Une star de la pop music marocaine, Saad Lamjarred a été interpellée mercredi matin à son hôtel parisien après qu’une jeune femme a déposé plainte pour agression sexuelle et violences volontaires, a-t-on appris jeudi de source policière, confirmant des informations de presse.
Une jeune femme âgée de 20 ans de nationalité française, en « villégiature à Paris », affirme avoir été agressée mercredi matin dans la chambre d’hôtel du chanteur de 31 ans, dans le centre de Paris.
La jeune femme a porté plainte. Saad Lamjarred a été interpellé mercredi matin et placé en garde à vue. Celle-ci a été prolongée et était encore en cours jeudi après-midi.
Le chanteur a déjà été mis en cause cette année aux Etats-Unis dans une affaire de viol datant de 2010, dans laquelle il a nié toute implication.
Il devait se produire samedi au Palais des congrès de Paris.
Né en 1985, Saad Lamjarred est originaire de Rabat, où il a grandi dans une famille d’artistes renommés. Il a commencé à se faire connaître dans le monde arabe en 2007 en participant à l’émission libanaise Super Star, mais n’est devenu une célébrité qu’à partir de 2013 grâce à son titre « Mal Hbibi Malou » (Qu’arrive-t-il à ma bien-aimée ?).
En septembre, son nouveau clip « Ghaltana » (Tu as tort) faisait un carton sur internet avec plus de 16 millions de vues en une semaine. Son titre phare, « Lm3allem » (C’est toi le boss), a été visionné 382 millions de fois à ce jour, alors que l’ensemble de ses vidéos comptabilise près de 613 millions de vues cumulées sur sa chaine YouTube, qui compte deux millions d’abonnés.
François Ernenwein est rédacteur en chef du quotidien La Croix. Il répond à nos questions à l’occasion de sa participation aux Géopolitiques de Nantes organisées les 30 septembre et 1er octobre 2016 par l’IRIS et le lieu unique avec le soutien de Nantes métropole :
– Quel bilan dressez-vous de la politique étrangère de François Hollande ?
– Quels sont les succès et les échecs de la diplomatie Hollande ?
– Quels défis attendent le futur président ?
La Tunisie a démenti jeudi avoir permis à Washington d'utiliser son territoire pour déployer des drones en Libye, en réaction à des informations de presse aux États-Unis.
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