Un homme a été abattu jeudi après-midi par la police kényane à l’extérieur de l’ambassade des Etats-Unis à Nairobi, a-t-on appris de source policière.
« L’homme a été abattu après une incident par des policiers chargés de la sécurité de l’ambassade », a indiqué à l’AFP une source policière.
Une photo circulant sur les réseaux sociaux montre le corps de la victime, un jeune homme, étendu au sol, non loin de l’entrée de la section des visas de l’ambassade des Etats-Unis, dans le nord de Nairobi.
Les maîtres du commerce mondial ne discriminent pas les dictatures. Pour compenser les conséquences de l'accord de libre-échange conclu en 1995 avec l'Europe, le président Ben Ali avait lancé un programme de modernisation des entreprises. Avec des résultats mitigés…
« Nous allons négocier et signer un accord d'association avec l'Union européenne pour faire de la Tunisie un dragon économique du sud de la Méditerranée ». En 1994, quelques semaines après sa réélection (avec 99,91 % des voix), le président Zine El-Abidine Ben Ali confirme aux milieux d'affaires locaux qu'il maintient sa décision de faire adhérer son pays à la zone de libre-échange que Bruxelles propose aux pays tiers méditerranéens (PTM). Au sein de l'Union tunisienne de l'industrie, du commerce et de l'artisanat (Utica), le patronat privé, l'inquiétude est vite de mise. Malgré sa totale inféodation au régime autoritaire, l'organisation fait entendre ses critiques. La perspective d'une baisse des tarifs douaniers — et donc d'un déferlement des produits européens sur le marché tunisien — affole un grand nombre de PME. Habitués jusque-là à prospérer grâce à un important dispositif protectionniste mis en place dès les premières années de l'indépendance, les propriétaires de ces petites structures — le plus souvent familiales — ne se font aucune illusion. Ils devinent que la concurrence en provenance du Nord balaiera sans peine leurs entreprises.
A chacune de ses sorties publiques, M. Hédi Jilani, proche du président Ben Ali et à la tête de l'Utica, est discrètement encouragé à faire remonter les doléances des patrons. « Je vous en prie, dites bien en haut lieu qu'on a encore besoin de temps pour nous préparer à ce choc qui vient », le supplie ainsi le propriétaire d'une entreprise de textile lors d'une conférence à Tunis en janvier 1995. Le président reste pourtant inflexible. En mars 1995, Tunis signe l'accord d'association avec l'Union européenne qui prévoit, entre autres, la mise en place d'une zone de libre-échange avec un démantèlement progressif des barrières douanières. De plus en plus critiqué par les organisations de défense des droits humains pour son autoritarisme et ses méthodes musclées à l'égard de l'opposition, notamment islamiste, le régime sait qu'un tel rapprochement renforce sa stature internationale et lui évitera les remontrances des grandes puissances. De Paris à Bruxelles en passant par Barcelone ou Milan, colloques et réunions internationales vantent donc l'ouverture du « modèle tunisien » sans jamais faire mention du manque de liberté et de la persécution des opposants. Dans un discours parfaitement rodé, Mohamed Ghannouchi, ministre de la coopération internationale et de l'investissement extérieur, égrène chiffres et indicateurs pour convaincre que son pays fait désormais partie du club des économies émergentes. Et, pour montrer sa détermination, le Palais de Carthage va jusqu'à ordonner au gouvernement d'enclencher le processus de baisse des tarifs douaniers, alors même que la majorité des pays européens n'a pas encore ratifié l'accord d'association.
Dans le même temps, le pouvoir trouve le moyen de calmer les inquiétudes des patrons. Avec l'appui de la Commission de Bruxelles et de plusieurs cabinets de conseil occidentaux, il leur propose un accompagnement pour faire face aux conséquences du libre-échange. Un Programme de « mise à niveau » (PMN) est lancé pour permettre l'adaptation de plusieurs secteurs d'activité. Les entreprises sont encouragées à faire acte de candidature auprès du PMN pour obtenir des financements destinés à établir un « diagnostic stratégique » puis, éventuellement, d'autres crédits pour moderniser leurs équipements et former leur personnel. Très vite, l'expression « mise à niveau » fleurit à toutes les sauces, y compris dans le secteur culturel, où il n'est pas rare d'entendre que la littérature ou la poésie tunisiennes ont besoin d'une mise à niveau… Mais les montants annoncés ne sont guère impressionnants. Moins de 200 millions d'euros seront effectivement mobilisés par l'Europe entre 1995 et 1999. En privé, les dirigeants de l'Utica n'ont pas de mots assez durs pour critiquer l'impréparation et même l'improvisation qui caractérise le PMN.
« Au début, nous divisions les entreprises tunisiennes en trois parts égales, se souvient l'un des anciens responsables du programme. Il y avait celles qui n'avaient pas besoin de mise à niveau car exportatrices et donc déjà insérées dans la concurrence mondiale. Il y avait les autres qui étaient susceptibles d'encaisser le choc de l'ouverture grâce à la mise à niveau et, enfin, celles qui devaient fatalement disparaître car trop archaïques. En réalité, cette dernière catégorie a été la plus importante, car les importations ont déferlé sur le marché et causé de grands dommages à notre secteur privé. » Très vite, les patrons tunisiens découvrent que la mise à niveau est aussi l'occasion pour Bruxelles —qui finance en grande partie le programme — de faire travailler le secteur européen du conseil en management. « On voyait arriver des gens qui n'avaient aucune connaissance du marché tunisien, souvent des consultants juniors. Ils faisaient des recommandations banales et repartaient aussitôt sans transférer le moindre savoir-faire », se souvient M. Hasni Labyadh, ancien directeur financier d'une entreprise privée. Par la suite, la bureaucratie et la vitesse de l'ouverture font le reste.
Une dépendance accrue vis-à-vis de l'Europe.Si aucune statistique officielle n'est disponible, de nombreux économistes tunisiens estiment toutefois que l'accord de libre-échange a provoqué la disparition de près de 5 000 entreprises et détruit au moins 80 000 emplois déclarés (un chiffre important dans un pays de 10 millions d'habitants). S'il a bénéficié à 6 000 autres et permis l'émergence de quelques « champions » locaux dans les secteurs du textile, de l'automobile et même de l'aéronautique, le PMN est loin d'avoir tenu ses promesses. Quant à l'accord lui-même, il a eu pour première conséquence de renforcer la dépendance de la Tunisie à l'égard de l'Europe, cette dernière représentant 70 % de ses importations et, plus important encore, 80 % de ses exportations. Bien qu'apparue aux premiers temps de la révolution, la perspective d'une révision ou d'une négociation de cet accord n'est plus de mise à Tunis. Les nouvelles autorités estiment qu'elles ne sont pas en position d'entamer un bras de fer avec une Union européenne dont elles espèrent de substantielles aides financières.
Der Europäische Rat behandelte auf seiner Tagung vergangene Woche drei Hauptthemen: Migration, Handel und Russland einschließlich der Rolle Russlands in Syrien.
Zur Migration. Zum ersten Mal seit mehr als einem Jahr war die Tagung des Europäischen Rates keine Krisentagung. Die Flüchtlingsströme in Richtung Griechische Inseln sind gegenüber dem gleichen Zeitpunkt vor einem Jahr um 98 % zurückgegangen. Der irreguläre Zustrom über die zentrale Mittelmeerroute, also aus Afrika nach Italien, ist jedoch nach wie vor viel zu hoch; hier hat sich in den letzten beiden Jahren nichts geändert. Daher haben wir in unseren Gesprächen den Schwerpunkt vor allem auf die Zusammenarbeit mit Afrika gesetzt. Die Staats- und Regierungschefs erhielten eine erste Bewertung durch die Hohe Vertreterin über die Bemühungen, die Migrationsströme im zentralen Mittelmeer in Partnerschaft mit den entscheidenden Ländern zu begrenzen. Mit Senegal, Mali, Niger, Nigeria und Äthiopien wurde mit den sogenannten "Migrationspakten" ein gutes Fundament gelegt. Die Staats- und Regierungschefs werden die ersten Ergebnisse im Hinblick auf unser Ziel, die illegale Migration nach Italien und in das restliche Europa zu verhindern und eine effektive Rückführung von irregulären Migranten sicherzustellen, im Dezember beurteilen.
Sie erörterten auch die Rückkehr zu den Schengen-Regeln. Ziel ist es weiterhin, die befristeten Grenzkontrollen im Laufe der Zeit aufzuheben. Dies muss allerdings mit einer weiteren Verstärkung der Außengrenzen einhergehen. Die Kommission wird weiterhin die Lage beurteilen und auf dieser Grundlage ihre Empfehlungen unterbreiten.
Die Frage einer Reform des Gemeinsamen Europäischen Asylsystems wurde ebenfalls erörtert, so auch die Frage, wie die Grundsätze Solidarität und Verantwortung künftig gehandhabt werden sollen. Wir haben vereinbart, konkrete Vorschläge des slowakischen Ratsvorsitzes zu diesem sensiblen Thema im Dezember zu erörtern.
Wir hatten auch eine Aussprache über Russland. Die Staats- und Regierungschefs teilten ihre Erfahrungen aus verschiedenen Ländern, die von Desinformationskampagnen, Cyberangriffen, der Einmischung in politische Prozesse in der EU und in anderen Teilen der Welt über Luftraumverletzungen bis hin zur Anfachung von ethnischen Konflikten in der Ukraine, auf dem Balkan und in entfernter liegenden Gebieten reichten. Auch die Entwicklungen bei der MH17-Untersuchung werfen besorgniserregende Fragen auf. Insgesamt nahmen wir eine nüchterne, illusionsfreie Bewertung dieser Realität vor. Eine Zunahme der Spannungen mit Russland ist nicht unser Ziel. Wir reagieren lediglich auf die Schritte, die Russland mit beträchtlicher Energie in dem Bestreben unternimmt, die EU zu schwächen und zu spalten. Unser langfristiges Ziel bleibt, einen Modus Vivendi zu finden. Das bedeutet, dass wir an unseren Werten und Interessen festhalten, aber auch die Tür für den Dialog offenhalten. Wir waren uns alle einig, dass unsere größte Stärke im Kontakt mit Russland die europäische Einheit ist. Und deshalb werden wir zusammenstehen.
Wir sprachen auch über Syrien. Wir verurteilen die Angriffe des syrischen Regimes und seiner Verbündeten, insbesondere Russlands, auf die Zivilbevölkerung in Aleppo. Die EU fordert die Beendigung der Gräueltaten und die sofortige Einstellung der Feindseligkeiten. Wir haben die Hohe Vertreterin ersucht, weitere diplomatische und humanitäre Bemühungen zu unternehmen. Wenn diese Gräueltaten nicht aufhören, werden alle verfügbaren Optionen geprüft. Das syrische Volk braucht eine sofortige und dauerhafte Waffenruhe und die erneute Öffnung von Korridoren für die humanitäre Hilfe.
Als letztes Thema erörterten wir die Handelspolitik. Unsere Bürger fragen sich zunehmend, ob die Handelsabkommen, die wir aushandeln, wirklich in ihrem besten Interesse sind. Und ich befürchte, dass wir in Zukunft keine Freihandelsabkommen mehr aushandeln können, wenn wir nicht unter Beweis stellen, dass wir den Schutz der europäischen Verbraucher, Arbeitnehmer und Unternehmen sehr ernst nehmen. Während unserer Aussprache zogen wir eine deutliche rote Linie zwischen Schutz und Protektionismus. In diesem Sinne haben die Staats- und Regierungschefs zugesagt, dass sie rasch eine Einigung über die Modernisierung aller handelspolitischen Schutzinstrumente der EU erreichen wollen. Ich weiß, dass dieses Parlament bereit ist, dies zu unterstützen. Wir haben unsere Handelsminister beauftragt, einen Ausweg aus der festgefahrenen Situation zu finden.
In Bezug auf CETA ist die EU immer noch nicht bereit, das Abkommen mit Kanada zu unterzeichnen. Aber die Gespräche in Belgien gehen auch an diesem Morgen weiter. Ich danke allen, die dazu beigetragen haben, diese Gespräche zu ermöglichen; besonders Martin Schulz und Jean-Claude Juncker: Ihr habt wirkliche Führungsstärke und Verantwortung gezeigt. Vielen Dank für Eure Unterstützung. Letztendlich können jedoch nur die Belgier über den Standpunkt Belgiens entscheiden. Ich bin beeindruckt, wie entschlossen und engagiert sie sich in den letzten Stunden gezeigt haben. Ich hoffe nach wie vor, dass Belgien sich erneut als Meister der Konsensfindung erweist und wir bald in der Lage sein werden, dieses Abkommen abzuschließen. An dieser Stelle muss ich auch der kanadischen Seite für ihre Zusammenarbeit und Ausdauer danken. Wenn wir es nicht schaffen, beim Freihandel mit einem Land wie Kanada – dem europäischsten Land außerhalb Europas und einem engen Freund und Verbündeten – zu überzeugen, dann hat das offensichtliche Folgen für Europas Stellung in der Welt. Aber so weit sind wir noch nicht. Während wir hier sprechen, könnte das Gipfeltreffen morgen immer noch stattfinden.
Bezüglich des Assoziierungsabkommens und des vertieften und umfassenden Freihandelsabkommens mit der Ukraine hat der niederländische Ministerpräsident den Europäischen Rat über die Schwierigkeiten bei der Ratifizierung des Abkommens unterrichtet. Ministerpräsident Rutte sagte zu, die nächsten Tage zu nutzen, um mit dem niederländischen Parlament eine Lösung zur Behebung dieser Schwierigkeiten zu finden. Unabhängig vom Ausgang der Debatte in den Niederlanden, ist es offensichtlich, dass wir einen Weg nach vorne finden müssen, der sowohl für die anderen 27 Mitgliedstaaten als auch für die Ukraine annehmbar ist.
Lassen Sie mich noch erwähnen, dass wir uns gefreut haben, Premierministerin May auf der Tagung des Europäischen Rates willkommen zu heißen. Sie bestätigte, dass das Vereinigte Königreich Artikel 50 des Vertrags von Lissabon vor Ende März des nächsten Jahres geltend machen wird. Entsprechend unserer Politik, dass es keine Verhandlungen ohne Austrittsantrag gibt, haben wir den Brexit nicht erörtert. Angesichts der Bestätigung von Premierministerin May, dass Artikel 50 in Anspruch genommen wird, möchte ich an den Standpunkt der EU-27 vom 29. Juni erinnern. Wir wünschen möglichst enge Beziehungen zum Vereinigten Königreich. Es muss ein ausgewogenes Verhältnis zwischen Rechten und Pflichten geben. Das Vereinigte Königreich kann weiterhin Zugang zum Binnenmarkt haben; dies bedeutet aber auch, dass es alle vier Freiheiten anerkennt.
Lassen Sie mich abschließend das Gipfeltreffen der 27 Staats- und Regierungschefs der EU, das im September in Bratislava stattfand, in Erinnerung rufen. Wir kamen informell zusammen, um die Zukunft Europas im Lichte des Brexit-Referendums im Vereinigten Königreich zu erörtern. Wie auch dem Bratislava-Fahrplan zu entnehmen ist, wurde auf dem Gipfeltreffen eine Reihe von Maßnahmen zur Bewältigung der größten Anliegen der Europäer beschlossen: Migration, sowohl innere als auch äußere Sicherheit und wirtschaftliche Sorgen. Jetzt ist es an den Mitgliedstaaten und den EU-Institutionen den Fahrplan umzusetzen; und wir haben auch bereits damit begonnen. Die EU hat am 5. Oktober das Klimaschutzübereinkommen von Paris ratifiziert. Am Tag danach wurde in Rekordzeit die Europäische Grenz- und Küstenwache ins Leben gerufen. In diesem Zusammenhang möchte ich dem Europäischen Parlament für seine ausgezeichnete und rasche Zusammenarbeit danken. Außerdem dankte vergangene Woche der bulgarische Ministerpräsident Borisov seinen Kollegen für die in Bratislava beschlossene Unterstützung beim Schutz der Grenze zur Türkei. Ich danke Ihnen.
Un homme a été abattu jeudi après-midi par la police kényane à l’extérieur de l’ambassade des Etats-Unis à Nairobi, a-t-on appris de source policière.
« L’homme a été abattu après une incident par des policiers chargés de la sécurité de l’ambassade », a indiqué à l’AFP une source policière.
Une photo circulant sur les réseaux sociaux montre le corps de la victime, un jeune homme, étendu au sol, non loin de l’entrée de la section des visas de l’ambassade des Etats-Unis, dans le nord de Nairobi.
NATO defense ministers gathered in Brussels to follow up on the decisions taken at the Warsaw Summit in July. The core issue will be again Russia and its assertive military moves in Europe and beyond. In light of the continued meddling of Russia in the Eastern Ukrainian conflict, the deployment of Iskander missiles to Kalinigrad, the provocative military maneuvers from the Baltics to the English Channel and its heavy military engagement in Syria, NATO-Russia relations are not about to improve drastically any time soon.
The United States has taken the lead in the formation of a response by the alliance by providing the core strength of four battle groups to be deployed in the Baltics and in Poland. Germany, Britain and Canada have already made the commitment to lead a battlegroup as a framework nation, and it is expected that France, Denmark, Italy and other allies will offer military contributions at the current ministerial Summit. Strengthening NATO’s readiness and demonstrating solidarity is of course vital for the Alliance, however, in today’s security environment not enough.
From Russia’s hybrid warfare to increasing cybersecurity challenges to widespread transnational threats and challenges – such as illegal migration - in the Mediterranean security challenges outside the realm of traditional defense matters are rising. The lines between military and other types of security challenges are becoming ever more blurred, hence battling them requires comprehensive responses, including building partnerships with organizations better equipped to deal with the challenges.
Of course in a way this is phenomena is not new, new security challenges were already emerging in the post cold war era, and NATO took notice, building partnerships with multiple stakeholders, from individual countries to international organizations, including the EU. The partnership with ‘the other institution’ in town has never been smooth, with well known obstacles such as US and British objections to an independent EU military structure or the Cyprus issue standing in the way of a strategic cooperation.
However, above all the increasing pressures in the Mediterranean emanating from the MENA region are forcing the EU and NATO closer together. In a joint session of NATO ministers with EU foreign policy chief Frederica Morgerini and other non-NATO member EU defense ministers a decision was made to continue NATO’s maritime mission in the East Aegean tackling human trafficking and to launch a similar mission, Operation Sea Guardian in the Central Mediterranean to support EU’s Operation Sophia. Deepening cooperation on countering hybrid threats, cyber defense and exercises were also on the table.
These tactical steps are to be warmly welcome by both organizations and each member state. The scope and the nature of the challenges suggest that only joint and coordinated efforts will deliver long term solutions or at least mitigate the negative effects of the crises in Europe’s vicinity. However, without proper harmonization of objectives and efforts at the strategic political level, they will remain ineffective.
Both institutions have to recognize, that non of the major security challenges could be dealt with effectively without the other organization, including the challenge posed by Russia. The latter could achieve some success in recent years because of its swift and decisive use of multiple elements of power and statecraft. In the end both NATO and the EU are multinational frameworks to better coordinate and allocate resources for the common good of its members and in order to project power. NATO’s military power and the EU’s political, economic and financial power should complement and mutually reinforce the effectiveness of the other.
Political leaders on both sides of the Atlantic should start by avoiding to deepen the challenges ahead. Here are some suggestions:
Demonstrating solidarity and resolve towards Russia is necessary, but keeping channels of communications towards Moscow open is vital. It takes two to tango, and one cannot push all the blame on Russia for the current hostile relationship.
Align rhetoric and stated political objectives with realistic goals and levels of commitment in the Middle East. It is tough to confront with it and partly against our sense of justice, but fostering stability should be the top priority in the current environment. This means above all helping the fight against terrorist groups by assisting local partners and allies and supporting a political resolution of the war in Syria.
As for the refugee and migration crisis, the priority should be saving lives, that is to stop the illegal flow of people through the Mediterranean. The way forward should be to help to establish stability in Libya and in neighboring countries, strengthen maritime and land border protection and discourage people from trying to reach Europe illegally. Yes, European states should help people in imminent danger, help provide their basic needs, help protect them, but offering them the prospect of ‘a la carte’ the social benefits of Europe and without limits in terms of numbers is a completely different story.
Language Undefined Tag: NATOEURussiaMiddle EastPaul Magnette, le ministre président de la région wallone, répond en exclusivité aux questions de Libération. Ce socialiste, ancien professeur de sciences politiques et, à ce titre, l’un des meilleurs spécialistes de l’Union européenne, estime ne pas sortir de ses compétences en s’opposant à la signature du CETA, l’accord de libre échange avec le Canada.
La Wallonie est-elle le vilain petit canard de l’Union européenne ?
Parce que nous faisons notre devoir démocratique ? Soyons sérieux ! Le parlement et le gouvernement wallon ont simplement analysé, comme ils en ont l’obligation constitutionnelle, puisqu’ils ont les mêmes droits qu’un parlement national, le CETA, ce qui nous a conduits à observer qu’un certain nombre de ses dispositions nous posent problème et que nous ne pouvons l’accepter en l’état. Nous n’avons aucune volonté de bloquer l’Union : nous sommes désolés de constater que nos réserves aient conduit à une petite crise institutionnelle.
La Commission semble avoir pris tardivement la mesure du problème wallon…
Nous avons commencé à examiner le traité avant même qu’il ne soit définitif : j’ai déposé moi-même à la Commission la résolution votée par le Parlement wallon qui énumérait nos réserves le 2 octobre 2015. Malheureusement, elle n’a commencé à discuter avec nous que le 4 octobre 2016. Et maintenant, on nous presse, on nous dit que le temps de la discussion est passé…
Les défenseurs du CETA affirment qu’il est peu démocratique qu’une région représentant moins de 1 % de la population européenne ait un tel droit de vie ou de mort sur un traité.
C’est un raisonnement curieux quand on sait que ce qui fonde l’Union, c’est le respect des États, quelle que soit leur taille et le refus de tout hégémonisme ou domination des grands. Je rappelle au passage qu’il y a sept États membres qui sont plus petits que la Wallonie : eux aussi n’auraient qu’un droit, celui de se taire ? Il faut être clair : certaines parties de cet accord relèvent des compétences nationales et régionales et donc le contrôle parlementaire doit s’exercer là où sont les compétences. C’est la logique normale dans tout système fédéral.
Comment sortir de ce blocage si ce n’est pas une réouverture du CETA ?
On préfèrerait le renégocier sur le fond, c’est clair. Mais, à défaut, nous sommes prêts à accepter un instrument interprétatif juridiquement contraignant, ce qui reviendrait de facto à amender le CETA. La difficulté de ce type de traité est que, pour composer avec les divergences politiques entre les 28 États membres et entre les 28 États membres et le pays tiers avec lequel on négocie, on écrit des phrases ambigües à charge pour le juge de les interpréter. C’est cela qui ne nous va pas : si on laisse des zones grises ouvertes à une interprétation laissée à un tribunal arbitral qui ne présente pas toutes les garanties d’indépendance juridictionnelle, c’est la porte ouverte à des dérives qui pourraient être préjudiciables à notre modèle de société, à l’action de l’État. Donc il faut clarifier ces zones grises, par exemple, en disant clairement ce que veut dire un service public, un service de santé, ou encore qu’une entreprise ne pourra jamais demander une indemnisation lorsqu’un pays modifie sa législation environnementale. Par ailleurs, le tribunal arbitral prévu par le CETA et qui sera chargé de cette interprétation ne présente pas toutes les garanties d’indépendance offertes par les ordres juridictionnels européens et canadiens. Or, c’est par ce biais que les multinationales pourraient contraindre l’action publique des États. Je préfèrerais franchement que cette instance disparaisse purement et simplement et que l’on se repose sur nos tribunaux. À tout le moins, si on veut un tribunal arbitral, il doit donner des garanties équivalentes à celles existantes dans les ordres internes.
Les Canadiens sont-ils prêts à revoir ce mécanisme?
Le Canada est extrêmement vigilant sur cet aspect, car ils ont été les premières victimes de l’ALENA qui instaurait un tel mécanisme. Il est donc d’accord avec nous. En réalité, c’est un débat purement interne à l’Union.
Avez-vous reçu des pressions d’autres pays afin de vous faire plier ?
Disons que les pressions, plus ou moins amicales, viennent de plusieurs directions. Je n’en dirais pas plus.
La Wallonie est-elle isolée dans cette affaire ?
Les questions que nous posons sont très largement partagées, en particulier sur l’instance arbitrale. Soyons clairs : je ne suis pas un héraut de l’altermondialisme, je veux un accord. La mondialisation a lieu et la question est de savoir avec quel type de règles elle se fera. Car il ne faut pas s’y tromper : il ne s’agit pas seulement du CETA, mais de fixer les standards européens pour toutes les futures négociations avec les pays qui ont le même niveau de développement que nous, et notamment avec les États-Unis. L’enjeu est de déterminer comment on va façonner la mondialisation au cours des 20 ou 30 prochaines années.
Si le PS avait été au gouvernement fédéral belge, aurait-il eu la même attitude ?
On a commencé cette discussion il y a pratiquement deux ans au parlement wallon. Il est donc un peu facile d’en faire un jeu électoraliste… Certains ne semblent pas comprendre que l’on puisse se battre pour des principes. Un ami m’a rappelé un article que j’ai écrit il y a 15 ans, lorsque j’étais professeur de sciences politique, dans lequel je dis exactement ce que je dis aujourd’hui. Il faut accepter que de temps en temps les femmes et les hommes politiques aient des principes et des convictions et se battent pour eux. Mais je ne me fais pas d’illusions : beaucoup de ceux qui me soutiennent aujourd’hui me critiqueront si on aboutit à un compromis. Croire que c’est un calcul électoraliste, c’est très mal comprendre ce que nous sommes en train d’essayer de faire.
N.B.: version longue de l’ITW publiée dans Libération du 25 octobre.
Londres (correspondance) – Multipliant les rires nerveux et autres signes d’inconfort, Péter Szijjártó est apparu sur la défensive tout au long de l’interview menée avec poigne par l’animateur britannique Stephen Sackur. Le ministre hongrois a ainsi préféré s’en tenir à la stricte langue de bois gouvernementale concernant les accusations de violences policières à l’encontre des réfugiés, révélées par l’ONG Human Rights Watch. Et a accusé systématiquement de menteurs toutes les personnes se permettant de remettre en cause la version officielle définie par le gouvernement.
Concernant le référendum du 8 octobre, Péter Szijjártó a défendu bec et ongle son interprétation toute particulière des résultats, tant pis si celle-ci faisait l’impasse sur l’invalidation du scrutin, pourtant indiscutable. Alors que Stephen Sackur évoquait à ce propos un «échec humiliant» pour Viktor Orbán, au regard notamment des moyens employés par le gouvernement en faveur du «non», Péter Szijjártó, visiblement gêné, a préféré les balayer d’un revers de la main, en les mettant sur le compte d’allégations «ridicules».
Péter Szijjártó a également botté en touche sur la question du programme d’obligations résidentielles, le marché hongrois des visas Schengen qui permet aux étrangers – souvent des Chinois, Russes, Arabes fortunés, capables de débourser 300 000 € – d’obtenir un droit de séjour en Europe sans y vivre. Accusé par Stephen Sackur de ne vouloir tirer de l’Union européenne que ses avantages, sans assumer en retour les mécanismes de solidarité comme le système des quotas de réfugiés, le ministre hongrois a estimé que la Hongrie avait contribué à sa manière à la défense des pays européens, à l’aide de barrières et de barbelés. Il n’a en revanche pas su quoi répondre aux critiques de l’animateur de la BBC, dénonçant le «challenge culturel» à deux vitesses brandi par Viktor Orbán pour justifier le refus d’accueillir des réfugiés musulmans, alors que de riches Iraniens avaient pu obtenir un visa Schengen grâce à l’administration hongroise.
Au sujet du Brexit, Péter Szijjártó a cherché à (ré)affirmer les liens qui unissaient la Hongrie et le Royaume-Uni, tout en «regrettant mais respectant» la décision du peuple britannique. Tandis que François Hollande et Angela Merkel laissent entendre qu’aucun cadeau ne sera fait au Royaume-Uni lors des négociations de sa sortie de l’Union Européenne, le ministre hongrois a rappelé que son pays comptait bien se positionner comme un allié de Londres. Pour Budapest, l’enjeu est surtout de sauver les meubles en obtenant des garanties sur l’avenir des Hongrois résidant en Grande-Bretagne, mais aussi des entreprises britanniques en Hongrie, lesquelles emploient plus de 48 000 personnes.
Alliée de Londres dans le post-Brexit, engagée dans une longue controverse avec la Commission européenne sur le sens de la solidarité entre États membres, «la place de la Hongrie est au sein de l’Union Européenne» a conclu Péter Szijjártó. Que ceux qui en doutaient se le tiennent pour dit.
En cette fin de siècle, la dynamique dominante est la mondialisation de l'économie. Elle se fonde sur l'idéologie de la pensée unique, laquelle a décrété qu'une seule politique économique est désormais possible, et que seuls les critères du néolibéralisme et du marché (compétitivité, productivité, libre-échange, rentabilité, etc.) permettent à une société de survivre dans une planète devenue une jungle concurrentielle. Sur ce noyau dur de l'idéologie contemporaine viennent se greffer de nouvelles mythologies, élaborées par les grands médias de masse, qui tentent de faire accepter aux citoyens le nouvel état du monde.
La marchandisation généralisée des mots et des choses, de la nature et de la culture, des corps et des esprits, qui est la caractéristique centrale de notre époque, place la violence (symbolique, politique et sociologique) au cœur du nouveau dispositif idéologique. Celui-ci, plus que jamais, repose sur la puissance des médias de masse, en pleine expansion à cause de l'explosion des nouvelles technologies. Au spectacle de la violence et à ses effets mimétiques s'ajoutent de plus en plus, de manière très insidieuse, des formes neuves de censure et d'intimidation qui mutilent la raison et oblitèrent l'esprit.
Alors que triomphent, apparemment, la démocratie et la liberté dans une planète partiellement débarrassée des régimes autoritaires, reviennent en force paradoxalement les censures, les colonisations culturelles et, sous des aspects fort divers, les manipulations des esprits. De nouveaux et séduisants « opiums des masses » proposent une sorte de « meilleur des mondes », distrayant les citoyens et les détournant de l'action civique et revendicative.
Dans ce nouvel âge de l'aliénation, les technologies de la communication jouent, plus que jamais, un rôle central. A l'heure des messages planétaires, il faut se demander si, en Europe, une certaine culture n'est pas menacée de mort (1). Car la nouvelle guerre du multimédia pourrait entraîner une aussi grave défaite pour l'Europe, dans sa confrontation avec les États-Unis, que celles subies naguère dans les domaines du cinéma et de la télévision. Et qui ont favorisé l'actuelle colonisation culturelle.
Dans l'Europe des Quinze, de 1985 à 1994, le nombre d'entrées dans les cinémas, pour voir des films américains, est passé de 400 à 520 millions, faisant progresser leur part de marché de 56 % à 76 %. Le solde commercial de l'audiovisuel européen face aux États-Unis s'est fortement dégradé en dix ans : de 0,5 milliard de dollars en 1985 les pertes sont passées à 4 milliards de dollars en 1995… Ce qui a entraîné, sur l'ensemble de l'Union, la disparition de quelque 250 000 emplois...
La situation de la télévision est semblable. Sur les quelque 50 chaînes européennes à diffusion nationale « en clair » - ce qui exclut les réseaux câblés et les chaînes cryptées -, les films américains représentaient, en 1993, 53 % de la programmation.
Les industries de l'audiovisuel (télévision, vidéo, dessins animés, jeux électroniques) et du cinéma constituent, pour les Etats-Unis, le premier poste d'exportation et le premier pourvoyeur de devises, devant l'industrie aérospatiale. C'est pourquoi tout ce qui freine l'expansion des produits audiovisuels américains est si âprement combattu par le département du commerce de Washington.
Cette agressivité pourrait s'accentuer car le paysage audiovisuel mondial est en passe de connaître de nouveaux bouleversements provoqués par l'extension rapide de la télévision numérique par satellite, qui, sur un même canal, permet de diffuser jusqu'à dix fois plus de programmes. En France, trois « bouquets numériques » (CanalSatellite, TPS et AB Sat) sont désormais proposés avec une offre globale de presque cent chaînes. Aux États-Unis, Direc-TV et USSB commercialisent deux bouquets respectivement composés de 175 et de 25 chaînes.
Ces perspectives avivent une concurrence féroce entre les Etats-Unis, l'Europe et l'Asie. Philips et Sony viennent d'annoncer le lancement du disque vidéo numérique (digital video disc, DVD), qui pourrait révolutionner la hi-fi familiale en remplaçant le disque compact, le cédérom, et la cassette vidéo, et en offrant des capacités de stockage d'informations inégalées en qualité numérique.
Les grands groupes de communication procèdent à un double mouvement de concentration : d'une part pour le contrôle des sources (fiction, information, publicité), et, d'autre part pour le contrôle des trois paliers de l'audiovisuel (production, droits sur les programmes, canaux de diffusion). Ils aspirent à devenir des groupes à vocation hégémonique. Ainsi, le droit des citoyens au pluralisme de l'information - un des fondements de la démocratie - se trouve amoindri. On peut se demander également si une nation qui ne maîtrise plus la production de ses images ni le contrôle des nouvelles technologies est encore une nation souveraine.
Déjà peu fiable, le système d'information se trouve confronté à cette révolution radicale que certains comparent à l'invention de l'imprimerie par Gutenberg. En assemblant les talents multiples de médias dispersés (auxquels s'ajoutent la télécopie, la télématique et la monétique), le multimédia marque une rupture et pourrait bouleverser tout le champ de la communication. Ainsi que la donne économique.
Certains rêvent d'un marché parfait de l'information et de la communication, totalement intégré grâce aux réseaux électroniques et satellitaires, sans frontières, fonctionnant en temps réel et en permanence ; ils l'imaginent construit sur le modèle du marché des capitaux et des flux financiers…
De nouveaux objets culturels (cédérom, logiciels éducatifs, micro-ordinateurs personnels, lecteurs de vidéodisques, téléordinateurs, terminaux multimédias, consultation en ligne sur Internet de sites culturels, etc.) et de nouveaux services (exploration de banques de données au bureau ou à domicile, télétravail, Internet) naissent du mariage de l'informatique, de la télévision, du téléphone et du satellite.
Tout cela modifie la définition même de la « liberté d'expression ». La liberté d'expression des citoyens est directement mise en concurrence avec la « liberté d'expression commerciale », présentée comme un nouveau « droit de l'homme ». On assiste à une tension constante entre la « souveraineté absolue du consommateur » et la volonté des citoyens garantie par la démocratie.
Autour de cette revendication de « liberté d'expression commerciale » se structurent désormais les actions de lobbying des organisations interprofessionnelles (annonceurs, agences publicitaires et médias) (2). Cette « liberté d'expression commerciale » est indissociable du vieux principe, inventé par la diplomatie américaine, du libre flux d'informations, qui a toujours fait peu de cas de la question des inégalités en matière de communications.
La doctrine de la mondialisation aligne la liberté tout court sur la liberté de faire du commerce. L'Organisation mondiale du commerce (OMC), où la communication est classée comme « service », est d'ailleurs devenue le lieu central des débats sur le nouvel ordre communicationnel.
Les géants des télécommunications se livrent à une féroce compétition. La norme globale de l'avenir ? La propriété privée de toutes les structures qui constituent la plate-forme du cyberespace. Les grandes firmes espèrent coloniser le cyberespace, ce qui leur permettra d'envisager la conquête d'Internet (3). Car la bataille décisive, à l'échelle planétaire, a pour enjeu le contrôle des trois secteurs industriels - ordinateurs, télévision, téléphonie - qui fusionnent désormais sur Internet. Le groupe qui régnera sur Internet dominera le monde de la communication de demain, avec tous les risques que cela suppose pour la culture et pour la liberté d'esprit des citoyens.
Un tel ouragan d'ambitions, déclenché par le défi du multimédia, pouvait-il épargner la presse écrite ? Beaucoup de grands journaux appartiennent déjà à des mégagroupes de communication, et les rares titres encore indépendants, fragilisés par la chute des recettes publicitaires, sont désormais convoités par des pouvoirs financiers. Une enquête a révélé que la confiance des Français dans les médias s'est effondrée (4). En un an, le nombre de ceux qui acceptent la manière dont la presse rapporte les événements est passé de 56 % à 45 %, une baisse de onze points ! Et à l'égard de la télévision la chute - de 60 % à 45 % - est de quinze points !
Une telle suspicion montre que les citoyens ne sont pas dupes ; qu'ils savent résister à l'endoctrinement médiatique. Pourront-ils résister aussi à l'encerclement de l'idéologie dominante ? Sauront-ils suivre les pistes suggérées par quelques créateurs et artistes qui proposent de « faire exploser » l'inhumaine société néolibérale ?
(1) Lire « L'agonie de la culture ? », Manière de voir, n° 19, septembre 1993.
(2) Lire Armand Mattelart, « Les nouveaux scénarios de la communication mondiale », Le Monde diplomatique, août 1996.
(3) Lire « Internet, l'extase et l'effroi », Manière de voir, Hors-série, octobre 1996.
(4) La Croix, 24 janvier 1995.
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