organisé depuis le XVe siècle, avait été interdit par les autorités communistes. Depuis la fin de la guerre, il draine à nouveau des milliers de personnes dans le village de Prušać. Cf. Rodolfo Toè, « Islam : l'Ajvatovica, le grand rassemblement des musulmans de Bosnie », Le Courrier des Balkans, 8 juillet 2011.

(3) « Foreign fighters : An updated assessment of the flow of foreign fighters into Syria and Iraq », The Soufan Group, New York, décembre 2015.

(4) Maria Todorova, Imaginaire des Balkans, Éditions de l'EHESS, Paris, 2011.

(5) Lire Marie-Janine Calic, « Européaniser “l'autre Europe” », Le Monde diplomatique, juillet 1999.

(6) Ismaïl Kadaré, La Discorde. L'Albanie face à elle-même, Fayard, Paris, 2013.

Änderungsanträge 1 - 307 - Europäische Verteidigungsunion - PE 587.800v01-00 - Ausschuss für auswärtige Angelegenheiten

ÄNDERUNGSANTRÄGE 1 - 307 - Entwurf eines Berichts über die europäische Verteidigungsunion
Ausschuss für auswärtige Angelegenheiten

Quelle : © Europäische Union, 2016 - EP
Categories: Europäische Union

Amendments 1 - 314 - The implementation of the Common Security and Defence Policy (based on the Annual Report from the Council to the European Parliament on the Common Foreign and Security Policy) - PE 589.209v02-00 - Committee on Foreign Affairs

AMENDMENTS 1 - 314 - Draft report The implementation of the Common Security and Defence Policy (based on the Annual Report from the Council to the European Parliament on the Common Foreign and Security Policy)
Committee on Foreign Affairs

Source : © European Union, 2016 - EP
Categories: Europäische Union

Amendments 1 - 314 - The implementation of the Common Security and Defence Policy (based on the Annual Report from the Council to the European Parliament on the Common Foreign and Security Policy) - PE 589.209v02-00 - Committee on Foreign Affairs

AMENDMENTS 1 - 314 - Draft report The implementation of the Common Security and Defence Policy (based on the Annual Report from the Council to the European Parliament on the Common Foreign and Security Policy)
Committee on Foreign Affairs

Source : © European Union, 2016 - EP
Categories: European Union

Le jour où j’ai déjeuné avec des preneurs d’otages nigériens

LeMonde / Afrique - Thu, 22/09/2016 - 14:33
Notre chroniqueur assista aux négociations, en mars 1997, entre rebelles toubou et Niamey pour faire libérer le Canadien Serge Larcher et son compagnon de captivité nigérien. Récit.
Categories: Afrique

Bénin: Un troisième maire destitué

La Nouvelle Tribune (Bénin) - Thu, 22/09/2016 - 14:25

Les destitutions de maire entamées récemment sous le régime de la Rupture et du Nouveau départ sont loin d’être conjuguées au passé. Après Mathias Djigla à Allada et Souradjou Karim Adamou à Parakou, un troisième maire vient d’être débarqué de son poste.


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Categories: Afrique

A BM visszautasítja a Human Rights Watch vádjait

Biztonságpiac - Thu, 22/09/2016 - 14:05
A Human Rights Watch (HRW) emberi jogi szervezet angol nyelvű jelentése szerint rossz körülmények között tartja Magyarország a menekültkérelem elbírálására várókat, volt, akit meg is vertek, a Belügyminisztérium (BM) visszautasította a vádakat.

A Human Rights Watch honlapján kedden megjelent, angol nyelvű jelentésében Lydia Gall, a szervezet kutatója azt írta: különösen kegyetlen, hogy arra kényszerítik a már Magyarországon lévő menekülteket, hogy menjenek vissza Szerbiába, ahol szörnyű körülmények között kell heteket eltölteniük.

A HRW a menedékkérőkkel készült interjúk alapján 12 erőszakos cselekedet rögzített, amelyet migránsok, menedékkérők ellen követtek el, köztük négy gyermek is volt, és az állítások szerint több esetben egyenruhások verték meg őket. A megkérdezett közül volt, aki azt mondta a HRW-nek, hogy a rendőrök nem segítettek sérült embereken, volt, aki gyerekkel volt és paprikaspray-vel fújták le. Többen arról is jelentést tettek, hogy tonfával, ököllel ütötték vagy lábbal rúgták őket, a sérülésekről fényképek is vannak.

A Belügyminisztérium MTI-hez eljuttatott reagálásában visszautasította a HRW állításait. Közlésük szerint a “bevándorláspárti szervezet” nem először támadja Magyarországot, korábban a magyar határzár építését és a kormány illegális bevándorlás elleni intézkedéseit is támadta.

Azt írták, hogy most a magyar rendőrség és a bevándorlási hivatal lejáratására tesz kísérletet a szervezet. A BM hangsúlyozta: a rendőrök és katonák törvényesen, az unió és a magyar jogszabályok szerint védik Európa schengeni határait. “A rendőrség a törvényesség, a szakszerűség és az arányosság elvének betartásával hajtja végre intézkedéseit, különös figyelemmel az illegális bevándorlókkal szembeni emberséges, emberi méltóságukat tiszteletben tartó bánásmódra” – olvasható a közleményben.

Közölték továbbá: nem zaklatják a menekülteket, a jelentős számban kísérő nélkül érkező gyermekek védelemben, egészségügyi ellátásban, oktatásban részesülnek, az arra ténylegesen rászorulókkal humánusan járnak el, a határon és az ország területén várakozók méltányos eljárásban részesülnek. A tárca ugyanakkor elvárja, hogy a migránsok betartsák az Európai Unió és Magyarország jogszabályait – írták.

Categories: Biztonságpolitika

Vente d'avions Rafale à l'Inde : Le Drian en route pour New Delhi

LeParisien / Politique - Thu, 22/09/2016 - 14:00
Jean-Yves Le Drian s'est envolé de Paris pour New Delhi,ce jeudi à la mi-journée, au lendemain du feu vert du gouvernement indien à l'achat de 36 Rafale. Le ministre français de la Défense est accompagné...
Categories: France

Elsőként teszteli a Wizz Air a legújabb Airbus A321neo-t

JetFly - Thu, 22/09/2016 - 13:59
Bemutatták az új Airbus A321neo repülőgépet a Liszt Ferenc Nemzetközi Repülőtéren.
Categories: Biztonságpolitika

Kenyan craftsman turns waste whisky bottles into glasses

BBC Africa - Thu, 22/09/2016 - 13:53
Kenyan Harrison Menza takes things like discarded whisky bottles and coconut shells and makes items that can be used again and again.
Categories: Africa

Assemblée nationale : le projet de budget exercice 2017 en examen ce jour

La Nouvelle Tribune (Bénin) - Thu, 22/09/2016 - 13:49

Les députés membres de la 7ème législature se retrouvent en plénière à l’hémicycle ce jeudi 22 septembre 2016. Lors de cette session, les représentants du peuple au Palais des gouverneurs examineront, entre autres, le projet de budget de l’institution, gestion 2017.


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Categories: Afrique

EU: change or die

FT / Brussels Blog - Thu, 22/09/2016 - 13:48

It is one of the bleakest assessments yet of the euro’s survival prospects, and it comes from some of its most committed supporters. An international group or senior policymakers including former WTO chief Pascal Lamy and former ECB board member Jörg Asmussen yesterday published a plan to “repair and prepare” the single currency. Their message? Change, or die:

“Europe will again be hit by a new economic crisis. We do not know whether this will be in six weeks, six months or six years. But in its current set-up, the euro is unlikely to survive.”

Their plan, which can be read here, includes a “first aid kit” of short-term measures to deal with urgent issues such as the lack of pooled firepower to deal with a banking crisis, as well as more long term projects, including the creation of a European Monetary Fund.

In short, exactly the kind of forward thinking agenda that the EU’s leaders have been at pains to avoid talking about in recent months.

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Categories: European Union

Bankrablás Újvidéken

VajdaságMA (Szerbia/Vajdaság) - Thu, 22/09/2016 - 13:46
Újvidéken délelőtt kirabolták az Erste Bank egyik fiókintézetét.

MoDem - MoDem : deux ex-EELV rejoignent François Bayrou

Le Point / France - Thu, 22/09/2016 - 13:45
Avec le ralliement de Laurence Vichnievsky et de Leila Aïchi, François Bayrou entend montrer que le parti centriste est rassembleur.
Categories: France

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